833 – Bonheur : être optimiste, non pessimiste

Visuels et textuels >>

.

Calligramme

.

Si

Pour bonheur :

 Suis optimiste  *  si je vote pour

Je suis pessimiste  B   si je vote contre.

Optimistes res     O   teront discrets

Pessimistes res    N     tent bruyants

Les optimistes  se   H     ront  confiants,

Les pessimistes se  E    ront   méfiants,

Mais dans toute    U   réalité les deux

Se croisent puis   R    se mélangent.

.

Ni dieu  ni di     Ê     able ni ange

Le bonheur est  T     dans milieu,

Dans  tous  dé   R    tachements,

Et sans aucun   E    repliement !

.

Chacun  aura  sa  vision  de  la  vie

Pour tous, chacun de sa propre vie,

Influencée par   * son *  tempérament,

Famille, métier, O  religion P      et société,

Renforcée par   P   le constat    E que ceux qui

Se ressemblent T    tendent   à  se    S   rassembler,

Et finissent    I      par penser choses      S  les mêmes.

Ceux qui     M    sont satisfaits font moins   I   de bruits

Que ceux     I       qui ne le sont pas  en règle    M  générale.

Exemple       S      dans  élection régionale   ou    I   nationale,

Il y aurait      T     ceux, phase avec politique    S      ac-tu-elle.

Gouvernement  E       qui se disent contre,      T  s’abstiennent !

Parfois ces derniers   *       dépassent la       E  moitié de votants

On se pose la question   N   de la repré    *  sentativité des élus,

Leur légitimité, s’ils sont   O   élus   *  avec seulement un tiers

Des voix des votants comme    N      en cas des triangulaires.

.

On  taxera  le  parti   des  abstentionnistes,   et  des  déçus,

De toutes les politiques, tant de la droite  que de gauche.

Lorsqu’ils ne veulent plus lutter,    tant cela les dépasse.

Ça ne changera rien, dès lors, ça ne les concerne plus.

Devenant, ou demeurant des pessimistes invétérés,

En croyant que le bien-être ne dépend que d’eux.

.

Et où trouverait-on les optimistes : parmi ceux

Qui sont satisfaits d’actions, mais, pas qu’eux

Y a ceux s’opposant, pouvoir, qui ont  encore

Quelque espoir de voir situation se modifier

Vers plus grande liberté, égalité, fraternité.

.

***************************************

***************************************

.

Sinon, pourquoi  iraient-ils  voter contre :

Dénonceraient-ils  tous  les abus d’autorité :

Proposeraient-ils quelques autres programmes,

Si ce n’est d’autres manières de gouverner ensemble. 

.

.

Textuel

.

Je suis optimiste, lors je vote pour ; je suis

pessimiste, lors je vote contre ! Optimistes

sont discrets, pessimistes seront bruyants.

Optimistes seront confiants, pessimistes sont

méfiants ! Dans toute réalité, les deux se

croisent, se mélangent : ni dieu ni diable ni

ange ; bonheur est en milieu, dans tout

détachement, sans aucun repliement !  Chacun

a une vision de la vie pour tous et de sa propre

vie. Elle est influencée par son tempérament,

sa famille, son métier, sa religion et la société,

renforcée par le fait que ceux qui se

ressemblent, finissent par se rassembler et

donc penser les mêmes choses. Ceux qui sont

satisfaits, font moins de bruit que ceux qui ne

le sont pas. Exemple : dans l’élection régionale

ou nationale, il y a ceux qui sont en phase avec

la politique actuelle du gouvernement, qui se

disent contre, qui s’abstiennent.  Quand le

nombre de ces derniers dépasse la moitié des

votants, on se pose la question de la

représentativité des élus, de leur légitimité

s’ils sont élus avec un peu plus du tiers des

voix des votants dans le cas de triangulaires.

À l’issue des élections, il y a toujours des

perdants et des gagnants, comme pour un

match de foot ou de rugby, et ce d’autant que

ces derniers s’approchent du grand chelem,

rafle la mise brisant l’équilibre démocratique

entre les pour et les contre. S’il n’en ressort

aucune modification du parti au pouvoir battu

aux élections, les luttes de protestations

reprennent, se poursuivent dans les rues et les

médias. On taxe le parti des abstentionnistes

de déçus de la politique, tant à droite qu’à

gauche. Ils ne veulent plus lutter : ça les

dépasse, ça ne changera rien, ça ne les

concerne plus. Ils sont devenus pessimistes

invétérés en croyant que leur bien-être ne

dépendra d’eux et de leur famille, de leur clan

solidaire, qu’il ne viendra de nulle part

ailleurs, pas d’un gouvernement qui les

défendra, prendra soin d’eux. La fin de « l’État

providence » signe le début de l’avènement de

« l’Individualisme forcené ». Où trouve-t-on les

optimistes ? Parmi ceux qui sont satisfaits des

actions entreprises par le gouvernement.

.

.

Poème

.

Si par suite de mon bonheur,

Je suis optimiste, je vote pour,

Suis pessimiste,  je vote contre.

Optimistes   resteront   discrets,

Pessimistes  resteront  bruyants,

Les optimistes  seront  confiants,

Les pessimistes seront  méfiants,

Mais dans toute réalité les deux

Se croisent puis se mélangent.

.

Ni dieu  ni diable ni ange

Le bonheur est dans milieu,

Dans   tous   détachements,

Et sans aucun repliement !

.

************************

.

Chacun aura  sa vision de la  vie,

Pour tous chacun de sa propre vie,

Influencée  par   son  tempérament,

Famille,  métier, religion  et   société,

Renforcée par le constat  que ceux qui

Se ressemblent tendent à se rassembler,

Ils finissent par penser les mêmes choses.

.

Ceux qui sont satisfaits font moins de bruits

Que ceux qui ne le sont pas  en règle générale :

Exemple dans  élection régionale  ou  nationale,

Il y aurait ceux en  phase avec politique  actuelle.

.

Gouvernement : qui se disent contre, s’abstiennent,

Parfois ces derniers  dépassent  la moitié de votants :

On se pose la question de la représentativité des élus,

Leur légitimité, s’ils sont élus avec seulement un tiers

Des voix des votants,  comme  en cas des triangulaires.

.

On  taxera le parti  des  abstentionnistes, et  des  déçus,

De toutes les politiques tant de la droite que de gauche,

Lorsqu’ils ne veulent plus lutter,  tant cela les dépasse.

Ça ne changera rien, dès lors, ça ne les concerne plus.

Devenant, ou demeurant des pessimistes invétérés,

En croyant que le bien-être ne dépend que d’eux.

.

Mais où trouverait-on les optimistes parmi ceux

Qui sont satisfaits d’actions, mais … pas qu’eux

Y a ceux s’opposant au pouvoir qui ont encore

Quelque espoir de voir situation se modifier

Vers plus grande liberté, égalité, fraternité.

.

Sinon, pourquoi  iraient-ils  voter contre :

Dénonceraient-ils  tous  les abus d’autorité :

Proposeraient-ils quelques autres programmes,

Si ce n’est d’autres manières de gouverner ensemble

.

.

Extension 

.

Ceux qui s’opposent au Pouvoir ont

Espoir de voir la situation se modifier

En allant vers une  plus grande  égalité,

Sinon, pourquoi  iraient-ils voter  contre,

Pourquoi dénonceraient-ils abus d’autorité,

Pourquoi proposeraient-ils autre programme,

Ou une autre manière de gouverner ensemble ?

L’optimisme se situe davantage dans la lutte

Et l’action correctrice que dans l’accord

Avec son propre enrichissement.

Ils ont quelque chose à gagner,

Les pessimistes ont tout à perdre.

Perdre, gagner, aurait quelque chose

À voir avec son  sentiment de bien-être !

.

Les optimistes votent en fonction de leur avenir,

Et les pessimistes votent en fonction de leur passé

Ceux, n’ayant confiance en personne, s’abstiennent,

Et puis ceux qui veulent le «statu quo» votent blanc.

Si certains disent qu’ils n’en ont que faire d’aller voter

Les mêmes le réclamerait comme droit sous dictature :

Vrai que le vote sert souvent à couper un pays, en deux !

 .

En environnement instable, fragile, complexe

L’optimisme n’a plus droit de cité : pessimisme

Or ce dernier est comme poison insoupçonnable,

Empêche de construire, d’aller de l’avant, sourire.

.

Cela dit, tant qu’on ne nous empêche  de travailler,

De consommer,  de voyager,   se distraire,  de créer,

On peut établir  conditions  de  son  propre bonheur

Qu’on estimera acceptable, responsable… agréable !

.

En réalité, chacun  se fait une idée  de son bonheur,

L’un le mettra, à tort ou à raison, accumuler argent

L’autre dans les enfants, la famille, la communauté

L’autre dans la réalisation de lui-même, et projets.

.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une poterie ou autre récipient,

Ou alors une lampe tempête 

Sinon un simple pion échiquier

.

833 4

.

Lampe tempête est une ressource rassurante

Qui peut donner meilleure humeur

À ceux étant perdus dans le noir en plein désarroi

Et se mettant à en broyer, pessimistes.

.

La même lampe, allumée ou éteinte correspond

À  deux  états  mentaux, de conscience, opposés,

Tant et si bien que forme correspondra au fond.

 .

Symbolique

 .

La lumière est le symbole

De la connaissance,

L’on apprend de jour en jour

À mieux se connaître,

Évolue grâce aux informations

Si la lampe est éteinte, tensions

Du moment  en  sa vie, familiale,

Professionnelle et vie de couple

Fatiguent psychologiquement

Font ressortir de la colère

Ou bien de la tristesse.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/lampe

 .

Descriptif

 .

833 – Bonheur d’être optimiste, non pessimiste  

Alignement central / Titre  Droit cercle / Thème  humeur

Forme courbe / Rimes libres / Fond accordé à forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : pion

.

.

.

Fond  

.

Évocation 

.

833 6

.

Optimiste, la lampe reste allumée ;

 Pessimiste, elle s’éteint :

Optimiste, elle reste toujours allumée

Y compris en pleine tempête.

.

Symbolique 

Dans son acceptation populaire,

Une personne optimiste est décrite

Comme quelqu’un qui a tendance à voir

De préférence …  «le bon côté des choses».

L’optimisme est le contraire du pessimisme.

L’optimisme est un sentiment positif

En tant que moteur de l’initiative.

.

.

Mais  suroptimisme, surconfiance,

Reste un biais cognitif et émotionnel,

Conduit à des prévisions hasardeuses,

Que ce soit par un excès de confiance

Ou des comportements dangereux.

Modifié, source : Wikipédia

.

Fond/forme 

 .

Par rapport à l’avenir, au bien-être, au pouvoir

Certains se deviennent ou demeurent optimistes,

Lors d’autres sont fondamentalement pessimistes.

.

L’égalité, la liberté restent idéaux inatteignables

Et de toute façon optimiste ou bien pessimiste

Ça ne changera rien à la réalité, seulement

Au bonheur ou au malheur… de vivre !

.

Optimiste et pessimiste est question d’intensité

Et pourquoi pas autant de lumières que… d’humeurs

En vers libres on peut varier pour être l’un ou l’autre

Tant et si bien optimiste, pessimiste sont deux visages

Se regardant l’un et l’autre comme deux  faux frères.

.

Un optimisme continu, et voire inébranlable, des uns

Peut devenir quelque peu objet, voire sujet, de drogue.

Le bonheur en pilule, artificiel, risque de se tourner vite

Pessimisme jusqu’à une forme dépressive mélancolique.

.

.

Visuel 

.

833 1

.

Oui, nous pouvons : impression

d’avoir déjà entendu cela

.

833 2

.

mais ce n’est pas lié au vote

 d’un nouveau président français,

.

833 3

.

car tant vrai que voter pour lui,

c’est lui faire prendre un risque.

.

.

Trois verres : plein, à moitié, et vide

chacun peut y projeter ce qu’il veut.

.

.

Épilogue 

 .

histoire à rédiger et à raconter

 

.

 Visuels et textuels >>

832 – Bonheur : accessible, repérable, palpable

Visuels et textuels >>

.

Calligramme

.

Bonheur, tout le mon         B         de le désire,

Tout le monde, après      O     lui, soupire.

Certains sont proches   N    des délires,

Autre consiste à évi    H   ter le pire.

 Réalité, subjective     E    s’il en est,

Au point que de le    U    qualifier

D’un dictionnaire    R   dit fiable

Ne s’aventure à le     *      borner.

Le mien, le tien, ou     le nôtre

Pour quel bonheur   C     collectif

Pourrait satisfaire    C      chacun,

En pain, en amour    E     en argent,

Si ce n’est que plai   S    sir, moment,

Qui ne dure qu’es    S   pace ou instant

Sans  assurances      I    renouvellements.

Par ailleurs et en        B    parlant de bonheur,

Il y en aurait  tant           L         et tant de différents,

Qu’il nous serait  im             E           possible  de le qualifier

Pour tout un chacun               *                tant chacun a le sien,

Qu’il définit lui-même               *                ultime état à atteindre

Et à bien conserver le              plus                   longtemps possible.

On en distingue                         des                  contraires : bonheur

 «Être allongé                            sur une                           plage au soleil

Avec une belle                        créature                        à mon côté »,

N’a rien de à                        voir, premier                     abord, avec

«Me sentir libéré                  du poids des                        contraintes

Du corps, dériver                 mon âme                  au grand jour».

Le bonheur extérieur              et le                 bonheur intérieur,

Est état de circonstance             *             ou état de conscience.

Philosophes, psychologues        *            romanciers et  poètes,

Ont chacun, dissertés sur         R        bonheur, son accession.

Aucun  économiste, socio        E      logue, politicien ne vous

Le promet car il est pour        P      eux hors de leur portée.

Tout juste s’ils avancent        É      un bien-être physique,

Confort matériel, cons         R       tituant  le fondement

De la normalité, en no        A       tre société  moderne

Les seuls points com             muns  et repérables,

Font que le bonheur         L     reste assez subjectif

Qu’il ne dure jamais       E           très longtemps.

Bonheur : sorte de        *        point d’équilibre

Qui nous convient        P          qui nous ravit,

Sans trop savoir         A             si c’est bien

De lui,  plaisir            L           qu’il s’agit :

Souvent, une            P          fois repéré,

Et c’est par             A            l’absence,

Le manque            B            ambiant,

Qu’il ne fera          L     chaque  jour

 Voire absent       E   en tous jours.

.

.

Textuel  

.

Le bonheur, tout le monde le désire, tout le

monde, après lui, soupire. Certains sont

proches du délire, d’autres consistent à éviter

le pire ! Réalité subjective, au point que de le

qualifier, aucun dictionnaire, fiable, ne

s’aventure à le borner. Le mien, le tien, le

nôtre : quel bonheur, collectif, peut satisfaire

chacun, en pain, amour, argent : ce n’est que

plaisir, moment, qui ne dure qu’espace

d’instant, sans assurance de renouvellement !

En parlant de bonheur, il y en a tant de

différents qu’il est impossible de le qualifier

pour tout un chacun, car chacun a le sien, qu’il

s’est défini lui-même ultime état à atteindre,

conserver le plus longtemps possible. On en

distingue deux contraires : le bonheur « être

allongé sur une plage au soleil avec une belle

créature à mon côté », n’a rien de commun

avec : « me sentir libéré du poids des

contraintes de mon corps et laisser dériver

mon âme au grand jour ». Bonheur extérieur

et bonheur intérieur sont état de circonstance

et état de conscience. Les philosophes,

psychologues, romanciers, poètes, ont chacun

disserté sur le bonheur et son accession.

Aucun économiste, sociologue, politicien ne

vous le promet car il est hors de leur portée.

Tout juste s’ils avancent un bien-être physique

dans un confort matériel constituant une sorte

de normalité dans un type de société moderne.

Points communs, repérables : tous admettent

que le bonheur est de nature subjective et ne

dure pas dans le temps. C’est une sorte de

point d’équilibre entre état intérieur et action

extérieure qui nous convient et nous ravit,

sans trop savoir si c’est bien de lui qu’il s’agit :

souvent, une fois repéré, c’est par son absence

et son manque ambiant qu’il se fait jour. En de

rares occasions, ce dernier se rend palpable en

provoquant une sorte de mélancolie de l’âme

amorçant sa venue, persistant sa retenue,

inquiétant sa mise à nu. On est sur un nuage,

comme si le bonheur était une élévation, une

contemplation d’ordre mystique.

.

.

Poème

.

Bonheur, tout le monde le désire,

Tout le monde, après  lui, soupire,

Certains sont proches  des délires,

Autres consistent à éviter le pire.

.

Réalité, subjective, s’il en est,

Au point que  de  le qualifier

D’un dictionnaire,  dit fiable,

Ne s’aventure pas à le borner.

.

Le mien, le tien, ou  le nôtre

Mais quel bonheur collectif,

Pourrait   satisfaire   chacun,

En pain, en amour, en argent,

Si ce n’est que, plaisir, moment,

Qui ne dure qu’espace ou instant,

Sans  assurance de renouvellement.

.

Par ailleurs et en parlant de bonheur,

Il y en aurait, tant  et tant de différents,

Qu’il nous est  impossible  de le qualifier,

Pour tout un chacun, tant chacun  a le sien,

Qu’il définit lui-même ultime état à atteindre

Et à bien conserver le plus longtemps possible.

.

*********************************

.

On distingue contraires : bonheur

«Être allongé sur une plage au soleil

Avec une belle créature,   à mes côtés »,

N’aura rien à  voir, premier abord, avec

«Me sentir libéré du poids  des contraintes

Du corps, dériver mon âme, au grand jour».

Le bonheur extérieur et le bonheur intérieur,

Est état de circonstance ou état de conscience.

.

Philosophes, psychologues romanciers et  poètes,

Ont chacun, dissertés sur bonheur, son accession.

Aucun  économiste, sociologue, politicien ne vous

Le promet car il est pour eux hors de leur portée.

.

Tout juste s’ils avancent un bien-être physique,

Confort matériel,  constituant   le  fondement

De la normalité, en  notre société  moderne

Les seuls points  communs  et  repérables,

Font que le bonheur est plutôt subjectif

Qu’il ne dure, jamais, très longtemps.

.

Bonheur, sorte de point d’équilibre

Qui nous convient qui nous ravit,

Sans trop savoir si : c’est bien

De lui ou plaisir qu’il s’agit,

Souvent, une fois repéré,

Tant c’est par l’absence,

Ou le manque ambiant,

Qu’il ne sera chaque jour

Voire absent, en tous jours.

.

.

Extension

.

Qui peut prétendre que l’homme

Connait des instants de bonheur.

Les animaux  n’y ont-ils pas droit,

Parce qu’ils n’en ont pas conscience

Le bonheur serait  quand l’on accepte

Ce que l’on est pour soi, qu’on fait taire

Les désirs parasites qui nous encombrent,

Pour se focaliser sur ce qui compte pour nous.

Pour certaines sociétés, le bonheur  est  déviation

D’esprit privilégiant l’ego aux dépens  communauté.

Il est banni, on ne peut que l’acquérir seul et le cacher.

A bien observer, le bonheur se lit sur le visage des gens.

Il sera plus difficile de le masquer chez les occidentaux,

Qui viennent afficher bien davantage que les asiatiques

La profondeur et la qualité  de leurs états émotionnels.

En tous cas, le regard, le sourire et la posture du corps

Constituent des signes simples et rapides, à décoder !

.

Le bonheur, on le sait quand il est parti

Et cela beaucoup plus que quand il arrive.

Il survient, discret, avec supplément d’âme :

Lors soudain, il n’est plus là, il crée un manque

On cherche en vain à le reproduire, faire revenir !

Mais comme on ne sait exactement de quoi il est fait,

On a beau se mettre en le même état, c’est peine perdue.

.

Si le bonheur se crée par auto stimulation,

Voire par auto suggestion : cela se saurait

Et tout le monde, toujours, le pratiquerait.

Ça ne marche ainsi, faut se faire à la raison

.

La raison serait qu’on ne pourra le maitriser,

Comme la météo en dépit de toutes prévisions,

Il s’en va et il s’en vient, personne ne le retient :

On le cherche sans trouver, trouve sans chercher !

.

Parait que certains seront jugés inaptes au bonheur

On a beau les combler de tout, par tous : rien n’y fait

Le malheur est chevillé au corps comme double peau

À peine sentent-ils le parfum du bonheur : évanoui !

.

Pourtant les enfants ont leur lot de petits bonheurs

Accessibles, repérables, palpables, en sus adorables,

Certains disent qu’enfance  devrait durer vie entière,

N’est pas Peter Pan qui veut et la  société y veillerait.

.

.

Forme

.

.

.

Évocation

.

La forme d’un grand vase à fleurs

Avec une grande réserve et ouverture

Comme un bonheur du jour… amour,

 .

832 4

.

Vase avec des fleurs évoque assez bien le bonheur

Tout au moins, bonheur de l’admirer

Surtout quand on dessine, imprime un cœur sur lui

Comme pour l’appeler de ses vœux !

.

Que le bonheur puisse prendre la forme …  d’un vase :

Il est à même de toutes les formes qu’il veut, qu’on veut

Dès lors la forme rejoint, ici, et parmi d’autres, le fond.

 .

Symbolique  

 .

Dans la littérature médiévale,

Le vase possède le sens de trésor.

.

S’emparer  d’un vase, c’est conquérir

Un trésor, briser un vase, c’est anéantir

Par le mépris, le trésor qu’il représente.

.

Le vase alchimique, vase hermétique

Signifient toujours lieu en lequel

Les merveilles s’opèrent ;

C’est le sein maternel,

L’utérus dans lequel

Nouvelle vie se forme.

.

D’où cette croyance que le vase

Contient le secret des métamorphoses

.

Descriptif

 .

832 – Bonheur accessible, repérable, palpable 

Alignement central / Titre  droit / Thème   bonheur

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : bonheur

.

.

Fond  

.

Évocation 

.

832 6

.

Bonheur n’est ni un contenant ni contenu,

Fer à cheval de chance

C’est la raison pour laquelle il ne se mesure,

Il ne se manipule pas.

.

Symbolique 

 .

Le fer  à cheval  est                   considéré    comme

Un objet ayant vertu                  de   porte-bonheur.

Cette vertu légendaire            vient sans doute du fait

Qu’un fer à cheval égaré  était revendu au  forgeron

Et permettait ainsi d’en récolter quelques espèces

Sonnantes et trébuchantes.

Modifié,  source : Wikipédia

 .

Fond/forme 

 .

Le fer à cheval est un objet et symbole porte-bonheur

Il y en a d’autres avec tous les bijoux, colliers, talismans

Mais notre bonheur nous vient plus souvent de l’intérieur

Et il ne dure que quelques instants, se diluera dans le temps.

.

Quant à savoir qui est heureux et qui ne l’est pas, au visage

Des fois, celui qui est heureux ne le sachant même pas

Que ferait-il pour l’exprimer au monde à son insu !

Le bonheur, on aimerait bien l’enfermer dans un vase

Histoire  qu’il dure  un peu, de le garder  auprès de soi,

.

Mais comme il ne peut se rimer de manière contrainte.

Le fait qu’il demeure libre nous empêcherait de le fixer.

Le bonheur est alors le fond qui échappe à toute forme

Qu’on pourrait définir et tenir personnel ou universel..

.

Il y a au moins dix, voire plus, définitions du bonheur

Plutôt que de chercher à le traquer et voire l’enfermer,

Il suffira de le vivre, quand il est là, tout simplement !

.

.

Visuel 

.

832 1

.

Un bonheur, tout simple,

se lit sur la figure de tout enfant,

.

832 2

.

qu’il rapporte et ou qu’il pointe,

le plus souvent, par un smiley,

.

832 3

.

à croire il suffit de le dire, l’écrire,

montrer, pour le croire arrivé !

.

.

Soyons heureux en attendant Goddot

ou du moins un moment de bonheur.

.

.

Épilogue

.

Disserter sur le bonheur

Disserter sur son accessibilité

Disserter sur son observation externe,

Ne sont rien autre pour certains : temps perdu

.

Le bonheur, tout comme l’amour, comme la liberté,

N’appartient à personne et en même temps à chacun

Le bonheur parce que je le vaux bien reste à acquérir

Le bonheur parce que je le mérite bien reste à chérir.

.

Bien des gens confondent souvent bonheur et chance

Gagner au Loto leur procurerait le bonheur suprême,

Lors on s’aperçoit qu’il ne durera pas très longtemps,

L’argent ne fait pas le bonheur, il y contribue un peu.

.

Vous pouvez emporter avec vous l’argent sur une ile,

Si elle est déserte et non reliée, ne vous servira à rien

Et, pas davantage, emporter un gramme de bonheur,

Il faudra en  construire un autre sur place, différent,

C’est ce que dit l’ermite ou l’explorateur impénitent.

.

Quoiqu’il en soit, il ne se vit  qu’au moment présent,

Tant il est susceptible de disparaitre à tout instant :

Quand il survient profitez-en comme le beau temps.

Certains affirment qu’on n’en prendrait conscience

Que par le bruit qu’il produit en fermant sa porte.

.

Disserter sur le bonheur, c’est ce que je fais,

Cela ne l’attire ni ne l’empêche nullement,

Je me prépare à l’accueillir pleinement :

Suivez ou pas conseil, je ne fais exprès. 

.

Visuels et textuels >>

 

831 – Monde : merveilleux, logique, absurde (II)

Visuels et textuels >> 

.

Calligramme

.

MONDE

 .

Privilégiant logique

Homme se rassure,

Mais il se fourvoie,

Car tant l’absurde,

Que le merveilleux,

Font bien partie de

L’existence, réalité.

Inconscient non-dit

 Esprit, sont données,

Fonction du cerveau,

Qu’on ne peut ignorer

Ni  jeter à   la poubelle

Pour croire   que  la vie

Est  plus ou moins belle,

Selon que  l’on  privilégie

Belles  valeurs   humaines,

Ou apparences mondaines.

.

   MERVEILLEUX, LOGIQUE, ABSURDE

 .

Cela parait tout à fait normal lors l’homme dispose

D’un cerveau gauche, pour la commande  physique,

Et d’un cerveau droit pour la pensée métaphysique.

Mais ce n’est, d’ailleurs, qu’en combinant  les deux

Qu’il parviendra à progresser bien au-delà  d’eux.

De ce fait, de voir au-delà, et à l’intérieur de soi

Devient tout aussi important que voir devant

Par la dénomination, la représentation,

Conceptualisation de toutes choses.

L’homme est  l’être, à la fois,

Merveilleux et absurde

Alors il serait

Dommage

 De lui faire

Perdre  son

Bel imaginaire,

Son libre arbitre, arbitraire

Pour le soustraire la folie qui le nourrit.

Savoir qu’on existe : privilège accordé à l’homme !

Par qui : par un Dieu, par la Nature ou par Lui-même !

Notre conscience n’aide pas à nous définir notre finalité !

Dès lors, il est logique qu’on pense  qu’elle vient d’ailleurs,

Naissance d’Univers, à l’origine : merveilleux  et absurde !

Le Merveilleux, avec logique, même l’absurde, se côtoient,

Tantôt s’opposent, se complètent, par leur vue synthétique

De ce qui constitue la vie, lors  c’est une vraie dialectique :

Et elle  vaut bien d’autres synthèses, antithèses, synthèses.

.

.

Textuel  

En privilégiant uniquement la logique,

l’homme se rassure et se fourvoie, lors

l’absurde et le merveilleux font partie de

l’existence de la réalité, comme inconscient,

non-dit, en esprit, sont données en

fonctionnement du cerveau et que l’on ne peut

ignorer, jeter à poubelle,  pour croire que la vie

sera plus ou moins belle selon que l’on

privilégie les valeurs humaines ou d’apparence

mondaine. Fortune de milliardaire parait

merveilleuse, mais en réalité, elle est

humainement absurde : à trop vouloir l’un,

l’on finit dans l’autre ! C’est normal chez

l’homme à partir du moment où il dispose,

non pas d’un cerveau mais de deux : un

cerveau gauche pour la physique, un cerveau

droit pour la métaphysique. Ce n’est d’ailleurs

qu’en combinant les deux qu’il parvient à

progresser. Voir au-delà, et à l’intérieur de soi,

est aussi important que de voir devant et à

l’extérieur du monde qui nous entoure, par la

dénomination, la représentation, la

conceptualisation des choses. Les lois

psychiques obéissent-elles aux lois physiques :

j’en doute et c’est ce doute qui me fait dire si

j’existe vraiment comme autre chose qu’une

chose qui ne sait pas qu’elle existe. Savoir

qu’on existe est le seul privilège accordé à

l’homme mais par qui : par un Dieu, par la

Nature ou par Lui-même, allez savoir ! Notre

conscience n’aide pas à nous définir une

finalité. Logique qu’on pense qu’elle vient

d’ailleurs : du merveilleux, de l’absurde.

Le merveilleux, la logique et l’absurde se

côtoient, s’opposent, se complètent pour avoir

une vue synthétique de ce qui constitue la vie.

Dialectique qui vaut bien l’autre : thèse,

antithèse et synthèse qui veut ramener

merveilleux et absurde vers  logique mais qui

ne le peut parce qu’il lui échappe par bien des

côtés.

.

.

Poème

.

Privilégiant logique

Homme se rassure,

Mais il se fourvoie,

Car tant l’absurde,

Que le merveilleux,

Font bien partie de

L’existence, réalité.

.

Inconscient, non-dit

Esprit, sont données,

Fonction  du cerveau,

Qu’on ne peut ignorer

Ni  jeter à   la poubelle

Pour croire   que  la vie

Est  plus ou moins belle,

Selon que  l’on  privilégie

Belles  valeurs   humaines,

Ou apparences mondaines.

.

****************************

.

Cela parait tout à fait normal lors l’homme dispose

D’un cerveau gauche, pour la commande  physique,

Et d’un cerveau droit pour la pensée métaphysique.

Mais ce n’est d’ailleurs, qu’en combinant  les deux

Qu’il parviendra à progresser, bien au-delà d’eux.

.

De ce fait, de voir au-delà, et à l’intérieur de soi,

Devient tout aussi important que voir devant,

Par la dénomination, la représentation,

Conceptualisation de toutes choses.

.

*************************

.

L’homme est à la fois,

Merveilleux  et  absurde

Alors il serait bien dommage

Lui faire perdre son imaginaire,

Son libre arbitre, même  arbitraire

Pour le soustraire à folie qui le nourrit.

.

Savoir qu’on existe : un privilège accordé à l’homme !

Par qui : par un Dieu, par la Nature voire par Lui-même !

Notre conscience ne nous aide pas à définir notre finalité !

Dès lors, il est logique qu’on pense qu’elle vient d’ailleurs !

Naissance d’Univers, à l’origine : merveilleux  et absurde !

.

Le Merveilleux, avec logique, même l’absurde, se côtoient,

Tantôt s’opposent, se complètent par leur vue synthétique

De ce qui constitue la vie : lors  c’est une vraie dialectique

Et elle  vaut bien d’autres synthèses, antithèses, synthèses.

.

.

Extension

.

Pour sûr : de n’être à vivre que dans le merveilleux

Ou, dans l’absurde, peut vous créer…des difficultés

Lors vous êtes en relation avec d’autres personnes

Qui se prétendent des plus entièrement logiques.

Regardant de près leur vie de tous les jours,

Ils ne le sont pas, et ils ne le peuvent :

Sentiment,  émotion, sensation

Échappent à la logique pure

D’une machine … sans âme.

L’homme est un être, à la fois

Merveilleux et absurde et il serait

Dommage de perdre son imaginaire,

Son libre arbitre et voire son arbitraire,

Pour le soustraire à sa folie qui le nourrit !

.

Ah, la poésie, on l’ignore, on la snobe, mais on y revient, toujours :

Pas seulement celle des mots, des créateurs, celle de chacun de nous

Difficile de la trouver en la : mécanique, informatique, mathématique,

Même s’il y en a davantage dans les magasins d’habillements, beauté :

Rien ne vaudra d’être assis pied d’un arbre pour la lire, pour la créer.

.

Qu’il soit merveilleux, logique ou absurde :

L’essentiel pour système est de consommer

Peu importe  quoi, comment, et  pourquoi,

Y compris même de manière inconsciente.

.

En jonglant entre salaires, entrées, crédits

Impôts, contributions, primes, et cadeaux

Absurde de vivre au-dessus de ses moyens

Mais la logique du système : merveilleux !

.

Temps passe ainsi sans qu’on ait le temps

De faire, de vivre, de penser à autre chose

Comme écrire ou lire un poème  d’amour,

Qui fait du bien à l’âme et autant autour.

.

De la mesure avant toute chose : pour ça

La logique est un point central de repère

Incursion en merveilleux  et  en absurde

Nous distrait de la condition de mortel !

.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un calice ou voire un ciboire,

Si ce n’est sablier  ou  clepsydre,

 Fontaine bien sûr,  quoi d’autre,

.

.

Il s’agit d’une fontaine mais, supposons

Qu’il s’agit d’une coupe :

Le haut en corolle serait le conscient ;

 le pied, serait  le subconscient.

.

La forme se rapproche du fond dans la mesure où

Fontaine et diabolo sont tous deux objets logiques

L’un fournira de l’eau, l’autre un exercice sportif,

 .

 .

Symbolique 

 .

Notre  monde  dit

Moderne a, souvent, 

Tendance à oublier  la

Composante   de  la  vie

Aussi essentielle que l’eau

Déploie tout un imaginaire

Évoquant poétique de l’eau.

.

La fontaine constitue élément du décor

Inscrit dans le pittoresque d’un village et,

En conséquence, de première importance

Dans sa mise en valeur et son attrait

Touristique, en partie intégrante

Du charme qu’un tel bourg

Exerce aux yeux de ses habitants.

.

Descriptif

.

831 – Monde merveilleux, logique, absurde (II) 

Alignement central / Titre  intercalé / Thème Temps

Forme courbe / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : fontaine / Symbole de fond : diabolo

.

.

Fond  

.

Évocation 

.

Il s’agit d’un diabolo mais, supposons

Qu’il s’agit de double coupe :

La coupe du haut serait le conscient ;

 Du bas, serait  le subconscient

 .

Symbolique

 .

Les diabolos semblent s’être

Multipliés en s’empilant

Et leurs variations

De couleurs

Procurent

L’effet

D’un

Tableau,

La chose merveilleuse

Est que l’on peut faire sauter

Son diabolo d’une corde à l’autre ;

La plus logique,  faire rouler sur la corde ;

La plus absurde, la faire tomber et bêtement !

 .

Fond/forme 

 .

Deux diabolos collés feront un objet merveilleux

À imaginer, à regarder mais absurde à manipuler

Est-ce la façon de rendre logique ce qui ne l’est pas

En doublant la réalité par sa  fausse représentation.

.

Je ne sais pas mais il me parait important d’y songer

Il en est de même lors libre arbitre devient arbitraire,

Et si tout est ainsi, le merveilleux en devient absurde.

.

Un diabolo ressemblerait à un ciboire au pied évasé

Et de cette façon, il serait parfaitement réversible :

Le haut sera libre tandis que le bas sera contraint

Tant et si bien qu’il ne rime qu’à demi avec ami.

.

Fontaine est, par nature, chose merveilleuse

Rien ne nous dit que son eu l’est tout autant,

Elle peut être boueuse, sableuse, polluée

Et lors la magnifier devient absurde.

.

.

Visuel 

.

831 1

.

Dans ma tête, j’aurais, parait-il,

des pensées des plus automatiques,

.

831 2

.

qui me pousseraient à consommer

de tout, et en biens, outre mesure,

 .

.

alors que je serais si bien à lire

un tel poème au pied de quel qu’arbre.

.

.

De transformer paradoxe en oxymoron

si ce n’est l’inverse, est logique !

.

.

Épilogue

 .

histoire  à rédiger et à raconter

 .

Visuels et textuels >> 

.

830 – Monde: merveilleux, logique, absurde (I)

Visuels et textuels >>

.

Calligramme

.

Le Monde de notre enfance

Tire vers  le  merveilleux,

Lors  celui  des adultes

Vers plus de logique,

Lors celui de vieux

Vire à l’absurde !

Donc, en principe,

On ne devrait jamais

Sentir les trois à la fois,

Sous peine de devenir fou

De tomber à terre à genoux

Lors si le monde est  ainsi.

Comment être, si l’on fuit,

Une des représentations

Tant les trois font une,

Les trois, opportunes.

.

  Dans le Monde en       lequel nous vivions,

  Nous vivons à la             O   fois ou pour une part

  En merveilleux, en          N    logique, en absurde !

   Chacun a droit de se         D          voir comme il veut,

   Mais ça ne changera           E            rien à leurs réalités

 Qui nous échappent             *            en totalité, presque

Car nous ne connaissons    M          pas matière sombre

Qui représente soixante       E            pour cent d’univers

On peut dire autant d’in       R       conscient en homme

Le côté merveilleux, se               traduit souvent par

Conscience un peu floue         que nous en avons :

N’est-ce pas déjà génial       d’entrevoir, de voir

De comprendre, du     L     moins, en partie

Toute la belle mé      L    canique céleste

De repousser       E       sans cesse,

Nos limites        U    psychiques

Ou notre cô        té logique,

Se traduit en     *   découverte,

Raisonnement    scientifique,

 Expérience, cons     tituant trésor

Des savoirs, des     G   connaissances

Si ce  n’est  de  lois   I  qui s’accumulent

Que nous remettons  Q    sans cesse à jour,

Pour expliquer  les        U     fonctionnements,

Nous aident faire recu   E      ler limite inconnu.

Le côté absurde se révèle *     à travers le non-sens

De toute construction       A    aveugle de tel Univers

Qui s’étend depuis le Big    B    Bang en un vide sidéral

Sans raison, but apparent   S  en tous cas étant connus.

Il en est de même de notre  U  vie lors elle s’achève pour

Redevenir une matière          R    vide de ses programmes,

Vide de sa mémoire ou          D     de sa lumière intérieure.

        Absurde l’emporte sur         E    merveilleux et merveilleux.  

.

.

Textuel

.

Monde de notre enfance tire vers  merveilleux

lors celui des adultes, vers plus de logique, lors

celui des vieux, vire à l’absurde. On ne devrait

pas sentir les trois à la fois, sous peine devenir

fou. Si le monde est ainsi, comment être si l’on

fuit une de ses représentations tant les trois

font une, tant opportunes. L’univers et le

monde dans lequel nous sommes et nous

vivons, sont, à la fois et pour une part,

merveilleux, logiques et absurdes. Chacun a le

droit de les voir comme il veut, ça ne changera

rien à leurs réalités qui nous échappent car

nous ne connaissons pas la matière sombre

qui représente soixante-dix pour cent de

l’univers et l’on peut en dire autant de

l’inconscient chez l’homme. Dont acte, il nous

reste encore beaucoup à faire et à comprendre.

Le côté merveilleux se traduit déjà par la

conscience que nous en avons : n’est-ce pas

génial de voir et comprendre en partie la

mécanique céleste et de repousser sans cesse

nos limites tant physiques que psychiques.

Notre intelligence nous y invite et notre

imagination nous y lévite. Il suffit de regarder,

la nuit, la Voie lactée, la Lune et toutes les

Constellations à mesurer incommensurable

espace, multiplié  au carré par l’infini qui,

s’étend depuis le fameux Bib Bang.

Le côté logique se traduit en nos découvertes,

expérience et raisonnements scientifiques

constituant un trésor de connaissances et lois

qui s’accumulent, qui se mettent à jour, qui

nous expliquent le fonctionnement des

machines qui nous entourent et nous aident à

progresser dans d’autres explorations aux

limites de l’inconnu. Pour autant il n’est pas

sans danger car il nous menace autant dans

notre territoire ou notre santé ou notre

intégrité mais il faut poursuivre. Le côté

absurde se révèle à travers le non-sens de

toute cette construction aveugle de l’Univers

qui s’étend, depuis le Big Bang dans le vide

sidéral sans raison et sans but apparents, en

tous cas connus. Il en est de même de notre

vie qui s’achève pour redevenir matière, vide

de son programme, de sa mémoire et de sa

lumière intérieure. Absurde l’emporte sur

merveilleux, logique.

.

.

Poème

 .

Le Monde de notre enfance

Tire vers  le  merveilleux,

Lors  celui  des adultes

Vers plus de logique,

Lors celui de vieux

Vire à l’absurde !

Donc, en principe,

On ne devrait jamais

Sentir les trois à la fois,

Sous peine de devenir fou

De tomber à terre à genoux

Lors si le Monde est  ainsi,

Comment être, si l’on fuit,

Une des représentations

Tant  les trois font une,

Les trois, opportunes.

.

*********************

.

Dans le Monde en lequel nous vivions,

Nous vivons à la fois  ou pour une part

En merveilleux, en logique, en absurde.

Chacun a droit de se voir  comme il veut,

Mais  ça ne changera rien  à leurs réalités

Qui nous échappent en totalité ou presque

Nous ne connaissons pas la matière sombre

Qui représente soixante pour cent d’Univers,

On peut dire autant d’inconscient en homme.

.

Le côté merveilleux, se traduit, souvent, par

Conscience un peu floue que nous en avons :

N’est-ce pas déjà génial d’entrevoir, de voir

De comprendre, du moins, en partie

Toute la belle mécanique céleste

De repousser, sans cesse,

Nos  limites  psychiques

Tant  notre  côté  logique,

Se traduit par découvertes,

Raisonnements scientifiques.

.

Expériences constituant trésor

Des savoirs,    des connaissances

Si ce n’est de lois qui s’accumulent

Que nous remettons sans cesse à jour

Pour expliquer   leurs  fonctionnements,

Nous aident à faire reculer limite inconnu.

.

Le côté absurde se révèle à travers le non-sens

De toute construction, aveugle, d’un tel Univers

Qui s’étend depuis le Big Bang, en un vide sidéral,

Sans raison, but apparent en tous cas, étant connus.

.

Il en est de même de notre vie lors elle s’achève pour

Redevenir  une matière, vidée  de ses programmes,

Vidée de sa mémoire et de sa lumière intérieure :

Absurde l’emporte sur merveilleux et logique.  

.

.

Extension 

.

Et dieu merci, car le merveilleux est

Au-delà de la réalité et l’absurde en deçà,

Mais ils nous apprennent bien qu’il existe

Des univers parallèles dont on ne peut

Se séparer, et même au XXI° siècle,

Des croyances, déclarées infondées,

Continuent à diriger, conditionner,

Bien des esprits, humains, éclairés,

Y compris chez les …  scientifiques,

Et pas seulement  chez les religieux,

Dogmatiques au non-sens pratique !

.

Comment ces trois termes contradictoires peuvent-ils cohabiter.

Il est vrai  l’on fait, déjà par le passé, sont issus de notre Histoire.

Mais à les mettre ensemble et en même temps on  peine à y croire

L’absurde, d’aujourd’hui, nous est illustré  par  le  Brexit, anglais ;

La logique, par l’Allemagne qui produit tout, et, rationnellement ;

Le merveilleux est le tourisme de  France mais sans conte de fées.

L’avenir, en futur proche, nous offrira peut-être  les trois à la fois.

 .

Mais comment pourrait-on être les trois à la fois,

Si tout est merveilleux rien n’a voir avec logique

Si tout est logique, encore moins avec l’absurde

Mais on peut passer de l’un à l’autre, successif.

 

Au bout d’un certain temps, d’un temps certain,

On finira bien par se faire des nœuds dans la tête

Ça n’aide pas à comprendre, interpréter le monde

Pourtant chacune des composantes  en fait partie.

 

On ne peut vivre, en permanence, en Absurdistan :

Tout deviendrait égal et rien n’aurait plus de sens

De croire que tout se doit d’être logique est faux ;

Reste le merveilleux, tant qu’il dure et on y croit.

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un sablier, surmonté d’un vase

Un calice  voire  même un ciboire,

Mais on pourrait voir un diabolo !

.

.

Un sablier rempli de sable, comme son nom l’évoque

Qu’on renverse pour mesurer un temps donné

Et qu’on associe souvent à la durée de la vie humaine

Comme la bougie, le fil et autres symboles.

 .

Rien ne rime avec paix, globalité, égalité,

Mais le fond fait que les formes se font face

 .

Symbolique   

 .

Le sablier  est le plus communément

Symbole du temps et de la mort :

Le sable qui s’écoule et mesure

La durée suggère en effet le

Temps  sous  son  aspect

Irréversible et fatal,

Comme un lent ou

Rapide glissement

Inexorable que rien

Ne peut retenir et dont

Personne ne peut annuler

Les échéances lors la stérilité

Du sable évoquera le néant des

Choses simples accidents terrestres,

Arrêt mouvement rappelle celui cœur.

.

Descriptif

 .

830 – Monde merveilleux, logique, absurde (I) 

Alignement central / Titre  droit / Thème Temps

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : sablier / Symbole de fond : diabolo

.

.

Fond  

.

Évocation 

.

.

Diabolo, certes : supposons

Qu’il s’agit d’une double coupe,

Coupe du haut sera le présent ;

Du bas sera le passé, enfance.

 .

Symbolique 

 .

C’est un  effet gyroscopique

Qui permet de maintenir

Diabolo en rotation

Équilibre sur fil.

Il existe des

Diabolos

Plus

Atypiques :

Divers diabolos

Inflammable, lumineux ;

À une seule calotte, plus difficiles

À manier, ressemblant à des toupies ;

Axe est sur roulement à billes, sens unique

fr.wikipedia.org/wiki/Diabolo_(jonglerie)

 .

Fond/forme 

 .

On peut plus les réunir, rassembler.

L’économie, l’ethnie, religions, démographies

Les riches et peu nombreux seraient en haut

Les pauvres, et les plus féconds …  en bas !

.

Ce n’est là que pure interprétation abusive

Ce qui importe est celui qui tient la corde

Les fait  danser  à sa guise : capitalisme.

.

Nous  ne  manquons  pas  de  cerveaux,

Nous ne manquerions que de capitaux :

Ce qui serait à la fois logique et absurde,

Sans cerveaux, capitaux ne servent à rien

 Sans capitaux,  cerveaux seraient stériles !

.

Un monde absurde serait comme un diabolo

Qui au  lieu de réunir hémisphère haut et bas,

Les sépare et inverse comme mondes séparés

Libre, après, pour tenir le bas sous sa coupe.

.

.

Visuel

.

830 1

.

Quoi de plus merveilleux

qu’une telle fleur, bulbeuse,

.

830 2

.

car si la folie est le zéro

et la raison est un, sinon l’inverse,

.

830 3

.

notre monde en deviendrait

 absurde, tant peuplé de clones !

.

.

Un bien triste paradoxe, oxymoron :

les extrêmes se côtoient, succèdent !

.

.

Épilogue

.

Monde

.

L’ensemble formé par

La Terre et les astres visibles,

Conçu comme un système organisé.

On parle aussi de : cosmos, d’univers !

.

La Terre, habitat de l’homme, l’humanité.

La surface terrestre, où vivent les hommes.

On parle alors de planète Terre ou de Globe.

.

Le monde réel, extérieur est fait de ce qu’il est

Mais le monde humain est fait de ce qu’on sait

Il y aura ceux qui le déforment à leur avantage.

 .

 « Selon les gréco-romains, des chemins relient les mondes terrestres et infernaux, ceux des vivants et ceux des morts : cratères volcaniques, crevasses rocheuses. Les montagnes font communiquer avec le ciel. Ténèbres, froids, terreurs, tourments caractérisent les Enfers ; lumière, chaleur, joie, liberté, régent aux Paradis. »

.

Au début, étant enfant, jusqu’à cinq ans, le monde réel et le monde imaginaire se confondent au  point qu’on croit au Père Noël. Une fois rendu adulte le monde s’élargit et se matérialise, on veut sillonner la Terre, connaitre tous les gens, les activités. Vieux, le monde se réduit à l’environnement, préoccupation, entourage immédiat.

.

Le symbolisme du monde, avec ses trois niveaux, céleste, terrestre, infernal, correspond à trois niveaux d’existence ou mode de l’activité spirituelle. Espaces imaginaires qui se définissent les uns par rapport aux autres dans un mouvement, une dialectique ascensionnelle. Monde d’en haut, monde d’en bas, monde du milieu !

.

Conscience,

Réveil de l’intelligence

Vision planétaire en prise directe

Avec l’inconscient collectif et raison d’être.

.

Nous n’avons guère accès à la réalité du monde

Nous nous en forgeons chacun une représentation

Qui peut être différente selon cultures, individus.

.

Et il y a des mondes construits selon un mode

Particulier, et qui ferait preuve d’originalité,

Soit dans le style de création, soit l’action.

.

Si chacun aura son monde, comment

Faire alors pour se communiquer :

Il faut appeler un chat, un chat.

.

Voilà bien un terrain commun

Sur lequel on peut bâtir réalité

Sachant que la vérité n’est autre

Qu’une erreur sans cesse corrigée. 

.

Visuels et textuels >>

 

829 – On aura beau dire, beau faire (III)

Visuels et textuels >> 

.

Calligramme

.

Toutes sociétés égalitaires

Sont des rêves  humanitaires

Mêlant sentiments aux affaires,

Et  pour  mieux  nous en distraire.

Avant    O  il fallait une vie pour faire

Fortune    N      aujourd’hui, une année,

En surfant      *      sur une bulle boursière,

Quitte à ruiner   A    des milliers de salariés.

On n’en veut plus   U     de bulle, ni de guerre,

Mais, notre monde   R     n’a plus de mémoire,

Et il se répète dans    A     autres atmosphères

Scandales éclatent    *   et du matin au soir.

 .

Mais cela dit : l’on  B   aura beau dire ;

Sans compter : l’on    E  aura  beau faire,

Toute société se devrait A     d’être égalitaire

Sinon elle aura nombre  U      soucis à se faire,

Quand trop de monde      *           sera en misères.

Ce sera l’insurrection      D              ou la révolution,

On prendra l’argent         I            pour redistribution.

On repartira pour           R          un temps de plus belle

L’estomac plein,  le         E         cœur et l’esprit content

Car une révolution ne       *           change que, très peu,

Le cours de l’économie         F        pouvoir apparent !

C’est à croire que l’Histoire    A        n’apprend rien,

À ceux qui pensent l’avenir     I      trop incertain

Pour regarder vers un passé   R   révolu, foutu.

Histoire est éternel recom   E   mencement,

Histoire est éternel ense   *   mencement

D’idées en germes,   et   qui profitent

 À  ceux  qui  veulent  gagner  vite.

.

Aller vite   est  fuite   en avant,

À tombeau   ouvert en    précipice

Transforme    une vie en       supplice

Si l’on n’a         pas pris  les       devants !

Et milliards     échappent paradis    fiscaux.

Le monde         égalitaire,  le monde     cupide

Se côtoient         en s’ignorant pour       l’argent,

Maîtres du          monde font fuite en        avant !

.

.

Textuel  

Toutes les sociétés égalitaires sont des rêves

humanitaires mêlant les sentiments et les

affaires pour mieux nous en distraire ! Avant,

il fallait une vie pour faire fortune,

aujourd’hui, une année, en surfant sur une

bulle boursière, quitte à ruiner des milliers de

salariés ! On ne veut plus de bulle ni de guerre,

mais notre monde n’a pas de mémoire : il se

répète, dans d’autres atmosphères, où

scandales éclatent du matin au soir. Des

milliards échappent en paradis fiscaux : le

monde égalitaire et le monde cupide, se

côtoient en s’ignorant, pour l’argent : les

maitres du monde font une fuite en avant lors

nous voulons faire rebond ! On aura beau dire,

on aura beau faire : toute société se doit être

égalitaire sinon elle aura des soucis à se faire.

Quand trop de monde sera en misère, ce sera

l’insurrection, la révolution : on prendra

l’argent pour nouvelle redistribution. On

repartira pour un temps de plus belle,

l’estomac plein, le cœur et l’esprit content car,

une révolution ne change que très peu le cours

de l’économie ni le pouvoir apparent ! C’est à

croire que l’histoire n’apprend rien à ceux qui

pensent l’avenir trop incertain pour regarder

vers un passé révolu, foutu ! L’Histoire n’est

qu’éternel recommencement, l’Histoire n’est

qu’éternel ensemencement d’idées en germes

qui profitent à ceux qui veulent gagner vite,

aller vite est la fuite en avant, à tombeau

ouvert, vers un précipice, transformant nos

vies en supplices parce que l’on n’aura pas pris

les devants.

.

.

Poème

.

Toutes sociétés égalitaires

Sont des rêves  humanitaires

Mêlant sentiments aux affaires,

Et pour mieux nous en distraire.

.

Avant, il fallait une vie  pour faire

Fortune :   aujourd’hui,  une  année,

En surfant  sur  une bulle  boursière,

Quitte à ruiner des milliers de salariés.

.

On n’en veut plus de bulle, ni de guerre,

Mais notre monde n’a plus de mémoire,

Et il se répète en d’autres atmosphères :

Scandales éclatent et du matin au soir.

.

**************************

.

Mais cela dit : l’on aura beau dire ;

Sans compter : l’on  aura  beau faire,

Toute société se devrait d’être égalitaire

Sinon elle aura nombre soucis à se faire,

Quand trop de monde serait en misères.

.

Ce sera l’insurrection  ou  la révolution,

On prendra l’argent pour redistribution,

On repartira, pour un temps, de plus belle.

.

L’estomac plein, le cœur, l’esprit comptent

Car une révolution ne change que très peu,

Le cours de l’économie et pouvoir apparent.

.

C’est à croire que l’Histoire n’apprend rien,

À ceux qui pensent  l’avenir trop incertain,

Pour regarder vers un passé révolu, foutu.

.

Histoire est  éternel recommencement,

Histoire est  éternel ensemencement

D’idées en germes, et qui profitent

À  ceux qui  veulent  gagner  vite.

.

**************************

.

Aller vite est fuite en avant,

À tombeau ouvert en précipice

Transforme une vie, en supplices

Si l’on n’aura pas pris  les devants.

.

Milliards échappent en paradis fiscaux,

Le monde égalitaire et le monde cupide

Se côtoient en s’ignorant, pour l’argent,

Maîtres du monde font fuite en avant !

.

.

Extensions

.

Il y a, certain, des différences importantes

Entre opinions publiques de divers pays.

Il suffit de voyager, de voir, d’écouter

Les résidents pour s’en convaincre.

Le Monde est une totalité, mais constitué

D’un patchwork coloré de nuances prépondérantes.

Le commerce international a, pendant un temps,

Réduit toutes ces nuances oui mais voilà que

Des valeurs d’appartenances ressurgissent,

À travers la résistance à l’envahissement

De l’anglais, langue unique d’échanges.

Le monde change en ce sens, que parmi

Tous ceux qui apprennent et utilise l’anglais,

La majorité le cantonne aux échanges marchands

Non culturels, personnels, encore moins émotionnels.

Qui aurait pu prédire cela, il y a …  vingt ans,

Dix ans : profits comptant sur trois ans !

.

Egalite entre homme et femme et différenciation

Egalite pour les toilettes, sans discriminations.

Egalite pour toutes les religieuses confessions

Egalite pour tous et pour toutes, en société.

Egalite pour les langues et les cultures !

Le monde change, mais, les inégalités

Restent, certains pays, progressent.

.

L’égalité, un mythe : non, vous n’y pensez pas

Tout le monde, en matière de services publics

Sera logé à la même enseigne : riche ou pas,

Il n’y a pas de France d’en haut ni d’en bas

.

Commençons par traitements égalité de sexes,

Compte n’y est pas, discriminations, problèmes

Des progrès sont en cours mais peut mieux faire

Lors certaines veulent s’arroger tous les pouvoirs.

.

Il y a au moins un terrain, un endroit, une maison

Ou tout dépend que de soi, d’arrangement ménage

L’égalité dans le couple pour partage, substitution,

À moins que la tradition  ou la religion, l’interdise.

.

Au final, il faut mener le combat  sur trois fronts :

Sur le domaine public, professionnel, idem privé,

Il s’agit d’exercices négociation, non domination,

Redéfinir, répartir les rôles sans discriminations.

.

 .

Forme

.

.

Évocation

 .

Le haut,  une  tasse de café, renversée.

En bas, un chaudron sur son trépied, 

Le tout,  un vase chinois, avec couvercle

L’essentiel est un doute de ses certitudes.

 .

829 4

.

.

Ce chaudron ressemble un peu à quelqu’un

Qui doute de ses certitudes :

On lui a mis un anneau pour le suspendre, 

Avec un ruban, ça ne suffit pas.

.

Chaudron pour cuisson, mélange, transformation

De toutes sortes d’ingrédients, dès lors ses formes

Seront en mesure d’évoquer le fond ans le couvrir.

 .

 Symbolique 

 .

Aujourd’hui, dans l’imagerie collective,

Le chaudron est associé à la magie et à la sorcière.

C’est donc un sens de maniement des énergies par le feu

Servant à fins occultes de pouvoir qu’il évoque de prime abord.

 .

À l’origine, le chaudron est outil de la cuisson des éléments liquides.

Il implique une maîtrise parfaite du feu, à deux niveaux,  premier,

La maîtrise de la forge permet de façonner cet outil très élaboré.

Le deuxième, est la maîtrise du feu pour permettre la cuisson.

 .

Le chaudron est creuset alchimique de la transformation

Par le feu de l’impur en pur pour rendre

Assimilable ce qui ne l’était pas.

tristan-moir.fr/chaudron

.

Descriptif

 .

829 – On aura beau dire, on aura beau faire (III) 

Alignement central / Titre  serpentin / Thème cuisine

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole forme : chaudron/ Symbole fond : interrogation

.

.

Fond  

.

Évocation

.

829 6

.

La posture d’un homme qui, tel un chaudron,

Incassable est peu sujet au doute,

Ne doute de rien ni de personne, comme on dit

Et encore moins, de lui-même !

Symbolique 

 .

C’est un paradoxe que

D’être conduit à douter

De ses propres certitudes :

L’esprit critique n’existe que si

L’on doute certitude n’existe pas

En l’absence de doute, ouroboros.

Si je ne doute pas de mes certitudes,

J’ai quelques certitudes sur mes doutes !

A vous de choisir et de vous en débrouiller !

 .

Fond/forme 

 .

Le chaudron pour fonctionner a besoin au minimum

D’eau et de feu et, bien évidemment, d’un certain temps.

Lors on dirait qu’on est  dans le chaudron,  l’on évoquera

Un bouillonnement,  melting pot,  de toutes sortes d’idées,

Et qui pourront être  autant destructrices  que créatives !

L’on doutera moins de ce qu’il y a dedans que du résultat

Obtenu non seulement fonction mélange mais quantité.

On peut être rond et douter qu’on le soit vraiment

Et, on peut être carré et néanmoins douter en rond,

Le pire est vouloir superposer le carré dans le rond.

.

Un chaudron qui  se tient les hanches avec ses anses,

Et comme un monde qui doute de lui-même dirigeant

Il a bien sûr trois pieds pour toucher terre et sa réalité

Et aussi un anneau, pour fixer un crochet, le suspendre.

.

On aura beau dire, on aura beau faire,  on ne maitrisera

Pas tout lors le résultat d’un mélange peut être différent :

Cuire à feu doux, s’appelle évolution ; feu fort, révolution !

.

.

Visuel 

.

829 1

.

L’égalité restera-t-elle un  mythe

ou deviendra-t-elle une réalité :

.

829 2

.

Des toilettes sans distinctions de genres

 existent partout au Québec,

.

829 3

.

alors qu’il y a encore, et toujours, neuf

 religions, de par le vaste Monde !

.

.

.

.

quand  dire non, ça peut devenir oui,

quand dire oui, ca peut devenir non !

.

.

Épilogue

.

Société d’égalité par le haut, par le bas.

L’égalité pour haut,  l’inégalité pour bas.

L’égalité par milieu, on la sait impossible,

Ce sont les écarts qu’il faut avoir en cibles.

.

L’égalité a toujours été et demeure un mythe

C’est souvent aux mêmes que richesse profite

Mais ce n’est pas tant cela qui pose problème,

Que répartition, redistribution, en tel système.

.

Dans un système fondé sur performance, mérite,

Compétition l’emportera toujours sur coopération,

On aboutit ainsi à des constitutions, classes, d’élites,

Où la seule valeur marchande reste encore le pognon.

.

Si l’on ne peut payer une masse de gens à ne rien faire

Ce n’est bon ni pour le sexe, corps, cœur, esprit, l’âme,

Toute tentative de péréquation niant toutes inégalités

Est, d’avance, vouée à l’échec par esprit comparaison.

.

En réalité l’inégalité est un chaudron, non magique,

Tous les gouvernements peinent à la réduire un peu

C’est à croire que ce sont d’autres qui les régulent,

Que même une guerre ne peut que leur profiter.

.

J’en termine par le début : l’école, qui nivelle

Et même si on ne peut jeter le tort sur elle :

Reproduisant modèle de société actuelle

Elle ne fait que promouvoir l’échelle.

.

Visuels et textuels >> 

828 – On aura beau dire, beau faire (II)

Visuels et textuels >> 

 .

Calligramme

.

Il n’est pas facile de gouverner le Monde 

Lorsque chaque région  joue pour elle,

Selon son propre, son unique intérêt,

Lors  chaque personne, en son sein,

Fait de même, par un mimétisme,

Qui crée  sorte de  cercle vicieux,

Au lieu de se remettre en cause

Partager ses savoirs, richesses

En plus de forces, faiblesses,

Si, à chacun, l’on s’adresse,

À changer comportements.

.

*****************************

****************************

.

Cela produira-t-il effets

Sur gouvernance Monde,

Oui et non : avis divergent,

Alors que finances convergent

Vers ceux, ayant choisi, sacrifier

Monde  pour  leur  propre félicité !

.

Mais,  cela dit,   O  |   O  l’on aura beau dire ;

Sans compter :    N   |     N  l’on aura  beau faire,

Le monde actuel    *    |       *    si on le laissait faire,

Irait  de guingois   A       |            A  tout irait  de travers,

Ce n’est pas faute   U          |              U   d’une sœur, un frère,

Mais de la sienne   R            |                R    simple délaissement

Ou par délégation  A              |                   A    à des incompétents,

Qui seront sous la  *               |                   *     plus haute pression

Riches, mettant  B                 |                     B      à terre,  millions,

De locataires    E             comme                 E     pro-pri-étai-res

On aura        A           beau dire,              A      beau     faire,

Il y aura      U       toujours sur           U       notre terre

Ceux qui    *      aiment d’abord        *           les gens

Ceux qui   D   aiment d’abord           l’argent.

Si les deux  I  ne sont incom  A         patibles,

Premier cas  R   l’argent  I   sert les gens,

En second gens  E    R  servent argent.

E

.

S’agit pas   *  renversement  *   point de vue,

L’écart de    *      salaire allant   *     de un à cent,

Ils croulent   *     sur l’or lorsque    *  autres sont nus.

.

.

Textuel

.

Pas facile de gouverner le Monde, lorsque

chaque région joue pour elle, selon son propre

et unique intérêt, lorsque chaque personne, en

son sein, fait de même, par mimétisme, créant

une sorte de cercle vicieux au lieu de se

remettre en cause, partager ses savoirs, ses

richesses, en plus de ses forces et ses

faiblesses. Si, à chacun, l’on s’adresse, pour

changer ses comportements, cela produirait-il

quel qu’effet sur la gouvernance du Monde :

oui et non ! Les avis divergent alors même que

les finances convergent vers ceux qui auront

choisi de sacrifier le Monde pour leur félicité !

L’on aura beau dire, l’on aura beau faire, le

monde tel qu’il est, si on le laisse faire, tout ira

de guingois, tout ira de travers et ce ne sera

pas la faute d’une sœur, ou d’un frère, mais

bien de la sienne, par délaissement ou

délégation à des incompétents qui sont sous la

haute pression des plus riches à millions,

locataires de leurs terres ou de leurs argents.

L’on aura beau dire, l’on aura beau faire, il y

aura toujours,  sur notre Terre, ceux qui

aiment d’abord les gens et ceux qui aiment

d’abord l’argent. Et si les deux ne sont pas, par

nature, incompatibles : dans le premier cas,

l’argent sert les gens ; dans le second, les gens

servent l’argent. Il ne s’agit pas que d’un

simple renversement de point de vue lors un

écart de salaire allant de un à cent devient

inacceptable, intolérable ! Si fait que, lors

certains croulent ou patinent sur l’or, lors

d’autres demeurent ou restent nus.

.

.

Poème

 .

Il n’est pas facile de gouverner le Monde

Lorsque chaque région  joue pour elle,

Selon son propre, son unique intérêt,

Lors  chaque personne, en son sein,

Fait de même, par un mimétisme,

Qui crée  sorte de  cercle vicieux,

Au lieu de se remettre en cause

Partager ses savoirs, richesses

En plus de forces, faiblesses,

Lors à chacun, on s’adresse,

À changer comportement.

.

*************************

.

Cela produira-t-il effets

Sur gouvernance Monde,

Oui et non : avis divergent,

Alors que finances convergent

Vers ceux, ayant choisi, sacrifier

Monde  pour  leur  propre félicité !

.

Mais,  cela dit, l’on aura beau dire ;

Sans compter : l’on aura  beau faire,

Le monde actuel si on le laissait faire,

Irait  de guingois tout irait  de travers.

.

Ce n’est pas faute d’une sœur, un frère,

Mais de la sienne, simple délaissement,

Ou par délégation  à des incompétents,

Qui seront sous la plus haute pression

Riches, mettant  à terre, des millions

De locataires et de pro-pri-étai-res.

.

On aura beau dire, et beau faire,

Il y aura toujours sur notre terre

Ceux qui aiment d’abord les gens

Ceux qui aiment d’abord l’argent.

.

Si les deux ne sont incompatibles,

Premier cas, l’argent sert les gens,

En second cas, gens servent argent.

.

*************************************

.

S’agit pas renversement point de vue,

L’écart  de  salaire, allant  de  un à cent,

Ils croulent sur l’or lorsqu’autres sont nus.

.

.

Extensions

.

La morale n’existe pas en rapports internationaux,

C’est encore la loi du plus fort qui prévaut, à tort.

Je t’achète, je te vends, te rachète,  te fusionne,

Te démembre, te décapite,  te rase, t’enterre :

Preuve s’il en est que la guerre économique

Suit les mêmes lois  que guerre physique

La seule différence est que  la dernière

Y met les gants ou agit de très haut,

Sans évaluer les dégâts humains,

Ni même solutions  de recours

Tant la diplomatie a bon dos.

Des palabres   …  des palabres,

Pour faire croire à un vrai dialogue,

Franche négociation alors que la décision

Est prise bien avant et de manière unilatérale.

C’est là que notre liberté  en prend un sacré coup.

Paradoxe : si on a trop de liberté, en a-t-on encore ;

Quand on n’en a pas assez, en aura-t-on… vraiment ?

.

Entre un diseur  et un faiseur,  lesquels  préférez-vous ?

Sans parler de ceux qui contredisent et ceux qui défont.

Le sens de la marche se devrait d’être le même pour tous

Si l’on veut, un jour atteindre un but  car c’est gouverner

Ce, en avance de phase plutôt que courir après la mêlée.

 

Entrer en politique est tomber en chaudron :

Y a toujours un autre qui veut être le patron

Dieu merci, en démocratie, y a les élections,

Sinon ce serait l’anarchie ou la révolution !

.

Les gens souhaitent tout, et son contraire,

Mais tourné vers eux est le plus ordinaire

On ne se sent pas, toujours, sœur et frère,

La société est comme famille : arbitraire.

.

Comme il n’y aura pas de meilleur modèle,

Il ne peut y en avoir que de pire en somme

Faut choisir meilleur parmi les moins pires

C’est dire si on n’en a pas fini d’alternances.

.

Contenter les uns sert à mécontenter autres

On dira que le Pays demeure ingouvernable,

C’est peut-être ce qui dégoute de la Politique

Incapable d’offrir une stabilité de croissance !

.

.

Forme

.

.

Évocation

Le haut,  une tasse de café ou de thé,

En bas, chaudron sur son trépied, 

Le tout, peut-être un vase à col haut

L’essentiel est de bien l’interpréter ?

 .

828 4

.

Ce chaudron ressemblerait un peu

À un personnage dubitatif

Qui n’a pas trop de ses trois pieds,

Afin de bien interpréter.

.

Le chaudron est rond comme l’est notre Globe

Mais ce qu’il contient nous échappe partiellement

Si la forme évoque le fond, elle ne le recouvre pas !

.

Symbolique 

 .

Ancien symbole

De l’utérus céleste,

Et source de toute vie

Voire même de sagesse,

Le chaudron aura figuré

En bonne place dans l’histoire

En la mythologie  de  nombreux

Peuples en raison rôle qu’il a joué.

À travers le temps, diverses cultures,

Le Chaudron, considéré comme un

Navire de métal, était, aussi, un

Symbole du lieu et du moyen

De  la  revigoration  et de

La  régénérescence  et

De la résurrection.

sciencetradition.forumactif.com/

t337-le-symbole-du-chaudron

.

Descriptif

 .

828- On aura beau dire, on aura beau faire (II) 

Alignement central / Titre  en ovale / Thème cuisine

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole forme : chaudron/ Symbole fond : interprétation

.

.

Fond 

.

Évocation

.

828 6

.

Ce chaudron ressemblerait un peu

À un personnage dubitatif

Qui n’a pas trop de ses trois pieds,

Afin de bien interpréter.

 .

 Symbolique 

 .

Pourquoi interpréter une image ?

Pour rechercher les symboles archétypaux

Qu’elle contient, peut-être pour en tirer

Des enseignements sur soi-même ?

Sur le monde ? Sur la réalité ?

Sur l’état de notre perception

Voire de notre sensibilité ?

 Si le besoin d’interprétation

Se fait sentir, c’est qu’il y a doute

Douter est salutaire de certaine façon.

Modifié , source : Bloc-notes Antiochus

 .

Fond/forme 

 .

La potion magique du droit est affaire de mélange

Décidé en compromis avec les sphères d’influences :

Chacun ajoute son gré de sel, retire un grain poivre,

Tant et si bien qu’il faut interpréter entre les signes

Ingrédient différent  selon bon ou mauvais régime.

.

Un chaudron avec deux anses, un couvercle

Et trois pieds, peut être posé solide sur le feu

Mais ce qu’on y met, ce qu’on y cuit, prépare

Est un globi goulbaa,  difficile à interpréter

Qui, pour être déguster, nous laisse pantois.

.

On parlera d’interpréter formes et contenus

D’un chaudron, fussent-ils  magiques, réels,

Or c’est une loi générale de l’esprit humain

Que d’être en mesure de tout interpréter.

.

.

Visuel 

.

828 1

.

Gouverner c’est mécontenter,

déplaire, dit Adolphe Thiers,

.

828 2

.

des mots, d’accord, il en faut,

surtout des gestes, d’abord,

.

828 3

.

car jouer,  n’est pas gagner,

et changer, n’est pas jouer.

.

.

dire non/oui en même temps,

jouer ainsi sur deux tableaux.

.

.

Épilogue

.

Une histoire à écrire et raconter

.

Visuels et textuels >> 

827 – On aura beau dire … beau faire (I)

Visuels et textuels >>

.

Calligramme

.

Le Monde bouge, c’est sûr, 

Rien  n’est  immuable,

N’est inébranlable,

Et ça ne rassure.

Certains croient,

Qu’en    masquant

La réalité, aux gens,

Ils ne s’en aperçoivent.

.

**********************

**********************

.

ON AURA

C’est ainsi qu’on dit,

 «C’est  toujours  pareil»,

Pauvres s’appauvrissent,

Lors  riches  s’enrichissent.

Qui fait quoi pour qu’il en soi

Autrement : en tous cas, pas moi.

BEAU DIRE

On  aura  beau  dire  et  beau  faire,

Notre  monde sera, toujours,  le même,

À se faire  ou faire  ou défaire  ou surfaire

Pour que les apparences de choses changent

Lors, très  rarement, le  fond,  dans ses réalités.

Si changement, il y a : il sera, d’abord, individuel,

Car la démarche réflexive, permettra de se modifier

Sinon on va droit dans le mur, on ne peut  continuer

À se voiler la face, devant problème qui reste tenace,

Prise de conscience, collective, reste, seule, efficace.

 ET BEAU FAIRE

L’on aura beau dire   puis  l’on aura  beau faire,

La réalité résiste, elle revient dans ses ornières

Et, même, si, l’on est fatigué, de ses misères,

On finit par s’accommoder et les accepter,

Alors qu’il pourrait  en être  autrement,

Si on s’y penchait, prenait le temps

De les examiner, les solutionner

Pour début de nouvelle ère.

.

.

Textuel

Le Monde bouge, c’est sûr : rien n’est

immuable, rien n’est inébranlable et ça ne me

rassure pas ! Certains croient, qu’en masquant

la réalité aux gens, personne s’en apercevra !

C’est ainsi qu’on dit que c’est toujours pareil :

que pauvres s’appauvrissent lorsque les riches

s’enrichissent ! Qui fait quoi pour qu’il en soit

autrement : en tous cas, hélas, ou tant mieux,

pas moi ! On aura beau dire et on aura beau

faire, notre monde sera toujours le même, à se

faire ou faire ou défaire ou surfaire : seules les

apparences des choses changent, très

rarement, leurs fonds, dans leurs réalités !

Si changement il y a, il sera d’abord individuel

tant que la démarche réflexive permettra de se

modifier, sinon l’on va droit dans le mur !

On ne peut continuer à se voiler la face devant

un problème qui reste tenace quand une prise

de conscience collective reste la seule efficace.

L’on aura beau dire et l’on aura beau faire, la

réalité résiste, elle revient dans ses ornières et,

même si l’on est fatigué de ses misères, on

finit par s’en accommoder, les accepter alors

qu’il pourrait en être tout autrement, si l’on s’y

penchait vraiment, prenait le temps de les

examiner, solutionner, pour débuter une

nouvelle ère.

.

.

Poème

.

Le Monde bouge, c’est sûr,

Rien  n’est  immuable,

N’est inébranlable,

Et ça ne rassure.

Certains croient,

Qu’en    masquant

La réalité, aux gens,

Ils ne s’en aperçoivent.

.

C’est ainsi que l’on dit,

«C’est  toujours   pareil»,

Pauvres   s’appauvrissent,

Lors  riches   s’enrichissent.

Qui fait quoi pour qu’il en soit

Autrement : en tous cas, pas moi.

.

On  aura   beau  dire  et   beau  faire,

Notre  monde sera, toujours,  le même,

À se faire  ou faire  ou défaire  ou surfaire

Pour que les apparences de choses changent

Lors, très  rarement, le  fond,  dans ses réalités.

.

Si changement, il y a : il sera, d’abord, individuel,

Car la démarche réflexive, permettra de se modifier

Sinon on va droit dans le mur, on ne peut  continuer

À se voiler la face, devant problème qui reste tenace,

Prise de conscience, collective, reste, seule, efficace.

.

L’on  aura  beau dire   puis  l’on  aura  beau faire,

La réalité résiste, elle revient dans ses ornières

Et, même, si, l’on est fatigué, de ses misères,

On finit par s’accommoder et les accepter,

.

Alors qu’il pourrait  en être  autrement,

Si on s’y penchait, prenait le temps

De les examiner, les solutionner

Pour début de nouvelle ère.

.

.

Extension

.

Une ère basée davantage sur les

Connaissances que sur les finances

Sur la subsistance  que sur l’aisance.

Hélas, en dépit  d’un assistanat d’État,

Entraide, Bénévolat  pour  pallier au pire,

Le monde continue à prôner, système libéral,

Le « chacun pour soi »  lors les riches, de dire :

«Faites  comme  moi »  et même  plus, à  certains

«Regardez-moi, je suis parti de rien et j’en suis là.».

Oubliant c’est que certains ont tout, n’en font rien,

Que certains avaient toutes les cartes, en main,

Ont détruit des centaines, milliers d’emplois,

Si nouvelle ère  consiste à ce que richesses,

Changent de main où est le progrès social,

Après le chacun pour soi,  le slogan sera

«À  mon  tour,  mais  pas  différemment

Pour les autres, pour la planète Terre »

Jusqu’à la fin humaine, non des temps !

Pour la fin des temps : nous avons encore

L’éternité devant nous mais pas pour nous.

.

C’est quand même, un peu, comme un aveu d’impuissance,

Comme que de jeter le bébé avec l’eau du bain, inconscience

Et si le monde vient de plus en plus complexe, indéchiffrable

Il ne s’est pas construit en un jour, et nous n’en avons qu’un !

Alors, plutôt que de vouloir, faire table rase  et  repartir à zéro

Il vaut mieux réenchanter le monde partout là où c’est possible

Comme on ne fait pas d’omelettes sans… il faut bien du courage.

.

L’on aura beau dire et l’on aura beau faire :

Attention à ne pas rester sur constat d’échec

Il faudra se battre toute sa vie pour avancer,

Le monde ne bouge vite, en bonne direction.

.

En matière de social, il est rare  qu’on puisse,

Changer les choses  en les attaquant, de front,

La plupart du temps, il faut phase négociation

Sinon d’amendement voire de contournement.

.

Il en est de même au plan de gestion personnel,

On a beau lister problèmes probables, potentiels

D’autres, imprévus, apparaissent en plein projet,

Au point, parfois, qu’on ne voit plus de solutions.

.

Les obstacles stimulent notre énergie  à vaincre,

Une fois franchis, ils nous permettent d’avancer

Arrive aussi que dernière ligne droite nous tue,

On n’a jamais gagné avant d’avoir tout signé.

.

.

Forme  

.

.

Évocation

.

Ça peut être un  flacon de parfum

Ça peut être aussi pied de lampe,

Moi, j’aurais choisi un chaudron 

 .

.

Ce chaudron ressemble un peu

À personnage des plus dubitatifs

Et qui a l’air de se poser des tas

De questions, sans réponses !

 .

Il est certain que le Monde actuel, le Monde réel,

Ne s’est pas encore débarrassé de potion magique

Comme de poudre à tout faire, placebo tout guérir

Évoque le fond et le rapproche de forme chaudron.

.

Symbolique 

Celtes, le chaudron dispense

Une nourriture  inépuisable,

Il  symbolise   l’abondance.

Par  analogie,  il représente

La     connaissance    sans fin.

.

Plus précisément,  chez les Celtes :

Le chaudron  du Dagda    (dieu-druide)

Contient assez  de nourriture  pour rassasier

Tous les hommes, et les connaissances du monde.

Modifié et mis en forme, source : 1001 symboles

Descriptif

.

827 – On aura beau dire, on aura beau faire (I) 

Alignement central / Titre  alterné / Thème usage

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole forme : chaudron/ Symbole fond : potion-magique

.

.

Fond  

.

Évocation 

.

.

Un chaudron quelque peu ordinaire

Pour y cuire  de  la potion magique,

En y mettant toutes sortes d’ingrédients,

Que connaissent druides, sorciers, chimistes

 

Symbolique 

 

Potion magique est breuvage imaginaire

Qui donne une force surhumaine à quiconque

La boit dans l’univers d’Astérix,  série de bande

Dessinée créée par René Goscinny, Albert Uderzo.

.

C’est aussi le nom donné dans le langage populaire

Aux produits dopants  utilisés par  les sportifs.  Wiki.

.

Connaître  les vertus médicinales  des  plantes,  c’était,

De tout temps, et chez tous les peuples, de disposer  d’un

Pouvoir totalement inaccessible au commun des mortels.

.

L’imaginaire collectif a eu tôt fait d’assimiler aux sorciers

Qui possédait ce savoir ancestral, est capable de préparer

Tisanes, préparations préventives, curatives, purifiantes.

gerbeaud.com/jardin/decouverte/plantes-magiques-sorcellerie

 .

Fond/forme 

 .

Le monde est comme un chaudron

En lequel on essaie potions magiques,

Pour qu’il devienne encore plus humain

Et rien ne s’y opposera avec nos moyens,

Mais la potion ne marche pas, est amère,

Lors la forme n’épouse totalement le fond

Parce que chacun y a mis ses  problèmes

Et chacun espère ses propres solutions.

.

Les vertus accordées aux plantes

Ne seraient donc pas que médicinales :

Aphrodisiaques, divinatoires, purificatrices,

Défensives, apaisantes, porte-chance, punitives,

Ou encore favorable s… à la réussite, à la fortune,

L’amour, l’affection, la fécondité, le relationnel

Superstition attribue aux plantes innombrables

Propriétés, susceptibles d’avoir un effet dans

Des domaines aussi étendus que variés.

.

Savoir « médical » empirique bien mystérieux,

Hérité d’époque où la science n’avait pas apporté

Son éclairage, on aurait associé bien des pouvoirs

Des potions magiques à des croyances, légendes

Ou phénomènes surnaturels : alchimie, diable,

Fantômes, esprits, fées, monstres, totems…

.

.

Visuel 

.

827 1

.

Souvent, il me faudra contourner

des obstacles pour bien avancer,

.

827 2

.

sans parler de ce qui n’est pas sur

ma check list, j’en fais quoi alors,

.

827 3

.

j’en donne une partie à la Nation

ce n’est pas garantie de solution !

.

.

dire non, en première intention

mais faire oui en seconde action !

.

.

Épilogue

.

Que ce soit par déni, aveuglement, égoïsme,

Ou, tout simplement, constat d’impuissance,

Terre devient autant que nous en déchéance.

Nous l’exploitons, nous la polluons, abimons

Et nous la maltraitons à travers nos prismes,

Lors bientôt, elle et nous, toucherons le fond.

.

Certains pensent qu’il s’agit du cycle naturel,

Et que notre climat se rétablira de lui-même,

Qu’il est urgent de ne rien faire, rien modifier

Ou qu’il faut, au contraire, en tirer tout le sel

Mais que fera-ton des situations à l’extrême,

Où des gens mourront de faim, voire brulés.

.

L’on aura beau dire et l’on aura beau faire

Année chasse l’autre, on remet à demain

Ce qu’il est urgent d’acter aujourd’hui.

On descend encore au fond du puits,

Puits de ressource, puits de misère

Ce monde ancien touche à sa fin.

.

Quand on aura devant un mur,

Il ne s’agira plus de murmures

Mais bien d’entrer dans le dur

Au prix de sacrifices, pressure

Ne me dites pas : pas de futur,

Tant cette fatalité est à exclure.

.

La solution clé en main qui l’aura,

Elle viendra par le haut, par le bas,

Chaque petit geste, vrai… comptera,

Sauf si nos gouvernants ne le font pas

Préférant être pyromane que pompier,

À nous de les destituer et les remplacer.

.

Visuels et textuels >>

826 – Envers, endroit : personnage, action (IV)

Visuels et textuels  >>

 .

Calligramme

.

Nous sommes des figurants dans le théâtre du Monde,

Dirigés par des puissants, et qui  n’en ont  pas  honte !

Si certains croient régner, pour le salut de leur Nation

Si ce n’est d’Humanité, d’autres n’en ont cure : action,

.

L’ENVERS ET L’ENDROIT

.

Notre monde est un théâtre ou les jeux

Sont malchanceux

Pour ceux qui n’ont rien que leurs yeux

Pour être heureux.

Le reste leur échappe dans ces comédies

Qu’on leur … joue,

Où on leur endosse un personnage verni,

En dehors de tout.

Chaque figurant doit servir dans le décor,

Bouger ce dernier,

Un peu, beaucoup, passionnément ou fort

Pour un denier,

Et  s’il cesse de produire, pour le dépenser,

Il tombera,

Lors  un personnage sur la scène, à profiter

Le démasquera.

Il n’y a pas   d’alternatives, nous  dira-t-on :

Ramons en bateaux,

Pour  nous  sauver, si possible, en  direction

Des nouveaux capitaux,

Mais, si c’étaient des radeaux de la Méduse,

Sans vrais capitaines,

C’est, une fois de plus, de nous, qu’on abuse,

Et  qu’on  entraine,

En faillite  d’un monde, sans  aucune  valeur,

Que tous en pleurs,

De ses paradis perdus, de ces fruits  et fleurs,

De nos naufrageurs.

La plupart des humains n’ont pas de cupidité,

Au point de tuer

Les autres par n’importe quel moyen d’argent,

Ou les affamer.

L’union fait la force, voilà bien l’ancien dicton,

À s’appliquer,

Bien que  quelque  multinationale  l’ait dévoyé,

À son profit,

Toute multinationale, par finance,  pour argent

Ne connait de pays.

.

PERSONNAGE, ACTION

.

L’ont-ils été, seulement, un seul jour, ont-ils compté les morts,

Sur leur route ou  ne se sont-ils retourné, par le temps, pressé.

Certains diront qu’ils ne dirigent le Monde ni ne s’enrichissent

Augmentent croissance économique, profitant à tout le monde.

.

.

Textuel

.

Nous sommes des figurants dans le théâtre du

Monde, dirigés par des puissants qui n’en ont

pas honte ! Si certains croient régner pour le

salut de leur Nation si ce n’est, celui

d’Humanité, d’autres n’en ont cure : action qui

leur est bénéfique avant tout et les miettes

pour les nécessiteux ! L’ont-ils été un jour,

ont-ils compté morts en route ! Notre monde

est un théâtre où les jeux sont malchanceux

pour ceux qui n’ont rien que leurs yeux pour

être heureux. Le reste leur échappe dans ces

comédies qu’on leur joue, où on leur endosse

un personnage verni en dehors de tout.

Chaque figurant doit servir dans le décor en

bougeant ce dernier, un peu, beaucoup,

passionnément, en tous cas de plus en plus

fort, et cela pour un seul denier, et s’il cesse de

produire pour le dépenser, il tombera sur un

personnage qui cherche à profiter de lui, sur

scène, en le démasquant. Il n’y a pas

d’alternatives, nous dit-on : il nous faut ramer

dans des bateaux qui prennent l’eau, pour

nous sauver, si possible, en direction des

nouveaux capitaux que l’on voit émerger

comme des terres vierges et prometteuses,

mais ils deviennent radeaux de la Méduse,

sans vrais capitaines, et, une fois de plus, c’est

de nous qu’on abuse, et qu’on entraine en

faillite dans un monde qui a perdu toute vraie

valeur et que, tous en pleurs, nous regrettons

les paradis perdus de fruits et fleurs de nos

dirigeants naufrageurs. Dieu merci, la grande

majorité des humains n’ont pas de telles

cupidités au point de tuer les autres par

n’importe quels moyens, armes ou argents ou

les affamer, par disettes ou blocus. On dit que

l’union fait la force ! Voilà un vieux dicton à

appliquer, bien que quelque multinationale

l’ait dévoyé, à son profit, toute multinationale,

par finance, pour argent, ne connait de pays.

À nous de les reconstituer pour une vie plus

belle !

.

.

Poème

.

Nous sommes des figurants dans

Le théâtre du Monde,

Dirigés  par des puissants, et qui

N’en ont  pas  honte !

Si certains  croient  régner, pour

Le salut de leur Nation

Si ce n’est d’Humanité, d’autres

N’en ont cure : action,

.

Notre monde est un théâtre ou les jeux

Sont malchanceux

Pour ceux qui n’ont rien que leurs yeux

Pour être heureux.

Le reste leur échappe dans ces comédies

Qu’on leur … joue,

Où on leur endosse un personnage verni,

En dehors de tout.

Chaque figurant doit servir dans le décor,

Bouger ce dernier,

Un peu, beaucoup, passionnément ou fort

Pour un denier,

Et  s’il cesse de produire, pour le dépenser,

Il tombera,

Lors  un personnage sur la scène, à profiter

Le démasquera.

Il n’y a pas   d’alternatives, nous  dira-t-on :

Ramons en bateaux,

Pour  nous  sauver, si possible, en  direction

Des nouveaux capitaux,

Mais, si c’étaient des radeaux de la Méduse,

Sans vrais capitaines,

C’est, une fois de plus, de nous, qu’on abuse,

Et  qu’on  entraine,

En faillite  d’un monde, sans  aucune  valeur,

Que tous en pleurs,

De ses paradis perdus, de ces fruits  et fleurs,

De nos naufrageurs.

La plupart des humains n’ont pas de cupidité,

Au point de tuer

Les autres par n’importe quel moyen d’argent,

Ou les affamer.

L’union fait la force, voilà bien l’ancien dicton,

À s’appliquer,

Bien que  quelque  multinationale  l’ait dévoyé,

À son profit,

Toute multinationale, par finance,  pour argent

Ne connait de pays.

L’ont-ils été, seulement, un seul jour,

Ont-ils compté les morts,

Sur leur route ou  ne se sont-ils retourné,

Par le temps, pressé.

Certains diront qu’ils ne dirigent le Monde

Ni ne s’enrichissent

Augmentent croissance économique, profitant

À tout le monde.

 .

.

Extensions

.

Enchanter le Monde suppose

Qu’il l’ait déjà été, par le passé

Car on ne crée pas un avenir sans

S’appuyer sur lui, se comparer à lui,

Se démarquer de lui, pire ou meilleur.

Il y aura, toujours, des vagues de fond,

Qui tenteront de ramener l’Humanité

Vers un nouvel équilibre, mais elles

Ne feront que passer, et, belle furie

Des tempêtes de profits des nantis,

Reprendra vite le dessus car ils sont

Seuls à être au pouvoir et organisés.

La loi de la jungle … en quelque sorte,

Le tout en dépit d’un arsenal de mesures

Juridiques contournables, inapplicables !

.

Où est passé le quinzième homme du haut le modèle, le vrai ?

Où est passé le douzième homme : celui qui prend la photo ?

Où est passé le neuvième homme : celui dans les coulisses ?

À ce jeu-là, on arrivera à un quand on est deux en réalité

Et je ne vous parle pas  des acteurs multi-personnages.

Nous en sommes  tous, avec divers masques, visages,

Sauf les sages authentiques qui n’en  jouent aucun.

.

Chacun a une représentation du Monde

Qui lui est propre, et ce bien que partagée

Avec sa famille, communauté, voire société,

Évoluant avec le temps, avec les événements

.

Mais le socle demeure le même, comme câblé,

Le cerveau reconnait, intègre, parfois, renforce

Ce qu’il connait, qu’il choisit, à quoi il adhère.

C’est un travail, sur soi, pour faire contraire.

.

Cela dit, quand l’on a décidé de rebondir,

Ça peut marcher et voyager, aide autant

Quoiqu’on dise, fasse, on restera le même

Comme sa langue maternelle qu’on ne renie.

.

.

Forme  

.

 .

Évocation

.

Un  piédestal,  stylé, en pierre,

Une borne  anti stationnement,

Un simple touret que certaines,

Transformerait en un objet d’art.

.

.

Un touret, oui mais, tout autant,

Si l’on veut, un objet d’art :

Autant de perceptions que suggère

Notre propre imagination !

.

Bien que le touret  ici soit bien tourné en vers

L’envers ne correspondrait en rien à l’endroit

Tant et si bien que la forme s’élone du fond !

.

Symbolique

Le touret de câbles  électriques,

Est  objet  polyvalent

Qui  permet  de  créer

Un   meuble  original.

Facile   à  customiser,

Le touret en bois peut

Être peint  ou  patiné.

.

De trouver un touret 

En bon état est difficile

Tant ils sont consignés:

Bien  des  tourets  sont

En parfait état, prêts à être décorés.

madecovintage.com/53-les-tourets

.

Descriptif

.

826 – Envers, endroit : personnage, action  (IV)

Alignement central / Titre  intercalé / Thème usage

Forme droite/ Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole forme : touret/ Symbole fond : objet d’art

.

.

Fond  

.

Évocation 

.826 6

.

Un touret, oui mais, tout autant,

Si l’on veut, un objet d’art :

Autant de perceptions que suggère

Notre propre imagination !

 . 

Symbolique 

L’objet n’a pas fini de nous étonner

Par ses transformations ;

Par ses réutilisations,

Par nouvelles affectations d’usages.

Il peut devenir prétexte

Ou un support à notre imagination,

En y intégrant ou non

Un message concret ou abstrait

Au travers de la réalisation

 D’un objet d’art.

 .

Fond/forme 

 .

Le même touret, avec ses plateaux, peints en noir,

Et son cylindre arborant nombre dessins, couleurs

S’est transformé en objet de design, en objet d’art

Qui frappe l’œil, l’imaginaire ferait presque oublier

L’objet premier avec son utilité des plus primaires.

.

Peut-on en faire autant du monde en lequel on vit

J’en doute, et même, ce ne serait que le rhabiller,

Non le transformer, non le réhabiliter, embellir

Or c’est ce qu’on attend pour le réenchanter !

.

Un touret comme enrouleur de câblés

Mais comment en faire un objet d’art,

Sinon en le rimant comme un… poème

Dont vers correspondraient à ses tours. 

.

.

Visuel 

.

826 1

.

Photos, impression que je suis

le même et qu’il manque le vrai,

.

826 2

.

j’avais pourtant commencé jeune

figurant dans un séminaire,

.

.

826 3

.
mais je n’aurais guère progressé,

 à présent, en représentation.

.

.

l’humain : conscience et bonheur :

conscience quand il est parti

.

.

Épilogue

.

à rédiger sous forme d’histoire

.

.

Visuels et textuels  >>

825 – Envers, endroit : personnage, action (III)

Visuels et textuels >>

.

Calligramme

.

Ce n’est pas moi qui suis à l’envers : monde qui n’est plus à l’endroit

Qu’est-ce que j’y peux moi,  en juge, redresseur, de n’importe quoi !

Il y a des gens qui en sont responsables, jamais déclarés coupables.

.

L’ENVERS ET L’ENDROIT 

.

C’est vrai, je suis envers et contre tout

Me rétorquerez-vous :

Mais de là, à me prendre pour un fou,

Je ne sais pas, j’avoue :

C’est l’économie qui n’est plus debout

Lors le Monde, à genoux,

Implore les États de boucher les trous

En jouant avec nos sous.

Faut-il simplement changer de décor

Pour retrouver de l’or,

Changer les personnages, les dehors,

Et mensonges encore

Ou changer cours des actions, à tort,

Rebondir plus fort,

En vers, et en droit : je sens la mort,

En  proche  sort.

Voilà  qui  n’est  point,  réjouissant,

Je vous l’avoue,

Voilà qui sent, et qui coule, le sang,

Joue contre joue.

Mais tout ne sera pas perdu, enfin,

Pour autant 

Et que chacun se prenne en mains,

Soit content

Pour faire naitre  une nouvelle ère,

Sans argent,

Plus égalitaire, oui mais comment !

Pas évident

De changer de règles, les appliquant,

Non à la lettre

Mais dans leur esprit en se respectant

Plus entre êtres,

C’est simple, comme pour  démocratie,

Car si  elle  existe,

Voter  pour elle, ce serait  faire  qu’ainsi,

Encore elle persiste. 

 .

PERSONNAGE, ACTION

 .

Il me reste à croire : ce sont petits ruisseaux, qui ont, de tous temps,

Fait les grandes rivières, les grands fleuves, et voire les grandes mers,

Jusqu’où ira la cupidité, et voire la folie des hommes, pour s’enrichir.

.

.

Textuel

Ce n’est pas moi qui suis à l’envers, c’est le

Monde qui n’est plus à l’endroit ! Et qu’est-ce

que j’y peux, rien que moi, à être juge,

redresseur, n’importe quoi ! Il y a des gens qui

en sont responsables mais ne seront jamais

déclarés coupables. Il y a des gens qui en sont

coupables mais ne seront jamais déclarés

responsables. Il me reste à croire que les petits

ruisseaux ont toujours fait les rivières et que,

par conséquent, moi, ma mère, toutes mes

sœurs, sans compter père et frères, peuvent

ralentir son déclin. Je suis envers et contre

tout, me direz-vous ! De là, à me prendre pour

un fou, je ne sais pas, mais je vous l’avoue :

« ce n’est pas moi, c’est le Monde qui n’est pas

debout, et c’est le Monde, à genoux, qui

implore les États de boucher les trous créés

par des financiers cupides en jouant avec nos

sous ». Faut-il simplement changer le décor

pour retrouver de l’or, changer les

personnages ou les mettre dehors, de

nouveaux mensonges encore ou changer le

cours des actions, à tort ! Rebondir plus fort,

en vers et en droit, je sens la mort comme mon

proche sort : voilà qui n’est point réjouissant,

je vous l’avoue, voilà qui sent, coule le sang,

joue contre joue. Mais tout n’est pas perdu,

enfin, pour autant que chacun se prenne en

mains, soit content de faire naitre une

nouvelle ère, sans argent, donc plus égalitaire !

Oui, mais comment ! En changeant les règles

et en les appliquant, non à la lettre mais dans

leur esprit et en se respectant plus, entre

êtres : c’est simple comme une démocratie, si

tant est qu’elle existe et voter pour elle, est

faire, qu’ainsi, en vous, en tout, elle persiste.

.

.

Poème

 .

Ce n’est pas moi qui suis à l’envers :

Monde qui n’est plus à l’endroit

Qu’est-ce que j’y peux moi,  en juge,

Redresseur, de n’importe quoi !

Il y a des gens qui sont responsables,

Mais jamais déclarés coupables.

.

C’est vrai, je suis envers et contre tout

Me rétorquerez-vous :

Mais de là, à me prendre pour un fou,

Je ne sais pas, j’avoue :

C’est l’économie qui n’est plus debout

Lors le Monde, à genoux,

Implore les États de boucher les trous

En jouant avec nos sous.

 .

Faut-il simplement changer de décor

Pour retrouver de l’or,

Changer les personnages, les dehors,

Et mensonges encore

Ou changer cours des actions, à tort,

Rebondir plus fort,

En vers, et en droit : je sens la mort,

En  proche  sort.

 .

Voilà  qui  n’est  point,  réjouissant,

Je vous l’avoue,

Voilà qui sent, et qui coule, le sang,

Joue contre joue

Mais tout ne sera pas perdu, enfin,

Pour autant 

Et que chacun se prenne en mains,

Soit content

Pour faire naitre  une nouvelle ère,

Sans argent,

Plus égalitaire, oui mais comment !

.

Pas évident

De changer de règles, les appliquant,

Non à la lettre

Mais dans leur esprit en se respectant

Plus entre êtres,

C’est simple, comme pour  démocratie,

Car si  elle  existe,

Voter  pour elle, ce serait  faire  qu’ainsi,

Encore elle persiste. 

 .

Il reste à croire : ce sont petits ruisseaux,

Qui ont, de tous temps,

Ait les grandes rivières, les grands fleuves,

Et voire les grandes mers,

Jusqu’où ira la cupidité, et voire la folie des

Hommes, pour s’enrichir.

.

.

Extension

.

Il n’y a pas de lien direct, évident, de cause à effet,

Entre ce que je fais et ce qui se passe dans le monde.

Et pourtant, l’humanité est faite d’individus,

Plus ou moins autonomisés, ou libres,

Conscients de leurs actes et voulant laisser

À ses enfants, un monde plus agréable que le sien.

Or malgré les progrès de la Science, et de la Médecine,

De la Technologie, du Droit et de la protection sociale,

Nous en sommes venus à ne plus être à fait certain.

On vit plus vieux, mais pas mieux qu’autrefois,

Tout le monde ne tire pas profit à égalité,

Des progrès en toute matière et genre.

L’accélération  de l’endroit  entraine

Une accélération  de fait de l’envers,

Jusqu’à un emballement planétaire :

C’est nouveau et l’on ne sait qu’en faire

Pour l’éviter voire sinon même pour le gérer.

.

Imaginez un monde à l’envers n’est pas si difficile,

Il suffirait d’une lentille qui changera le haut en bas

Mais, si cela est très simple, pour l’univers physique,

Il n’en serait pas de même pour le monde psychique.

Il est vrai que l’absence de gravité, est spectaculaire,

Vérité en deçà des Pyrénées, devient erreur au-delà,

Observe, conclut déjà Montaigne dans ses Essais.

.

Le Monde est à l’envers et moi, à l’endroit

Il y a quelque chose en vision qui ne va pas

Les savants parlent de chiasma, croisement

Optique des nerfs des yeux : gauche et droit.

.

La vision en miroir est une sorte d’inversion :

Si vous n’y croyez pas, tentez de vous peigner,

Imaginez qu’il en serait  ainsi  pour la gravité,

Difficile, en tel cas, d’avoir les pieds sur terre !

.

L’on peut imaginer que  vérité est mensonge,

Ou le contraire : dans le domaine psychique,

Tout est possible : terre plate ou terre ronde

Or comment s’adapter si tout est à l’envers.

.

.

Forme  

.

.

Évocation

 .

Ça peut être un touret pour câbles,

Ou vis de pressoir, servant  de table, 

Ou de piédestal pour objet décoratif,

Dans une belle idée d’un double usage !

 .

825 4

.

Objet détourné à partir d’une vis de pressoir

Pour en faire une table de bar

Ou piédestal pour y poser un objet décoratif

Lampe ou vase avec des fleurs.

.

Il y aura peu de ressemblance, de concordance

Entre fond du poème et les formes symboliques

Ce qui rendra le rapprochement plutôt distant !

 .

Symbolique   

 .

Un  piédestal  est  un  support  isolé,

Qui servira  à recevoir  une colonne,

Une statue,  un buste, ou voire, un

Grand objet d’art  et  d’ornement

Vase, candélabre, stèle, fontaine.

.

Quand   une  personne   idéalise

Quelqu’un,  de façon exagérée,

On utilise, parfois, l’expression

Le « mettre sur un piédestal ».

.

À l’inverse, descendre quelqu’un

De son piédestal serait être déçu

En regard  de l’image – par trop –

Positive qu’on avait de cette personne.

Wikipédia : piédestal

.

Descriptif

.

825 – Envers, endroit : personnage, action  (III)

Alignement central / Titre  intercalé / Thème usage

Forme droite/ Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole forme : touret/ Symbole fond : double-usage

.

.

Fond  

.

Évocation 

.

825 3

.

Objet double usage : une table 

Mais retournée, un siège

Et on peut aussi s’en servir comme

Pour enrouler des câbles.

 .

Symbolique

 .

La symbolique en plus de l’objet :

Recyclage en bout de canapé,

Ou table basse,  de tourets.

.

De même pour des palettes

De livraison en bois classiques,

Transformés en meuble, étagère, siège.

.

Le double usage par réutilisation directe

Ou autre transformation n’a d’autre limite que

La réinvention et voire le détournement des objets.

Fond/forme 

 .

Le double usage est un recyclage sémantique

On refait le monde  en utilisant autre langage,

Mais cela ne trompe personne, on y croit pas

Le monde s’en va à l’envers, marche arrière

Tout le monde prétend qu’il va de l’avant.

.

Cette forme est basée sur un piler à vis

Une vis de pressoir ou d’autre chose

Esprit double usage, table de bar.

.

.

Visuel 

.

825 1

.

En cas d’inversion de notre gravité,

qu’est-ce que ça pourrait donner,

.

825 2

.

notre tête serait à l’envers, le corps

en cette insoutenable posture,

.

825 3

.

imaginez que tout bascule s’il n’y a

plus de nord et y a plus de sud !

.

.

L’endroit est mortel et pas éternel,

la mort est naissance à l’envers.

.

.

Épilogue

.

à rédiger histoire à raconter

.

Visuels et textuels >>

824 – Envers, endroit : personnage, action (II)

Visuels et textuels >>

.

Calligramme

.

Hypocrisie ou … mauvaise foi,   mène le monde à se persuader

Qu’on a raison … même quand on sait, fort bien, qu’on  a tort.

En permutant, envers, endroit, on ne sait plus ce que l’on croit

Intelligence, ou force de ruses, nous convainc  ou  nous amuse.

.

ENVERS, ENDROIT 

.

Les relations humaines dans le monde

Sont ce qu’elles sont,

L’on ne peut changer  la face du monde

D’un coup de bâton !

Mais, peut-on se préserver de l’immonde

Mensonge du profit

Dont tous se servent sauf… le tiers monde,

Qui n’en a rien pris.

Sous de faux décors,  de cacher des actions,

Qu’on dit usurpations

De personnes et personnages en prête-noms,

On crée manipulations.

En mutant, en permutant l’envers  et l’endroit,

On croit ce qu’on voit,

Ce que l’on prend, comprend étant de bonne foi

Lors, en dehors des lois.

Intelligence, et ruses, voisinent, avec  la perfidie

Des combines sordides

Qui  vous échappent, ou, qui vous  sapent, la vie,

Ou vide le portefeuille.

L’âme, en peine, esprit, en déroute, cœur, lourd,

À travailler des jours

Pour, au final, mettre  vos  dividendes, au cours,

Actionnaire vautour.

On ne change plus, les réalités, qui nous gênent,

On les renomme :

Comme ça, c’est plus simple, subtil, et en scène,

Il n’y a personne

Conteste nouveau scénario, changeant  un mot,

Par ci, par là.

On ne crée pas de drame profitant au propos

Sémantique qui sert

Aux critiques à s’accommoder de politiques

Qui tous vous niquent,

L’on se réveille enfin quand l’économique

Est en grande panique !

 .

 PERSONNAGE, ACTION 

 .

Homme public, professionnel, ignore homme privé, charnel,

Opacité de l’un  et transparence d’autre font personne biface

Sommes contraints d’avoir deux identités qui se complètent,

ce ne sont pas des masques, juste images privée et publique.

.

.

Textuel  

 

Hypocrisie, ou mauvaise foi, mène le monde à

se persuader qu’on a raison et même quand on

sait, fort bien, qu’on a tort. En permutant,

envers/endroit, on ne sait plus ce qu’on croit :

intelligence et force de ruses, nous convainc,

nous amuse. Homme public, professionnel,

ignore l’homme privé, charnel : opacité de l’un

et transparence de l’autre, font une personne

biface. Les relations humaines dans le monde

sont ce qu’elles sont, on ne peut changer la

face du monde d’un coup de bâton ! Mais

peut-on se préserver de l’immonde mensonge

du profit dont tous se servent sauf le tiers

monde, qui n’en a rien pris. Sous de faux

décors, au prétexte de cacher des actions,

qu’on appelle des usurpations de personnes et

personnages en prête-noms, on crée des

manipulations, aveux de faiblesse. En mutant,

en permutant l’envers et l’endroit, l’on finit

par croire ce qu’on voit, ce que l’on prend, l’on

comprend, comme étant de bonne foi alors

qu’on est en dehors des lois. L’intelligence et

la ruse voisinent avec la perfidie des combines

sordides qui vous échappent ou qui vous

sapent la vie, pire encore vous vide le

portefeuille et avec votre accord en plus.

L’âme en peine, l’esprit en déroute, le cœur

lourd à travailler des jours  et des jours pour,

au final, mettre vos dividendes au cours

d’actionnaires vautours qui vous auront fait la

cour. On ne change pas les réalités qui nous

gênent, on les renomme : comme ça, c’est plus

simple, c’est plus subtil, et une fois mis en 

scène, il n’y a plus personne qui contestera le

nouveau scénario auquel on a changé un mot

par ci, un mot par là. On ne crée pas de drame

qui donnerait cours à un lever de bouclier de

propos sémantiques qui serviront aux

critiques à s’accommoder des politiques qui

vous niquent. L’on se réveille enfin quand

l’économique est en grande panique ! 

Homme public, professionnel, ignore homme

privé, charnel, opacité de l’un  et transparence

d’autre font personne biface.

.

.

Poème

 .

Hypocrisie ou … mauvaise foi, 

Mène le monde à se persuader

Qu’on a raison … même quand

On sait, fort bien, qu’on  a  tort,

En permutant,  envers,  endroit,

On ne sait plus ce que l’on croit

Intelligence, ou  force  de ruses,

Nous convainc  ou  nous amuse.

.

Les relations humaines dans le monde

Sont ce qu’elles sont,

L’on ne peut changer  la face du monde

D’un coup de bâton !

Mais, peut-on se préserver de l’immonde

Mensonge du profit

Dont tous se servent sauf… le tiers monde,

Qui n’en a rien pris.

Sous de faux décors,  de cacher des actions,

Qu’on dit usurpations

De personnes et personnages en prête-noms,

On crée manipulations.

En mutant, en permutant l’envers  et l’endroit,

On croit ce qu’on voit,

Ce que l’on prend, comprend étant de bonne foi

Lors, en dehors des lois.

Intelligence, et ruses, voisinent, avec  la perfidie

Des combines sordides

Qui  vous échappent, ou, qui vous  sapent, la vie,

Ou vide le portefeuille.

L’âme, en peine, esprit, en déroute, cœur, lourd,

À travailler des jours

Pour, au final, mettre  vos  dividendes, au cours,

Actionnaire vautour.

On ne change plus, les réalités, qui nous gênent,

On les renomme :

Comme ça, c’est plus simple, subtil, et en scène,

Il n’y a personne

Conteste nouveau scénario, changeant un mot,

Par ci, par là.

On ne crée pas de drame profitant au propos

Sémantique qui sert

Aux critiques à s’accommoder de politiques

Qui tous vous niquent,

L’on se réveille enfin quand l’économique

Est en grande panique !

 .

Homme public, professionnel,

Ignore homme  privé, charnel,

Opacité de l’un et transparence

D’autres feront personne biface

Sommes contraints d’avoir deux

Identités mais qui se complètent,

Ce ne sont pas des masques, juste

Images privées, images publiques.

.

.

Extension

.

L’hypocrisie mène le monde, transparence :

Ce n’est pas tant  qu’elle soit  à l’extérieur,

Fortement  critiquable,  sinon  voyante,

Que, tapie  au fond  de nous,  comme

Une seconde peau,  un personnage

D’emprunt du fait même qu’elle

Est liée à éducation et culture

Commerce, en bref de notre

Manière d’être au Monde.

 .

C’est parce qu’on pleure qu’on apprécie de rire

C’est parce qu’on ment, qu’on apprécie la vérité,

Qu’on est blanc et noir  qu’on apprécie contraste.

Comme il n’y a pas d’endroit, sans avoir d’envers,

Qu’il n’y aura pas d’ombre sans avoir de lumière

On peut dire à la fois une chose, son contraire.

.

Bon nombre de gens porte un masque

Plus ou moins voyant, épais, couvrant,

Comme pour se protéger nudité d’âme,

On ne pourra tout dévoiler sans danger.

.

Dévoiler c’est sûr mais, dévoyé, probable :

Faire bonne figure pour paraitre honorable

Un sourire, commercial, figé, comme  forcé,

En est l’illustre emploi, en sus, recommandé.

.

Jean qui rit, Jean qui pleure  mais qui, en fait,

Jamais ou rarement ne fait l’un deux sciemment

Les promesses n’engagent que ceux qui les croient

Situations du même tonneau, de pleines hypocrisies.

.

.

Forme  

.

.

Évocation

 .

Cela pourrait être un touret pour câbles,

Ou vis de pressoir, servant de table, 

Dans l’idée et l’intérêt du recyclage

Et qui profite à tous même à l’art.

.

Une vis de pressoir pour compresser matières

Tout en bois, bien façonné

Conserver comme parmi autres pièces de musée.

.

Mais le thème ne se superposerai pas 

Ici, à une forme de quelque peu insolite,

Qui a peu à voir avec  une vis de pressoir.

 .

Symbolique   

 .

Pressoir (vinification) :

Le pressoir permet par le pressurage,

L’extraction par pression du jus des grappes.

Le pressoir va donner naissance à un art religieux:

.

Le Pressoir Mystique qui fut traité par les

Peintres-verriers nos cathédrales au XVIIe siècle

(Saint-Pierre et Saint-Paul de Troyes

Ou Saint-Etienne-du-Mont à Paris).

.

D’anciennes légendes mentionnaient

Déjà le pressoir parmi  les inventions

Léguées aux hommes  par  les dieux.

Cet   outil  ne   présidait-il  pas  à  la

Transformation quasi miraculeuse

Du raisin en vin !

dico-du-vin.com/pressoir-vinification

 .

Descriptif

.

824 – Envers, endroit : personnage, action  (II)

Alignement central / Titre  mots entiers / Thème choix

Forme droite/ Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole forme : pressoir/ Symbole fond : recyclage

.

.

Fond  

.

Évocation 

.

.

On croyait reconnaitre l’objet

Et cela en est devenu une autre,

Les choses ont un premier usage

Et un second par le recyclage.

 .

Symbolique 

 .

Face à l’amoncellement de leurs déchets,

Des entreprises offrent aujourd’hui, au designer,

Le soin d’imaginer une seconde vie pour leurs rebuts.

Les créateurs redoublent alors d’idées de recyclage

En vue de créer des objets uniques réalisés à partir

De tout ce qui était autrefois destiné à la poubelle.

Modifié, source : Journal Le Parisien

 .

Fond/forme 

 .

Une forme basée sur un piler à vis

Une vis de pressoir ou d’autre chose

Un esprit  recyclage  pour table  de bar :

Le tout serait bien rimé par  la progression

De celle-ci ,de haut en bas et de bas en haut.

.

L’hypocrisie se recycle à tous les régimes

Dans ses manières de manipuler les faits

Et les remèdes qui lui seraient associés

Y a pas que les objets qui soient remis

Dans le circuit, après restauration.

.

Il y a aussi principes et méthodes

Qui mènent politique et société.

Envers et endroit mènera à tout

Dès qu’il s’agirait de la personne,

Tantôt bonne et tantôt  mauvaise,

Et cela sans trop savoir pourquoi.

 .

.

Visuel

.

824 1

.

J’hésite entre masque de Jean qui rit,

et Jean qui pleure,

.

824 2

.

hypocrite : j’énonce deux paroles,

fausses mais crédibles,

.

824 3

je suis un zèbre rayé par défaut

de n’avoir pas fait de choix, 

.

.

.

.

entre être en manque et comblé :

lequel serait l’envers et l’endroit !

.

.

Épilogue

 .

à rédiger histoire à raconter

.

Visuels et textuels >>

823 – Envers, endroit : personnage et action (I)

Visuels et textuels >>

.

Calligramme

.

Envers,  E   endroit ;

En vers  N   en droit.

Envers   V  quel mot

Est-on   E    en droit

D’inter  R     prêter,

En con   S       texte.

Ce qui     ,       est soi

Est un    *   masque,

Est per  E  sonnage,

Tient d’ N  un reflet

Du men D      songe,

Authen   R        ticité.

Comment  O        en être

Très trans   I          parent,

En se pro     T         tégeant,

Simul …….  tané  ..…… ment,

Qui confondent    *   envers, endroit,

Décor, personne,  P     action, dépréciés.

Je me crois libre,    E          et c’est mon droit,

Car j’ai mis mon     R           costume à l’endroit

Mais je ne cesse       S             d’essuyer des revers

Dans notre monde    O               où tout est envers !

Comment peut-on      N               être  transparent !

Mais pourquoi faire,    N               sinon l’innocent.

Habillez-vous de mas    A             ques et parures,

Qui vous procureront     G          fières   allures.

Toutes les hypocrisies      E      sont au cœur

De nos préoccupations ou  *  bonheurs.

Des gens, vous attrapent, au pas,

Vous tombent, véritable

Ami   dans  vos   bras,

Et ils  vous plombent,

En ennemi sur les bras

Comme bombes toujours   A   prêtes à exploser en l’air

Misère de misère à qui se   C   fier pour ne plus se faire

Extorquer plus qu’hier, à    T   confondre vraies fausses

Actions premières qu’on     I    diraient être en hausses,

Quand ils baissent tant      O   les paroles et confiances

En bénéfices vous       N      taillent costumes.

Suis envers et contre tout

Me direz-vous … c’est fou,

Suis en droit d’être envers,

Dès lors que je me contrefous

Comme partout, ailleurs, mais c’est mon droit,

Car je me proclame pour une justice à mon endroit

Tant que je me réclame, de vous, des autres,  des sociétés.

.

.

Textuel

.

Envers et endroit ; en vers et en  droit ! Envers

quel mot est-on en droit d’interpréter en

contexte, ce qui est soi, est un masque, est

personnage, tient du reflet, du mensonge, de

l’authenticité. Comment être très transparent

tout en se protégeant, et simultanément, de

tous événements qui vous seraient traitres.

Je suis envers et contre tout, me direz-vous !

Envers et je m’en contrefous de tout comme

de partout et d’ailleurs ! Mais c’est mon droit,

je me proclame pour une justice à mon endroit

tant que je me réclame, de vous, des autres,

des sociétés, confondant l’envers et l’endroit,

et lors, décors, personnes, actions, seront tous

autant dépréciés. Je me crois libre, et c’est

mon droit, et j’ai mis mon costume à l’endroit,

mais je ne cesse d’essuyer des revers dans un

monde où tout est à l’envers. Comment peut-

on être transparent ! Et pourquoi faire, sinon

pour jouer l’innocent ! Habillez-vous plutôt de

masques et de parures qui vous procureront

de bien fières allures. Bien des hypocrisies

sont au cœur de nos préoccupations, nos

bonheurs : peaufinez vos compétences de

tricheur, vous gagnerez votre vie avec

beaucoup plus d’ardeur. Des gens vous

attrapent en suivant votre  pas et ils vous

tombent dessus comme en véritable ami dans

vos bras et puis ils vous plombent en véritable

ennemi sur les bras, vous menaçant d’autant

de bombes prêtes à exploser en l’air. Misère de

misère : à qui se fier de nos jours pour ne plus

se faire extorquer plus qu’hier, et pour ne pas

confondre les  vraies et fausses actions

premières pour soulager la Terre ! Il y a

certains qui disent que les actions sont en

hausse alors qu’ils sont en baisse tandis que

leurs paroles, confiances en leurs bénéfices,

sur votre dos, vous taillent des costumes. Suis

envers et contre tout  me direz-vous … c’est

fou, suis en droit d’être envers, dès lors que je

me contrefous comme partout, ailleurs, mais

c’est mon droit, car je me proclame pour une

justice à mon endroit tant que je me réclame,

de vous, des autres,  des sociétés.

.

.

Poème

.

Envers, endroit ;

En vers, en droit.

Envers, quel mot

Est-on   en  droit

D’in-ter-prê-ter :

En, hors contexte.

.

Ce qui reste en soi

Approche masque,

Est un personnage,

Qui  tient du  reflet

Entre  le mensonge,

Vraie  authenticité !

.

Comment  demeurer

Des plus transparents

Tout  en  se  protégeant

Et voire,  simultanément,

Confondant envers, endroit,

Décor, personne, action, biaisés

.

*******************************

.

Je me crois libre, et c’est mon droit,

Car j’ai mis mon costume à l’endroit,

Mais, je ne cesse d’essuyer des revers,

Dans notre monde où tout est envers !

Comment  peut-on  être  transparent !

Et,  pourquoi faire,  sinon  l’innocent !

.

Habillez-vous de masques et parures

Qui vous procureront fières   allures.

Toutes les hypocrisies sont au cœur

De nos préoccupations bonheurs.

Des gens vous attrapent au pas,

Vous tombent, véritablement

En   ami   dans  vos   bras,

Puis  ils  vous plombent,

En ennemi sur vos pas.

.

**********************************

.

Comme bombes, toujours prêtes à exploser en l’air,

Misère de misère, à qui se fier pour ne plus se faire

Extorquer plus qu’hier, à confondre vraies fausses

Actions premières que l’on dirait être en hausses,

Quand ils baissent tant les paroles et confiances

Faux bénéfices espérés, vous taillent costumes.

.

Suis envers et contre tout, direz-vous, c’est fou,

Suis en droit d’être envers, lors je me contrefous

C’est comme partout, ailleurs, mais c’est mon droit,

Tant je me proclame, pour une justice, à mon endroit,

Tant que je me réclame, de vous, des autres, des sociétés.

.

.

Extension

.

x

.

Trois figures : doubles, dissociatives, inverses !

Le même homme, la même femme, même effigie :

Double costume, double conscience, double  visage !

C’est plus fort que la polysémie des mots communs,

Parce qu’ils sont, et en même temps, vrais et faux,

Ou qu’on ne sait comment les prendre en défaut.

 .

***

.

L’endroit serait proche de l’authenticité

Tandis qu’envers, proche de l’hypocrisie

Si certains ne pencheront que seul côté,

D’autres joueront  tantôt l’un  et l’autre.

.

Les personnes instables, voire toxiques,

Sont difficiles à décoder, imprévisibles :

On ne sait avec eux sur quel pied danser,

Lors certains demeurent lisible à l’œil nu.

.

Les mythomanes se font, parfois, prendre,

À leurs pièges, comme un arroseur, arrosé,

Ne se souvent plus quoi et à qui, ont menti,

Ils se dévoilent, se contredisant totalement !

.

.

Forme 

.

.

Évocation

 .

Une lampe à pétrole de type rétro,

Un réservoir, une mèche, un verre :

Sinon quoi d’autre …   je ne vois pas,

Mais votre imagination y suppléera.

.

823 4

.

Toute lampe à pétrole : réservoir, flamme,

Et cheminée en verre

Il y en a des rétros, et autres plus modernes,

Leur principe est identique.

.

La forme de l’objet et du poème se superposent

Et les rimes fonctionnent  en dépit des formes,

Ici, la lampe n’est pas en phase avec le thème.

 .

Symbolique 

.

Le symbolisme

De la lampe est

Lié  à  celui  de

L’é-ma-na-tion

De  la  lumière.

.

La lampe est une

Représentation de l’homme :

Comme lui elle a un corps d’argile,

Âme végétative, ou principe de vie

Qui est huile, esprit étant  flamme.

.

L’usage chrétien d’offrir

Et  de brûler  des cierges,

Devant la statue des saints,

Symbolise à la fois le sacrifice,

Amour, présence, comme flamme.

.

Descriptif

.

823 – Envers, endroit : personnage, action  (I)

Alignement central / Titre  analogue / Thème choix

Forme courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole forme : lampe/ Symbole fond : verre

.

.

Fond

.

Évocation 

.

823 6

.

Deux fonctions du verre :

Une à l’endroit, une à l’envers :

Empêcher la flamme de s’éteindre,

Tout autant qu’amplifier sa lumière.

 .

Symbolique 

 .

Constituant

Substitut au  soleil,

Ou   comme   dispositifs

De mise en valeur, lampes

Sont l’objet d’appropriations

 Symboliques, de coutumes,

De rituels en éclairant

L’endroit et l’envers

Par une source  de  lumières

À l’intérieur, extérieur, du verre

Modifié forme, source : Wikipédia

 .

Fond/forme 

 .

Les verres, lampe ancienne, à pétrole ont disparu

Mais leur empreinte est restée  dans les mémoires

Collectives qui se transmettent de mères en filles

Son halo de lumière plus inspirant qu’ampoule

Électrique aurait un endroit, plus un envers.

.

Tout est question d’éclairage sur un objet

Selon l’angle où la lumière s’y reflète.

.

Le verre est pourtant des plus transparents

Il renvoie,  dos à dos,  deux visages opposés,

Un pour mieux voir, l’autre pour protéger.

.

Question de point de vue avant toute chose

La lampe s’éclaire elle-même et alentour !

.

Le vent lui sert pour s’enflammer, subsister

Et le verre empêche sa flamme de s’éteindre.

.

Tout feu, tout flamme, transparence et opacité,

Ont-ils quelque-chose à voir avec l’endroit, l’envers

Bien qu’éclairant question, on est en droit d’en douter.

.

.

Visuel 

.

823 1

.

Déguisé, l’on a peine à croire

qu’il s’agit du même homme,

.

823 2

.

tant lequel des deux, je suis,

le plus : un ange ou démon,

.

823 3

.

ou Janus, en personnage

à double face, double visage :

.

.

l’envers et le endroit, paradoxes,

solution : rester simple, humain.

.

.

Épilogue

.

.

à rédiger sous forme d’histoire

.

Visuels et textuels >>

822 – Avoir, être : identités, différences (III)

Visuels et textuels >>

.

Calligramme

.

Pauvreté extérieure,

Ne  voudra  pas dire

Pauvreté  intérieure,

Richesse   extérieure

Ne signifierait point

Richesse   intérieure,

L’amour est  richesse

Qui s’acquiert, certes,

Mais ne se vend point

Le respect est un droit

Trop souvent  argenté,

La peur  est  l’apanage,

Du  pauvre, ou,  affamé,

L’amour est le prix de sa

Liberté chèrement payée,

Lors le respect : son strict

Minimum  non encouragé.

Si le droit  empêchera  bien

Pauvres  de voler  les riches,

Pas riches voler les premiers

 Voilà comme système triche !

Tout comme religion enferme

 Ses  fidèles  en  modèle  révolu,

Mais n’exclut pas   les parvenus,

 Bénis  des dieux,   lors, bien reçus.

Peur du manque    tient  au  ventre !

.

 Faut  A  garder quelque chose à *  vendre,

Déjà   V   pour soi-même, qu’argent *  rentre

Pour   O   qui veut payer service, me  * rendre.

J’ai de   I    quoi vivre, oui mais au jour  *  le jour,

 Ou, je     R     n’en ai plus que pour la  fin   *  du mois.

Je n’en      *   aurais  plus : pour  un  an, de    D  vant moi

Alors que   Ê   j’avais, il y a dix ans, tant, tant    I     de jours.

Il est vrai    T   que mon avoir me rassurait sur    F   mon être.

Vrai, que    R     durable ou non est lors  mon ali   F  mentation

Pour faire    E    face à bien des crises, je survivrai  É   peut-être,

Si j’ai suffi   *   samment de bien à vendre en pos   R      session,

Car tout se   I   monnaie en argent, tout se vend    E    parait-il,

Mon corps   D   mon cœur, mon esprit, même   N   mon âme,

À quelqu’    E   un, à qui je livrerai tout, et    C   me damne,

Jusqu’à     N     ce que je me tue, meurs   E   ainsi soit-il.

Bien que   T    ma dignité, et mon     S    humanité,

Me con   I   duisent refuser tou   *  te nudité

Parfois,  T    suis contraint  *         forcé,

Pour   É   continuer à  *   exister.

.

Je vous ai bien eu,

Et l’on vous aura tous eu

À m’écouter, vous êtes perdus,

Si par avoir, et non être, je conclus.

Conclure entre être et avoir, impossible

Ceux qui veulent être, ont l’avoir pour cible,

Ceux qui ont tout passent pour indestructibles !

.

.

Textuel  

.

La pauvreté extérieure ne veut pas dire

pauvreté intérieure. La richesse extérieure ne

signifie point richesse intérieure.  Les deux

peuvent, bien sûr, cohabiter. L’amour est

richesse qui s’acquiert, certes, mais qui ne se

vend point. Le respect est un droit trop

souvent argenté. La peur est l’apanage du

pauvre ou affamé, lors l’oiseau en cage, du

riche ou insécurisé.  L’amour est le prix de sa

liberté chèrement payée dès lors qu’on lui

sacrifie tout. Respect  de soi, des siens, des

autres, à égalité. Parfois son strict minimum

n’est pas encouragé. Le droit est édicté pour

empêcher les pauvres de voler les riches mais

beaucoup moins les riches de voler les

pauvres car, en réalité, tout système

capitalistique triche ! Pour finir la religion

enferme ses fidèles dans un modèle révolu

tout en n’excluant pas les parvenus, bénis des

dieux et bien reçus car ils ont acheté leur foi

avec leur argent ou leur pouvoir, sinon les

deux. La peur du manque me tient au ventre :

il faut toujours que je garde quelque chose à

vendre, ne serait-ce que moi-même pour que

l’argent rentre, à qui veut bien payer ce

service, le rendre. J’ai de quoi vivre, mais au

jour le jour ; avant, j’en avais que pour jusqu’à

la fin du mois ; et avant encore, j’en avais pour

un an devant moi ; il y a dix ans, j’en avais

pour plus que mes jours ; c’est ainsi qu’on se

désocialise, voire qu’on se clochardise ! Mon

avoir me rassure sur mon être mais, durable

ou non, sera mon alimentation pour survivre.

Aux futures crises, je, peut-être, si j’ai du bien

à vendre et en ma disposition. Tout se

monnaie et tout se vend parait-il aujourd’hui :

mon corps, mon cœur, mon esprit, mon âme,

à quelqu’un à qui je livrerai tout et pour lui me

damne jusqu’à ce que je me tue, que je meurs,

ainsi soit-il !

.

.

Poème 

.

Pauvreté extérieure,

Ne  voudra  pas dire

Pauvreté  intérieure,

Richesse   extérieure

Ne  signifierait  point

Richesse    intérieure,

L’amour  est  richesse

Qui s’acquiert,  certes,

Mais ne se vend point.

.

Le respect est un droit

Trop  souvent  argenté,

La  peur  est  l’apanage,

Du  pauvre, ou,  affamé,

L’amour est le prix de sa

Liberté chèrement payée,

Lors le respect : son strict

Minimum  non encouragé.

.

Si le droit  empêchera  bien

Pauvres  de voler  les riches,

Pas riches, voler les premiers

Voilà comme système triche :

Tout comme  religion enferme

Ses  fidèles  en  modèle  révolu,

Mais n’exclut pas  les  parvenus,

Bénis  des dieux, lors, bien reçus.

Peur du manque, tient  au  ventre.

.

*************************************

.

Faut garder quelque chose à vendre,

Déjà pour soi-même, qu’argent rentre

Pour qui veut payer service, me  rendre.

J’ai de quoi vivre, oui mais au jour le jour,

Ou, je n’en ai plus que pour la  fin  du  mois.

Je n’en aurais  plus : pour  un  an, devant  moi,

Alors que  j’avais, il y a dix ans, tant, tant de jours.

Il est vrai  que mon avoir me rassurait sur mon être.

.

Vrai, que durable, ou non, est lors  mon alimentation

Pour faire face à bien des crises, je survivrai peut-être,

Si j’ai suffisamment de biens à vendre,  en possession,

Car tout se monnaie en argent, tout se vend, parait-il,

Mon corps mon cœur, mon esprit, même mon âme,

À quelqu’un, à qui je livrerai tout, et  me damne,

Jusqu’à ce que je me tue, meurs ainsi soit-il.

.

Bien que ma dignité, et mon humanité,

Me conduisent refuser toute nudité

Parfois, suis contraint, forcé,

Pour continuer à exister.

.

******************

.

Je vous ai bien eu,

Et l’on vous aura tous eu

À m’écouter, vous êtes perdus,

Si par avoir, et non être, je conclus.

Conclure entre être et avoir, impossible

Ceux qui veulent être, ont l’avoir pour cible,

Ceux qui ont tout passent pour indestructibles.

.

.

Extension

.

Bien que ma dignité, et mon humanité,

Me conduiront à refuser toute nudité,

Parfois, j’y suis contraint, forcé,

Pour continuer à exister.

Je vous aurai… bien eu,

Et l’on vous aura tous eu,

À m’écouter, vous êtes perdus,

Si par avoir, et non être, je conclus.

Conclure entre être et avoir, impossible !

Ceux qui veulent être ont l’avoir pour cible,

Ceux qui ont tout, passent pour indestructibles

Or ils ne le sont pas tant, lorsque la mort, un jour,

Les égalise et met avoir et être en terre pour de bon.

.

Certains hommes se croient invulnérables, protection rapprochée

 Ils ont comme une  conscience aigüe de leur fortune, indestructible,

Alors qu’ils sont en réalité, comme tous les autres humains, fragiles,

Une certaine modestie devrait les guider au lieu d’une folle cupidité.

Diogène a bien montré qu’on ne peut remplir un tonneau sans fond

Parlait-il davantage de richesse extérieure ou richesse intérieure ?

.

Avoir et être constitueraient deux illusions

Mais il faut distinguer plus que des nuances

Entre « avoir pour être » et « être pour avoir »

Tant il ne s’agit pas que d’inversion des valeurs.

.

Rien n’empêche d’avoir, de rechercher, les deux :

C’est le rêve de beaucoup mais peu le réussissent,

Ce n’est pas qu’une question d’argent, c’est d’être

Demandez-le à Diogène, détaché de tout et tous.

.

Comme si chacun avait un réservoir d’énergie,

Et qu’il l’utiliserait à bon ou à mauvais escient

Pauvre se lèvera pour gagner un billet de cent,

Et riche, à moins de cinq cent : pas intéressé !

.

.

Forme 

.

.

Évocation

.

Ça peut être lampe à huile, ou à pétrole

Ou voire  le réservoir  d’un narguilé

Foyer et cheminée chauffage à bois.

 .

.

La forme du narguilé et de la lampe à pétrole

S’éloignent, se distancient, quelque peu, du fond

À moins qu’avoir soit énergie, être soit spiritualité.

 .

Narguilé est comme chacun sait, d’origine orientale

Avec une notion forte de partage

Distinguant une civilisation bien moins individualiste

Que toutes celles, occidentales !

Symbolique 

 .

Transmettre tuyau

D’un narguilé

Au convive a une connotation

Symbolique très forte.

.

Trois dimensions fondamentales

De sa pratique sont donc

Le temps, la parole et le jeu.

.

Dans les représentations occidentales,

Caractère exotique, mystérieux

Renforce la séduction de l’usage.

.

Il est associé  à un moment  de  détente

Ritualisé pour favoriser convivialité

Avec la meilleure communication.

.

Rituel préparation,  caractère

Collectif, fraternel, contexte,

Ambiance en font partie.

.

rvh-synergie.org/prises-

en-charge-des-addictions

.

Descriptif

.

822 – Avoir, être : identité, différences (III)  

Alignement central / Titre  analogue / Thème choix

Forme conique/ Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole forme : narguilé/ Symbole fond : énergie

.

.

Fond  

.

Évocation 

.

.

Toute taille de réservoir constitue

Une garantie dans la durée :

Avoir de l’énergie en réserve

Pour garantir lumière constante.

 .

Symboliques 

La notion d’énergie est suffisamment floue

Pour avoir donné, en imagerie populaire,

La conception d’une sorte de fluide

Qui passerait d’un objet à l’autre

Au  cours  des  transformations.

.

Ouvrage Énergie spirituelle de 1919,

Henri Bergson : pareille qu’énergie électrique:

Il existerait une énergie spirituelle ne se réduisant

Pas à une énergie physique, pas plus que biologique.

Modifié et mis en forme, source : Wikipédia

Fond/forme 

 .

Une énergie qui n’est ni physique ni biologique

C’est-à-dire, non humaine, ou plus qu’humaine,

Voilà qui est curieux, intriguant, déboussolant

Notre cerveau a lui aussi besoin d’énergie

Mais la pensée n’est pas liée qu’à elle :

Il y a d’autres sources et processus,

Nous échappant encore mystère.

.

L’énergie intérieure est différente de l’extérieure :

On peut être riche à l’intérieur, pauvre à l’extérieur,

La forme diffèrera complétement du fond, mis à part

Si le réservoir et la lumière  sont « avoir »et « être ».

On a beau dire, on a beau faire, on a du mal à comparer

« Être » et « avoir » avec quelqu’objet, énergie, substance,

À moins de projeter une pièce de monnaie, pile et face.

.

.

Visuel 

.

822 1

.

Un SDF contre ISF, plus le pauvre

est visible, plus le riche est caché.

.

822 2

.

Billet moins de cent pour pauvre,

billets de cinq cent pour riche.

.

822 3

.

Contraste : Diogène avec son chien,

riche en escalier de son palais.

.

.

Différence visible entre pauvre/riche :

la posture et l’habillement !

.

.

Épilogue

.

L’identité de soi-même reste soumise

A de fortes tensions, conflits, internes

De nature mentale  ou  physiologique,

Qu’on définira par psychosomatiques.

.

Nous aurions tous, un capital de santé

Que certains s’activent  à consommer,

Que d’autres s’acharnent à conserver,

Au final, espérance de vie est variée !

.

Nous aurions tous, un capital énergie

Que certains augmentent par drogues

Que d’autres diminuent par paresses

Au final, espérance de vie est variée !

.

Ce qui est vrai de la santé et l’énergie

Le sera tout autant  de son économie :

Il y a les dépensiers et les épargnants,

Il y a ceux qui volent argent comptant

.

Quand on a plus rien, on est plus rien :

À la rue, sans protection sociale, santé,

Son dernier ami devient alors son chien,

Enfin son ombre tellement déshumanisé.

.

Visuels et textuels >>

821 – Avoir, être : identités, différences (II)

Visuels et textuels >> 

.

Calligramme

.

Être ce que  A  ¤¤  T    je suis

Être ce que  V  ¤¤¤    I  je parais,

Choisir être  O ¤¤¤¤¤  T     différent

Des autres    I  ¤¤¤¤¤¤  É     soi-même,

Tout un pro   ¤¤¤¤¤¤  *    gramme vie,

 Confondant    * ¤¤¤¤¤¤¤   D  être et paraitre

Ma différence Ê  ¤¤¤¤¤¤¤   I  est mon plus-être

Pas en avoir    T   ¤¤¤¤¤¤¤¤  F   serait moins-être,

Mais si je suis  R  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤  F  entre plus et moins,

 Mon identité   E ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  É  risque de disparaitre.

Être de nulle  :  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  R   part n’est de partout,

La   nouvelle  I ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  E   culture se plie en vous

Dès que vous D ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  N  la fréquentez, l’adoptez,

Et lors vous E ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤   C  disparaissez sous clichés.

Être riche  N   ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤     E       n’est pas vraie culture,

Être pauvre       ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤        S       n’empêche pas culture.

¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Ai-je un problème d’identité

De ne trouver assez différences

Avec les autres ou trop j’en aurais

Quand je les mettrais sur ma balance.

L’identité, qu’est-ce c’est : tout et rien.

À culture, société et famille, j’appartiens.

Oui mais lesquelles, lors elles me rejettent,

Si elles ne me retiennent que par mes dettes.

Etre, c’est en avoir, lors en avoir… c’est en être,

Être à cheval, sur deux cultures, est un plus être,

N’être pas ou plus de nulle part serait moins être,

Etre comme un métis ni noir ni blanc à part être.

Oui mais voilà : plutôt que de voir  …  la réalité,

En face, ou dans le miroir, je me suis inventé

Un personnage complètement d’emprunt

Que je sais jouer et même assez bien,

Sauf, dans mon, mirifique, miroir,

Qui me reflète en blanc et noir

Comme un pur vrai démon

Lors exister,  sans  avoir,

Serait exister sans être,

Mais exister, pour avoir,

Est ombre parmi les êtres,

Ombre vie, ratée, à la  gagner,

Sur le dos des autres paupérisés

Pour son seul profit, seul bien être

Dans son seul souci de bien paraître.

Autrefois, ailleurs, et, depuis, toujours,

La religion, le droit, le respect … l’amour,

Constitueraient des contrepoids d’équilibre

Pour vie solidaire, en égaux, frères  et  libres !

L’histoire retient que la liberté est celle de créer

Des richesses, ceux qui n’en ont pas sont mangés

Par les autres par qui ils se feront si vite exploités.

.

.

Textuel

.

Être ce que je suis, être ce que je parais,

choisir d’être différent, des autres, de moi-

même : tout un programme de vie, confondant

être et paraitre. Ma différence est mon « plus-

être », ne pas en avoir serait « moins-être »,

mais si je suis entre plus et moins, mon

identité risque de disparaitre ! « Etre de nulle

 part » n’est pas « être de partout » Toute

nouvelle culture s’imprime en vous dès que

vous la fréquentez, l’adoptez, et alors, vous

disparaissez des clichés. Etre riche n’est pas la

vraie culture, être pauvre n’empêche pas la

culture.  L’identité : qu’est-ce c’est ! Tout et

rien ! A ma culture, ma société, à ma famille,

certes, j’appartiens. Oui, mais lesquelles, si

elles me rejettent ou ne retiennent de moi que

mes dettes envers elles ! Etre, c’est en avoir !

En avoir, c’est être ! Etre à cheval sur deux

cultures est-il un plus ou moins être. N’être

pas ou plus de nulle part serait un moins être.

Etre comme métis, serait-il un plus être !

Plutôt que de  regarder la réalité en face,  je

me suis inventé, un personnage d’emprunt

que je sais bien jouer, sauf, dans mon miroir,

qui me reflète, noir comme un démon, un

vampire, une ombre, voire je peux imaginer

pire, monstre. Aurais-je un grave problème

d’identité si je ne trouve pas assez de

différences entre moi et les autres ou alors j’en

aurais de trop quand je les mettrais sur ma

propre balance. Cela est vrai, en théorie, pas

de fait et encore moins dans les faits. Exister

sans avoir, c’est exister sans être. Exister pour

avoir, c’est avoir sans être. Sauf être comme

ombre de vie ratée à la gagner sur le dos des

autres, paupérisés, pour son seul profit, son

seul bien être dans son seul souci de bien

paraître. Autrefois, ailleurs, et, depuis

toujours, la religion, le droit, le respect,

l’amour, constituaient des contrepoids

d’équilibre, pour vie solidaire, égaux entre

frères, qu’on soit libres, libertaires. L’Histoire,

ne retient que le fait : seule liberté est celle de

créer des richesses !

.

.

Poème

 .

Être ce que je suis

Être ce que je parais,

Choisir  d’être différent

Des autres, être soi-même

C’est tout un programme vie

Confondant l’être et le paraitre.

.

Ma différence est mon plus-être,

Pas en avoir,  serait «moins-être»,

Mais  si je suis entre plus et moins,

Mon identité  risque de disparaitre.

.

Être de nulle  part,  n’est de partout,

La nouvelle culture se pliera en vous,

Dès que vous la fréquentez, l’adoptez,

Et lors vous disparaissez sous clichés,

Être riche n’est pas une vraie culture,

Être pauvre n’empêche pas culture.

.

******************************

.

Ai-je un problème d’identité

De ne trouver assez différences

Avec les autres ou trop j’en aurais

Quand je les mettrais sur la balance.

L’identité, qu’est-ce c’est : tout et rien.

.

À culture, société et famille, j’appartiens,

Oui mais lesquelles, lors elles me rejettent,

Si elles ne me retiennent que par mes dettes.

.

Etre, c’est en avoir, lors en avoir… c’est en être,

Être à cheval, sur deux cultures, est un plus être,

N’être pas ou plus de nulle part serait moins être,

Etre comme un métis ni noir ni blanc, à part être.

.

Oui mais voilà : plutôt que de voir  …  la réalité,

En face, ou dans le miroir, je me suis inventé

Un personnage complètement d’emprunt

Que je sais jouer et même assez bien,

Sauf, dans mon mirifique miroir,

Qui me reflète en blanc et noir

Comme un pur vrai démon.

.

************************

.

Lors exister, sans  avoir,

Serait exister sans être,

Mais exister, pour avoir,

Est ombre parmi les êtres,

Ombre vie, ratée, à la  gagner,

Sur le dos des autres paupérisés

Pour son seul profit, seul bien être

Dans son seul souci de bien paraître.

.

Autrefois, ailleurs, et, depuis, toujours,

La religion, le droit, le respect … l’amour,

Constitueraient des contrepoids d’équilibre

Pour vie solidaire, en égaux, frères  et  libres !

.

L’histoire retient que la liberté est celle de créer

Des richesses, ceux qui n’en ont pas sont mangés

Par les autres par qui ils se feront si vite exploités.

.

.

Extension

.

Ceux qui n’en ont pas,

Ceux étant mangés par les autres

En se faisant exploités, au point que,

Même en travaillant, dur, et longtemps,

Ils auront de la peine à se nourrir, se vêtir,

Se loger, se divertir, de la peine à « être ».

Ils se sentiront lors leur emploi perdant,

Devenir de plus en plus, insignifiants

Et l’insignifiance est encore pire

Que  l’exploitation  parce que

C’est la négation de l’être.

.

Cette personne n’est pas une lumière dit-on.

D’accord, mais de quelle lumière, parle-t-on !

De son aura, de son charisme, son intelligence

Ou tout simplement, de son manque de culture,

Tout autant, savoirs, expérience, connaissance !

Il faut apprendre à distinguer entre être et avoir.

Deux jumeaux ont le même ADN mais pas visage :

La ressemblance est frappante mais non confondue

Riche et pauvre sont êtres humains, diffèrent statut.

.

Toute différence  entre être et paraitre,

Peut être nulle, tenue, sensible, grande,

Elle est grande, on parle de personnage,

Elle est petite, de personne authentique

.

Nous avons tous en nous zones d’ombre

Impossible, impensable, de mettre tout,

En pleine lumière sans s’être surexposé,

Cela procéderait d’une attitude naïveté.

.

Y a certains qui prônent l’égalité en tout

Entre riche et pauvre, savant et ignorant

Mais plus encore entre sexes, seul genre,

En somme une uniformité  à en mourir !

.

Quel que soit ma proximité, ma distance,

Avec les autres, il me faudrait bien être né

Sinon voir éduqué, acculturé quelque part,

Il n’y aura chez personne, de terrain vierge.

.

Ceux qui n’ont rien sont perçus comme rien

Et souffrent chaque jour de leur insignifiance

Or combien se sentant aliénés en la population

Éprouvent ce même sentiment pour exploitation.

.

.

Forme  

.

.

Évocation

.

Champignon atomique nucléaire

 Une flèche indiquant une direction

Une bombe à ailette,  à percussion,

Lampe de chevet avec lumière.

 .

.

La forme lampe de chevet éteinte ou allumée

Éloigne du fond, avoir étant éteint, être allumé :

Certains prétendant contraire, autres, équivalence.

 .

Avoir est la matière, et la forme ;

Être, la lumière avec son ambiance

En alternance, matière argentifère,

Lampe de chevet au pied en verre. 

  .

Symbolique 

 .

Le symbolisme de la lampe

Est lié à l’émanation de la lumière.

La lampe est une représentation de l’homme :

Comme lui elle a un corps d’argile, une âme végétative,

Ou principe de vie qui est huile, un esprit qui est la flamme.

.

L’usage chrétien d’offrir

Et brûler des cierges,

Devant la statue des

Saints symboliserait

À la fois, le sacrifice,

L’amour et présence,

Comme une flamme.

.

Descriptif

 .

821 – Avoir, être : identités, différences  (II)  

Alignement central / Titre  dédoublé / Thème choix

Forme conique/ Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole forme : lampe/ Symbole fond : lumière

.

.

Fond  

.

Évocation

.

821 6

.

Avoir est la matière, et la forme ;

Être, la lumière et son ambiance :

Et l’alternance, matière argentifère,

Lumière bleue procure atmosphère !

 .

Symbolique

 .

La lumière a une forte valeur symbolique;

Permettant de percevoir objets

Avant de les toucher,

Elle s’associe, en toutes cultures humaines,

À connaissances, savoirs, tandis

Que toute opposition

Entre tous types de lumières, ténèbres

Se relie à celles entre vie, mort

Entre bien et mal.

Modifié et mis en forme,

 source : Wikipédia

 .

Fond/forme 

 .

Lumière est une chose, utilisation, une autre

Certains ont de quoi éclairer Château Versailles

D’autres s’éclaireront  à l’aide  de peu d’ampoules.

.

Ces derniers travailleront pour garder leur lumière,

L’augmenter un peu, lors les premiers, pour la doubler

Ainsi va le monde, ainsi va la vie, depuis qu’il y a  le feu,

Or la lumière en l’imaginaire restera totalement gratuite.

.

Avoir, c’est l’énergie, c’est le moyen

Être : c’est la lumière, connaissance.

Lumière rime avec projection de soi,

Énergie avec projets de construction.

Mais, toute comparaison s’arrête là :

.

Le fond ne peut pas épouser de forme

Correspondant à la fois, être et avoir.

Quel que soit l’objet que l’on posséderait,

Lumière en lui, autour de lui, qu’il reflète,

Ne pourra éclairer valeur d’être ni d’avoir.

.

.

Visuel 

.

821 1

.

 il y a  une différence entre gens,

à la fois de postures et de richesses,

.

821 2

.

si on parvient à réduire la différence

de sexe entre homme et femme,

.

821 3

.

l’ambiguïté demeurerai lorsque vue de face

et parfois même de dos !

.

.

Visuel 

.

821 1

.

 il y a  une différence entre gens,

à la fois de postures et de richesses,

.

821 2

.

si on parvient à réduire la différence

de sexe entre homme et femme,

.

821 3

.

l’ambiguïté demeure sur cette silhouette

sur la vue de face ou vue de dos :

.

.

hommes et femmes et couleurs de peaux :

sans parler de cheveux, âges et habits.

.

.

Épilogue

.

L’on  sait  que, génétiquement,

Nous sommes tous … égaux :

Pas de  nouveaux éléments,

Hormis couleurs de peaux.

.

Comparables à lampes de chevet

 Un pied, un abat-jour, ampoule,

Si je fais varier  les couleurs,

 Ce sera toujours la même.

 .

Il y aura le sexe, me direz-vous :

Pas un élément discriminant,

En changer dépend  de vous,

Il en faut deux pour enfant.

.

Bon nombre de différenciations

Sont culturelles, économiques,

Et on les appelle identitaires,

Pour les répartir sur Terre.

.

Chacun de nous, demeure unique,

Appartient à même Humanité,

Liberté, égalité, fraternité

Est notre credo civique.

.

Visuels et textuels >> 

820 – Avoir, être : identités, différences (I)

Visuels et textuels  >>

.

Calligramme

.

Ne possédant   

Rien, je ne serais rien.

Un  raccourci  de  la  pensée

Que d’attribuer être pour avoir :

On peut avoir l’air d’avoir sans être

Si on peut avoir l’air d’être sans avoir

Avoir une femme et avoir des enfants,

C’est  différent  d’être, femme, enfant :

Pour autant,  ce ne sont   possessions !

Ils ne seront pas objets  d’aliénations :

Celui qui perd son bien, et sa  maison,

Se désocialise en devenant vagabond.

Il est mort de n’être pas, faute d’avoir

En attendant notre tour…notre  mort

Plus d’être ni plus d’avoir à l’infini.

.

Lorsqu’un  coin  de  terre  n’appartient  à  personne,

Si je le prends moi-même  I   en mon propre bien,

Bien que n’étant moi    D  même personne,

 Quelqu’un, soudaine    E     ment, deviens,

Tant, pour être perçu   N     dans le coup,

Je n’aurai pas besoin    T    de beaucoup,

Besoin juste un peu      I    et juste assez,

Pour bien apprendre   T   à re-né-gocier.

Être n’est pas avoir   É   avoir, pas être.

Les gens se disent     S    lors ils se voient

Il a l’air d’être ceci    *    il doit avoir cela,

À force d’associer     D  «être  «paraître».

J’ai femme, et c’est    I  la mienne, dit-on.

La possède personne  F  d’autre n’en jouit

Elle dit « je suis à toi »    F    et m’en réjouis.

Or d‘être le mari n’est    É       pas le patron.

J’ai enfants m’appelant   R        «mon papa»

N’est-ce pas une preuve    E    ils sont à moi :

Impression  qu’ils m’ont    N    eu pour de bon

Eux vivants, je demeure     C   rai la propriété.

Finalement que possède     E  t-on, tout et rien

Quelques biens matériels,   S   jamais humains.

.

Si je ne suis que ce que j’ai, que je n’ai que     A    ce que suis :

Comment résoudre l’équation entre moi, ma     V   possession.

Mes qualités, d’un côté, face à mes quantités,      O   de l’autre,

Comment les additionner, bien qu’intimement       I          liées.

Un jour, d’être ne sera plus et mes avoirs, non       R         plus :

Mort, tout aura disparu, aurai-je réellement          *          vécu !

Je suis né de deux personnes ou deux               E        inconnus,

Mon nom sur ma tombe qui un jour              T           l’a connu !

Si je supprime «avoir» «être» du                *           dictionnaire,

Je ne suis et je ne possède plus             Ê            rien ou presque

Être davantage pour  mieux             T             écraser les autres,

Avoir d’avantage pour                 R            mieux être que l’autre

Sont équivalents en            E                       ce mode de relations,

S’ils cherchent à exprimer leurs dominations sur toute société.  

.

.

Textuel

.

Ne possédant rien,  je ne serais lors, encore

rien d’humain ! Beau raccourci de la pensée

que d’attribuer  « l’être » pour « l’avoir ».

On peut avoir l’air d’avoir sans être et on peut

avoir l’air d’être sans avoir ! Avoir une femme

et avoir des enfants, est différent d’être femme

ou enfant. Ce ne sont pas des possessions : ils

ne sont pas objets  d’aliénations. Celui qui

perd son bien et sa maison, se désocialise,

devient un vagabond : il est mort de n’être,

faute d’avoir. Attendant notre tour, une fois

 mort, nous serons comme lui : plus d’être ni

d’avoir, et à l’infini.  coin de terre n’appartient

à personne : si je le prends comme mon

propre bien, n’étant moi-même personne, je

deviens soudain quelqu’un. Pour être dans le

coup, je n’ai pas besoin de beaucoup, j’ai juste

besoin d’un peu, juste assez pour bien

apprendre à renégocier en fonction de mes

nouveaux biens acquis. Bien qu’être ne soit

pas avoir, avoir, pas être, les gens se disent,

quand ils se voient : « il a l’air d’être ceci et

donc il doit avoir cela » à force d’associer

«être» à «paraître». J’ai une femme : c’est la

mienne, dit-on, je la possède et personne

d’autre n’en jouit : elle me dit « je suis à toi« ,

lors je m’en réjouis. Pour autant en tant que

mari, je ne suis pas son maitre. J’ai des

enfants qui me disent toujours : «mon papa».

N’est-ce pas la preuve qu’ils sont à moi.  J’ai

l’impression qu’ils m’ont eu pour de bon, car

 tant qu’eux seront vivants, je serai leur

propriété, non l’inverse. Que possède-ton

vraiment : tout et rien ! Des biens matériels

jamais humains, sauf à les rendre dépendants

de soi, mais l’esclavage  a été aboli, enfin… je

crois. Si je ne suis que ce que j’ai, que je n’ai

que ce que suis, comment résoudre l’équation

entre moi et ma possession ! Mes qualités,

d’un côté, face à mes quantités, de l’autre,

comment les additionner, si qu’intimement

liées ! Un jour, d’être, je serai plus et mes

avoirs, non plus car une fois mort, tout aura

disparu, aurai-je réellement vécu ! Je suis né

de deux personnes, deux inconnus, lors mon

nom sur ma tombe, qui, un jour, dira connu !

Si je supprime «avoir», et «être» je ne suis et

je ne possède presque plus rien ! « Être

davantage », pour mieux écraser l’autre et

« avoir d’avantage », pour mieux être que

l’autre, paraissent équivalents en leurs modes

de relations s’ils expriment leurs dominations

sur les autres, la société.  

.

.

Poème

 .

Ne possédant  

Rien, je ne serais rien.

Un  raccourci  de la pensée

Que d’attribuer être pour avoir.

.

On peut avoir l’air d’avoir sans être

Comme d’avoir l’air d’être sans avoir,

Avoir une femme et avoir des enfants,

C’est différent d’être femme ou enfant,

Pour autant ce ne sont des possessions.

.

Ils ne  seront plus  objets  d’aliénations :

Celui qui perd son bien  puis sa maison,

Se désocialise et lors devient vagabond.

.

Il est mort de n’être pas… faute d’avoir

En attendant notre tour … notre  mort,

Plus d’être ni plus d’avoir  et  à l’infini.

.

Que coin terre n’appartient à personne,

Si je le prends moi-même en mon bien,

Bien que n’étant moi-même, personne,

Quelqu’un, soudainement, je deviens.

.

***************************************

.

Tant, pour être perçu dans le coup,

Je n’aurai pas besoin de beaucoup,

Besoin juste un peu, et juste assez,

Pour bien apprendre à re-né-gocier.

.

Être n’est pas avoir ; avoir, pas être.

Les gens  se disent lorsqu’ils se voient

Il a l’air d’être ceci, lors doit avoir cela,

À force d’associer «être avec paraître».

J’ai une femme, c’est la mienne, dit-on,

La possède, personne d’autre n’en jouit.

.

Elle dit « je suis à toi »  et  m’en réjouis.

D‘être le mari,  n’est pas être  le patron :

J’ai quatre enfants  m’appelant  «papa»

N’est-ce pas  preuve  qu’ils  sont  à  moi.

.

Impression  qu’ils m’ont eu, pour de bon

Eux vivants, je demeurerai leur propriété,

Finalement que possède-t-on : tout et rien,

Quelques biens matériels,  jamais, humains.

.

******************************************

.

Si je ne suis que ce que j’ai, que je n’ai que ce que suis :

Comment résoudre l’équation entre moi, ma possession,

Mes qualités, d’un côté, face à mes quantités, de l’autre,

Comment  les additionner,  bien qu’intimement liées :

Un jour, d’être ne sera plus et mes avoirs, non plus :

Mort, tout aura disparu, aurai-je réellement vécu !

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Je suis né de deux personnes ou deux inconnus,

Mon nom sur ma tombe qui un jour l’a connu !

Si je supprime «avoir» «être» du dictionnaire,

Je ne suis, je ne possède plus rien, ou presque.

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Être davantage pour mieux écraser les autres,

Avoir d’avantage pour mieux être que l’autre,

Seront équivalents en un monde de relations,

S’ils cherchent à exprimer leurs dominations.  

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Extension

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x

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Avoir, à défaut d’être ou être, à défaut d’avoir

En voilà bien une dialectique….  manichéenne

Ceux qui font du mal, vous veulent du bien ;

Ceux qui vous veulent du bien, font du mal.

On ne s’en sort plus, à ce titre, à ce jeu-là !

Être riche, est-ce avoir un statut social,

Quand pauvre aussi, mais de le subir.

Je serais riche de mes potentialités,

Je reste pauvre de mon intériorité.

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Chacun sait que bien qu’étant des milliards

Que sommes tous semblables, tous différents

Y a tant de facteurs, combinatoires, donnant,

Que même les jumeaux divergent, sur le tard.

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En premier lieu, facteur génétique, héréditaire

Qui se transmettent par  ADN, de père et mère,

Qu’on aura des forces mais des faiblesses aussi,

Qui font que l’on serait sensible à des maladies.

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En second lieu, facteur social de notre éducation

Qui agira au-delà de notre propre milieu familial

Nous imprimant des connaissances pour culture,

Et pour un métier qui nous permettra de survivre

.

En dernier lieu, le choix d’une forte personnalité,

Choisissant parmi les modèles celui qui convient.

Le mieux à notre manière d’être, rêve, projection

Qui fait qu’on se dira : j’ai réussi ou non, ma vie !

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Certains partent de rien pour arriver à la fortune

Si ce n’est la célébrité ou l’originalité d’un artiste

D’autres naitront avec beaucoup et perdrons tout

L’essentiel n’est-il pas d’accomplir rêves d’enfant.

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Forme  

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Évocation

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Les trois étages de tous les phares 

Un socle, et une tour, et une lanterne

Serait comme nos racines familiales :

Génétique, éducation … personnalité ?

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Tout phare comportera toujours trois étages :

Un socle, et une tour, et une lanterne

Et son ancrage sera des plus larges et solidifiés

Sa lanterne des plus légères, lumineuses.

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Forme de phare ne reflète pas «avoir et être»

Pas plus que statue, si vivante qu’elle paraisse,

Et cela éloigne et met en rupture fond et forme.

 .

Symbolique   

 .

Dans un bâtiment,

L’étage est élévation

D’un   rez-de-chaussée

Et il ne peut le désigner.

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Avec ses symboles de puissante autorité

Organisant la société, l’on montrera alors

Et distinguera en une construction antique,

Des niveaux, chaque  étage  étant  particulier

En conception  et réalisation  de  la construction.  

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Ces éléments respectent, au départ, une conception

Philosophique de l’art de bâtir (voir l’architecture).

wikipedia.org/wiki/etage_(architecture)

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Descriptif

 .

820 – Avoir, être : identités, différences  (I)  

Alignement central / Titre  droit / Thème choix

Forme droite/ Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole forme : étages/ Symbole fond : racines

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Fond  

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Évocation 

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Nos racines familiales, notre éducation,

Notre personnalisation :

Correspondraient  fort bien aux trois étages

De tous phares et sociétés.

 .

Symbolique 

 .

Savez-vous à quel point

Vos racines familiales

Jouent un rôle  important,

Dans votre vie quotidienne?

Et de même que l’arbre puise,

Des éléments nutritifs, et riches

Dans la terre, grâce à ses racines.

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De même  nous en tirons  une partie

De notre identité des racines familiales

Formées par les membres, très influents,

De notre clan, ou de notre communauté !

Source : Les constellations familiales

 .

Fond/forme 

 .

On peut dire avoir un phare ou être une lumière

L’on pourrait dire le contraire plus difficilement !

Quelle que soit la syntaxe, nos racines familiales

Rimeraient autant  avec « être » qu’avec « avoir » :

Ça ne suffira pas pour accorder le fond et la forme,

Différence est importante  sauf à se voiler la face,

Être, avoir, se tournent le dos plus que l’inverse.

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On ne choisirait pas, toujours, soi-même, d’’être

Plutôt sur le versant «être» que versant « avoir »

Bien que certains pensent qu’avoir c’est autant être

Racines familiales influeront sans nous déterminer

Totalement sur parcours, personnel, professionnel

Si l’on peut nous déposséder de tous nos avoirs,

Cela est impossible pour nos manières d’être

Tant la limite franche entre ces  étages

Se situe dans une pensé autonome.

.

Par nature, être et avoir se distingue

Ou se renforce et voire se contrarie,

Ce serait  deux lignes  parallèles,

Se croisant de temps en temps.

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Visuel 

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Y a parfois une grande différence,

à la fois de sexe et de statut social,

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mais malgré cela, il y a toujours,

une zone de croisement commune,

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tout comme des fleurs, pareilles :

sauf une que je verrais différente :

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une race,  couleur : non, une famille :

grands-parents, parents, enfants !

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Épilogue

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Trois générations sous le même toit

Est comme maison de trois étages

Où on met beaucoup en partage,

Personne n’est esclave  ni roi.

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Nous avons tous des racines

Familiales, communautaires,

Ne sommes pas nés dans l’air

Mais retournons dans la terre.

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On ne choisit ni l’endroit, moment

Ni le statut, ni le sexe, ni les parents

On peut changer d’endroit, de statut

Mais moment, parents, on n’y est plus.

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Certains renient leur filiation ou nation,

D’autres se revendiquent d’une généalogie :

D’un côté, l’oiseau sur la branche qui s’envole

De l’autre, oiseau fidèle à ancestrale tradition !

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Entre aventure opportuniste  et vraie légitimité,

Les pouvoirs s’installent, les rôles se diversifient,

Quand on se marie, on épouse aussi belle famille,

Au risque parfois de sacrifier sa propre identité.

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Visuels et textuels  >>