781 – Parents et enfants : nature d’attachements

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Les enfants s’attachent aux parents

Naturellement et réciproquement

Les enfants en sont  dépendants,

Les parents en sont répondants.

.

Vient moment où les premiers

Quittent le second  et se font

Autres nouvelles, amitiés,

Bientôt, conjoints seront.

.

Liens familiaux, fraternels,

Comme le socle, demeurent

De leur histoire  personnelle,

 Ce, jusqu’à  ce qu’ils  meurent.

.

Entre les parents et les enfants,

Nature différente d’attachement,

Tant déjà chacun d’eux est unique,

En sentiments, émotions pudiques.

.

Nos mères, nos pères… vieillissants,

Meurent chacun …  prématurément,

Tandis que les enfants, grandissants,

Pacsés, ou, mariés : font  des enfants.

.

Ainsi va la vie et ainsi vont les choses,

 Vie de parents n’est pas toujours rose,

L’avenir de leurs enfants ne se … pose

Pour autant, en termes d’apothéoses !

.

La cellule familiale est ce noyau…vital,

Demeurant au-delà des torts et heurts,

Lien inconditionnel, ou, garant moral,

Affectif, historique, social … bonheur !

.

Les amis, ça va, ça vient, dit un dicton,

Bien que certains soient devenus anciens

De vieux à jeunes, problème de génération

Car ami est quelqu’un qui vous fait du bien.

  .

Or, le conjoint est bien plus qu’un témoin,

De votre vie quotidienne parfois chienne,

Un conjoint est le seul qui prenne soin

De vous et le seul qui comprenne

Qu’il faut bien vous retenir

De le fuir, trop loin,

À tire d’ailes,

Ou de lui,

D’elle

V

.

Extensions

 .

Enfants s’attachent aux parents

Qui les aiment naturellement

Et ils en sont dépendants

Jusqu’à autonomie complète.

.

C’est à travers les petits enfants

Que les liens se renouent s’ils auront

Été distendus pendant un bon moment.

Les  parents  tiennent  à leurs  enfants

Comme  à la  prunelle de  leurs  yeux.

.

Perdre un est malheur les rendant

Inconsolable alors qu’enfants

Savent que les parents

Mourront avant eux.

Ça n’empêche pas de garder

Le souvenir de ce qu’ils ont été.

.

Quand les parents affichent une

Préférence pour un enfant, ça finit

Par poser problèmes de jalousie en la fratrie :

« T’as toujours été le chouchou, t’as toujours tout eu

Et nous rien, le minimum et te faire hériter de tout ».

.

L’attachement de l’enfant aux parents est de nature animale

L’inverse est accompagné de condition, pression, sociétales :

L’enfant n’a de responsabilité vis-à-vis de ses propres parents

Les parents ont des obligations, des devoirs … des injonctions

L’enfant est autant une transmission d’affection

Pas que génétique : je redonne ce que j’ai reçu !

C’est simple comme bonjour, ça marche toujours

Un jour ce sera peut-être le contraire : parents pris en charge

Par enfants pour accompagner, à leur tour, leurs vieux jours.

.

Intergénérationnel ne se limiterait pas

Famille, enfant, parents, grands-parents

Bon nombre de liens intergénérationnels

Ne sont d’ordre d’un attachement affectif

Mais plutôt : social, économique, culturel,

Par la solidarité et la transmission savoirs.

.

L’attachement est considéré en des cultures

Comme un droit, un devoir, une obligation :

On pense, naturellement, aux pays du Japon.

Le respect des aînés est une valeur très ancrée

 Dans la culture, dans le quotidien des Japonais,

Bien plus qu’en Occident … plus individualiste.

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Fragments

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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 Calligramme 

 .

Les enfants s’attachent aux parents

Naturellement et réciproquement

Les enfants en sont  dépendants,

Les parents en sont répondants

Vient moment où les premiers

Quittent le second  et se font

Autres nouvelles, amitiés,

Bientôt, conjoints seront.

PARENTS,

Liens familiaux, fraternels,

Comme le socle, demeurent

De leur histoire  personnelle,

 Ce, jusqu’à  ce qu’ils  meurent.

Entre les parents et les enfants,

Nature différente d’attachement,

Tant déjà chacun d’eux est unique,

En sentiments, émotions pudiques.

ENFANTS 

Nos mères, nos pères… vieillissants,

Meurent chacun …  prématurément,

Tandis que les enfants, grandissants,

Pacsés, ou, mariés : font  des enfants.

Ainsi va la vie et ainsi vont les choses,

 Vie de parents n’est pas toujours rose.

L’avenir de leurs enfants ne se … pose

Pour autant, en termes d’apothéoses !

NATURE

La cellule familiale est ce noyau…vital,

Demeurant au-delà des torts et heurts,

Lien inconditionnel, ou, garant moral,

Affectif, historique, social … bonheur !

Les amis, ça va, ça vient, dit un dicton,

Bien que certains soient devenus anciens

De vieux à jeunes, problème de génération

Car ami est quelqu’un qui vous fait du bien.

ATTACHEMENTS  

Or, le conjoint est bien plus qu’un témoin,

De votre vie quotidienne parfois chienne,

Un conjoint est le seul qui prenne soin

De vous et le seul qui comprenne

Qu’il faut bien vous retenir

De le fuir, trop loin,

À tire d’ailes,

Ou de lui,

D’elle

V

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une pointe de quelque chose

Une cravate, probablement,

Une cravate certainement 

Cadeau de la fête de pères !

.

781 4

.

U

Cravate n’est pas signe de reconnaissance

Au sein d’une famille

C’est est fini d’offrir une belle cravate le jour

 De la fête des pères !

.

Symbolique

« Symbole de l’autorité »,

Contrainte « ridicule ».

Pourquoi  cravate

N’est plus dans le coup

Longtemps   considérée

Comme  un   accessoire

Indispensable  dans  de

Nombreux         secteurs

Professionnels           afin

D’incarner       le  sérieux

 L’élégance,      la cravate

Est,  de plus en plus,

Laissée placard

Sauf     rin

Gards.

« francetvinfo.fr/economie/tendances/

symbole-autorite-contrainte-ridicule

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

781 6

.

Cravate n’est pas signe de reconnaissance

Au sein d’une famille

C’est est fini d’offrir une belle cravate le jour

 De la fête des pères !

.

Symbolique 

 

Début

Du XXe siècle,

 La première fête

Non religieuse

 Voit le jour

États-Unis le 19 juin 1910, à l’initiative

De Sonora smart souhaitant rendre hommage

 Aux papas au même titre que la fête des mères.

 .

Depuis,    la    fête des pères,   se  déroule

Le 3e    dimanche   de juin   aux   États-Unis.

En france,  la fête    des pères    date de 1952

Est officialisée par un fabriquant de briquet,

Par Flaminaire, mais  à des fins commerciales.

 .

La fête des pères est fixée au 3e dimanche de juin

Comme aux états-unis et cette tradition se poursuit

Encore aujourd’hui mais avec bien d’autres cadeaux.

laposte.fr/fete-des-peres 

.

Début

Du XXe siècle,

 La première fête

Non religieuse

 Voit le jour

États-Unis le 19 juin 1910, à l’initiative

De Sonora smart souhaitant rendre hommage

 Aux papas au même titre que la fête des mères.

 .

Depuis,    la    fête des pères,   se  déroule

Le 3e    dimanche   de juin   aux   États-Unis.

En france,  la fête    des pères    date de 1952

Est officialisée par un fabriquant de briquet,

Par Flaminaire, mais  à des fins commerciales.

 .

La fête des pères est fixée au 3e dimanche de juin

Comme aux états-unis et cette tradition se poursuit

Encore aujourd’hui mais avec bien d’autres cadeaux.

laposte.fr/fete-des-peres

 

Fond/forme 

 .

L’attachement entre parent et enfant

Nous parait n’être qu’un fait de nature

Or il intègre autant de faits de cultures

Tout comme réciprocité de générations,

Je t’ai donné sans compter, maintenant

C’est toi qui prend soin de moi : normal.

On le sent bien  on le voit, on le pratique

Lors des fêtes de famille et anniversaires

Tant des petits enfants que grand-mères,

En sus de jour de la fête des pères, mères.

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Textuels et illustrations  >>

769 – C’est l’enfant qui fait devenir parents

 Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Éteint

É-tin-celle

De fécondation,

Moment où se joue

Instant où nouvel être

Commence à apparaitre,

Deux partenaires parents.

 Hormis imprévu, accident

Disparition et avortement

Si tout va bien : bonheur,

Pour nos deux géniteurs.

.

L’un voulait…. l’autre pas…. ou moins

Voilà que devant … bébé, il … devient gaga

Et elle se révèle …… avec instinct maternel,

L’enfant les force….. à choix existentiel.

.

C’est l’enfant qui fait

Devenir parents, en vrai

C’est pas l’enfant qu’on fait

Il nait comme une étincelle

En ventre d’une jouvencelle,

Fécondée par le mâle en elle.

Ses spermatozoïdes évoluent,

Vers un ovule à portée de vue :

Premier   qui est arrivé, réussit

Une percée en lui, percée de vie.

Il était temps autres s’amoncellent

En nombres, et, autour de lui, d’elle.

L’adn est dé-doublé  est  reprogrammé

Et à présent divisé, méiosé  démultiplié !

Nouvel être issu d’œuf humain, vient naitre

À une vie, commence voyage chez les terriens,

Neuf mois  en capsule avant sortir de sa lune,

Gémissant, en étonne, plus d’un, plus  d’une.

C’est parti pour les dix-sept à vingt-cinq ans

Pour soins  physiologiques psychologiques

Sans une éducation trop  systématique.

Sur vous fait premières de lait dents,

Dents pour mordre  dans la vie

.

Cycle,  recommencé  lui aussi

Désiré  d’un enfantement

Des fois  …  accidenté.

Enfant que l’on fait,

Est  qui nous plait,

À  ce qu’il  parait,

Nous renaitrait,

C’est bien fait,

C’est parfait,

Et ça se fait

C’est vrai

Ou…ais

VVV

.

Extensions

 .

L’enfant qu’on fait

Et  qui nous plait,

À ce qu’il parait,

Nous renaitrait,

Devenu grand-parent,

Et que l’on jouera avec lui.

.

C’est bien fait, c’est parfait

Quand ça se fait, c’est vrai, ouais,

Que c’est le plus beau cadeau qu’on ait.

.

Même s’il nous prend une partie de notre vie,

On ne le regrette jamais : c’est l’enfant qui fait

Devenir parents, suite à une longue maturation

Ou préparation, par accident ou par la force

Des choses mais au final, qu’importe

Si la mue est réussie.

.

Il y a comme un changement radical, d’avoir un enfant.

Rien ne sera plus, désormais, tout à fait, comme avant !

Pour être passé par là, je le confirme

Et c’est le premier qui vous… baptise,

Pour entrer, avec lui, en communion,

Pour la vie entière sinon une portion.

Après, y a parents et parents : c’est normal, c’est animal :

Y a ceux qui vous couvent, ceux qui vous…autonomisent.

Souvenez-vous de votre propre enfance

Vos parents vous suivaient partout ou lâchaient la bride.

.

L’enfant est un bonheur

Et une charge… immense,

L’enfant est accroche-cœur,

Lors une occupation intense.

.

On n’est jamais assez préparé,

À devenir parents, en âge d’être,

Certains, trop tôt, ne savent faire,

D’autres très tard, le materne trop.

.

Y-at-il de bonnes, mauvaises mères,

Des mères délaissant, faisant misère

Y-at-il de bons et de mauvais pères,

Qui n’aiment, n’aident leur enfant !

.

Renier ses parents, arrivé grand,

Couper les ponts sans nouvelles

Suppose de mauvais parents

Amour n’a rien d’éternel !

.

Fragments

.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

Calligramme  

.

Éteint

É-tin-celle

De fécondation,

Moment où se joue

Instant où nouvel être

Commence à apparaitre,

Deux partenaires parents.

 Hormis  imprévu, accident

Disparition et avortement

Si tout va bien : bonheur,

Pour nos deux géniteurs.

.

L’un voulait…. l’autre pas…. ou moins

Voilà que devant … bébé, il … devient gaga

Et elle se révèle …… avec instinct maternel,

L’enfant les force….. à choix existentiel.

.

C’est l’enfant qui fait

Devenir parents, en vrai

C’est pas l’enfant  qu’on fait

Nait comme  E      une étincelle

En ventre d’u  N    ne jouvencelle,

Fécondée par    F      le mâle en elle.

Ses spermato      A        zoïdes évoluent

Vers un ovule        N         à portée de vue,

Premier                    T               arrivé, réussit

Une percée en    *     lui,     *         percée de vie.

Il était temps     N      autres    Ê      s’amoncellent

En nombres     O        et autour      T      de lui, d’elle.

L’adn est        U           dé-doublé         R  reprogrammé

Et à présent  S           divisé, méiosé       E    démultiplié !

Nouvel être  *          issu d’œuf humain,     *     vient naitre

À une vie,     F       commence voyage chez  P     les terriens,

Neuf mois    E      en capsule avant sortir   A        de sa lune

Gémissant   R      en étonne, plus d’un     R    plus   d’une.

C’est parti,  A      pour les dix-sept à    E  vingt-cinq ans

Pour soins  I       physiologiques     N psychologiques

Sans une    T   éducation trop    T systématique.

Sur vous   * fait premières  * de lait dents,

Dents    *  pour mordre  *  dans la vie

.

Cycle,  recommencé  lui aussi

Désiré  d’un enfantement

Des fois  …  accidenté.

Enfant que l’on fait,

Est  qui nous plait,

À ce qu’il  parait,

Nous renaitrait,

C’est bien fait,

C’est parfait,

Et ça se fait

C’est vrai

Ou…ais

VVV

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une pelote de liens

Génétiques  en  fuseau

D’une hérédité dite sexuée

Conception liens naissance.

.

769 4

.

Cela, bien avant sa naissance

À sa conception même,

C’est l’enfant qui tisserait un lien

À vie entres ses deux parents.

.

Symbolique 

.

Avoir un enfant heureux, épanoui,

Armé pour affronter la vie…

C’est là le vœu le plus cher de tous les parents,

Avant même la conception.

Si l’éducation, l’amour et le soutien apportent

Certaines clés à l’enfant dès

Ses premières années, on pense moins souvent

Que la grossesse, la naissance

Pourraient avoir un impact sur la personne

Qu’il deviendra plus tard.

Pour Lise Bartoli, psychologue clinicienne,

Hypnothérapeute et auteure de

Dis-moi comment tu es né, je te dirai qui tu es

(Éditions Payot Psy), cette période

Est pourtant essentielle au bien-être immédiat

Et à long terme du futur bébé.

laurencepernoud.com/grossesse/psychologie-

femme-enceinte/personnalite-estime-soi

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

769 6

.

Cela, bien avant sa naissance … 

À sa conception même,

C’est l’enfant qui tisserait un lien

À vie entres ses deux parents.

.

Symbolique 

.

Un bébé qui développe

Un lien  d’attachement

Stable et sécurisant avec

Ses parents  et  durant les

Premières années de sa vie

Aura plus de chances d’être

Bien équipé pour gérer les

Situations difficiles tout

Au long de sa vie.

 

Au contraire, un bébé

Qui n’a pu former ce lien étroit

Avec des adultes et  significatifs

Pourrait  avoir  des   difficultés

À s’adapter à la vie de groupe,

L’attachement  serait  même

Un élément le plus essentiel

 À la survie d’être humain.

Source : naitreetgrandir.com/fr/

etape/0_12_mois/viefamille

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Fond/forme 

.

Pour certains un lien s’établit avant,

d’autres pendant, d’autres après

la naissance de leur enfant !

La mère prend de l’avance

sur le père qui débarque

elle l’a porté, fait naitre

et elle nourrit au sein

le père donne le bain,

alternance le change.

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 Textuels et illustrations  >>

768 – L’enfant naît comme liesse des parents

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Enfant

 Qui   nait

Fait   la joie

Des    parents,

Tant    tout il est

Un  nouvel   espoir

Nouvelle    aventure,

Nouvel  être  sur Terre,

Nouveau rire, en maison.

Il est encore un prématuré,

Vu nombre de mois où il nait

De même  qu’il est  prématuré,

De  savoir  ce  qu’il  deviendrait,

S’il était né, ailleurs, d’autre cité,

De parents riches voire miséreux.

.

L’enfant  nait,  comme  une liesse,

Des  parents, qui  le reconnaissent,

Comme un  être encore prématuré,

Qu’il faudra bien sûr accompagner,

Maintenant et, toute sa vie, durant.

L’enfant nait comme une promesse,

D’une aventure,  et nouvelle adresse

De soins  et  d’amours  à  dispenser,

De craintes  voire  espoirs  à cerner,

Ce n’est pas  qu’une  page  blanche :

Ce  ne  sera  pas, non plus, un  ange.

.

L’enfant nait comme tempérament,

Se transforme au contact de parents

En caractère qui s’affirme, s’oppose,

Mais, ce ne sont  que jeux, qu’il ose,

Il sait qu’il sera soutenu et toujours,

Et qu’il est fruit d’un très bel amour

Enfant nait en ayant un beau destin

Que, peu à peu, et seul,  il fera  sien,

Parmi d’autres, son propre chemin,

Et  ce, jusqu’à ce qu’il le sente bien,

Parents  sont  ainsi  récompensés !

 .

Quoi, de plus beau, que  de donner

La vie sinon que de la transformer

En valeurs,  en bonheurs, en arme

Pour se défendre contre vacarme

Du monde lors quittant le cocon

Familial, où  tout  tourne rond.

Enfant, que je ne connais pas,

D’yeux noirs, verts, ou bleus,

Aux  sourires, faciles,  déjà,

Fait rire le frère anguille,

En charmante famille

Rayonnant joyeux

Il vous  ouvre

Une  porte.

.

Extensions

 .

L’enfant nait comme liesse,

Et de parents qui l’ont désiré,

Et qui ne pensent qu’à le choyer

Comme le plus beau des cadeaux

Que la nature a offert pour passer

Le restant de leur vie sur la Terre.

.

L’enfant rendra, toujours, ce qu’on

Lui donne, d’une manière ou autre

En présence, en soins, attachement,

Amusement, bien avant qu’il soit grand,

Et longtemps après avoir quitté ses parents.

.

Il ne le donne pas en argent mais en sentiment,

En attachement, partageant enfants petits-enfants.

.

L’enfant ne saura pas qu’en naissant,

Il fait une  joie immense à ses parents,

Il se contentera  d’être là,  l’air  content,

Comptant  sur eux, mais, cela est animal,

L’un, l’autre comme son seul lien parental,

Qu’il ressent comme comportement normal.

Cette relation, de totale confiance, le grandit.

Il ne le sait pas bien  encore, mais il y souscrit,

Et si on le laisse seul, on l’abandonne, il dépérit.

.

L’enfant est loin d’être une page blanche

Ne serait-ce que par génétique, hérédité !

.

Ensuite il reconnaitrait la voix de sa mère,

Il a déjà quelques expressions, émotions !

.

Ensuite il décode la joie  de ses parents,

Comme un bien être très réconfortant.

.

Ensuite, il criera  quand il aura faim,

Il pleurera en cas de gêne, abandon.

.

Enfin, il observe tout l’entourage,

Sans compter l’environnement.

.

Fragments

.

Une cellule, fécondée, unique,

Qui se divise en deux, plusieurs

Donnant naissance au meilleur

La forme épousera bien le fond.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

.

Enfant

 Qui   nait

Fait   la joie

Des    parents,

Tant    tout il est

Un  nouvel   espoir

Nouvelle    aventure,

Nouvel  être  sur Terre,

Nouveau rire, en maison.

Il est encore un prématuré,

Vu nombre de mois où il nait

De même  qu’il est  prématuré,

De  savoir  ce  qu’il  deviendrait,

S’il était né, ailleurs, d’autre cité,

De parents riches, voire miséreux.

.

L’enfant nait, E    comme une liesse,

Des parents,  N   qui  le reconnaissent

Comme un   F   être encore prématuré

Qu’il faudra  A   bien sûr accompagner

Maintenant    N  et toute sa vie durant.

L’enfant nait     T       comme promesse,

D’une aventure      *      nouvelle adresse

De soins et d’amours     N    à dispenser,

De craintes et d’espoirs,   A      à cerner :

Ce n’est pas qu’une page    I      blanche :

Ce ne sera pas non plus,   T      un  ange !

.

L’enfant nait comme   J     tempérament,

Se transforme au     O contact de parents

En caractère qui     I   s’affirme, s’oppose,

Mais, ce ne sont    E     que jeux, qu’il ose,

Il sait qu’il sera    *   soutenu et  toujours,

Et qu’il est fruit  D     d’un très bel amour

Enfant nait en    E  ayant un  beau destin

Que, peu à peu  S      et seul,  il fera  sien,

Parmi d’autres  *      son propre chemin,

Et ce, jusqu’à    P   ce qu’il le sente bien,

Parents  sont    A   ainsi  récompensés !

R  ….…..

Quoi, de plus  E     beau que de donner

La vie sinon   N que de la transformer

En valeurs,   T en bonheurs, en arme

Pour se dé  S fendre contre vacarme

Du monde *  lors quittant le cocon

Familial,    où  tout  tourne rond.

Enfant,  que  je ne connais pas,

D’yeux noirs, verts, ou bleus,

Aux  sourires, faciles, déjà,

Fait rire le frère anguille

En charmante famille

Rayonnant joyeux

Il vous  ouvre

Une  porte.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une forme étrange

 Comme une bactérie

Longue, et  oblongue,

Une graine, unicité ?

.

768 4

.

Une graine d’humain,

Ça ne pousse pas en terre : en utérus.

Il y a loin d’une unicité

Cellule à des milliards, pour l’humain !

 .

Symbolique 

 

Pour notre

Mère nature

L’essentiel    est

Bien  la  graine,

Des graines ou des

Noyaux. Du  point  de  

Vue  symbolique, graine,

Et  le noyau : c’est l’esprit.

Chair, est espace pour l’âme

Lors peau, enveloppe matérielle

Corps physique, on voit, touche.

L’homme véritable : pas  corps

Mais ce point imperceptible

Qui est là, quelque part

 Au-dedans, qui pense,

Qui aime, qui crée

 Et qui vit sa vie.

groups.google.com/forum/#!topic/

francom.esoterisme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

768 6

.

Une graine d’humain,

Ça ne pousse pas en terre : en utérus !

Il y a loin d’une unicité

De cellule à des milliards, pour l’humain !

  .

Symbolique 

.

Le problème des rapports

De l’appareil neuropsychique

Avec le tout de tout l’organisme

Serait maintenant clairement posé

Grâce aux progrès ayant été réalisés

Dans recueils des connaissances des

Communication s… intercellulaires.

En dépit de la complexité  des liens

Qui unissent les milliards de cellules

Constituant  le corps de l’être humain.

Les  deux  caractéristiques …  essentielles

Des êtres pluricellulaires sont unité, unicité.

Ces caractéristiques indissociables se retrouvent

À tous les niveaux et de structures  et de fonctions,

Que celles-ci soient ou non qualifiées de psychiques,

Que l’on considère l’organisme simplement comme

Un ensemble intégré ou comme une personne.

cairn.info/l-homme-fou–9782130461623-page-151

 .

 .

Fond/forme

.

En culture biologie, il n’y aura pas

De bonnes ou de mauvaises graines

Il n’y aura que des graines tout court.

.

C’est l’homme si ce ne sont les animaux,

Qui les séparent et puis les sélectionnent .

.

L’enfant ne sera pas la graine,  sera est issu

De deux germes des parents, qui ont fusionné

Pour donner troisième germe mâle ou femelle,

C’est la loi de la nature qui prévaut et renouvelle.

 .

Textuels et illustrations  >>

622 – Faire autrement quand on aime !

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Quand on aime, on ne compte pas

Quand on aime… l’on ne conte pas.

Seule chose vraie dans ces deux cas,

L’on agit, l’on n’en parle plus ou pas !

.

C’est ce que font les gens  qui  s’aiment,

Faire l’amour, faire leur nid,  leur  enfant

Faire leur vie en somme, tout simplement

Quel que soit le parcours riche ou bohème

.

Enfant désiré, n’est ni le fruit ni le produit

D’amour du passé  qui tarde  à  s’incarner,

N’est que promesse d’un avenir qu’induit

La nécessité de le faire quand on s’aime !

.

Comment faire autrement quand on aime

L’on ne va pas que se parler quand même

D’une façon qui ne rejoint pas l’extrême

Lors même tout y pousse en un poème.

.

Poème que de se toucher,  que caresser

Des peaux nues par nos mains tendues

Par leur désir, à n’en plus finir, de tisser

Toile pour se rendre prisonnier ou confus.

.

Poème d’embrasser «bouche que veux-tu»

Pour y goûter le langage nouveau, inconnu

De ceux  qui n’ont, pour langue …que vertu

De ne jamais  pénétrer, là où, c’est défendu.

.

Poème, de pénétrer, comme soc de charrue

Le ventre d’une terre fertile  et bien conçue

Pour que petite graine pousse et grandisse

Que greffe enfant de l’amour, y réussisse !

.

Mais que faire autrement quand on aime

À moins  de se   faire  violence,  se taire,

C’est pourquoi je t’adresse cette prière

Ne dis rien et fais le moi en l’extrême

.

Extensions

 .

Faire autrement est toujours possible,

On peut s’abstenir, jouer l’indifférence,

Remettre à plus tard… donner le change,

Le tout pour susciter la jalousie de l’autre.

.

Comment faire  autrement que  de se revoir,

Se fréquenter assidûment, se mettre en couple,

Se marier ou tout comme, désire, faire un enfant,

Fonder une famille, bâtir une maison, une carrière,

Un style de vie, voire une manière d’être ensemble,

Pour une fidélité à toute épreuve et tutti quanti…

.

L’enfant est le pivot, est l’élément déterminant,

Fédérateur, épreuve de vérité, c’est souvent

À ce moment que le bât blesse et que les

Couples se disjoignent et finiront

Tôt ou tard …  par se séparer.

.

L’enfant devient la fleur de

L’amour conjugal mais aussi

Et bien plus encore, le fruit de

L’amour parental, l’amour conjugal

Est virtualité ; l’amour parental, réalité

L’enfant survit à tout cataclysme amoureux

Et a besoin de ses deux parents, ne serait-ce

Que pour grandir, pour assurer son avenir !

.

Comment faire autrement ! Eh  bien si, justement, l’on peut :

L’amour dans un couple n’est pas fatalement lié à la grossesse

L’amour serait d’abord et avant tout, un échange de tendresse

L’enfant qui en sera enfanté ne sera que l’enfant que l’on veut,

Pour se prolonger, s’occuper, transmettre, ou  donner encore

Ce qu’il y a de mieux pour qu’amour se construise et dure

 Que l’enfant prenne modèle sur ses parents, et s’invente.

.

Faire autrement peut très bien se conclure

Par je ne veux pas d’enfant, et de personne ;

Je ne veux pas d’enfant de toi, moi non plus ;

Je me ferai faire un enfant toute seule, adieu ;

.

Cas de figure échappant à coutume maritale :

Je ne voulais pas  d’enfant : tu m’as  bien eu,

Est un autre sans moindre accord préalable

Et ainsi va la vie et ainsi vont …  les choses.

.

Ça n’empêche pas l’Humanité de croitre

Mais ce sont souvent les plus fortunés,

Qui ne s’embarrassent pas d’enfants.

.

Fragments

Comment faire autrement quand on aime :

Question primordiale inévitable en tous cas,

.

Mais autrement peut vouloir dire beaucoup :

Une union, un enfant, un projet de vie errante

.

Très souvent, le point de basculement en couple

Est non pas le désir d’enfant mais sa réalisation.

.

Parfois prématuré, survient bien avant, accident

Ce n’était pas prévu ou prévu pour bien plus tard.

.

Parfois il est remis, d’année en année, prétextant

Qu’il faut que sa vie se stabilise, en s’y préparant.

.

Parfois désir d’enfant n’est que pour un, pas autre

Instaurant une frustration, conduisant séparation.

.

Parfois, commun accord, les deux n’en veulent pas,

La question est réglée, c’est bien mieux comme cela.

.

Enfanter, se reproduire est dans la nature humaine,

Tout autant que celle de mammifères sans conteste.

.

Pour l’humain, c’est une affaire de liberté de choix

À l’inverse, c’est problématique en cas de stérilité !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

 .

           Quand on aime  C   on ne compte pas

          Quand on aime   O       on ne conte pas.

        Seule chose vraie M   dans ces deux cas,

      L’on agit, on n’en  M   parle plus, ou pas !

E

C’est ce que font les  N    gens  qui  s’aiment,

Faire l’amour, faire   T  leur nid, leur enfant…….

Faire leur vie en som  *   me, tout simplement …….

Quel que soit le par  F  cours, riche ou bohème …….

   A …………….…

Enfant désiré        I     n’est ni le fruit ni le produit

D’amour du         R    passé qui tarde à s’incarner.

N’est que pro      E      messe d’un avenir qu’induit

La nécessité        *      de le faire quand on s’aime !

A ……………………

Comment faire   U   autrement ….. quand on aime

L’on ne va pas    T   que se parler quand même……..

D’une façon qui   R    ne rejoint pas l’extrême ……………

Lors même tout    E    y pousse en un poème ………………….

Poème que de se   M   toucher,  que caresser ………………………

Des peaux nues     E  par nos mains tendues ……………………………

Par leur désir, à     N   n’en plus finir, de tisser …………………………….

Toile pour se ren    T  dre, prisonnier, ou confus ……………………………

Poème d’embras    *  ser «bouche que veux-tu» …….………………………

 Pour y goûter le    Q   langage nouveau, inconnu ….….…………………..

De ceux qui n’    U     ont pour langue que vertu …….……………….

De ne jamais    A     pénétrer, là où, c’est défendu ………………

Poème, de     N    pénétrer, comme soc de charrue ……..

Le ventre    D    d’une terre fertile et bien conçue…

Pour que    *  petite graine pousse, grandisse   *

   Que greffe      O    enfant d’amour, y réussisse !

N ………………..

 Comment faire   *         autrement si on aime

 À moins de se     A    faire  violence,  se taire,

C’est pourquoi     I   je t’adresse cette prière

Ne dis rien et     M    fais le moi en l’extrême

E  ……………

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un fruit visible d’un amour

Conjugal et puis parental,

 Est celui d’être enceinte

Bébé presqu’à terme.

.

622 4

.

Comment faire autrement :

Être enceinte, sans contraintes 

Lors dans toute nos réalités sociales,

Le bébé en sera la preuve visible.

Enceinte d’un bébé fruit d’un désir

Pas toujours il est vrai avant  mais

Le plus souvent après ou pendant :

Le fond prend forme en neuf mois.

  .

Symbolique 

 .

Le sens

Rêves : enceinte

Ne renvoient pas à

La conception

 D’un enfant.

 

Si ce rêve de grossesse

Reste  très    symbolique,

Il   représente        l‘aspect

Fertile  puis   créateur    qui

Met en   place dans votre vie

Au moment du rêve  et  dont  

Les détails  et   préoccupations

 À l’état  de veille vous montre

 De quel domaine de votre vie

Il s’agit que ce que vous pourrez

En  déduire : sur le plan matériel,

Psychique,   intellectuel,     spirituel.

Modifié, source : solutionreves.com/

glossary/rever-detre-enceinte

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

622 6

.

Comment faire autrement :

Être enceinte, sans contraintes :

Lors dans toute  nos réalités sociales,

Le bébé en sera la preuve visible.

 .

Symbolique 

 .

Que l’on se voit bébé,

         Ou père ou mère  d’un bébé,

                   Ou bien encore en train d’assister,

                          De vivre soi-même un accouchement,

                               Rêver de bébé est un rêve très fréquent.

 

                                 Bien que plus souvent chez les rêveuses

                             Les raisons sont très évidentes tant

                         La maternité aura à voir avec la

                        Grossesse  et corps des femmes.

 

                    Ce rêve sera-t-il à interpréter

                  Comme  beau  désir d’enfant

               Voire  envie  de   parentalité

               Vous pensez qu’ils sont liés à

           «L’instinct  de  maternité »,

        Bien que parfois contesté !

doctissimo.fr/psychologie/

dictionnaire-des-reves/reve-bebe

 .

.

Fond/forme 

 .

Qui dit enceinte dit la conception à deux

Qui dit bébé dit accouchement prochain.

.

Faire autrement reste toujours possible,

Comme d’adopter un enfant  né ailleurs,

Le chérir, élever, comme si c’était le sien.

.

Si les liens du sang  sont très importants,

Ceux du cœur ne le seraient guère moins.

Ce ne sont enfants adoptés qui le nieront.

.

 Textuels et illustrations  >> 

992 – L’enfant de qui je suis, celui que j’ai fait !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

.

Notre propre identité est héréditaire

Au sens   d’être né  d’un père, une mère.

Son identité est aussi   liée aux   personnes

Qui  nous ont élevé, soigné, éduqué,  et  aimé !

.

Notre identité est, aussi, liée  à une communauté,

Qui nous a accueillis en son sein, où l’on aura grandi.

Sang, cœur et sol sont trois piliers de notre personnalité,

Lors ils se correspondent, s’allient, ils ne sont pas aliénés.

  .

L’enfant de qui je suis,

Et  celui  que j’ai  fait :

Qu’ont-ils en  commun

Sauf  être frère humain

Pas  de  même  époque,

Ni de mêmes   parents,

Pas  de même  enfance,

Ni de même éducation.

.

Et en quoi,  liens du sang,

Prévaudraient, avant tout,

Sur tous les liens  affectifs,

Nés sur sol,  même maison.

.

Sang, cœur  et sol : effectifs,

En bonne mesure … se valent

Posent problèmes  d’identités,

À ceux qui doutent de leur mal.

.

De mes parents, j’aurais hérité,

Caractère  qu’ils  ne renieraient

Bien que le mien est plus nuancé

.

Air de famille vite le confondrait !

Et si deux parents n’en font qu’un,

Pour reconcevoir, une  fois  grandi,

Son propre projet deviendra  choisi

Pour soi-même,   avec leur soutien.

.

Quand on a un  doute sur identité

Allant au-delà  de ses … filiations

Ce n’est  plus la question du sol

Sang ou cœur qu’il faut traiter,

.

Mais bien celle de personnalité,

Ne cadrant pas avec reste famille

Si ce n’est pas   avec notre société,

Ou tout repré   sentant de l’autorité.

Extensions

.

Le vilain petit canard, le mouton noir,

Le génie de la famille, l’artiste anarchique :

Autant de figures classiques qui ne reflèteront

Ni les gènes des parents ni les éducations sociales.

Entre l’enfant de qui je suis et l’enfant que j’ai fait,

Il peut y avoir comme  forte ressemblance,

Physique, morale, professionnelle ou

Au contraire, aucun lien évident.

Il y a des enfants suivent un destin tracé

Et d’autres qui construisent le leur, à partir

D’opportunités, ou voire de volontés d’y arriver !

Droit du sang, droit du sol : la question ne se pose pas

Si on choisit, à sa majorité, l’identité que l’on préfère,

Ce qui ne signifie pas que l’on renonce à une seconde,

Mais la porte «en soi» au lieu de la porter «sur soi»

Je veux dire sur son passeport, sa carte d’identité.

Le statut d’apatride, c’est à dire de nulle part,

Ne rejoint pas celui de citoyen du monde,

Même Jésus, bien que fils de Dieu,

Reste connu comme roi des juifs

Alors qu’il est mort comme

Le premier chrétien !

.

Il n’est jamais possible de connaitre l’ensemble de ses racines

Mais il nous est impossible de les renier

Si on peut remonter ses ascendant jusqu’à la fin du Moyen-âge

La plupart du temps, un siècle est moyenne

Et si moi je peux remonter jusqu’à mes arrières grand parents

Ça ne fera jamais que cent cinquante ans.

.

L’enfant de qui je suis sera-t-il si différent

De l’enfant … que j’ai fait

Après deux grands mixages deux génomes

Qu’aura-t-il perdu et gagné.

.

Quand l’on dit : «je ressemble à un parent»

Physique, caractère, les deux,

De plus, qu’aura-t-il acquis, par lui-même,

En fonction de son milieu de vie !

.

Fragments

.

Enfant, de qui je suis, enfant que j’ai fait,

Auquel il faudra rajouter, que je suis resté,

Cela ferait trois modèles d’enfants en moi,

On dit qu’on oublie son enfance, crois pas.

.

On dit aussi qu’on reproduit modèle enfant

Et ainsi de suite et de parents en … parents

C’est peut-être vrai en culture traditionnelle

Moins en société en révolution permanente.

.

Il y en a qui resteront enfant toute leur vie,

Et d’autres qui à sept ans : presque adultes

Et il y en aura qui regretteront leur enfance

Ça dépend de situations familiales, sociales.

.

Notre Adn, arbre généalogique, nous situent

Sur une branche qui sera dite lignée du sang

Mais, si nous avons été adopté : ligne du sol :

Qu’importe, enfant reste toujours un enfant !

.

L’enfant de qui j’étais aura préservé innocence

L’enfant que j’étais sera devenue « autonome»

L’enfant que j’ai fait m’aura rendu responsable

Parents, à leur tour devienne enfant, sénescent.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Notre propre identité est héréditaire

Au sens   d’être né  d’un père, une mère.

Son identité est aussi   liée aux   personnes

Qui  nous ont élevé, soigné, éduqué,  et  aimé !

Notre identité est, aussi, liée  à une communauté,

Qui nous a accueillis en son sein, où l’on aura grandi.

Sang, cœur et sol sont trois piliers de notre personnalité,

Lors ils se correspondent, s’allient, ils ne sont pas aliénés.

   E

L’enfant de                  N               qui je suis,

Et celui  que              F                j’ai  fait :

Qu’ont-ils  en         A             commun

Sauf être frère     N             humain

Pas de  même    T           époque,

Ni  de mêmes   *          parents,

Pas de même   D        enfance,

Ni de même    E    éducation.

  *

Et en quoi,  liens du sang,

Prévaudraient, avant tout,

Sur tous les liens  affectifs,

Nés sur sol,  même maison.

Sang, cœur  et sol : effectifs,

En bonne mesure … se valent

Posent problèmes  d’identités,

À ceux qui doutent de leur mal.

 Q

De mes parents   U   j’aurais hérité,

Caractère qu’ils    I     ne renieraient

Bien que le mien    *    est plus nuancé

Air de famille vite   J     le confondrait !

Et si deux parents   E     n’en font qu’un,

Pour reconcevoir      *    une  fois  grandi,

Son propre projet     S    deviendra  choisi

Pour soi-même,         U    avec leur soutien.

Quand on a un            I     doute sur identité

Allant au-delà              S     de ses … filiations

Ce n’est  plus                *      la question du sol

Sang ou cœur              A        qu’il faut traiter,

Mais bien celle              I          de personnalité,

Ne cadrant pas              *        avec reste famille

Si ce n’est pas                F      avec notre société,

Ou tout repré                 A   sentant de l’autorité.

  I

  T

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un gros champignon,

Un arbre généalogique,

Avec ses grandes racines en bas

Et sa forte reproduction en haut

.

992 4

.

Du grand-père, au père, à l’enfant

Toute  une  lignée  généalogique,

Sans laquelle il n’y aurait plus

Reproduction, succession.

Arbre  généalogique   et  reproduction

S’accordent  parfaitement, en succession,

Autant qu’en diversification, branche morte,

Si fait que la forme illustre totalement le fond.

Symbolique 

 

Que ce soit pour la reproduction

 Sexuée ou la multiplication végétative,

L’hérédité n’est possible que si le  support

Des ‘informations  dites génétiques : l’ADN

Est dupliqué, transmis à nouvel organisme.

 

Cela est possible dans tous les cas

Grâce à la réplication de l’ADN,

Toute division cellulaire comme

La mitose ou la méiose.

Le mode de réplication

De l’ADN  est  universel

Dans le monde vivant :

C’est le mode considéré

Comme semi-conservatif.

wikipedia.org/reproduction

informations génétiques

.

.

Fond

.

Évocation

.

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.

Du grand-père, au père, à l’enfant

Toute une lignée généalogique,

Sans laquelle  il n’y aurait plus,

De reproduction, succession.

 

Symbolique 

 

Au tournant de l’an mil, la généalogie

Accompagne la mise en place de la société féodale

 

Efforts de l’Église pour la transmission des généalogies,

Affirmer sa vision de la famille, règles matrimoniales strictes.

 

Mise en place graphique d’’arbre généalogique représente

Pour de nombreux participants l’ayant expérimenté

 

Cette approche est un moment fort en émotions.

 

C’est aussi  retrouver

Sa verticalité,   sentir

Flux de transmission

 Qui viendra irriguer

Notre enracinement.

psychogenealogie.com/2403-2

.

.

Fond/forme 

 .

Généalogie de la reproduction,

Que ce soit sous forme d’arbre

Ou de place dans une matrice

Chacun sera né de quelqu’un,

Pour donner  vie  à un autre,

Et selon une chaine, sans fin,

Où figure sur branche d’arbre

Mes ascendants et descendants

Jusqu’à leurs profondes racines,

Se perdant en la nuit des temps

Du moins jusqu’au moment

Où l’homme est advenu.

.

Textuels et illustrations  >>