726 – Sans toi, je ne serais pas … moi… nous !

Visuels et textuels  >>

.

Sans toi, que serais-je,

Prisonnier de ma solitude

Il n’y aurait pas de nous,

Et sans toi, pas d’émois,

Me rendant des plus fous.

.

Avec toi, je rentre

Comme en une bulle,

Où rien ne peut  arriver

De fâcheux, de malheureux

Me stressant comme honteux.

.

Sans toi, je ne serais pas moi :

Sans toi, on ne  serait pas nous

Y a rien à ajouter, de vous à moi,

Tout est dit, c’est histoire de fous.

.

Sans toi,  je ne ferais pas  le poids,

Sans toit, je ne serais pas, avec toi,

Restaurant, tu fais  régime, galère,

Fine bouche pour t’envoyer en l’air.

.

Sans émoi, je ne serais pas ton roi,

Sans quoi, je ne serais que pour toi,

Prince éveillant chez toi, un soupir

Qu’un manant éteignant ton désir.

.

Avec toi et moi l’on a fait un nous,

Mélangé  mains avec  nos  genoux,

Et sans aller plus loin à chaque fois,

Que caresse, baiser, regard, bon aloi.

.

J’ai écouté battre ton cœur, cent fois,

Emballé, ralenti par un je ne sais quoi

Qui m’avait semblé  capturer  mystère

Brulant avant que tu retombes à terre.

.

Sans toit, il me parait certain qu’en soi,

Notre amour ne serait dans un tel état-là,

Serait plus raisonnable avec plus d’amitié

Que de cette trempe, des plus folles…à lier.

.

.

Extensions

 .

Sans toi, je ne serais pas moi :

C’est dingue de penser cela.

Je ne suis pas devenu

Un autre que j’ignorais.

Je suis le même et différent

Et c’est seule chose que je crois.

.

Est-ce moi, est-ce toi ou est-ce nous

Qui avons changé, ce serait ce nous qui,

À lui seul,  nous surprendrait  par la force

De notre désir de nous confondre  dans une

Entité nouvelle ce n’est pas qu’une  addition,

Pas une superposition, est une multiplication

De nos projections présentes, et à venir, pour

Se construire, durer contre vents et marées.

.

Sans toit, je ne me sentirais pas  protégé,

Lors, seul, je me sentirais très calfeutré

En espace vide d’altérité, générosité.

Je ne vivais que pour moi,

Mais aujourd’hui, avec toi,

Je vis pour nous mais pour les gens

Que nous aimons, familles, amis, collègues.

.

Toi et toit se rapprochent le plus souvent

Sans toi, je ne serais plus un bon amant

Sans toit, je ne serais pas bien protégé

Sans foi ni loi je me sentirais aliéné,

Sans ceci et cela, je ne serais rien.

.

Quelle différence … avec  et sans : tester là.

Un bon moyen de creuser un attachement.

On pourrait y associer  un toit  et une foi,

 Toi pour moi, toit sur toi, plus foi en toi !

.

Sans toi, il ne pourrait  y avoir  de nous,

Toutefois, sans toi serais-je encore moi :

À moitié peut-être, encore peut-on l’être,

Mais quelle moitié pourrais-tu m’enlever !

.

Arrêtons de tergiverser sur les mots toi et moi.

Moi je suis bien moi, je reste moi et toi, t’es toi.

Le «nous» qui en serait l’addition est conceptuel,

Est notre enveloppe commune et voire spirituelle !

.

.

Épilogue

.

À présent,  après tout ce temps

Passé avec toi, comme amants,

Tu fais tellement partie de moi,

Je ne me reconnaitrais sans toi.

***

Doux aveu s’il en est d’un amant,

Mais autant,  dépendance de toi :

C’est pas tant question : comment

Ferais-je sans toi, mais  pourquoi.

***

Mon identité personnelle, croisera

Tant la tienne,  que je me fourvoie,

Si je dis que tu penses comme moi

Sans savoir si c’est moi qui le dira.

***

Mais cela n’entraine aucune fusion

Et lors pas d’avantage de confusion

Nous resterons deux êtres uniques,

C’est  bien cela qui est…fantastique

***

Toi, moi et nous : sommes identités,

Jouant chacun leurs rôles, partitions

Je ne peux te dire moi c’est moi et toi,

Tais-toi, sans me réduire à une nullité !

.

.

726 –  Calligramme

 .

Sans toi, que serais-je,

Prisonnier de   ma solitude

Il n’y aurait          pas de nous,

Et sans toi,                pas d’émois,

Me rendant                   des plus fous.

.

Avec toi, je rentre

Comme en      une bulle,

Où rien ne          peut  arriver

De fâcheux,           de malheureux

Me stressant                comme honteux.

.

Sans toi, je ne serais pas moi :

  Sans toi, on ne       *   serait pas nous

Y a rien à ajouter S         : de vous à moi

Tout est dit, c’est   A               I    histoire fous.

Sans toi je ne ferais  N              O       pas le poids,

Sans toit je ne serais  S         T       pas, avec toi,

Restaurant, tu fais     *      régime, galère,

Fine bouche pour t’envoyer en l’air.

.

Sans émoi, je ne serais pas ton roi,

Sans quoi, je ne   * serais que pour toi,

Prince éveillant  N        S  chez toi, un soupir

Qu’un manant  E                I  éteignant ton désir

Avec toi et moi   *                 A   l’on a fait un nous,

Mélangé mains   S          R   avec  nos  genoux,

Et sans aller plus   E    loin, à chaque fois,

Que caresse, baiser, regard, bon aloi.

.

J’ai écouté battre ton cœur, cent fois,

Emballé ou ralenti par N  *     un je ne sais quoi

Qui m’avait semblé   I                S capturer mystère

Brulant avant que tu  *                   U retombes à terre.

Sans toit, il me parait  M               O   certain qu’en soi,

Notre amour ne serait  O         N dans un tel état-là,

Serait plus raisonnable  I  avec plus d’amitié

Que de cette trempe, des plus folles à lier.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

On peut voir un bracelet

Tout aussi bien qu’un

 Cairn de pierres 

C’est un choix !

 .

Il n’y aura rien ici qui va ensemble

Bracelet, pierre et toi sont distincts

l’on aura beau travailler la forme

elle ne se rapprochera du fond !

.

Un bracelet peut être un accessoire

Ou un vrai bijou

Tout comme partie d’une belle montre

Fixé à son poignet.

  .

Symbolique 

 .

Outre ses fonctions décoratives,

Le bracelet est au service de multiples

Autres fonctions ou intentions.

Ces fonctions sont très variables selon

Les époques et les cultures, mais aussi

Selon  les  croyances  ou  perceptions

Propres à l’individu qui porte le bijou.

.

Il est néanmoins possible de distinguer

Quelques  fonctions  plus  spécifiques:

Le bracelet, plus que tout autre bijou,

Signifie le Partage et la Communion.

Lbracelet chaine, métalliques souples

Constitués de maillons chaînés.

Lyn-et-or-bijoux.com/content

.

 

Descriptif

.

726 –  Sans toi,  je ne serais pas moi, nous

  Alignement central   / Titre  cercle   / Thème identité

Forme  chaine    /   Rimes égales /   Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bracelet-montre / Symbole de fond : pierres

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

726 4

.

Cinq pierres empilées allant de la plus grosse

 À la plus petite :

C’est notre cairn constituant notre repère

Et un repaire à la fois

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme des pierres

Représente la solidité, durée,

Et chaque pierre a le sien

Le cristal, la pureté,

Et le marbre, l’éternité.

.

Sous peine de délire, d’arbitraire,

Symbolique de la pierre reste dans

Le cadre du règne minéral, tient

Compte  des  caractéristiques

De la pierre qui serait une

Matière minérale  solide

Plus  ou  moins…  dure

Que l’on rencontrera

Souvent en masses

Très  compactes

 À la surface,

Dans sol.

Source : Wikipédia

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La somme des parties est égale au tout :

qui ne connait cette équivalence ensemble,

pourtant je suis entier quand je me regarde

or il me semble bien manquer quelque chose

ce petit quelque chose, c’est toi, et c’est tout,

ne jouons pas sur les mots, tu es ma moitié

je l’ai même déclaré au maire et au curé.

 .

.

Monde pour tous, pour soi

.

Scénario

.

Sans toi, je serais quoi : pas entièrement moi très certainement.

Sans toit,  nous ne serions pas entièrement nous, probablement.

Sans toit, ce sera sans moi, mais sans moi, tu seras sans … toit !

 .

Visuels et textuels  >>

722 – Des jours avec et des jours sans…sans toi

Visuels et textuels  >>

.

^

Sans

Et  avec,

Avec et sans,

Avec qui et sans,

Comblé, ou frustré,

Ou pourquoi exister !

.

Car si je compte l’année

Combien de jours …  avec,

Combien de jours  …   sans :

Balance penche  de quel côté ?

.

Sans, c’est évidemment, sans toi :

Tu es la seule qui compte pour moi !

Qu’en est-il de ta part, pressée ou non,

De me revoir pour encore se rencontrer.

.

      Des jours avec et des jours sans,

  Sans qui,  sans toi,  au demeurant :

  Car jours sans sont surtout… sans toi,

    Toi  qui m’accueille  lors j’ai foi en toi !

.

  Je doute de tout y compris de moi-même,

    Mais de ton amour, pas, exception extrême,

    M’aimeras-tu assez pour supporter mon être,

    Sans cesse hésitant entre : oui, non, peut-être !

.

     Saches qu’un jour, avec,  compte double avec toi

    Et même triple ou quadruple quand je suis à toi !

   De dire que  je ne suis rien, ne fait pas de toi, tout,

   Dépendant, pour sûr, mais, pas toujours pour tout.

.

  Moi, j’ai ma vie, à finir, de construire, et de réaliser,

  Mais, je le pressens, qu’elle ne finira pas sans t’aimer

   Car j’ai bien plus de jours «avec» que de jours «sans»  

   Avec toi, tout près de moi et même loin au demeurant.

.

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

.

.

Extensions

 .

Un jour «sans», n’est pas tout à fait sans,

Même si ça peut paraitre paradoxal :

Tu es toujours là, en pensée.

Un jour «avec» peut devenir «sans»

Si tu ne t’intéresses à moi,

Réciproquement, bien que présente.

.

Jamais tout à fait sans,

Jamais tout à fait «avec» ou le contraire

De ceux qui sont toujours collés l’un à l’autre.

Certains paraissent «avec» l’autre en communauté,

Public, se comporteront en réalité «sans», en privé.

Y a des jours  sans»  de chaque côté  de l’Atlantique,

Et «avec» par téléphone, par courriel ou visiophone.

.

Y a des jours «sans» quand l’autre est parti «avec»

Un autre, plus encore s’il a disparu, définitivement.

Apprendre à faire «sans», on l’a fait pour sa mère

Dès l’âge de deux ans  mais c’est plus un «sans»

Provisoire, on se doute bien qu’elle va revenir,

Qu’elle ne peut que revenir, qu’elle a disparu

Physiquement, mais non, affectivement !

.

Tout le monde emploie l’expression : des jours avec et sans

Avec quoi et sans quoi : la réside la question et la solution

Avec toi, tes  paroles m’envoûtent et au point le plus haut

Avec toi, ma guitare retrouve sons et accents langoureux

Avec toi, mon cœur bat fort, lors, sans toi, électro… plat

Avec toi, mon sang bout : je perds vite mon sang froid.

Sans toi, que deviendrai-je tant tu es la moitié de moi.

.

Amour impliquera non sans

Sinon que serait-il vraiment

Bien que pauses s’imposent,

Et que peu de couples, osent.

.

L’amour est comme un soupir,

L’amour inspire comme expire,

Même la musique a des silences

Qui feront comme son d’absence

.

Ce ne sont pas les absences courtes

Qui pousseront à tentative tromperie

Ce sont les occasions, les opportunités,

Sachant que chair est faible, esprit aussi.

.

Les premières années du couple, on les subit,

Les suivantes on les espère, pour elles, on prie,

Et lorsqu’ainsi vont les choses et ainsi va la vie :

L’absence fait prendre recul en prendre son parti.

.

.

Épilogue

.

Sans et avec ne serait jamais pareil

Ce, en toute occasion,  circonstance,

On passerait de l’ennui à… merveille,

Impensable de les mettre en balance.

***

Avec toi et sans toi, mais cela va de soi,

Les jours avec sont marqués d’une croix,

Jours sans sont effacés de mon calendrier

Sont comme jours gâchés ou mal appariés

***

Un jour avec toi, compense la semaine sans,

Un jour avec toi,  et me voilà  au firmament,

Un jour avec toi, sera comme sapin de Noël,

Un jour avec toi, lors ma vie sera  très belle.

***

C’est dire si tu me manques à  quel point,

Que sans toi, je me sens n’être plus rien,

Que chien délaissé attendant à la porte

Cet être  qui, cœur et âme, l’emporte.

***

L’on dirait presque  une supplique,

Attendant qu’on donne la réplique

Qui conviendra pour que « sans »,

Se transforme en « avec » autant.

.

.

722 – Calligramme 

.

^

Sans

Et  avec,

Avec et sans,

Avec qui et sans,

Comblé, ou frustré,

Ou pourquoi exister !

Car si je compte l’année

Combien de jours …  avec,

Combien de jours  …   sans ?

Balance penche  de quel côté ?

Sans, c’est évidemment, sans toi :

Tu es la seule qui compte pour moi !

Qu’en est-il de ta part, pressée ou non,

De me revoir pour encore se rencontrer.

.

    L    Des jours avec et des jours sans,

E    Sans qui,  sans toi,  au demeurant :

S    Car jours sans sont surtout… sans toi,

*     Toi  qui m’accueille  lors j’ai foi en toi !

J    Je doute de tout y compris de moi-même,      J

O    Mais de ton amour, pas, exception extrême,     O

U    M’aimeras-tu assez pour supporter mon être,     U

R    Sans cesse hésitant entre : oui, non, peut-être !     R

S                                                                                              S

*     Saches qu’un jour, avec,  compte double avec toi     *

S    Et même triple ou quadruple quand je suis à toi !    A

A   De dire que  je ne suis rien, ne fait pas de toi, tout,    V

N   Dépendant, pour sûr, mais, pas toujours pour tout.   E

S                                                                                                    C

*   Moi, j’ai ma vie, à finir, de construire, et de réaliser,    *

T   Mais, je le pressens, qu’elle ne finira pas sans t’aimer   T

O   Car j’ai bien plus de jours «avec» que de jours «sans»  O

I   Avec toi, tout près de moi et même loin au demeurant.  I

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

722 4

.

Si ce n’est pas un sapin,

Quand bien même artificiel,

Et ce serait quoi d’autre sinon.

Pour ma part, très  éphémère !

..

Un jour avec un sapin, jour sans,

n’a ni queue ni tête, est éphémère

tandis que, pour toi, aura un sens

ainsi la forme différera du fond.

.

Un sapin, d’accord que  ça couvre,

Ça protège, et même rassure :

Mais un sapin sans moindre racine,

Ne pourra être qu’éphémère

.

Symbolique 

 .

«En haute

Montagne, il enlace

Rochers de racines puissantes,

S’enfonce dans les nuages

Et produit lui-même, en répandant

Ses aiguilles, le peu de terrain

Nourricier  dont il  a besoin  pour vivre.

.

En  plaine,  le sapin  commun

Protège Ses rejetons de ses vastes

Ailes comme une poule des plus majestueuses.

La tempête éclate, on entend craquer

Dans leur chute, toutes branches mortes

Grincer mystérieusement les cimes qui se heurtent.

.

Magique est l’antique forêt de sapins,

Magique et sacrée comme notre Mère originelle,

Comme la venue au monde »

reliance9.free.fr/Page_verte/sapin

.

Descriptif

 .

722 – Les jours avec et les jours sans toi 

  Alignement central  /  Titre  externe  / Thème amour

Forme courbe / Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : sapin  /  Symbole de fond : éphémère

.

.

Fond

 .

Évocation

.

722 6

.

Un sapin, d’accord que  ça couvre,

Ça protège, et même rassure :

Mais un sapin sans moindre racine,

Ne pourra être qu’éphémère

Symbolique

.

La fleur de cerisier dure

À peine plus d’une semaine.

Sa beauté et sa luminosité

Ne sont que passagères.

.

Elle symbolisera  ainsi

La fragilité de la vie,

Son caractère éphémère.

.

C’est aussi une métaphore

De  l’impermanence

Des phénomènes,

Notion centrale

Bouddhisme.

ecoutelebois.com

 

Corrélations

 Fond/forme 

 

Le manque est salutaire, voire destructeur :

C’est selon si on le supporte ou pas du tout.

Un jour ça va, deux jours, ça va … trois …

Bonjour les dégats comme verres d’alcool

On est pressé de faire l’amour, pas différé

Peut-être que l’amour reste trop sexualisé,

Ou qu’on aurait peur de ne plus  être aimé !

 

.

Jours avec toi, jours sans toi

.

Scénario

Les jours avec toi : des yeux, des jours d’amour, nuit ;

les jours sans toi : des yeux et jours de profond ennui ;

 avec toi,  mon cœur épanoui ; sans toi, cœur évanoui.

.

Visuels et textuels  >>

695 – Pourquoi avoir besoin de présence féminité !

Visuels et textuels >> 

.

Pourquoi ne pas  pouvoir,

Pourquoi ne pas vouloir,

Pourquoi  ne pas savoir

Se passer  sa présence.

.

Un peu    de  douceur,

Un peu,     beaucoup,

Dans  notre  monde,

Basé sur   les peurs.

.

Un peu de  chaleur,

Un peu de bonheur

Un peu,  beaucoup,

En une  longue  vie,

Pour éviter  l’ennui.

.

Pourquoi avoir besoin de présence féminité

   Pour mieux se confier et à qui se donner :

    Pourquoi pas plusieurs, et voire toutes,

     Lors, son mariage ferait fausse route.

.

      Sûr qu’amour s’effrite avec le temps

       Et il se remplace  par attachements

      Et d’autant qu’il y a  trois enfants,

     Maison commune,  avec parents.

.

    La femme serait dite fidèle, née,

 Quand l’homme dit volage inné,

Le monde n’est pas blanc, pas noir,

Liberté sexuelle en images, et miroirs,

.

Reflète bien  des hypocrisies, cachoteries

Des hommes   se trouvant  battus,  en lices

Et pour autant, que de prétendues frénésies,

Des femmes   les contentant, lors, en  leur lit.

.

Pourquoi s’enfermer  en l’autre, pour l’amour,

Étrange idée, subir vie d’un autre, chaque jour

À chaque rencontre, demeurer toujours sourd.

Amour est souffrances autant que  jouissances.

.

Comment apprécier, celui, ou celle, que l’on a,

Si l’on  n’apprécie pas ou bien la … différence.

Si, une fois marié, esclave, une fausse liberté,

Impose sa  loi en vertu d’économique réalité

Assortie d’une  non moins sociale moralité.

.

La réponse sera donc dans cette question,

Qui décide, et de   quoi, dans un couple,

Sinon eux-mêmes,  personne d’autre,

N’y étant pas : ne le  jugeons pas !

.

Enfermer l’autre en l’amour n’est

En aucun cas un service à lui rendre,

Pas même à soi-même car,  en prison,

Ce serait le comble de toute possession.

Humain ne se réduit jamais à la chose

On ne peut posséder  que les choses.

.

Sans libertés, il n’y a pas d’amour,

Pas plus sans réciprocité couple

Ni sans égalité vie commune

Durable, agréable, stable.

.

.

Extensions

 .

Une présence féminine,

Comme chacun sait, radoucit

 L’ambiance  entre  les hommes

 Si ne les attise pas de jalousie.

La mixité est perçue comme

Une égalité ou une parité,

Avant d’être bien  ou mal.

À certains leur fait défaut ;

D’autres,    ça les embêtes ;

 Derniers, ça leur est égal !

.

Une présence féminine n’est jamais neutre :

Elle équilibre et les humeurs, et les  énergies,

Aura un autre point de vue, complémentaire.

Elle inspire la grâce, la beauté,  la séduction,

Et rien que cela, déjà lui vaudra sa dévotion.

.

Il y a plusieurs formes de présence féminine

Celle qui est là, sans être là,  tout en l’étant !

.

C’est le fait d’un vieux couple, mal s’aimant

Celle qui est là, de nuit, présent à vos côtés,

.

C’est le fait de couples étant encore amants

Celle qui est là, de temps en temps, passant

.

C’est le fait d’une maitresse ou d’une amie.

Celle n’étant pas là, à qui on pense souvent

.

C’est le fait de celui qui fantasme baisant !

.

.

695 – Calligramme

 .

Pourquoi ne pas  pouvoir,

Pourquoi ne pas vouloir,

Pourquoi  ne pas savoir

Se passer  sa présence.

Un peu    de  douceur,

Un peu,     beaucoup,

Dans  notre  monde,

Basé sur   les peurs.

Un peu de  chaleur,

Un peu de bonheur

Un peu,  beaucoup,

En une  longue  vie,

Pour éviter  l’ennui.

*****************

********************

Pourquoi avoir besoin de   *     présence féminité

   Pour mieux se confier et    A     à qui se donner.

    Pourquoi pas plusieurs,     V    et voire toutes,

     Lors son mariage ferait    O    fausse route.

      Sûr qu’amour s’effrite     I   avec le temps

       Et il se remplace par      R    attachement

      Et d’autant qu’il y a       *   trois enfants,

     Maison commune        B    avec parents.

    La femme serait          E    dite fidèle née,

 Quand l’homme         S    dit volage inné,

Le monde n’est        O pas blanc, pas noir,

Liberté sexuelle     I  en images, et miroirs,

Reflète bien des   N   hypocrisies, cachoteries

Des hommes      *    se trouvant battus en lices

Et pour autant P     que de prétendues frénésies,

Des femmes    R       les contentant, lors, en leur lit.

Pourquoi       É      s’enfermer en l’autre pour l’amour,

Étrange      *  S *     idée subir vie d’un autre chaque jour

À chaque   *    E  *   rencontre, demeurer et toujours sourd.

Amour est  *     N    *      souffrances  autant  que  jouissances.

Comment   *       C    *       apprécier, celui, ou celle, que l’on a,

Si l’on  n’     *         E   *    apprécie pas ou bien la… différence.

Si, une fois   *        *      *    marié, esclave, une fausse liberté,

Impose  sa     *        F    *  loi en vertu d’économique réalité

Assortie d’une  *        É     *     non moins sociale moralité.

La réponse sera   *      M     *    donc dans cette question,

Qui décide, et de   *       I       *     quoi, dans un couple,

Sinon eux-mêmes,  *     N        *     personne d’autre,

N’y étant pas : ne le  *      I          *      jugeons pas !

Enfermer l’autre en     *     N       *   l’amour n’est

En aucun cas un service  *   E      à lui rendre,

Pas même à soi-même car    *     en prison,

Ce serait le comble de toute possession !

Humain ne se réduit jamais à la chose

On ne peut posséder que les choses.

Sans libertés, il n’y a pas d’amour,

Pas plus sans réciprocité couple

Ni sans égalité vie commune

Durable, agréable, stable.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

695 4

.

Un vase, très probablement

Peut-être même un vase grec 

Avec  une  forme  de  bouchon,

Présent au-dessus ouverture 

.

Si tous les vases représentent

métaphoriquement la femme

ce dernier le fera tout autant

et forme converge vers fond.

.

Sur le vase, l’on distingue bien

Une scène de la vie familière :

On devine que l’homme a besoin,

 Apprécie présence féminine.

.

Symbolique 

Par sa forme, la grâce de ses courbes et sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin. Son creux évoque celui d’utérus,

le  féminin, contenant les fluides vitaux et attraits pour l’homme.

.

Il est dit en le Nouveau Testament : la femme est un vase faible

Si fait que, les livres sacrés des Juifs, sont … dans leur style si

Proche de la poésie, remplis  d’expressions  empruntées  au

Symbolisme sexuel, expressions qui n’ont pas toujours été

Exactement comprises et dont l’interprétation, dans le

Cantique des Cantiques par exemple, a donné lieu à

Beaucoup de malentendus.  

Wikisource.org

.

Descriptif

 .

695 – Avoir besoin de présence féminine !

  Alignement central  / Titre  serpente  / Thème  présence

Forme  ovale  / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : vase   /  Symbole de fond : présent

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

695 6

.

Dans la maison, on distingue

Une scène de la vie familière :

On devine qu’homme a besoin,

 Apprécie présence féminine.

.

Symbolique 

 .

La période contemporaine

Est marquée par une forte remise

En cause la coprésence et de l’engagement

Comme présence, fondement de l’action en commun.

.

La question des formes de la présence devient enjeu

Du débat public dans des arènes très différentes,

Lors d’un débat parlementaire pour savoir si

Un texte de loi peut contenir l’affirmation

Que les usages de la visio-conférence

Constituent la  règle, ou  bien  lors

D’une controverse  dans le champ

De la psychologie  pour déterminer

Si  les compétences  à la multi-activité

Des femmes sont meilleures qu’hommes.

journals.openedition.org/rfsic/142

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

Tout comme il y aurait mille formes de femmes

Il existe mille formes de vases : attributs féminins

S’il en est, exclusivement par sa constitution creuse.

L’homme, comme chacun  sait bien, est plutôt carré,

Et la femme, plutôt ronde et est dite  plutôt malléable

Cliché que tout cela, évidemment nous possédons tous

Des caractères en nous de l’autre sexe, c’est tant mieux.

Comment se compléter, comprendre si on est contraire

Il fut un temps, il n’y a pas si longtemps, où l’éducation

Des garçons et des filles se faisait à part sans contacts

La pleine mixité nous aura au moins restitué égalité

De traitement et  plus grande tolérance mutuelle.

 .

.

Brin de fleur en ce monde

.

Scénario 

.

Féminité, vue de face, geste du bras vers le visage, robe de velours.

Féminité, telle que symbolisée  par de nombreux peuples primitifs.

Féminité, vue de côté, bras replié  sur la poitrine, robe de velours.

 .

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577 – Tu es là et tu n’es plus là : la faute au temps

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.

Être là, sans être là,

Est-ce une affaire en soi,

Tout comme  d’être  présent,

Bien qu’étant totalement absent.

.

C’est la faute au manque de temps,

Du programme bien trop chargé

Et voire encore au sentiment,

De s’être ailleurs engagé.

.

Lors quoi qu’il en

Fût,  qu’il en soit,

Rien ne va, n’ira.

.

Tu es là, tu n’es plus là,

Est-ce la faute au   temps,

La  faute  aux  sentiments

Tant, à peine  peu  partie,

Que,  déjà,  tu  m’oublies.

.

Lors quand  reviendras-tu

Lors me pardon-ne-ras-tu,

 De n’être et voire paraitre

Rien que ce  que   je   suis,

De ne faire que ce je puis.

.

Nos torts, et nos remords,

Sont autant bien partagés,

Nous nous sommes aimés.

.

Alors,  si   tu  n’es   plus   là :

C’est  que  tu es bien ailleurs

Penses-tu  seulement ou pas

À renouveler autre bonheur,

.

Qui, peut-être se morfondra

Pour un autre, voire  ailleurs

Ou parce que tu ne crois pas,

Que je suis, pour toi, meilleur

.

Tant le temps, les sentiments

S’ajoutent, parfois,  aux faits,

Dès lors ils ne se soustraient

Dans tous nos égarements.

.

Vrai  que tu es  bien là,

Mais sans être bien là,

Tu  ne m’échapperas,

Toujours m’aimeras.

.

.

Extension

 .

Ne pas être là physiquement

Et ne pas être là, mentalement,

N’ont rien de commun encore que

L’un n’empêche pas l’autre du simple

Fait que l’on pourrait  être  ailleurs

Et dans tous les sens du terme.

On invoque de nombreux prétextes

Pour ne pas être là et l’on en convoque

D’autres encore pour avoir l’air absent,

Préoccupé, fatigué… tout en étant là,

Absent en consultant son téléphone

Absent à table, au salon, au lit.

.

Absent quand on lit son journal

Ou livre lors on est en compagnie.

Absent si on se retire, en son bureau

Pour affaires, pour écrire ou téléphoner :

Occasions  ne  manquent  pas, mais, toutes

Ne sont pas valables s’il  n’y a pas d’urgence.

Le pire est  de ne pas être là, devant l’autre,

En tête à tête, au restaurant, voire ailleurs,

Alors qu’on devrait l’être à cent pour cent,

Présent ne serait que par simple respect

Élégance, attention, intérêt  à l’autre.

.

Tu es là puis tu n’es pas là,

Tu es de face et tu es de dos

Est-ce  de la musique  en  do

En sol, ou en fa, en si,  en la !

Tu es là sans y être vraiment,

Et je ne sais si tu es content

De me voir comme amant.

Mais je persiste  à le croire,

Qui plus est, demande à voir

S’il me reste au moins l’espoir

Un jour ou l’autre, nous revoir.

.

La présence de quelqu’un, quelqu’une

Devant soi, au restaurant, en tête à tête,

Suffit-elle pour déclencher  une continuité

En soi si autre est parti on ne sait où, évaporé

.

La plupart du temps, l’autre n’est pas là, faute au

Temps, occupation ailleurs, professionnelle ou non

C’est la loi du gendre dans un couple avec enfants

Et plus encore dans un couple caché  d’amants.

Dieu merci l’absence physique peut être

Compensée, réduite par présence télé

Encore faut-il  qu’autre y souscrive,

Encore faut-il qu’elle ait du temps.

.

.

Épilogue

.

Présence/ absence … c’est binaire,

Présence/ absence,  c’est contraire,

Présence/ absence,   c’est ordinaire.

***

Mais présent tout en étant …  absent :

Voilà qui dépasse notre entendement :

Être là sans être là, est bel étonnement.

***

Qui ne préférerait  une situation  inversée :

Être absent physiquement mais, par pensée,

En tous temps, lieux, toujours, communiquer.

***

Souvent  ce sera, de temps, une simple question :

Absent en la journée  pour satisfaire sa profession,

Mais là dans la soirée et plus encore en permission.

***

Le pire ne serait-il pas d’être ailleurs, faisant l’amour,

Un ailleurs pour penser, pour substituer quel qu’autre

D’aucuns considéreront cela comme divorce cérébral.

***

Lors, au final, que peut bien vouloir dire : d’être là,

Être là au leu d’ailleurs, quand le cœur n’y est pas

Ou être là, tous ses sens, pensée, âme à l’écoute.

.

.

577 – Calligramme

.

Être là, sans être là,

Est-ce une affaire   en soi,

Comme   ô  d’être  ô   présent,

Bien qu’étant to  // talement absent.

C’est la faute au  //  manque de temps,

Programme  //     bien trop chargé

Ou encore === au sentiment,

De s’être ailleurs engagé.

Lors quoi qu’il en

 Fût,  qu’il en soit,

Rien ne va, n’ira.

.

Tu es là, tu          T     n’es plus là,

Est-ce la faute      U       au   temps,

La  faute  aux        *        sentiments

Tant, à peine          E        peu  partie,

Que déjà  tu            S         m’ou-bli-es,

Lors   quand           *        reviendras-tu

Lors me par            L       don-ne-ras-tu,

À

De n’être ou            *         voire  paraitre

Rien que ce            P          que   je    suis,

De  ne  faire           L          que ce je puis.

Nos torts, et          U            nos remords,

Sont d’autant        S         bien partagés,

Que nous nous      *      sommes aimés.

L

Alors,  si   tu           À      n’es   plus    là :

C’est  que  tu            *      es bien ailleurs

Penses-tu  seu         F       lement  ou  pas

À re-nou-ve-ler        A       autre  bonheur

Qui,  peut-être         U        se  morfondra

Pour un autre          T        voire  ailleurs

Ou parce que          E        ne crois pas,

Que suis, pour       *        toi, meilleur

   *

Tant le temps,     A   les sentiments

S’ajoutent, par   U  fois, aux faits,

Dès lors ils ne    *  se soustraient

Dans tous nos  T     égarements.

Vrai  que tu      E     es  bien là,

Sans être          M         bien là,

Tu ne m’échap P           peras,

Toujours m’ai  S         meras.

.

.

Forme

.

Réduction

.

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Évocation  

.

577 4

.

Une quenouille ou  navette,

Un trophée sportif, culturel,

Une tête fine et un corps fin, 

 Silhouette de femme de dos ?

.

Femme vue de dos est comme absente,

du moins en partie et bien que présente

l’on ne sait trop si on peut lui parler,

la forme correspond alors au fond.

.

Femme de dos, tournée,

C’est comme si elle n’existe pas :

Du moins, pour l’autre et voire pour

Les autres, préoccupée par elle-même. 

.

Symbolique 

 .

Ce qui se passe dans notre dos

Ne nous est pas visible, côté du corps

Tourné vers le non-visible ou l’inconscient,

Ce qui échappe à notre conscience habituelle.

Ce qui se passe derrière notre dos représente

Donc ce que  nous ignorons  de nous-mêmes,

Notre ombre. Tourner le dos à un problème,

C’est refuser de le voir. Un autre aspect du

Symbolisme du dos  est celui qui associe

L’arrière au passé et l’avant à l’avenir.

Modifié, source : lemondeduyoga.org

.

Descriptif

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575 – Si la vie n’est qu’un jeu : l’amour aussi

 Alignement central  /    Titre droit    /    Thème   femme

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : dos  /  Symbole de fond : préoccupée

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

577 6

.

Femme de dos  …  tournée,

C’est comme si elle n’existe pas :

Du moins, pour l’autre et voire pour

Les autres, préoccupée par elle-même. 

.

Symbolique 

.

Souci vif et constant qui absorbe

L’esprit au point de le détourner

D’autres objets :

Mon fils est pour moi un sujet

De graves préoccupations.

.

Synonymes : angoisse – anxiété –

Inquiétude – tourment – tracas.

.

Contraire : indifférence

Idée, pensée, projet dominants :

La lutte contre le chômage est

Une des préoccupations

Du gouvernement.

larousse.fr/dictionnaires/

francais/préoccupation

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’absence de quelqu’un, quelqu’une,

Peut se traduire par plusieurs façons,

Totalement absent de corps et d’esprit,

Absent de corps mais moins d’esprit,

Présent de corps  mais pas d’esprit,

Présent de corps,  présent d’esprit.

Lors je crois que là, tout serait dit

Il se peut : transmission pensées,

Échappe à toutes ces catégories.

 .

.

Être ailleurs, nulle part, très loin

.

Scénario

.

Quand je t’appelle au téléphone « y a jamais person qui répond»,

« T’es pas là, t’es où » : je le répète en boucle, boucle, jusqu’à l’infini,

Tu n’es pas là pour moi café crème : t’exagères un peu quand même !

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