926 – Nombre de nouveaux réseaux sociaux !

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Nouveaux réseaux familiaux,

Amicaux  et dit sociaux

Où vivent s’empilent

Côté face, côté pile,

Le long   de  la vie

Nombre d’enfants

 Adultes et  retraités

Où réseaux  évoluent

En fonction des intérêts,

Passions affinités pour contacts.

.

Aujourd’hui, quel jeune n’aurait pas à son actif,

Réseaux sociaux  qu’il fait croitre, ou entretient,

Copains, copines, de lycée, d’écoles ou université

D’un côté branchés, hobby ; addiction de l’autre.

.

Et puis, avec le temps, leurs  réseaux  changent :

Les voilà mariés  et qui plus est, devenus parents.

Les  célibataires sont, peu à peu, rayés  de la liste,

Tant ils n’ont pas, du tout, mêmes préoccupations

Ni mêmes contraintes, même rythmes  d’activité.

.

Les enfants grandissent, et petits, vont  à  l’école,

Se font des amis qui viennent jouer à la maison,

Et l’on invite  les parents  et le groupe d’enfants,

Forme une communauté comme famille  élargie.

.

Le travail est en plus, prenant, est plus exigeant

Pour payer et les facture, et  les prêts immobiliers,

Plus les frais de garde et  de loisirs  de ses enfants.

.

Quarante ans, bientôt, déjà, cela se fête :

On réunit tout le monde, ça fait presque cent

Un tiers famille, un tiers amis et tiers collègues.

.

Les enfants s’en vont pour leurs études et métiers.

Avec eux, disparaissent, tous leurs réseaux sociaux ;

Ne reste que  la famille proche, quelques vieux amis.

.

Soixante-deux ou trois : sonne l’heure de la retraite :

Puis  le réseau  des collègues  de  travail …  s’évanouit,

Ne restent  qu’associations,  auxquelles    l’on souscrit.

.

Ah non : tant  qu’il reste   les fidèles,   parmi les fidèles,

Et l’on s’inviterait périodiquement   tous les  trois mois,

Plus souvent chez les autres,     et plus rarement chez soi

Mais   tout  cela   sans trop    bien savoir dire pourquoi !

.

C’est, sans doute, afin de ne    pas  se retrouver  tout seul.

Mais cela dit, ce sont aussi   vos anciens  réseaux sociaux,

Qui vous poussent et de manière irrésistible vers la sortie.

.

Extensions

 .

La loi de la quantité ne présume rien quant à sa qualité

Dans le cas où il est question d’échanges interpersonnels

Cent interlocuteurs valent mieux que cent mille suiveurs

Vous me direz que cent est un club fermé de privilégiés,

Tandis que cent mille est de commerce ou de célébrité.

Si on ne peut se passer de réseau social pour exister

Ce dernier peut aussi vous enterrer et à jamais !

.

Les réseaux sont comme une panacée

De lutte contre sa profonde solitude

Et d’amplificateur de la solidarité

Encore faut-il en faire habitude

.

Car un réseau est un organisme

Qui nait et qui vit, mais qui meurt

Si on ne l’entretient, ne le nourrit pas,

Bien qu’il s’en crée toujours de nouveaux.

.

Qui ne fait partie aujourd’hui d’aucun réseau

N’existe pas, n’existe plus, n’existera jamais plus

Hors d’un réseau, pourrait-on dire : point de salut,

Ne serait-ce que comme auditeur, passif au bas mot.

.

Fragments

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Le réseau social est devenu le cinquième pouvoir,

Il est en passe de devenir le quatrième, troisième.

.

Je parle du réseau collectif, non communautaire,

Et encore moins de ses propres réseaux … d’amis

.

Premier but  réseaux sociaux est : communiquer

Et le second, mais non des moindres : influencer.

.

Arrive qu’ils servent à des choses moins éthiques,

Les délinquants ont leur réseau appelé : dark net !

.

En état de cause, ce n’est pas  réseau  responsable,

C’est  toujours  les auteurs, opérateurs : coupables.

.

Comme en tout, il nous faut des  statistiques, juges,

C’est le nombre de clics, de vues qui importe le plus.

.

On nous parle d’information virale comme contagion

Un peu comme la rumeur qui déforme, amplifie tout.

.

Comme langue, mariage, est pire, meilleure des choses

Il existe un téléphone, minitel, journal, internet, roses.

.

Existe un réseau de complotistes, axe du mal maléfique

Auquel on accorde parfois un pouvoir… qu’ils n’ont pas.

.

Réseaux Internet parviendront-il à changer notre Monde

Paris sont ouverts, l’homme reste semblable à lui-même.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme

.

NOMBRE  DE

.

Nouveaux réseaux familiaux,

Amicaux   R  ..……..……   S   et sociaux

Où vivent  É    ….………….…. O  s’empilent

Côté face  S   ……………………..…  C  côté pile

Le long   E  ………..……………..……  I    de la vie

Nombre  A  …….…….…..………….  A  d’enfants

 Adultes   U   ……….….….……..… U   retraités

Où réseaux   X  …………..  X     évoluent

En fonction  …..….…..  des intérêts,

Passions affinités pour contacts.

.

  NOUVEAUX RÉSEAUX

.

Aujourd’hui, quels jeunes n’auraient pas à leur actif,

Réseaux sociaux qu’ils font croitre, et entretiennent,

Copains, copines, de lycée, d’écoles, université

D’un côté branchés hobby, addiction de l’autre.

Et puis, avec le temps, leurs  réseaux  changent :

Les voilà mariés  et qui plus est, devenus parents.

Les  célibataires sont, peu à peu, rayés  de la liste,

Tant ils n’ont pas, du tout, mêmes préoccupations

Ni mêmes contraintes, même rythmes  d’activité.

Les enfants grandissent, et petits, vont  à  l’école,

Se font des amis qui viennent jouer à la maison,

Et l’on invite les parents et le groupe d’enfants,

Forme une communauté, une famille  élargie.

Le travail est en plus, prenant, plus exigeant

Pour payer et les facture, et  les prêts immobiliers,

Plus les frais de garde et  de loisirs  de ses enfants.

.

SOCIAUX

.

Quarante ans, bientôt, déjà, cela se fête :

On réunit tout le monde, ça fait presque cent

Un tiers famille, un tiers amis et tiers collègues.

Les enfants s’en vont pour leurs études et métiers.

Avec eux, disparaissent, tous leurs réseaux sociaux ;

Ne reste que  la famille proche, quelques vieux amis.

Soixante-deux ou trois : sonne l’heure de la retraite :

Puis  le réseau  des collègues  de  travail …  s’évanouit,

Ne restent  qu’associations,  auxquelles    l’on souscrit.

Ah non : tant  qu’il reste   les fidèles,   parmi les fidèles,

Et l’on s’inviterait périodiquement   tous les  trois mois,

Plus souvent chez les autres,     et plus rarement chez soi

Mais   tout  cela   sans trop    bien savoir dire pourquoi !

C’est, sans doute, afin de ne    pas  se retrouver  tout seul.

Mais cela dit, ce sont aussi   vos anciens  réseaux sociaux,

Qui vous poussent et de manière irrésistible vers la sortie.

.

Forme

.

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Évocation

 .

Bouteille en plastique,

 Flacon de médicament

Ou lampe-tempête

Ou réseau social ?

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926 4

.

Histoire de rester bien présent,

Lampe éclairante pour le Monde.

Chacun se crée  et  chacun   nourrit

Réseaux d’amis et de rencontres.

 

Symbolique     

 

La lampe est un symbole

De connaissance et d’intelligence,

Celle qui éclaire le monde des hommes.

Elle abrite le feu fragile et sacré,

Celui qu’il faut préserver.

 

La   lanterne   contient

La lumière individuelle

Qui peut se transmettre.

 

Elle nous guide et guide les autres.

Lors si nous rêvons d’une lanterne,

 

Elle  représentera,  pour  nous

Comme l’intelligence  lumineuse

D’une personne  qu’on dit précise

Et sa pensée, en tout nous éclaire !

Tristan-moir.fr/lanterne

.

.

Fond

.

Évocation 

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926 6

.

Histoire de rester bien présent,

Lampe éclairante pour le Monde.

Chacun se crée  et  chacun   nourrit

Réseaux d’amis et de rencontres.

 .

Symbolique 

 .

Un Français sur deux possède un compte

Sur un réseau social, cela correspond

À peu près à trente millions d’abonnés.

Et ceux-ci passent près de deux heures

Par jour, connectés  au réseau préféré

Ces chiffres démontrent l’importance

De Facebook et Google et de Twitter

En vie quotidienne de concitoyens.

Ils sont devenus  incontournables

Pour de nombreuses entreprises.

Source : dynamique-mag.com

 .

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Fond/forme 

 .

À chacun son réseau, fonction de son âge,

De sa situation, de sa profession, sa passion,

Et quand on veut s’en dispenser ou s’en retirer,

On aura, soudain, l’impression de ne plus exister

Et c’est un peu  comme pour financer  sa retraite

Il faudra capitaliser en même temps que cotiser

Réseau d’amis proches, physiquement parlant,

Autre plus lointain ou plus virtuel, incertain,

Mais les multiplier à l’infini ne sert à rien.

.

La lampe tempête résiste à tout événement

Et elle éclaire encore en cas de panne ou chute

Elle figure  son réseau d’amis, proches, fidèles,

En rapport  libre  et  sans moindre contrainte.

Néanmoins elle ne recouvrira pas tous les cas

Parfois  même, contre vous, vous dépréciera 

Vous isolant dans votre solitude ou retraite.

.

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925 – Il y a ce qu’on dit, et la manière et à qui !

 Textuels et illustrations   >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Il y a  ce que l’on dit,

Et comment et à qui.

Je m’adresse,  à vous,

Et à je ne sais pas qui,

Le fais parfois en vers,

Envers  et contre vous !

.

Je raconte des histoires,

Tantôt blanches,  noires !

Les caractères, primaires,

Adhéreront  ou rejetteront,

Et les caractères secondaires

Temporiseront avant décision.

.

La poésie n’a plus bonne presse,

Vers elle, personne ne s’empresse,

On se contente, souvent, de zapper :

Pas le temps d’approfondir, chercher,

Autre forme d’écriture ou de…pensée.

.

Il y a  les  caractères  primaires,

Qui disent  ce qui traverse l’air

En parlant de torts et de travers,

S’adressant à leurs congénères.

.

Ils parlent avant d’avoir réfléchi,

Lors malgré eux et comme ça peut,

Mais c’est presque oublié, aussitôt dit :

Ne comprenant pas qu’on leur en veut.

.

Il y a les caractères  plus secondaires

  Qui temporisent, mais sans en avoir l’air

Vous feront re-préciser toutes affaires,

Pour ne pas comprendre tout de travers.

.

Et ils réfléchissent avant de formuler

Question, réponse, mal appropriées

Pour ne pas lancer de faux débats,

Où, à la fin, l’on ne s’accordera.

.

Sur ce qui est vrai  ou faux ou pas

Il s’agit, avant tout d’avoir raison :

De négation en déni franchi le pas,

Il n’y a que, solution contestation.

.

Conteste,   contexte, convexations,

Les paroles dépassent les pensées

Ou pensées dépassent les paroles,

Au choix : cela revient  au même.

.

Fin communication, interaction :

La poésie du verbe est  en  berne,

Lors plus rien ne   vous concerne

Qu’assurances de   votre position

Faisant de l’autre,  une négation

Qui ne peut établir une relation

Qui fasse taire toute suspicion.

.

Extensions

.

On change  de musique, changeant

D’instrument,  partitions, auditeurs,

D’acoustique, de durée, d’événements.

On passera  du temps  pour s’adapter à

Des contextes  que l’on dits particuliers,

Notamment  lors de négociations serrées

Où aucune  des deux parties  ne pourra se

Plier  à perdre de la face, plutôt la sauver !

La politique  est l’art  de faire venir  l’autre

Avec son accord  sur  son  terrain, bien plus

Que d’aller piétiner le sien, pour le braquer.

Rhétorique  est  art  de faire passer  la forme

Avant le fond  en donnant  l’impression qu’il

Ne peut en être autrement très convaincant.

La poétique a contrario  est l’art d’évocation

À lire entre ses lignes ses  images, symboles.

Elle aura souvent  deux niveaux  de lecture,

Tout comme pour les contes pour enfants :

Son imaginaire renverra  au réel,  à la fois

Personnel et collectif  et cela du seul fait

Qu’elle reste  peu descriptive,  enfermée

Dans un temps, période… sens donné !

.

Chacun sait que : la manière de dire et aussi importante

Que ce qu’on a à dire, qu’il faudra s’adapter à son interlocuteur

Pour ne pas le mettre en colère, refus d’entendre, s’il n’y a pas lieu.

Manier l’humour ou l’ironie posera de suite, la question du sérieux

Et qui plus est, d’un double sens à décoder et voire à interpréter.

L’on utilisera, parfois, des moyens, indirects, voire détournés,

Tel cet épitaphe sur une tombe en forme de remémoration.

Moi, je vous dis cela en l’écrivant, est-ce le bon moyen :

Qu’importe car l’essentiel est d’arriver à ma fin.

.

Communiquer selon l’art et la manière

C’est ce qu’apprennent les littéraires

Et aujourd’hui, les communicants

Pour leurs politiques, stratégies.

.

Dans un couple,  c’est différent :

Les choses sont dites clairement,

Les choses sont dites calmement,

Et parfois, dites amoureusement.

.

Mais pas toujours : on élève le ton

Et toute parole prend autre raison,

On fait, parfois, procès d’intention,

Là où il n’y a qu’une forte émotion.

.

Fragments

.

En bonne communication

Il y aurait  ce  que  l’on  dit,

Et la manière  dont on le dit,

Et à qui, où, oral, image, écrit,

Avec quel impact répercussion !

.

Faut-il vous le répéter deux fois

Faut-il vous le scander,  chanter,

Faut-il reformuler, réinterpréter,

Faut-il joindre le geste à la parole

S’assurer vous avez bien compris !

.

Si je vous murmure, crie à l’oreille,

Votre entendement ne sera le même

Dans l’un, la proximité reste secrète,

Dans l’autre, tout le monde entendra

Si j’utilise un code gestuel : énigma !

.

Quand on parle de mieux comprendre,

On parle d’utiliser différents éclairages

Quand  on parle  promotion, adhésion,

On souhaite utiliser le meilleur qui soit.

.

On accorderait en communication, leçon,

Autant d’importance à la forme qu’au fond

L’authenticité, le style, voire la présentation,

Font toute la différence entre les prestations

.

À qui, à vous bien sûr et en premier intéressé

Mais vous c’est qui : amateur, contradicteur,

Rien à voir entre public acquis, rétif, casseur,

Qui déjà vous siffle avant d’avoir pris parole.

.

Certains sont plus à l’aise  à l’oral qu’à l’écrit,

On les traite de tribuns, voire de rhéthoriens,

D’autres préfèrent l’image, force de charisme,

Moi mon mode, c’est l’écrit, plus clair je suis.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

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 Calligramme

.

Il y a  ce que l’on dit,

Et comment et à qui.

Je m’adresse,  à vous,

Et à je ne sais pas qui,

Le fais parfois en vers,

Envers  et contre vous !

Je raconte des histoires,

Tantôt blanches,  noires !

Les caractères, primaires,

Adhéreront  ou rejetteront,

Et les caractères secondaires

Temporiseront avant décision.

La poésie n’a plus bonne presse,

Vers elle, personne ne s’empresse,

On se contente, souvent, de zapper :

Pas le temps d’approfondir, chercher,

Autre forme d’écriture ou de…pensée.

IL Y A CE QU’ON DIT

Il y a  les  caractères  primaires,

Qui disent  ce qui traverse    l’air

En parlant de torts et de   L   travers,

S’adressant à leurs       *     congénères.

Ils parlent avant         Y     d’avoir réfléchi,

Lors malgré eux         *     et comme ça peut,

Mais c’est presque     A *    oublié, aussitôt dit :

Ne comprenant pas   *       *     qu’on leur en veut.

Il y a les caractères     C            *      plus secondaires

  Qui temporisent, mais  E              *    sans en avoir l’air

Vous feront re-préciser   *                 *    toutes affaires,

Pour ne pas comprendre Q                *  tout de travers.

Et ils réfléchissent avant  U                 *      de formuler

Question, réponse, mal    ‘                 *     appropriées

Pour ne pas lancer de  O                *    faux débats,

Où, à la fin, l’on ne    N             *     s’accordera.

Sur ce qui est vrai   *         * ou faux ou pas

Il s’agit, avant tout D  * d’avoir raison :

De négation en déni I  franchi le pas,

Il n’y a que, solution T  contestation.

LA MANIÈRE ET À QUI !

Conteste,   contexte,  L   convexations,

Les paroles dépassent A      E  les pensées

Ou pensées dépassent  *             T  les paroles,

Au choix : cela revient  M                 *   au même.

Fin communication,  A                     À   interaction :

La poésie du verbe   N                       *  est  en  berne,

Lors plus rien ne     I                        Q  vous concerne

Qu’assurances de    È                       U  votre position

Faisant de l’autre,   R                      I   une négation

Qui ne peut établir   E                    !   une relation

Qui fasse taire la     *************    suspicion.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Une lampe à pétrole

Avec un petit réservoir

Et un gros verre diffuseur

Pour éclairer une ambiance.

.

925 4

.

Une lampe peut être utilisé normalement

Afin de vous éclairer :

Mais on peut la baisser, ou bien l’élever,

Pour assombrir, aveugler.

 

Symbolique

 

Peut-être

Parce qu’elles

Constituent un

Substitut au soleil,

Ou comme dispositif

D’une mise  en valeur,

Les lampes feront l’objet

D’appropriations symboliques,

De  coutumes  et  de  rituels

En éclairant l’endroit

Et l’envers

Ce qu’on dit reste de l’ordre de la lumière

Et la manière dont on le fait, de sa forme,

Ici une lampe dont l’on modulera la mèche.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

925 6

.

Une lampe peut être utilisé normalement

Afin de vous éclairer :

Mais on peut la baisser, ou bien l’élever,

Pour assombrir, aveugler.

Symbolique 

 .

Intensité                 lumineuse   

 Est valeur                grandeur

Exprimant capacité       à éclairer

Une source  ponctuelle       de     lumière

Et  dans  une direction        étant donnée

Et  en  environnement        plus   obscur,

La vision humaine ne        distingue plus

Les couleurs, la sensi       bilité spectrale

Relative serait déca      lée vers le bleu.

On  parlera  de  vi     sion scotopique,

Entre  domaines     de   luminosité.

On parle de vi    sion mésopique.

Modifié, source : Wikipedia  

.

Fond/forme 

 .

Lampe nous apportant le savoir, l’expérience,

Sans compter la connaissance  et  la conscience

 Nous éclaire dans nos échanges et nos décisions

Et le tout en rime et en rythme, comme il se doit

Mais, la plupart du temps, la lumière est voilée

Par croyances, incertitudes, fausses nouvelles.

.

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924 – Qui pourra changer la face de l’Univers !

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Changer le Monde, vaste programme,

Pour sûr, il change, et malgré nous,

Parfois, plus sage, sinon  plus fou,

Nous  ne  pouvons  rien  du tout,

Y compris, pour notre écologie.

.

Alors planète, système solaire,

Tout ce qu’il y a en l’Univers,

Inutile d’y  penser poussière

Que nous sommes  vivants

Plus   encore, lors   morts.

.

On s’acharne à se détruire,

Et si seuls, en tout l’Univers,

Notre humanité  disparaitrait

Par accélération des pollutions,

Pour  seul égoïsme, hors  raison.

.

Qu’est-ce qui pourrait bien changer

La face  de l’univers.

Rien, j’ai peur : tant que nous sommes

Condamnés à être ce que nous sommes

Simples spectateurs :

On s’agite, on circule, bâtit… transforme

Et dépense  de  l’énergie, matière, forme,

De manière énorme.

.

C’est insuffisant  pour  changer  les cours

Et  les  mouvements

D’un système solaire … sauf, à la brouiller

Dans ses projections,  sauf, à nous brûler,

Sans nos protections

Couche d’ozone, stratosphère … carbone,

Par suite pollutions.

.

Aucun misérable corps ne survit, à mort,

Aucun de nos puissants esprits n’y survit

À raison où à tort,

Et que ferions-nous, d’éternité  en enfer,

Qu’est, en somme,  notre planète  Terre,

Face à cet infini.

.

Qu’est notre horizon offert par l’Univers

Dont nous sommes, à peine, poussière,

Perdu en l’océan

D’étoiles, ornant plafond firmament,

Nous tenant, conscient, sciemment,

D’un égarement.

Non pas, en l’océan  des planètes,

Mais, entre nous, se guerroyant,

En gloire, argent.

.

Notre monde  manque d’âme,

N’est  plus  qu’auto  référent,

A fait son temps,

Qu’on s’autodétruise ou non

Ne changera pas l’Univers,

À l’air inhabité.

.

Extensions 

 .

Spectateurs, ce n’est pas faux

Mais acteurs non plus, du moins

Pour retarder disparition de Planète

Terre ou de l’Humanité …toute entière !

Agissons, n’attendons pas du ciel un miracle

Quand il sera trop tard, nos yeux pour pleurer !

Mais peut-être l’est-il déjà et nous le savons bien

Et nous détournons la tête par excès de confiance

En notre pouvoir pour changer toutes les choses !

.

Personne ne peut changer, à lui seul, la face de l’Univers

Si Dieu ne le fait pas, comment pourrions-nous les faire ?

Qui nous dit qu’il serait mieux à l’envers  qu’étant endroit.

On est en droit de le penser  mais pas au point d’affirmer !

La première chose  est de rester lucide  pour ne pas croire

Aux chants des sirènes nous promettant monde meilleur

 Nous entrainant dans une dérive dangereuse, mafieuse

Le mieux étant, parfois, l’ennemi du bien, méditons,

Gardons pleine conscience de ce que nous faisons.

.

Il y a des génies, conquérants, explorateurs

Qui auront changé  la face de notre Monde,

Sans pour autant changer celle de l’Univers

Galilée, Newton, Einstein, Curie … en sont.

.

La religion l’a tenté mais en se proclamant

D’un Autre Monde,  voire en le promettant,

Elle s’est éloignée du nôtre, l’aura sublimé :

On ne peut faire fi de notre charnelle réalité.

.

Moi, je ne suis qu’un tout petit observateur,

Qui n’a de prise sur rien, le Monde, l’Univers,

Pense que Monde ira  de meilleur en meilleur,

Mais je ne sais s’il faut le dire en prose ou vers !

.

Fragments

.

Changer la face de l’Univers :

Vaste programme,

Le Climat changerait notre face :

Ce serait grand drame,

Si on ne fait rien, on va dans le mur :

C’est ce qu’on murmure,

Alors qu’il faudrait le crier haut et fort :

Pour qu’il soit moins dur.

.

Femmes, chez le coiffeur, hommes, au café,

Refont le Monde tous les jours,

Coup de baguette magique, table rase du passé

Il suffit, y a qu’a, faut qu’on, toujours

Mais tout changement comporte une face cachée

Qu’il leur faudrait apprendre à anticiper

Rien n’est simple, automatique, tout est compliqué

La réalité multiple requiert histoire crédible.

.

Tandis que certains politiques peignent le Monde

D’autres : lobbyistes, associatifs, ou cercles savants,

Le dépeignent pour qu’il se rapproche de leur intéret

Et ainsi va le monde : peigne et visage, à deux faces !

.

Qu’on fasse des choses constructive sou destructives

Le Monde changerait, et même si on ne faisait rien,

Gouverner le Monde,  c’est bien  prévoir ses avenirs,

Ce qu’on veut qu’il advienne sans savoir ce qu’il est.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Changer   *   le Monde, vaste pro  *  gramme,

Pour sûr  C  il change, et mal    D   gré nous,

Parfois   H   plus sage, sinon  E  plus fou,

Nous     A   ne pouvons rien  *   du tout,

Y com  N  pris, pour notre  L  écologie

Alors  G  planète, système ‘    solaire,

Tout   E  ce qu’il y a en l’ U  Univers,

Inuti  R   le d’y  penser   N poussière

Que   *    nous sommes  I      vivants

Plus  F     encore lors    V      morts.

On    A  s’acharne à se  E   détruire

Et si  C seuls, en tout l’ R   Univers,

Notre E  humanité dis   S  paraitrait

Par accé   *   lération des ?  pollutions,

Pour  seul   *   égoïsme    *   hors  raison.

.

********************************

*********************************

.

Qu’est-ce qui pourrait bien changer

La face  de l’univers.

Rien, j’ai peur : tant que nous sommes

Condamnés à être ce que nous sommes

Simples spectateurs.

On s’agite, on circule, bâtit… transforme

Et dépense  de  l’énergie, matière, forme,

De manière énorme

C’est insuffisant  pour  changer  les cours

Et  les  mouvements

D’un système solaire … sauf, à la brouiller

Dans ses projections,  sauf, à nous brûler,

Sans nos protections

Couche d’ozone, stratosphère … carbone,

Par suite pollutions.

Aucun misérable corps ne survit, à mort,

Aucun de nos puissants esprits n’y survit

À raison où à tort,

Et que ferions-nous, d’éternité  en enfer,

Qu’est, en somme,  notre planète  Terre,

Face à cet infini

Qu’est notre horizon offert par l’Univers

Dont nous sommes, à peine, poussière,

Perdu en l’océan

D’étoiles, ornant plafond firmament,

Nous tenant, conscient, sciemment,

D’un égarement.

Non pas, en l’océan  des planètes,

Mais, entre nous, se guerroyant,

En gloire, argent

Notre monde  manque d’âme,

N’est  plus  qu’auto  référent,

A fait son temps.

Qu’on s’autodétruise ou non

Ne changera pas l’Univers,

À l’air inhabité.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase étroit,

Un flacon de parfum,

  Brosse double à cheveux, 

Côté gros, ou fin ou facial ?

.

924 4

.

Brosse avec une face blanche et face noire,

Tout comme la Lune :

Le visage blanc élimine les cheveux morts,

Lors le noire, les garde.

 

Symbolique

 

La   brosse   est    ||||||| style de coiffure

   |||||||

   Simple consistant à    |||||||  dresser les   cheveux

   |||||||

Verticalement  sur   la    |||||||  tête pour les peigner.

   |||||||

Cette  coiffure  nécessite   |||||||  ra  des cheveux   lisses,

   |||||||

Et  un  minimum de   lon   ||||||| gueur au moins 1,5 cm.

   |||||||

Coupe peut être réalisée à    |||||||  l’aide  d’un  gel  coiffant,

   |||||||

D’un séchoir, ou en les coif    |||||||   fant en arrière plusieurs

    |||||||

 Fois     lorsqu’ils     |||||||     sont mouillés.

Modifié, source: Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

924 6

.

Brosse avec une face blanche et face noire,

Tout comme la Lune :

Le visage blanc élimine les cheveux morts l

Lors le noire, les garde.

 .

Symbolique 

.

Le visage est un dévoilement incomplet

Passager de la personne, comme  dévoilement,

Jamais personne n’a vu directement propre visage

Sauf  dans un bon miroir, il ne sera donc pas pour soi,

Il sera  plutôt  pour  l’autre. La  partie  la  plus  vivante

La plus sensible, cinq sens qu’on présente aux autres.

Notre moi intime, partiellement dénudé,

Plus révélateur que l reste du corps.

Pour bien comprendre un visage,

De la patience, de la lenteur,

Du respect, et de l’amour.

Ce serait  avilir  un visage

Que l’analyser sans l’aimer.

Car si le visage n’exprime plus

Aucune  de  ses  vies  intérieures,

Il n’est plus qu’un masque élastique.

 .

.

Fond/forme

.

On referait le Monde,       au café, pour les hommes,

On le commente chez         la coiffeuse par les femmes

Tous seront à peu près        d’accord sur le diagnostic

Certains   proposeront          des   remèdes   efficaces.

Mais personne n’osera           les appliquer  par peur

Être  jugé  responsable         de la perte économique

L’argent     existerait          pour changer le Monde

On  préfèrera  tuer         «la poule aux œufs d’or»

Tant  les  riches en         sont  affamés,  assoiffés.

Une brosse double     ne change rien à Univers

Et même si elle      passait tout au peigne fin

Son côté con       traint est son espacement

Son côté       libre, son déplacement

N’épouse   rien    du fond

Que  des    cheveux.

.

 Textuels et illustrations  >> 

923 – Gens qui se fréquentent, se ressemblent

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Qui se ressemblent, s’assemblent.

Rien de plus  normal social, banal,

Il en est de même en règne animal,

Cela  convient  à chacun, il  semble.

Mais, dans le monde  des humains,

C’est pas la ressemblance physique

Qui  prime, plutôt  sociale, morale,

Si ce n’est culturelle  ou  sportive,

Sans parler de quelques métiers

Avocats, médecins,  voire profs.

Certains  iront  même  jusqu’à

Se marier entre eux c’est dire

Et reproduire leurs modèles

Sur plusieurs générations.

.

Dingue, non !

Un original,

Par définition,

Demeurerait seul.

Les gens se fréquentent

Et se retrouvent entre eux.

.

Ceci est la loi du genre.

Attraction du semblable l’emporte

Sur l’attraction du différent,

Ce qui ne veut pas dire indifférence,

Intolérance aux différences,

Mais simplement  * mises à distance,

En sphère privée, affective.

.

Parfois cela tient de la caricature :

Mêmes professions et mêmes âges,

Mêmes éducations données aux enfants,

Mêmes milieux d’origine, d’appartenance,

Mêmes niveaux de vie, de centres d’intérêts,

Quand ce n’est pas, mêmes lieux, de vacances.

Où photographie instantanée répond en miroir

À  la dynamique temporelle des jeunes enfants

Révoltés contre leurs parents et la société

Et qui, chemin faisant (mariage etc.)

Deviennent des forçats du travail,

Avancement  conservatisme.

Comment  idéal  de justice

D’égalité  et de solidarité

Pourrait-il  se retrouver,

Dans  structure, familiale,

Socialisante, entreprenante,

Gommant  liberté de pensées.

On   comprend,   naturellement,

Que  gens  fonctionnant, en  miroir,

Soient plus nombreux car plus sécurisés.

.

Demeurer dans l’originalité… constitue une

Équation personnelle de privations de reflets,

Avec les dangers cela comporte : d’être ignoré !

.

Extensions

 .

Se ressembler physiquement, moralement, culturellement,

Lors ce n’est pas les trois à la fois comme jumeaux, jumelles

On est bien  les  mêmes, l’on pense, l’on parle, l’on vit pareil !

Pareil bien que différent  quand même, sauf  sur l’essentiel !

Nos ententes font que nos complémentarités s’assemblent.

 .

Les gens qui se ressemblent se fréquentent,

Ou les gens qui se fréquentent se rassemblent

Remarquez la nuance et appréciez la différence

Entre ces deux énoncés, d’apparence identiques.

.

Mais se ressembler en tout appauvrira le dialogue.

Les jumeaux et jumelles cherchent à se différencier,

Ils se sentent trop semblables, donc interchangeables

Au point d’avoir des problèmes sociaux et d’identités.

.

Fragments

 .

Qui se ressemblent, se rassemblent

Qui se rassemblent, se fréquentent

Qui se fréquentent, vont ensemble

Qui vont ensemble, ne tremblent.

.

C’est ainsi … l’union fait la force :

Seul, on n’aura aucune influence,

Politique est basée sur alliances,

Le pire est quand elles divorcent.

.

Il y a des mariages de circonstance

Et d’autres, carrément antagonistes

L’on ne pourra se ressembler en tout

Concession n’est pas compromission.

.

Les personnes se ressemblant le plus,

Sont, bien sûr, les jumeaux de corps

Puis les frères et sœurs d’esprit,

Pour finir, les âmes-sœurs.

.

Les lampes feront divers éclairages

Lumières  du jour, chaudes, froides :

Il y en a des variables ou multicolores,

Et même, parait-il, de la lumière noire.

.

Quoiqu’il en soit quoiqu’il en fût, ou sera

Ressemblances physiques ne suffiront pas

À susciter la proximité de comportements,

On se ressemble en gardant ses différences.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Qui se ressemblent   Q s’assemblent.

Rien de plus  normal U  social, banal,

Il en est de même  I   en règne animal,

Cela  convient    *  à chacun, il semble.

Mais, dans  S   le monde des humains

C’est pas    E ressemblance physique

Qui prime,  *  mais sociale, morale,

Si ce n’est   R  culturelle, sportive,

Sans parler  E  quelques métiers

Avocats, mé  S  decins et profs.

Et certains   S  iront jusqu’à

Se marier   E   entre eux

Reproduire M modèle

Sur généra  B  tions.

Dingue     L   non !

Un ori   E    ginal,

Par dé  N  finition,

Demeu T rerait seul.

Les gens se fréquentent

Et se retrouvent entre eux.

Ceci est la loi du genre.

Attraction du semblable l’emporte

Sur l’attraction du différent,

Ce qui ne veut pas dire  S  indifférence,

Intolérance aux  E  différences,

Mais simplement  * mises à distance,

En sphère  R  privée, affective.

Parfois cela  A   tient de la caricature :

Mêmes   S   professions et mêmes âges,

Mêmes   S   éducations données aux enfants,

Mêmes   E      milieux d’origine, d’appartenance,

Mêmes   M       niveaux de vie, de centres d’intérêts,

Quand     B    ce n’est pas, mêmes lieux, de vacances.

Cette pho  L tographie instantanée répond en miroir

A  la dyna  E    mique temporelle des jeunes enfants

Révoltés  N     contre leurs parents et la société

Et qui,    T  chemin faisant (mariage etc.)

Deviennent   *  des forçats du travail,

Avancement   conservatisme.

Comment  idéal    de justice

D’égalité  et  de  solidarité

Pourrait-il    se  retrouver,

Dans  structure,   familiale,

Socialisante, entreprenante,

Gommant  liberté de pensées.

On   comprend,   naturellement,

Que  gens  fonctionnant, en  miroir,

Soient plus nombreux car plus sécurisés.

Demeurer dans l’originalité… constitue une

Équation personnelle de privations de reflets,

Avec les dangers cela comporte : d’être ignoré !

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Une lampe à pétrole, avec un verre

Comme  un verre à boire  au-dessus,

Tant leurs deux formes  et  matières,

Se ressemblent au plus haut point !

.

923 4

.

 

Toutes  les  lampes  à  pétroles

Se ressemblent, plus ou moins,

Il est pourtant rare… d’entrevoir

Plus de deux ou trois, ensemble.

 

Symbolique   

 

Lumière est le symbole

De la connaissance,

On apprend, de jour en jour,

À mieux se connaître,

L’on évolue   grâce

Aux informations.

 

Si la lampe est éteinte,

Tensions du moment en sa vie familiale,

Professionnelle, vie de couple,

Ces  tensions  fatiguent  psychologiquement

Font ressortir colère ou tristesse.

 

Rappelons-nous  que     si

Nous ne pouvons changer

Ceux  qui nous  entourent

Ou voire nous manipulent,

Nous pouvons changer réactions par rapport à eux.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles-de-reve/lampe

 

.

Fond

.

Évocation 

.

923 6

.

Toutes  les  lampes  à  pétroles

Se ressemblent, plus ou moins,

Il est pourtant rare… d’entrevoir

Plus de deux ou trois, ensemble.

Symbolique 

Rapport entre       différents objets

Présentant des      éléments identiques

Suffisamment     nombreux et apparents.

Et ce jusqu’à la      ressemblance parfaite.

 

Fait, pour une per         sonne, de présenter

Des traits physiques         communs avec

D’autres personnes,        surtout visage.

 

La ressemblance         de deux jumeaux.

Rapport entre la        chose et son modèle,

Tel que la chose       donne l’image du modèle.

Ressemblance      d’un portrait avec son modèle.

 .

.

Fond/forme 

 .

Comment un être humain peut ressembler

À un animal et y compris à son tempérament

C’est là un rapprochement des plus osé de dire

Tel chien, tel maitre et pourtant on le constate.

.

Mais si vous observer les chiens dans un parc

Vous verrez qui se ressemblent, s’assemblent,

Chacun sait les chiens ne font pas des chats

Aussi les riches s’assembleront entre eux,

Les handicapés, les désocialisés, égarés

Feront de même et par associations.

.

Se ressembler, se rassembler : un caractère diffère

Mais il ne s’agit pas, ici, de ressemblances physiques

Disons plutôt psychologiques, sociales et culturelles.

.

Il existe comme une sorte de  tropisme, d’attirance,

Comme ci ressemble, rassemble rimaient ensemble

Librement, sans la moindre contrainte, par choix

Mais une lampe de dira jamais rien sur le fond.  

.

Textuels et illustrations  >> 

922 – Mille milliards de gestes tant que paroles

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

 

Poème

.

Si l’on superpose les conversations

Produites en  simultané en monde entier

On obtient un brouhaha de communication,

Qui nous laissera perplexe, sur leurs intentions.

.

Aucun animal supérieur ne communique…autant

Ni par nécessités, ni par plaisirs, ni par obligations

Autant pour s’aimer, pour  commercer, pour se haïr

En y réfléchissant, il  y a  de quoi ; s’étonner, frémir.

.

Les sujets sont très divers, fonction de statuts, états

Célibataires parlent conquêtes ; parents, d’enfants,

Certains parlent, de politique, d’argent, voire foot,

Certains parlent de tout/rien, l’air de s’en foutre.

.

Mille milliards de gestes et de paroles d’amour,

De tendresse par cycle de temps, sur la Terre

Autant de gestes paroles de haine détresse.

L’on soutiendra, après cela, qu’émotion,

Sensation, affection compte pour peu

En comportement, jugé rationnel

Ou jugé pulsionnel, d’humains.

.

Permettez-moi que je m’étonne,

Mais les animaux dits supérieurs,

Sont très loin    d’être aussi prolixes

Dans un sens,     comme dans l’autre,

Se contentant   de réguler au mieux

Et, rapidement,   leurs  différents,

Par les intermédiaires  des lois

De soumission /domination

Au sein de leur territoire,

De leurs communautés.

.

L’homme est l’animal,

Dit le plus intelligent

Bien plus  complexe

Que tous les autres,

Et, au sommet de la

Hiérarchie biologique

Qui aime beaucoup séduire

Être séduit  être  aimé, aimer

Toujours et jusqu’à fin souffle.

.

Dans les mille milliards, il y a, sûr,

Clivages, contradictions, différences,

Entre ceux que ne séduisent personne

Et ceux qui veulent rester  célibataires

Ceux qui se marient,  font des enfants,

Ceux qui s’occupent   d’enfants autres,

Tant qu’ils ne  veulent, peuvent avoir.

.

Entre désir et déchire, y a trois lettres

Juste  une  prononciation  différente,

Entre être/ avoir,  il n’y aura ni lettre

Ni aucune prononciation commune.

.

Extensions 

.

Même n’étant pas atteint de surdité, les mains parlent

À l’aide d’une sorte de code, plus  ou moins  universel,

Lors certains gestes sont, non perceptibles ou à peine,

S’ils n’auront pas pour nous, de significations précises

Seront interprétés comme du bruit corporel et virtuel.

Idem,  pour paroles, les accompagnant, les soulignant,

Surtout si elles ne sont pas raccords, restent ambiguës.

Joindre le geste  à la parole, supposera  d’être cohérent,

Sinon votre interlocuteur sentira vite que l’on lui ment.

.

Parmi les mille milliards de gestes et de paroles,

Combien se ressemblent, combien sont différents

Combien sont efficaces et combien sont des vents

Qui occupent les canaux sans dire pour quel rôle.

.

Dans un tel brouhaha de bruits et gesticulations,

Il y a des paroles poétiques, des paroles sublimes

Et des gestes authentiques, salutaires, d’estimes,

Et le reste n’est que commerce ou manipulation.

.

Fragments

.

Mille milliards de gestes et paroles ;

Vous pensez que cela ferait de trop,

Mais si nous sommes sept milliards

Et si faisons mille paroles par heure,

Douze heures/jour, ce ferait énorme.

.

Dieu merci il y en a qui ne parlent pas

Tandis que d’autres parlent pour deux

Il reste que somme est astronomique,

Qu’elle me laisse pantois interrogatif.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Si l’on superpose les conversations

Produites en  simultané en monde entier

On obtient un brouhaha de communication,

Qui nous laissera perplexe, sur leurs intentions.

Aucun animal supérieur ne communique…autant

Ni par nécessités, ni par plaisirs, ni par obligations

Autant pour s’aimer, pour  commercer, pour se haïr

En y réfléchissant, il  y a  de quoi ; s’étonner, frémir.

Les sujets sont très divers, fonction de statuts, états

Célibataires parlent conquêtes ; parents, d’enfants,

Certains parlent, de politique, d’argent, voire foot,

Certains parlent de tout/rien, l’air de s’en foutre.

Mille milliards de gestes et de paroles d’amour,

De tendresse par cycle de temps, sur la Terre

Autant de gestes paroles de haine détresse.

L’on soutiendra, après cela, qu’émotion,

Sensation, affection compte pour peu

En comportement, jugé rationnel

Ou jugé pulsionnel, d’humains.

Permettez-moi que je m’étonne,

Mais les animaux dits supérieurs,

Sont très loin    d’être aussi prolixes

Dans un sens,     comme dans l’autre,

Se contentant   de réguler au mieux

Et, rapidement,   leurs  différents,

Par les intermédiaires  des lois

De soumission /domination

Au sein de leur territoire,

De leurs communautés,

L’homme est l’animal,

Dit le plus intelligent

Bien plus  complexe

Que tous les autres,

Et, au sommet de la

Hiérarchie biologique

Qui aime beaucoup séduire

Être séduit    M     *   S   aimé, aimer

Toujours,    I       jusqu’à      E  fin souffle.

Dans ces  L       mille milliards   L    il y a, sûr,

Clivages,  L         contradictions         O différences,

Entre ceux I            que ne séduisent       R    personne,

Et ceux qui  A              veulent rester          A   célibataires

Ceux qui se   R              marient, font         P     des enfants,

Ceux qui s’     D               occupent d’        * enfants autres,

Tant qu’ils ne  S              veulent,          S  peuvent avoir.

Entre désir et   *           déchire     E  y a trois lettres

Prononciation     G                   T     différemment.

Entre être/ avoir    E     S      il n’y a ni lettre

Ni aucune prononciation commune.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Ça peut  ressembler  à n’importe quoi

Peut-être une vieille lampe à pétrole,

Fournissant  quelques  lumières  à  même

De nous éclairer de son langage propre !

.

922 4

.

Si l’on n’aura plus de lampe à pétrole,

 L’on a aura des idées :

Qu’en est-il de l’inverse quant aux gestes

Et langages en l’air !

La parole et le geste se rapprochent de la lumière

Censée éclairer un état, une situation, donnée.

 

Symbolique    

 

La lampe est un symbole

De connaissance et d’intelligence,

Celle qui éclaire le monde des hommes.

Elle abrite le feu fragile et sacré,

 

Celui qu’il faut préserver,

La   lanterne   contient

La lumière individuelle

Qui peut se transmettre.

 

Elle nous guide et peut guider les autres.

Si nous rêvons d’une lanterne, elle représente

L’intelligence lumineuse d’une personne précise

Tant sa pensée, et très souvent, nous éclaire.

tristan-moir.fr/lanterne

.

.

Fond

.

Évocation 

.

922 6

.

Si l’on n’aura plus de lampe à pétrole,

 L’on a aura des idées :

Qu’en est-il de l’inverse quant aux gestes

Et langages en l’air !

 .

Symbolique 

.

Si nous voulons                 rééquilibrer

Notre propre        vision     du monde,

Il nous faut      prendre     conscience,

De  ce qui,      dans notre     langage,

Se fonde sur    toute la     symbolique,

Déformant      la réalité        objective,

En la      chargeant       de valeurs que

Nous     n’avalisons        peut-être pas

En ayant     la cons        cience  claire.

Dans         le domaine         de l’espace,

On pourra     exami           ner termes,

Tels que     «gauche»              «droite»

«Surface»                          «profondeur»

books.openedition.org/pur/32304?lang=fr

 .

.

Fond/forme 

.

Le langage est à la fois la dénomination

D’un objet, lieu, temps, personne, etc.

Et fonction symbolique évocatrice

D’un autre sens que premier.

.

Il dépasse mot, geste, expression,

Que ce soit de la raison ou d’émotion

Il associe même une part d’inconscient

Et qui nous échappe dans toute relation

Il navigue entre la surface et profondeur

En gérant une certaine cohérence logique.

.

 Alors  qu’une  lampe éclairerait une parole

Le soleil en illuminerait des …  milliards !

Alors que lampe de chevet  évoque secret

Le soleil est libre d’éclairer toutes vérités

 Chaque langage reste une lumière pour

Celui qui la reçoit, comprend, aime :

Forme évoque et modifie le fond !

.

Textuels et illustrations  >>  

921 – Il y a celui qui n’entend pas, n’écoute pas

 Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Toute surdité comporte

Plusieurs états ou degrés,

Déjà physique ou mentale,

Volontaire  ou involontaire,

Interférant avec la question,

Par   l’énoncé  de  la réponse,

Obstruction   environnement.

.

Il y a aussi l’écoute intérieure

Avec l’empathie, qui compatit,

Puis y a l’écoute thérapeutique

Vous renvoyant problématique

Y a celui  qui vous  entend, oui,

Mais, qui ne prendra pas parti,

Y aura celui qui vous contredit.

.

Entendre ne suffit pas aura dit

Celui qui s’y entend, fort bien:

Alors écoute-moi, ne te plaint.

.

Il y a celui qui … n’entend pas,

N’écoute, volontairement  pas,

Qui se retranche   en lui-même

Se coupe  en tout,  monde réel.

.

Il y a celui qui est un peu sourd,

Et qui tend l’oreille, tout le jour,

Trop fatigué, le soir, il s’enferme,

En un mutisme qui le débranche.

.

Il y a celui qui entend en comaté,

Mais ne peut répondre ni bouger,

Il est de son corps, un prisonnier,

Et il ne peut plus…s’en échapper.

.

Il y a celui qui verse une …  larme

Comme pour sonner…une alarme,

Lors on lui parle de le   débrancher

Alors qu’il vit à l’intérieur, et, cloué.

.

Il y a celui qui bat de l’œil, d’un côté,

Et, qui communique, avec l’alphabet,

Toute émotion de son drame humain,

Sachant, il ne s’en sortira jamais bien.

.

Quand esprit, avec le corps, ne meurt,

La mémoire, l’imaginaire, demeurent

Actifs en produisant, sons, sensations,

Comme un scaphandre pour papillon.

.

Handicapés sont des humains vivants

Qui ont un cœur et un esprit vaillants,

Mais dont la mécanique  répond… mal

Et leur rend leur vie sociale infernale.

.

Percevoir, entendre…écouter : réalités

Différentes, dans les faits et intentions.

Tu entends, ne pense pas, à m’écouter,

Est-ce négation, fausse interprétation !

.

Extensions

 .

 «J’entends bien », disent ceux qui vous ont compris

«Mais je ne suis pas, pour autant, d’accord avec vous. »

Il s’agit bien là, d’entendement, pour autant pas d’écoute.

«Écoute… je t’ai entendu » disent ceux qui ont accepté

De passer du temps à essayer de vous comprendre,

«Cela ne change pas mon opinion pour autant. »

Il ne s’agit plus là d’écoute, de compréhension,

Mais d’acceptation du point de vue de l’autre :

Ce qu’il dit ne nous concerne, n’influence pas.

.

On entendrait que ce que l’on écoute,

 On écoute que ce qu’on veut entendre,

Surdité mentale est surdité physique,

Et on entend quelqu’un parler au loin

De vous alors même qu’on vous parle.

Y a pas à dire, avec oreilles, ouvertes,

On se fermera à tout bruit et paroles.

.

Entendre et s’entendre ont des sens différents.

Entendre, c’est l’oreille, s’entendre, le cerveau !

On sait que  plus on est proche, plus  on entend,

Mais aussi  que l’on s’entend  et  de plus en plus.

.

Écouter porte plutôt sur l’attention et le contenu :

Inversion entre je t’écoute mais je ne t’entend pas,

Je t’entends mais je n’écoute pas : occupé ailleurs.

Entendons-nous bien, et ne mélangeons pas tout.

.

Entendre, écouter, comprendre, voire conseiller

Sont parmi prérogatives des oreilles attentives

Et il arrive, parfois, qu’on cherche une écoute,

Sans avoir besoin de réponse, juste présence.

.

Fragments

.

Entendre, c’était une capacité physique

Liée au fonctionnement de l’oreille

Écouter, est une capacité dite cognitive,

Liée au fonctionnement du cerveau,

.

Et pour bien entendre, il faut chercher

À bien percevoir le ou les sons,

Et pour bien  écouter,  il faut chercher,

À comprendre le sens des mots.

.

Si je n’entends pas et si je n’écoute pas :

C’est que ça ne m’intéresse pas

À moins qu’en s’étant préparé à écouter

Le signal soit incompréhensible.

.

Je peux marcher, conduire sur une route

Sans porter attention autour,

Ou demeurer concentré sur quelque chose

En maintenant attention flottante.

.

Entendre est passif, on ne ferme ses oreilles

Elles seront toujours disponibles

Écouter est actif, demandera de l’attention

On peut être distrait un moment.

.

Prêtez-moi une oreille attentive, j’ai à dire,

Car je ne le répéterai pas deux fois

Cette précaution oratoire est, parfois, utile

On peut rater un début de phrase

.

Vous m’avez entendu, vous m’avez compris

Est une invitation à poser question

Après quoi, vous ne pourrez vous défausser

Prétendant que ce n’était pas clair.

.

– J’ai compris qu’il n’y avait rien à comprendre

– parce que vous m’avez mal écouté

– ce n’est pas vrai, j’étais toute ouïe, toute oreille

– en ce cas, je vais vous reformuler.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Toute surdité comporte

….. Plusieurs états ou degrés,

……… Déjà physique ou mentale,

…………Volontaire ou involontaire,

…………….. Interférant avec la question,

………………. Par  l’énoncé  de la réponse,

………………….. Obstruction    environnement

…………………… Il y a aussi l’écoute intérieure

………………………. Avec l’empathie, qui compatit,

………………………… Puis y a l’écoute thérapeutique

…………………………… Vous renvoyant problématique

……………………………. Y a celui  qui vous entend, oui,

…………………………….  Mais, qui ne prendra pas parti,

……………………………… Y aura celui qui vous contredit.

                                     CELUI QUI N’ENTEND PAS 

…………………………….… Entendre ne suffit pas aura dit

……………………………… Celui qui s’y entend, fort bien:

……………………………….. Alors écoute-moi, ne te plaint.

.

…………………………….. Il y a celui qui…n’entend pas,

……………………….……. N’écoute, volontairement pas,

…………………………… Qui se retranche en lui-même

………………………….. Se coupe en tout, monde réel.

.

………………………… Il y a celui qui est un peu sourd,

……………………… Et qui tend l’oreille, tout le jour,

……………………. Trop fatigué, le soir, il s’enferme,

………………….. En un mutisme qui le débranche.

.

………………… Il y a celui qui entend en comaté,

……………..… Mais ne peut répondre ni bouger,

……………….. Il est de son corps, un prisonnier,

………………… Et il ne peut plus…s’en échapper.

.

………………….. Il y a celui qui verse une …  larme

………………….… Comme pour sonner…une alarme,

…………………….. Lors on lui parle de le   débrancher

……………………… Alors qu’il vit à l’intérieur, et, cloué.

                      NE VOUS ÉCOUTE PAS

…………………….. Il y a celui qui bat de l’œil, d’un côté,

…………………….. Et, qui communique, avec l’alphabet,

……………………. Toute émotion de son drame humain,

…………………… Sachant, il ne s’en sortira jamais bien.

.

………………… Quand esprit, avec le corps, ne meurt,

……………… La mémoire, l’imaginaire, demeurent

…………….. Actifs en produisant, sons, sensations,

……………. Comme un scaphandre pour papillon.

.

………….. Handicapés sont des humains vivants

…………… Qui ont un cœur et un esprit vaillants,

……………. Mais dont la mécanique répond…mal

……………… Et leur rend leur vie sociale infernale.

.

………………… Percevoir, entendre…écouter : réalités

………………….. Différentes, dans les faits et intentions.

……………………Tu entends, ne pense pas, à m’écouter,

…………………….. Est-ce négation, fausse interprétation !

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Cela ressemble à un bâton courbé

Tout autant qu’à une route

Ou une branche d’arbre…

Prêtant attention.

.

921 4

.

Longer une route, seul, et sans prêter

 Attention à personne,

Ne peut favoriser aucune rencontre,

Ni aucune communication.

Symbolique    

 

Que ce soit par     la médiation

Des arts plastiques,     la littérature,

La poésie, la musique,      la mythologie,

Et  voire  la    philosophie      des  sciences,

Nombre de représentations       de routes,

De chemins et cheminements        abondent.

Cette longue marche de tout           humain

Vers l’inconditionnel peut se         décrypter

Derrière toute  expérience          spirituelle,

Que  celle-ci  soit  d’ordre           esthétique,

Philosophique, gnostique       ou mystique.

Le symbole du chemin           constitue donc

L’un des éléments de         l’image archétype

Qu’’être  humain  se           forme de lui-même,

Révélant réellement            l’essence    humaine

Comme  étant un                «être-en-recherche».

universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

.

Fond

.

Évocation

.

 921 6

.

Longer une route, seul, et sans prêter

 Attention à personne,

Ne peut favoriser aucune rencontre,

Ni aucune communication.

 .

Symbolique 

 .

Pour se faire apprécier

      De toutes les personnes,

          Il faudra être  attentif.

               Tant  tout le monde  aime

                    Avoir une oreille attentive.

 

                       Si vous savez  être  à l’écoute

                         De vos amis : vous êtes certain

                             De jouir d’une grande popularité.

 

                        Pour ce faire … vous devrez prêter

                       Une oreille attentive à leurs propos

                   Et leur poser nombre de  questions.

             Sachez donner l’impression que ce

     Qu’ils vous disent vous intéresse.

 .

.

Fond/forme 

 .

Prêtez-moi une oreille attentive,

Car ce que je vais sous demandez

Mérite le maximum d’attention

Car ne venez pas me dire après,

Que vous m’aurez mal entendu,

Tant voilà une consigne claire,

Qui n’objecte aucun contraire

On sera là  en subordination,

Et non pas en conversation.

.

La route semble plutôt droite et directe

Attention aux deux routes qui bifurquent

Elles vous apportent contraintes vigilance 

Vous serez libérés après les avoir passés

Comme en un face à face ou certains

Entendent bien un bruit de moteur

Mais n’écoutent pas la prudence.

.

 Textuels et illustrations  >>  

920 – Gens faits pour se rencontrer, ne le font

 Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

.

Comment se fait-il que des gens

Qui sont, le monde l e prétend,

Tous faits pour  se rencontrer,

Ne le font systématiquement !

Ignorance, pudeur, ou mystère

Car bien plus encore, rencontre,

Entre gens qui ne sont faits pour

Et qui le font que même  ça dure.

.

Agences  de  rencontres cherchent

À rapprocher caractères semblables,

Ne prédisent contraires compatibles,

Or, tout amour  naitrait  de rencontre.

Dès lors autre deviendra indispensable,

On se préoccupera plus voir être aimable

On la pratique, aveugle on attend de voir,

Si c’est homme d’une vie voire d’un soir.

.

Mais comment se fait-il que : des gens

Faits pour se rencontrer ne le font pas

Que des gens que tout sépare le font

Que cela dure longtemps, en plus,

Est-ce vrai mystère, ou pas !

Une démarche rationalisée

Et telle que  celle proposée

Par agences de rencontres,

Gens cherchent  davantage

Assurance tranquillité de vie

Plus qu’un coup … de foudre.

 .

Tout amour nait d’une rencontre,

Qui sera capitale, la première fois,

Tout à fait, banale, insignifiante,

Ce ne sera peut-être  qu’au bout

D’un certain nombre  de fois

Que lien se ferait réellement.

Un détail particulier l’emporte

Souvent sur ensemble apparence,

Ce n’est pas tant que  l’ensemble

N’a pas d’importance loin de là,

Il est nécessaire,  non suffisant

Nécessaire… pour éliminer,

Mais insuffisant pour élire.

.

Il n’est pas nécessaire d’être

Amoureux pour faire l’amour

Pas suffisant de   faire  l’amour,

Pour tomber  comme  amoureux.

Et au final, si l’un y va,  l’autre, pas,

Que de débuts prometteurs divergent.

L’on devient, et l’on se sent amoureux

Quand existence de l’autre prend une

Telle importance  que l’on ne se voit

Vivre sans lui,  sans sa proximité,

Sans un projet commun de vie.

.

Extensions

.

On ne pardonne rien à celui que l’on n’aime pas

Tout à celui qu’on aime jusque limite à ne franchir,

Déclenchant le dégoût. Il y a autant de violence et

D’indifférence en couple que caresse, tendresse.

Amour n’est pas qu’émotion, état, permanent,

Mais un sentiment soumis aux lois du désir !

Ce n’est pas l’acte qu’il faut regarder, mais

La trajectoire ou on se trouve en la posture

L’état mental de l’idiot qui regarde le doigt

Et non la direction indiquée par ce dernier.

Signaux forts et signaux faibles sont d’égale

Importance, signaux faibles sont mal contrôlés

Par conscience, moins hypocrites, menteurs, calculés.

Le plus difficile n’est pas de rencontrer ni de faire l’amour

Ni de s’aimer mais de faire un choix qui élimine les autres

Sans impression de perte de liberté, de temps, opportunité.

Les gens qui sortiront avec plusieurs personnes à la fois

Finissent souvent par n’en choisir aucune car elles

Demeurent en compétition et ils n’ont pas

Le temps de n’approfondir aucune.

.

Les gens faits pour se rencontrer,

Ne le feront pas obligatoirement.

Il suffit  d’être déjà pris, ailleurs,

Suffit de moment de distraction,

Suffit de ne pas en avoir … ’envie

Mais parfois,  antennes ouvertes,

Ça marche,  ça colle,  c’est gagné,

Jusqu’à une prochaine déception,

Faits pour se rencontrer, séparés !

.

Les parents, les amis, et les relations

Auront facilement tendance à l’union,

Des personnes célibataires entre elles :

Je verrais bien un tel …  avec une telle !

.

Et voilà que, par hasard ou arrangement

Il et elle, se sont rencontrés, se sont parlés

Et rien de ce qui était prévu ne s’est passé

À croire qu’ils sont aveugles, voire coincés !

.

Qui sait si plus tard en autres circonstances,

Cela n’aurait pas fonctionné et tout de suite.

En matière de rencontre, aucune certitude !

Ce type devrait te plaire : juste probabilité.

.

Fragments

.

Longer longtemps une route,

Jusqu’à en croiser une autre,

Et rencontrer enfin quelqu’un

Qui la continuerait, avec vous,

Ou bifurquera pour une autre,

Est ce que beaucoup attendent

Dans leur cœur, esprit … âme !

.

Un peu trop en avance ou retard

Et la rencontre n’aura pas eu lieu

Est-ce dû au destin ou au hasard :

Qui peut le dire, à part le bon dieu

Qui a autre chose  à faire de sérieux

Que de s’intéresser à deux amoureux.

.

Quand on croise quelqu’un sur sa route

On demande c’est la bonne, somme toute

Il arrive en effet que ce ne soit pas la bonne

Ou que de fait, on ne croise jamais personne

Et on se perd, à jamais dans l’infini du doute.

.

Des gens qui seraient fait pour se rencontrer

Ne parviennent pas à le faire, trop occupés

Dans leurs métiers, communautés, loisirs

Si fait que certains restent célibataires.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Comment se fait-il   *   que des gens

 Qui sont, le monde   G    le prétend,

   Tous faits pour  se   E   rencontrer,

       Ne le font systéma    N   tiquement !

          Ignorance, pudeur,     S    ou mystère

            Car bien plus encore,     *    rencontre,

             Entre gens qui ne sont   F    faits pour

              Et qui le font que même  A      ça dure.

             Agences  de  rencontres    I    cherchent

            À rapprocher caractères   T   semblables,

            Ne prédisent contraires    S    compatibles,

          Or, tout amour naitra       *     de rencontre.

        Dès lors autre devient        P     indispensable,

          On se préoccupera plus       O      voir être aimable

        On la pratique, aveugle        U      on attend de voir,

          Si c’est l’homme d’une           R        vie, sinon d’un soir !

              *

      Mais comment se fait-il que : des gens       T          Tout amour nait d’une rencontre,

    Faits pour se rencontrer ne le font pas      A           Qui sera capitale, première fois,

      Que des gens que tout sépare le font       N           Tout à fait, banale, insignifiante,

       Que cela dure longtemps, en plus,      T            Ce ne sera peut-être  qu’au bout

    Est-ce vrai mystère, ou pas !            *              D’un certain nombre  de fois

 Une démarche rationalisée           P            Que lien se fera réellement.

       Et telle que celle proposée         O           Un détail particulier l’emporte

           Par agences de rencontres,       U           Souvent sur ensemble apparence,

       Gens cherchent  davantage        R            Ce n’est pas tant que l’ensemble

        Assurance tranquillité de vie        *          N’ait pas d’importance, loin de là,

  Plus qu’un coup … de foudre.        S          Il est nécessaire,  non suffisant

                                                      E          Nécessaire… pour éliminer,

                                                        *           Mais insuffisant pour élire.

*

Il n’est pas                   né cessaire d’être

     Amoureux                 E      pour faire l’amour

          Pas suffisant              N      de    faire   l’amour,

                Pour tomber             C      comme     amoureux.

                    Et au final, si            O      l’un y va,  l’autre, pas,

                           Que de débuts          N       prometteurs, divergent.

                             L’on devient,            T          l’on se sent amoureux

                             Quand existence      R           de l’autre prend une

                        Telle importance    E          que l’on ne se voit

                 Vivre sans lui,       R   sans sa proximité,

            Sans un projet     *   commun de vie.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Si l’on regarde l’extérieur, 

L’on croit entrevoir la route,

L’intérieur, deux croisements 

L’un en amont, et l’autre, en aval !

.

920 4

.

Longer une route sera une occasion

De rencontrer quelqu’un.

Le fait de le croiser, en bord de route

Accentuera nos chances.

 

Symbolique     

 

Que ce soit par      la médiation

Des arts plastiques     la littérature,

La poésie, la musique      la mythologie,

Et  voire  la  philosophie         des  sciences,

Nombre de représentations         de routes,

—————— De chemins et cheminements          abondent. ——————

 

 

 

—————— Cette longue marche de tout           être humain ——————

    Vers  un  inconditionnel  peut             se décrypter

Derrière  toutes   expériences           spirituelles

Que celle-ci  soit d’ordre dit              esthétique,

 Philosophique,   gnostique             ou mystique.

Le symbole  du chemin              constitue donc

Un des éléments de l’             image archétype

Que l’être humain se              forme lui-même.

Il nous révèle d’                 «essence humaine»

Comme un                     « être-en-recherche ».

universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

920 6

.

Longer une route sera une occasion

De rencontrer quelqu’un.

Le fait de le croiser, en bord de route

Accentuera nos chances.

 .

Symbolique 

 .

 

Symbolique     

 

Lors on             est jeune, croiser            des gens

Que l’on               connaît, c’est un           événement.

En secondaire           l’on regar             dait partout

Autour quand on            allait              ma-ga-si-ner

Voir si on reconnaît                            pas quelqu’un.

 

On sautait en les bras                        connaissances

Que l’on disait nos             amis,            on entamait

Des conversations,           joviales             et sans fin

Et dans les bars,           l’on sautait             aux cous

De  plusieurs                   personnes           comme  si

On retrouvait                 notre ami            d’enfance.

Modifié, source : lafabriquecrepue.com

.

.

 .

Fond/forme 

 .

Les lieux, occasions de rencontre ne manquent pas

À chaque carrefour, feu, rond-point, croisement,

On croise les gens, on croise les doigts pour saluer,

Ceux que l’on reconnait ou qui nous reconnaissent

Toutes ces formes n’épuiseront le fond : l’évoque.

.

 Textuels et illustrations  >>  

919 – Pour faciliter les échanges entre les sexes

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Se présenter sous son meilleur jour,

Et si ça ne suffit pas, meilleurs atours,

Si vous voulez attirer  attention, amour,

Est un conseil donné par tous les coachs.

.

Tant  que, l’intérêt,  passion,  convergent,

Vous marquez des points vous les gardez

Mais, si préférence, et action, divergent,

L’autre vous mettra en retrait, éliminé.

.

Parler famille, métier, maison, argent,

Assure  une bonne stabilité, maturité,

Parler jeux, voyages, rencontres arts,

Assure des évasions qui feront rêver.

.

Parler passé : «c’était mieux avant»

Aux jeunes, ne pouvant le connaitre,

Crée différence  intergénérationnelle

De réalité vécue,  non  transmissible.

.

Pour faciliter échanges entre les sexes,

Il suffit de leur trouver un bon prétexte,

Voire d’user de son pouvoir de séducteur,

Faut montrer que vous êtes en tout meilleur.

.

Supposez que les choses se mettent à diverger

Lorsque  vous tenterez, d’entrer, en  l’intimité,

L’autre sexe vous rappellera, vite, sa différence

Vous conviant peut-être à faire, un pas de côté.

.

Si vous êtes passionné, par les arts, les artistes,

Votre bon portefeuille, votre excellente culture

Peuvent vous faciliter des rencontres élitistes,

Car  richesses  seront  vos  intentions pures.

.

Mais ceux qui n’ont ni argents ni créations,

Devront se contenter  du foot, en récréation

Tant culture, sport  de  masse se confondent !

Sans eux, bas peuple, petit peuple se morfondent

Et ses barrières séparent des gens apparemment !

.

Y en aurait point, mais en réalité y en a souvent.

Que  les  vieux  parlent  aux vieux c’est normal

Que les jeunes parlent aux jeunes, c’est fatal

Si le conflit entre générations se déclare,

La solidarité  n’est pas mise  à l’écart !

.

Désirs des jeunes tournés en avenir,

Désirs des vieux passé,  redevenir.

 Pour échanges  entre deux sexes

 Rien de simple, tout, complexe.

.

Arrive que le naturel au galop

Trouve enfin le bon propos,

Qui évoque  ou  provoque

L’empathie, l’antipathie.

.

Extensions

 .

Nous sommes souvent perçus, jaugés, jugés par les autres :

Les hommes par les femmes, réciproquement, intuitivement

Sur notre apparence, sur notre communication, intention.

Il ou elle, ressemble à ou pas : j’ai déjà vu ce type d’être

Qui vous abordera, comme à un comptoir de bistrot,

Et ne vous lâchera si vous n’adhérez pas à son ego

Ou vous font subir leur interrogatoire et illico :

Que faites-vous dans la vie, vous vivez seule

Qu’est-ce qui vous fait plaisir, horreur ?

 .

Sexe est ici à prendre de manière génétique

Par les différences entre hommes et femmes,

Tout est affaire de perception, représentation.

Certains vous adopteront, aux premiers regards

Et se confieront bien à vous, ici ou là, tôt ou tard

Et d’autres resteront indifférents, muets, sourds !

.

Dans toute projection de l’autre on y met un peu,

Parfois beaucoup, de soi-même, inconsciemment

 Y a que ceux qui se ressemblent qui s’assemblent.

.

Il faudra bien se comprendre pour se rapprocher

Il y a un tas de codes et signaux et de fréquences

Qui feront qu’on est sur même longueur d’onde.

.

Fragments

.

Parler à l’autre sexe n’aura rien de particulier,

Lors je sais ce que c’est ayant eu  deux sœurs,

Et en outre ma propre mère modèle féminité,

Mère et sœur représentent nombre mineur !

.

On voit de tout en ce qui concerne échanges,

Entre sexes, pire et meilleur question respect

Certains échanges indélicats seront suspects

Il n’y a pas que des démons, non plus anges.

.

Pour nombre écrivains du siècle précédent,

Parler d’amour requerrait utiliser sa plume,

Pour peu que les réponses créaient intimité,

On laissait alors la plume pour son plumard.

.

Il fallait faire attention à tout ce qu’on disait :

Moindre phrase moindre mot, reçu de travers

Tout allait de guingois, réponse ne venait pas,

Le téléphone a réglé tout cela, les corrigeant !

.

Aujourd’hui, ce sont les messageries, textos,

Qui ont repris le pas sur nombre des «allo»,

Le face à face devient comme vrai privilège,

Don de son temps  et voire de sa personne.

.

La plume et maintenant traitement texte

Auront l’avantage de parler  à plusieurs,

N’oubliez pas qu’Internet retient tout :

Harcèlement se retourne contre vous.

.

S’il y a, parfois, un fond de séduction,

Dans les échanges entre les deux sexes

Il y a aussi, compétitions, dominations,

Dieu que communiquer reste complexe !.

.

Parler à l’autre sexe n’est pas contagieux

Cela ne nous fait en aucun cas en changer

Juste mieux se comprendre, et s’adapter

À une différence qui reste pour le mieux.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Se présenter sous son meilleur jour,

Et si ça ne suffit pas, meilleurs atours,

Si vous voulez attirer  attention, amour,

Est un conseil donné par tous les coachs.

Tant  que, l’intérêt,  passion,  convergent,

Vous marquez des points vous les gardez

Mais, si préférence, et action, divergent,

L’autre vous mettra en retrait, éliminé.

.

Parler famille, métier, maison, argent,

Assure  une bonne stabilité, maturité,

Parler jeux, voyages, rencontres arts,

Assure des évasions qui feront rêver.

Parler passé : «c’était mieux avant»

Aux jeunes, ne pouvant le connaitre,

Crée différence  intergénérationnelle

De réalité vécue,   non   transmissible.

.

Pour faciliter échanges * entre les sexes,

Il suffit de leur trouver   P  un bon prétexte,

Voire d’user de son pou  O  voir de séducteur,

Faut montrer que vous  U êtes en tout meilleur

Supposez que les choses V  se mettent à diverger

Lorsque vous tenterez,   O    d’entrer, en l’intimité,

L’autre sexe vous rappel  I   lera, et vite, sa différence

Vous conviant peut-être  R        à faire, un pas de côté.

.

Si vous êtes passionné, et  par les arts  et par les artistes,

Votre bon portefeuille          *          votre excellente culture

Peuvent vous faciliter  F              R   des rencontres élitistes,

Car richesses seront  A                      E    vos intentions pures.

Mais ceux qui n’ont   C                      T   ni argents, créations,

Devront se contenter    I                 I     du foot en récréation

Tant culture, sport  de         L            masse se confondent !

Sans eux, le bas peuple et   É petit peuple se morfondent

Et ses barrières séparent   C  des  gens, apparemment !

H

Y en aurait point, mais    A  en réalité y en a souvent.

Que  les  vieux  parlent   N    aux vieux c’est normal

Que les jeunes parlent  G   aux jeunes, c’est fatal

Si le conflit entre gé   E  nérations se déclare,

La solidarité n’est    *   pas mise à l’écart !

Désirs des jeunes   X  tournés en avenir,

Désirs des vieux  *  passé,  redevenir.

 Pour échanges  S  entre deux sexes

 Rien… simple  E  tout, complexe.

  Il arrive que  X  naturel… galop

 Trouve enfin E  le bon propos

Qui évoque  S   et provoque

L’empathie * l’antipathie.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Mais c’est pas qu’on dirait

Une plume de stylo encre,

Pour  pouvoir  échanger,

Avec l’autre sexe, amitié !

.

919 4

.

Une plume non pas au vent, pour écrire

Un mot, une lettre, un ouvrage

Histoire de communiquer ou d’échanger

Avec lecteurs, ou interlocuteurs.

 

Symbolique

 

Tantôt  étant  objet d’art,

Tantôt objet de collection,

Le   stylo  plume     est

L’instrument d’écriture,

Par nature et excellence.

 

Qu’il soit utilisé pour

L’art de la calligraphie,

Ou pour une écriture quotidienne,

Stylo plume envoie message symbolique.

Et lors ce serait le pourquoi il tient une

 place d’honneur en professions

Dites des plus nobles tels:

Avocats   docteurs,

Profes       seurs.

troisarchers.com/blog/

ecriture/ecrire-stylo-plume

.

.

Fond

.

Évocation

.

919 6

.

Une plume non pas au vent, pour écrire

Un mot, une lettre, un ouvrage

Histoire de communiquer ou d’échanger

Avec lecteurs, ou interlocuteurs.

Symbolique 

 .

Sans échange, les fonctions sensorielles

Intellectuelles de <—> meurent à l’état latent,

Primitif : elles  ne  <—>  sont que  des possibilités.

Elles  ne  peuvent     <—>   devenir efficaces que si elles

Sont activées donc     <—>   sollicitées  par  les  échanges.

L’échange permet    <—>     de se développer soi-même.

Vivre en société     <—>     et vivre avec les autres et

Communiquer   <—>   signifient se confronter

À eux et se développer par soi-même.

 .

.

Fond/forme 

 .

Ce n’est certes pas la fonction qui crée l’organe

Mais celui qui ne communique pas évolue peu :

Les interactions et échanges nous déterminent,

Nous apprennent à nous protéger des intrusions

Des influences néfastes, toxiques, comme poison.

.

Les échanges pourront être autres que verbaux

Mimiques, gestuelles, postures, touchers, etc.

Participent de l’intimité ou la distanciation

Aident à bien se débarrasser d’importuns.

.

Prendre la plume (ou clavier) pour échanger,

Avec autre, quoi de plus simple, de plus normal

Ça rime avec intérêt marqué pour quelqu’un (e)

Et laisser une trace que l’on pourra lire et relire

Lors, ici, la forme rejoint, parfaitement, le fond.

.

Textuels et illustrations  >>  

918 – Quand on a rien à dire, mieux vaut se taire !

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Comment écrire

Quelque   chose

Si l’on n’a rien

À dire, à faire

Et comment ?

Autant se taire,

Hormis à en rire

À nous satisfaire !

Et cependant j’écris,

Tant je ne sais me taire.

Quand on n’a rien à dire,

L’on se tait

Sauf si le silence est pire

Et ne plait

Tant même petit soupir

Parlerait

Pour indiquer, redire

Qu’on est

Bien dans sa peau

Au repos

Et qu’il ne faut

Bouger

Le petit doigt

De trop,

Sinon  le sang

Chaud

Refera ses cent

Tours

Et afflux énergies

Aux lèvres

Feront que  s’ouvre

La bouche

Et pour ne rien dire,

De pertinent.

Pour vous contredire,

L’on se tait.

L’on se met  à penser,

En secret,

Des choses, inventées,

Bien faites,

Qui, en demi sommeil,

Merveilles,

Font dialogue intérieur

Avec un effet

Sur perception du temps

Qui se soustrait

Au besoin de communiquer

Ses états d’âme

Bien complètement indicibles.

.

Extensions

.

Le paradoxe est que tout le monde a des choses

À dire et tout le monde parle, pour ne rien dire,

Pas grand-chose, d’utile, d’efficace, en tous cas.

Ceux et celles qui parlent tout le temps, l’on finit

Par ne plus les entendre, encore moins, les écouter

Lors ceux qui parleront, toujours, de la même chose,

On les ignore tout simplement ou les écoute poliment,

Par simple respect ou compassion, voire pitié pour eux.

Le fait de parler de quoi, à qui, comment, à quel moment

Et à quel endroit, dans quelles circonstances et le ton que

L’on emploie, les gestes, mimiques, et postures associées,

Change tout tant il y a de variables à prendre en compte

Dans la communication qu’à moins d’être un acteur et

D’interpréter un texte cela tient du miracle pour être

Certain d’être compris et produire l’effet souhaité.

Le silence ne veut rien dire, en principe, réalité,

Sauf lors on attend une réponse, une réaction,

De la salle, d’un public et là, il devient chargé

De sens qui donne lieu à des interprétations

De satisfaction, d’indifférence ou d’hostilité.

« Garder le silence puis prendre un avocat :

Vos dires peuvent être retenu contre vous».

Cet énoncé adresse un présumé innocent,

Présumé coupable, ne vous rappelle rien !

.

Comment écrire un poème sur une affirmation gratuite,

Parler pour dire qu’il vaudrait mieux se taire, est folie !

D’autant plus qu’un silence est lourd de parole tacite !

On voit nombre d’amendements contre-projet de loi

Ne servant à rien, sauf à syntaxe, non sémantique.

Parler est manière de protester, non construire

Dites-moi, si j’en dis trop : faites-moi taire !

.

On se tait, parfois, pour de bonnes raisons,

On ne sait pas, on ignore, on se renseigne,

Mais parfois pour de mauvaises raisons,

On a quelque chose à cacher, de secret.

.

Mais face à question embarrassante,

Le silence risquera d’être interprété

Comme  une réponse … acceptable,

D’ordre positive ou voire négative.

.

Le silence peut être une défense,

Notamment devant un tribunal

On a rien dit, on n’a pas menti

Mais attention à la sentence !

.

Fragments 

.

Parler pour ne rien dire, est commun,

C’est même un artifice de la politique,

Qui permet de contrer, occuper parole.

.

Dans la bonne société bien-pensante,

Voler la parole à l’autre ne se fait pas,

C’est une question de respect, égalité.

.

À vouloir se mettre souvent en avant,

L’on finit par être mis plus en arrière :

Vous avez perdu occasion de vous taire.

.

Parfois silence en dit plus que ses mots,

On ne donne son accord, on ne conteste,

En tout état de cause, autre  l’interprète.

.

On se tait, ne réagit, sous pluie critiques,

Submergé par ses déceptions, d’émotions

 Qui pourraient  vous desservir, en raisons.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme 

.

Comment écrire

Quelque   chose

Si l’on n’a rien

À dire, à faire

Et comment ?

Autant se taire,

Hormis à en rire

À nous satisfaire !

Et cependant j’écris,

Tant je ne sais me taire.

.

SI l’ON N’A RIEN

Quand on n’a rien à dire,

L’on se tait

Sauf si le silence est pire

Et ne plait

Tant même petit soupir

Parlerait

Pour indiquer, redire

Qu’on est

Bien dans sa peau

Au repos

Et qu’il ne faut

Bouger

Le petit doigt

De trop.

 .

À DIRE, MIEUX

Sinon  le sang

Chaud

Refera ses cent

Tours

Et afflux énergies

Aux lèvres

Feront que  s’ouvre

La bouche

Et pour ne rien dire,

De pertinent.

Pour vous contredire,

L’on se tait.

 .

VAUT SE TAIRE

L’on se met  à penser,

En secret,

Des choses, inventées,

Bien faites,

Qui, en demi sommeil,

Mer-veilles,

Font dialogue intérieur

Avec un effet

Sur perception du temps

Qui se soustrait

Au besoin de communiquer

Ses états d’âme

Bien complètement indicibles.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Cette chose ressemble à

Instrument de musique :

Du genre flûte alors 

Mais particulière ?

.

918 4

.

Cette flûte afghane semble des plus

 Folkloriques et des plus originales :

Lors cela m’étonnerait beaucoup

Qu’elle n’ait rien de musical !

 

Symbolique

 

Dans

Les contes,

 Le héros lors il affronte

Épreuves peut compter

Avec une intervention

Extraordinaire, magique

Tant, dans tous les contes,

C’est la flûte dotée  pouvoir

Magique favorable au héros.

Et c’est un élément clairement

Apparent dans le conte imaginé

Par  Mozart, La flûte enchantée,

Ou   quand    l’on     évoquera   le

Conte   traditionnel   allemand :

«Le joueur de  flûte   de Hamelin !»

.

.

Fond

.

Évocation

.

918 6

.

Cette flûte afghane semble des plus

 Folkloriques et des plus originales :

Lors cela m’étonnerait beaucoup

Qu’elle n’ait rien de musical !

 . 

Symbolique 

 

Symbolique    

 

 &    Les chinois ont établi,

 &    Vers 2700    ans    avant JC,

&    L’octave    en   douze     demi-tons,

&    Correspondant à douze mois de l’année.

&    Les pythagoriciens  considéraient  la musique

&    Comme une harmonie des nombres et du cosmos,

&    Lui-même réductible à des nombres sonores.

 &    Le recours à la  musique, ses timbres,

 

Ses tonalités, ses rythmes,

Ses instruments divers

Est un des moyens de

S’associer plénitude

De la vie cosmique.

 .

.

Fond/forme 

 .

Flûte alors, j’aurais peut-être mieux fait de me taire

J’ai parlé comme une sonnette rien que pour distraire

Ça rime avec à moitié contraint, à moitié libre : mixte

Sonorités qui se répètent et d’autres qui s’empêtrent !

.

Tant et si bien que la forme n’épousera rien du fond

J’aurais dû utiliser à la place un piano ou violon 

Mais qui sait jouer la flûte intéresse auditoire.

.

Textuels et illustrations   >>  

917 – Lors un vivant parle aux vivants, d’autres

 Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Parler  aux siens, aux collègues, clients

D’accord, mais aux inconnus : de quoi !

 .

Faire phrases, bateaux, creuses ou vides,

Les laisseront sans émotions, impavides.

Quant à leur parler d’amour : comment !

C’est un sujet trop délicat, secret perso !

Quant à leur parler du sens de leur vie :

.

Inutile d’insister, pas votre problème.

À chacun son sort et libre d’en parler,

À qui il veut, où, et  quand, il le peut.

.

Un tueur, un voleur, ou un menteur,

Peuvent paraitre des interlocuteurs

Ils savent profiter des apparences,

Affichant  semblant  d’humanité.

.

Quand un vivant parle aux vivants,

Des milliers parlent à d’autres milliers,

Et des millions à des milliards d’existants

De quoi donner le vertige à tout aventurier.

.

Parler pour  ne rien dire, mieux vaut se taire,

Il y en a suffisamment qui se mettent à braire

Et que faudrait-il  dire,  à nos sœurs, nos frères

Qui soit d’importance pour éclairer nos misères.

.

Leur parler d’amour, bien sûr, toujours est sage

N’est-ce pas  parmi  les thèmes  les plus  éculés,

Enfumage circonstances pour brouiller message

Que la vie sur terre n’a aucun sens, sauf erroné.

.

Ne sachant ce qu’il y a derrière, profitons-en,

Message évident et bien reçu cent sur cent

Pour autant, cela ne donnera aucun sens,

À ce qui est déclaré n’en avoir pas avant.

 .

La vie est ainsi faite  qu’il  nous faudra,

Choisir de fait entre un vrai sort et faux

Car nous n’avons qu’une seul conscience

Et bien des croyances, sans une évidence.

.

Est-ce malheur ou bien plutôt une chance

Que serait notre vie,  sans l’interrogation,

Sur notre histoire et sur notre projection.

Programme qui n’a plus rien,  en balance.

.

La balance symbole même de notre justice

Nous force à brimer nos instincts, et vices,

Pour garder comme semblant d’humanité

Dont nous sommes les seuls… à en juger !

.

Extensions

.

Quand un vivant parle aux vivants,

C’est pour  partager  son sort  ou

Son devenir une fois bien mort.

Or ceux qui nous ont quittés

Ne nous disent rien  sur ce

Qu’ils sont devenus, morts,

Ou, sur ce qui nous  attend.

C’est bien, ainsi, pour garder

Le mystère et tout son suspens.

Si l’on rassemblait toutes paroles

Prononcées depuis aube humanité

Ou tous les écrits, depuis l’Antiquité,

Qu’en retiendrions-nous d’intelligible :

Pas grand-chose, hormis un brouhaha !

Qui sait des bribes de poésie, de religion,

De loi, de guerre dont les cultures tentent

De retracer bribes, échappées au temps !

.

Parler, c’est exister ; se taire, c’est s’oublier

Lors parler pour ne rien dire, c’est ennuyer.

Chacun se situe en relation avec le discours

De l’autre, des autres, des règles de paroles.

Il n’y a pas longtemps, personne ne parlait,

À table, si le chef de famille ne l’autorisait !

Aujourd’hui, femmes et enfants s’expriment

Quand ils ne sont pas branchés smartphone

Autres temps, autres mœurs, dit le peuple !

.

Un vivant parle à un vivant

N’a rien à voir avec un médium

Qui invoque, s’entretient, avec morts,

Ici, c’est direct, communiquant, parlant !

.

En admettant que les morts puissent nous parler

L’on ne sait pas pourquoi ils en auraient nécessité,

À moins de vouloir jouer anges gardiens, protéger

Mais comment déjà peuvent-ils voir, entendre !

.

En tous cas, cela ne tombera pas sous le sens

Si au propre ni au figuré : s’ils continuent

À vivre dans … une autre dimension,

Qu’ont-ils en commun avec nous !

.

Fragments

.

On peut parler pour ne rien dire

On peut ne rien dire, en parlant !

.

Que veut dire ces deux assertions

Si rien, pourquoi alors en parler !

.

Est-ce que parler de cette manière,

Rendra intéressant, communicant !

.

En général on ne parle pas aux murs

On s’attacherait à parler aux vivants !

.

Au mieux un mur vous renverra échos

De vos propres mots,  lors résonnants !

.

Les perroquets ne parlent pas, répètent :

Parfois donne l’impression d’un dialogue

.

Une  confusion pourra s’établir avec robot

Qui, en contexte, vous reprendrait au mot.

.

Les enfants utilisent, figurine, Play mobil

Comme des interlocuteurs … imaginaires.

.

Les paroles s’envolent, les écrits restent,

Mais geste d’écrire, n’inclura pas gestes.

.

Joindre geste à parole, est communiquer

De manière redondante et bien présente !

.

Parler aux vivants est naturel presque inné

Pour se faire comprendre,  cela s’apprend !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Parler  aux siens, aux collègues, clients

D’accord, mais aux inconnus : de quoi !

Faire phrases, bateaux, creuses ou vides,

Les laisseront sans émotions, impavides.

Quant à leur parler d’amour : comment !

C’est un sujet trop délicat, secret perso !

Quant à leur parler du sens de leur vie :

.

Inutile d’insister, pas votre problème.

À chacun son sort et libre d’en parler,

À qui il veut, où, et  quand, il le peut.

Un tueur, un voleur, ou un menteur,

Peuvent paraitre des interlocuteurs

Ils savent profiter des apparences,

Affichant  semblant  d’humanité.

.

Quand un      L        vivant parle aux vivants,

Des milliers       O      parlent à d’autres milliers,

Et des millions       R      à des milliards d’existants

De quoi donner le        S      vertige à tout aventurier.

Parler pour  ne rien dire       Q         mieux vaut    se taire,

Il y en a    suffisamment qui se      U        mettent    à braire,

Et que       faudrait-il  dire,  à nos        ‘       sœurs,     et frères

Qui soit   d’importance, pour éclairer        U       nos     misères.

Leur        parler d’amour bien sûr, toujours       N          est sage

Mais       n’est-ce pas parmi les thèmes les plus    *         éculés,

Enfu       mage de circonstance pour brouiller    V        message

Que        la vie sur terre n’a aucun sens,        I      sauf   erroné.

Ne sachant ce qu’il y derrière  V  profitons-en,

Message évident et bien reçu  A  cent sur cent

Pour autant, cela ne donnera  N     aucun sens

À ce qui est déclaré n’en avoir  T     pas, avant.

P

La vie est ainsi faite    A       qu’il  nous faudra,

Choisir de fait entre    R     un vrai sort et faux

Nous n’avons qu’         L      qu’une conscience

Bien des croyances      E      sans une évidence.

Est-ce malheur ou       *     bien plutôt, chance,

Que serait notre vie    À     sans l’interrogation,

Sur notre histoire et    *     sur notre projection.

Programme qui n’a     V   plus rien, en balance.

La balance symbole     I  même de notre justice

Nous force à brimer    V  nos instincts, et vices,

Pour garder comme     A   semblant d’humanité

Dont nous sommes      N    les seuls, à en juger !

T ….……………

.

Forme

.

.

 

Évocation

 .

Figurine de Play-mobil,

Oui, d’accord, mais … lequel 

On imagine bien la profession,

Pas forcément,   conversation ?

.

917 4

.

 

Un Play-mobil  qui pourrait être

N’importe qui ou n’importe quoi :

Comment entrer en conversation 

Pour lui parler des choses qu’il aime !

 

Symbolique    

 

Schématiquement les jeux symboliques

Se décomposent en deux grandes phases

D’abord les jeux de rôles où le joueur

Se conduit en acteur représentant

Un personnage et un seul à la fois,

 

Puis les jeux de mise en scène,

À    partir    des    figurines,

Dans  lesquels  le  joueur  gère

Plusieurs  rôles  simultanément

Comme le fait un metteur en scène.

 

Les jeux de rôles  et  de mise en scène,

Très  différents   dans   leurs  pratiques,

Nécessitent des espaces de jeu spécifiques.

Dans le jeu des pompiers, un joueur de 5 ans

Sera pompier, ambulancier, blessé, chauffeur.

cairn.info/des-espaces-pour-jouer—9782749240862

.

.

Fond

.

Évocation 

.

917 6

.

Comment entrer en conversation

Lui parler de choses qu’il aime 

Quand on ne le connait pas ou si peu

Pour savoir ce qui l’intéresse 

 

Symbolique 

Une des règles

De   la   littérature

Consiste   à  montrer

 Plutôt    que d’expliquer.

 En  conséquence  de  quoi,

Une  conversation   serait

Liée à une action qui peut être

 Toute simple : de parler de vin

Si la rencontre se passe

En un bar à vin.

 

Si vous tenez à parler sur vos hobbies

Montrez une photo de vos œuvres,

Si vous parlez de votre boulot

Donnez un exemple !

gqmagazine.fr

.

.

Fond/forme 

 .

« Les paroles s’envolent, les écrits restent »

Nous rappelle citation d’un proverbe latin.

Depuis il y a eu nombre d’enregistrements

De conversations, de vidéos et de visios

Si bien que rien ne semble plus échapper

Mémoire de ce qui fait notre quotidien :

Qu’en fera-t-on une fois mort, mystère.

 .

Mis à part grosse tête et gros chapeau, la forme

De ce personnage Playmobil colle bien au texte,

Elle rime avec groom, serveur,  et voire cuisinier,

Quelqu’un qui parle, ou qui sert les gens, clients !

Le face à face avec lui, engage la conversation.

.

 Textuels et illustrations  >>  

916 – On se fait des fausses idées sur des gens

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Bien  connaitre les gens,

Est tout un  art, est un don,

Il est vrai qu’il   faut du temps pour

Les percer, pour les mettre au grand jour,

Savoir qui aime qui, savoir qui déteste qui,

Prétendre que quelqu’un est inabordable.

.

Puis soudain, deviendrait fort aimable

Lors l’opportunité se présente à lui,

D’aller au fond des choses, en lui.

.

Malheur commun rapproche gens

Qui pourtant s’ignoraient avant.

Être bon endroit, bon moment,

Hasard est pour ou contre vous.

.

On se fait fausses idées sur les gens,

Ce qu’ils doivent être  ou ne pas être,

Amoureux, de l’un, de  l’autre qui sait,

Bien qu’ils soient égaux, tous aimants.

.

Dans la  lumière ou dans le noir,

En matinée ou en plein soir,

Sous les néons ou en boites,

Chaleurs torrides sinon  moites.

.

Faut être là au bon endroit moment,

Il faut attendre que le miracle… suive

Le provoquer afin ne pas  s’en priver

De plein existence devenir un amant.

.

Il suffit d’un rien que tout change ;

Que  se  prolonge répète  l’échange

De geste, paroles pour que finisse

Et que l’on mette fin à   armistice.

.

Un nouveau deuil, nouvelle guerre, déclarée

Mais, la nature humaine ne pourra se résigner

À passer outre à toutes rencontres énamourées.

.

En cherchant bien, on finit toujours, par trouver :

On se ferait de fausses représentations sur les gens.

.

Ils sont comme nous et pas comme nous tout autant

L’on gagne à les connaitre, en mieux, les fréquentant,

Certains se révéleront puants, lors d’autres charmants.

.

Extensions 

.

Qui peut bien prétendre connaitre quelqu’un

Pour l’avoir rencontré en circonstances et situations,

Pour avoir échangé quelques mots, voire une discussion.

Le pire qui puisse vous arriver est de vivre des années

À côté de quelqu’un et au moment de la séparation,

D’avouer que vous croyez  l’avoir cerné, finalement

Le connaissez mal, il se peut aussi qu’il ait changé

Sans que vous vous en aperceviez, en bien, en mal

Pour prétendre, à bien connaitre, quelqu’un, il ne

Suffira pas de l’avoir, longtemps, pratiqué, il faut

Le projeter dans l’avenir avec….  ses potentialités.

.

C’est ce que l’on fait dans l’entretien d’embauche :

Comment allez-vous évoluer, en mieux ou en pire :

Avez-vous atteint, votre maximum …, votre plafond

De verre ou bien le contraire, le pied sur le plancher !

.

L’habit ne fait pas le moine, ni d’un intellectuel, un clown.

Habillement et posture permettent de situer l’interlocuteur,

Dès la première minute et avant qu’il ait dit une seule parole.

Il arrive  qu’on ait vu juste, par habitude, expertise, intuition,

Mais qu’on se trompe aussi  et qu’on se méprenne, totalement.

.

Prenez donc le directeur financier dans une grande entreprise,

Et revoyez-le, chez lui, en tenue de jardinage ou de bricoleur,

Vous vous demanderez l’instant s’il s’agit du même homme

Vous seriez encore plus surpris de la voir en une manif.

.

Se faire des fausses idées sur les gens

Voilà bien un sens commun s’il en est :

Tout le monde n’est pas né psychologue,

Certains sont, deviennent plus ou moins.

.

Ce ne serait  qu’à la suite  des situations

Appelées  diverses, variées, contrastées,

Qu’on peut prétendre porter jugement,

Sur quelqu’un de bien ou de commun.

.

L’habit ne fait pas le moine : dicton !

Le moine ne fait pas l’habit, pardon !

L’ouvrier  ou  la secrétaire, pourront

Être meilleure personne que patron.

.

Fragments 

.

La clé convient ou non à une serrure

On met souvent ses secrets, papiers

Ses clés de voiture et de maison

Dans un endroit bien caché.

.

De même, pour connaitre les gens

Il faut bien connaitre leurs clés,

Ou on s’en tient en surface :

Impossible de déchiffrer.

.

On dit de certains qu’ils sont

De véritables portes de prisons,

Fermées à double tour, sécurisées,

Au point qu’on ne peut communiquer.

.

Les prisonniers sont tous habillés pareils,

Ce qui leur enlève une part de personnalité

On peut penser qu’il a commis un crime

Peut-être simplement être innocent.

.

Si le faux revêt l’aspect du vrai,

Ou le contraire, qu’en faire :

Jeter le tout au panier

Ou clé pour trier.

.

Fragments

.

La clé convient ou non à une serrure

On met souvent ses secrets, papiers

Ses clés de voiture et de maison

Dans un endroit bien caché.

.

De même, pour connaitre les gens

Il faut bien connaitre leurs clés,

Ou on s’en tient en surface :

Impossible de déchiffrer.

.

On dit de certains qu’ils sont

De véritables portes de prisons,

Fermées à double tour, sécurisées,

Au point qu’on ne peut communiquer.

.

Les prisonniers sont tous habillés pareils,

Ce qui leur enlève une part de personnalité

On peut penser qu’il a commis un crime

Peut-être simplement être innocent.

.

Si le faux revêt l’aspect du vrai,

Ou le contraire, qu’en faire :

Jeter le tout au panier

Ou clé pour trier.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

O           *             I

Bien  N   connaitre les     D  gens,

Est   *    tout un  art, est un    É   don,

Il est  A   vrai qu’il   faut du temps  E   pour

Les per *  cer, pour les mettre au grand   S  jour,

Savoir  D  qui aime qui, savoir qui déteste *    qui,

Préten  E  dre que quelqu’un est inabor  S  dable,

Puis     *  soudain, deviendrait fort ai  U mable

Lors     F   l’opportunité se présente  R  à lui,

D’aller   A   au fond des choses, en  *     lui.

Malheur  U  commun rapproche  G   gens

Qui pour  S  tant s’ignoraient     E avant.

Être bon    S  endroit, bon mo   N  ment,

Hasard est  E  pour ou contre  S   vous.

          S                           *

.

*******************************************

*******************************************

.

On se fait fausses idées sur les gens,

Ce qu’ils doivent être  ou ne pas être,

Amoureux, de l’un, de  l’autre qui sait,

Bien qu’ils soient égaux, tous aimants.

Dans la  lumière               ou dans le noir,

En matinée ou                      en plein soir,

Sous les néons                       ou en boites,

Chaleurs torrides                  sinon  moites.

Faut être là au bon           endroit moment,

Il faut attendre que         le miracle … suive

Le provoquer afin            ne pas  s’en priver

De plein existence            devenir un amant

Il suffit d’un rien               que tout change ;

Que  se  prolonge                pète  l’échange

De geste, paroles                  pour que finisse

Et que l’on mette                  fin à   armistice.

Un nouveau deuil, nouvelle guerre, déclarée

Mais, la nature humaine ne pourra se résigner

À passer outre à toutes rencontres énamourées.

.

*******************************************

*******************************************

.

En cherchant bien, on finit toujours, par trouver !

On se ferait de fausses représentations sur les gens.

Ils sont comme nous et pas comme nous tout autant

L’on gagne à les connaitre, en mieux, les fréquentant,

Certains se révéleront puants, lors d’autres charmants.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un trou de serrure dans une porte,

Pouvant servir pour clef et de judas 

Ou la bonne clé … pour les conjoints,

Mais un double pour amants judas !

.

916 4

.

Trop souvent, l’on ne voit les gens

Qu’à travers un trou de serrure :

Or n’est qu’un petit point de vue qui

Ne donne pas la clef de leur réalité !

Les secrets et les  fausses idées se rejoignent

L’un dans le manque, l’autre dans l’erreur :

En tous cas, il faut  une clé  pour découvrir.

 

Symbolique     

 

La serrure est liée au symbolisme de la  clef.

Les portes représentent     notre ouverture d’esprit

Mais, également, notre                 ouverture aux autres.

 

Capacité à  laisser entrer                    l’amour dans notre vie

Sont également signe d’une                  bonne    communication,

Interne et externe entre l’in                conscient et l’inconscient.

 

Une porte fermée représen             terait alors un blocage,

Une fermeture et un man         que de communication.

La serrure est le symbole de ce blocage.

Modifié, source : psycho2rue.fr

.

.

Fond

.

Évocation 

.

916 6

.

Trop souvent, l’on ne voit les gens

Qu’à travers un petit trou de serrure :

Or n’est qu’un petit point de vue qui

Ne donne pas la clé de leur réalité !

 .

Symbolique 

.

Le symbolisme de la clef

Est en relation avec son double rôle

D’ouverture et de fermeture.

C’est à la fois un rôle d’initiation

Et de discrimination

(Clefs du Royaume des Cieux).

.

Dans les contes et légendes trois clefs

Sont mentionnés pour ouvrir

Trois chambres secrètes :

Clef d’argent ; clé d’or,

Clé de diamant.

.

La clef est alors symbole

Du mystère à percer,

De l’énigme à résoudre,

De l’action difficile à entreprendre,

Bref, des étapes qui conduisent

À l’illumination et la découverte.

 .

.

Fond/forme 

.

Dispositif fixe, de fermeture d’une porte,

Comportant un mécanisme : gâche, pêne

Et que l’on manœuvrera à l’aide d’une clé

Ça rime, parfaitement, avec une intention

De protéger un bien, enfermer quelqu’un.

.

Le face à face  avec le trou de la serrure

Permet d’y mettre un œil, pour observer.

On peut imaginer, tout autant, un mur,

Avec un trou pour y passer un homme.

.

Pour bien connaitre quelqu’un, de l’intérieur,

Il faut qu’il vous procure un double de sa clef

Ou trouver quel qu’autre moyen d’y pénétrer.

.

L’analyse de ses dires, et de ses agissements,

Fournit en grande partie la forme de la clef

Mais pas son fond qui restera secret, caché

Comme un coffre-fort, inviolable, inviolé !

.

Textuels et illustrations  >>  

915 – Je suis comme un arc tendu par la vertu

 Textuels et illustrations >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Quelques mots

Un arc, une flèche,

Une cible,  une vertu,

Une corde bien tendue,

Un œil, d’envie, tente

D’atteindre amour

En   plein  cœur.

.

Rater  sa cible,

De beaucoup,

De  très  peu,

Est  fâcheux,

Vous   laisse,

Tendu, tordu,

Au  lieu  d’ému

Voire  aux  cieux.

.

Recommencer vite

Jusqu’à épuisement

Du  stock  de  flèches,

Car  il en  suffit  d’une

Pour  bonheur  du  jeu.

.

Je suis comme un arc tendu par la vertu,

De toute chose où  mon être prend le dessus,

Chaque jour, de ma vie : rencontre bienvenue

Avec toi, lui, événements, et  objets, confondus.

.

Quand une flèche est lancée … qui peut l’arrêter,

Par contre elle peut en certains cas, rater sa cible,

Et non seulement être perdue, mais, devenir risible,

Si le mot qu’on emploie, geste qu’on fait, mal fléchés.

Est-ce la faute à mon arc, d’être trop souvent … tendu,

Toute situation et séduction et liaison a sa propre…loi.

.

Si flèches n’atteignent leurs buts, restent en carquois,

Elles deviennent  flapies de mes désirs, pauvres, nus.

Où va d’autre mon énergie, à ce point, que ne puis

Tendre mon effort, vers tout être, qui me réjouit,

Déjà d’avance, rien que d’imaginer  l’atteindre,

Ou bien le sublimer  … le  différer, l’étreindre.

.

Mon corps, mon  arc, ma flèche  et ma cible :

Autant de composants pour les rencontres,

Absence de réactions me met à l’encontre

De visée d’arc tendu, en vertu, crédible.

.

Extensions

.

La flèche et la vertu semblent contradictoires :

Autant la flèche, tout comme l’arc, est active,

Autant la vertu, comme la cible, est passive.

Cela est, déjà moins vrai, dans le cas d’une

Cible mouvante ou qui aura le pouvoir de

Se dérober, en fonction  de la trajectoire

De la flèche,  de sa distance,  puissance.

De même l’arc peut être en mouvement,

À pied ou sur une monture ,et si les deux

Le sont, il y a fort à parier que la flèche qui

N’est ni celle du philosophe Zénon ni celle du

Dieu Amour, n’atteindra, jamais, la cible visée !

Comme il n’y a pas projection flèche hors énergie,

Il faut que la corde de l’arc soit tendue au maximum

Pour assurer sa pénétration profonde en cœur de cible.

Une fois celle-ci plantée, il en faudra, beaucoup d’énergie,

Pour la déplanter, à moins qu’elle rebondisse sur la surface,

Entièrement cuirassée, cadenassée, ou voire même miroitisée.

.

Il nous arrive d’être tendu suite à nombre de choses,

Mais  plus rarement, par une vertu, quelle qu’elle soit.

L’on dira, de quelqu’un, qu’il se tient sur la corde raide,

Qu’il part comme une flèche, ou, qu’il a peur de manquer

Sa cible, par précipitation ou par défaut d’entrainement.

Faut dire qu’on ne peut rester, longtemps, son arc tendu,

L’exercice consiste  à tendre, viser, tirer en même temps

Il faut tenir compte de la distance et de la force du vent

C’est pourquoi Cupidon n’atteint pas toujours sa cible.

.

Je suis peut-être un arc tendu,

Mais par autre chose que vertu

Cette force morale avec laquelle

 Je tends et je détends vers bien,

Lors dont la cible serait le vice.

.

C’est très prétentieux de ma part

Que de tirer partout et au hasard

Et atteindre cible à chaque flèche

À un tel exercice jugé redoutable

Je ne me sens, en rien, capable !

.

En matière de vertu, l’on passerait

Rapidement de capable à coupable,

Et l’on deviendra alors un misérable

Qui dans la débauche et vice du sexe,

Prétend avoir atteint cible de l’amour.

.

Fragments

.

L’arc, la flèche, cible

La visée, le  cœur, le trajet,

L’échec, l’approche, le succès :

Trois triplets en autant couplets.

.

Et auxquels, un refrain, j’ajouterais,

Que ces flèches, en aucun cas, ne tuent

Qu’elles proviennent de mes souhaits,

D’accorder, entre nous, nos vertus.

.

Pour ce faire, il doit être tendu

Toucher l’autre en plein cœur

Être porteur d’un bonheur

Qui nous mettait tout nu.

.

Souvent  l’arc sera  guerrier

Mais fait autant pour chasser,

La flèche sera faite pour pénétrer,

Il faut de la puissance pour bander

La corde et la tenir avant de la lâcher,

Pour que la flèche file droite ou courbe,

Qu’elle atteigne la cible, au point nommé.

.

La cible peut bouger sinon déjà bien fixée,

Elle est alors passive, ne peut rien empêcher

Quant à sortir la flèche sans rien faire saigner

Art d’un amour d’une délicatesse consommée.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Quelques mots

Un arc, une flèche,

Une cible,  une vertu,

Une corde bien tendue,

Un œil, d’envie, tente

D’atteindre amour

En  plein  cœur !

Rater  sa cible,

De beaucoup,

De  très  peu,

Est  fâcheux,

Vous   laisse,

Tendu, tordu,

Au  lieu  d’ému

Voire aux cieux.

Recommencer vite

Jusqu’à épuisement

Du stock  de  flèches,

Car  il en  suffit d’une

Pour  bonheur  du jeu.

COMME UN ARC

        Je suis comme un arc tendu par la vertu,

              De toute chose où  mon être prend le dessus,

                Chaque jour, de ma vie : rencontre bienvenue

                  Avec toi, lui, événements, et  objets, confondus.

                    Quand une flèche est lancée … qui peut l’arrêter,

                       Par contre elle peut en certains cas, rater sa cible,

                          Et non seulement être perdue, mais, devenir risible,

                             Si le mot qu’on emploie, geste qu’on fait, mal fléchés.

                               Est-ce la faute à mon arc, d’être trop souvent … tendu,

                               Toute situation et séduction et liaison a sa propre…loi.

                              Si flèches n’atteignent leurs buts, restent en carquois,

                            Elles deviennent  flapies de mes désirs, pauvres, nus.

                        Où va d’autre mon énergie, à ce point, que ne puis

                     Tendre mon effort, vers tout être, qui me réjouit,

                  Déjà d’avance, rien que d’imaginer  l’atteindre,

                Ou bien le sublimer  … le  différer, l’étreindre.

               Mon corps, mon  arc, ma flèche  et ma cible :

            Autant de composants pour les rencontres,

         Absence de réactions me met à l’encontre

     De visée d’arc tendu, en vertu, crédible.

TENDU PAR MA VERTU

^

^^

^^^

I

I

I

I

III

IIIII

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Une corde,   en haut,

Un bois courbé en bas,

Et une flèche au milieu :

Un arc pour un archer !

.

915 4

.

Un arc tendu, ça demande de la force,

 Puis de la précision,

Pour décocher sa flèche afin d’atteindre

Sa cible comme but d’archer.

Quoi de plus simple symbolique qu’arc

Arc et flèche et cible : trio indissociable

Bien qu’ils soient tous trois, différents

 

Symbolique

 

Symbolisme sexuel en lien     avec

      Les activités de chasse et de        guerre.

       Le tir à l’arc résume bien struc           ture

          De l’ordre ternaire tant par ses élé       ments

          Constituants : l’arc, la corde et la        flèche,

        Que par les phases  de sa manifes        tation

            La  tension, puis  la  détente, puis          le jet —–>

     Elle s’identifie à l’éclair, à la fou        dre,

      Trait de lumière qui perce té       nèbres

    De l’ignorance vers connais     sance.

   L’arc est tension  d’où jail      lissent

   Désirs liés à notre incons     cient.

   La flèche, sens mâle, pé   nètre.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

915 6

.

Un arc tendu, ça demande de la force,

 Puis de la précision,

Pour décocher sa flèche afin d’atteindre

Sa cible comme but d’archer.

Symbolique 

 .

L’archer

Symboliserait

À la fois l’adresse

Et  la  concentration,

Anticipation de forces,

Physique, intelligence

Force d’archer.

 .

Combattre à l’arc permet prendre

De la distance avec son ennemi.

Ainsi, la mise en œuvre d’une

Stratégie devient possible.

 .

Et c’est bien  pourquoi  un archer

Évoque la réflexion, l’anticipation.

Toutefois, la distance qui le sépare

De sa cible implique une certaine

Puissance pour que  sa flèche

Puisse atteindre l’ennemi.

 .

Dans la mythologie … le sagittaire

Qui est un centaure, c’est-à-dire

Un être mi-cheval mi-homme,

Restera associé à la sagesse.

1001symboles.net/symbole/sens-de-archer

 .

.

Fond/forme

 .

Un arc est une forme un peu courbe, élastique,

Arc rime parfaitement avec corde tendue et but.

On imagine  force  physique, contrainte par bras,

Mais peut être dirigé par le vice autant que vertu

Néanmoins, ici, la forme de l’objet rejoint le fond

Et s’y superpose, tous deux tendus vers la cible,

Qui comme Zénon l’a montré, jamais atteinte.

.

 Textuels et illustrations >> 

914 – Ma différence, ressemblance aux autres

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Différents et semblables

Sont pleine contradiction,

Pourtant,  je me re connais,

Pour tel avec  tous  les autres.

Différent de gens m’entourant,

Semblable  à  des gens lointains

C’est à n’y plus rien comprendre

On y perd  son  français  et  latin.

C’est question  de corps, d’esprit,

Génétiquement parlant identique

Culturellement, parlant, unique.

Même par rapport mes enfants

Et mes arrière-petits enfants,

Qui ne m’auront pas  connu,

Aurai de leur vue, disparu.

.

Ma différence est semblable,

Comparable

À celle de mon ami… mon frère,

Ou confrère.

 .

Je suis comme milliers d’autres gens

Sur cette terre,

Je vis cent aventures pour dix bonheurs

Et vingt misères.

 .

Un jour, quand mes arrières petits-enfants,

N’auront que prières

Pour moi, lors mon corps, disparu, totalement,

Ne sera que poussière.

 .

De se poser cette question, en seront-ils capables,

A-t-il vécu réellement,

Lors mon sort n’est que ceux d’autres innombrables

Quel que fut mon talent.

 .

Et pourtant, de mon vivant, l’on m’a, souvent répété,

Pour mieux me persuader,

Que j’étais  unique, et différent, des parents, enfants,

Amis ou voisins de quartiers.

 .

Dites-moi, en quoi, pourquoi, je ne suis pas parvenu

A le cerner distinctement,

En quoi  suis-je différent  de semblables, es-qualité,

Dont je me réclame entier,

 .

Et comment, parmi des milliers, on m’accorderait

Primauté d’être bien né :

Les humains sont bien tous les mêmes d’un coté

Et originaux de l’autre.

 .

Leur erreur est de vouloir tous la même chose

Pour vivre, survivre

Avec, sans, pour, contre, ou dépens d’autres,

En bons apôtres.

 .

Des autres de très peu de choses je diffère

Si je ne me mens,

Sinon, moi mort, les gens, pour de vrai,

L’avouer, diraient. 

.

Extensions

 .

Ma différence et ressemblance aux autres

Sont des variations mineures pour l’humain

Se cherchant pour se retrouver parmi les siens,

Par peur d’être noyé dans la masse des anonymes.

Irremplaçable, je le suis, irremplaçable, je demeure,

Indispensable, ne le suis ; indispensable, est un leurre !

Qui ne sait, ne dit, que, mort d’un homme est un drame,

Lors que  la mort d’un millier d’hommes, une statistique !

.

Des européens affirment, parfois, que tous les japonais

Se ressemblent à un détail près qu’ils ne distinguent pas.

Il a plusieurs détails qui les différencient : ils sont uniques,

Tout comme chaque humain sur la planète Terre l’est aussi.

Différences d’apparences mais autant d’histoires et de récits,

Qui se traduisent en cultures, civilisations mais une seule race.

L’humain, lui est semblable à lui-même, se reconnait entre tout,

Par les caractéristiques qui le définissent partout dans le Monde.

.

Il y a des différences

Dites morphologiques,

Ou dites psychologiques

Ou encore…économiques

Tout comme de cultures

Tout comme de métier

C’est certain, assuré.

.

Il y a des ressemblances

Qui sont dites génétiques,

Ou alors dites d’éducation,

De mœurs, comportement

Tout comme de parcours,

D’origine géographique

C’est certain, assumé.

.

Fragments

.

Différence et ressemblance aux autres

Tiennent à mon apparence extérieure

Et mon savoir, expérience intérieure,

 Visions, valeurs dont je suis l’apôtre.

.

Les premières se voient à l’œil nu,

Mais on projette à tort ou raison

Une esquisse de son intériorité,

Dès les cinq minutes présence.

.

Si l’habit ne fait pas le moine,

Ne fait pas non plus son habit

On peut avoir apparence égale

Comme par effet transparence,

Mais tout autant que contraire,

Les communicants le savent bien

Moindre erreur peut couter cher !

.

Vraie différence, fausse ressemblance

Sont communes, sont voisines, établies,

Habillé comme cela, tu ressembles à rien

Il n’y a que ceci, voire cela, qui te va bien,

À moins que tu ne veuille être provoquant,

Ou contraire : devenir ces plus transparents

Mais souviens-toi quel image restera de toi !

.

Et quand tu parles, n’oublies pas davantage

Qu’on attend de toi, conversation d’avantage

Pour ton interlocuteur  que  pour toi-même,

Rejaillissant, boomerang, pour ta personne.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

.

Diffé   *     rents et semb  M  lables

Sont    M    pleine contradic A   tions,

Pour    A      tant, je me re con *     nais,

Pour    *      tel  avec  tous  les  R  autres.

Diffé    D    rent  de gens m’en  E tourant,

Sem     I       blable  à  des gens  S lointains

C’est    F      à n’y plus rien com  S   prendre

On y     É      perd  son  français   E   et latin.

C’est     R     question de corps    M  d’esprit,

Géné    E      tiquement parlant  B identique

Cultu    N     rellement parlant  L   unique.

Même    par rapport mes A   enfants

Et mes  E   arrière-petits   N enfants,

Qui ne  *  m’auront pas  V  connu,

Aurai   *  de leur vue E disparu.

.

***********************

*************************

  A  U  X   *  A  U  T  R  E  S

.

Ma différence est semblable,

Comparable

À celle de mon ami… mon frère,

Ou confrère.

Je suis comme milliers d’autres gens

Sur cette terre,

Je vis cent aventures pour dix bonheurs

Et vingt misères.

Un jour, quand mes arrières petits-enfants,

N’auront que prières

Pour moi, lors mon corps, disparu, totalement,

Ne sera que poussière.

De se poser cette question, en seront-ils capables,

A-t-il vécu réellement,

Lors mon sort n’est que ceux d’autres innombrables

Quel que fut mon talent.

Et pourtant, de mon vivant, l’on m’a, souvent répété,

Pour mieux me persuader,

Que j’étais  unique, et différent, des parents, enfants,

Amis ou voisins de quartiers.

Dites-moi, en quoi, pourquoi, je ne suis pas parvenu

A le cerner distinctement,

En quoi  suis-je différent  de semblables, es-qualité,

Dont je me réclame entier,

Et comment, parmi des milliers, on m’accorderait

Primauté d’être bien né !

Les humains sont bien tous les mêmes d’un coté

Et originaux de l’autre,

Leur erreur est de vouloir tous la même chose

Pour vivre, survivre

Avec, sans, pour, contre, ou dépens d’autres,

En bons apôtres.

Des autres de très peu de choses je diffère

Si je ne me mens,

Sinon, moi mort, les gens, pour de vrai,

L’avouer, diraient. 

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Une pomme de pin avec une houppette

 Mais pourquoi pas une fleur qui pourrait

Lui ressembler, tout en étant différente :

Faudra-t-il plus se méfier des apparences.

.

914 4

.

Ça ressemble à pomme de pin,

Et ce n’est qu’une fleur sauvage

C’est l’apparence qui prévaut

Comme le portrait en peinture.

La forme de pomme de pin se retrouve en nature

Un peu partout mais avec des différences subtiles

Ce qui fait que la forme se rapproche ici du fond !

 

Symbolique

 

Un rapport entre des objets présentant

Des éléments identiques, suffisamment

Nombreux  et suffisamment apparents.

 

Ressemblance plus, moins, parfaite.

Fait,  pour  une personne, de présenter

Des traits  physiques,  communs,  avec

D’autres   personnes   surtout  visages.

 

La  ressemblance  de  deux  jumeaux :

Rapport entre  la chose  et  le modèle,

Tel  que  la   chose    donnera   l’image

Du    modèle.  La   ressemblance  d’un

Portrait avec son modèle étant choisi.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

 914 6

.

Ça ressemble à pomme de pin,

Et ce n’est qu’une fleur sauvage

C’est l’apparence qui prévaut

Comme le portrait en peinture.

 .

Symbolique 

.

Apparence

Ex-té-rieu-re,

Est un pléonasme,

Elle se présentera

Immédiatement

À votre vue

Ou la pensée

«Il ne faut jamais

Se fier aux apparences.»

L’apparence peut tromper,

C’est bien connu, lors quant à

Son extériorité, elle est évidente,

Puisque, et fort précisément,

Ne laissera transparaître

Que partie   intérieure»,

Plus profonde, et souvent plus vraie.

Cela n’exclut pas pour autant que l’intérieur

Puisse ressembler à l’extérieur, mais ce

N’est pas systématiquement le cas.

Alortographe.unblog.fr

.

Fond/forme 

.

Me dire que je ressemble à une femme

 Me paraitrait totalement faux, incongru,

Pourtant mis à part apparence d’homme,

Partage avec elle, des fonctions identiques

Elle ne m’est pas inconnue, je m’y projette,

Sans m’y identifier, vouloir m’y substituer.

Je sens d’avantage  différence  personnelle

Quand je suis dans une foule, en anonyme,

Ne leur ressemble qu’en tant que personne.

.

Il y a différence entre vraie et fausse ressemblance

Comme une fleur sauvage en forme de pomme de pin

Chacun de nous ressemble aux autres, par contrainte

Chacun de nous en diffère  par espace  perso de liberté

En face à face avec les autres, il y a ce questionnement.

 Fond/forme s’évoquent ne s’épousent pas complétement

Tant même deux pommes de pin auront des différences !

.

 Textuels et illustrations  >> 

913 – Si je suis raisonnable, sans grain de folie

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Être trop raisonnable,

Serait vite… ennuyeux

Lors être trop en folie,

Serait vite… facétieux.

.

Suis parfois paradoxal

Je dis, fais le contraire

Ou décision arbitraire,

Qu’elle soit  bien, mal.

.

Lors  inconscient agit,

En moi hors la raison,

Ma vie devient   enjeu,

En lequel  je suis pion.

.

Tantôt sage, tantôt fou

Jamais aux deux bouts

Mais toujours…debout

Tels sont grains de vie.

.

Si je suis raisonnable, sans grain de folie,

Je serais vite ennuyeux :

De passion, on ne verra pas son éclat vernis

Dans mes grands yeux.

.

Parfois je fais le contraire de ce qu’on me dit,

Je ne suis pas vertueux,

Obéis au principe d’un amour qui m’anéantit,

En son désir vertigineux.

.

J’ai, en ma tête, un territoire, obscur, interdit,

Sans carte du lieu

Que je garde en secret, s’il ne m’échappe au lit

Lors amoureux !

.

Un jour, j’ai rêvé d’immortalité, d’un paradis,

Auprès des aïeux,

S’il est bien quelque part, il ne peut être, ici,

Où tout n’est que jeu.

.

Jeu, réalité, destinée, fatalité, compromis,

Entre joyeux, fâcheux,

Je suis humain assumant grain de folie

Et, c’est déjà heureux !

.

Mais, me  direz-vous, cela  ne  suffit

Pas à combler une vie

Car il en faudra bien davantage

Pour passer pour un sage.

.

Sage, pas sage, passage,

En ces trois mots,

Tout est dit :

Compris.

V

.

Extensions 

.

Les êtres les plus fragiles ont ce point commun :

Un petit grain de folie,  qui les rend attachants,

Par leur irrationalité ou par leur excentricité.

Les gens bien trop et toujours raisonnables

Deviennent prévisibles  mais  comme ils

Ne montrent pas défaut de la cuirasse,

Personne ne viendra fendre l’armure.

.

Les instables seront plus accessibles

Ils se mettent  en danger … souvent

En requérant  l’aide  des écoutants.

Grain de folie rassure sur humanité.

L’erreur est humaine, et la folie  aussi,

Après il s’agit d’une douce ou d’une forte

D’une productive ou voire, d’une négative,

D’une saine, ou voire, d’une malade…  folie.

.

Tant,  ce ne serait pas, la folie,  en elle-même

Qui pose problème, mais bien son déséquilibre

Par rapport à la raison : « j’ai acheté ça, je sais,

C’est folie, j’avais envie, ça ne prend pas souvent»

Circulez : l’important est d’en avoir été conscient !

Folie passagère, circonstancielle, et, folie durable,

Structurelle, n’ont rien en commun ni rien à voir.

.

Grain de folie, grain de sel, grain de sable, grain de beauté

Autant de grains à moudre mais parfois qu’au sens figuré :

Taille du grain peut varier chez les gens, en environnement

Être parfois si gros, coloré, qu’il impressionne les passants

Un grain si gros : ce n’est pas raisonnable, c’est de la folie

Généralement, les gens en ont tous un, mais tout petit !

Ma folie à moi est grande comme une tête d’épingle

En plein milieu du cerveau et rayonne en écrits 

Mais qui, je l’espère, correspondra au vôtre.

.

Grain de folie, pour être, sinon dérangé,

Du moins un peu beaucoup différencié

D’être capable de sortir  de son statut

D’être connu… toujours raisonnable.

.

On confond comportement impulsif

Avec comportement achat compulsif

Cinq minutes avant,  d’avis très rétif,

Et puis soudain bien plus que positif.

.

Il en serait de même pour les relations

Celui-là me rendait des plus indifférents

Et soudain, je me mettrai à sortir avec lui

Et ne regretterai pas ce choix plus que divin.

.

À force d’être raisonnable, on devient ennuyeux

Autant en soi, pour soi, que pour tous les autres !

.

Fragments 

.

Un grain de folie pousserait à errer

dans toutes les directions, à la fois !

.

Un grain de folie pousserait à prendre

des décisions contraires, ou irréalistes.

.

Un grain de folie pousserait à considérer

ses désirs les plus fous, pour des réalités !

.

Un grain de folie pousserait  à sortir de soi,

pour faire une chose qu’on ne s’autorise pas.

.

Un grain de folie pousserait à un tour du monde

avec un billet simple aller, sans prévoir un retour.

.

Et voilà, parmi d’autres, tant on peut en imaginer,

comment on sort de sa zone de confort pour risquer

.

Si, des fois, c’est gagnant, et si, des fois c’est perdant,

 de rester sur place à tourner en rond devient gonflant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

SI JE SUIS

Être trop raisonnable,

Serait vite… ennuyeux

Lors être trop en folie,

Serait vite… facétieux.

Suis parfois paradoxal

Je dis, fais le contraire

Ou décision arbitraire,

Qu’elle soit  bien, mal.

Lors  inconscient agit,

En moi hors la raison,

Ma vie devient   enjeu,

En lequel  je suis pion.

Tantôt sage, tantôt fou

Jamais aux deux bouts

Mais toujours…debout

Tels sont grains de vie.

 RAI-SON-NA-BLE,

Si je suis raisonnable, sans grain de folie,

Je serais vite ennuyeux :

De passion, on ne verra pas son éclat vernis

Dans mes grands yeux.

SANS GRAIN DE FOLIE !

Parfois je fais le contraire de ce qu’on me dit,

Je ne suis pas vertueux,

Obéis au principe d’un amour qui m’anéantit,

En son désir vertigineux.

J’ai, en ma tête, un territoire, obscur, interdit,

Sans carte du lieu

Que je garde en secret, s’il ne m’échappe au lit

Lors amoureux !

Un jour, j’ai rêvé d’immortalité, d’un paradis,

Auprès des aïeux,

S’il est bien quelque part, il ne peut être, ici,

Où tout n’est que jeu.

Jeu, réalité, destinée, fatalité, compromis,

Entre joyeux, fâcheux,

Je suis humain assumant grain de folie

Et, c’est déjà heureux !

Mais, me  direz-vous, cela  ne  suffit

Pas à combler une vie

Car il en faudra bien davantage

Pour passer pour un sage.

Sage, pas sage, passage,

En ces trois mots,

Tout est dit :

Compris.

V

.

Forme

.

.

Évocation

 .

La pointe d’un stylo à encre,

D’une lance ou d’une flèche : 

Raisonnable  serait mon stylo,

Plus que la direction de flèche.

.

.

Ma flèche a tendance à diverger

Continuellement en loin du centre :

Est-ce que  j’aurais   du mal  à rester

 En direction de la norme ou normal.

 

Symbolique   

 

En tant qu’outil ou instrument,

Et non plus seulement en tant que signe,

Flèche est  symbole de pénétration, ouverture.

 

La flèche symbolise autant la pensée, qui introduira

La lumière et l’organe créateur, de celui qui conçoit.

 

Par opposition à la fourche, elle est l’objectivation,

Le choix, le temps orienté à (suivez les flèches…)

 

Symbole  aussi  de la pointe acérée, qui vole,

Pour surprendre, tuer au loin sa victime.

 

Symbolise enfin la mort foudroyante

Ou encore de la vitesse et droiture.

 

Bien que ne suis pas une flèche

Tant au sens propre, figuré

 

Je me croirais rapide

En vue de pénétrer

 

Âme humaine

Sensible !

.

.

Fond

.

Évocation 

.

913 6

.

Ma flèche a tendance à diverger

Continuellement en loin du centre :

Est-ce  que  j’aurais  du  mal  à rester

 En direction de la norme ou normal !

.

 Symbolique 

 .

Son —>

Usage principal

Est montrer direction,

Long de la ligne en suivant

Sens indiqué par pointe ;

Voire un mouvement.

 .

 <— Sur une 

Carte géographique

Ou une boussole, la rose

Des vents, serait constituée

 D’un ensemble de flèches

Indiquant directions

Points cardinaux.

 .

Des flèches <—> 

Sont souvent utilisées

Sur nombre panneaux de

 Signalisation, guidant

 Les voyageurs.

fr.wikipedia.org/

wiki/fleche_(symbole)

 .

.

Fond/forme 

 .

Rien à dire, la forme du texte représente une flèche

Grain de folie est ce qui l’a fait descendre vers le bas.

.

Face à face, avec elle, avec lui me rend questionnable

Sur ce qui fonde  mes décisions : raison ou émotion !

.

Parfois, je cèderai inconsciemment à un brin de folie,

Ce n’est qu’après que je rationaliserai forme et fond !

Au final un grain c’est bien, deux beaucoup, trois trop.

.

Textuels et illustrations >> 

912 – Je me sens seul bien qu’entouré de gens

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ce n’est pas parce que vous êtes

Entouré de gens vous connaissez,

Que  vous ne vous sentez  pas  seul

Au   milieu  d’une  foule   d’inconnus,

Ça se comprend : milieu famille, moins.

.

Et pourtant, c’est pire, lors on vous aime,

Ils  ne comprennent  pas  votre  problème,

Lors ils sont à votre écoute, somme toute.

En fait : êtes,  ici et ailleurs, autre rivage

Qui  n’a  rien  avec  eux, en  partage.

.

Je me sens seul, parfois, il est vrai

Je l’avoue, le confesse, je le ressens :

Je ne ferai pas une tête d’enterrement

C’est qu’état passager  qui ne m’effraie.

.

Je me sens très seul lors entouré de gens,

Me parlant, m’aidant voire m’aimant tant

Je n’ai pas trop le temps d’y pense souvent

D’ardeur, afin de m’y impliquer fortement.

.

Je vois bien les gens, s’agitant, en courant,

Pour aller nulle part d’où mon étonnement

Lors serais-je rendu bien  plus  clairvoyant

En quittant ces gens s’en allant… mourant

Sans voir ce qui fait essence même, vivant

Être aimé ou aliéné en conditionnements.

.

Le monde serait-il devenu une fin en soi

Contre vie,  accomplissement    de   soi,

Cherchant  ailleurs ses  contentements

On nous empêche très constamment.

.

Ailleurs serait nulle part qu’en nous

Là où se font nos intimes voyages,

Et qui nous  font  découvrir tout

De nos différents personnages.

.

Tant il n’y aura autre rivage,

Que près  de  notre  visage

Qui  aime sans  partage

Quel  que soit son âge

.

Ma solitude et finitude,

Je l’assume, la consume,

Comme interludes  de toi

Et  qui alors m’en exhume,

Gens qui vont, qui viennent

Autour de moi  ou  avec moi

En leurs pas, m’entrainent

À revenir encore vers toi !

.

Extensions 

 .

Il me suffit d’un, d’une amie,

Pour combler ma solitude, non ennui :

Seul avec des gens ; avec toi, jamais : nenni !

Je communique d’un geste, d’une mimique

Sans vraiment parler, rien qu’exister

Et tu me comprends pourtant.

.

On dit qu’il n’est pire solitude que seul dans un désert,

Mais que dire, dans un foule, bien qu’entouré de gens !

L’ignorance, l’indifférence, sont des armes de négation,

Vous désarmant, bien plus, lors il s’agit de gens connus.

On dit, qui se ressemble, s’assemble, est-ce vrai en tout ?

Gens qui manifestent pour une cause, sont-ils identiques,

C’est sûr que non s’ils n’auront que ce seul point commun.

Une solitude partagée, à deux, constituent des oxymorons,

Et l’on se sent parfois plus seul en couple qu’avec soi-même.

.

On peut se sentir seul avec un étranger,

Dans une foule de personnes inconnues,

Tout autant qu’avec son conjoint, enfant.

.

Pire encore, la foule peut être oppressante,

Voire même en manifestation, angoissante,

Et il en est qui en sont devenues sanglantes !

.

Facilité d’entrer en relation avec des inconnus,

Est une compétence sociale fort bien reconnue,

En la majorité des cas, elle est vécue bienvenue.

.

Comment est-il possible de ne pas dire un mot,

De la journées, de se retrouver dans un groupe,

Et de revenir chez soi sans avoir communiqué.

.

Fragments 

.

L’on n’est jamais si seul qu’avec soi-même,

Mieux vaut être seul que mal accompagné,

Ou la solitude vous pèse sinon vous soulage,

Ou plus jamais seul se marie avec enfin seul.

.

L’on parle ainsi d’extravertis et d’introvertis,

L’on parle ainsi de dépendants, d’autonomes,

Le pire serait d’être très entouré, attentionné,

Et de se sentir encore bien plus seul que seul !

.

Beaucoup apprécient des moments de solitude,

Après une période de bruit, agitation, de fatigue

D’autres recherchent les moments de convivialité

Avec bouteille, verre et tire-bouchon à leur portée.

.

Être entouré de gens, d’inconnus, ne satisferait pas

Longtemps, on cherche quelqu’un de connu, d’aimé.

C’est parfois une drôle d’impression en pays étranger :

Je pourrais mourir ici, personne n’en aura rien à cirer !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

  Ce n’est pas parce que vous êtes

Entouré de gens vous connaissez,

Que vous ne vous sentez pas seul !

Au   milieu,

D’une foule

D’inconnus,

Ça se comprend : milieu famille, moins.

Et pourtant, c’est pire, lors on vous aime,

Ils ne comprennent pas votre problème,

Alors qu’ils sont

À votre  écoute

Somme toute.

En fait : êtes,

 Ici et ailleurs

Autre rivage

 Qui  n’a  rien

Avec      eux,

En  partage.

JE    ME   SENS

Je me sens seul, parfois, il est vrai

Je l’avoue, le confesse, je le ressens :

Je ne ferai pas une   S    tête d’enterrement

C’est qu’état passager E           qui ne m’effraie.

Je me sens  très seul   U           entouré de gens,

Me parlant, m’aidant   L         et  m’aimant  tant,

Je n’ai pas le temps         *       d’y penser, souvent,

D’ardeur, pour m’y        B        impliquer fortement

Je vois bien les gens       I       s’agitant, en courant,

Pour aller nulle part       E      d’où mon étonnement

Lors serais-je rendu       N      bien  plus  clairvoyant

En quittant ces gens      *        s’en allant… mourant

Sans voir ce qui fait        Q       essence même, vivant

Être aimé ou aliéné                  en conditionnements.

Le monde serait-il           E        devenu une fin en soi

Contre vie, accom           N        plissement    de   soi,

Cherchant ailleurs          T          ses    contentements

On nous empêche           O           très  constamment.

Ailleurs serait nulle        U            part : que  en nous

Là où se font nos             R             intimes… voyages,

Qui nous font                   É                    découvrir tout

De nos vrais                      *                      personnages !

Car, il n’y a                    D     E                   autre rivage,

Que près de            G      E    N    S           notre visage

Et    qui    aime,

 Sans  partage

Quel   que

Soit son

 Âge

.

Ma solitude et finitude, je l’assume,  je la consume,

Comme  des  interludes de toi  et qui m’en exhume.

Gens qui vont, viennent autour de moi ou avec moi

Dans leurs pas, m’entrainent à revenir …  vers toi !

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Un calvaire breton, avec une croix,

Et pourquoi pas un tire-bouchon

Les deux seraient pour convivialité.

.

912 4

.

Premier, d’esprit,

Second, de corps ?

Le tire-bouchon reste

Objet  de   convivialité

Et  objet  de  partage 

 

Symbolique    

XVIIe siècle, apparait  tire-bouchon.

Est contemporain de l’invention de la

Bouteille dite « moderne ».

De déboucher  une bouteille  aura d’emblée

Nécessiter l’invention d’un outil spécifique :

Le tire-bouchon était né !

Objet précieux, voire aristocratique

À l’origine,  le tire-bouchon  sera vite

Devenu symbole bien-vivre et partage,

En Angleterre  puis  en France, d’abord

Pour  se  démocratiser  progressivement

Jusqu’à  devenir     universel,  devenant  

Du même coup             un magnifique

Objet    de

Collection.

Source : club-francais-du-tire-bouchon

.

.

Fond

.

Évocation 

.

912 6

.

Tire-bouchon est un objet de convivialité,

Objet de partage :

Mais il est souvent seul et isolé au fond d’un

Tiroir, d’un placard !

 

Symbolique 

Symbolique

La convivialité, un mot dérivé du  latin

Convivium pour dire repas  <->     en commun.

Un  néologisme, créé  par   <->    Brillat-Savarin

Pour désigner «le plaisir  <->   de vivre ensemble,

Chercher des équilibres  <->   nécessaires à établir

La bonne communica   <->   tion pour un échange

Sincèrement amical  <->   et autour   d’une  table.

La     convivialité <->    correspond au processus

Par lequel on    <->     développe   et on assume

Son rôle de     <->    convive, ceci  s’associant

Toujours à    <->   un partage alimentaire,

Se superposant à la commensalité.»

Source : Wikipédia (Jean-Pierre Corbeau)

 .

.

Fond/forme 

 

La convivialité est un rite social et universel

En France, elle se joue aux pauses café et repas

Ailleurs, en d’autres pays, cultures, autrement.

.

Elle diminue sentiment de solitude et augmente

Celui de la solidarité, et voire de la compassion

Il suffit parfois d’être deux, être bien ensemble,

 

Ou repas, événement, réunissant famille, amis

À condition  que l’on trouve  plaisir à partager

Sinon  sa solitude  est  encore pire qu’être isolé.

.

Qu’y a- t-il de plus convivial qu’un tire-bouchon

Sauf pour les drogués des vins pour alcoolisation

Il rime parfaitement avec repas et conversation,

Et bien plus encore avec plaisir de dégustation.

.

Cela dit il en existe des quantités de… formes

Et il touche le goulot du flacon, non le fond

Et la convivialité peut se passer de lui !

.

Textuels et illustrations   >> 

911 – Tant que je communique, je suis vivant

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

T’es où,  là,

Comment tu vas

Et, tu fais  … quoi !

Quand on se … revoit !

.

C’est  un  protocole  social,

Commun,  d’entrée,  relation,

Nombre de télécommunications.

Cela ferait du bien : point de mal .

.

Communiquer n’est pas que parler,

Communiquer  n’est pas  qu’écrire :

C’est aussi lire  pour  se documenter

C’est aussi se promener ou, voyager.

Communiquer  nature, soi-même ?

.

Sont deux formes,  excluant autres

Elles vous rendront autant vivant

Par force, présence relationnelle.

.

Je suis toujours dans le monde

Quand je me retire, voyage,

Mon réseau me poursuit

De tous ses messages.

.

Quelqu’un pense à moi,

Pour lui, je persiste,

Me demande «t’es où toi ?»

Pour lui, je consiste,

S’inquiète «comment tu vas ? »

Pour lui … j’existe,

Il m’interroge : «tu fais quoi ?»

Pour lui, suis en piste

.

Si mes moyens ne manquent pas,

La parole, l’écrit, le geste : ça va :

Y a tant d’occasions ratées, vues,

Côtoyant des gens et dans la rue.

.

Vrai, il y a les livres,  documents,

Vrai, il y a la nature, ses éléments,

Vrai, les animaux, toujours contents,

Vrai, il y a soi-même, toujours présent.

.

Tant que je communique, je reste vivant :

C’est évident, mais ça va mieux en le disant :

Ma vie ne peut se réaliser en une tour d’ivoire :

Ce sera laisser la porte ouverte, à tout désespoir.

.

Communiquer restera un impératif pour exister,

Non pas seulement, un besoin, pour soi-même,

C’est le regard de l’autre  qui nous fait exister,

Et qui nous fait mourir, je ne parle pas de la

Santé mais de la relation interpersonnelle,

Sans les autres, nous ne sommes… rien !

.

Extensions 

.

Communiquer « comment » est autre affaire :

Tout le monde n’a pas besoin d’un public large,

La famille, amis, suffisent en majorité des cas.

Communiquer quoi est symptomatique de

Son état mental, psychologique, moral.

Si l’on parle de la pluie et du beau

Temps, ça reste très  impersonnel,

Engage, peu, le ressenti  des autres.

.

À l’inverse si l’on parle de ses problèmes

Personnels on peut mettre son interlocuteur

Parfois mal à l’aise : un peu … mais pas trop !

En somme, il nous faut adapter notre humeur,

Et nos soucis à l’interlocuteur : c’est pas le bon,

C’est pas le bon mode, c’est pas le bon moment,

C’est pas celui qui m’aidera ou il m’enfoncera !

.

« On ne peut pas ne pas communiquer » dit l’école de Palo Alto :

Ne pas communiquer est communiquer sa non-communication !

Se taire, c’est encore parler, c’est acquiescer  ce qui vient d’être dit

Et communiquer ne se contient pas à parler, il y a d’autres moyens,

Les gestes, les mimiques, les postures, les présences, les regards, etc.

Dès que l’on bouge, se manifeste, on communique que l’on est vivant

Il en sera de même, pour tous les animaux, et de nombreuses plantes.

L’humain a ceci de particulier qu’il utilise un langage qu’il aura codifié

Parce qu’il sait qu’il est vivant et mortel, il s’emploie à le complexifier.

.

Ce ne sont pas les moyens qui manquent aujourd’hui

Et pourtant des gens se plaignent encore de solitude :

Communiquer est autant un besoin, art, et volonté !

.

Apprendre à bien communiquer sa ferait partout,

À la maison, à l’école, au travail, dans la rue, etc.

Chaque situation nouvelle devient une occasion

Pour mieux comprendre, s’adapter, répondre.

.

Il y a ceux étant plus à l’aise à l’oral qu’écrit

Ceux qui maitrisent parfaitement les deux,

Ceux qui ne sont doués en aucun des deux

Qui ne disent rien ; parlent tout le temps.

.

Moi je parle, parfois, très sérieusement,

Et parfois pour rire, humoristiquement

On peut me trouver ennuyeux ou drôle

C’est juste la question de jeux de rôles.

.

Fragments 

.

Communiquer fait partie des besoins fondamentaux,

tout comme s’alimenter, respirer, se déplacer, dormir

.

 Ce ne sont pas les moyens qui manquent, y a pléthore

ce sont les interlocuteurs, intéressants, ou intéressés.

.

Communiquer, ce sera rester vivant, que devient-on,

communiquer, ce sera se sentir moins seul,  écouté !

.

Il n’y aurait pas que les humains qui communiquent,

les animaux bien évidemment mais les plantes aussi.

.

Si, parfois, il arrive qu’on communique à sens unique

il peut y avoir des causes autres qu’interpersonnelles.

.

Il y en a aussi qui communiquent mal, voire très mal,

par des messages incompréhensibles, et voire insultes

.

Au final communiquer est devenu un art qui s’apprend

depuis l’enfance, l’école et jusqu’aux instituts experts !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

T’es où,  là,

Comment tu vas

Et, tu fais  …   quoi !

Quand on se …   revoit !

C’est un     protocole   social,

Commun     d’entrée,      relation,

Nombre    J télécommuni  J  cations.

Cela fait du  E    bien point    E    de mal !

Communiquer *       n’est pas     *   que parler

Communiquer  C       n’est pas      S      qu’écrire

C’est aussi, lire,  O        pour se       U  documenter

C’est aussi, se      M     promener,    I    ou, voyager.

Communiquer      M  avec nature  S      soi-même ?

Sont deux formes,  U                    *  excluant autres

Mais elles vous rend  N           V  ront autant vivant

Par leur force et prés  I          I    ence relationnelle.

Je suis toujours …… Q .….…. V …… dans le monde

Quand je me ……… U .……… A ….. retire, voyage,

Mon réseau ….. E ….…….…  N … me poursuit

De tous ses .… * ….……………. T … messages.

.

 Quelqu’un pense à moi,

Pour lui, je persiste,

Me demande «t’es où toi ?»

Pour lui, je consiste,

S’inquiète «comment tu vas ? »

Pour lui … j’existe,

Il m’interroge : «tu fais quoi ?»

Pour lui, suis en piste

.

Si mes moyens ne manquent pas,

La parole, l’écrit, le geste : ça va :

Y a tant d’occasions ratées, vues,

Côtoyant des gens et dans la rue.

.

Vrai, il y a les livres, documents,

Vrai, il y a la nature, ses éléments,

Vrai, les animaux, toujours contents,

Vrai, il y a soi-même, toujours présent.

.

Tant que je communique, je reste vivant :

C’est évident, mais ça va mieux en le disant :

Ma vie ne peut se réaliser en une tour d’ivoire :

Ce sera laisser la porte ouverte, à tout désespoir.

.

Communiquer restera un impératif pour exister,

Non pas seulement, un besoin, pour soi-même.

C’est le regard de l’autre  qui nous fait exister,

Et qui nous fait mourir, je ne parle pas de la

Santé mais de la relation interpersonnelle,

Sans les autres, nous ne sommes… rien !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Ça peut très bien être un buzzeur

Et pourquoi pas un champignon

Ou voire  une fusée  lunaire  de Tintin,

L’essentiel imaginer, communiquer.

.

911 4

.

Champignon en forme de  petite maison

N’est-ce pas romantique :

 Et pour nous communiquer son émotion

Il nous invite à la partager

 

Symbolique

 

Les    champignons

Sont    bien  des    plantes qui,

Sous    une apparence      identique,

Seront    comestibles        ou    vénéneuses

Symbolisent, pour               le moins, soupçon.

En Asie,                                            et en Chine,

Il serait le symbole de

La longévité et fertilité.

D’ailleurs en mythologie

Il figure parmi attributs

Du dieu de la longévité.

Cette association tient

Sans doute   au fait

Qu’une  fois séchée,

Le  champignon   se

Conserve très longtemps.

1001symboles.net/symbole

/sens-de-champignon

.

.

Fond

.

Évocation de forme

.

911 6

.

Pour communiquer ses paroles et ses gestes

 en y ajoutant  ou non nos émotions

Ou pour les partager événement avec quelqu’un

Faut-il encore qu’il entende, écoute.

 Symbolique de fond

Toute communication serait

Vue comme un système complexe,

Et concerne tout ce qui se passe lors

Des individus entrent en interactions.

Les processus cognitifs, et affectifs ,et

Inconscients  seraient  pris en compte.

 

Dans cette optique ——–> les informations

Transmises sont tou ——->  jours multiples.

Les   transmissions <———  d’informations

Ne sont  que parties  <———   du processus

De  communications <———–> bilatérales

Participants  traitant <———–>  plusieurs

Niveau de sens simulta —-><—–    nément.

Modifié, source : site Web Wikipédia

.

.

Fond/forme 

.

Communiquer quoi est un problème important

Avoir une pensée, une expression claire et concise,

Communiquer avec qui, tant il y a n interlocuteurs

Divers et qui comprennent différemment les sens,

Et tout peut dépendre du médium qu’on utilisera

Parole, écrit, image animation, dessin, humour.

.

La forme du champignon est bien celle du texte

Elle ressemblera aussi à une maison individuelle

Ça rime tantôt de manière  contrainte et libre :

Il n’existerait pas de vie sans communications

En la nature et y compris en monde végétal,

Ainsi toute communication est universelle.4

.

 Textuels et illustrations  >> 

910- Le monde vient à moi, si je vais à lui !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Si j’attends qu’on me sonne,

Je ne verrai plus… personne,

Car les gens aiment recevoir

De  vos nouvelles, bien plus,

Que  d’en donner, des leurs !

.

Le Monde  est bien pareil si,

Vous ne vous intéressez à lui,

À vous, il ne s’intéressera pas

Voire même, il vous ignorera.

.

Faire partie du Monde, pose

Forte nécessité d’y être relié

Partout, et, en permanence,

Et, quel que soit  le moyen !

.

Ce n’est pas tant fréquence

Que, l’intensité d’échanges,

Qui compte  penser à vous,

Par politesse ou obligation,

Ne donne  pas  satisfaction.

.

Que j’arrête de communiquer,

Mes  interlocuteurs  m’oublient,

Une semaine, un mois, une année

Sans se faire le moindre des soucis.

.

Dès que je leur écris ou je les appelle,

Ils se disent contents de mes nouvelles,

Entre deux éclipses ou échappées belles,

Jusqu’à ce que leur oubli se … renouvelle.

.

Combien de personnes pensent .. . à moi !

Penser ne suffit pas si on ne manifeste pas,

Par un moyen quelconque, de sa bonne foi,

Laissant des traces,  qui ne s’effaceront pas.

.

Serait-ce triste que formuler un tel constat !

Non, rien de plus normal  ni de plus humain.

Chacun s’affaire, et  tire intérêt de vos débats,

Mais ne se souvient de rien, dès le  lendemain.

.

Lendemain, voire surlendemain, vite, passent,

Vous ne donnez  signe  de vie, l’espoir  se lasse,

Votre main tendue attend l’autre qui la… serre,

Si rien ne se produit vite, elle vous … désespère.

.

Ne plus savoir communiquer  est grande misère,

Les internautes qui ne manquent pas de moyens.

Ils demeurent seuls ou lancent messages à la mer,

Attendent marée pour rencontrer proches voisins.

.

Si  l’on ne  veut  communiquer  qu’avec  soi-même,

L’on atteint vite, la limite de ses anciennes ornières.

Seul, le monde extérieur, avec ses idées aventurières

Peut nourrir liens faits  de limites, tensions extrêmes.

Vrai, je ne peux communiquer  qu’avec quelques-uns !

.

Extensions 

 .

Si je n’ai rien à faire du monde,

Le monde n’aura rien à faire de moi

Le monde, il faut toujours le solliciter.

Si vous arrêtez de le faire, zéro, rideau

Il fait de même et sans sourciller.

Il faut être proactif, l’on dit,

En tous cas en société,

Plus encore en réseau

Car seuls surnages ceux

Qui  surfent sur la vague,

Et ceux qui feront le buzz.

.

Nouvelles du Monde, mon pays, ma région, ma commune,

Filtrant informations, qui s’imposeront plus ou moins à moi.

Il y en a qui me surprennent, me réjouissent, m’importunent,

Il y en a qui me feront douter et d’autres en lesquelles, j’ai foi.

Il y aura les journaux de référence et les faussetés d’Internet

Il y aura les informations à la source et celles, manipulées.

Comment s’y retrouver, dans un tel dédale de données ?

.

Aller vers le Monde, pour partager

Ses valeurs, ses passions, ses intérêts.

Comme le Monde m’ignore allègrement,

Si je ne le sollicitais pas, je n’existerais pas

.

Pas simple  de faire le tri, dans ses brouhahas

D’informations, vraies, fausses, contradictoires

Les infos proviennent tous des mêmes sources,

La seule chose qui change est interprétations.

.

Hier, on vous parlait  grands feux de forêts ;

Aujourd’hui, on vous parle de sécheresses ;

Demain on vous parlera des inondations,

Peu feront le lien  entre écolo et météo.

.

Fragments 

.

Le Monde  ne m’attend guère :

Il ne sera pas à ma disposition,

Si je ne me déplace pas vers lui,

Autant que moi … il m’ignorera.

.

Dès que je le sollicite, il interagit :

C’est le propre du réseau  où je suis,

Même s’il ne m’aide pas, directement,

Sa seule présence me réconforte, réjouis.

.

Le Monde est  un peu  comme une bouteille :

Certains y mettent de l’eau, du lait, de l’alcool

Et comme je ne produis aucun de ces liquides

J’ai besoin des services qui me les fournissent.

.

Le Monde est ce qu’il est, multiple, changeant :

Il ne se laisse pas embrasser par un seul savant,

Je n’en maitrise que petit bout par ma lorgnette

À l’autre bout du Monde, je ne sais qui vous êtes.

.

En dépit de toutes apparences,  toutes différences,

Le Monde serait un peu le même partout, cohérent,

La Nature reste semblable sans l’action de l’homme,

Ne suis qu’un élément pour la sauver ou la détruire.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Si j’attends qu’on me sonne,

Je ne verrai plus… personne,

Car les gens aiment recevoir

De  vos nouvelles,  bien plus,

Que d’en L  donner, des leurs !

Monde     E     est bien pareil si,

Vous ne     *  vous intéressez à lui,

À vous,         M il ne s’intéressera pas

Voire même     O            il vous ignorera.

Faire partie            N           du Monde, pose

Forte nécessité          D                 d’y être relié

Et partout, et, en           E                permanence,

Et, quel que soit                 *                     le moyen !

Ce n’est pas tant                   V                      fréquence

Que, l’intensité                         I                    d’échanges,

Qui compte                                E               penser à vous,

Par politesse                               N              ou  obligation,

Ne donne pas                              T                   satisfaction.

Que j’arrête de                             *               communiquer,

Mes interlocuteurs                   A                      m’oublient,

Une semaine, un                      *              mois, une année,

Sans se faire le                   M             moindre des soucis.

Dès que je leur                O              écris ou je les appelle,

Ils se disent                  I          contents de mes nouvelles,

Entre deux                 *        éclipses ou échappées belles,

Jusqu’à ce              D         que leur oubli se… renouvelle.

Combien               E        de personnes pensent … à moi !

Penser ne              S     suffit pas, si on ne manifeste pas,

Par un moyen            *        quelconque, de sa bonne foi,

Laissant des traces        Q            qui ne s’effaceront pas.

Serait-ce triste que de      U      formuler un tel constat !

Non, rien de plus normal          E       ni de plus humain.

Chacun s’affaire, tire intérêt           *         de vos débats,

Mais ne se souvient de rien, dès       J       le  lendemain.

Lendemain voire surlendemain      E   très vite, passent,

Vous ne donnez signe de vie,       *         l’espoir se lasse.

Votre main tendue attend       V     l’autre qui la… serre,

Si rien ne se produit vite,     I       elle vous … désespère.

Ne plus savoir commu       E   niquer est grande misère

Des internautes qui ne    N    manquent pas de moyens.

Ils demeurent seuls ou    *   lancent messages, à la mer,

Attendent  marée  pour  A   rencontrer proches voisins.

Si l’on ne veut commu     *      niquer qu’avec soi-même

L’on atteint vite limites   L    de ses anciennes ornières.

Seul le monde extérieur  U  avec ses idées aventurières

Peut nourrir liens faits     I  de limite, tension extrême.

Vrai, je ne peux communiquer  qu’avec quelques-uns !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une bouteille, et voire un flacon,

Et pourquoi pas : un pot de lait 

Quel que soit sa forme, contenu

Il appartient à notre monde ?

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Évocation

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Monde vient à moi avant 18 ans,

Et après, c’est moi qui ira  vers lui :

Et  si je je le fais pas, alors ce sera lui

Qui me mettra sous cloche, bouteille.

Le Monde est comme une enveloppe

Qui contient tous les possibles :

Il n’a qu’à les conquérir.

Symbolique

 

Un moyen

Mnémotechnique

Permet de mémoriser

Les tailles des bouteilles

Ordre  croissant  contenance

 Quart,        demi,         bouteille,

Magnum, jéroboam, réhoboam,

Mathusalem,             salmanazar,

 Balthazar,            nabuchodonosor.

Mais pour autant … ce ne sera pas

Grandeur  du contenant, signifiant

Qualité du contenu de même qu’une

 Cloche à fromage peut bien contenir

Soit le meilleur, soit voire le pire !

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Fond

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Monde vient à moi avant 18 ans,

Et après, c’est moi qui ira  vers lui :

Et  si je je le fais pas, alors ce sera lui

Qui me mettra sous cloche, bouteille.

Symbolique

 .

Rapport de l’homme au Monde

Qui interroge toute philosophie, renvoie

À une dichotomie entre les sujets et les objets.

Les substances extérieures, closes sur elles-mêmes,

L’identité des corps a été érigée en un principe logique.

À partir de ce principe, Descartes aura pu proposer

À la réflexion qui nous caractérise de se centrer

Sur elle-même  et de  mettre  le monde entre

Parenthèses. Tout rapport au monde qui

Ne dépend que des sens, est voué

À une certaine confusion.

Modifié et mis en forme, source :

tel.archives-ouvertes.fr/tel-00985100/document

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Fond/forme 

Le Monde est vaste, trop vaste pour être connu

Par un seul être mais pour autant comme puzzle

Un morceau se raccroche à un autre et un autre,

C’est à la fois une zone de brume et terrain de jeu.

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Il m’utilise certes, pour son profit mais me donne

Aussi des pistes pour évoluer, m’orienter, choisir

C’est juste la métaphore de vases communicants.

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Le Monde ne viendra pas à moi, de lui-même,

Une bouteille vide ne se remplit toute seule,

Ça rime avec culture, pensée, informations,

Monde et moi seront conjoints ou séparés,

Le message sur le bidon est des plus clair,

Mais il faut commencer dès la naissance.

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