1044 – On aura et beau dire et on aura beau faire !

 Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

L’on entend un nombre messages

De  révisions  alarmistes, saccages

De  lieux protégés, de beaux paysages

Sans que  l’on en tire résolutions sages.

L’économie, et l’écologie,  se combattent,

Au lieu de se prêter main forte … débattre,

De ce qui serait le  mieux  pour la Planète :

Au lieu de cela,  chacun s’observe, s’entête

On aura beau  dire et on aura beau faire

Lors il est trop tard pour tout défaire.

.

On aura beau dire,

Et on aura beau faire,

Rien ne servira à rien, si

Les hommes n’ont compris

Qu’ils seraient  en danger de

Disparaître  et à cause d’eux,

Par suite de pollution totale

Et irréversible et radicale.

.

On dit mais on fait peu

De cas des discours

Jugés judicieux

Sur l’écologie,

Mais ennuyeux

Pour    l’économie

Nationale, mondiale.

.

Qu’est-ce qu’on attend :

D’être en plein dans le mur

Alors qu’on est encore devant

Pour se préparer à l’éviter : dur

D’être soi-disant rationnel, savant

Ou prétendre ce n’est pas le moment.

.

Comme si la mort,  se pointant devant,

Et qu’on lui dise,  va-t’en donc, attend,

Laisse-moi jouir encore de mon corps

Tu ne peux rien, sur moi : ai-je tort !

Si population, pollution, croissent,

Simultanément  par quel miracle

On évitera d’être  dans la poisse.

.

Planète est ballon que l’on tacle,

Il n’y a pas de  règle, arbitre,

Ni même but  ni gardien :

Que clown jouant pitre

Ne  faisant  plus rien,

Tournant  en dérision,

Tous les avertissements.

.

Et quand il sera trop tard,

Ils diront, complaisamment,

Fallait taper du poing sur table,

L’on m’avait confié autre mission :

De préserver les privilèges des nantis.

Et, ça au moins, vous l’aviez compris.

.

Extensions

 .

On aura beau dire, et ne rien faire,

Se gargariser de discours et de certitudes

Ou de doutes, notre planète Terre n’en a cure :

Elle suivra sa progression vers un réchauffement

Atmosphérique et une pollution chimique, accélérés

Par notre désir de demeurer riche et confortable,

Quitte à hypothéquer  l’avenir de nos enfants.

Discours  et  chiffres  sont en concordance

Et il y a urgence : malgré cela, certains

De nos dirigeants ne se pressent pas

De mettre en œuvre des solutions.

La société civile prend le pas

Sur la société politique

Sinon où va le Monde !

.

Bien qu’il s’agisse d’une sorte d’apocalypse prochaine

Tout le monde ou presque la perçoit comme lointaine

Et, face à cela, garde son sang-froid, son âme sereine,

En se disant que si c’était vrai, ce serait : pas de veine

En étant désignés, par Dieu, pour exploiter la nature !

Ce dernier nous abandonnerait-il face à nos exactions

Ou bien en aurait assez de nous regarder tout saccager

On aura beau dire, on aura beau faire : ce serait l’enfer

Bien mérité cette fois, nulle part ailleurs que sur Terre.

.

L’on croit crier dans un désert

Quand la Planète est en danger,

Et qu’on en finit pas des guerres,

Allant apocalypse nous précipiter.

.

L’on aura beau dire  et  beau faire,

Il y aura de plus en plus de misères,

Sur terre suite à nombre sécheresses

Provoquant nombre d’immigrations.

.

Est-ce là fatalité impossible à changer

Sûr que non mais, pour cela, il faudrait

Que les humains s’entendent pour lutter

Or chacun ne voit que son propre intérêt.

.

On rêve d’un paradis ailleurs : c’est l’enfer.

Pourquoi ne pas garder le nôtre : mystère !

.

Fragments 

.

On aura beau dire, on aura beau faire,

Ça sonne comme expression populaire,

Qui clame impossibilité de se satisfaire.

.

Cela dit, c’est loin d’être paroles en l’air :

Personne aujourd’hui ne dit le contraire,

Constats d’impuissance face aux guerres.

.

Pas que face à la faim en monde, misère,

Tout autant face aux épidémies, cancers,

Face aux crimes et injustices sur…Terre.

.

Pour finir, et ce serait peut-être  le pire :

Face au changement climatique qui vire

À la catastrophe,  on dit qu’on conspire !

.

Les sept piliers de la sagesse : en danger,

Comme des balustres, faiblissent, cèdent

Les uns après les autres : réaction, néant.

.

Alors alors, y aurait-il comme une fatalité

Et que tout ce qu’on fait est d’inhumanité,

Comme si on tendait le cou pour le couper.

.

Mais il n’est pas trop tard, il ne l’est jamais,

Un sursaut peut-être, changement de plans,

S’y mettre tous, chacun, est plus qu’attendu.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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 Calligramme

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L’on entend un nombre messages

De  révisions alar   O   mistes, saccages

De  lieux  protégés,   N   de beaux paysages

Sans que l’on en tire   *       résolutions sages.

L’économie, et l’éco   A  logie,  se combattent,

Au lieu de se prêter   U  main forte … débattre,

De ce qui serait le  R   mieux  pour la Planète :

Au lieu de cela,  A   chacun s’observe, s’entête

On aura beau *  dire et on aura beau faire

Lors il est trop tard pour tout défaire.

.

On aura beau dire,

Et on aura beau faire,

Rien ne servira à rien, si

Les hommes n’ont compris

Qu’ils seraient  en danger de

Disparaître  et à cause d’eux,

Par suite de pollution totale

Et irréversible et radicale.

.

On dit mais on fait peu

De cas des discours

Jugés judicieux

Sur l’écologie,

Mais ennuyeux

Pour    l’économie

Nationale, mondiale.

.

Qu’est-ce qu’on attend :

D’être en plein   dans le mur

Alors qu’on est    encore devant

Pour se préparer  *    à l’éviter : dur

D’être soi-disant   B    rationnel, savant

Ou prétendre ce n’  E     est pas le moment.

Comme si la mort,   A      se pointant devant,

Et qu’on lui dise,      U    va-t’en donc, attend,

Laisse-moi jouir       *     encore de mon corps

Tu ne peux rien,       D     sur moi : ai-je tort !

Si population,          I    pollution, croissent,

Simultanément      R       par quel miracle

On évitera d’être    E       dans la poisse.

.

Planète est ballon que l’on tacle,

Il n’y a pas de  règle, arbitre,

Ni même but  ni gardien :

Que clown jouant pitre

Ne  faisant  plus rien,

Tournant  en dérision,

Tous les avertissements.

.

Et quand il sera trop tard,

Ils diront, complaisamment,

Fallait taper du poing sur table,

L’on m’avait confié autre mission :

De préserver les privilèges des nantis.

Et, ça au moins, vous l’aviez compris.

ET ON AURA BEAU FAIRE !

.

Forme

.

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Évocation

.

Pied de table, en bois tourné,

Pied de lampadaire en métal,

Ou pied de lampe ornemental,

Balustre en pierre balustrade

.

1044 4

.

Un pied restera un pied,

Et balustre restera balustre,

D’où cette expression populaire,:

«Les chats ne font pas des chiens»

 .

Symbolique

.

Les balustres sont souvent

Faits de pierre ou de marbre,

Mais,  parfois,  aussi, de  bois,

Sont,  généralement,  disposés

De façon  à respecter  la  règle

Architecturale   de   l’équilibre

Entre  le   jour   et   le     plein

Et  de  séparation  ajourée

Égale à la moitié de leur

Plus gros diamètre.

Le terme de  balustre

Désigne aussi ensemble

De  colonnettes  soutenant

La main-courante d’un escalier.

Modifié, source : Wikipédia

.

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Fond

 .

Évocation

.

1044 6

.

Un pied restera un pied,

Et balustre restera balustre,

D’où expression françaises :

«Les chats ne font pas des chiens»

 

Symbolique

Top 100 des 

Expressions françaises

Soutenues les plus courantes :

 .

Aller à quelqu’un comme un gant

Appeler   un   chat  un  chat : …

Au bout de son rouleau : …

Au   bout    du   tunnel : …

Au pied   de  la   lettre : …

 .

Au royaume des aveugles,

Les borgnes  sont  rois : …

Autant chercher une aigui

Lle  dans une botte de foin.

  .

 .

Fond/forme 

 .

L’homme aime à se construire

Des  protections, des défenses,

Pour se protéger des accidents

De manière  plutôt  préventive,

Et balustres  et  main courante,

Sont placés  partout  à cet effet,

Mais on aura beau dire, et faire,

Il y aura  des manques et oublis !

.

On ne peut se protéger contre tout

tant le risque zéro n’existera … pas

il y a des imprévus, concomitances

catastrophes naturelles  inévitables.

y a des gens qui gens qui ne tiennent

pas assez compte danger, risque-tout

et des trompe-la-mort, qui en meurt !

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 Textuels et illustrations >>

1032 – Les maladies, virus, pollutions prolifèrent !

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Les forêts sont les poumons

De la Terre pour qualité d’air

Et chaque année nous abattons

Leurs bois, à ne savoir  que faire.

On nous promet que l’on replante,

Selon une planification écologique.

.

L’on oubliera de nous dire qu’il faut

Vingt à trente années pour grandir.

Il en est   de même,  des maladies,

Ici, l’on trouve, applique  vaccin,

À tous ceux  qui sont solvables :

On ignore d’autres contagieux.

 .

Les forêts n’échappent pas à la dégradation systématique,

À cause des augmentations des exploitations mécaniques,

Forêt amazonienne du Brésil, africaines…pays asiatiques,

Diminuent de surface et pouvoir d’absorption carbonique

Bien que forêts Etatsuniennes, canadiennes, européennes

Accroissent leurs plantations pour compenser ces veines :

L’arbre de la vie deviendra-t-il symbole de l’arbre de mort

Nous laissant respirer un oxygène, chargé d’oxydes alors !

 .

Ne voilà-t-il pas qu’en plus, les virus, microbes, maladies,

Pullulent, s’étendent sur la surface du globe en pandémie,

Fièvre jaune, tuberculose, lèpre, choléra, variole  ou pestes

Nous attaquent, rendent malades, nous tuent,  empestent,

Sans compter le paludisme et le sida, dont on ne guérit pas

Jusqu’à présent et les maladies génétiques et autres trépas,

Qui sont comme un défi à la survie de l’humanité sanitaire,

Alors que les médicaments font, les laboratoires, prospérer.

 .

Les malades sont souvent les mêmes, qu’assoiffés, affamés,

L’hygiène de vie et la prévention sont les remèdes naturels,

Et nous vivons dans une société, de plus en plus artificielle

Qui n’a de sens  que seul profit, non la couverture de santé,

La Sécurité Sociale, comme on l’appelle, gage de solidarité,

Les nations ne veulent plus l’assumer, charge individuelle,

Pour que chacun se batte en accession de soins mutualisés

Alors que les maladies en vaccinant on pourrait éradiquer.

.

Extensions

 .

Si les arbres meurent,

L’humanité et par extension,

Le monde animal et qui respire,

Est en grave danger de disparaitre

On peut le contester et voire le relier,

Autant  de fois  que  l’on voudra  mais

Cela ne change rien, on n’en sait rien.

Les arbres peuvent devenir malades,

Voire atteints d’allergies diverses,

Bien pire : d’empoisonnements

Et le monde marin qui absorbe

Quantité de carbones peut s’acidifier

En mettant la vie des poissons en danger.

L’épée de Damoclès est ce que pollution laisse.

.

On ne va pas faire la liste de tout ce qui pollue

Et en plus établir une hiérarchie de mortalité,

Ce n’est pas une pollution qui pose problème,

C’est l’accumulation, les effets de transferts,

Une plus une, n’égale pas deux, bien  plus.

.

L’on ne lutterait que contre un ennemi

Qui est visible et dont on mesure l’effet

Non pas dans l’avenir, immédiatement

Qui, en outre, provoque nombre morts.

.

On a comme impressions d’accélérations

Des catastrophes, pandémies, sécheresses

Quantité, rapidité, mortalité, additionnés

On repousse remède,  futures générations.

.

Solution est autant individuelle et mondiale

Au niveau individuel, mesures individuelles

Au niveau international, mesures radicales,

Niveau intermédiaires, mesures financières.

.

Fragments

.

Maladies, virus, pollutions prolifèrent,

Ceci n’est ni un «scoop» ou nouveauté,

Tout le monde le sait, n’en fait mystère,

Terre a toujours produit mauvais côtés !

.

Il suffit d’un flacon de virus, non contrôlé,

Pour créer, disséminer pandémie mondiale,

Ça peut venir suite à une erreur involontaire,

Ou acte malveillant en guerre bactériologique.

.

Les virus toxiques, on les éradique par vaccins,

Pour les pollutions plastiques, il n’en serait rien,

Il faut un siècle  pour les décomposer,  absorber,

On en consomme en mangeant animaux marins.

.

Si bon nombre de maladies nouvelles prolifèrent

C’est parce qu’on les détecte, et les traite, mieux,

Mais les traitements en provoqueraient d’autres

Comme en une chaine qui deviendrait sans fin !

.

La distribution et consommation d’eau potable

Fait partie des pollutions les plus réglementées

Mais il n’y a pas que ce qu’on mange ou boit :

Il y a aussi ce qu’on respire, ce qu’on touche.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

VIRUS

Les forêts sont les poumons

De la Terre pour qualité d’air

Et chaque année nous abattons

Leurs bois, à ne savoir  que faire.

On nous promet que l’on replante,

Selon une planification écologique.

.

L’on oubliera de nous dire qu’il faut

Vingt à trente années pour grandir.

Il en est   de même,  des maladies,

Ici, l’on trouve, applique  vaccin,

À tous ceux  qui sont solvables :

On ignore d’autres contagieux.

MALADIES,

Les forêts n’échappent pas à la dégradation systématique,

À cause des augmentations des exploitations mécaniques,

Forêt amazonienne du Brésil, africaines…pays asiatiques,

Diminuent de surface et pouvoir d’absorption carbonique

Bien que forêts Etatsuniennes, canadiennes, européennes

Accroissent leurs plantations pour compenser ces veines :

L’arbre de la vie deviendra-t-il symbole de l’arbre de mort

Nous laissant respirer un oxygène, chargé d’oxydes alors !

POLLUTIONS

Ne voilà-t-il pas qu’en plus, les virus, microbes, maladies,

Pullulent, s’étendent sur la surface du globe en pandémie,

Fièvre jaune, tuberculose, lèpre, choléra, variole  ou pestes

Nous attaquent, rendent malades, nous tuent,  empestent,

Sans compter le paludisme et le sida, dont on ne guérit pas

Jusqu’à présent et les maladies génétiques et autres trépas,

Qui sont comme un défi à la survie de l’humanité sanitaire,

Alors que les médicaments font, les laboratoires, prospérer.

PROLIFÈRENT !   

Les malades sont souvent les mêmes, qu’assoiffés, affamés,

L’hygiène de vie et la prévention sont les remèdes naturels,

Et nous vivons dans une société, de plus en plus artificielle

Qui n’a de sens  que seul profit, non la couverture de santé,

La Sécurité Sociale, comme on l’appelle, gage de solidarité,

Les nations ne veulent plus l’assumer, charge individuelle,

Pour que chacun se batte en accession de soins mutualisés

Alors que les maladies en vaccinant on pourrait éradiquer.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une bouteille d’encre,

Échantillon de parfum

Fiole  médicamenteuse 

Ou  flacon  de vaccins ?

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.

Un flacon de prélèvement d’eau,

Ou autre liquide incriminé pollution

Autres formes pollutions augmentent,

Et prolifèrent avec l’homme sur Terre.

.

Symbolique 

.

La réglementation de l’eau

Soumet les prélèvements

À des méthodes strictes

Et différentes, suivant

La source dont émane

L’eau  qui est analysée,

Eau du robinet, de mer,

Voire eau  de montagne.

 .

Et les prélèvements d’eau

Ne sont plus faits  dans des

Flacons en verre mais dans

Des flacons  tout en plastique,

Aux propriétés spécifiquement

Étudiées  pour  ne  pas  altérer

L’eau recueillie  et à analyser.

Source : franceenvironnement.com

/sous-rubrique/prelevement

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Fond

Évocation

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Changer l’image ici

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Un flacon de prélèvement d’eau,

Ou autre liquide incriminé pollution

Autres formes pollutions augmentent,

Et prolifèrent avec l’homme sur Terre.

.

Symbolique

 .

Le sac a été pendant des années

Symbole de la pollution plastique

Des océans, et la cible de nombreuses

Campagnes de sensibilisation.

.

En France par exemple,

Les sacs  en plastique  à usage unique

Sont interdits à la caisse des magasins

Depuis  le 1er juillet 2016  avec  l’entrée

En vigueur de la transition énergétique.

.

Forcément, les premiers à en souffrir,

Ce sont les animaux marins,

Après avoir mené la guerre

Contre les sacs plastique,

Il va donc falloir bannir

Les pailles en plastique.

france24.com/fr/20180524-pailles-

plastique-nouveau-symbole-pollution-oceans

 .

.

Fond/forme 

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Pollution par ci, pollution par là

Ce mot est  dans tous les esprits,

Pas encore  dans les mentalités,

Conditionnant comportement.

Et ce n’est pas faute de la voir

Ce n’est pas faute de la croire

Juste que  l’on espère  trouver

Plus tard, moyen de la traiter,

Avant qu’il ne soit … trop tard !

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