230 – Moi, le capitaine, et le bateau !

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.

En vrai, un capitaine

C’est une véritable aubaine

Pour naviguer en toute sécurité

Tant un apprenti matelot, pas un  beau cadeau.

Mais, il y a tant, tant  à faire, sur un bateau

À deux on s’ennuie moins que seul

On rit, dort, bricole, ce qu’il faut,

Arrive parfois même qu’on s’engueule.

.

Le bateau joue le rôle du troisième homme,

Avec pilote automatique  et régulateur d’allure

Radar, GPS, sonar, VHF,  carte, pures merveilles,

On peut dormir, une heure, sur les deux oreilles.

.

Pour finir, on n’est jamais perdu sur un bateau

On sait toujours, où l’on est, et  d’où l’on vient,

Même si, au près, pour aller où l’on veut aller,

Ce n’est pas droit, loin de là et on y parvient.

.

Comme avec un jouet pour enfant bien choyé,

Ar-Kilé beau  est un beau voilier  que  je signe.

Le skipper demeure souvent capitaine agréable

Pour peu que l’on respectera bien ses consignes

Le voilier, est un mode de transport inoubliable.

.

Pour peu que l’on sache le mener  et  le dompter,

On peut aller, tout par tout avec lui et sans peurs,

En bord de mer, en  océan, en criques, en  rivières,

Il s’adapte à tous vents, tous terrains, en dériveur :

Le capitaine le bichonne, d’autant  qu’il en est fier !

.

Vrai mangeur : de milles nautiques, par vents forts,

Il affronte aussi vaillamment, calmes  et tempêtes,

Souvent sous voiles, parfois moteur, il trompète,

Sa joie de coursier, à galoper  à sept beauforts.

.

Moi je ne suis que l’équipier, ami apprenti

J’ai tant de choses à apprendre de lui,

Chaque jour découvre du nouveau

En navigation et d’exception,

Frissons, peu de frictions.

Capitaine sans bateau

Serait orphelin.

.

.

Extension

.

La vie du bateau,

La navigation, sécurité,

Le protocole, prennent le pas

Sur tout le reste, lors on est en bateau,

À tel point qu’on sait plus, toujours très bien,

Si c’est lui qui nous mène ou quelqu’un qui l’entraine.

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La règle d’or n’est pas de rattraper ses erreurs

De bord, mais de les anticiper pour ne pas

Ralentir la marche, avoir à le relancer

Après un arrêt suite à un changement

De cap ou de réglage des voiles.

.

L’état du vent et l’état de la mer,

Changent souvent et le moindre retard

Se paie par un écart de route, ralentissement.

.

Ces sont bien là, trois choses, trois éléments, bien différents :

Moi et le capitaine, moi et le bateau, le capitaine et le bateau,

On tourne en rond quand on dit cela  autour d’un même pot,

Sauf qu’ici et en la matière, il s’agirait plutôt de son enfant

Ou tout comme, le capitaine n’ayant d’yeux  que pour lui.

Parfois je me sens bien intégré, parfois pièce rapportée.

Je ne suis pas le seul dans ce cas : ne m’en plains pas !

Toutefois, comme ne m’implique pas autant que lui,

Il arrive qu’on ne soit plus même longueur d’onde.

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Moi, le capitaine et le bateau … nous formons un trio

Inséparable, se complétant, s’accordant parfaitement.

.

De fait, chacun sait ce dont il est capable, responsable,

Et le fait de son mieux, pour assurer plaisir et sécurité.

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Le capitaine décide, l’équipier exécute, le bateau réagit,

En fier coursier, cheval des mers, il avance et il… bondit.

.

Parfois raison prend pas sur émotion et parfois contraire.

Quoiqu’il en soit, parole du capitaine  n’est pas arbitraire !

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 À première vue, on dit qu’un voilier, c’est simple à naviguer.

À seconde vue, si on n’y connait rien, mieux vaut s’abstenir !

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230 – Calligramme

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En vrai, un capitaine

C’est une véritable aubaine

Pour naviguer   M   en toute sécurité

Tant un apprenti mate  O  lot, pas un  beau cadeau.

Mais, il y a tant, tant  I    à faire, sur un bateau

À deux on s’ennuie moins que seul

On rit, dort, bricole, ce qu’il faut,

Arrive parfois même qu’on s’engueule.

.

Le bateau joue le rôle du troisième homme,

Avec pilote automatique   C  et régulateur d’allure

Radar, GPS, sonar, VHF,  A  carte, pures merveilles,

On peut dormir, une   P  heure, sur les deux oreilles.

Pour finir, on n’est   I    jamais perdu sur un bateau

On sait toujours,    T  où l’on est, et  d’où l’on vient,

Même si, au près,   A   pour aller où l’on veut aller,

Ce n’est pas droit,     I   loin de là et on y parvient.

Comme avec un jouet  N  pour enfant bien choyé,

Ar-Kilé beau est un beau   E   voilier que je signe.

.

Le skipper demeure souvent un capitaine agréable

Pour peu que l’on respectera  B   bien ses consignes.

Le voilier, est un mode de  A    transport inoubliable,

Pour peu que l’on sache    T    le mener et le dompter !

On peut aller, tout par  E     tout avec lui et sans peurs,

En bord de mer, en   A   océan, en criques, en rivières :

Il s’adapte à tous   U    vents, tous terrains en dériveur

Le capitaine le bichonne, et d’autant qu’il en est fier !

.

Vrai mangeur : de milles nautiques, par vents forts,

Il affronte aussi vaillamment, calmes  et tempêtes,

Souvent sous voiles, parfois moteur, il trompète,

Sa joie de coursier, à galoper à sept beauforts.

Moi je ne suis que l’équipier, ami apprenti

J’ai tant de choses à apprendre de lui,

Chaque jour découvre du nouveau

En navigation et d’exception,

Frissons, peu de frictions.

Capitaine sans bateau

Serait orphelin.

.

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Forme

.

Réduction

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230 4

.

Évocation 

.

Un véritable personnage

Avec  barbe,  bouche,  yeux,

Une belle tête de capitaine

Avec son chapeau de pirate.

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À la fois une personne et un personnage

le capitaine aurait maints portraits de lui,

allant du jeune skipper au vieux loup de mer,

et lors ici, la forme converge bien vers les fond.

.

Ce n’est qu’un personnage d’enfance 

Introuvable en réalité :

Faut avouer, un capitaine a fière allure

 Avec barbe et chapeau !

.

Symbolique

 .

Personnage désigne

Une personne à laquelle

On affectera une fonction

Un personnage  de fiction,

Le    personnage    principal

Ou secondaire,  d’une œuvre

Voire le héros  ou  le méchant

Un    personnage   historique,

Un protagoniste  issu du réel

Soit évoluant dans un récit.

Un personnage, type, rôle

Se référant  à un cliché,

Le   prince charmant,

Le   tueur   en série,

La   femme fatale,

Le jeune premier

Wikipédia : personnage

.

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Descriptif

.

230 – Moi, le capitaine, et le bateau 

Alignement central / Titre  serpente / Thème  rencontre

Forme anthropo  /  Rimes égales   /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : personnage / Symbole de fond : capitaine

.

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Fond

.

Évocation 

.

230 6

.

Ce n’est qu’un personnage d’enfance 

Introuvable en réalité :

Faut avouer, un capitaine a fière allure

 Avec barbe et chapeau !

.

Symbolique

.

Capitaine et voilier

Indiquent  les  décisions

Qu’il  nous  faudra  prendre

Concernant notre propre destin.

Sommes  maîtres à bord,  capitaine 

Considéré, se considérant chef après Dieu

Le voilier  et  son capitaine  nous révèlent

Nous sommes, directement, concernés,

Par ce que nous choisirons d’être

Pour notre évolution, sort.

communicationvisionnaire.com/cartes intuition

.

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Corrélations

Fond/forme 

 .

Tout esquif avec un équipage

Dispose d’un capitaine à bord,

Que chacun jacasse son ramage

L’esquif ne prendra cap au nord !

.

Cela dit, il y en a, étant diplomates

Et j’en ai rencontré des autoritaires,

Et l’humeur du capitaine peut influer

Grandement, sur l’efficacité de border.

.

Il est vrai que si on s’entend mal avec lui

Cela se répercutera au sens propre, figuré.

Ce qui compte avant tout pour lui  pour tous,

Est de garder son calme être clair, pas stresser.

 .

.

J’en suis pas là, mais bientôt

.

Scénario

.

Moi, à la barre.

Une idée de capitaine.

Une photo de notre bateau.

 .

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194 – Pensées des gens assis face au voilier

Visuels et textuels  >> 

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En un port, une marina,

Où nous  étions, amarrés,

L’arrière  contre le ponton,

Il y avait un  quai, en pierre,

Juste au-dessus et en hauteur,

Avec un banc, et, vue plongeante

Donnant, sur le cockpit,  descente,

Lors, même, jusqu’au fond du carré.

J’ai cherché à quoi pensaient les gens,

Assis, là, pendant un bon quart d’heure,

Me projetant, à leur place,  sur leur banc.

Je me suis vu, par leur double truchement,

M’imaginant comme un dialogue entre eux.

.

«Ils ont de la chance, du temps et de l’argent,

Pour posséder un voilier de…quarante pieds

Avec tout le confort tant en mer qu’au port»

«Quelle vie ont-ils eu pour qu’ils soient ainsi,

À voyager, d’une ile à l’autre, sur l’océan.» 

.

Certains, des jeunes couples, se projetaient

Sur nous comme exemple à suivre en tout,

Lors autres un peu  plus âgés maugréaient

Qu’ils n’auraient pas, un tel bateau : trop !

.

Sans parler d’autres qui nous observaient

Vivaient avec nous, presque à l’intérieur,

Ou dans le cockpit, lors prenant apéritif,

Avec amis, voileux et voire avec voisins !

.

Je me suis dit que j’aurais pu être eux,

Je ne l’étais pas, et j’en étais heureux:

J’imagine qu’ils ont d’autres plaisirs,

Les passionnant, en tant que loisirs.

.

À chacun  ses  rêves … finalement,

À chacun d’être assis à son banc

Si, tant vrai que… l’important,

Est ne pas rester sur le flanc.

.

Sur le flanc d’un voilier,

L’eau coule à volonté

Jusqu’à…l’arroser

Corps mouillé.

Sur le banc

Au vent

Sec

.

.

Extension

.

Assis sur un banc à regarder les bateaux

Rentrer  et sortir du port  est comme aller

À l’aéroport regarder les avions… s’envoler

Ici, chacun est propriétaire  de son bateau !

.

Le bateau est synonyme de liberté

De ses mouvements, en mer,

Tout comme la voiture, à terre

Mais la comparaison s’arrête… là.

.

Tout le monde peut avoir une voiture,

Peu se payer un voilier de trente-sept pieds

Avec tout l’équipement et l’armement qui va avec.

Rêve réalisé pour certains, rêve irréalisable pour d’autres,

Indifférence pour la majorité, cauchemar pour ceux

Qui ont horreur de la mer qui leur fait peur,

Sans trop bien d’ailleurs savoir pourquoi,

S’ils n’ont jamais essayé, une seule fois.

.

Il est vrai que de nombreux bateaux

Dorment dans les ports ou les criques

Et que tout cet argent pourrait être utile

À autre chose plus raisonnable mais justement,

Le luxe, est inutile et irrationnel… combien humain.

.

Voilier dans une marina au ponton, à quai

Les voiles ferlées, au vent léger pour les sécher

Qui ne résistera à idée le kidnapper pour voguer,

Sur l’océan, et laisser, à terre, tous  ses tourments.

Plus tard, un jour, j’en louerai bien  un de voilier,

Et qui ressemblera à celui-ci, et voire, à celui-là.

Je peux déjà satisfaire mon envie, en le louant,

Mais c’est quand même mieux, en l’achetant,

 Tellement c’est, à la fois, grisant et reposant.

.

Sur les quais d’une marina, voire les pontons,

Il y a toujours foule de gens qui se promènent,

Regardant votre bateau en air de connaisseurs,

Ou tout simplement d’envie d’être à votre place

.

Il arrive que certains demandent informations,

Concernant le voilier, la croisière, équipements,

Parfois demandent même à le visiter, curiosité,

Pourquoi leur refuser mais faut être concernés.

.

Est-ce à dire  qu’on avait un yacht de luxe : non,

Mais pas un vieux rafiot, juste un vieux bateau :

Une sorte 4/4 des mers au programme complet :

Je crois, qu’aux gens, c’est ce qui leur plaisaient.

.

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194 – Calligramme

.

Où nous  étions, amarrés,

L’arrière  contre le ponton,

Il y avait un  quai, en pierre,

Juste au-dessus et en hauteur,

Avec un banc, et, vue plongeante

Donnant, sur le cockpit,  descente,

Lors, même, jusqu’au fond du carré.

J’ai cherché à quoi pensaient les gens,

Assis, là, pendant un bon quart d’heure,

Me projetant, à leur place,  sur leur banc.

Je me suis vu, par leur double truchement,

M’imaginant comme un dialogue entre eux.

PENSÉES

«Ils ont de la chance, du temps et de l’argent,

Pour posséder un voilier de…quarante pieds

Avec tout le confort tant en mer qu’au port»

«Quelle vie ont-ils eu pour qu’ils soient ainsi,

À voyager, d’une ile à l’autre, sur l’océan.» 

DE GENS

Certains, des jeunes couples, se projetaient

Sur nous comme exemple à suivre en tout,

Lors autres un peu  plus âgés maugréaient

Qu’ils n’auraient pas, un tel bateau : trop !

ASSIS

Sans parler d’autres qui nous observaient

Vivaient avec nous, presque à l’intérieur,

Ou dans le cockpit, lors prenant apéritif,

Avec amis, voileux et voire avec voisins !

FACE

Je me suis dit que j’aurais pu être eux,

Je ne l’étais pas, et j’en étais heureux:

J’imagine qu’ils ont d’autres plaisirs,

Les passionnant, en tant que loisirs.

AU VOILIER

À chacun  ses  rêves … finalement,

À chacun d’être assis à son banc

Si, tant vrai que… l’important,

Est ne pas rester sur le flanc.

Sur le flanc d’un voilier,

L’eau coule à volonté

Jusqu’à…l’arroser

Corps mouillé.

Sur le banc

Au vent

Sec

.

.

Forme

.

Réduction

.

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194 4

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Évocation  

.

Un pendentif pour un collier

Une pointe  pour lance, flèche

À  l’envers  comme  à l’endroit,

Une coque de voilier et voiles.

.

Pendentif et collier ne vont pas au thème,

encore que gens devant peuvent en porter

coque et voiles s’y accordent parfaitement

on va dire qu’on s’n approcherait, au fond.

.

Rêver de faire de la voile, en mer,

En admirant les voiles:

Combien de visiteurs, en longeant

Les marinas, ne l’on fait ?

.

Symbolique     

 .

Mettre les voiles,

Illustre bien le symbole.

La voile se gonfle se lève, se tend,

S’étarque,  se réduit, se baisse, s’abat…

Se remplit, se vide, se courbe, flotte au vent.

.

Elle reflète le besoin du départ imaginé,

L’invitation à quitter la terme ferme

Pour l’élément liquide.

.

Il faut se rappeler que l’on ne quitte

Pas le port ou la marina,

Sur un coup de tête : un voyage

Se prépare en prenant en compte

Toutes les conditions de la météo !

 .

Descriptif

 .

194 – Pensées de gens assis face au voilier

Alignement  central / Titre absent  / Thème  bateau

Forme  pointe / Rimes égales /Fond approché de forme

Symbole de forme : voile / Symbole de fond : pendentif

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Fond

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Évocation

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194 6

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En admirant les voiles :

Rêver de naviguer,  pendentif

Combien de visiteurs, longeant

Les marinas, ne l’on fait ?

.

Symbolique

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Les tendances

Et les modes sont

Parfois vite oubliées

Et fort vite remplacées.

Et pourtant il y a nombre

Bijoux qui durent, dureront

Des petites choses qui restent,

Comme un pendentif car leur

Symbolique  nous permet de

Nous retrouver tant dans

Notre personnalité que

Dans notre manière

De  vivre,  d’être

 Et de penser.

hernandizjose.coma-

symbolique-des-bijoux

 .

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Corrélations

Fond/forme 

 .

Voiles et pendentifs : chercher l’accord

Il n’y en a pas même si parfois, aux ports

Vous vous arrimez, au quai, sur pendilles !

Il en fut ainsi, au port de Funchal, Madère !

Accrochés au quai, montant  par jupe arrière,

Si descente est ouverte : on voit tout l’intérieur,

Les gens assis sur banc n’ont qu’à regarder faire.

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Bateau à quai, amarré arrière

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Scénario

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Un voilier, l’arrière amarré au ponton laisse entrevoir ses entrailles,

un couple, assis sur un banc en face, à manger,  l’admire, le détaille,

qui sait si, la nuit tombée, il ne rêvent pas, eux aussi, de naviguer !

.

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Visuels et textuels  >>