723 – Les hommes ne savent pas ce qu’ils veulent !

Visuels et textuels >>

.

Hommes ne savent pas

Ou bien   ne savent plus,

Ce qu’ils veulent, désirent

Confondant amour, plaisir.

La femme  est  alors, à la fois

Objet  et sujet  d’un processus,

Qui les attire   ou  qui les rejette

Idéal féminin fait de soumission,

Mâle domination battu en brèche

Les perturbent, en détermination

Du choix de femme au niveau,

.

Lorsque c’est dans

L’égalité différence

Que se joue, l’inten-

Sité et permanence.

.

Lors il s’attache à une femme même par jeu,

Autre, il ne sait qu’en faire mais reste envieux.

Envie, désir, besoin, sexe, tromperie, jalousie :

Une sémantique que l’on nous distille à foison

Avec pour but d’élargir, restreindre la liberté :

Pommes, de discordes, d’amours, de poisons,

L’un se retrouve en enfer, l’autre en paradis

Pour crime d’infidélité, ou excès de félicité.

 .

  Car, si c’était l’homme qui faisait la femme,

Ce serait, parfois, la femme qui le défait :

Même si  c’est  le couple, amour, sésame,

Car l’un dans l’autre, rien n’est parfait.

.

Pendant que l’homme prend la femme,

La femme le comprend ou  l’enflamme,

Ils sont en interaction, pour atteindre

Des points culminants à enfreindre.

Le véritable amour, serait ailleurs,

Et, le chercher  au fond d’un trou,

Ou devant lu,i se mettre à genoux,

N’enchaine pas  un vrai  bonheur.

 .

Ce serait l’homme qui fait la femme

Un tant soit peu, et réciproquement,

Ce serait l’enfant,  qui fait le parent,

Cœur, corps, esprit, sexe, puis âme !

.

Voir, écouter, sentir, toucher, goûter :

Les voilà bien  nos cinq sens  corporels

Et friands de sensations émotionnelles,

Pour combler un grand vide existentiel,

Nous empêchant de vivre non de rêver,

Et amour fait naître sentiment d’amitié

Pour le rendre, désormais, permanent :

L’un, recevant, quand l’autre, donnant,

 .

Femme n’est  pas  l’envers  de l‘homme,

Elle est en tout également  complément,

Si, c’est bien  l’homme  qui fait la femme,

 La femme fait l’homme et réciproquement.

.

.

Extensions

 .

Les hommes ne savent pas

Souvent   ce   qu’ils  veulent,

Alors que les femmes sauraient

Toujours ce qu’elles ne veulent pas

Vrai, faux, voire ce n’est le contraire.

.

Il n’y a pas de loi générale ni universelle

D’une  telle différence entre les deux sexes,

C’est aussi, surtout une question de caractère

Et d’éducation et de culture et voire civilisation.

.

L’égalité en tout est un leurre et n’a pas lieu d’être

Comme si homme/femme étaient interchangeables.

Ils ne le sont pas, il ne le faut pas : différents

Mais complémentaires, reste naturel !

.

Les hommes ne savent pas ce qu’ils veulent,

Nombreuses femmes, non plus : c’est la vie.

Tout dépend de ce que l’on attend de l’autre

Et de ce qu’il pose, propose et voire impose

Relation amoureuse, un contrat compose !

.

Les hommes demandent en mariage

Ils font même une belle déclaration,

En offrant bague  d’alliance, sacrée.

.

Les femmes demanderont le divorce

Hommes ont peu courage pour cela

S’il trompe, il n’arrive pas à choisir.

.

.

723 – Calligramme 

.

Hommes ne savent pas

Ou bien   ne savent plus,

Ce qu’ils veulent, désirent

Confondant amour, plaisir.

La femme  est  alors, à la fois

Objet  et sujet  d’un processus,

Qui les attire   ou  qui les rejette

Idéal féminin fait de soumission,

Mâle domination battu en brèche

Les perturbent, en détermination

Du choix de femme au niveau,

Lorsque c’est dans

L’égalité différence

Que se joue, l’inten-

Sité et permanence.

.

Lors il s’attache à une femme même par jeu,

Autre, il ne sait qu’en faire mais reste envieux.

Envie, désir, besoin, sexe, tromperie, jalousie :

Une sémantique que l’on nous distille à foison

Avec pour but d’élargir, restreindre la liberté :

Pommes, de discordes, d’amours, de poisons,

L’un se retrouve en enfer, l’autre en paradis

Pour crime d’infidélité, ou excès de félicité.

HOMME

  Car, si c’était l’homme qui faisait la femme,

Ce serait, parfois, la femme qui le défait :

Même si c’est le couple, amour, sésame,

Car l’un dans l’autre, rien n’est parfait.

.

Pendant que l’homme prend la femme,

La femme le comprend ou  l’enflamme,

Ils sont en interaction, pour atteindre

Des points culminants à enfreindre.

Le véritable amour, serait ailleurs,

Et, le chercher au fond d’un trou,

Ou devant lui se mettre à genou,

N’enchaine pas un vrai bonheur.

NE SACHANT

Ce serait l’homme qui fait la femme

Un tant soit peu, et réciproquement,

Ce serait l’enfant,  qui fait le parent,

Cœur, corps, esprit, sexe, puis âme !

Voir, écouter, sentir, toucher, goûter :

Les voilà bien  nos cinq sens  corporels

Et friands de sensations émotionnelles,

Pour combler un grand vide existentiel,

Nous empêchant de vivre non de rêver,

Et amour fait naître sentiment d’amitié

Pour le rendre, désormais, permanent :

L’un, recevant, quand l’autre, donnant,

PAS CE QU’IL VEUT 

Femme n’est  pas  l’envers  de l‘homme,

Elle est en tout également  complément,

Si, c’est bien  l’homme  qui fait la femme,

 La femme fait l’homme et réciproquement.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

723 4

.

La silhouette d’un homme

D’âge mûr et  en vue de dos,

En une posture immobile, 

Ne sachant que vouloir.

.

Homme et vouloir : que voulez vous

de mieux, de plus pertinent, illustrant

lors même si on le verrait que de dos

la forme conviendrait bien au fond.

.

Des hommes en général, pas un en particulier,

 Au le contraire :

Chaque homme sait-bien ce qu’il ne veut pas,

Pas ce qu’il veut !

.

Symbolique 

 .

Symboles de la masculinité

Évoluent avec le temps et selon

L’endroit du globe où on se trouve.

On retrouve des symboles phalliques

Aux temps, reculés, de notre histoire !

.

Ces symboles  représentaient, à la fois,

La virilité, et la fécondité de l’homme.

En Europe,  lors  de la  christianisation,

Ils ont, peu à peu, disparu, trop associés

 Purement, et simplement, à l’acte sexuel.

over-blog.com/Quel_est_le_symbole_de_lhomme_

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

723 6

.

Des hommes en général, pas un en particulier,

 Au le contraire :

Chaque homme sait-bien ce qu’il ne veut pas,

Pas ce qu’il veut  ni combat !

 

Symbolique

.

La volonté peut, d’une part,

Valider  et  voire  confirmer un désir :

Je désire si fort réussir à réaliser un objectif

Que je dis le « vouloir », ce qui n’est pas le cas

Pour de simples souhaits voire de vagues désirs,

Elle peut d’autre part s’opposer à certains désirs :

.

Je désire dormir or je veux cependant d’abord finir

Un travail, ce qui me pousserait à agir à l’encontre de

Mon désir spontané. La volonté permet ainsi d’effectuer

Une sélection entre nos désirs, et choisir d’en accomplir

Certains d’entre eux et donc de renoncer à d’autres.

.

La volonté apparaîtra donc comme la reprise ou la

« Sublimation » d’un désir au niveau de l’intelligence

Ou de la raison. En ce sens, elle est plus réfléchie

Et moins spontanée que le désir seul.

fr.wikipedia.org/wiki/Volonte

(philosophie)#Desir_et_volonte

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

.

L’homme aura  treize définitions

Dans  le   dictionnaire  Larousse

Et il n’y en a que six pour femme

Allez-vous y retrouver avec cela !

.

La femme ne serait-elle que moitié

Un faux débat, s’il en est : égalité !

.

On confond parfois homme et mâle

Synonymes : hardi, vigoureux, viril.

.

Kipling Tu seras un homme, mon fils.

Est-à-dire tout le contraire d’efféminé !

 .

.

Stop and go pour les anglais

.

Scénario

Certains hésitent, ont peur de s’engager avec l’autre,

d’autres n’y voient qu’un sujet, un objet  publicitaire,

d’autres traiteront la femme en pervers… fétichistes !

 .

Visuels et textuels >>

1048 – Sauf un malheur, rien de fâcheux n’arrive

Visuels et textuels  >>

.

Seul   malheur

Irré-pa-ra-ble,

Chacun  le  sait :

C’est notre mort

Reste,   imprévu,

Est très aléatoire

Lors  ne met pas,

Sa vie, en danger,

Peut  la diminuer,

Jusqu’à  la rendre,

À  demi ….  effacée.

.

Exemple   imprévu :

Combat du roi David

Contre géant Goliath,

Car c’est ce qui arrive,

Contre toute… attente,

Dans la vie et la société

Monde de tous les jours.

.

Autant de tout un chacun

À écouter, les gens, parler,

Ou, à les voir  se comporter

De façon raisonnable, sensée,

Et constructive et programmée,

L’on se dit, qu’à  part un malheur,

Rien de fâcheux ne  peut  leur arriver.

.

D’accord, ils projetteront de faire ceci,

Et finalement, ils feront cela, casse-tête.

Il n’y a pas de heurts ni de contradictions :

Tout est logique avec explication  à  donner.

.

Au cinéma, au théâtre  en romans, et nouvelles,

Rien de ce qui avait été annoncé voire pressenti

Rien se passe comme prévu, comme il a est écrit.

.

Coups  de théâtre,  interventions,  malchances,

Changements de cap accident, refus, mort

Et que sais-je, viennent aider, entraver

La suite logique des événements.

.

S’il n’y a pas  d’histoires,

Chavirements  d’épreuves,

Il n’y a non plus  de  bons  films

Il n’y a  davantage de bons romans,

.

Car ils  conservent tous  et  chacun,

Une part de magie dans un  miroir

Dans  lequel  l’on  se  projetterait,

Ou dans lequel,  on rajouterait

Une autre part  de  mystères,

Afin que l’on s’en inquiète,

Tout suspense serait basé

Sur une curiosité de savoir.

.

.

Extensions

 .

On a les pieds  sur terre,

Lors un fait, événement,

Histoire incarnée nous

Accroche  et l’on court

Avec elle  et l’on prend

De la hauteur … à voler.

.

On parle de chute, à la fin,

Surprenant  par côté logique,

Sinon parfois des plus inattendus.

Mais la chute est pensée dès le début,

Pour être crédible ou être vraisemblable.

.

Ainsi commence-t-on  un roman, par la fin.

On peut imaginer, peut écrire plusieurs fins :

S’il n’y en a pas, ça excite certains, imaginatifs

Qui vont la poursuivre et en déroutent d’autres

Qui reste sur leur faim et ne savent qu’en dire.

.

Le bonheur  est une douce symphonie ; malheur, une cacophonie.

Notre bonheur résonne de peu de bruit en arrivant et en partant,

Notre malheur claque comme l’éclair, résonne, coup de tonnerre,

On aura beau tenter par tous moyens de s’en prémunir, protéger,

On est jamais tout à fait à l’abri d’un évènement de vent mauvais.

Après quoi, de tourner la page, c’est sûr, d’accord, c’est nécessaire

Mais tout le monde n’a pas une force de résilience, ne peut le faire

Et de dire que, seule, la mort constituerait un malheur irréparable

Ne nous consolera pas de perte irrémédiable : ce peut-être jamais.

.

On dit, parfois, aux gens qui sont malades

Qui n’ont plus le moral, que c’est fini foutu :

« La mort, seule, est définitive, irrémédiable »

Répondant : avant il y a souffrance, malheur.

.

Toute sa vie ne serait pas prévisible, pas lissée,

Comme on le voudrait car il y aura des heurts

Des réticences, des choix hasardeux et ratés,

Elle continue, tant qu’elle dure on l’endure.

.

On qualifiera de malheur, un événement

Qui affecte, péniblement, cruellement,

Avec comme principaux synonymes

Calamité, catastrophe, désastre,

Épreuve, infortune, revers !

.

.

1048 – Calligramme

.

Seul   malheur

Irré-pa-ra-ble,

Chacun le sait :

 C’est notre mort

Reste,  imprévu,

Est très aléatoire

Lors  ne met pas,

Sa vie, en danger,

Peut  la diminuer,

Jusqu’à  la rendre,

À  demi ….  effacée.

Exemple   imprévu :

Combat du roi David

Contre géant Goliath,

Car c’est ce qui arrive,

Contre toute … attente,

Dans la vie et la société,

Monde de tous les jours,

Autant de tout un chacun

À  écouter, les gens,  parler,

Ou, à les voir  *  se comporter

De façon raison S    nable, sensée,

Et constructive   A  et programmée,

L’on se dit, qu’à    U   par un malheur,

Rien de fâcheux ne  F  peut  leur  arriver.

*

D’accord, ils projet    U   teront de faire ceci,

Et finalement, ils fe     N    ront cela, casse-tête.

Il n’y a pas de heurts    *    ni de contradictions :

Tout est logique avec      M    explication  à  donner.

Au cinéma, au théâtre      A    en romans, et nouvelles,

Rien de ce qui avait été     L     annoncé voire pressenti

Rien se passe comme pré  H    vu, comme il a est écrit.

Coups  de théâtre,  inter   E      ventions,  malchances,

Changements de cap     U      accident, refus, mort

Et que sais-je, vien      R     nent aider, entraver

La suite logique  *  des événements.

S’il n’y a pas  R  *   E   d’histoires,

Chavirements                 V     d’épreuves,

Il n’y a non plus   E                      I   de  bons  films

Il n’y a  davantage  N                        R   de bons romans,

Car ils  conservent   *                           R  tous    et  chacun,

Une part de magie D                           A   dans  un   miroir

Dans  lequel  l’on  E                           ,     se  projetterait,

Ou dans lequel,   *                          N   on rajouterait

Une autre part   F                       *    de  mystères,

Afin que l’on s’  A                   X   en inquiète,

Tout suspense  C              U    serait basé

Sur une curio    H    E   sité de savoir.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1048 4

.

Un  élément  d’une  balustrade

Un pied de table en bois tourné

 Avec son réservoir  et  verre :

Une lampe à huile ancienne.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Tant que son verre n’est pas cassé,

Une telle lampe éclairera :

Je veux dire, en les pires conditions,

Et jusqu’aux extrêmes !

.

Symbolique 

.

Le verre,

Au sens commun,

Apparaîtra comme un

Matériau des plus fragiles.

Les  verres  silicatés,    comme

La  plupart  des verres  d’oxydes

Ou de  chalcogénures, sont  fragiles

À température ambiante en ce sens où

Ils peuvent être brisés sans la moindre

Déformation permanente à l’inverse

Matériau ductile, comme plomb,

Qu’on peut déformer, plier,

Avant qu’il ne se casse.

Wikipédia /Verre /Résistance mécanique/ fragilité

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1048 6

.

Tant que son verre n’est pas cassé,

Une telle lampe éclairera :

Je veux dire, en les pires conditions,

Et jusqu’aux extrêmes !

 .

Symbolique 

 .

La lampe

 .

Représente un point

 De  lumière  en  l’obscurité.

Par analogie, symbolise entendement

Dans la confusion mentale, la révélation

D’un savoir enfoui ou caché. D’ailleurs,

Expression « Éclairer sa lanterne« 

Qui  signifie  alors   clarifier

Quelque  chose, exprime

Très bien cette notion

De savoir dévoilé.

1001 symboles

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Ma lampe m’éclairera, devant moi,

 Dans la nuit, pour avancer mes pas :

Rien de fâcheux dès lors ne m’arrivera

Sauf si un imprévu … me tombe dessus :

Je prends ce risque sinon je ne bouge plus,

Et lors la vie se restreindra à rester…en vie.

.

Mais l’imprévu n’est pas  des plus aléatoires,

C’est juste un grain de sable, des plus fâcheux,

Qui oblige à penser/faire les choses autrement.

.

Si l’on y voit, fatalité, destin, manque de chance

Ça devait arriver un jour, arrivé, rien à ajouter

Et lors on ne cherchera ni causes, ni solutions !

 .

.

Un mauvais coup du sort

.

Scénario

.

Nous cherchons le bonheur, tout en aimant les images de malheur.

Que pourrait-il arriver à cette petite famille ayant l’air si heureuse.

Un besoin de protection permanent et avant qu’il ne soit trop tard !

 .

Visuels et textuels  >>

633 – Quand il manque corde à votre arc

Visuels et textuels  >>

.

La corde, l’arc,  la flèche, cible,

L’énergie, précision, fait mouche,

Tout est dit dans cette  métaphore

De l’amour qui soudainement touche

Point sensible … jusqu’à lui succomber

Avant même d’avoir ouvert … la bouche.

.

Mais cela ne marche pas à tous les coups,

Ce serait trop simple et trop conditionné,

Où serait notre libre arbitre,  de décider,

Si la flèche nous atteint, passe par trou,

Si amour est parfois un gruyère éventé

Ou que Cupidon est bien trop pressé,

De nous toucher, se moque de nous

.

Et puis certains ont une carapace,

Fendre l’armure  n’est pas donné,

Aucune flèche ne pourra percer

Quelqu’un qui chasse  en  rapace.

.

Quand il vous manque une corde à votre arc,

Vous ne pouvez  le tendre, décochez  flèches :

Votre bois n’est pas assez souple,  il est rêche

Car vous ne serez pas sûr de prendre marque.

Pour vous introduire, en cœur même de cible,

.

Et y rester planté comme à demeure en place,

Si la cible parfois se tord, bouge… se déplace,

C’est  qu’elle a un cœur, trop fragile, sensible

Cupidon, que l’on sait, d’un amour sans nom,

Tire à bout pourtant à la moindre inclination,

.

Et, il rate, une fois sur deux : il est trop pressé,

S’il  s’occupe  du  suivant, qu’il vient  observer.

Certains ont un carquois, un arc, trois flèches

La nuit et le jour s’en servent comme mèches,

Pour allumer tout feu, là où il devient brûlant,

.

Pour qu’en partant, cible fasse de vous amant.

Mais  il existe de ces flèches, qui rebondissent

Et ne perforent jamais leur cible, les rejettent

Comme si, impénétrable à vos tirs trop précis,

Déjà vous disent adieu ni sans vous dire merci.

.

.

Extension

 .

                    La corde, l’arc, flèche et cible, force, trajectoire :

                    Autant de mots accouplés et qui vont de pair

                    Avec un but à atteindre, la mort ou l’amour,

                    Tout comme deux côtés d’une même pièce

                    Sur laquelle l’amour sera au sens figuré.

                    La cible est vue passive, dans la mort :

                    Celui qui la reçoit ne la voit pas venir

                    Lors elle est vue active, dans l’amour :

                    Celui qui la reçoit, la fait rebondir vers

                    L’archer, pour signifier qu’il l’a acceptée.

                    Métaphore, pour sûr, que ce messager que

                    L’on ne peut plus fort, et, des flèches, comme

                    Celles-là, l’on en espère encore, et … en corps,

                    Jusqu’à la fin de ses jours, la fin de ses amours.

.

Arc, flèche, cible, archer, intention, centre, but, tension, décochage

Tout un vocabulaire, balistique, sportif, mais  souvent  guerrier

Accompagne la corde qui se tend et se détend brusquement

Si la flèche n’atteint pas son but c’est la faute à Zénon

Soutenant que l’évidence des sens est fallacieuse

Et donc que le mouvement est impossible

Ce qui a été résolu en mathématique

Par résultats sur suites infinies

Ceux portant sur l’analyse.

.

Une corde représentera ici, l’adresse au tir.

En tout, même en amour, il faut s’exercer,

Et ce d’autant qu’il n’existe pas de manuel

Expliquant comment toucher à tous coups.

.

Il n’y a que Cupidon, à qui l’on aura attribué,

Un tel talent, hélas… il ne se manifesterait guère

De nos jours où rien n’est plus aussi manipulatoire

Et lors s’adresser à lui n’est pas cibler, crier, victoire.

.

Il n’empêche  qu’on parle du coup de foudre amoureux

Comme de flèche qui vous  frappe, touche en plein cœur

Et qu’on ne pourrait retirer, sans mourir sur le champ

En finissant à bout de souffle et vidé de son sang !

.

.

633 – Calligramme

 .

La corde, l’arc,   M  la flèche, cible,

L’énergie, précisi  A   on, fait mouche,

Tout est dit dans    N   cette  métaphore

De l’amour qui sou   Q   dainement touche

Point sensible … jus  U   qu’à lui succomber

Avant même d’avoir   E   ouvert … la bouche.

.

Mais cela ne marche    C  pas à tous les coups,

Ce serait trop simple    O   et trop conditionné,

Où serait notre libre    R   arbitre,  de décider,

Si la flèche nous atte   D    int, passe par trou,

Si amour est parfois   E     un gruyère éventé,

Ou que Cupidon est    *       bien trop pressé,

De  nous  toucher     À   se moque de nous

  .

Et puis certains      A ont une carapace,

Fendre l’armure     R    n’est pas donné,

Aucune flèche ne    C        pourra percer

Quelqu’un qui chas  *         se  en  rapace.

.

Quand il vous manque une corde à votre arc,

                     Vous ne pouvez le tendre, décochez flèches :

                                            Votre bois n’est pas assez souple, il est rêche >

                       Car vous ne serez pas sûr de prendre marque.

 Pour vous introduire, en cœur même de cible,

.

Et y rester planté comme à demeure en place,

                       Si la cible parfois se tord, bouge… se déplace,

                                            C’est qu’elle a un cœur, trop fragile, sensible >

                       Cupidon, que l’on sait, d’un amour sans nom,

Tire à bout pourtant, à la moindre inclination,

.

Et, il rate, une fois sur deux : il est trop pressé,

                        S’il s’occupe du suivant, qu’il vient observer.

                                             Certains ont un carquois, un arc, trois flèches >

                          La nuit et le jour s’en servent comme mèches,

Pour allumer tout feu, là où il devient brûlant,

.

 Pour qu’en partant la cible fasse de vous amant.

                        Mais il existe de ces flèches, qui rebondissent

                                                 Et ne perforent jamais leur cible, les rejettent >

                             Comme si, impénétrable à vos tirs trop précis,

Déjà vous disent adieu ni sans vous dire merci !

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

633 4

.

En haut, un bel arc, tendu 

Et en bas, un lot de flèches

Disponibles à cible, tirer

Et jusqu’en plein cœur !

.

Un arc bien tendu avec quatre flèches

ne manquera que choix cible à toucher,

cible sans doute de quel qu’amoureuse,

si fait que forme épouse bien le fond.

.

Sans corde, arc ne peut lancer de flèche,

Atteindre une cible 

Et on aura beau avoir plusieurs flèches :

Paradoxe de Zénon !

.

Symbolique 

 .

                              En tant qu’outil ou instrument,

                              Et non plus seulement en tant que signe,

                              La flèche, symbole pénétration,

                             .

                              La flèche symbolise aussi la pensée,

                              Qui introduit la lumière et l’organe créateur.

                              La flèche est l’objectivation, le choix,

                              .

                              Symbole aussi de la pointe acérée

                              Qui vole pour surprendre et tuer sa victime.

                              Symbolise la mort foudroyante.

.

                             G. Bachelard : vitesse et droiture.

                              Comme celles des dieux, les flèches de l’amour

                              Sont infaillibles, comme  un éclair.

.

Descriptif

 .

633 – Quand il manque corde à votre arc !

Alignement central / Titre droit / Thème  désir

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : flèche    /   Symbole de fond : cible

.

.

Fond

 .

Évocation

.

633 6

Changer l’image ici

.

Sans corde, arc ne peut lancer de flèche,

Atteindre une cible 

Et on aura beau avoir plusieurs flèches :

Paradoxe de Zénon !

.

Symbolique 

 .

L’arc symbolise l’adresse.

En effet, c’est  une  arme qui

Nécessite de la concentration,

Mais  aussi    de  la  force  pour

Atteindre  cible  en  plein cœur.

.

Dans  la  mythologie,  les  flèches

Que   Cupidon  tire  avec  son  arc,

Symbolisent   le  coup   de  foudre.

.

D’ailleurs,  la foudre  reste associée

Aux flèches de l’arc chez les indiens.

En effet, pour ces derniers la flèche

Envoyée par l’arc est comparée à

Un éclair qui perce l’obscurité,

C’est-à-dire l’ignorance.

1001symboles.net/symbole/sens-de-arc.html

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

                           On dit parfois de quelqu’un

                           Ce n’est pas une flèche … celui-là >>>

                           Il ne termine pas vite projet.

                            Et ce qui est vrai au travail

                           L’est encore davantage en amour >>>

                           Remettre est perdre toujours.

                          Quatre éléments interviendront

                          Arc, flèche, cible, en tant qu’objets >>>

                          Le tireur et son adresse autant.

 .

.

Cupidon ou cupide ?

.

Scénario

 .

Une représentation pour le moins bucolique d’un arc et d’un amour.

Gauche ou droite : le tireur peut viser la gauche, atteindre la droite.

Il peut viser, pour s’en approcher, jusqu’à l’atteindre en plein cœur !

.

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632 – Un afflux de sang n’est jamais innocent

Visuels et textuels >>

.

Un afflux  de sang  et  qui  monte  aux joues

Les  faisant rosir,  ou  rougir, malgré  soi,

De honte, de gêne,  de désir,  de plaisir,

Parfois plaisant,  souvent  embêtant.

.

S’il est  de sang, n’est pas innocent

Dépend pourquoi, dépend de qui.

Entre femmes  juste  événement,

Avec homme,   c’est déclaration.

.

Afflux de sang augmente encore,

En proportion  d’un corps  à  corps,

Qu’emprunte, qu’affronte, qu’effronte

L’émotion vers la joie,  ou vers la honte,

Lors tel afflux de sang, atteint le cerveau,

Il  est trop tard pour espérer le contrôler.

.

Un afflux de sang n’est, jamais, innocent,

Qu’il soit aux joues  au  ventre ou partout,

Il  en résulte  la cause,  l’effet,  d’émotions,

Que l’on ne contrôlera  et  d’aucune  façon.

.

Celui-ci enflamme bien corps, fille, partout,

La mettant en embarras et cause son tracas,

Comme si, elle  s’avouait  en  être … touchée,

Choquée par ce que vous  avez  dit,  ou  fait !

.

Celui-ci monte aux lèvres, petites  et grandes

Les rosissent sans fards  ni rouges  artificiels,

Lui fait sentir quel qu’antichambre  d’un  ciel

Quand homme, en son sein, l’habite, la hante.

.

Il arrive que ce soit de peur ou voire de honte

Qu’il s’agisse de son front, subissant affronts,

Rougir d’avoir été insulté, parfois malmené

Quand en les yeux s’éteint sa pudeur salie.

.

Un afflux de sang n’est jamais innocent

Surtout pendant l’effort très important

Pour le contrôler, ne pas  s’épancher,

Avant qu’il soit tard pour l’éponger.

.

Allumer, en ses yeux, une  lumière

Qui scintille, sous un flux  de sang

Parvenant à illuminer en cerveau,

Cet arbre de noël   des plus beaux,

Affolant ses  nerfs, et ses  humeurs,

Tout autant sinon plus que son sang

Pour les retrouver comme innocents,

D’interdits partagés venant de tomber.

.

.

Extension

 .

Un afflux de sang ne serait jamais innocent,

En quel qu’endroit du corps qu’il arrive,

Rougir de plaisir après rugir de désir :

Nos sensations, des plus animales

Conditionnent à se sentir bien, mal,

Femelle, mâle, terne, original.

Est-ce mieux d’avoir sang chaud

Que d’avoir du sang-froid.

 .

Le sang chaud démarre

Au quart de tour quand

Le sang-froid demande un temps

À monter en température.

Le sang chaud se doit de garder

Son sang-froid pour ne pas

Partir avant  que l’autre  n’atteigne

Son plateau pour que tous deux

Montent encore ensemble au plus haut.

.

Vasodilatation et vasoconstriction ont racine commune avec vase

Par remplissage ou par gonflement  ou par  conjugaison les deux

Mais pour autant que le sang  afflue  aux joues, ne les gonfle pas,

Il indique seulement fort état émotionnel inconscient qui se voit

Et qui est le fruit d’une certaine timidité maladive, incontrôlée.

Le pire serait de le faire remarquer, provoquant honte ou gène

Et en contrepartie un rejet de celui qui l’a dit,  comme goujat !

.

Le sang étant rouge, dès lors que la peau

Sur les joues se teinte de la même couleur,

De façon innocente, inconsciente, incontrôlée

On peut parier apparition très fortes émotions

.

Il peut aussi bien s’agir  d’une joie très intense,

Que de timidité maladive sous effet de surprise

Ou encore conséquemment à une humiliation,

Culpabilité ou honte suite à une réprimande.

.

Bien qu’ici il s’agirait plutôt d’un amour

Que quelqu’une cherche à dissimuler

Afin de ne pas trahir ses émotions,

De se trouver en vulnérabilité.

.

Comme  quoi  un cœur

Pas  qu’un   muscle :

Est le modérateur

De flux sanguin

Amoureuse

Transie.

.

.

632 – Calligramme 

.

Un afflux  de sang  et  qui  monte  aux joues

Les  faisant rosir,  ou  rougir, malgré  soi,

De honte, de gêne,  de désir,  de plaisir,

Parfois plaisant,  souvent  embêtant.

 S’il est  de sang, n’est pas innocent

Dépend pourquoi, dépend de qui.

Entre femmes  juste  événement,

Avec homme,   c’est déclaration.

Afflux de sang augmente encore,

En proportion d’un corps à corps,

Qu’emprunte, qu’affronte, qu’effronte

L’émotion vers la joie,  ou vers la honte,

Lors tel afflux de sang, atteint le cerveau,

Il  est  trop  tard, pour  espérer  le  contrôler.

.

Un   afflux    de   sang  n’est,    jamais, innocent,

Qu’il soit aux joues      A         J   au ventre partout,

Il en résulte la cause   F                 A   l’effet d’émotions,

Que l’on ne contrôlera  F                       M  et d’aucune façon.

Celui-ci enflamme bien  L                            A  corps, fille, partout,

La mettant en embarras  U                               I   et cause son tracas,

Comme si, elle  s’avouait  X                                 S  en  être … touchée,

Choquée par ce que vous   *                                  *   avez  dit, ou  fait !

Celui-ci monte aux lèvres  D                                I   petites et grandes

Les rosissent sans fard ni  E                              N  rouges artificiels,

Lui fait sentir quel qu’anti *                           N chambre d’un ciel

Quand homme, en son sein S                       O l’habite,  la hante.

Il arrive que ce soit de peur A                 C ou voire de honte,

Qu’il s’agisse de son front    N             E subissant affront,

Rougir d’avoir été  insulté   G       N parfois malmené

Quand en les yeux s’éteint   *  T    sa pudeur salie.

.

Un afflux de sang n’est    jamais innocent

Surtout pendant l’effort très important

Pour le contrôler,  ne pas  s’épancher

Avant qu’il soit tard pour l’éponger

Allumer, en ses yeux, une  lumière

Qui scintille, sous un flux  de sang

Parvenant à illuminer en cerveau,

Cet arbre de noël   des plus beaux,

Affolant  ses  nerfs, et ses  humeurs,

Tout autant sinon plus que     son sang

Pour les retrouver comme         innocents,

D’interdits partagés venant             de tomber.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

632 4

.

Vase ancien, décoré

Peut-être période étrusque

Mais qui est de toute beauté

Avec comme cœur en corps !

 .

Vase ancien, avec ou sans anse

manipulé toujours avec aisance

se comporte comme cœur qui bat,

et évoquera dès lors afflux de sang.

.

Quel  rapport  entre un vase ancien

Et un afflux de sang :

Aucun, bien qu’il ressemblerait un peu

À un cœur qui bat !

  .

Symbolique 

 .

L’assimilation symbolique

Du cœur au vase ancien

Et à la coupe remonterait

Assez  loin  dans le  passé.

Déjà, en ancienne Égypte,

Il serait hiéroglyphe  cœur.

.

En druidisme, existait, aussi

Quelque chose de tel et la coupe

Présentée par la jeune fille à celui

Qu’elle avait choisi, lors du repas

De fiançailles, signifiait très

Clairement don du cœur.

.

Descriptif

 .

632 – Afflux de sang n’est jamais innocent 

Alignement central / Titre analogue / Thème  humeur

Forme courbe / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : vase ancien  / Symbole de fond : cœur

.

.

Fond

.

Évocation 

.

632 6

.

Quel  rapport  entre un vase ancien

Et un afflux de sang :

Aucun, bien qu’il ressemblerait un peu

À un cœur qui bat !

 .

Symbolique 

.

Dans les traditions modernes,

Le cœur  est devenu  le symbole

De  l’amour profane,  de la charité

De l’amour, amitié et de la droiture.

Cœur, l’organe central de l’individu,

Correspondra à la notion de centre.

L’occident en aura fait  le siège des

Sentiments  tandis  que  toutes les

Civilisations  viendront  ajouter

L’intelligence  puis    ’intuition

Tant culture traditionnelle,

Connaissance, n’excluent

Pas toutes  valeurs

Affectives.

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

.

Un vase en forme de cœur

Un cœur en forme de vase :

Il est plus fréquent d’évoquer

Un utérus  en  forme  de vase

Mais le cœur y sera autant,

Vase peut contenir sang 

Qui coule, se répand

Pour quelqu’un,

En vous

Oui

.

.

Guerrier victorieux

.

Scénario

.

Afflux de sang aux joues : signe d’un intérêt sentiment puissant

dont le smiley ne fait aucun doute, aucune cachotterie ni complexe

Ce qui n’est pas le cas de cette charmante femme, l’air un peu timide.

 .

Visuels et textuels >>

631 – Trois états de moi-même, d’elle, de nous

Visuels et textuels  >>

.

Trois états de moi-même, d’elle,

Et   de   nous,

Mais quels sont-ils, clairement,

C’est fou :

États, entre ombre et lumière,

Et en tout

Trois couleurs, pour chacun,

Arc en ciel,

Si on les ajoute font qu’un

Seul et même

Rayon qui nous entoure

D’un prisme

Qui le décompose jour

Ou de source

De notre bel amour

Se  renouvelle !

.

Projection  de  ce,

Qui nous embrasse,

Voire,  nous tracasse,

Parfois,  nous  dépasse,

Mais jamais ne nous lasse.

.

Trois états de moi-même, d’elle et de nous.

Oui mais lesquelles, soit dit entre nous

Le premier, c’est moi-même je l’avoue,

Le second, mon ombre  avant tout,

Le troisième,  ma lumière floue.

.

Et pour elle la même chose,

À ceci près qu’elle est rose,

Sa lumière sur toute chose,

Qui me fait voir, bien bleus,

Le fond, de  ses beaux yeux.

.

Univers en devenant le nôtre,

Que nous partageons, apôtres

Éclairé par les ciels des autres,

Qui nous met à l’ombre,  vautre

Deux corps et esprit, patenôtres.

.

Entre  nos deux ombres, lumières,

Nous éclairant demain comme hier,

D’un amour  dont nous sommes fiers

Lors  voyageant sur notre Terre entière

De moi, elle et puis de nous, d’états tiers.

.

Si en la nuit je te vois comme dans le jour,

C’est  que ta présence  m’entoure toujours,

Toute aussi forte que la chaleur de ton four,

Alimentant sans cesse, sincérité de l’amour,

Qui depuis lors éclaire ombre âme, humour.

.

.

Extension

 .

Trois états

De moi-même

D’elle, de nous !

.

Ce nous  n’est pas

Qu’une … addition,

Pas plus soustraction,

Division, multiplication,

Plutôt projection  de ce qui

Nous embrasse, nous tracasse

Voire bien souvent nous dépasse.

.

Ce jeu d’ombres et lumières,  permet

De jouer  sur divers points de vue, pour

Éclairer portrait changeant avec le temps,

Les événements, les rôles et les contextes

Qui constituent la toile de personnalité

Et le sujet, l’histoire du personnage.

Notre vie privée est dans l’ombre

Et vie publique dans sa lumière.

.

Chacun, chacune a sa part d’ombre et donc le couple aussi

Ce n’est pas qu’une addition, un recouvrement, c’est un récit,

Qui met, en lumière, ce qu’il y a, de commun, de clair, partagé,

Tente de masquer ce qui est du non-dit, du déni, du pas permis.

C’est ainsi que la part d’ombre augmente ou diminue sans cesse,

Selon que l’on est clair, transparente, en confiance avec l’autre,

En un couple, même uni, il y a donc bien trois états d’ombre.

.

Trois états de nous : objet, sujet et une part d’ombre.

.

Objets, sommes éclairés  par la lumière extérieure

 Comme tout autre objet de notre environnement,

 Et l’ombre qu’elle projette en est toute  dérivée ;

.

Sujets, sommes éclairés par lumière intérieure,

De par un principe vital et spirituel, immanent

En sus de notre sensibilité et notre intelligence ;

.

Ombres, nous errons comme fantômes sur Terre

Ne sachant, in fine, à quoi  nous sommes destinés,

Sauf à nous inventer des mythes, croyances, religions.

.

.

631- Calligramme

.

                         Trois états de moi-même, d’elle,

Et   de   nous,

                                 Mais quels sont-ils, clairement,

C’est fou :

                                     États, entre ombre et lumière,

     Et en tout

                                     Trois couleurs, pour chacun,

         Arc en ciel,

                                   Si on les ajoute font qu’un

             Seul et même

                              Rayon qui nous entoure

         D’un prisme

                       Qui le décompose jour

    Ou de source

          De notre bel amour

Se  renouvelle !

.

********************

********************

.

Projection  de  ce,

Qui nous embrasse,

Voire,  nous tracasse,

Parfois,  nous  dépasse,

Mais jamais ne nous lasse.

.

Trois états  É  de moi-même, d’elle et     *  de nous.

Oui mais   T     lesquelles, soit dit   * entre nous

Le premier A   c’est moi-même  *   je l’avoue,

Le second   T  mon ombre  *    avant tout,

Le troisième   S    ma  *    lumière floue.

Et pour elle       *   *     la même chose,

À ceci près         D     qu’elle est rose,

Sa lumière        E   sur toute chose,

Qui me fait       *    voir, bien bleus,

Le fond, de       M   ses beaux yeux.

Univers en de   O    venant le nôtre,

Que nous parta I    geons en apôtre

Éclairé par les    *    ciels, des autres,

Qui nous met à   D    l’ombre et vautre

Deux corps et        ‘      esprit, patenôtre.

Entre nos deux   E om *     bres lumières,

Nous éclairant  L demain  *    comme hier,

D’un amour      L dont nous    *  sommes fiers

Lors  voyage    E  ant sur notre   *   Terre entière

De moi, elle     *     et puis de nous   *   d’états tiers.

Si en la nuit     N    je te vois comme    *    dans le jour,

C’est que ta      O   présence m’entoure     *         toujours,

Toute aussi     U    forte que la chaleur de     *        ton four,

Alimentant     S       sans cesse, sincérité de       *        l’amour,

Qui depuis     *      lors éclaire ombre d’âme         *       humour.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

631 4

.

Euh, je ne vois pas trop :

Peut-être bien l’ombre

D’un adepte de l’Aïkido

En plein exercice !

 .

L’ombre ne met pas tout en pleine lumière

mais si l’on apprend à la décoder, elle éclaire

un geste, posture, intention, voire une activité

tant et s bien que sa forme évoquera son fond.

 .

S’agit-il de moi-même,

Mon ombre ou ma lumière floue ?

En voilà déjà un d’état,

D’un exercice physique mais lequel !

  .

Symbolique 

 .

L’ombre est une partie

De la psyché formée de la part

Individuelle qui ne se connaît pas

Elle-même, et dont l’existence même

Est souvent ignorée. Figurée en de

Nombreuses cultures et mythes

Sous la forme du personnage

Maléfique, patibulaire mais

Néanmoins ayant statut de

Double du héros, représentant le moi,

L’ombre se retrouve également

Dans les rêves, et projections

Psychiques liées souvent

À la peur de l’autre.

Source : Wikipédia

.

Descriptif

.

631- États de moi-même, d’elle, de nous !

Alignement central / Titre analogue / Thème  le corps

Forme conique / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : ombre  / Symbole de fond : exercice

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

S’agit-il de moi-même,

Mon ombre ou ma lumière floue ?

En voilà déjà un d’état,

D’un exercice physique mais lequel !

.

Symbolique

 .

L’exercice physique

Modéré et adapté,

Permet de conserver

Des articulations souples et fonctionnelles.

Elle augmente  notre force,  notre souplesse,

Notre endurance, nos capacités d’adaptation

Résistance physique, mentale et immunitaire

Avec large  accroissement de l’énergie vitale.

.

Une activité équilibre le  système hormonal.

La sécrétion de sérotonine et la régulation

Naturelle de la glycémie sont améliorées.

.

Toutes les fonctions du corps peuvent se

«Dé-fragiliser» grâce aux efforts sportifs,

N’outrepassant certaines limites biologiques.

maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/activite physique

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

 L’ombre est doublure d’objet sans sa matière

Reflète, d’un seul côté, le manque de lumière

Autant de de couleur mais évoque sa forme

Qu’on devine et qu’on complète : conforme

À ce que l’on attendait comme une partie

Suggère le tout au risque de se tromper.

 .

.

Trois états qui resteront à décoder

.

Scénario 

.

Trois états de moi-même : explicite, dans l’ombre, en lumière floue,

trois états d’elle : sa lumière rose, ses yeux bleus, ses cheveux noirs,

et de nous : proches, distants, absents selon moments, événements !

 .

Visuels et textuels  >>

630 – Je t’imagine par la pensée … présente

Visuels et textuels  >>

.

La présence d’une amie…chère

N’est pas que physique, en chair,

Elle est aussi dans le cœur, l’esprit

Et dans ce je ne sais quoi, qui ravit.

Plan sur la Comète : n’en avons pas :

Nous n’en auront probablement pas,

Lors si j’insistais, tu ne voudrais pas.

Je ne te reproche rien,  reproche pas,

Je ne peux m’empêcher, malgré moi,

De t’imaginer présente par la pensée

Comme fée bienveillante à mes côtés

Faisant que jeu, me mette en émoi !

.

Je t’imagine           par          la pensée

Je t’imagine,         réelle,         habillée,

Je t’imagine,      présente,   à mon côté,

Je t’imagine, nue, défaite,  abandonnée,

Sans que pas une seule fois  vision de toi,

Ne ternisse aura, ne change, ne me déçoit.

Comme si  c’était toujours la  première fois.

Que je  J   te découvre, que   P   je m’aperçois

Que     E   tu ne  m’es  pas      E      indifférente,

Que             tu me serais          N       une amante

Si         T        un déphasage       S          inconstant

Ne          ‘          contrecarrait        E           mes plans.

Car          I               de plan, tu          E                n’en as,

Sauf         M                celui jouer                         au yo-yo,

Je suis       A                 en bas, tu es        P               en haut,

Près de       G                toi jamais dans      R               tes bras.

Il aurait       I                fallu, suffi, peut-        E              être, que

J’insiste       N             je persiste, avec toi,        S              coexiste,

Ou que        E           nous soyons plus assidus       E             aux jeux

Mais,                     je saisis très bien jusqu’où tu       N            résistes,

Qu’il          P         en faut plus pour partir avec toi       T           en piste,

Que        A          vieux tromblon bramant toute son      E          émotion,

Et,         R          qui plus est, n’entonne pas la bonne                 chanson.

.

Comment               se fait-il que longtemps,                  bien plus tard

J’éprouve              encore, ce même sentiment,             très bizarre,

Que rien,          n’est joué, ni perdu, ni gagné,      n’est  trop tard,

Dès lors que          tout cela ne doit plus         rien…au hasard.

.

.

Extension

 .

Je t’imagine, par la pensée,

Mais aucune de mes pensées

Ne peut et ne pourra jamais

Se substituer  à ta présence,

Et plus encore à ton contact

Réel, sensuel, voire charnel.

.

Amoureux, persévérant, obsédé,

Amoureux, je ne serais que la victime ;

Persévérant, je ne serais que constant

Obsédé, je ne penserais qu’à baiser.

.

À toi de voir, à toi de savoir,

À toi de sursoir ou non,

En fonction du degré de mon

Authenticité, je ne changer rien

Au flot des pensées à chaque marée.

.

Comme elle, ses coefficients varient

Ils augmentent dès que je te quitte

Et dès que je vais te revoir bientôt.

Peut-être que prochaine rencontre

Me ramènerait à plus juste raison,

Mais, toujours, lors je pense à toi,

Je laisse flotter mon imagination.

.

La pensée forme une image mentale au plus près de  réalité

Mais par le fait même de l’absence, elle est parfois déformée :

Souvent embellie par l’amour mais défraichie par le désamour.

Parfois elle se cantonne au visage et parfois au corps tout entier

Et elle ne s’embarrasse pas d’habit, elle se projette sur la nudité

Mais entendons-nous bien du cœur, l’esprit, l’âme en premier

C’est sa lumière, et son regard, qui parviennent à l’animer !

.

Par la pensée on peut simuler nombre de formes :

Habillements différents plus ou moins conformes

Désirs, envies, projections, fantasmes : à souhait,

Je te dénude, et te revêts tout comme il me plait !

.

Encore que  la réalité dépasse, parfois, la fiction :

Je ne t’avais jamais imaginé vêtue de cette façon,

Et lors je me dis que ton choix se doit être le bon,

Qu’il correspond intérieur/extérieur à ta passion.

.

.

630 – Calligramme 

 .

La présence d’une amie…chère

N’est pas que physique, en chair,

Elle est aussi dans le cœur, l’esprit

Et dans ce je ne sais quoi, qui ravit.

Plan sur la Comète : n’en avons pas :

Nous n’en auront probablement pas,

Lors si j’insistais, tu ne voudrais pas.

Je ne te reproche rien,  reproche pas,

Je ne peux m’empêcher, malgré moi,

De t’imaginer présente par la pensée

Comme fée bienveillante à mes côtés

Faisant que jeu, me mette en émoi !

Je t’imagine           par          la pensée

Je t’imagine,         réelle,         habillée,

Je t’imagine,      présente,   à mon côté,

Je t’imagine, nue, défaite,  abandonnée,

Sans que pas une seule fois  vision de toi,

Ne ternisse aura, ne change, ne me déçoit.

Comme si  c’était toujours la  première fois.

Que je  J   te découvre, que   P   je m’aperçois

Que     E   tu ne  m’es  pas      E      indifférente,

Que      *       tu me serais          N       une amante

Si         T        un déphasage       S          inconstant

Ne                   contrecarrait        É           mes plans.

Car          I               de plan, tu          E                n’en as,

Sauf         M                celui jouer          *              au yo-yo,

Je suis       A                 en bas, tu es        P               en haut,

Près de       G                toi jamais dans      R               tes bras.

Il aurait       I                fallu, suffi, peut-        É             être, que

J’insiste       N             je persiste, avec toi,         S              coexiste,

Ou que        E           nous soyons plus assidus       E             aux jeux

Mais,           *         je saisis très bien jusqu’où tu       N            résistes,

Qu’il          P         en faut plus pour partir avec toi       T           en piste,

Que         A         vieux tromblon bramant toute son      E          émotion,

Et,         R          qui plus est, n’entonne pas la bonne      *           chanson.

Comment               se fait-il que longtemps,                  bien plus tard

J’éprouve              encore, ce même sentiment,             très bizarre,

Que rien,          n’est joué, ni perdu, ni gagné,      n’est  trop tard,

Dès lors que          tout cela ne doit plus         rien…au hasard.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

 Évocation 

.

630 4

.

Une robe fuchsia qui affiche

Un encrier peut-être

Poivrier  ou   salière,

Mieux une belle robe

Pour étaler son aura.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Z : le fond s’accorde, ici, à la forme)

.

Une robe, à elle seule, peut bien déjà

dégager, d’emblée, une certaine aura,

mais lors elle est bien portée,  elle aura

une plus forte encore en vue fond/forme

.

Une robe fuchsia qui affiche sa présence,

Se fait remarquer :

Son aura féminine serait comme une

Assurance de sérénité !

 .

Symbolique 

 .

Au début, la robe servait

À tout cacher du corps de la femme,

Pour différentes raisons, mais surtout

Pour la réalité de sa nudité, par pudeur :

Plus les tissus sont élaborés

Et plus leur beauté

Peut s’exprimer.

Après la Renaissance,

Le nu, magnifié, s’entoure

De prestige mais au quotidien,

Des parties du corps sont considérées

Comme vulgaires, il est indispensable

De les cacher,  or,  en les dissimulant,

On construit  projections imaginaires

Autour de leur réalité cachée comme

Un mystère demandant à se révéler.

.

.

Fond

Évocation

.

630 6

.

Une robe fuchsia qui affiche sa présence,

Se fait remarquer :

Son aura féminine serait comme une

Assurance de sérénité !

 .

Symbolique

.

L’aura désigne la lumière

Entourant tête êtres solaires,

C’est à dire doué de lumière divine.

Cette lumière est auréole pour la tête,

Auréole  pour  le corps : l’aura  est

Comparable à nuée lumineuse :

Ses colorations sont diverses.

.

La lumière est

Signe de sacralisation.

L’auréole est manifestée par

Rayonnement autour du visage

Parfois  du corps, en  sa  totalité.

L’auréole  est   parmi  procédés

Pour valoriser un personnage

En ce qu’il a de plus noble.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Une robe sert d’interface entre le corps

Qui se nichera parfaitement à l’intérieur

Et qui lui donnera qui sait, certaine aura

Et l’âme ou dans tous cas, son apparence

Qui se diffuse comme lumière extérieure :

On a impression qu’au milieu de la foule,

Sa présence s’impose en halo de couleur

Grisant les autres, inconnus d’ailleurs.

C’est ainsi que magie opère en pensée

Pour rapprocher délire et réalité.

.

 .

.

L’aura, l’auras pas !

.

Scénario 

.

La présence est une aura intérieure qui vous envahira tout entier

elle prendra  la forme que vous désirez,  forme que vous aimez,

elle s’anime, est comme vivante, virevoltante, et à vos côtés.

.

Visuels et textuels  >>

629 – Il y a de la rondeur et de la souplesse

Visuels et textuels  >>

.

Rondeurs des courbes,

Souplesse du mouvement,

Douceur des élans  du cœur,

Chansons d’âme, de bonheurs,

Font que ta grâce, et ta légèreté,

Expriment pleinement féminité,

Dans  tes  sourires  accueillants,

En souci de mari et des enfants.

.

Ton écoute  console, plus  d’un,

Plus d’une qui, à toi, se confie,

La lumière, de ton âme, ravit

Celui qui t’aborde, chagrin.

.

J’aimerais avoir un caractère

Enjoué, disponible, comme toi,

Ronde, souple, ta manière d’être

Fait de toi meilleure amie qui soit

Il y a de la rondeur, de la souplesse,

En toi ton corps, ton esprit, caractère

En autant  de réservoirs de tendresses,

Remplis d’humeurs  de ton être, en air.

.

En  airs  de  sourire  à la vie  aux  amis,

Les consolant d’être,  parfois,  esseulés,

Par suite  de quelques-uns  fréquentés,

Ne m’apportant pas  une paix établie !

.

Il y a de la douceur et de la profondeur

Dans ta voix résonne comme un chœur

Pour celui qui écoute, qui la comprend

En mélodie secrète issue de ton chant.

.

Le chant de ton âme qui, cachée

Pour ceux  que  tu aimes, révélée

Transparente  lors  dans lumière,

En brillance en couleur primaire.

.

Une prière à tes enfants, heureux,

Une prière  à ton mari amoureux,

Une prière  à tes choix, chanceux,

Une prière à tes amis, affectueux.

.

Ta façon de bouger, ta silhouette,

Et de marcher, d’un pas très léger,

Expriment en toi grâce et légèreté,

Dynamisant le tréfonds de ton être.

.

Je m’étonne encore que ta féminité,

Suite à enfants nés, n’ait pas changé,

Bien qu’elle se voile, sous la mère,

Faisant, séduction, deuil sévère.

.

.

Extensions

Rondeur, douceur, profondeur :

C’est là tout ce que l’homme,

Carré, brutal, superficiel,

Attend d’une femme,

Pour l’équilibrer !

.

Une mère en quelque sorte,

Attentive, compréhensive, défensive.

Ce qui n’est pas étonnant si elle l’est déjà,

Mère de ses propres enfants et rayonne de joie,

À s’occuper d’eux, certains évoqueraient davantage,

Repos du guerrier allusion semblant être d’un autre âge

Où l’homme avait, sinon le beau rôle, bon droit pour lui.

«Autres temps, autres mœurs» comme dirait Cicéron

Rond comme longueur,   carré comme largeur,

Tant,  de mettre  un rond,  dans  un  carré

Ou de mettre un carré dans un rond,

Ne donne pas même effet visuel,

Sémantique, métaphorique

Allez savoir pourquoi !

 .

Rondeurs ne veut pas forcément dire «très bien en chair»

 Suggèrent des formes féminines harmonieuses, au contraire

Et une manière d’être, de bouger  et de se déplacer dans l’air

Qui lui donnera beaucoup de souplesse  et un peu de mystère.

Voilà qui est, qui me plait : en résumé, un peu  mais pas trop

Certains pourraient  y voir une image réductrice, voir sexiste

Mais je le répète cela n’engage que moi, chacun peut plaire.

.

Rondeurs riment avec chaleur du corps et du cœur

Autant que courbures, qu’équilibres, qu’harmonies !

Rondeurs rime avec ce que l’on dit, avec état d’esprit,

L’on agit avec prudence, respect de l’autre, diplomatie,

On prend fond tel qu’il est : on y met formes amorties,

Autant au salon qu’en cuisine, même y compris au lit

Et c’est ainsi qu’advient, le désir, le plaisir, bonheur.

.

La rondeur, la souplesse, sont comme deux sœurs :

L’une ne va pas sans l’autre : agissent de concert,

Pour que le carré ne l’absorbe comme … dessert,

En face de dure terre, elle réagit en douce mer,

Comme face au strict père, en aimante mère,

Pour ce qui est d’éducation d’enfant, colère,

Et ainsi, advient, le désir, plaisir, bonheur.

.

.

629 – Calligramme  

 .

Rondeurs des courbes,

Souplesse du mouvement,

Douceur  des élans  du cœur,

Chansons * d’âme, de bonheurs,

Font que ta  I  grâce, et ta légèreté,

Expriment plei L   nement  féminité,

Dans tes sourires    *      accueillants,

En souci de mari et  Y  des enfants.

Ton écoute  console,  *  plus  d’un,

Plus d’une qui, à toi  A se confie,

La lumière de ton âme  *  ravit

Celui qui t’aborde, chagrin.

.

J’aimerais avoir un caractère

Enjoué, disponible, comme toi,

Ronde, souple, ta manière d’être

Fait de toi meilleure amie qui soit

Il y a de la rondeur, de la souplesse,

En toi ton corps, ton esprit, caractère

En autant  de réservoirs  de tendresses,

Remplis des humeurs  de ton être, en air.

En airs de sourire     à la vie aux     *       amis,

Les consolant       d’être parfois      D     esseulés,

Par suite de        quelques-uns     E        fréquentés,

Ne m’ap            portant pas une   *           paix établie !

Il y a de             la douceur et      L       de la profondeur

Dans ta             voix résonne    A         comme un chœur

Pour celui         qui écoute     *             et qui la comprend

La mélodie        secrète     R                issue de ton chant.

Le chant de        ton       O          âme qui,       E    cachée

Pour ceux          que    N          tu aimes,       T     révélée

Transparente          D            lors dans        *     lumière,

En brillance         E          en couleur      S    primaire.

Une prière         U        à tes enfants   O      heureux,

Une prière       R       à ton mari     U     amoureux

Une prière             à tes choix     P      chanceux,

Une prière          à tes amis    L     affectueux.

Ta façon de bouger, ta        E      silhouette,

Et de marcher, d’un pas   S       très léger,

Expriment en toi grâce   S    et légèreté,

Dynamisant le tréfonds  E   de ton être

Je m’étonne encore  que * ta féminité,

Suite à enfants nés, n’ait pas changé,

Bien qu’elle se voile,      sous la mère,

Faisant, de séduction, le deuil sévère.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

629 4

.

La rondeur  autant

Qu’en  un vase  ou  en

Un flacon de parfum

Et si ce n’est, de femme.

.

Un flacon de parfum n’est pas

toujours rond, et loin s’en faut,

mais le parfum l’est plus souvent

ainsi le fond évoquerait la forme.

.

Sur l’extérieur de ce flacon,

Une fille  toute en rondeur :

Ferait sentir à un garçon

Un parfum d’intérieur.

 .

 Symbolique 

 .

Le rond est évocateur de douceur et d’unité,

Révèle la tendresse typiquement féminine

Et a tendance  à rassembler les hommes.

Mais lorsqu’il sera associé à la femme,

Il incarnerait également la fécondité.

En ce sens, le cercle évoque le ventre

Rond d’une mère et donc de la vie.

Vous l’aurez compris, un flacon

À la silhouette arrondie aura

Tendance à connoter

Une image très positive.

tendance-parfums.com/parfum-

femme/choisir-un-parfum/flacon

 .

Descriptif

 .

629 – Il y a de la rondeur et souplesse

Alignement central / Titre oblique / Thème apparence

Forme ovale  /  Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : flacon  / Symbole de fond : parfum

.

.

Fond

 .

Évocation

.629 6

.

Sur l’extérieur de ce flacon,

Une fille toute en rondeur :

Ferait sentir à un garçon

Un parfum d’intérieur.

 .

Symbolique 

 .

Les phéromones,

Sont des combinaisons

De molécules complexes

Provenant  de produits  de

Sécrétion glands spécialisée.

La  palme  d’or  des  parfums

Revient jusqu’ici au Chanel n° 5

Qui rend les femmes irrésistibles

Grâce à son musc naturel, allié à

Des essences subtiles, demeurées

Secrètes, aujourd’hui, ce parfum

Aurait perdu sa principale vertu

Car il  ne  serait  plus  composé

Comme autrefois de matières

Premières  naturelles mais

Molécules synthétiques.

sciences-et-magie.com

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il existe bien des flacons carrés

Mais la plupart  seront plutôt ronds

Le rond, comme on sait, est côté féminin,

Le rond, comme chacun sait, plait au masculin

Le rond  évoquera plus la souplesse que  le carré,

Ne dit-on pas, de quelqu’un de carré : qu’il est dur.

 .

.

Rondeur et souplesse

.

Scénario

 .

Il y a de la rondeur dans tes épaules, dans ton dos, ta posture,

 et quand tu l’allonge dans l’herbe à te rouler dans les fleurs,

 plus encore dans ton regard qui m’enveloppe tout entier.

 .

Visuels et textuels  >>

628 – Quand je te regarde : je t’imagine !

Visuels et textuels  >>

.

Regarder une bonne amie

C’est à la fois se rapprocher

Et tout à la fois se distancier

À défaut d’intimité  physique.

.

Pas d’ambiguïtés pour le désir,

Rien que  pur instant de plaisir,

D’être   ensemble, et  d’en   jouir,

Et copain et copine …  pour finir.

Éclats, de rire, et    éclats, de voix,

Sont tous des  éclats d’existence».

.

Passer d’amitié  à amour passion,

Reste, toujours, secrète tentation,

À en souffrir parfois de n’être pas

L’élu qu’elle cajolera en ses bras.

.

Quand je te regarde, je t’imagine

Et quand je t’imagine, je te vois,

C’est comme cela à chaque fois,

À présent que tu es ma copine.

.

Il arrive que ma raison vacille

Et me dise, tu es gentille fille,

Puis, mes yeux,  se décillent :

Rien que fantôme,  coquille !

.

J’écoute  ta voix : pur délice,

Chantante et d’accent coloré,

Lors moi, te parler : supplice,

Pour trouver le mot «aimer».

.

Je sais, je suis un bel imbécile,

Que de croire cette chose facile

Plus un crétin doublé d’un idiot

Que d’écrire aujourd’hui ce mot.

.

Ça soulage, le cœur, la conscience

Mais cela augmentera ta défiance,

Comprenant, en bonne intelligence,

Que statu quo garde bonne distance.

.

Entre nous, au-delà d’attraits… désirs

Nous restons en contact,  à en souffrir,

Sans avoir moindre occasion du plaisir,

Que la chair peut donner à … s’évanouir.

.

J’écris, je crie, je n’en aurai … jamais fini,

D’espérer, qu’un jour, nous soyons  réunis,

Par un beau projet et qui nous tient à cœur

Qui deviendrait le début d’un vrai bonheur !

.

.

Extension

 .

Quand je te regarde, je t’imagine :

Toute une série de portraits

Passent devant mes yeux

Avec  tes expressions  qui

N’appartiendraient qu’à toi,

Mais que moi et moi seul je vois.

.

Lors, j’entends, par intermittences,

Tes cris, ou  tes rires, en  abondance,

Soupirs, comme  autant  résonnances,

Si ce n’est tes murmures  à mes oreilles,

Qui me gratifieront de leurs espérances.

.

Me remémore instants passés avec toi,

À faire les fous, à faire un peu tout

Ce qui nous passait par la tête,

Nous procurait un air de fête,

Avec des tonnes de chansons bêtes.

.

Et puis, surtout, quand tout s’arrête,

Lors fête est finie, je me suis vidé la tête

Mais je l’ai remplie de toi pour un jour

Deux, trois, une semaine,  jusqu’à

La prochaine fois où je te vois.

.

L’imagination, comme chacun sait, est la folle du logis

Mais au sujet  d’une fille qu’on aime, elle est plus ravie,

Que ce soit pour partager écriture empreinte de poésie,

Pour examiner au microscope, les secrets de la biologie,

Pour une autre activité  et qui, par passion, nous réunit.

On peut projeter n’importe quoi, sur l’être que l’on aime

Sauf des pensées ou des actes qui l’humilie ou le sacrifie.

.

On ne regarde sa chérie,

Qu’avec les yeux du corps transi,

Les yeux du cœur et de l’esprit, aussi.

.

On ne regarde ce qu’elle est, elle fait,  dit :

On regarde l’ensemble comme une holographie,

Et on gomme ses défauts autant par-là que par-ci.

.

Si fait que les fantasmes, les désirs, les imaginaires,

Iront  plus loin, plus haut, que de s’envoyer  en l’air,

Même si cela conserve toute chose, extraordinaire.

.

Quand je t’imagine, je te regarde les yeux fermés

J’imprime ton portrait sur intérieur paupières

Comme si tu demeurais présente face à moi.

.

.

628 – Calligramme

.

Regarder une bonne amie

C’est à la fois se rapprocher

Et tout à la fois se distancier

À défaut d’intimité  physique.

Pas d’ambiguïtés pour le désir,

Rien que  pur instant de plaisir,

D’être   ensemble, et  d’en   jouir,

Et copain et copine …  pour finir.

Éclats, de rire, et    éclats, de voix,

Sont tous des  éclats d’existence».

.

J E    T  E     R  E  G  A  R  D  E,

Passer d’amitié  à amour passion,

Reste, toujours, secrète tentation,

À en souffrir parfois de n’être pas

L’élu qu’elle cajolera en ses bras.

.

Quand je te regarde, je t’imagine

Et quand je t’imagine, je te vois,

C’est comme cela à chaque fois,

À présent que tu es ma copine.

.

Il arrive que ma raison vacille

Et me dise, tu es gentille fille,

Puis, mes yeux,  se décillent :

Rien que fantôme,  coquille !

.

J  E      T ’ I M  A  G I N E, 

J’écoute  ta voix : pur délice,

Chantante et d’accent coloré,

Lors moi, te parler : supplice,

Pour trouver le mot «aimer».

.

Je sais, je suis un bel imbécile,

Que de croire cette chose facile

Plus un crétin doublé d’un idiot

Que d’écrire aujourd’hui ce mot.

.

Ça soulage, le cœur, la conscience

Mais cela augmentera ta défiance,

Comprenant, en bonne intelligence,

Que statu quo garde bonne distance.

.

C  O M  M  E      U N E      A M I E !

Entre nous, au-delà d’attraits… désirs

Nous restons en contact,  à en souffrir,

Sans avoir moindre occasion du plaisir,

Que la chair peut donner à … s’évanouir.

.

J’écris, je crie, je n’en aurai … jamais fini,

D’espérer, qu’un jour, nous soyons  réunis,

Par un beau projet et qui nous tient à cœur

Qui deviendrait le début d’un vrai bonheur !

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

628 4

.

Colonne de sustentation

Ou empilement de livres

Peut-être une bombarde

Avec un garçon musicien

.

Bombarde, et air, et tempo

De musicien  et  d’imagination,

Qui galope pour créer nombreux

Scénarios, amoureux, gratuits !

  .

Symbolique

 .

Connues dès

La plus haute antiquité

Moyen âge,  la cornemuse

Et la bombarde ont très vite

Pris racine dans les pays bretons.

Au gré  des  évolutions  techniques,

Modes musicales, pressions sociales,

Et des grands évènements historiques,

Le couple bombarde-biniou  est  devenu,

Par excellence  l’expression d’une certaine

Culture populaire. Une culture qui puisera

Sa force dans la tradition orale, rayonnant

Des cours de ferme au cœur des bourgs,

Des grèves à la lande, de la

Basse Bretagne à toute la péninsule.

mesgenealogies.blogspot.com/2013/07/la-bombarde.

.

Descriptif

 .

628 – Je te regarde, je t’imagine amie !

Alignement central / Titre absent / Thème humeur

Forme ovale  /  Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : bombarde  / Symbole de fond : musicien

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

628 6

.

Bombarde, et air, et tempo

De musicien et d’imagination,

Qui galope pour créer nombreux

Scénarios, amoureux, gratuits.

 .

Symbolique 

 .

Créé en 1985, le Festival

De Kleg-Bombarde & Cie

Sera  devenu  le  symbole

Des  musiciens  bretons,

Résolument contemporains

Et très ouverts  sur le Monde.

.

Car la bombarde aurait nombre

De cousines partout sur la planète,

Et toutes se retrouveront de nouveau

En famille à Cléguérec (près de Pontivy)

Letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?

 .

.

Corrélation

Fond/forme 

 .

Bombarde provient du latin bombus

Signifiant  bourdonnement, bruit sourd

Il projette tellement de sons forts, même

Quelqu’un, de sourd,  l’entendrait de loin.

 .

Le son peut être joyeux ou mélancolique,

Passant de l’un à l’autre, comme usage

Comme pour amie tendre et espiègle.

 .

Elle peut être joué en solo ou couple

Avec une cornemuse ou un biniou

Tout comme  un  bagad entier

.

.

Je t’imagine lire des poèmes

.

Scénario

 .

Quand je te regarde, je t’imagine en train d’écrire une poésie,

que je lirai peut-être, un jour, dans un grand livre … ouvert,

sur les voyages, l’amour, sentiments, sciences, philosophie.

 .

Visuels et textuels  >>

624 – Je me sens revivre, et intensément

Visuels et textuels >>

.

Revivre intensément

Mon énergie décuplée,

Par le simple fait exister,

Par la magie d’être amants.

.

Quelques  instants, ensemble,

Rien  au monde,  ne  ressemble

À  celui  d’avant, terne, décoloré,

Moral dans les chaussettes, arrivé.

.

Alors, quel  prix  pourrais-je  payer,

Pour ces  beaux  instants, d’éternité,

Qui me tiennent en joie, la semaine,

Des jours, mois, voire même année.

.

Aucune drogue n’a une telle vertu,

Il suffit pour moi que tu sois nue

Pour qu’effet en moi s’institue

Hors du temps événement.

.

Je me sens revivre intensément parfois

Tout est au beau fixe, tout est à la joie

En pleine possession  de mes moyens,

Je souris à  la vie qui me le rend bien.

.

Et pour ces instants bonheurs parfaits

Où  je partage, avec toi, notre intimité,

Bien des années  de ma vie, je donnerai

Espérant cela puisse durer une éternité.

.

L’éternité, à ce moment-là, précisément,

Est capturée en cet instant hors du temps

Où nous, seuls au monde, en bulle amants,

Où le ciel nous  accueille en son firmament.

.

Platitude, monotonie habitudes sont honnis,

Quand notre sang bouillonne, nous rajeunit,

Par cet élan tellement fort  qu’il en illumine

Notre cerveau, en arbre de Noël… fulmine.

.

Je me sens revivre, intensément cette fois,

Lors je  te vois nue, bien qu’en l’obscurité,

Que ta présence  fasse contact, la journée,

Qu’âme  et  corps  se sentent   rassasiées !

.

.

Extension

 .

L’intensité et la durée,

L’intensité  en la durée,

L’intensité sans la durée

La durée sans l’intensité :

Cette grammaire d’unions,

Oppositions, décline le fond

De ma pensée et se conjugue

Comme le futur plutôt proche

Qui conditionne  notre  avenir.

De se ressentir  revivre, signifie,

Pour moi,  qu’il y a  des moments

De calme plat où il ne se passe rien,

Où tout va de travers, ou me laisse las,

Je te reçois dans mes bras, et les nuages

Disparaissent, comme par enchantement !

C’est le feu sous la cendre qui revit,

L’eau qui coule à en revendre,

L’air qui souffle, à ne plus s’entendre,

La terre qui se soulève à pourfendre.

La source  d’amour, se  transforme

En ruisseau, en rivière, en fleuve,

En embouchure jusqu’à l’océan.

.

Qu’est-ce cela peut bien vouloir dire : «revivre intensément»

Serait-ce vivre à toute allure des choses ou bien tous à la fois

L’amour, le travail, le loisir,  la spiritualité,  voire  la morale :

Toutes choses de notre vie seraient soumises à cette exigence

D’être intense, fort, coloré, voire incandescent tout le temps.

Mais il nous arrive, parfois, que tout va mal sauf les amours

Et que délaissant tout le reste on se sent vivre intensément :

Ce serait notre part, force de subjectivité, qui nous drogue.

.

L’intensité de la vie est un ressenti

Qui nous est propre, fort subjectif,

On n’aurait pas la même joie aussi

Pour les mêmes faits… admiratifs.

L’un s’extase devant une fille belle,

Et l’autre devant une voiture belle,

En dehors de l’association… sexiste

Aux deux, l’intensité  de vie, existe.

.

On dit que les personnes primaires,

Sont plutôt solaires, autres, lunaires

Mais l’intensité peut être intériorisée

Ce qui mettra tout le monde à égalité.

Et moi, je me sens revivre, intensément,

Quand cœur est en phase avec sentiment,

Me sens léger et comme pousser des ailes,

Quand je suis au lit, près, tout près, d’elle !

.

.

624 –  Calligramme

 .

                            Revivre intensément

                         Mon énergie décuplée,

                      Par le simple fait exister,

                  Par la magie d’être amants

              Quelques  instants, ensemble.

 .

Rien au monde ne ressemble

À celui d’avant    terne, décoloré,

Moral, dans les     chaussettes, arrivé.

Alors,  quel  prix          pourrais-je  payer,

Pour ces  beaux             instants, d’éternité,

Qui me tiennent       *       en joie, la semaine,

Des jours, mois       J      voire même année.

Aucune drogue n’    E      a une telle vertu,

Il suffit pour moi   *     que tu sois nue

Pour qu’effet en  M  moi s’institue

Hors du temps  E  événement.  

.

Je me sens  revivre  * intensément parfois

Tout est au  S  beau fixe, tout  T  est à la joie

En pleine   E    possession de mes  N     moyens,

Je souris   N      à  la  vie  qui  me  le   E  rend bien.

Et pour    S        ces instants bonheurs   M     parfaits

Où   je     *           partage avec toi, notre    É    intimité

Bien des   R            années de ma vie, je       S     donnerai

Espérant    E            cela  puisse  durer        N      l’éternité.

L’éternité     V              à ce moment-là       E    précisément

Est capturée    I              en cet instant      T   hors du temps

Où nous seuls    V           au monde      N   en bulle amants,

Où le ciel nous      R       accueille   I    en son firmament.

Platitude, monotonie   E        * habitudes sont honnis,

Quand notre sang     bouillonne    nous rajeunit,

Par cet élan tellement fort qu’il en illumine

Notre cerveau, arbre de noël  fulmine.

.

Je me sens revivre, intensément cette fois,

Lors je  te vois nue, bien qu’en l’obscurité,

Que ta présence  fasse contact, la journée,

Qu’âme  et  corps  se sentent   rassasiées !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

624 4

.

Encrier avec bouchon,

Ou flacon  pour  parfum,

Un bonhomme  de neige 

Qu’on prend en photographie

 .

Bonhomme de neige, même en photographie

n’est synonyme de ses sentir revivre intensément

mais le fait de le fabriquer y participe cependant

tant et si bien que la forme évoquerait le fond !

.

Avec ce sourire de bonhomme de neige,

La vie devient belle :

Lors il n’y a plus qu’une seule chose à faire,

C’est de le photographier !

  .

Symbolique 

.

Le personnage

Bonhomme de neige

Sculpture de neige compacte

À une apparence humaine,

Dimensions variables.

.

Comme château de sable,

Tout bonhomme de neige

Appartient à catégorie

De l’art éphémère.

.

Il est généralement

Confectionné à l’aide

De deux ou trois boules

De neige de taille variable.

Modifié, Source : Wikipédia

.

Descriptif

 .

624 –  Je me sens revivre, intensément 

Alignement central / Titre en cercle / Thème humeur

Forme anthropo  /  Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : bonhomme-neige /  Symbole de fond : photo 

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Fond

 .

Évocation 

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624 6

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Avec ce sourire de bonhomme de neige,

La vie devient belle :

Lors il n’y a plus qu’une seule chose à faire,

C’est de le photographier !

 .

Symbolique 

.

La photographie a connu

Une utilisation fréquente dès

Son apparition dans la deuxième

Moitié du XIXème siècle, les peintres

Et sculpteurs du symbolisme, s’en servirent

Tout naturellement pour des raisons pratiques.

.

Avec la photographie, plus besoin de poses

Longues et éreintantes durant des heures

Pour les modèles, et aussi la possibilité

De réutiliser la même pose dans

Différents  contextes. Rodin,

Fernand Khnopff ou encore

Mucha s’en servirent abondamment.

neo-symbolisme.over-blog.com/article-34769863.

 .

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Corrélations

Fond/forme 

.

On donne toujours au bonhomme de neige,

Un sourire  quelque peu  béat, naïf, enfantin,

Parce qu’il nous évoque une vie d’insouciance

Autour de la neige et de nos batailles de boules

Ce qui reste paradoxal avec son froid glacial,

Est qu’il réchauffe,  tout de même, le cœur

Au point on le prend en photographie

Et voire souvent même en selfie.

.

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Tout est écrit dessus

.

Scénario

 .

Je saute de joie comme si j’étais, soudain, en apesanteur.

Quatre nuances du même sentiment, d’amours partagés.

Le soleil envahi ma vie de ce jaune champêtre, aimant !

 .

Visuels et textuels >>

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Visuels  scénario

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Je saute de joie comme si

j’étais, soudain, en apesanteur.

.

.

Quatre nuances du même

sentiment, d’amours partagés.

.

.

Le soleil envahi ma vie de

ce jaune champêtre, aimant !

.

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Textuel calligramme 

.

  • Revivre intensément, mon énergie décuplée par le simple fait d’exister, par la magie d’être amants. Quelques instants, ensemble : plus rien du monde ne ressemble à celui d’avant, terne, décoloré, le moral, en les chaussettes, arrivé. Lors, quel prix pourrais-je payer pour ces beaux instants d’éternité qui me tiennent en joie la semaine : des jours, mois, voire même année. Aucune drogue n’a une telle vertu, il suffit pour moi que tu sois nue pour qu’effet en moi s’institue hors du temps, d’événement.  Je me sens revivre intensément : parfois tout est au beau fixe, tout est à la joie, en pleine possession de mes moyens, je souris à la vie, qui me le rend bien. Pour ces instants de bonheur parfait où je partage, avec toi, notre intimité, bien des années de ma vie, je donnerais en espérant que cela puisse durer une éternité, un temps suffisant pour ne jamais t’oublier. L’éternité, à ce moment-là, précisément, est capturée dans cet instant, hors temps, où nous sommes seuls au monde, en bulle d’amants, où ciel nous accueille en firmament. Instant où nous nous dépassons nous-mêmes pour convoler. Platitude, monotonie, habitude, sont honnis, quand notre sang bouillonne et nous rajeunit par cet élan, tellement fort, qu’il en illumine notre cerveau comme arbre de Noël qui fulmine. Chaque petit élément de vie est perçu comme un tout, merci. Je me sens revivre plus intensément parfois lors je te vois nue, bien qu’en l’obscurité. Ta présence est contact durant la journée, lors mon âme et mon corps se sentent rassasiés à tel point qu’un long temps, je peux, avec toi, l’amour, différer.

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Textuel extension

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  • L’intensité et la durée, l’intensité dans la durée, l’intensité sans la durée, la durée sans l’intensité : cette grammaire d’unions et d’oppositions, décline le fond de ma pensée et se conjugue comme un futur qui conditionne notre avenir. Se sentir revivre signifie, pour moi, qu’il y a des moments de calme plat où il ne se passe rien, où tout va de travers, ou tout me laisse las, à en désespérer. Je te reçois en mes bras, nuages disparaissent par enchantement. C’est le feu sous la cendre qui revit, l’eau qui coule à en revendre, l’air qui souffle à ne plus s’entendre, la terre qui se soulève à pourfendre. La source d’amour se transforme en ruisseau, en rivière, en fleuve, en embouchure jusqu’à l’océan.  Qu’est-ce cela peut bien vouloir dire : «revivre intensément» ! Serait-ce vivre à toute allure des choses ou bien tous à la fois, l’amour, le travail, le loisir, la spiritualité, voire  la morale : toutes choses de notre vie seraient soumises à cette exigence d’être intense, fort, coloré, voire incandescent tout le temps. Mais il nous arrive parfois que tout va mal, sauf les amours et que délaissant tout le reste on se sent vivre intensément : ce serait notre part et force de subjectivité qui nous drogue.  L’intensité de la vie est un ressenti qui nous est propre, fort subjectif. On n’aurait pas la même joie aussi pour les mêmes faits admiratifs. L’un s’extase devant une fille belle, et l’autre devant une voiture belle. En dehors de toute association sexiste, aux deux, l’intensité de vie, existe. On dit que les personnes primaires, sont plutôt solaires, autres, lunaires mais l’intensité peut être intériorisée, ce qui mettra tout le monde à égalité. Et moi, je me sens revivre, intensément, quand cœur est en phase avec sentiment, me sens léger et comme pousser des ailes, lors je suis au lit, près, tout près, d’elle !

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Textuels symboliques 

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Bonhomme de neige

  • Symbolique de forme : Le personnage du Bonhomme de neige, sculpture de neige compacte, a une apparence humaine, des dimensions variables. Comme château de sable, tout bonhomme de neige appartient à une catégorie de l’art éphémère. Il est généralement confectionné à l’aide de deux ou trois boules de neige de taille variable.   Modifié, Source : Wikipédia

 .

Photographie

  • Symbolique de fond : La photographie a connu une utilisation fréquente, dès son apparition, dans la deuxième moitié du XIXème siècle, les peintres et sculpteurs du symbolisme, s’en servirent tout naturellement pour des raisons pratiques : avec la photographie, plus besoin de poses longues et éreintantes durant des heures pour les modèles, et aussi la possibilité de réutiliser la même pose dans différents contextes. Rodin,  Fernand Khnopff ou encore Mucha, s’en servirent abondamment. neo-symbolisme.over-blog.com/article-34769863.

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Corrélations > Selfie,  insouciant, bataille boules, froid glacial,

  • Liens fond/forme : On donne toujours au bonhomme de neige, un sourire  quelque peu  béat, naïf, enfantin, parce qu’il nous évoque une vie  d’insouciance autour de la neige et de nos batailles de boules. Ce qui reste paradoxal avec son froid glacial, est qu’il réchauffe,  tout de même, le cœur au point on le prend en photographie,  et voire souvent même en selfie.

965 – Tous les jours, c’est la répétition du même !

Visuels et textuels >> 

.

La répétition

Dans le quotidien

Est comme un fardeau

Dont on se passerait bien.

Certains font la même chose

Et tous les jours  et au boulot,

Tandis que  d’autres  changent,

Jamais  deux  fois  …   le même !

Être  créatif,  pousse  à  innover,

Être  exécutant, mène à répéter,

Innover demande  et du temps,

De  l’énergie, risque  d’erreur !

Echange tranquillité d’esprit

Contre motivation à créer,

Pour mieux  se réaliser,

En ce qu’on fait, fit !

.

Tous les jours ou presque avec exceptions

C’est la répétition du même… pour certains,

Les jours  se suivent, et s’égrènent, en actions,

Qui ne les projettent en aucun autre lendemain

Quand je pense que je me lève … chaque matin,

Avec un programme différent et … cousu main,

Tandis que d’autres  arpentent même chemin,

Sans espérer  en  changer, un jour prochain.

.

S’épuise-ton plus vite, en se renouvelant,

Qu’à faire et refaire encore  et toujours

Son train-train quotidien incessant,

Libérant esprit du contre du pour.

Prendre risque  d’être en danger

Augmenter le stress, l’anxiété,

Répétition du même, sourd

À changer, idées, autour.

.

Être créatif, pourquoi

Cela ne s’arrête pas.

Parce qu’alors là

C’est le trépas.

Tu défonces

Enfonces

Le clou

Tout

Ah

.

.

Extensions

.

La répétition a du bon, jusqu’à un certain point,

Jusqu’à  acquérir le bon geste, la bonne parole,

Le bon comportement : c’est un des principes

Fondamentaux apprentissage or à la longue,

S’il n’y a plus  de perspectives  de progrès,

De variation, le manque de changement

Lasse, finit par ennuyer, contreproductif.

.

La répétition ne produit pas que des réflexes,

Elle produit aussi des habitudes de vie et même

Des structures de pensées, qui une fois celles-ci figées,

Rendent l’homme psychorigide, c’est-à-dire incapable de changer

Car même s’il le voulait, le prix à payer  pour admettre son erreur,

Et rétablir la vérité est trop exorbitant, pour y adhérer réellement.

.

La répétition  du même, à l’excès, pendant un long temps, conduit

À la sclérose de l’apprentissage et après, de capacité d’adaptation,

Lorsque les règles environnementales, procédures administratives

Ont changé. Les artistes et les créateurs en tous genres pratiquent

La répétition mais ils s’en méfient, et ils s’en éloignent, dès qu’ils

Ont épuisé le sujet : on parlera d’œillères pour les points de vue,

D’ornières pour les habitudes, quand c’est du pareil au même.

.

Programme métro boulot, dodo

Comme  travail,  famille,  patrie,

Constituent autant de raccourcis

Pour  faire  comprendre, à tous,

Cycle infernal du jour et de vie

Et, contre lequel, sa destinée,

Viendrait toujours tourner.

.

La répétition du même n’est pas en soi aliénation

Si cette dernière convient à celui qui vivrait ainsi.

Aux artistes, le fait de faire, et refaire, est courant,

Pas trop longtemps ou manque de renouvellement.

.

En réalité toute répétition serait comme l’imitation :

Acquisition, adaptation, maitrise, puis amélioration !

Il arrive un moment où il ne peut plus rien améliorer,

L’artiste s’arrête, l’ouvrier est censé poursuivre encore.

.

Ainsi, production et création ont des points communs,

Mais le résultat final diverge  complétement, en ce sens

Où l’artiste tend vers une œuvre originale, voire unique,

Lors l’ouvrier produit toujours le même et indéfiniment.

.

.

Épilogue

.

La répétition aura au moins ceci du bon,

De renforcer, maintenir, l’apprentissage,

Mais à la longue, elle finit par le vitrifier,

Moindre changement  vient le perturber.

***

Automatismes de pensée, rituels gestuel,

Confinent parfois caractère obsessionnel,

Le premier, qualifierait un psychorigide ;

Le second, des tics ou des tocs, stupides !

***

Métro boulot dodo n’est pas obsessionnel,

Juste réalité  à se soumettre, professionnel

Pour  un travail  jugé, parfois, alimentaire,

Dont la rémunération  peut être arbitraire.

***

Une toupie est un bon exemple de séquence

Répétitive à l’infini, tournant sur elle-même,

Rien ne la fera faire autre chose  que tourner

Tourner en rond comme un travail d’ouvrier.

***

La répétition  pour  un morceau de musique,

Ou une danse, ou autre performance, en art,

Est  toute autre contrainte : vise l’excellence,

Ici les écrits se répètent en forme, non fond.

.

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965 – Calligramme

.

La répétition

Dans le quotidien

Est comme un fardeau

Dont on se passerait bien.

Certains font la même chose

Et tous les jours  et au boulot,

Tandis que  d’autres  changent,

Jamais  deux  fois  …   le même !

Être  créatif,  pousse  à  innover,

Être  exécutant, mène à répéter,

Innover demande  et du temps,

De  l’énergie, risque  d’erreur !

Échange tranquillité d’esprit

Contre motivation à créer,

Pour mieux  se réaliser,

En ce qu’on fait, fit !

TOUS LES JOURS,

Tous les jours ou presque avec exceptions

C’est la répétition du même… pour certains,

Les jours  se suivent, et s’égrènent, en actions,

Qui ne les projettent en aucun autre lendemain

Quand je pense que je me lève … chaque matin,

Avec un programme différent et … cousu main,

Tandis que d’autres  arpentent même chemin,

Sans espérer  en  changer, un jour prochain.

LA RÉPÉTITION

S’épuise-ton plus vite, en se renouvelant,

Qu’à faire et refaire encore  et toujours

Son train-train quotidien incessant,

Libérant esprit du contre du pour.

Prendre risque  d’être en danger

Augmenter le stress, l’anxiété,

Répétition du même, sourd

À changer, idées, autour.

DU MÊME 

Être créatif, pourquoi

Cela ne s’arrête pas.

Parce qu’alors là

C’est le trépas.

Tu défonces

Enfonces

Le clou

Tout

Ah

V  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

965 4

.

Qu’est-ce qui  tourne  cent fois

Sur elle-même, à l’épuisement,

Sinon une toupie, bien lancée,

En diminuant tout frottement !

.

(forme pleine, rimes égales,

la forme s’approche du fond)

.

La toupie, par sa forme, tourne autour d’elle-même

elle s’active  quand on lui donne  toute son énergie,

avant de ralentir, de vaciller et au final de tomber,

tout comme la nuit et le sommeil alternent au jour.

.

Une toupie, par définition, tourne en rond,

 Par répétition :

Pour l’arrêter, il faut attendre longtemps,

Ou la bousculer.

 .

 Symbolique 

 .

La toupie apparaît dans le film Inception

De Christopher Nolan pour symboliser

Fait que scène se déroule ou non en rêve.

.

Le film se termine sur une toupie

En train de vaciller sans que le

Spectateur sache si elle finit par s’arrêter.

.

Jouet connu depuis l’Antiquité, c’est un jeu

Traditionnel populaire en  Chine,

Où faire tourner une toupie :

.

Consiste à fouetter continuellement

L’objet conique pour le faire tourner

Sur la glace ou sur un terrain lisse.

wikipedia.org/wiki/Toupie_(jouet)

.

.

Fond

.

Évocation 

.

965 6

.

Une toupie, par définition, tourne en rond,

 Par répétition :

Pour l’arrêter, il faut attendre longtemps,

Ou la bousculer.

 .

 Symbolique

 .

Platon en personne s’interroge,

Dans «La République», sur le point

De savoir si l’axe même de la toupie

En mouvement est immobile ou non.

C’est le symbole de l’instabilité,

De l’activité incessante,

De l’imprévisible et,

De la grâce d’un

Personnage

Ou de voix

Humaine

Sacrée

V.

blog.lesoir.be/

jour-apres-jour

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

Toupie, or not toupie c’est la question

Tous les jours  s’activer,  se fatiguer,

Pour arriver à un résultat identique

Avec le sentiment de fatigue d’exister :

.

Comme gravisseur du nom de Sisyphe

Toujours recommencer après un échec

La prochaine fois sera la bonne, exténué.

Tout comme fameux : métro, boulot, dodo.

 .

 .

Répétition de soi à l’infini

.

Scénario

.

Métro,

boulot,

dodo !

 .

Visuels et textuels >> 

949 – Comment imaginer lumière sans ombre

Visuels et textuels >>

.

Les objets font de l’ombre

À toute lumière projetée,

Sous  un certain  degré,

Parfois,  en pénombre.

.

Et une personne peut

Vivre dans… l’ombre

De quelqu’un autre,

Sens propre, figuré.

.

Rester dans l’ombre

Se mettre en lumière

Ou, partager les deux,

Font toute personnalité.

.

Comment imaginer toute projection de lumière,

Sans ombre portée  sur les objets étant derrière :

Contrastes nous font bien percevoir leurs formes

En intensités de couleurs  si parfois … difformes.

.

Ombre et lumière n’existeront pas d’elles-mêmes,

Lumière reflète l’énergie, l’ombre, son incapacité,

Lumière  reflète  transparence ; l’ombre, l’opacité,

Épaisseur de nuit, matin, lumière d’ombre, blême.

.

Obscurs sont les néants habitants notre inconscient

Participant au collectif, ne seront pas moins, béants,

Si l’inconscient détient la clé de notre histoire privée,

Nous ne parvenons même pas  à  nous la remémorer.

.

Lumière ne provient pas,  à la fois, des deux côtés,

Et dans l’ombre, je peux m’autoriser quelque repos

Si j’imaginais que je puisse me voir, de face, de dos,

Je craindrais qu’ombre ne pourrait pas me cacher.

.

Dans l’ombre, je fais des choses,  sans y voir  clair,

Pour mieux  les rejouer ensuite  en pleine lumière,

L’apprentissage est ombre ; l’expérience est clarté,

En la maitrisant, la zone d’ombre  sera supprimée.

.

Pour vous influencer, je joue dans votre… ombre,

Quand c’est à moi d’agir face au grand… nombre

Il arrive  que je vive des heures … plutôt sombres,

Et alors je souhaite me retirer dans la pénombre.

.

Parfois, on me dit que je ne suis pas une lumière :

Pour autant je ne me vois pas d’ombre, ni œillère,

Dont je ne saurais que faire, pour me débarrasser,

Ma source serait-elle trop faible, pour m’éclairer !

.

Paradoxe que cette source  qui produit ma lumière,

Avoir besoin de son ombre pour bien me ressourcer,

Sans l’ombre  de ma lumière, je ne serais qu’insensé,

Sans la lumière de l’ombre,  je ne serais que mystère.

.


.

Extensions

 .

Complément

  +

Pendant longtemps,

L’on a cru que la lumière

Sortait des yeux, comme une

Projection sur l’environnement.

On sait à présent qu’il n’en est rien,

L’œil ne fait que la percevoir et refléter.

Les objets eux-mêmes reflètent la lumière

Et la couleur. Il n’est pas certain que les yeux

Voient leur réalité tant l’œil n’est pas objectif.

.

Supplément

&

Avant toute chose, préciser ce que désignent

La lumière, l’ombre, la pénombre, obscurité,

Puis nommer différentes sources de lumières

La  lumière naturelle  et  la lumière artificielle

Les  lieux  obscurs : grottes, caves, cinéma, etc.

Ou des personnages, des animaux, des activités,

Associés à jour, nuit,  la lumière ou à l’obscurité !

 L’ombre mettra en valeur la lumière par contraste,

Et fera ressortir comme une part de mystère caché.

.

Achèvement

#

L’ombre est caractéristique d’une absence

De lumière, et non pas à cause de celle-ci

D’un ou plusieurs objets qui la masque.

.

Si on dit  de quelqu’un  qu’il nous fait

De l’ombre, qu’il n’est pas une lumière

On fait référence à quel qu’obstruction,

Non pas tant à l’espace qu’à l’intelligence.

.

Lumière existe sans ombre mais non l’inverse

Bien que  personnes, personnages  existent bien

Dans l’ombre mais de façon analogique seulement

De même qu’on parle  de zone  d’ombre  en affaires !

.

.

949 – Calligramme

.

Les objets font de l’ombre

À toute lumière projetée,

Sous  un certain  degré,

Parfois,  en pénombre.

Et une personne peut

Vivre dans… l’ombre

De quelqu’un autre,

Sens propre, figuré.

Rester dans l’ombre

Se mettre en lumière

Ou, partager les deux,

Font toute personnalité.

.

Comment imaginer toute         C              projection de lumière,

Sans ombre portée sur les       O              objets étant derrière :

Contrastes nous font bien       M             percevoir leurs formes

En intensités de couleurs        M             si parfois … difformes.

E

Ombre et lumière n’existe        N            ront pas d’elles-mêmes,

Lumière reflète l’énergie          T            l’ombre, son incapacité,

  Lumière reflète  transpa           *             rence, l’ombre, l’opacité,

 Épaisseur de nuit, matin,          I           lumière d’ombre : blême.

 M

Obscurs sont les néants ha       A          bitants notre inconscient

Participant au collectif, ne        G            sont pas moins, béants,

Si l’inconscient détient la          I            clé notre histoire privée,

Nous ne parvenons même        N         pas à nous la remémorer.

E

Lumière ne provient pas,          R            à la fois, des deux côtés,

Et dans l’ombre, je peux            *        m’autoriser quelque repos

Si j’imaginais que je puis           L       se me voir, de face, de dos,

Je craindrais qu’ombre              U       ne pourrait pas me cacher.

M

Dans l’ombre, je fais des             I           choses,  sans y voir  clair,

 Pour mieux  les rejouer              È         ensuite  en pleine lumière,

L’apprentissage est om              R       bre, l’expérience est clarté,

En la maitrisant, la zone            E          d’ombre  sera supprimée.

*

Pour vous influencer, je             S          joue dans votre … ombre,

Quand c’est à moi d’agir            A             face au grand… nombre

Il arrive  que je vive des             N          heures … plutôt sombres,

Et alors je souhaite me               S          retirer dans la pénombre.

*

Parfois, on me dit que je            O           ne suis pas une lumière !

Pour autant je ne me vois          M             pas d’ombre, ni œillère,

Dont je ne saurais que fai          B            re, pour me débarrasser,

Ma source serait-elle trop          R              faible, pour m’éclairer !

E

Paradoxe que cette source          *             qui produit ma lumière,

Avoir besoin de son ombre                      pour bien me ressourcer,

Sans l’ombre de ma lumière                        je ne serais qu’insensé,

Sans la lumière de l’ombre                       je ne serais que mystère.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

Flacon de quelque chose,

C’est certain :

 Lors flacon de parfum 

Ou d’odeur

.

(forme pleine, rimes égales,

la forme s’éloigne du fond)

.

Une lumière sans ombre serait

Comme un parfum sans odeur, 

Et a contrario, l’odeur ne peut se

Passer de son substrat physique.

 .

Symbolique 

 .

À la Renaissance,

Le   parfum

A connu un

Réel   essor.

On l’utilisait

Pour  camoufler

Les mauvaises odeurs

Aujourd’hui, le parfum

Est considéré comme un

Produit  de luxe devenant

De  plus en plus  accessible

À  grand  nombre de gens.

Mais  le parfum marquera

Également la personnalité

De l’individu qui le porte.

Ce sera en quelque sorte

Sa signature olfactive.

Source : 1001symboles.net

.

.

Fond

.

Évocation 

.

949 6

Une lumière sans ombre serait

Comme un parfum sans odeur, 

Et a contrario, l’odeur ne peut se

Passer de son substrat physique !

 .

Symbolique 

 .

Odeurs s’offrent-

Réellement à notre nez ?

Il les fabrique   en partie.

Sont-elles  détachables des

Objets   qui   les    dégagent ?

Non, il nous semble impossible

De convoquer l’image d’une odeur

Qui ne serait pas l’odeur de quelque chose.

Se souvient-on  d’une  odeur ? Non.

.

On se souvient de l’avoir déjà sentie:

Pouvons-nous  décrire  cette  odeur ?

Non, pas davantage que l’expression d’un visage ;

On peut seulement en dire. Pourquoi ?

C’est parce que nous avons conscience d’une odeur

Sous la seule forme de « l’effet que cela fait » de la sentir.

Journals.openedition.org/terrain/4325

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Imaginez parfum qui ne vous convient :

Il vous dessert plus qu’il ne vous soutient

Et ce dernier étant par nature éphémère,

Il aura besoin  d’un fixateur  pour exister

Il en serait de même   pour toute ombre :

.

La lumière elle-même, ne peut en avoir,

Il faut un obstacle  pour projeter ombre.

L’ombre parfum est lumière qui le tient

Les deux se rejoignent en couple divin,

Qui illumine sa vie à chaque matin !

 .

.

Ambiance ombre et lumière

.

Scénario

.

Un puits de lumière  tout en haut mais tout autant d’ombre autour.

La moitié de son visage disparait dans l’ombre et par contraste.

Que met en valeur un tel jeu subtil d’ombres et de lumières ?

.

Visuels et textuels >>

947 – Monde est microcosme et macrocosme !

Visuels et textuels >> 

.

Mi

Cro

Macro

Cos-me :

Nous sommes.

Nombre d’univers,

Qui en nous, résonnent

Du plus petit ou plus grand,

Et, que l’on explorera, souvent,

Avec  nos  nouveaux  instruments !

.

Rapport aux mondes micro, macrocosmes,

Je suis, nous sommes des femmes, des hommes

Macro … en galaxies, micro… en univers d’atomes,

Minuscules, grande  échelle : inexistants, en somme.

Une intelligence, mémoire concentrées en un cerveau,

Qui, au bas mot, ne peut guère peser plus …  d’un kilo,

Perchées sur une hauteur, autour d’un mètre soixante,

Espérant bien vivre jusqu’à cent vingt années pétantes.

D’en haut, vu de l’Univers : un petit grain de poussière,

D’en bas, vu par une puce… un grand géant sur la terre,

Si nous nous sommes érigés en norme-étalon … partout,

C’est parce que nous avons décidé être le maitre en tout.

.

Nous avons capturé, domestiqué, alimenté, et, même été

Jusqu’à sélectionner bons animaux, pour les rentabiliser,

Jusqu’à supprimer en tuant et en chassant, tant d’autres,

Nous sommes rois de la Nature bien plus que ses apôtres

Or, d’aussi près, que l’on puisse voir, avec un microscope,

D’aussi loin que l’on puisse observer avec un … télescope,

La Nature et l’Univers nous échappent … comme myopes,

À  leur sens, leur destin, leur parallélisme et leur biotope !

.

Parait que nous serions le milieu… mais le milieu de quoi,

Quand milieu de l’infini, est égal, à lui-même, plus epsilon

Si l’on tenait compte de l’erreur de calcul  d’une personne,

Le milieu n’est ni le début ni la fin de notre monde, en soi.

La fin du monde ne peut être que  la nôtre … n’étant en vie

Que pour l’annoncer, précipiter, retarder… voire constater

La fin de l’hégémonie d’humains ayant passé toute leur vie

À soumettre, asservir la Nature pour leur seul profit avéré.

.

Microcosme que l’Humanité, toute entière, dans l’Univers,

Macrocosme que ses capacités à lui donner un sens … vers

Une explication de son apparition sur Terre, irrationnelle,

Tout autant, émotionnelle, voire même … confessionnelle.

«Il n’y a pas d’horloge sans horloger proclame Voltaire»

Il n’y a pas  de microcosme, sans macrocosme, sur Terre,

Toutes les histoires des hommes, parlent de ce Mystère :

Nous sommes tous des êtres abandonnés en pleine erre,

Erre entre micro et macro, vérité, mensonge, en miroir,

Ma condition humaine est de rester lucide dans le noir.

.

.

Extensions

.

Du plus petit au plus grand qu’on puisse voir,

Du microscopique, jusqu’à l’incommensurable,

L’on aura cessé  de reculer les limites du visible,

Pour découvrir  les secrets, de la Nature, du Ciel,

Afin de chercher le sens de notre vie, sur la Terre,

Sans jamais y parvenir,  tout en étant émerveillé,

D’agencement beauté microcosme, macrocosme.

Ni trop petit, ni trop grand, nous serions milieu

Pour servir de médium entre l’Univers et Dieu.

.

Le macrocosme  « c’est le Monde entier

Comme organisme comparable  à l’homme,

Un ensemble dont les parties se correspondent.

.

L’homme seul se considère, se juge, petit monde,

Contenant  toutes les qualités d’un grand Monde,

C’est pourquoi on l’appellera un « microcosme ».

.

.

947 – Calligramme

.

Cro

Macro

Cos-me :

Nous sommes.

Nombre d’univers,

Qui en nous, résonnent

Du plus petit ou plus grand,

Et, que l’on explorera, souvent,

Avec  nos  nouveaux  instruments !

.

Rapport aux mondes micro, macrocosmes,

Je suis, nous sommes des femmes, des hommes

Macro … en galaxies, micro… en univers d’atomes,

Minuscules, grande  échelle : inexistants, en somme.

Une intelligence, mémoire concentrées en un cerveau,

Qui, au bas mot, ne peut guère peser plus …  d’un kilo,

Perchées sur une hauteur, autour d’un mètre soixante,

Espérant bien vivre jusqu’à cent vingt années pétantes.

D’en haut, vu de l’Univers : un petit grain de poussière,

D’en bas, vu par une puce… un grand géant sur la terre,

Si nous nous sommes érigés en norme-étalon … partout,

C’est parce que nous avons décidé être le maitre en tout.

MONDE EST

Nous avons capturé, domestiqué, alimenté, et, même été

Jusqu’à sélectionner bons animaux, pour les rentabiliser,

Jusqu’à supprimer en tuant et en chassant, tant d’autres,

Nous sommes rois de la Nature bien plus que ses apôtres

Or, d’aussi près, que l’on puisse voir, avec un microscope,

D’aussi loin que l’on puisse observer avec un … télescope,

La Nature et l’Univers nous échappent … comme myopes,

À  leur sens, leur destin, leur parallélisme et leur biotope !

MICROCOSME

Parait que nous serions le milieu… mais le milieu de quoi,

Quand milieu de l’infini, est égal, à lui-même, plus epsilon

Si l’on tenait compte de l’erreur de calcul  d’une personne,

Le milieu n’est ni le début ni la fin de notre monde, en soi.

La fin du monde ne peut être que  la nôtre … n’étant en vie

Que pour l’annoncer, précipiter, retarder … voire constater

La fin de l’hégémonie d’humains ayant passé toute leur vie

À soumettre, asservir la Nature pour leur seul profit avéré.

ET MACROCOSME ! 

Microcosme que l’Humanité, toute entière, dans l’Univers,

Macrocosme que ses capacités à lui donner un sens … vers

Une explication de son apparition sur Terre, irrationnelle,

Tout autant, émotionnelle, voire même … confessionnelle.

«Il n’y a pas d’horloge, sans horloger, proclame Voltaire»

Il n’y a pas de microcosme, sans macrocosme, sur Terre,

Toutes les histoires des hommes, parlent de ce Mystère :

Nous sommes tous des êtres abandonnés en pleine erre,

Erre entre micro et macro, vérité, mensonge, en miroir,

Ma condition humaine est de rester lucide dans le noir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

947 4

.

Donjon ou quelque

Chose …  comme cela

Avec un toit  en voûtes,

Micro-macro-cosmes.

.

(forme pleine, rimes égales,

la forme s’approche du fond)

.

Un donjon est une sorte de microcosme

en lequel on s’enferme, qui nous préserve

des dangers extérieurs monde macrocosme,

c’est ainsi que forme prend en compte le fond

.

Un donjon est forcément un microcosme,

 Complétement fermé

Et une voûte céleste serait un macrocosme,

Complétement ouvert.

 . 

Symbolique 

 .

Les premiers donjons

En pierre  apparaissent  au

Croisement  des Xe et XIe siècles.

Symbole de pouvoir sur les hommes

 Sur la terre, le château évolue à la fin

Du  Moyen Âge  pour devenir  de  plus

En plus lieu de résidence seigneuriale,

Princière, quand  ce n’est pas  royale.

La défense reste cependant  passive :

La porte est située en  hauteur et sur

Le flanc  le moins exposé, et les murs

Sont épais, fenêtres rares et étroites.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

947 6

.

Un donjon est forcément un microcosme,

 Complétement fermé

Et une voûte céleste serait un macrocosme,

Complétement ouvert.

 .

Symbolique

 .

« Les relations avec Bruno Joncour

Ne sont pas mauvaises : elles sont inexistantes…

Notre dernier entretien en tête-à-tête remonte à août 2014.

.

Depuis, il ne m’adresse plus la parole.

Il est dans sa tour d’ivoire et s’appuie

Sur son « microcosme joncourien »

Qui prend les décisions. C’est sa cour.

.

Il y a peu d’élus dans ce microcosme.

Il ne tolère la  moindre contradiction.

Personne ne lui dit rien dans sa majorité.

Beaucoup d’adjoints sont court-circuités par lui.

.

Il serait plus enclin à écouter les gens de l’opposition

Plutôt que ceux de sa majorité qu’il réunit rarement. »

ouest-france.fr/bretagnesaint-brieuc-jean-jacques-

fuan-fustige-le-microcosme-joncourien

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

 .À l’intérieur d’un donjon, si grand soit-il

Il ne pourrait y avoir  qu’un microcosme,

Dès lors il s’agit d’endroit où l’on se retire,

Tandis que vaste monde ouvert tout autour

Continue  à s’agiter, échanger, à guerroyer.

.

Il en est un autre mille fois plus petit : cellule,

Non pas celle d’un moine mais celle d’un corps,

Qui cumule, tout comme l’Univers macrocosme,

Une gigantesque bibliothèque de données vitales.

.

Comme quoi, on peut être minuscule, invisible,

 Et majuscule, visible, à la fois, au microscope

En somme l’Univers et nous, se reflètent,

En va-et-vient permanent, mystérieux

Connaissance infime et grandiose

Mais jamais totalement éludée

Jamais totalement explorée.

.

 .

 Organisation Wikimédia Commons

.

Scénario

 .

Microcosme est l’infiniment petit, visible seulement au microscope,

macrocosme et l’infiniment grand, visible seulement  au télescope,

lors, avec une simple loupe on voit nervures et cellules végétales !

.

Version texte >> 

946 – J’imagine qu’au-delà de ma vision du monde

Visuels et textuels >>

.

J’imagine dès lors projette

Un tout autre monde en ondes,

Où d’autres êtres vivants Aliens,

Nous  observent,  nous  copient ;

.

Ce n’est que   projection  de soi,

Dans un  ailleurs où autres lois,

Régissent des sociétés, sans foi,

Où l’humain n’en est pas le Roi.

.

Tant cela n’est qu’échappatoire

Pour quitter Terre avec espoir

Ailleurs à nouveau te revoir.

.

J’imagine qu’au-delà de ma vision du monde,

Il y a d’autres êtres vivants en autres ondes,

Trop loin pour qu’elles se correspondent,

Et si près que chairs se confondent.

.

J’imagine, lors disparaît simple apparence,

L’esprit… ou l’âme… ou l’espérance

Trouve monde est incohérence,

Et que la mort est délivrance.

.

J’imagine, lors fantômes nous hantent,

Qu’inconscient collectif les invente,

Hérite de tous mythes fondateurs,

Que nous avons créés, auteurs.

.

J’imagine, lors la nature se déchaine,

Qu’elle met l’homme en chaines

En provoquant chaque année

Catastrophes par milliers.

.

J’imagine, lors ennemis assassinent,

Pour asseoir leur justice léonine,

Et c’est toujours à leur profit,

Décrétant leurs interdits.

.

J’imagine, lors amours pêle-mêle,

Où hommes  et  femmes  s’emmêlent

Que jouissances à leurs paroxysmes

Font fi de censure des mots en isme.

.

J’imagine, lors situation dramatique,

Dérivant et succombant  à la panique,

Que seul moyen, de s’en  sortir  vivant,

Est de savoir voler vers  le   firmament.

.

J’imagine… lors vies où, rôles    premiers,

Justiciers,  guerriers, vous   étant   dévolus,

Que ma peur par l’angoisse  bien  tenaillée,

Est balayée par toute victoire  bien assurée.

.

J’imagine, lors je suis  près  de  toi,   tu cries,

Viens vite,    dépêches, vole  à  mon   secours ;

Que  je ne  te vois  ni ne  bouge, aveugle, sourd,

Que  tu tombes  de haut,   comme  il  est  inscrit.

.

J’imagine …   je sais … tu ne me croiras pas,

Que tu es quelqu’un d’autre et aussi tout moi,

Que tu ne penses pas que j’étais de  bonne foi,

Alors que tu es ma reine… que je suis ton roi !

.

.

Extensions

 .

J’imagine, lors ceci, lors cela…

Tout ce qui arrive, arrivera mais fortuitement,

Car je ne sais comment, je retomberai toujours

Sur mes pieds car  je suis le héros du jour, celui

De notre amour et rien ne détruira lien heureux.

Si tout cela n’est que fantasme, si tout cela n’est

Que fantasque, il n’empêche que peur, anxiété,

Angoisse en sont les trois degrés qui depuis

Ma tendre enfance, m’y ont conditionné.

.

L’imaginaire est la porte donnant sur d’autres univers

Que celui dans lequel on vit, et bien qu’on s’y rattache !

Entre le Monde tel qu’il est, qu’on le voit, qu’il reviendra

Il y a des interstices, des bulles, et des vides, à  explorer :

Le monde n’est pas un, mais plusieurs… une multiplicité !

.

Comment pourrait-on dépasser la vision

D’un Monde dans lequel, on nait, on est !

.

On me répond : simple … par l’imaginaire

Qui, comme chacun sait, reste sans borne !

.

Cent bornes, peut-être, sans borne, pas sûr

On n’imagine que ce que l’on croit exister !

.

Parmi tous les possibles, tous les probables,

Il y en aurait plein d’inconnus, d’ineffables !

.

La somme des connaissances, des imaginaires

N’est que peu de chose par rapport à l’Univers.

.

.

946 – Calligramme

.

J’imagine dès lors projette

Un tout autre monde en ondes,

Où  A  d’autres êtres vivants, Aliens,

Nous      U      observent, nous copient

Ce n’est que               projection de soi,

Dans un  ailleurs   D       où, autres lois,

Régissent des sociétés   E       sans foi,

Où l’humain  n’en est pas le L   Roi.

Et cela n’est qu’échappatoire   A

Pour quitter Terre avec espoir

Ailleurs à nouveau te revoir.

.

J’imagine qu’au-delà de ma vision du monde,

Il y a d’autres êtres vivants en autres ondes,

Trop loin pour qu’elles se correspondent,

Et si près que chairs se confondent.

J’imagine, lors disparaît simple apparence,

L’esprit… ou l’âme… ou l’espérance

Trouve monde est incohérence,

Et que la mort est délivrance.

J’imagine, lors fantômes nous hantent,

Qu’inconscient collectif les invente,

Hérite de tous mythes fondateurs,

Que nous avons créés, auteurs.

J’imagine, lors la nature se déchaine,

Qu’elle met l’homme en chaines

En provoquant chaque année

Catastrophes par milliers.

J’imagine, lors ennemis assassinent,

Pour asseoir leur justice léonine,

Et c’est toujours à leur profit,

Décrétant leurs interdits.

.

J’imagine, lors amours pêle-mêle,

Où hommes  et  femmes  s’emmêlent

Que jouissances à  D  leurs paroxysmes

Font fi de censure   E  des mots en isme.

       *

J’imagine, lors situ   M    ation dramatique,

Dérivant et succom     A     bant  à la panique,

Que seul moyen,  de     *     s’en   sortir  vivant,

Est de savoir    voler      V    vers  le   firmament.

  I

J’imagine… lors vies      S     où, rôles    premiers,

Justiciers,  guerriers,       I     vous   étant   dévolus,

Que ma peur par l’an       O    goisse  bien  tenaillée,

Est balayée par toute        N     victoire  bien assurée.

       *

J’imagine, lors je suis        D      près  de  toi,   tu cries,

Viens vite,    dépêches,        U      vole  à  mon   secours ;

Que  je ne  te vois  ni ne       *       bouge, aveugle, sourd,

Que  tu tombes  de haut,     M       comme  il  est  inscrit.

   

J’imagine …   je sais que                tu ne me croiras pas,

Que tu es quelqu’un d’au        D            tre et aussi tout moi,

Que tu ne penses pas que         E               j’étais de  bonne foi,

Alors que tu es ma reine              *                  que je suis ton roi !

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation

.

946 4

.

Silhouette d’homme debout,

Avec ses bras bien croisés,

En  train  d’imaginer 

Ne sais quels êtres !

 .

(forme stylisée, rimes égales,

la forme s’accorde au fond)

.

J’imagine … d’autres lieux,

D’autres temps, d’autres êtres :

Qu’ils soient  ou   bien   terrestres,

Extra-terrestres, d’outre-tombe.

 .

Symbolique 

 .

L’imaginaire

Peut  être  défini

Un  peu  comme  le

Fruit de l’imagination

D’un individu ou groupe

Ou  encore  d’une  société,

Produisant …  des images.

.

Et puis  des représentations,

Des récits et voire des mythes

En  plus ou moins  détachés de

Ce  qu’il  est  d’usage  de  définir

Comme la réalité, comme elle est.

.

Il s’agit de la capacité d’un groupe

Ou d’un individu à se représenter

Le monde  à l’aide d’un réseau

D’associations …. d’images

Qui lui donnent un sens.

Modifié, source : Wikipédia

.

..

Fond

Évocation 

.

.

J’imagine … d’autres lieux,

D’autres temps, d’autres êtres :

Qu’ils soient  ou   bien   terrestres,

Extra-terrestres, d’outre-tombe.

 .

Symbolique 

 .

D’une manière générale, l’extraterrestre

Symbolise l’homme qui demeure inconnu,

Que l’on a du mal à comprendre ou à saisir.

Sa pensée nous reste totalement  étrangère.

.

Ils viennent du ciel/masculin et s’opposent

Donc à l’élément terre/féminin : en  rêves

L’extraterrestre représenterait un être

Étranger à une nature féminine, est

Homme dont l’on attend la venue,

Tout en la redoutant fortement.

.

Ce serait une incompréhension

Fondamentale, exprimée ici.

tristan-moir.fr/extraterrestres

 .

..

Corrélations

 .

Fond/forme 

 

Ah, l’imaginaire… mais qu’est-il donc !

Que sommes-nous lors il nous fait défaut ?

Il a pour synonymes : fictif, illusoire, irréel,

Et j’ajouterais chimérique,  fantasmagorique,

Et  pour antonymes : effectif, positif, réel, vrai,

Certains disent qu’imaginaire fait partie du réel,

Mais qu’il n’a pas toujours le vrai sens de la réalité

Je laisserai les philosophes en débattre : bonne soirée.

Pour moi, mon imaginaire, c’est la manière de respirer.

  .

 .

Mais de là à dire qu’on nous épie !

.

Scénario

.

Comme vous, ma géopolitique globalise tout ce qu’il y a sur la Terre.

Nombre de gens sont quelque peu semblables ou sont très  différents.

Un mouvement brownien agite les particules de manière simultanée.

.

Visuels et textuels >>

944 – En mes rêves les plus fous, j’imagine

Visuels et textuels  >>

.

Je ne perds pas la tête

C’est bien elle qui me perds

Dans  ses dédales inextricables

Dont seule, elle en est capable,

Et ce jusqu’à en confondre

Le rêve et le délire,

Virtuel et réalité

.

Rêves simulent autre réalité

Esprit a l’ascendant sur corps

Tout en lui procurant ce pouvoir

D’être léger, en un sens exacerbé.

Thème est, souvent … le voyage

Avec  péripéties    improbables

Avec  une   recherche  d’altérité,

Apte, pour  un   vœu,  à combler.

.

Mon imagination étant au pouvoir

Pas de limites, pour, entendre, voir,

Ni pour se déplacer en lumière, noir

Car seule chose à éviter, cauchemar !

.

En mes rêves,  les plus fous,  j’imagine,

Que mon esprit voyage sans mon corps,

Au-delà de l’horizon, et, plus loin encore,

Jusqu’à atteindre le fond  de mes origines

 .

Je vais par les monts et par les vallons,

Du bas vers le haut et, de large en long,

Les yeux  au  taquet   oreilles aux aguets

Pour rechercher une âme qui m’aimerait.

.

Je tombe  dans  le vide et je monte  au  ciel

Lors la Terre me parait gouffre plein de  fiel

Plein d’êtres se battant et, pour  de  l’argent,

Mon rêve n’est pas d’or   mais de firmament.

 .

J’imagine  lors que tous entendent, partagent

Même air, atmosphère, eaux, dans nuages

Que les riches, pauvres deviennent sages

Pour que vie soit rêve bonheur sans âge.

.

À chaque fois, je ré-

Intègre prudemment

Mon  corps de  chair

Voire mon cher corps

Mais, en  ses  illusions,

Je joue de ses dix cors

Et je suis fatigué d’être

Mortel, en me réveillant.

.

.

Extensions

.

En mes rêves les plus fous,

J’imagine ce que je ne vis pas,

Ce que je ne suis pas, comme un

Acteur qui découvre le rôle qu’on

Lui dévoie, mais sans qu’auparavant,

Il s’aperçoive du piège  qu’on lui tend.

Pastiche de sa vraie vie : pensez-vous !

Non, rien d’autre  qu’une mise en scène

D’apparence lointaine de vous et chaotique

À  souhait et qui pourtant reflète profondément

Votre état d’esprit du moment t voire la dernière

Chose que vous avez vue, pensée que vous avez eue !

Votre rêve n’étant pas tenu  par  le  moindre  interdit,

Vous pouvez vivre des choses qui ne vous sont pas permis :

Permis de voler, dans tous les sens du terme, permis de tuer,

Y compris sans immunité, sans  impunité, d’aimer ou détester

Ou de vous venger de qui bon vous semble, sans justice ni morale

Car sans responsabilité ni culpabilité. Un autre monde, parallèle,

Parfois conflictuel, parfois sensuel et même parfois cruel :

Tous les scénarios se suivent et sans se ressembler

En apparence tout en racontant toujours

Un peu les mêmes histoires, celles

De nos frustrations non soldées.

.

Qu’est-ce qu’un rêve fou, ne le sont-ils pas tous,

Lors l’irrationnel serait  le lot de son inconscient.

Les barrières tombent et la gravité, en fait autant,

Et la toute-puissance du «moi» se fait son cinéma,

Son corps et même son esprit ne saurait …  léviter,

Quel que soit  l’endroit où il se trouve mais délivré

Du poids des conventions sociales voire morales.

.

Ce n’est pas qu’on soit fou dans ses rêves

Il s’agit d’une autre logique, inconscience

Qui ne nous décodera point sa cohérence,

Et pourtant, disent les psys,  elle en aura !

.

Le rêve est une porte dont on n’a pas la clé,

Elle s’ouvre sur des couloirs autres réalités,

Nous fascinant ou nous effrayant à souhait,

Je suis un moi multiple qui parfois me plait

.

Des rêves fournissent matières à l’imaginaire,

Concevant possibles… introduisant probables,

Il n’est plus qu’à les mettre en récits crédibles :

On aura au moins vécu en rêve, faute de réalité.

.

.

Épilogue

.

Rêves, parlons-en de leurs interprétations

Chacun y va de son couplet, non de refrain !

***

Je rêve d’avoir rêvé : je ne m’en souviens plus,

Au réveil, s’en vont au plafond si je ne note pas.

***

Quant à savoir ce qu’ils veulent  vraiment me dire :

Personne n’est là pour m’aider, pour me contredire.

***

Il m’arrive,  aussi,  de rêver, en plein jour, bien éveillé,

Ce sont des rêveries construites et voire … récurrentes.

***

Rêves de voyages, actions, personnages, par procuration,

Où les rencontres sont parfois surprenantes, engageantes.

***

Du rêve à la réalité, il n’y aura qu’un pas, dit-on, si on veut,

Mais dans la grande majorité des cas, demeurent vœu pieu.

***

Certains vous diront qu’ils ne rêvent pas, ni le jour, ni la nuit,

La vie est trop triste tant leurs dernières illusions sont parties.

***

Selon moi, rêves les plus fous, demeurent aussi les plus beaux

Ils nous affranchissent de toutes les barrières et des interdits.

***

Ce n’est pas tant que je rêve d’être quelqu’un d’autre, ailleurs,

Que de profiter d’une liberté qui me donne accès au bonheur.

***

À vrai dire je ne sais pas si c’est j’ai rêvé d’être ce que je suis

Ou ce que je deviens qui est devenu ou deviendra mon rêve.

***

À chacun de savoir s’il a réalisé un, plusieurs de ses rêves,

S’il a rêvé d’être quelqu’un d’autre, n’étant pas lui-même.

.

.

944 – Calligramme    

.

Je ne perds pas la tête

C’est  bien  elle  qui me  perds

Dans    ses   dédales   inextricables

Dont seule, elle en est capable,

Et ce jusqu’à en confondre

Le rêve et le délire,

Virtuel et réalité

.

Rêves simulent autre réalité………………………

Esprit a l’ascendant sur corps ………………..

Tout en lui procurant ce pouvoir…………

D’être très léger, en un sens exacerbé.

Thème est, souvent … le voyage…..

Avec  péripéties   improbables …

Avec  une   recherche  d’altérité,

Apte, pour  un   vœu,  à combler.

.

Mon imagination étant au pouvoir

Pas de limites, pour, entendre, voir,

Ni pour se déplacer en lumière, noir

Car seule chose à éviter, cauchemar !

.

En mes rêves,  les plus fous,  j’imagine,

Que mon esprit voyage sans mon corps,

Au-delà de l’horizon, et, plus loin encore,

Jusqu’à atteindre le  E fond  P de mes origines

      N       L

Je vais par les monts   *         U     et par les vallons,

Du bas vers le haut   M            S    et de large en long,..

Les yeux  au  taquet   E             *    oreilles aux aguets…….

Pour rechercher une    S               F   âme qui m’aimerait…….

*                O    *

Je tombe  dans  le vide    R               U    et je monte  au  ciel………..

Lors la Terre me parait    Ê               S   gouffre plein de  fiel…………

Plein d’êtres se battant     V             *    et, pour  de  l’argent……….

Mon rêve n’est pas d’or   E             I    mais de firmament………

S           M

J’imagine  lors que tous   *           A    entendent, partagent…

Même air, atmosphère,  L         G     eaux, dans nuages….

Que les riches, pauvres  E        I      deviennent sages….

Pour que vie soit rêve    S      N     bonheur sans âge.

            

                              …………… À chaque fois, je ré-

                                   …….. Intègre prudemment

                                    …… Mon  corps de  chair

                                    ….. Voire mon cher corps

                                  …….. Mais, en  ses  illusions,

                                ……. Je joue de ses dix cors

                                 ……. Et je suis fatigué d’être

                                     ….. Mortel, en me réveillant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

944 4

.

Un acrobate sur une jambe,

Un Pierrot, ou un fou,

Un clown, acteur

Qui est-ce ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

la forme s’approche du fond)

.

Un personnage qui gesticule beaucoup

comme déséquilibré, danse comme fou

mais qui nous parait bien sympathique

Pierrot approcherait la forme du fond.

.

Le personnage de Pierrot le sage, plutôt ici,

De Pierrot le fou :

À même d’imaginer, d’interpréter, des scènes

Des plus décalées.

.

Symbolique 

.

Le symbolisme est une partie

Essentielle d’un récit pour déployer

Une myriade d’émotions chez le lecteur,

Moyen de réveiller nombre d’intuitions ou

De représentations choisies et voire  étudiées.

.

Et si moi je trouve le symbolisme fascinant,

C’est parce que  cela  me permet  de lier

Des scènes entre elles, d’approfondir

Les relations entre personnages

Sans les décrire explicitement,

Mais simplement avec un

Grand jeu de symboles.

leahendersen-auteur.fr/

les-symboles-dans-la-fiction

.

.

Fond

.

Évocation 

.

944 6

.

Le personnage de Pierrot le sage, plutôt ici,

De Pierrot le fou :

À même d’imaginer, d’interpréter, des scènes

Des plus décalées.

.

Symbolique

.

Pierrot, ou Pedrolino,

Serait un personnage de

L’ancienne comédie italienne,

Pierrot est candide, il est badin

Et a une certaine dose de bon sens.

.

Son vêtement est blanc.

Il ne porte pas de masque

Et a le visage enfariné.

En Commedia dell’arte,

Il est  le rival  d’Arlequin

Et il deviendra  amoureux

De Colombine la blanchisseuse

Dans certaines représentations.

Modifié, source : Wikipédia

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Des personnages un peu déjantés

Quoique volontairement, il y en a

Un certain nombre, théâtre, cour

On pense bien sûr au Fou du roi,

Seul à pouvoir se moquer de lui

Dans mes rêves, ce rôle me sied

Je dois dire, je prends mon pied,

Dans la réalité jamais je n’oserai.

.

.

Fou quand même

.

Scénario 

.

J’imagine mon corps qui lévite juste au-dessus de moi.

J’imagine que je suis en forêt, en cet état d’apesanteur.

J’imagine que je me suis  téléportée jusqu’en Australie.

.

Visuels et textuels  >>

566 – Je viens frapper à la porte de ton imaginaire

Visuels et textuels   >>

.

La porte

Est ouverture,

Porte est fermeture

L’imaginaire la laisse,

Grande ouverte et à tout :

Même aux histoires de fou,

Lors sans abus, de faiblesses.

.

Car, si, les imaginaires, des uns,

Des autres ne sont pas identiques,

C’est souvent pour que leurs unions

Aient des airs un peu plus magiques,

Pour susciter  bon nombre  d’actions

Communes mais reflétant l’humain.

.

Or nos imaginaires   sont les  yeux

De nos âmes, pour  merveilleux

Monde auquel nous aspirons

Lors le réel tourne en rond

Sans espoir d’évolution

Ni de compensation.

 .

Je viens frapper à la porte

De ton imaginaire,

Voir s’il est voisin du mien,

Cousin ou frère

Ou demeure étranger, fermé

À mes lumières.

 .

Je viens frapper à la porte

De ton imaginaire,

Voir si nos mots échangés

Sont comme pierres,

Pour construire ensemble

Un bout d’univers.

 .

Je viens frapper à la porte

De ton imaginaire,

Voir si nos âmes sont nées,

En un ciel lunaire,

Reflète la vie d’aujourd’hui

Dans celle d’hier.

 .

Je viens frapper à la porte

De ton imaginaire,

Voir si sensations, émotions

Seront similaires,

Dès que passion nous éprend,

Comme nucléaire.

 .

Je reviens frapper à la porte

De ton imaginaire,

Voir ils suffisent à lumières,

En diffractant nos airs

Pour réaliser arc-en-ciel

De nos mystères.

.

.

Extension

.

L’imaginaire se situe en nous,

Quelque part entre réel et mystère :

C’est le lieu, c’est le lien, c’est le nœud,

C’est le rien, la curiosité qui change tout.

Ce n’est pas anodin que nous en ayons un

Et que, les animaux, sauf rêves pratiques,

N’en ont guère, réflexes très conditionnés.

Des humains en ont trop, à ce qu’il parait,

Trop souvent dans leur bulle voire ailleurs,

Peu intéressés  par   les choses  matérielles

Quand d’autres en manquent cruellement,

Au point qu’ils ne peuvent pas se projeter.

L’imaginaire dans l’amour sera une vertu

Primordiale suscitant, excitant émotions

Tandis que la raison  tempère ou régule.

Lors partager deux imaginaires est plus

Que partager  un  territoire, minimum,

C’est explorer un univers des possibles,

Et s’y aventurer à deux plutôt que seul.

Ce qui était hier du domaine du projet,

Si ce n’est du rêve, peut devenir réalité.

.

Notre imaginaire est loin d’être un monde, parallèle, en l’air :

Il est bien en nous et nous distingue de tout autre mammifère !

Chacun a le sien, le développe et le partage, sur traits communs.

Il arrive que certains le renient, ou  que certains n’en  font rien !

Le mien reste à la disposition de tout lecteur et de toute lectrice

Par ces écrits comme une porte pour y demeurer, sans sacrifice

Il y a des imaginaires qui s’attirent, il y en a qui me vont bien

Parfois je crains que le mien, aucune personne ne convient.

.

L’imaginaire fonctionnera bien plus

Du côté de son esprit, voire son âme,

Que du côté de son corps, de son sexe,

Encore que tout fantasme y contribue.

.

On ne saurait la confondre  avec réalité,

Sauf qu’en projetant  belle union stérile,

On se retrouve devant la femme enceinte,

Aucune fiction ne pourra nier telle réalité !

.

Mais il est un autre domaine ou l’imaginaire

Est roi : celui de l’art, de l’écriture, la  création

Qui se veut par nature unique, et voire originale,

Et se termine par une conception finale : mort-né.

.

Stérile, fertile, notre imaginaire nous conditionnerait

En l’utilisant  ou non, à exister autrement, pleinement,

Et la première des récompenses qu’on puisse en retirer

Est d’avoir été heureux  d’en user, et voire d’en abuser.

.

.

Épilogue

.

Un imaginaire est bien autre chose

Que des représentations du Monde,

Naviguant  entre externe et interne,

C’est une projection  sur un ailleurs,

***

Ailleurs qui nous départit des limites

Que nous imposent, physique, nature,

Sans parler  notre éducation … culture

Dont toutes nos projections profitent !

***

Profite de porte dérobée, d’originalité,

Pour voir la vie, sous autre angle, coté,

Comme associer la forme et le contenu

Ou les dissocier pour les réinterpréter.

***

Réinterpréter : plus fort qu’interpréter

C’est une autre lecture étant proposée,

Sachant que le réel n’est jamais épuisé

Qu’il nous cache autres sens  à révéler.

***

Révéler parties restées … dans l’ombre,

Fabriquer l’élément nouveau à décoder

C’est toute la force, génie, d’imaginaire

D’ouvrir la porte sur Monde  d’ailleurs.

.

.

566 – Calligramme 

 .

La     P  porte

Est ou   O  verture,

Porte est   R  fermeture

L’imaginaire   T    la laisse,

Grande ouverte   E  et à tout :

Même aux histoires    *    de fou,

Lors sans abus, de faib    T     lesses.

Car, si, les imaginaires,   O      des uns,

Des autres ne sont pas    N      identiques

C’est souvent pour que   *       leurs unions

Aient des airs, un peu   I     plus magiques,

Pour susciter  bon     M   nombre  d’actions

Communes, mais      A reflétant l’humain.

Or nos imaginaires     G      sont les  yeux

De nos âmes, pour      I     merveilleux

Monde auquel nous   N     aspirons

Lors le réel tourne   A    en rond

Sans espoir d’évo   I       lution

Ni de compen     R     sation.

E

F   R   A   P   P   A   N   T

 .

Je viens frapper à la porte

De ton imaginaire,

Voir s’il est voisin du mien,

Cousin ou frère

Ou demeure étranger, fermé

À mes lumières.

 .

Je viens frapper à la porte

De ton imaginaire,

Voir si nos mots échangés

Sont comme pierres,

Pour construire ensemble

Un bout d’univers.

 .

Je viens frapper à la porte

De ton imaginaire,

Voir si nos âmes sont nées,

En un ciel lunaire,

Reflète la vie d’aujourd’hui

Dans celle d’hier.

 .

Je viens frapper à la porte

De ton imaginaire,

Voir si sensations, émotions

Seront similaires,

Dès que passion nous éprend,

Comme nucléaire.

 .

Je reviens frapper à la porte …..

De ton imaginaire,…..

Voir ils suffisent à lumières,……….

En diffractant nos airs

Pour réaliser arc-en-ciel………………..

De nos mystères………….

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

566 4

.

Une pointe de lance

On spermatozoïde

Un embryon 

Ou fœtus ?

 .

Il faut bien déjà s’imaginer, qu’avant

D’être humain, l’on est passé

Par différents stades de l’évolution

Animale, embryon puis fœtus.

Symbolique 

 .

Le premier trimestre

S’étend  jusqu’à  la  14e

Semaine   de   grossesse.

Où  l’embryon  se  forme.

Premiers organes apparaissent.

Lors, à la fin du premier trimestre,

S’il ne mesure que 9 centimètres,

On distingue très bien sa tête,

Son tronc, bras et jambes.

.

Descriptif

 .

566 – Frappant à la porte de ton imaginaire 

 Alignement central / Titre serpente / Thème  rencontre

Forme ovale / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : embryon / Symbole de fond : fœtus

.

.

Fond

.

Évocation 

.

566 6

.

Il faut bien déjà s’imaginer, qu’avant

D’être humain, l’on est passé

Par différents stades de l’évolution

Animale, embryon puis fœtus.

 . 

Symbolique 

 .

Rêver de fœtus peut représenter

Une nouvelle relation ou un nouveau projet,

C’est un symbole de création,

Ce rêve est souvent déclenché par le fait que

Chose de nouveau votre vie.

Une autre définition pour le rêve de fœtus,

Comme le rêve de la grossesse,

Le rêve du fœtus pour les femmes essayant

D’avoir un bébé est un déni

D’un fort désir d’avoir réellement un enfant.

Le rêve de fausse couche

Et voir de voir le fœtus, annonce souvent

Une déception amoureuse.

interpretation-reve.fr/dictionnaire-reve-F/foetus

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Frapper à ta porte, oui mais laquelle

Et pourquoi faire pour assumer quoi,

Si ce n’est qui dans le cas « enceinte »

Quoiqu’il en fut,  ou quoiqu’il en soit,

Une fois ce genre de porte franchie

Pas de retour en arrière, possible,

Sans qu’il y ait des répercussions

Qui n’auront rien d’imaginaire.

 .

 .

Porte de  ton imaginaire !

.

Scénario

 .

Je viendrai frapper à ta porte  en forme d’ogive, bien fermée,

lors en m’ouvrant, je découvrirai lambeaux de ton imaginaire,

 que je recolle avec les miens pour en faire une œuvre commune.

 .

Visuels et textuels   >>

565 – Je ne te parlerai pas de moi, moi, haïssable

Visuels et textuels  >> 

.

Je ne te parlerai pas

De moi ni même de sexe

Ni même de  sentiment,

Ni d’invitation à boire,

Rendez-vous restaurant,

Pas même de nous revoir.

.

Mais, de quoi,  de quels mots !

De l’air du temps, celui de la météo,

Pas plus que du parfum que tu portes

Tant c’est ton visage, qui m’importe,

Ton aura, sublime qui m’emporte,

Malgré moi,  au seuil de porte.

.

Tant elle est belle, est jolie,

Elle ne sera pas pour toi,

Même pas pour cette fois

.

Je ne te parlerai pas de moi,

Mon moi m’est haïssable,

Je ne te parlerai… que de toi,

Tant tu m’es admirable.

.

Ne te proposerai pas de…sexe,

M’en sentirais coupable

Ne partagerai avec toi sentiment

Qui ne soit fusionnable.

 .

Ne t’inviterai pas… au restaurant,

Te rendant redevable,

N’abuserai pas, de ton temps libre,

Dont tu es comptable.

 .

Ne te proposerai pas de nous revoir :

Ce n’est pas raisonnable,

Je sens déjà que tu … m’abandonnes

À mon sort détestable.

.

Je n’avais pas pensé que… ton cœur,

Fort impressionnable,

Etait aussi sensible…aux apparences

Et aux impondérables.

 .

Tu m’as trouvé…comme bel amant,

Comme un bon diable,

Pas assez charmant… assez galant,

Et c’est irrémédiable.

 .

Et, si, nous revoyons un … jour,

Hasard en est capable,

Te trouverai-je, encore, le corps,

Tout aussi désirable.

 .

Rendez-vous pour nous deux,

Moments, adorables,

Pourquoi gâcher tels plaisirs

En les disant minables.

.

.

Extension

.

Parler à quelqu’un qu’on aime,

Sans parler de soi, prendre nouvelles,

Pour lui donner envie de vous revoir,

Sans en attendre d’autre chose,

Constituera une posture rare

Tant que pour le sentiment

Tout comme pour le temps,

L’argent : rien n’est gratuit

On se rapproche davantage

D’un  « donnant-donnant »

Que   du   « gratuitement » !

Peut-être, aussi,  n’a-t-on  pas

Grand-chose à donner en échange

Ou que l’on estime avoir déjà donné

N’atteindra pas la parité pour l’autre,

Simplement échanger, sur le moment,

Se rappeler les souvenirs, les rafraichir,

Et ne pas se sentir frustré d’aller plus loin,

Dans l’intimité est autre attitude à souligner.

Parler un peu de soi, c’est allumer une mèche ;

En parler de trop, c’est la transformer en pétard !

.

Je suis tout autant  haïssable  que je suis aimable,

En tous cas, mon moi, je le perçois …  détestable !

Je pourrais m’en sortir, avec mention honorable,

Si j’avais des enfants, que tous disent, adorables !

Bon, je ne vais non plus me considérer en minable,

Avec la femme que j’aime je pourrais être … affable,

Deux âmes s’aimant peuvent se montrer charitables.

.

La modestie serait, parait-il, une caractéristique

Des gens érudits.

.

L’arrogance serait, parait-il, une caractéristique

Des gens hardis.

.

Il sera très difficile de se faire une image de soi

Qui soit crédit.

.

Faut déjà, pour la construire, maintenir, de soi

En être l’ami.

.

Or, présentement, je me considère, moi-même,

Mon pire ennemi.

.

Arrive que quelqu’un se surestimant, rencontre

Qui se sous-estime,

.

Que, par la force, alchimie, attirance, contraire :

Équilibre optime.

.

.

565 – Calligramme

.

Je ne te parlerai pas

De moi ni même de sexe

Ni même         M       sentiment,

Ni d’invitation    O                  à boire,

De rendez-vous      I          au restaurant,

Et pas même             *          de nous revoir !

Mais, de quoi,           H           de quels mots !

De l’air du temps     A       celui de la météo,

Pas plus que par     Ï     fum que tu portes

C’est ton visage,   S       qui m’importe,

L’aura, sublime S   qui m’emporte,

Malgré moi,    A   seuil de porte.

Tant elle est   B    belle, et jolie

Elle ne sera   L  pas  pour toi,

Même pas     E pour cette fois

.

Je ne te parlerai pas de moi,

Mon moi m’est haïssable,

Je ne te parlerai… que de toi,

Tant tu m’es admirable.

JE NE T’EN

Ne te proposerai pas de…sexe,

M’en sentirais coupable

Ne partagerai avec toi sentiment

Qui ne soit fusionnable.

 

Ne t’inviterai pas… au restaurant,

Te rendant redevable,

N’abuserai pas, de ton temps libre,

Dont tu es comptable.

Ne te proposerai pas de nous revoir :

Ce n’est pas raisonnable,

Je sens déjà que tu … m’abandonnes

À mon sort détestable.

PARLERAI PAS

Je n’avais pas pensé que… ton cœur,

Fort impressionnable,

Était aussi sensible…aux apparences

Et aux impondérables.

Tu m’as trouvé…comme bel amant,

Comme un bon diable,

Pas assez charmant… assez galant,

Et c’est irrémédiable.

 

Et, si, nous revoyons un … jour,

Hasard en est capable,

Te trouverai-je, encore, le corps,

Tout aussi désirable.

Rendez-vous pour nous deux,

Moments, adorables,

Pourquoi gâcher tels plaisirs

En les disant minables.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

565 4

.

Une tête et un corps,

Silhouette d’un homme

Ou d’un  spermatozoïde 

Sans doute : gène d’humain.

Quel rapport avec la haine et n’importe

Quel spermatozoïde ?

Aucun en apparence sauf si l’humain

 N’est pas inscrit en gènes !

 .

 Symbolique 

 .

Un spermatozoïde

Est plus grand que le mâle

Qui le produit. Le spermatozoïde …

Symbole de sexualité, frappé de tabous,

Est longtemps resté en ombre du microscope.

La seule évocation du mot suggère des cellules

Microscopiques, en quantité phénoménale.

Il n’y a pas un spermatozoïde universel

La nature a créé une myriade

De formes et de systèmes

De reproduction

Divers et variés,

En particulier

Chez les insectes.

insectes.org/opie/pdf/1649_

pagesdynadocs4c937254bc860.pdf

.

Descriptif

 .

565 – Ne te parlerai pas de moi : haïssable 

 Alignement central /    Titre droit  /    Thème  égo

Forme ronde / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : spermatozoïde / Symbole de fond

.

.

Fond

.

Évocation 

.

565 6

.

Quel rapport avec la haine et n’importe

Quel spermatozoïde ?

Aucun en apparence sauf si l’humain

 N’est pas inscrit en gènes !

 .

Symbolique

 .

Chez l’être humain, on estimerait  que

Le nombre de gènes entre 25 000 et 30 000.

S’il existe trois génotypes différents possibles

Pour gène existant sous deux formes alléliques,

Il est facile d’imaginer le nombre faramineux

De génotypes possibles pour un individu.

C’est pour cela  que l’on  dit  que nous

Sommes tous différents, probabilité

Deux individus aient, au hasard,

Hérité mêmes allèles pour tous

Leurs gènes est extrêmement faible.

Seuls les vrais jumeaux font exception

À cette règle : étant  issus de la même

Cellule  œuf  (zygote),  ils  sont  donc

Exactement de même composition.

fr.wikipedia.org/wiki/Génotype

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Tout n’est pas inscrit dans mes gènes,

Loin s’en faut,  tant  ma personnalité

Dépend de mon histoire, mon milieu,

L’image que je croirai  avoir de moi,

L’image que d’autres  me renvoient ;

Je  peux  me sous-  ou  me surestimer,

Selon que j’ai confiance ou non en moi

Me trouver plat, creux … inintéressant,

Alors que c’est le contraire et trop timide.

 .

 

 .

Confiance < > haine de soi

.

Scénario

 .

Je suis ce qu’il y a de plus commun, d’impersonnel, fantomatique,

j’essaie  de prendre les devants, de me distinguer, je reste d’ombre,

et pourtant, moi  vous, ensemble, l’avenir nous appartient ou pas !

 .

Visuels et textuels  >> 

564 – Suppose qu’un jour, je rencontre quelqu’un

Visuels et textuels  >>  

.

La rencontre peut être

Anonyme et gratuite,

Pourtant bien réelle,

Voire passionnante,

En cette vie cruelle

Ou peu gratifiante

Pour  deux   êtres,

Êtres côte à côte,

Voire face à face,

Bus, train, avion,

En con-ver-sation

Qui se    développe

Voire ….. s’éternise

Ou bien  se privatise

Ou à la fin, savez tout

De lui,  ou  voire d’elle

Si mis à part, l’essentiel.

.

Lors, suppose qu’un  jour

Je rencontre …  quel qu’un

Ou quelqu’une, que j’échange

Des propos avec lui ou avec elle,

Que cela dure des heures sans fin,

Sans  que  je ne connaisse, son nom

Ni son prénom, résidence, profession

Aucun des éléments de  son  état   civil,

Qui permettent de savoir s’il est bien, vil.

Suis-je sûr que je garderai d’elle ou de lui,

Autre chose  que  de vagues    impressions

.

Qu’il, elle, me ressemble, d’une façon

Que j’aurais pu  me faire un bel ami.

Nous avons besoin  d’informations

Et qui n’aura connu cette situation,

Train,  gare  ou aéroport, autre part,

D’une autre conversation prolongée,

Sans  rien  connaitre  de son identité

Civile,  professionnelle ou  familiale,

De l’interlocuteur  et  sa réciprocité,

Comme si, de se confier à étranger,

N’avait pas d’impact sur l’histoire

Ou ce n’est parenthèse ouverte,

.

Que l’on s’est vite empressé de refermer,

Tandis que nos échanges avec nos amis,

Ressemblent aux traits entre pointillés

Avec ses collègues,  entre guillemets

Avec ses voisins,  entre crochets.

Toute  rencontre, sans  suite,

Est utile à quelque chose,

Si la vie n’est pas rose

Elle empêche fuite

Mortel émoi,

En noir.

.

.

Extensions

.

Suppose qu’un jour,

Je rencontre …  quelqu’un,

Que cette personne, malgré elle,

Me remette en selle pour rebondir

Vers une nouvelle page de ma vie

Qu’elle  vient  d’introduire  par

Son écoute et son témoignage,

Sa compassion  et son attention.

.

On ne sait jamais, lors on entame

Une conversation, qu’on a du temps

Devant soi, à quoi s’attendre, jusqu’où

Elle vous mène, vous mènera, même si,

À la sortie du train, du café, autre, elle se

Terminera par un au-revoir très provisoire,

Un adieu définitif, devenu fragile, indélébile.

.

Rien d’apparemment romantique dans des rencontres sur Internet,

Les sites proposent pour vous, des profils, comme en… supermarché.

Il y a quelque chose de très particulier, de pas naturel, ou de pas net,

Alors qu’il suffit de sortir et de faire son choix de vive voix, en soirée.

Comment avez-vous rencontré votre conjoint : par hasard … destinée

Certains vous disent, au début on s’est détesté et puis tout a basculé !

Allez comprendre comment, pourquoi, statistiques, profils trompent.

 J’ai rencontré, quelqu’un, quelqu’une : quel aveu magique, s’il en est :

On a l’impression que la quête est finie que la vie prend tout son sens.

.

Il y a évidemment plusieurs sortes de rencontres :

Rencontres amoureuses, amicales, occasionnelles.

Dans un transport en commun, du troisième type

Ce qui n’empêche pas d’être d’une forte intensité.

.

Siècle précédent, nombre rencontres amoureuses

Se faisaient dans : les bars, fêtes, voire  dancings,

Aujourd’hui les lieux sont plus virtualisés dès lors

Que nombre se passent sur sites, réseau internet.

.

Le reste, au lycée, ou en entreprise, ou en voyage,

Hasard fait parfois bien les choses dans une rue.

.

.

564 – Calligramme

 .

La rencontre peut être

Anonyme et gratuite,

Pourtant bien réelle,

Voire passionnante,

En cette vie cruelle

Ou peu gratifiante

Pour  deux  êtres,

 Êtres, côte à côte,

Voire face à face,

Bus, train, avion,

En con-ver-sation

Qui se    développe

Voire …… s’éternise

Ou bien   se privatise

 Ou à la fin,    savez tout

De lui,  ou       voire d’elle

Si mis à part       l’essentiel !

.

****************************

****************************

.

Lors suppose         Q            qu’un  jour

Je rencontre          U            quel qu’un

Ou quelqu’une,     ‘     que j’échange

Des propos avec  U  lui ou avec elle,

Que cela dure des N   heures sans fin,

Sans que je ne con  *    naisse, son nom

Ni son prénom, rési  J      dence, profession

Aucun des éléments   O     de  son  état   civil,

Qui permettent de sa   U    voir s’il est bien, vil.

Suis-je sûr que je gar     R    derai d’elle ou de lui,

Autre chose    que de      *      vagues    impressions

.

Qu’il, elle,    J        me ressemble,             d’une façon

Que j’au      E       rais pu  me faire      Q       un bel ami.

Nous           *        avons besoin d’in      U         formation

Et qui         R      n’aura connu cette        E         situation,

Train,        E     gare   ou   aéroport           L      autre part,

D’une        N      autre  conversation         Q      prolongée,

Sans         C       rien  connaitre  de           U   son identité

Civile       O        ou professionnelle         ‘   ou familiale,

De l’in-    N         terlocuteur  et sa        U    réciprocité,

Comme   T        si, de  se  confier à     N         étranger

N’avait    R       pas d’impact sur l’    *          histoire

Ou ce      E      n’est parenthèse    (E)      ouverte,

.

Que l’on  s’est  vite  empressé   de   refermer,

Tandis que  nos échanges   avec nos amis,

Ressemblent aux traits entre pointillés

Avec ses collègues,  entre guillemets

Avec ses voisins,  entre crochets.

Toute  rencontre, sans  suite,

Est utile à quelque chose,

Si la vie n’est pas rose

Elle empêche fuite

Mortel émoi,

En noir.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

564 4

.

Peut-être  pointe de lance, flèche,

Ou un pendentif ou boucle d’oreille

Tout  aussi  bien  qu’une amphore 

Comment trouver ce qui convient !

.

Amphore et rencontre ne convergent point :

rencontrer objet n’est pas rencontrer quelqu’un

la forme serait totalement indépendante du fond.

.

Il existe différentes formes et tailles

D’amphores et de contenus :

Comment trouver la bonne taille,

Forme, et contenu, pour soi !

 .

 Symbolique 

 .

Toute  symbolique de l’amphore

Est connectée avec l’origine de la vie

Est indubitablement liée à la femme

Et  à sa qualité  génératrice  de vie.

La  métaphore  est  toujours  celle

De la  femme  comme  conteneur

Comme dispensatrice de la vie.

.

De même  que  Le graal  étant

Par lui-même, un conteneur,

Possède aussi cette image

Du vase comme symbole

De la création divine.

.

Descriptif

.

564 – Qu’un jour, je rencontre quelqu’un !

 Alignement central / Titre analogue / Thème  rencontre

Forme en ovale / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : amphore / Symbole de fond : âme-sœur

.

.

Fond

.

Évocation 

.

564 6

.

.

Il existe différentes formes et tailles

D’amphores et de contenus :

Comment trouver la bonne taille,

Forme, et contenu, pour soi !

 .

Symbolique 

 .

L’âme sœur est un concept

Qui évoque une compatibilité

Amoureuse qui serait parfaite

Entre deux individus.

.

L’expression, passée dans le langage courant,

A des définitions variables qui ramènent toutes

À l’idée selon laquelle ces individus ont pour destin

De constituer un couple.

.

Le terme, traditionnellement employé pour parler

D’une relation très complémentaire, est repris par

Divers courants New Age dans le sens d’âmes

Prédestinées à se rencontrer.

Wikipédia : âme sœur

.

.

Corrélations

Fond/forme   

 .

Ce n’est pas tant qu’on ne rencontre personne

Qu’à chaque fois ce ne serait jamais la bonne

Comme en vieillissant, rencontre se raréfie,

On pourra fort bien rester seul toute sa vie

Surtout si on ne cherche que la perle rare,

Qui se distingue de tous les autres, parmi.

Enfin, il ne faut pas se laisser désespérer,

Y a des sites de rencontres sur le marché

 .

 .

Deux âmes sœurs !

.

Scénario 

.

Rencontre par message sur internet ou par tout autre média ;

 ou une rencontre, inopinée, lors d’une entrevue impromptue ;

où une rencontre sur coup de foudre lors balade bucolique.

.

Visuels et textuels  >>