709 – Pour le sexe, on dit, même fort bien établi

Visuels et textuels  >>

.

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et, l’âge venant,

Mâle est moins performant.

.

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

.

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour,  faiblit,

Compétence,  l’on dit,

Jour après jour grandit.

.

Or l’amour dans  son lit,

N’est pas tout,  en sa vie,

Une fois, effusions  finies,

Le désir du sexe est parti.

.

Dialogue à quatre   mains,

Réclame temps  et entrain,

Pour que l’accord soit plein

Ressenti toucher, soit divin

Aussi pénétrant et opportun

Qu’un sexe qui  va  qui vient

Son impression, son parfum

Vous faisant un  grand bien.

Notes s’égrènent, sur la peau

Comme  touches    d’un piano

Dans la multitude   des échos,

Qu’on ne saurait  le plus beau.

Le sexe  laisse   peu  de temps,

À vraie montée   du sentiment,

Faut conclure au  bon moment,

Ressentiment après, en dépend.

Faut garder, en soi,  ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

.

Extensions

 

Pour certains, le sexe, est tout :

C’est le vrai but à atteindre, lors

Le reste ne serait que de surcroit.

Oui mais que donnera-t-on  de soi

Dans un acte sexuel : un  désir  qui

Se promène ou corps qui se démène

Pour finir, un orgasme qui entraine,

Toujours et encore à recommencer.

.

On en vient  à penser  que : l’amour

C’est  comme  une  cigarette  tandis

Qu’est  rencontre  entre  deux êtres

Pour échanger plus profond d’eux

Et en toute confiance, et  non que

De se donner du plaisir, mutuel.

.

Discours sur le sexe y en aurait

Des centaines et dont certains

Le prônent  comme  trophée.

Une  séparation  du  sexe  et

Du  sentiment  n’aurait plus

Rien d’humain, elle se réduit

À une  gymnastique  qui vise  à

Performance plus qu’à compétence.

Le sentiment sans sexe ne vaut guère mieux :

Les amours platoniques se transforment vite en amitiés.

.

Sensibilité, sensualité, sexualité, sexe alité, sexué,

Cette  gamme de mots vient à l’esprit, et en bouche,

Pour vivre l’amour  comme sous une chaude douche,

Où le plaisir l’emportera sur toute autre considération

Et qui fera monter et descendre toutes fébriles tensions.

.

Les troubles de dysfonction sexuelle

Ou de la déficience sont, pour la majorité :

 Troubles du désir sexuel, troubles de l’excitation

Troubles de l’orgasme, troubles sexuels avec douleur.

.

Autrement dit, en langage commun,  voire vulgaire :

On n’en a pas envie, et voire on n’y pense même pas,

On arrive pas ou plus à s’exciter pas même à bander

On ne parvient à l’orgasme ou alors il est très faible.

.

Douleur au lieu de plaisir, le dernier est particulier,

C’est le moins qu’on puisse dire, il faudra consulter.

La panne passagère,  y aurait rien de spécial à faire,

Nombre hommes l’ont connu sans raison, ordinaire.

.

.

709 – Calligramme

 .

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et l’âge venant

Mâle est moins performant

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe.

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

********************************

*********************************

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour  S    faiblit,

Compétence,     E   l’on dit,

Jour après jour,   X  grandit.

Or l’amour dans     E    son lit,

N’est pas tout en      *     sa vie,

Une fois, effusions,    M     finies,

Le désir du sexe est     Ê       parti.

Dialogue à quatre       M       mains,

Réclame temps et      E      entrains,

Pour  qu’accord        *         soit plein

Ressenti toucher     F           soit divin

Aussi pénétrant     O        et opportun

Qu’un sexe qui      R         va qui vient

Son impression     T        son parfum,

Vous faisant un      *        grand bien.

Notes s’égrènent    É        sur la peau

Comme touche        T       d’un piano

Dans multitude       A        des échos

Qu’on ne sait le      B        plus beau.

Le sexe  laisse       L  peu de temps,

À vraie montée   I   du sentiment :

Faut conclure au *   bon moment,

Ressentiment, après,  en dépend.

Faut garder,  en soi,   ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

709 4

.

Un verre à pied en haut,

 Une chope de bière en bas,

Qui trinquent entre eux,

Pour le sexe appeal !

 .

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour dépend du sex-appeal

 .

Symbolique 

 .

Le verre, la coupe,

Le gobelet, la tasse,

Ne seront, en réalité,

Qu’un   seul  et   même

Objet  à variantes près.

Comme  tout  réceptacle,

C’est un symbole féminin,

C’est pourquoi, le verre vu

En songe, peut figurer  une

Femme  qui   joue   un   rôle

Déterminant  dans  sa  vie.

Compte tenu transparence

Prévient éclaircissements

Permet une clarification

Des affaires obscures.

wikireve.fr/dir/211-verre

.

Descriptif

 .

709 -Le sexe, l’on dit : même fort établi !

  Alignement central  / Titre serpente / Thème  sexualité

Forme conique  / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : verre    /   Symbole de fond : verre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

709 6

.

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour : trop ou pas assez.

 .

Symbolique 

 .

Une chope signifie «grand verre à bière»

Est un récipient, un gobelet cylindrique,

Muni d’une anse où on boit de la bière.

Elle peut être en bois, en terre cuite,

Grès, métal, porcelaine, ou émail,

Et on la trouve souvent en verre

Chope un type de verre à bière.

source : wikipedia.org/wiki/Chope.

.

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Rien à voir entre un sexe masculin et un verre,

Cela va sans dire même si le verre sert d’étalon

Croyance que plus il est grand plus il est fort,

N’a aucun fondement empirique, statistique.

.

La performance n’est pas une compétence

Pour satisfaire toutes les femmes au lit

Demandez-leur  si  un plus long sexe,

Leur procure un plus long orgasme

C’est en dialogue que ça se passe !

 .

.

Enlacés pour l’éternité

.

Scénario

.

Je suis fière, je suis maitresse de ma sensualité,

et moi, je suis maître, je suis fier de ma sexualité :

notre jouissance commune est preuve de leur réalité.

 .

Visuels et textuels  >>

704 – Tout va bien, tout est bien en va-et-vient

Visuels et textuels >>

.

De  qui,

De  quoi

Le désir,

Le plaisir

.

Dépendra,  si ce   n’est, quelquefois,

De cette nécessité absolue et ultime,

De rapide r approchement,  intime,

 Comme preuve d’une très bonne foi

D’amour charnel pas que spirituel,

.

Laisse parfois

Bien  pantois,

Lors  on croit,

Que le  plaisir,

Seul comptera

.

Mais, la fusion,

Est aussi cœurs

Et de bonheurs,

Qui va et retient

Couple uni sein.

.

Tout     va   bien

Tout   est   bien,

En   va-et-vient,

Entre   tes reins.

.

À ceci près, que,

Il y a  des enjeux,

Qui avaient en eux

De se fondre au jeu.

.

Lors belle différence,

En toute… conscience,

En plaisirs, souffrances,

De se trouver en transes !

.

Car dans l’amour… il s’agit

Aussi d’âmes qui fusionnent

Lors dans le sexe ça se réduit

À bosse, creux qu’on entonne !

.

La belle affaire … qui peut dire,

À la vue de rapports  très étroits,

À la vue d’un rapport  très adroit,

Qui aime qui   …    pour tout dire !

.

Tout va bien,   dans une telle bulle,

Lors il n’y  a  plus  que  nous  deux :

L’un de l’autre, tellement amoureux,

 Et  l’un dans l’autre, follement joyeux,

Jusqu’à ce que la mort,  de nos désirs,

Réciproques nous séparent, révoquent.

.

.

Extensions

 .

Tout va bien … tout est bien :

L’amour sensuel, amour sexuel,

Créent  comme une bulle où, rien

Ne peut plus vous arriver  tant que

Vous êtes à deux en un autre monde,

Autre planète qu’on appelle «paradis»

D’autres « voyage sur un tapis volant »

Enfin,  d’autres,   « cocon  sécurisant »

Plaisir, de la répétition  ferait  le reste,

Fait que  cela dure, encore, et  encore,

Comme un air  de musique, chanson

Qu’on reprend en boucle jusqu’à ce

Que le cercle, enfin, se rompe  et

Comme ressort, devenu cassé,

Se détende et sans solution !

.

Tout va bien pour l’un  et pas

Pour l’autre qui demeure frustré

De n’avoir pas été   jusqu’au bout,

D’avoir été stoppé en chemin : rien

Ne va plus, c’est alors pour les deux,

La magie a soudain disparu, le corps

Reste pesant, mécanique, lors moins

Enthousiasmant, excitant, enivrant.

.

Que dire de plus sinon que,

Le sexe sera d’autant mieux

Que l’on s’entend … heureux,

De faire l’amour  en ces lieux,

Avec  un  partenaire, désireux,

De vous faire monter aux cieux

Pour en descendre tête-à-queue

Retrouver  un  corps voluptueux,

Un  esprit  des plus … savoureux,

Et un amour redoublé, fougueux.

.

Tout va bien, tout est rien, va-et-vient,

Rien n’existe que super concentration

Dès lors que tout ne tient qu’à un fil,

À un pieu assez pointu qu’on enfile.

.

Mais il ne faudra pas se contenter

Des effets mécaniques des fluides

De la tête à la queue tout se passe

Avec eux, autant qu’entre les deux.

.

Avec le temps, le sentiment, le naturel,

L’expérience acquise deviendra exquise,

Si cela ne peut marcher, à tous les coups,

Ce sera toujours plus qu’une fois sur deux.

.

.

.

Épilogue

.

Tout va mâle

Et tout va bien,

Comme un animal

Dans ses va-et-vient !

***

Pour approcher l’union

Pour entrer en effusion,

Jusqu’au fond du frisson

Qui conclut pénétration !

***

À quoi tu joues là Bill, eh :

Est-ce toupet  ou bouquet,

Que tu m’offres, ou un jeu,

Qu’on dit pour amoureux !

***

Ça ne marche à tous coups

L’on n’en verra pas le bout

Concentre-toi,  bel amant :

On n’a pas tout son temps.

***

J’ai perdu mon fil, adresse,

Trop attardé sur tendresse,

La plongée entre tes fesses,

Serait devenue maladresse.

***

Lors Éros, en aide, est venu

J’ai senti,  sous ta peau nue,

Un mouvement de hanches,

Me  disant : ça  te  branche !

***

Enfin … tout   est  synchrone,

En  nos  va-et-vient, rythmés,

L’on n’en peut de se détacher,

Après en avoir fait des tonnes !

.

.

704 – Calligramme 

.

De  qui,

De  quoi

Le désir,

Le plaisir

Dépendra,    si ce      T   *    N   n’est, quelquefois,

De cette nécessité    O               E   absolue et ultime,

De rapide rappro     U                   I   chement,  intime,

 Comme preuve d’     T                B   une très bonne foi

D’amour charnel        V     A       pas que spirituel

Laisse parfois

Bien  pantois,

Lors  on croit,

Que le  plaisir,

Seul comptera

Mais, la fusion,

Est aussi cœurs

Et de bonheurs,

Qui va et retient

Couple uni sein.

Tout     va   bien

Tout   est   bien,

En   va-et-vient,

Entre   tes reins.

EST BIEN

À ceci près, que,

Il y a  des enjeux,

Qui avaient en eux

De se fondre au jeu.

Lors belle différence,

En toute… conscience,

En plaisirs, souffrances,

De se trouver en transes !

Car dans l’amour… il s’agit

Aussi d’âmes qui fusionnent

Lors dans le sexe ça se réduit

À bosse, creux qu’on entonne !

EN VA-ET-VIENT 

La belle affaire … qui peut dire,

À la vue de rapports  très étroits,

À la vue d’un rapport  très adroit,

Qui aime qui   …    pour tout dire !

Tout va bien,   dans une telle bulle,

Lors il n’y  a  plus  que  nous  deux :

L’un de l’autre, tellement amoureux,

 Et  l’un dans l’autre, follement joyeux,

Jusqu’à ce que la mort,  de nos désirs,

Réciproques nous séparent, révoquent.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

704 4

.

Grande croix,

Ou un bilboquet 

Avec un  fil à la patte,

Pour se prendre au jeu ?

.

Le jeu du bilboquet n’a pas été fait

pour ressembler au sexe ni l’amour ;

simple jeu d’adresse mais quand même

la forme évoque un peu beaucoup le fond.

.

Une forme de bilboquet,

Évoquant pur jeu d’adresse :

Mais, au-delà,  voire  en  deçà,

On peut imaginer d’autres jeux.

.

Symbolique 

 

L’origine du jeu de bilboquet

Demeure toujours  assez obscure.

Certaines sources  disent  qu’il serait

Apparu pour la première fois en France,

À la fin du XVIe siècle,  mais  les vêtements

Des   plus  anciennes   gravures   montrant

Joueurs de bilboquet sont du XVIIe siècle.

.

Le mot aura une étymologie contestée.

Inventé en France, au XVIe siècle,

Fait mention du mot bille boucquet,

Bouquer, encorner, comme un bouc.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

 .

704 – Tout va bien, est bien, en va-et-vient     

  Alignement central  /   Titre serpente  /  Thème  sexualité

Forme  pointe  / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : bilboquet    /  Symbole de fond : jeux

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Une forme de bilboquet,

Évoquant pur jeu d’adresse :

Mais,  au-delà,  voire  en  deçà,

On peut imaginer d’autres jeux.

 .

Symbolique 

 .

En début de relation,

Le « jeu du chat et de la souris »

Est normal, amusant. Il attise le désir d’amants

En les poussant à chercher la présence de l’autre.

Laisser quelques jours entre les appels, messages,

Ne pas accepter toutes les invitations,

Ne pas inviter l’autre à terminer

La nuit chez soi.

.

Toutefois, lors il devient clair que l’on est

Officiellement dans une relation  durable,

Ce jeu peut devenir déstabilisant et usant.

Peu de personnes aiment savoir que

L’autre joue avec notre sensibilité

Jusqu’à la rendre incertaine.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Vous êtes-vous bien entrainés

À ce jeu, perfide, du bilboquet :

Si la main droite, tremble un peu,

Vous n’avez qu’une chance sur deux

C’est plus dur si l’un tient la partie fixe

Quand l’autre la partie creuse, et mobile.

.

Mais je ne vais pas  vous faire un dessin,

Il ne s’agit pas toujours de deux mains !

Apprenez donc à bien viser souple, droit

Quel que soit la position, celle d’autre.

 .

.

Plongeon dans grand bain

.

Scénario

.

Tout va bien,

lors tout est bien,

en tout va-et-vient !

.

Visuels et textuels >>

701 – Qu’un jour cesse le désir de faire l’amour !

Visuels et textuels >>

.

J’ai plus envie,

Laisse     tomber,

Je passerai à autre

Chose en nouveauté.

.

Ça me stimule moins

Qu’avant, plus excité,

C’était quand même,

Un plaisir et inégalé.

.

Ça restera  souvenir

Des jeunes années :

Je  ne saurais  dire

Comment le désir

S’en    est    allé,

Petit  à  petit

À tomber

Si  plat

Que

V

.

Qu’un jour cesse désir de faire l’amour

Et vous voilà tranquille pour toujours

Dispensé de vous  forcer à séduire

Au corps, au sexe vous réduire.

.

Croisant une belle femme, de jour,

Vous la regardez en esthète glamour,

Elle ne peut  et ne  saurait  vous nuire,

Vous n’aurez juste qu’à vous entretenir.

.

Entre vos bras elle ne s’abandonnera plus

Pour un acte qui ne vous conviendrait plus

Et vous n’en  demeurez pas moins… homme,

Sans l’obsession de faire de vous surhomme.

.

Faire l’amour n’est pas une des … obligations

Qui vous empêche de vivre dans notre société,

Tout ce temps libre gagné pourra être occupé

 À faire autre chose qui stimule autre passion.

.

Mais le choix définitif entre raison, passion,

Faisant taire le désir vous pousse à mourir

Bien avant l’heure,  il  vous  fera  souffrir

Manque   d’aimer qui vous fait exister.

.

.

Extensions

.

Si vous n’y prenez garde,

Faites comme si cela n’avait

D’importance que celle qu’on

Veut bien lui donner : très peu !

.

Qu’un jour cesse le désir de faire l’amour

Vous voilà libre comme l’air de faire autre chose

Et vous distraire, amour n’est pas fait que pour ça

Mais autant pour se faire, se construire à deux

Et se soutenir, dans les moments difficiles !

.

Il paraitrait qu’il existe des jeunes gens

Qui se disent, non attirés par le sexe,

Et qui vivent ensemble chastement

Comme frère et sœur et sans que,

La moindre envie, moindre désir

Ne les attire  comme, à l’inverse !

.

Il existe des gens vieux qui se clament

Obsédés par le sexe et qui ne pourraient

S’en passer, quitte à le payer et à dépenser

Tout leur argent, ou presque, pour le pratiquer.

La sagesse suppose quelque vertu mais pas trop.

.

Qui a dit que  faire l’amour  était un désir universel, un devoir

Il faut que cela reste un vrai plaisir et pas que pour procréer.

Bon, si ça n’apporte rien, qu’on a essayé, qu’on n’a pas envie

Ça se comprend très bien mais l’inverse aussi et tout autant.

On ne peut avoir envie tout le temps à moins d’en être addict

Quant à combien de fois  et avec qui : à chacun  d’en décider !

.

Notre désir de faire l’amour,

Si puissant et si varié, soit-il

Peut, un jour, se ternir, finir

Cela pour des tas de raisons

Physiologiques  …  d’abord,

Psychologiques  … Ensuite,

Et sociologiques   … enfin !

.

Physio parce qu’il y a l’âge,

Psycho parce que routine,

Socio parce que par rejets,

Rejet partenaire potentiel,

Voilà la vie du désir sexuel

Escamoté,  presque castré,

À ne plus savoir qu’en faire.

.

Il y a ceux chez qui, le désir amoureux,

Dure et perdure comme au premier jour,

Ils entretiennent la flamme comme si sans

Elle, ils ont l’impression qu’ils vont mourir !

.

.

701 – Calligramme

 .

J’ai plus envie,

Laisse     tomber,

Je passerai  à  autre

Chose    U  nouveauté.

Ça me sti  N  mule moins

Qu’avant    *    plus excité,

Mais c’était quand même,

Un plaisir     J  et inégalé.

Ça restera   O    souvenir

De jeunes   U    années :

Je ne sau  R  rais dire

Comment le  désir

S’en   est   allé,

Petit à petit

À tomber

Si plat

Que

V

.

**********************

***********************************

.

Qu’un jour cesse désir de faire l’amour

Et vous voilà tranquille pour toujours

Dispensé de vous    C   forcer à séduire

Au corps, au sexe    E        vous réduire.

Croisant une belle   S     femme, de jour,

Vous la regardez   S   en esthète glamour,

Elle ne peut et     E   ne  saurait  vous nuire,

Vous n’aurez    *    juste qu’à vous entretenir !

Entre vos     D    bras elle ne s’abandonnera plus

Pour un       É   acte qui ne vous conviendrait plus

Et vous n’en   S       demeurez pas moins… homme,

Sans l’obsession      I     de faire de vous surhomme.

Faire l’amour n’est pas     R      une des… obligations

Qui vous empêche de vivre    *     dans notre société,

Tout ce temps libre gagné   A     pourra être occupé

 À faire autre chose qui      M stimule autre passion.

Mais le choix définitif    O   entre raison, passion,

Faisant taire le désir   U   vous pousse à mourir,

Bien avant l’heure   R     il  vous  fera  souffrir

Manque   d’aimer   qui  vous  fait  exister.

.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

701 4

.

C’est La flamme du désir

Chaudron des pulsions :

Quand  ça bout et de partout,

Faut venir à bout sinon s’éteint.

.

Un chaudron qui s’allume, bout, s’éteint

voilà une belle métaphore d’un désir fort

il suffit se souler le couvercle pour le voir,

tant et si bien que la forme rejoint le fond.

 .

Chaudron, potion magique vont de pair

Sauf lors son effet s’arrête :

Tout refroidit flamme d’amour s’éteint

Et puis alors il n’y a plus rien.

.

Symbolique 

 .

Le chaudron

Est le creuset de l’alchimiste

À l’intérieur duquel la transformation

Et la guérison se produisent et nous

Le contenons  en …nous-mêmes,

En notre  région  abdominale.

.

Cette alchimie  interne  était

Connue dans l’ancienne chine

Sous le nom de Neidan dont

Le but était d’unir le yin et le yang

Acquérir longévité voire l’immortalité.

sciencetradition.forumactif.com/

t337-le-symbole-du-chaudron

.

Descriptif

 .

701- Un jour, désir cesse de faire l’amour !

  Alignement central  /   Titre analogue  /  Thème  sexualité

Forme  en ovale   /   Rimes égales    / Fond accordé à forme

Symbole de forme : chaudron  /  Symbole de fond : s’éteindre

 

.

Fond

 .

Évocation 

.

701 6

.

Chaudron, potion magique vont de pair

Sauf lors son effet s’arrête :

Tout refroidit flamme d’amour s’éteint

Et puis alors il n’y a plus rien.

 .

Symbolique 

 .

La routine

S’installe dans notre vie

À tel point que toute flamme

Intérieure de l’amour s’éteint

Lentement presque inexorablement.

.

Comment ne pas vous laisser entraîner

Par ce tourbillon infernal de vieux couple.

Comment raviver une flamme intérieure

Qui ne souhaiterait qu’une seule chose :

Briller, revivre sinon mieux du moins

Autant qu’avant voir différemment.

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Un chaudron qui s’allume, bout, s’éteint

Tout cela est banal, cela n’a l’air de rien

Et pourtant c’est le désir qu’il renferme

Et la grande énergie qu’il consommera

Qui nous mènera et nous fera avancer

Une fois fini, il éteint mais se rallume

Comme ces bougies d’anniversaires

Qui le font et le refont et sans fin !

 .

.

Désir sans fin, désir avec fin !

.

Scénario

.

 Chacun fait ce qu’il veut comme il veut, avec qui il veut,

l’essentiel : ne pas forcer l’autre à faire ce qu’il ne consent

surtout quand c’est plus qu’explicite avant même de tenter…

 .

Visuels et textuels >>

1089 – J’ai bien joui, mal, j’ai bien dormi, mal !

Visuels et textuels  >>

.

Dans mon lit, j’ai bien joui

De la magique  compagnie

De  l’amour,  du  sommeil.

Dans mon lit, j’ai mal joui,

J’étais seul,  aussi j’ai mal

Dormi, et ce, toute la nuit.

.

Un sommeil, en bosses,

Ou en creux, c’est selon

Que je me sens, ou pas,

Stressé, voire trop seul,

Car  tendresse,  caresse,

Valent bien  somnifère !

.

Ai-je bien joui,  mal ;

Ai-je bien dormi, mal ;

Ai-je bien gagné,  mal ;

Ai-je bien  travaillé, mal ;

Ai-je bien  échangé,  mal ;

Et l’on pourrait continuer ;

Et ainsi, tant bien que  mal,

À tout lister et à tout évaluer.

.

Bien ou mal ….. ça changera quoi,

En fonction de moi  … ou, de la loi

Bien pour l’un, et, mal, pour l’autre,

Tout dépend  de quel seuil, franchis,

Auparavant et de bonne progression

De si on est ou pas perfectionniste.

.

Quand faire bien toujours serait,

Du mieux qu’on peut,  formule

Que l’on emploie trop souvent

Pour tempérer valeur absolue.

.

D’abord   …  est-ce bien moi

Qui en juge,  ou  bien autrui

Qui me, le fait savoir,  le dit,

Ensuite … entre bien et mal,

.

Il y a de l’espace  à combler,

Entre l’animal  et la volonté,

Enfin… il ne faut pas oublier

Effets de l’humeur sur vérité,

Est relative jusqu’à en douter.

.

Et puis, tout dépend aussi du temps

Et  de l’énergie qu’on y  met, mettant

Toute sa concentration, son attention.

.

Pour finir en beauté, un travail débuté,

La moindre interruption va déstabiliser,

Faire perdre du temps, faire tout bâcler.

.

Il en est ainsi de ce texte bien improvisé,

Qui ne sera ni bien ni ma mais édulcoré

Par une forme qui le contient, restreint

À ce qu’il est, ce qu’il veut interpréter.

.

.

Extensions

 .

Bien et mal seront relatifs l’un

Par rapport à l’autre, non en absolu :

«Je suis bien, je vais bien, je le sens bien »,

Sont des valeurs subjectives, apprécié par

Quelqu’un en fonction de son état actuel,

De son passé, de toute son expérience.

.

Il en est de même du plaisir et repos

Et de tous les gains  où une évaluation

Est relative à ce qu’on attend en résultat.

Si je me dis que  c’est bien, qu’autre me dit

Peut mieux faire ou c’est nul ou je n’aime pas.

.

J’en fais quoi et il en est de même de la critique

On peut se débarrasser de quelqu’un, lui disant

« C’est bien continue » ou mettre son grain de sel

L’aider à progresser avec des suggestions,

Des transformations, des  questions.

 .

J’ai joui de mon sommeil toute la nuit

Pendant le sexe, je me suis  endormi !

Si on peut jouir de tout en fantasmes

On ne peut s’endormir en marasme !

Jouir et dormir seront, certes, reliés,

Lors les deux s’enchaînent seulement

Sinon, l’un dit vrai mais l’autre ment,

Ici, la femme n’a pas eu son…content,

Ça peut être l’homme, les deux, néant.

.

Le plaisir de sa jouissance … sexuelle,

Qui peut en juger, qui peut l’étalonner !

Peut mieux faire, injonction permanente

L’orgasme très fort et simultané et répété,

Est-il le nec plus ultra de sa «petite mort».

.

C’est là que  la force du désir, interviendrait

Et prendrait le pas sur tout plaisir à assouvir

Car si le plaisir n’est autre  qu’une prestation,

Il ne laissera pas, longtemps, sa forte émotion.

.

.

1089 – Calligramme

.

                                      Dans mon lit, j’ai bien joui de la magique compagnie

                                               De l’amour, du sommeil. Dans mon lit, j’ai mal joui :

                                               J’étais seul, aussi j’ai mal dormi, et ce, toute la nuit.

.

Un sommeil, en bosses,

Ou en creux, c’est selon

Que je me sens, ou pas,

Stressé, voire trop seul,

Car  tendresse,  caresse,

Valent bien  somnifère !

                 A

 Ai-je bien joui     I     mal.

Ai-je bien dormi      mal.

Ai-je bien gagné    J   mal.

Ai-je bien  travaillé  E mal.

 Ai-je bien  échangé   *  mal.

 Et on pourrait conti  B nuer

     Et ainsi tant bien que I     mal,

       À tout lister et à tout  E évaluer.

                               N

          Bien ou mal ….. cela changera quoi,

           En fonction de moi ou,  M       de la loi

             Bien pour l’un, et, mal,  A   pour l’autre,

              Tout dépend  de quel   L   seuil, franchis,

              Auparavant et de bon  *     ne progression

            De si on est  ou pas    J  perfectionniste,

        Quand faire bien tou  O  jours serait,

     Du mieux qu’on peut  U     formule

   Que l’on emploie trop  I   souvent

     Pour tempérer valeur ?  absolue.

*

D’abord   …  est-ce bien moi

Qui en juge,  ou  bien autrui

Qui me, le fait savoir, le dit,

 Ensuite … entre bien  et mal,

 Il y a  de l’espace   à  combler,

 Entre l’animal et B  la volonté,

  Enfin… il ne faut  I  pas oublier

   Effets de l’humeur  E  sur vérité,

     Est relative jusqu’à  N  en douter.

                     *

               Puis, tout dépend   M  aussi du temps

                   Et de l’énergie que l’on y  A  met, mettant

                      Toute sa concentration        L  son attention,

                                Pour finir en beauté, un         *           travail débuté,

                                 La moindre interruption         D        va déstabiliser,

                                   Faire perdre du temps              O       faire tout bâcler.

                               Il en est ainsi de ce texte         R     bien improvisé,

                          Qui ne sera ni bien ni mal    M    mais édulcoré

                      Par une forme qui le con    I  tient, restreint

                  À ce qu’il est, ce qu’il  ? veut interpréter.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1089 4

.

Silhouette femme

Allongée, avec la tête,

Et les pieds bien relevés

Comme en  éveil, alerte !

 .

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

Silhouette d’une femme

À son réveil, l’air songeuse,

Ne parvenant pas à s’extirper

De son rêve d’un amour d’amant.

.

Symbolique 

 .

Vous avez sûrement déjà entendu

Parler morphologie femme.

En A,  V,  X,  ou en O, 8 ou H.

Elle se définirait  selon  votre

Structure osseuse,  différente:

La forme de vos os la détermine.

.

Une silhouette femme a ses règles :

Une jupe évasée  sera recommandée

Aux morphologies en V  tandis qu’elle

Sera  déconseillée à celles qui sont en A.

.

Pour les hommes, c’est même principe :

On conseillera une ceinture tape à l’œil

Pour ceux ayant de larges épaules

Tandis qu’une morphologie en H

Devra plutôt privilégier un

 accessoire plus sobre.

www.thevillageoutlet.

com/morphologie-femme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1089 6

.

Silhouette d’une femme

À son réveil, l’air songeuse,

Ne parvenant pas à s’extirper

De son rêve d’un amour d’amant.

 

Symbolique 

 .

Rêver  serait, pour  certains,

D’oublier le   temps   pesant,

Sa  matérialité  et  anxiété,

Des  sentiments  partagés,

De   vivre   ses  espérances,

D’être ce qu’il voudrait être,

Il sert de décompression aux

Grandes fatigues  psychiques.

 .

On rêve au lieu d’agir, on rêve

Parce qu’on ne peut pas agir.

D’autres  se prélassent  dans

Multitude  de   songes  creux

Ou  vivent  comme  endormis,

Dans leur confort, leur misère :

L’inconscient et le conscient sont

Alors  parfaitement  … complices !

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Rêver de la morphologie d’une femme

Est une projection  des plus courantes,

Qui se reproduit, parfois, à l’identique,

.

Tant conditionnés par un seul modèle,

À tel  point  qu’on  jouisse, davantage,

Avec forme de femme que l’on préfère.

.

Comme quoi, sexe et amour : subjectif,

Cette fois forme et fond s’accorderont,

L’un dans l’autre, et réciproquement !

 .

.

Nuit éveillée en clair-obscur 

.

Scénario

.

J’ai bien joui,

et puis j’ai bien dormi,

j’ai mal joui, puis j’ai mal dormi. 

 .

Visuels et textuels  >>

697 – Comment renouveler ses désirs et plaisirs !

Visuels et textuels  >>

.

Des désirs de plaisirs

Il y en a cent de différents

Des désirs voire  des plaisirs,

Y en a et plus, tant  que tant !

.

Dès qu’un plaisir s’émousse,

Un autre désir nous pousse

À en varier,  à en essayer

Et ce, jusqu’à satiété.

.

Mais ce sont souvent

Mêmes qui reviennent

Ayant donné satisfaction

Par  grandes gratifications.

.

À chacun ses désirs et plaisirs,

S’ils sont  sans regrets, jalousies,

Ils seront bons à prendre et à vivre

Sans désirs, on ne  fait que survivre.

.

Comment renouveler ses désirs et ses plaisirs

Si on vous dit : grand père, tu peux te ranger,

Il est grand temps de renoncer  à l’amourette,

Te recentrer sur ta famille et les tiens à aimer.

.

                                      Il y a le plaisir, toujours, comme fond inusable,

                                      Bonne chair, bon vin, un bon repas en commun,

                                     Et, cela peut durer, sans arrêt, jusqu’au dernier,

                                   Pour peu qu’on en est l’appétit, jusqu’à satiété.

.

Il y a le désir de se cultiver, ou se spiritualiser,

Plaisirs de l’esprit, mais aussi, plaisir de l’âme,

Sans compter, envie d’écrire, peindre, sculpter,

Resté latent depuis que l’on est enfant ou ado !

.

                                Il y a le plaisir de vivre à son propre… rythme

                                 Pour peu qu’on s’impose sa propre contrainte :

                                Se lever tard, sieste légère et soirée prolongée,

                                Spectacles, événements, concerts et…variétés.

.

Il y a désir de voir du pays…plaisir de voyager,

Rencontrer d’autres personnes … des étrangers,

Admirer des panoramas, aux vues imprenables,

Montrer que grimper on en est encore capable.

.

                                  Il y a le plaisir de voir ses petits-enfants grandir

                                 Sans avoir à les éduquer, ni garantir leur avenir

                                  Avec le désir de les voir  surpasser  leurs parents,

                                 Autres temps, autres mœurs : en exige d’autant !

.

Il y aura, pour finir, essentiel désir de se réaliser

À travers beau projet qui nous fera grand plaisir,

Pour continuer  à garder sa place  dans la société

Gratuitement, sans contrepartie : par humanité !

 

 .

Extensions

 .

Comment renouveler

Ses désirs et ses plaisirs,

Lors vieillissant, lentement

Mais surement et ce d’autant

Qu’on est à la retraite  et donc

Avec du temps libre, pour quoi.

.

Combien de gens vous disent :

«Quand j’y serai… je ferai »

Et ils ne font pas, ou  alors

«Quand je ferai, je serai »

Et ils ne sont toujours pas.

.

En contraints jusque-là, par

Leurs obligations extérieures,

Ils s’en remettent, se reposent,

Autres activités … en dilettante.

.

Désirs, plaisirs, anciens, nouveaux

Ces quatre mots… qui s’interpellent

Font valser le monde des projections

Au-delà  du raisonnable, du profitable,

Pour épuiser toutes les saveurs de la vie.

.

On peut multiplier plaisirs

Afin de satisfaire  un désir :

On ne peut  multiplier désirs

Pour  satisfaire   son plaisir :

Le désir reste dans l’attente,

Le plaisir est dans l’action.

.

Désir est mouvement vers,

Désir  est  manquement  de,

Désir  est  inclinaison   pour,

Plaisir  est   assouvissement,

Parfois même ravissement,

Si ce n’est contentement !

.

Renouveler requiert cycle

De tensions  puis  détentes,

Ne peut jamais être continu,

Sans perdre de son intensité :

Meilleure façon est partager

Pour qu’autre soit miroir.

.

.

697 – Calligramme   

     .

Des désirs     C     S  et de plaisirs

Il y en a cent  O     E  de différents

Des désirs voire  M     S   des plaisirs,

Y en a et plus, tant  M    *       que tant !

Dès qu’un plaisir   E    D    s’émousse,

Un autre désir  N   É   nous pousse

À en varier,   T   S   à en essayer

Et ce, jus   *     I   qu’à satiété.

Mais ce   R    R   sont souvent

Mêmes   E     S qui reviennent

Ayant don  N    *   né satisfaction

Par  grandes   U   P   gratifications.

À chacun ses dé  V   L   sirs et plaisirs,

S’ils sont  sans re   E    A   grets, jalousies,

Ils seront bons à     L     I  prendre et à vivre

Sans désirs, on ne   E       S    fait que survivre.

         R        I  R  S

 .

***********************************************

***************************************************

.

Comment renouveler ses désirs et ses plaisirs

Si on vous dit : grand père, tu peux te ranger,

Il est grand temps de renoncer  à l’amourette,

Te recentrer sur ta famille et les tiens à aimer.

.

                                      Il y a le plaisir, toujours, comme fond inusable,

                                      Bonne chair, bon vin, un bon repas en commun,

                                     Et, cela peut durer, sans arrêt, jusqu’au dernier,

                                   Pour peu qu’on en est l’appétit, jusqu’à satiété.

.

Il y a le désir de se cultiver, ou se spiritualiser,

Plaisirs de l’esprit, mais aussi, plaisir de l’âme,

Sans compter, envie d’écrire, peindre, sculpter,

Resté latent depuis que l’on est enfant ou ado !

                                Il y a le plaisir de vivre à son propre… rythme

                                 Pour peu qu’on s’impose sa propre contrainte :

                                Se lever tard, sieste légère et soirée prolongée,

                                Spectacles, événements, concerts et…variétés.

.

Il y a désir de voir du pays…plaisir de voyager,

Rencontrer d’autres personnes … des étrangers,

Admirer des panoramas, aux vues imprenables,

Montrer que grimper on en est encore capable.

.

                                  Il y a le plaisir de voir ses petits-enfants grandir

                                 Sans avoir à les éduquer, ni garantir leur avenir

                                  Avec le désir de les voir  surpasser  leurs parents,

                                 Autres temps, autres mœurs : en exige d’autant !

.

Il y aura, pour finir, essentiel désir de se réaliser

À travers beau projet qui nous fera grand plaisir,

Pour continuer  à garder sa place  dans la société

Gratuitement, sans contrepartie : par humanité !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

697 4

.

Un escalier que l’on nommera

Souvent en spirale colimaçon,

Parce qu’il tournera en rond 

Jusqu’au palier en haut !

.

Escalier avec paliers est métaphore

du renouvellement et de l’élévation :

pour autant qu’il évoque désir plaisir

ils ne superposeront fond et forme !

.

L’escalier est un symbole des plaisirs

Dès lors qu’on grimpe

Tant à chaque étage, palier, on peut

Sans cesse, le renouveler.

.

Symbolique 

.

L’escalier est toujours

Le symbole de la progression

Vers le savoir  et  de l’ascension

Vers la connaissance, la lumière,

Il relie ce qui est en haut et en bas.

.

Il revêt  aussi un aspect négatif :

La descente, la chute, le retour

À la matérialité  et  au monde

Souterrain, à l’ombre en soi.

grandreves1234.blogspot.com

.

Descriptif

 .

696 – Vie entre dix ans, soixante-cinq ans    

  Alignement central  /    Titre dédoublé    /   Thème  désirs

Forme  escalier  / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : escalier  /  Symbole de fond : palier

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

L’escalier est un symbole des plaisirs

Dès lors qu’on grimpe

Tant à chaque étage, palier, on peut

Sans cesse, le renouveler.

.

Symbolique 

 .

C’est la Compagnonne…

Qui a gravi escalier tournant,

Divisé en deux paliers,  mon esprit

Pensa alors enroulement, spirale du temps

Passé et à venir, vis sans fin, coquilles d’escargots,

Tourbillons de forces ascendantes ou bien descendantes

.

Et tout cela me troubla passablement. Carl JUNG aura écrit

« La voie vers le but s’élève en spirale ».  Et, en effet, celle-ci, forme

Circulaire, reste ouverte… vers l’éternel Progrès. Mais si un escalier

Peut être monté, n’oublions surtout pas qu’il peut aussi être descendu !

Voire dégringolé !

ledifice.net/7601-1.html

  .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Un escalier en spirale n’aurait pas

La même évocation,  ni connotation,

Que l’escalier droit comme une échelle

On parlera de même élévation et chute.

.

Mais, de spirale du bonheur et malheur,

Comme s’il y avait un destin, une fatalité,

Venant s’y ajouter, auxquels on succombe,

Descente aux enfers ou montée au paradis.

On ne s’arrête pas en plein milieu de spirale:

Les constellations elles-mêmes en forme une.

L’univers : en expansion, retrait, ou chute.

Et qui sait si un trou noir ne l’est pas

Nous aspirant dans son néant.

 .

.

Troublant, trou blanc, fond noir

.

Scénario

.

Là … rien d’autre à rajouter,

là, rien de nouveau à commenter,

et là, tout est dit en ces quatre mots.

 .

Visuels et textuels  >>

616 – Ce n’est pas que tu sois… promesse !

Visuels et textuels >>.

.

Promesse : un mot qui nous

Rend  confiance, en l’autre,

Un mot qui nous projette,

En certitude de l’avenir,

Comme des fiançailles,

Pour de futurs mariés.

La pleine connaissance,

Est la valeur qui balance,

Qu’erreur est  impensable,

Tant ton âme est charitable

Bien que je reste ton diable,

Et bien que tu sois serpent,

Lors, ta langue  m’enfume,

De paroles, me disputant

Lors non irréprochable,

Que l’amour assume.

Pardon est action,

Qui nous évitent

L’humiliation,

Rédhibitoire

Re-col-lant

Morceau.

VVV

V

Ce n’est pas que tu sois promesse,

Ni à  première vue la bonne adresse,

Pour une émotion et sensation forte

Lorsque  je viens frapper à ta porte.

Pour te connaître pour te fréquenter

 Tant elle me force à chercher, adopter

Petit  supplément de ton âme, épurée

Comme la mienne et comme jumelée.

Bien  au-delà  de  toute  connaissance

Intime d’un corps, chacune des pores,

Je plonge en abîme de mes jouissances

Qui me font perdre  le Sud   et  le Nord.

Les mêmes gestes, mêmes mouvements,

Mille fois répétés, et parfois, réinventés,

N’entameront et en rien ma folle félicité

D’être  tout  contre, ton cœur, d’amant.

*

Je sais : tu vas me  dire que j’exagère,

Que tu te sais être diablesse ou vipère

Durant l’amour tu deviens plus incise

Et tout autant que conquise, exquise.

Y a plus, d’avant, y a  plus  de pendant

Pas plus,  d’après qu’un  pur  instant,

Où mon bonheur devient si constant,

Qu’il en est muré en nouveau  néant.

.

.

Extension

 .

Ce n’est pas que tu sois promesse,

Ce n’est pas  que  tu  sois … déesse,

Ce n’est pas que tu sois … poétesse :

Simplement je peux projeter sur toi

Notre grand projet de vie commune.

.

Parfaite, en tous points, tu ne l’es point,

Je devine, je suppose, je suppute.

Comme dans un bon nombre de couples,

Nous aurons de sévères disputes.

.

Ce n’est pas cela qui me rebute si tant est

Que nous puissions les dépasser,

Si ce n’est à bien en reparler sur l’oreiller,

Se pardonnant tout ou presque

Pour peu qu’on ne se sente pas humilié.

.

C’est là toute la magie de l’amour

De réparer l’irréparable tandis que le

Moindre grief pourrait séparer

Des inséparables pour la famille ou

Pour l’amitié, faits pour durer.

.

La répétition peut réparer ou casser

N’importe quelle union, par effet

De seuil, de sommation, de limite

À ne pas franchir, tout autant que

Par orgueil à ne pas perdre la face.

.

 «Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent»

Slogan promu par un candidat politique aux élections

Mais le problème se pose quand elles sont réciproques,

Celui qui écoute deviendra un émetteur par réciprocité

Et dès lors un pacte est engagé, pour ne pas dire : signé

Fausse promesse, honorer sa promesse, ne pas  la tenir,

Autant d’expressions de la vie courante  et relationnelle,

Sans compter de contrat dans le commerce, la politique,

En amour, on ne peut rien promettre pour la vie entière.

.

Assurance, engagement, parole, serment.

Constitueront autant d’équivalents de promesse.

Abandon, désengagement, parole non tenue, parjure,

Le contraire, ce qui abolit, rapidement, toute confiance.

.

Il fut un temps, et cela reste encore vrai dans certains pays,

Qu’une promesse publique de mariage, fiançailles ou autres,

Engageait les deux futurs conjoints et si l‘un d’eux se dédisait

Il devait un dédommagement à l’autre sous forme monétaire !

.

.

616 – Calligramme  

.

Promesse : un mot qui nous

Rend  confiance, en l’autre,

Un mot qui nous projette,

En certitude de l’avenir,

Comme des fiançailles,

Pour de futurs mariés.

La pleine connaissance,

Est la valeur qui balance,

Qu’erreur est  impensable,

Tant ton âme est charitable

Bien que je reste ton diable,

Et bien que tu sois serpent,

Lors, ta langue  m’enfume,

De paroles, me disputant

Lors non irréprochable,

Que l’amour assume.

Pardon est action,

Qui nous évitent

L’humiliation,

Rédhibitoire

Re-col-lant

Morceau.

VVV

Ce n’est pas que           V        tu sois promesse,

Ni à  première vue       P       la bonne  adresse,

Pour une émotion        A        et sensation forte

Lorsque  je viens          S      frapper à ta porte.

Pour te connaître         *      pour te fréquenter

 Tant elle me force        Q      à chercher, adopter

Petit    supplément      U      de ton âme épurée

Comme la mienne       E     et comme jumelée.

*

Bien au-delà de             T      toute connaissance

Intime d’un corps         U      chacune des pores,

Je plonge en abîme       *       de mes jouissances

Qui me font perdre       S      le Sud   et  le Nord.

Les mêmes gestes,        O      même mouvement,

Mille fois répétés,          I       parfois, réinventés,

N’entameront et en      S     rien ma folle félicité

D’être tout contre,        *      ton cœur, d’amant.

*

Je sais : tu vas me        P       dire que j’exagère,

Que tu te sais être        R      diablesse ou vipère

Durant l’amour tu        O       deviens plus incise

Et tout autant que       M      conquise,  exquise.

Y a plus, d’avant, y       E      a  plus  de pendant

Pas plus,  d’après         S     qu’un  pur  instant,

Où mon bonheur          S     devient si constant,

Qu’il en est muré          E      en nouveau  néant.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

616 4

.

Une bûche de bois

Avec un gros coin

Pour la fendre 

comme sexe !

.

Buche, coin, fendre, l’allusion

au sexe ne sera pas très éloignée

mais pas obligatoire au bucheron,

on s’en approche, pas jusqu’au fond.

.

Lors, pour tout dire, une bûche de bois

 Ça vous en bouche un coin,

On ne manquera pas de trouver quelque

Allusion directe au sexe.

 .

Symbolique 

 .

Le bois est associé à la nature et au feu.

Aussi, on lui attribuait certains pouvoirs.

D’ailleurs, l’expression « Toucher du bois »

Serait tirée de cette croyance populaire.

.

Grèce et Rome antiques, certains bois

N’étaient consacrés qu’à des divinités

Et chaque dieu avait son bois sacré.

.

Aussi, il était interdit de couper

Des arbres en ces bois sacrés,

Sans procéder au préalable

À des sacrifices expiatoires.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-bois.html

.

Descriptif

 .

616 – Ce n’est pas que tu sois promesse !  

.

Alignement central   /    Titre droit     /    Thème sexualité

Forme courbe droite/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : bois   /   Symbole de fond : sexe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

616 6

.

Lors, pour tout dire, une bûche de bois

 Ça vous en bouche un coin,

On ne manquera pas de trouver quelque

Allusion directe au sexe.

 .

Symbolique 

 .

Il est clair que les hommes

Sont des mammifères complexes.

L’excitation  sexuelle  n’est   pas

Uniquement liée à des stimuli

Sensoriels du sexe et ne

Conduit pas forcément

À l’acte sexuel sans

Intervention des pensées

Et des émotions (heureusement)…

.

Quant aux fondements de l’excitation

Sexuelle chez la femme, tout reste à faire.

Et alors on pariera,  aisément, que

C’est encore plus compliqué…

doctissimo.fr/html/sante/mag_

2000…/cerveau/sexe

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Fendre du bois, quel que soit le manche

Et la cognée ne sera pas pénétrer un sexe,

 En tas cas, ni en douceur, ni en profondeur !

.

Il n’y aura pas de promesse de plaisir partagé

Dans aucun acte sexuel rapide, brutal et forcé.

.

Toute promesse se situerait, de toute manière,

Au niveau du désir, anticipation, non plaisir :

Promesse n’est pas adresse de paire de fesses

Est celle d’un amour, consommé tendresse.

 .

Manque image  ici  de

Déclaration, promesse !

Scénario 

.

Faire un pacte, entre deux,  se conclut par un geste et qui les relie

« Des mots, toujours des mots,  encore des mots », chantait Dalida

auxquels, parfois, l’on répond, en écrivant : « à vous, à jamais »

 .

Visuels et textuels >>

232 – Divergence plaisirs de naviguer !

Visuels et textuels >>

.

Parler de plaisir de naviguer,

Je l’ai fait,

En utilisant,  à la fois, ma rime,

Et ma prose,

Et même si rime n’est pas marine,

Je l’ose.

.

J’ai eu un voilier, pendant cinq ans,

Et puis je l’ai vendu,

Tous les ans, ai eu du souci avec lui.

Le bateau des autres

Plus confort, coûte moins d’argent.

.

Et j’en ai gardé et malgré tout,

Un bon souvenir et bien ému

Bien que  ce soit  qu’un rêve,

Que  j’ai  caressé   en secret,

Mais les charges de famille,

M’ont, au final, donné tort.

.

Après quoi en restant sans bateau,

Mon envie de naviguer  a persisté.

Alors  j’en ai loué un, pour cet été.

Cette formule  convient  très  bien,

Elle m’a séduit et lors je l’ai gardé.

Propriété d’un  bateau, mis à part,

Plaisir de naviguer,  en haute mer,

Serait identique selon passionnés.

.

Combien de voiliers,   en pratique,

Font traversée  vers Ile Atlantique.

Combien  l’ont  projeté  et  écouter,

Propriétaires, locataires, en  parler.

.

Les locataires parleront des plaisirs

À sentir, les vents, les tirer, en mer,

Et ils se sentent très peu concernés,

Par un ennui technique…pérennité.

Les propriétaires… tout le contraire,

.

Ils s’entretiennent au port entre eux

De tout ce qui  fait problème, défaut,

L’urgent à réparer sinon à améliorer.

Pour locataires, c’est une parenthèse

Qu’on ouvre, qu’on ferme, et rideau !

.

Investissements, financiers, affectifs,

Pour sûr, sont loin d’être les mêmes :

Pour propriétaires, un souci constant.

Si tu as un bateau, tu as un problème,

Disent-ils eux-mêmes, pour confirmer.

.

On se doute que le plaisir est implicite :

Au point que d’en parler ne leur dit rien,

Reste le contraste plus que fort entre eux.

.

.

Extension

.

Rêve que de naviguer

Quand tout va bien :

Les voiles sont tendues,

Le vent bien orienté,

Le voiler bien équilibré.

.

Cauchemar que naviguer

Quand tout va mal :

Les voiles flappent,

Le vent tourbillonne,

Le voilier tangue et roule.

.

En être locataire, pendant un mois,

Vous décharge de ce qui pose problème,

De tout ce qui casse ou qui dysfonctionne.

Et il en est de même quand vous naviguez,

En tant qu’invité sur le bateau des autres :

Seul le plaisir compte, seul le plaisir reste.

Car l’investissement financier  entrainera

Investissement affectif inconsciemment

Plus vous payez pour quelque chose,

Qui vous tient, vraiment, à cœur

Et plus vous vous y attachez !

.

Différences et divergences, sont frères jumeaux, ou presque,

Tout comme le sont leurs sœurs ressemblances convergences !

Plaisirs de naviguer dépendront des motivations, anticipations,

Tout autant que des apprentissages, des connaissances pratiques,

Le type et la vitesse du bateau, son habitabilité, que sais-je encore !

.

Un bon nombre de gens souhaitent faire

L’expérience d’une navigation type côtière,

Pour tester leurs sensations, leurs émotions,

Certains n’ont pas de chance : pris en tempête

Ce n’est pas plaisir, ne reviendront pas de sitôt,

Et d’autres attraperont très vite un mal de mer

Et ne souhaiteront lors que de rentrer au port.

.

Le mal de mer : moi, je ne le connaitrai pas,

C’est une chance quand je vois autre vomir

Et la peur de tomber à l’eau, de même.

Certains s’inquiètent surtout la nuit.

En somme, le voiler,  c’est « zen »

Sinon comment en faire 20 ans.

.

.

Épilogue

.

D’être propriétaire, locataire ou invité

Sur un bateau, ne se ressemble en rien :

Ce sont trois façons de s’en accommoder,

Et finalement le dernier m’a été, très bien.

***

Quoiqu’il en soit quoiqu’il en fut voire sera,

L’impression de liberté reste bien la même

Une fois à bord, soucis terriens se taisent

Il ne reste que le ciel, la mer, le bateau.

***

Si le propriétaire est autant serein

Il n’empêche qu’il surveille tout

Voile se déchire : catastrophe

Faudra réparer, tout payer.

***

Payer  le  port  à  l’année,

Dépenses    augmentées,

Il vaudrait  mieux  louer

Mais, son égo dirait non.

***

Non parce qu’en profiter,

Tout le temps est un plaisir,

Il sert de résidence secondaire

Voire pour épater tous ses amis.

.

.

232 – Calligramme

 .

Parler de plaisir de naviguer,

Je l’ai fait,

En utilisant,  à la fois, ma rime,

Et ma prose,

Et même si rime n’est pas marine,

Je l’ose.

J’ai eu un voilier, pendant cinq ans,

Et puis je l’ai vendu,

Tous les ans, ai eu du souci avec lui.

Le bateau des autres

Plus confort, coûte moins d’argent.

.

     D  I  V  E  R  G  E  A  N  C  E

     D   E

.

Et j’en ai gardé et      P        *       N      malgré tout,

Un bon souvenir    L                        A   et bien ému

Bien que ce soit    A                          V    qu’un rêve,

Que j’ai caressé    I                              I      en secret,

Mais les charges    S                          G     de famille,

M’ont, au final,        I                      U      donné tort.

       R      *    E

          R

Après quoi en restant sans bateau,

Mon envie de naviguer  a persisté.

Alors  j’en ai loué un, pour cet été.

Cette formule  convient  très  bien,

Elle m’a séduit et lors je l’ai gardé.

Propriété d’un  bateau, mis à part,

Plaisir de naviguer,  en haute mer,

Serait identique selon passionnés.

Combien de voiliers,   en pratique,

Font traversée  vers Ile Atlantique.

Combien  l’ont  projeté  et  écouter,

Propriétaires, locataires, en  parler.

Les locataires parleront des plaisirs

À sentir, les vents, les tirer, en mer,

Et ils se sentent très peu concernés,

Par un ennui technique…pérennité.

Les propriétaires… tout le contraire,

Ils s’entretiennent au port entre eux

De tout ce qui  fait problème, défaut,

L’urgent à réparer sinon à améliorer.

Pour locataires, c’est une parenthèse

Qu’on ouvre, qu’on ferme, et rideau !

Investissements, financiers, affectifs,

Pour sûr, sont loin d’être les mêmes :

Pour propriétaires, un souci constant.

Si tu as un bateau, tu as un problème,

Disent-ils eux-mêmes, pour confirmer.

On se doute que le plaisir est implicite :

Au point que d’en parler ne leur dit rien,

Reste un contraste plus que fort entre eux.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

232 4

.

Une tour surmontée

D’une horloge pour l’heure

Une colonne,  une plateforme,

Un feu : phare, pour la liberté !

 .

Phare pour lumière, phare pour liberté

les deux se conjugueraient et à volonté,

évoquant tous deux, plaisir de naviguer

si fait que la forme entretiendra le fond.

.

Naviguer comporte plaisirs non dénués dangers 

Malgré les phares :

Mais c’est surtout le fait de se sentir libre,

 Et inspiré, qui compte.

.

Symbolique

.

Aujourd’hui, avec la technologie

(GPS, électroniques de bord),

Les phares   d’atterrissage

Ne sont plus indispensables.

Utilisés  pour  situer la terre,

Il y a encore  quelques années.

.

Aujourd’hui,  ils ont une fonction

Patrimoniale mais ils servent aussi

De support pour des antennes-relais

Pour les réseaux  de  communication

Maritimes, soit civils  ou de défense,

Notamment des Centres Régionaux

Opérationnels de Surveillance

Et de Sauvetage (CROSS).

bateaux.com/article/22391/un-phare-c-quoi

.

Descriptif

.

232 – Divergence de plaisirs de naviguer 

Alignement central / Titre  absent / Thème  rencontre

Forme animal / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : phares/ Symbole de fond : libertés

.

.

Fond

.

Évocation 

.

232 6

.

Naviguer comporte plaisirs non dénués dangers 

Malgré les phares :

Mais c’est surtout le fait de se sentir libre,

 Et inspiré, qui compte.

.

Symbolique 

.

Le rapport à la mer gomme

La notion d’identité et apportera

De multiples réponses sur la liberté.

.

Car la mer donne un sentiment de force,

Elle procure  cet  extraordinaire  espace

D’aventures et de découvertes  et offre

La capacité  d’affronter  une  nature

Donc une certaine  transcendance

Qui permet de dépasser la peur

Et les limites  imposées  par

Une collectivité  ou nation.

.

Envoûtant      et    apprécié

Ou bien effrayant et redouté

Pour colères, subites, violentes,

L’océan est perçu  comme l’occasion

De tous dangers mais l’espace océanique

Renverra toujours à cette notion de liberté.

legisplaisance.fr/2020/12/30/de-la-libertel-en-mer

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Les phares sont des figures de proue

Et évoquent toute liberté, peu ou prou :

Si on navigue et accoste en toute sécurité,

 C’est un peu, grâce encore à leur luminosité.

.

Tout plaisir de naviguer en dépend, d’autant

Qu’on les voit  de très loin, sans GPS, ou autre

Instrument qui peuvent bien tomber en panne

De jour, comme de nuit, remplissent leur office

Témoins de leur passé mais aussi leur… futur !

 .

.

Plaisir naviguer en cinémascope

.

Scénario

.

Il y a le plaisir de pouvoir être seul sur ile, plage quasi désert,

le plaisir de se faire chahuter, en mer, au-delà du raisonnable,

le plaisir de tracer la route avec un bateau moteur surpuissant.

 .

Visuels et textuels >>

986 – Entre désir et beauté, plaisir et cruauté !

Visuels et textuels  >>

.

Désir et beauté

Vont bien ensemble

Lors leur vertu, partagée,

Notre humanité, rassemble !

.

Plaisir et cruauté

Créeront nos perversions

Quand leurs vices, partagés,

N’ont plus de limites en action.

.

Désir et plaisir

Peuvent se renforcer

Lors  beauté  et  cruauté

Sont ennemies à se dessaisir.

.

En deux mots : désir et  beauté,

En deux mots : plaisir et cruauté,

On a fait le tour de notre humanité.

.

Y  a  pas  d’harmonie  des  contraires,

Nous  ne  sommes tous sœurs et  frères.

.

Pourtant respirons tous même idéal et air

Désir nous colle  à la peau, cœur,  à l’esprit :

.

Il n’est  jamais  sans  objet, ni  satisfait de lui,

Il va, vient, se retire, nous manque, nous ravit.

.

Sa beauté réside en l’énergie qui nous rend unis

Dans le désir de beauté qui seul nous accomplit

Qui ne dépend pas d’objet mais du sujet écrit.

.

Ecrit devient correspondance atemporelle,

Qui fait qu’on reconnait la chose belle,

La trouve à son goût, universelle.

.

.

Extensions

.

La beauté et la cruauté ne font pas bon ménage

Bien qu’il existe œuvres sublimes en peinture

Telle que Guernica, de Picasso, et j’en passe,

Pour nous montrer les affres de la cruauté.

Les deux seront sans limites d’évocation,

Le premier nous tirerait … vers le haut,

Le second vers le bas et, chose étrange,

Ils cohabitent au sein du même homme,

Comme un microcosme de notre humanité,

De ce qu’elle sait, peut faire de meilleur, pire.

Tant le masochisme et sadisme, ont été érigés

En forme de désir et de plaisir, telle que dites:

« Johny,   Johny,   fais-moi   mal : j’en   jouirai ! »

Paroles de chanson qui montrerait la perversité

D’un cerveau câblé vers telle tension suprême.

Trouver de la beauté … dans de la cruauté,

Constitue un détournement d’Humanité

Ce n’est pas que cette dernière la rejette

Comme ne faisant pas partie d’elle-même,

C’est parce qu’elle lui rappelle son animalité.

L’écriture, comme la parole a ceci de particulier

Qu’elle met un nom sur chaque chose et de ce fait

Prend toute distance par rapport à toute réalité.

Bien plus, elles multiplieront les points de vue,

Et par sa simple capacité de représentation,

Nous donne un accès à la Beauté, ce dont

Animaux n’en ont cure sauf à séduire.

.

Désir, par-ci, désir, par-là, désir partout et toujours

L’homme a des désirs alors que l’animal a des besoins :

Désir est humain, dépasse besoin, se nourrir, reproduire.

Lié à la conscience que l’homme a, de sa condition mortelle,

Le désir est issu de la nostalgie d’une étoile, un paradis perdu.

Il suppose, dès lors, un manque ou une absence de quelque chose

L’invention, l’ambition, la séduction, la fusion en sont des exemples

Il est fin qu’il se propose, indispensable pour satisfaire son existence.

Comme il donne, toujours, dans la surenchère, ce dernier est sans fin.

.

Les associations que l’on fait, ne vont

Pas toujours dans le sens qu’on croit :

D’associer désir et plaisir, cela se voit,

Par contre beauté, cruauté, se défont.

.

On peut prendre du plaisir en la beauté,

On peut prendre du plaisir en la cruauté,

On pourra avoir du désir et pas de plaisir,

On peut avoir du plaisir avec peu de désir !

.

Pour finir, aurai-je la cruauté… de vous dire

Que trop de plaisirs, entraine mort du désir :

Toute beauté s’étiole, quand, trop, on batifole.

.

.

Épilogue

.

Comment comparer, mettre en balance,

Beauté d’un désir et cruauté d’un plaisir

Un plaisir peut être empreint de beauté,

Tout comme un désir, voué à la cruauté.

***

Un désir être heureux n’implique plaisir,

Automatiquement au sens de sensations,

Ce pourra être émotion des plus diffuses,

Satisfaisant esprit, âme : non corps, sexe.

***

La cruauté prendra racine dans l’égoïsme

Ou par vengeance, on s’en donne le droit,

Quand la beauté se partage en altruisme,

Elle sublimerait l’humain, à son endroit !

***

L’homme ne peut exister, en tant que tel

Sans désirs, sans passions, sans raisons,

Il est partagé entre  argument, émotion :

La cruauté serait sa perversion mortelle.

***

Comme un parfum diffusion une odeur,

Qui remplit l’atmosphère d’un bien être

Lorsque celle-ci  ne s’y accorderait plus,

Elle donne effet de véritable repoussoir.

.

.

986 – Calligramme

.

Désir et beauté

Vont bien ensemble

Lors leur vertu, partagée,

Notre humanité, rassemble !

.

Plaisir et cruauté

Créeront nos perversions

Quand leurs vices, partagés,

N’ont plus de limites en action.

.

Désir et  D   P  plaisir

Peuvent se É       L renforcer

Lors beauté  S            A    et cruauté

 Sont ennemies                I     à se dessaisir.

En deux mots :   R                  S   désir et  beauté,

En deux mots :     *                      I   plaisir et cruauté,

On a fait le tour    E                        R  de notre humanité.

Y a  pas  d’harmo   T                          *   nie   des   contraires,

Nous  ne  sommes    *                           C  tous sœurs  et  frères :

Pourtant respirons  B                           R   tous même idéal et air

Désir nous colle à la  E                         U   peau, cœur,  à l’esprit :

Il n’est  jamais  sans  A                      A   objet, ni satisfait de lui,

  Il va, vient,  se retire  U                U    nous manque, nous ravit.

Sa beauté réside en l’ T       T   énergie qui nous rend unis

Dans le désir de beau  É    té qui seul nous accomplit

Qui ne dépend pas d’objet mais du sujet écrit.

Écrit devient correspondance atemporelle,

Qui fait qu’on reconnait la chose belle,

La trouve à son goût, universelle.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

986 4

.

Si le désir est un parfum,

La beauté reste une image,

Si le plaisir est  un  mirage,

La passion est une illusion.

.

Si le désir est un parfum,

La beauté reste une image,

Si le plaisir est  un  mirage,

La passion est une illusion.

 .

 Symbolique 

 

Parfum ambivalent

Qui plait   ou rebute :

« Hypnotic          Poison » 

Semble    au   premier   abord

Être composé  d’une matière unique,

Qui pourrait être une sorte … d’eau de vie

À base d’amande, fleurs blanches exotiques

Dont … l’amertume …vous fait… à la fois

Grincer des dents   et saliver d’envie…

Mais il n’est  pas  évident à porter

Pour chacun,  tout le monde,

Note d’amande amère

Est très présente.

Auparfum.com/hypnotic-poison

.

.

Fond

.

Évocation 

.

986 6

.

Si le désir est un parfum,

La beauté reste une image,

Si le plaisir est  un  mirage,

La passion est une illusion.

 .

Symbolique

 .

La passion est connue comme mouvement

Violent, impétueux, de l’être à  ce qu’il désire.

C’est une émotion puissante et persistante, qui

Domine la raison  et oriente  tout l’agir du sujet.

.

Contrairement  à  d’autres  formes  d’amours,  où

Les choses se construisent pas à pas au fil du temps,

La passion se caractérise par cette forme aveuglante.

.

Une évidence indéniable, passion est comme l’émotion

Débordante, massive, court-circuitant tout jugement.

J‘ajouterais : prenant son mirage pour sa réalité !

Source : cairn.info/revue-cahiers-de-psychologie-clinique

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Un parfum de la passion

Passion pour un tel  parfum

Les deux s’associeraient en un,

En mettant l’accent sur émotions

Subtile dominance sur toute raison

En vous poussant vers désir et beauté

Si ce n’est, parfois : plaisir et cruauté !

Quoiqu’il en soit, et voire quoiqu’il en fût

Le parfum est un stimulant, des plus forts,

Qui vous fait perdre autant le sud que nord.

 ..

.

Entre cruauté et plaisir

.

Scénario

.

Toute la force et l’énergie du désir est dans son intensité intérieure.

Désir de vaincre est parois entaché d’une certaine cruauté partagée.

Un ours peut être sujet au désir, d’envie de liberté, besoin de soins.

 .

Visuels et textuels  >>

574 – Je me demande si mon plaisir n’est pas leurre

Visuels et textuels >> 

.

Plaisir est un mot qui fait… jouir,

Déplaisir, n’est pas  son absence,

Tandis contraire … désagrément,

Empêchant tout  contentement.

.

Bien qu’il en existe : mille et un,

Pour satisfaire, tout un chacun,

Aucun n’est petit,  ne vaut rien,

Et les grands,   je les vaux bien.

.

Plaisirs et leurres vont de pair,

Plaisirs sont souvent, de chair,

Plaisirs peuvent s’avérer chers,

Plaisirs d’être père d’être mère.

.

Son principe est autostimulant,

Corps, esprit, plaisir, recherché,

Naturellement … spontanément,

Qui s’avère, en fait, conditionné !

.

Beaucoup confondent leur plaisir

Avec la joie, le bonheur,  le loisir :

À force de pratiquer, il s’émousse,

En changer…culture nous pousse.

 .

Je me demande si mon plaisir

N’est pas leurre,

Si je ne confonds pas joie et loisir,

Malheur et bonheur,

Car malheur, si petit, mesquin soit-il,

On se le raconte

Alors qu’un bonheur est souvent subtil,

On ne le conte

À personne … mis à part  celui  ou celle

Qui   partage

Entre nous,  présence,  qui nous révèle,

Une belle page,

Un pouvoir  inégalé,   de   nous   donner

Intime  amitié

Jusqu’à  une promesse,  décision sacrée,

De nous marier.

 .

Je   me     demande      si     mon    plaisir

N’est pas leurre

Alors que  le ravissement, sans en jouir,

Est de toute heure

Comme   si,   renouvelé  de    l’intérieur,

En complétude,

Il s’autoalimente  d’un  désir   meilleur,

Sans finitude,

Même s’il varie  entre  douceur, ardeur,

Il ne tarit pas

Tant passer sa vie en amour et bonheur

Est sans trépas :

On est tout joyeux, heureux, farceur,

On n’y croit pas

Que cela puisse cesser sur l’heure

Sans grand fracas.

.

.

Extension

 .

Je me demande si mon plaisir ne serait

Pas le frère jumeau de mon désir

Et que le jour où ce dernier disparaitra,

Mon plaisir dès aussitôt le suivra.

 .

Mon plaisir est dépendant de mon corps ;

Mon désir, de celui de mon esprit :

Et donc ils s’entretiennent mutuellement,

Et donc se renforcent constamment,

 .

Mais par un processus qui peut échapper

À ma lucidité, voire à ma conscience

De pouvoir le décider, contrôler, changer :

Je me demande si le plaisir entraine

 .

Celui du partenaire, de la famille, des amis,

S’il n’est pas imposé aux autres comme

Étant seul à pouvoir toujours les satisfaire,

Comme la référence finale et intime

De mon être, égoïstement !

.

Plaisir pour être poussé au paroxysme

A besoin de stimulations et d’excitations,

Dans un climat de liberté, et, d’épicurisme,

Afin de prendre  le  meilleur, de l’addiction !

Le problème est que  lors la tension retombe,

L’on se sent triste  comme dans une, tombe !

L’on recherche d’autres excitations et ainsi,

On se rend dépendant prisonnier de leurre,

Sans s’en rendre compte comme aliéné.

.

Le plaisir, seul, ne parviendra guère

À assouvir le désir comme pulsion,

On aime, pas besoin de stimulant,

Il se trouve synthétisé en cerveau,

 .

Et,  ce dernier en ferait du plaisir,

État qui durerait un certain temps,

Lors sexe appellerait renouvellement,

Fréquent pour ne pas dire … incessant.

 .

Plaisir est leurre s’il ne fait que compenser

Un manque sensations, sentiment, amour,

Plaisir est bonheur  dès lors qu’il satisfait

Autant le sexe, corps, cœur, esprit, âme.

.

.

Épilogue

.

Quand il est l’heure du bonheur,

Ce dernier, parfois, devient leurre,

La  déception, longtemps, demeure,

Voire même génère rivière de pleurs.

.

Le plaisir est  pourtant  au rendez-vous,

Y a quelque chose qui cloche  entre nous,

Ou alors c’est comme une histoire  de fou,

J’ai laissé la proie pour l’ombre, c’est tout !

.

Me demande si mon plaisir n’est pas leurre :

Il ne me satisfait qu’à moitié, et  qu’une heure,

Moi qui voudrais qu’il dure encore, sans heurts,

Il n’est qu’un succédané d’un bonheur trompeur.

.

Plaisir part du corps vers esprit et puis envahit tout

Et lors, il nécessitera, souvent, d’aller  jusqu’au bout,

Devient petit, grand, voire même sens dessus dessous,

Il flatte le corps, le cœur, l’esprit mais âme le désavoue.

.

Agrément, bien être, plaisir, puis joie… jusqu’au bonheur,

Constituent comme un escalier d’émotions, pour galopeur,

Il se trouve que plaisir est au juste milieu, et  bien profiteur,

Et que le barreau du bonheur, reste trop haut pour grimpeur.

.

.

574 – Calligramme

 .

ET SI

Plaisir est un mot qui fait… jouir,

Déplaisir, n’est pas  son absence,

Tandis contraire … désagrément,

Empêchant tout  contentement.

Bien qu’il en existe : mille et un,

Pour satisfaire, tout un chacun,

Aucun n’est petit,  ne vaut rien,

Et les grands,   je les vaux bien.

Plaisirs et leurres vont de pair,

Plaisirs sont souvent, de chair,

Plaisirs peuvent s’avérer chers,

Plaisirs d’être père d’être mère.

Son principe est autostimulant,

Corps, esprit, plaisir, recherché,

Naturellement … spontanément,

Qui s’avère, en fait, conditionné !

Beaucoup confondent leur plaisir

Avec la joie, le bonheur,  le loisir :

À force de pratiquer, il s’émousse,

En changer…culture nous pousse.

MON PLAISIR

Je me demande si mon plaisir

N’est pas leurre,

Si je ne confonds pas joie et loisir,

Malheur et bonheur,

Car malheur, si petit, mesquin soit-il,

On se le raconte

Alors qu’un bonheur est souvent subtil,

On ne le conte

À personne … mis à part  celui  ou celle

Qui   partage

Entre nous,  présence,  qui nous révèle,

Une belle page,

Un pouvoir  inégalé,   de   nous   donner

Intime  amitié

Jusqu’à  une promesse,  décision sacrée,

De nous marier.

N’ÉTAIT QUE LEURRE 

Je   me     demande      si     mon    plaisir

N’est pas leurre

Alors que  le ravissement, sans en jouir,

Est de toute heure

Comme   si,   renouvelé  de    l’intérieur,

En complétude,

Il s’autoalimente  d’un  désir   meilleur,

Sans finitude,

Même s’il varie  entre  douceur, ardeur,

Il ne tarit pas

Tant passer sa vie en amour et bonheur

Est sans trépas :

On est tout joyeux, heureux, farceur,

On n’y croit pas

Que cela puisse cesser sur l’heure

Sans grand fracas.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

.

574 4

.

Parmi les formes possibles,

Un goupillon pour biberon

Une brosse à cheveux 

Pour être présentable.

.

À quoi peuvent bien penser les femmes,

En bon matin, après leur toilette faite,

À se brosser  les  cheveux,  histoire

De se refaire une beauté présentable.

 .

Symbolique 

 .

Rêver de se brosser

Ou peigner  ses cheveux

Représente le fait de corriger

Des pensées, attitudes, opinions

Qui concernent votre  problème

Mettez les situations au clair.

Revebible.com/cheveux.html

.

En plus d’apporter brillance,

Brosser ses cheveux, stimule la

Circulation de votre cuir chevelu

Et il permettrait ainsi de relancer

 Pousse plus rapide… mais encore

Faut-il procéder correctement.

Madame.lefigaro.fr/beaute/cheveux

.

Descriptif

.

574 – Et si mon plaisir n’était que leurre ?

 Alignement central   /   Titre intercalé     /   Thème  plaisir

Forme anthropo  / Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : brosser  /  Symbole de fond : cheveux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

574 6

.

À quoi peuvent bien penser les femmes,

En bon matin, après leur toilette faite,

À se brosser les cheveux, histoire

De se refaire beauté présentable.

.

Symbolisation 

.

Rêver de se brosser

Ou peigner  ses cheveux

Représente le fait de corriger

Des pensées, attitudes, opinions

Qui concernent votre  problème

Mettez les situations au clair.

Revebible.com/cheveux.html

.

En plus d’apporter brillance,

Brosser ses cheveux, stimule la

Circulation de votre cuir chevelu

Et il permettrait ainsi de relancer

 Pousse plus rapide… mais encore

Faut-il procéder correctement.

Madame.lefigaro.fr/beaute/cheveux

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Se brosser les cheveux demeure

Une préoccupation plus féminine,

Que masculine qui parlerait plutôt

De se raser, au matin, de très près,

Parler et voire rêver  mais de quoi

De désir, de plaisir,  de séduction,

Sinon de fantasme  ou d’illusion.

Je ne me brosse pas les cheveux

Pas davantage que je me rase

Pourquoi : suis frisé, barbu.

 .

.

Plaisir de pèche : leurre !

.

Scénario  

.

Néons ou leds qui flashent, la nuit, leurs messages  incitatifs.

Profusion de boutons, colorés, sur toutes les chaines de ma vie.

Deux visages masquant la forme de vase qu’on perçoit en creux.

 .

Visuels et textuels >>