398 – Bord mer, chemin terre, sentier forêt

Visuels et textuels >>  

.

Nature nous offre

Son paysage émouvant

Lors va au devant d’elle

Tout  en  s’y promenant,

Entre bords de  la mer

Chemins  campagne.

Sentiers forestiers.

.

Comme  en montagnes,

Elle fait oublier ennuis

De notre vie moderne,

Qui nous stressent, ou

Nous  la rend terne.

.

Moi, quand j’ai trois ou

Quatre heures à perdre,

Je mets  mes chaussures

Pour aller, vite, marcher.

.

Les souvenirs rentrent par les pieds,

Autant que  par mes yeux, pour ne pas

Les faire sortir, partout, où j’ai marché,

Je me rappelle  les odeurs  des sous-bois,

Des prés,  d’herbes, si ne n’est  des fleurs,

 Qui ont contribué à la joie, à mon bonheur.

.

Suivez  itinéraire fléché, jaune, blanc-rouge

Pour petits, grands sentiers, de randonnées,

Seul, à deux, trois, à plusieurs,  voire groupé,

Marcher sans arrêt sans discuter,  vous bouge

Les sangs et les idées,  à vos rythmes cadencés

De pauses,  pour consulter la carte des égarés.

Ici une route pavée ou ancienne voie romaine,

Là, un chemin creux : sait-on où il nous mène.

.

C’est ce qui fait le charme de nos randonnées :

Les avis partagés, vers droite : on s’est trompé.

Comment à une carte, ou à son instinct, se fier

S’il n’y a  plus de marques  pour  nous guider !

.

Arrivés, à mi-parcours, moitié des gens fatigués

Demandent quand on arrive car ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trainants ou cloquants,

Marcher, ils ont un problème… handicapant.

On ne croise presque personne sur sentiers,

Seraient-ils assis, en fauteuil, regarder télé.

.

Et puis, une randonnée, en un beau paysage

Qui, à chaque virage, présente nouveau visage

Est comme un voyage en soi une réconciliation

Avec splendeurs, nature,  étant diverse à foison.

Nous sommes le couronnement en faisons partie,

Mais, les uns la chérissent, et d’autres … la fuient !

.

Ma randonnée  sur sentier  de campagne   en  forêt,

Suivie du parcours, sur un   chemin,  bord   de  mer,

Termine  sa  grande boucle    sur parking  du  départ.

Bien belles images  ont été   stockées,  quelque   part,

En mes mémoires ne se las  sant pas de les distinguer

J’ai beau les parcourir, je ne finis jamais de m’étonner.

.

.

Extensions

.

Une simple randonnée à pied,

Enchainant sentier côtier,

Ou sentier champêtre,

Sentier marécage,

Sentier forestier,

Sous-bois,

Plages,

Rochers

Suffit à mon bonheur

Pour trois ou quatre heures

Où je ne pense à rien d’autre

Qu’à vivre  l’instant présent,

Au maximum de mes sens

Et de mes possibilités.

.

À pied : l’on ne va pas aussi loin qu’à cheval,

Et encore moins qu’en vélo, voiture, avion,

Ça c’est certain mais on ne recherche pas

Non plus les mêmes sensations, utilités

Car perdre du temps pour en gagner,

Peut être slogan  de la randonnée !

Gagner du temps pour en perdre

Celui de l’avion,  voire du train

Et quant au vélo et au cheval,

C’est juste marche accélérée.

.

La côte, la campagne, et la forêt,

Pour belle randonnée, tout y est,

Les paysages sont bien diversifiés,

L’on ne devra en tel cas, s’ennuyer.

.

Nature est si belle qu’on parle d’elle,

Au pied d’une source l’on s’abreuvera

Et dans la forêt touffue, l’on se fondra,

Sa douceur nous rend vie moins cruelle

.

En creux sous-bois, carrefour, on se perd

On cherche le chemin, chemin de lumière

La nuit approche, lors on se met en retard,

Prendrait-on peur d’en arriver … nulle part.

.

.

398 – Calligramme   

.

Nature nous offre

Son paysage     émouvant

Lors va au           devant d’elle

Tout  en  s’y            promenant,

Entre bords           de  la mer

Chemins        campagne.

Sentiers forestiers.

.

Comme   en  montagnes,

Elle fait  B  oublier ennuis

De notre   O    vie moderne,

Qui nous    R    stressent, ou

Nous  la         D        rend terne.

Moi, quand      *        j’ai trois ou

Quatre heures    M           à perdre,

Je mets  mes         E         chaussures

Pour aller vite          R            marcher.

Les souvenirs rentrent *    par les pieds,

Autant que  par mes   C  yeux, pour ne pas

Les faire sortir, par   H   out, où j’ai marché,

Je me rappelle  les    E   odeurs  des sous-bois,

Des prés,  d’herbes,    M   si ne n’est  des fleurs,

 Qui ont contribué à la    I    joie, à mon bonheur.

Suivez  itinéraire fléché,    N    jaune, blanc-rouge

Pour petits, grands sentiers,   *      de randonnées,

Seul, à deux, trois, à plusieurs,    T    voire groupé,

Marcher sans arrêt sans discuter,     vous bouge

Les sangs et les idées, à vos rythmes   R   cadencés

De pauses pour consulter la carte des   R    égarés.

Ici une route pavée ou ancienne voie ro   E maine,

Là, un chemin creux : sait-on où il nous    *  mène.

.

C’est ce qui fait le charme de nos randonnées :

Les avis partagés, vers droite : on s’est trompé.

Comment à une carte, ou,   à son instinct, se fier

S’il n’y a plus de marques        pour  nous guider !

Arrivés, à mi-parcours, moi  *  tié des gens fatigués

Demandent quand on arrive  *     car ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trai        S   nants ou cloquants,

Marcher, ils ont un prob               E     lème handicapant.

On ne croise presque per                N      sonne sur sentiers,

Seraient-ils assis, en fau                    T      teuil, regarder télé.

Et puis, une randonnée,                      I       en un beau paysage

Qui, à chaque virage, pré                       E     sente nouveau visage

Est comme un voyage en                        R     soi une réconciliation

Avec splendeurs, nature,                          *     étant diverse à foison.

Nous sommes le couronne                       D   ment en faisons partie,

Mais, les uns la chérissent,                        E    et d’autres … la fuient !

Ma randonnée sur sentier                             *    de campagne   en  forêt,

Suivie du parcours, sur un                             F     chemin,  bord   de  mer,

Termine  sa  grande boucle                             O      sur parking  du  départ.

Bien belles images  ont été                                R      stockées, quelque   part,

En mes mémoires ne se las                                 E     sant pas de les distinguer

J’ai beau les parcourir, je ne                                 T     finis jamais de m’étonner.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

398 4

.

Un piédestal avec une statue,

Ou tourelle avec signalisation

Une silhouette  de  marcheur

en randonnée pour paysage.

.

Sac au dos, et c’est parti pour

Quatre à cinq heures de marche :

Avec des paysages qui changent

Et se diversifient sans cesse.

.

Symbolique

.

La marche est

Exercice physique

Des  plus  complets

Et un temps propice

Pour délier sa pensée,

Rêver, et se ressourcer.

.

Participe d‘éveil sensoriel

Au monde : odeurs, bruits,

Comme lumières et couleurs

Voire d’un retour à l’essentiel,

Et qui permettrait de s’alléger,

Se désencombrer de surcharges

Inutiles et reprendre son souffle.

.

Il y a comme une sorte de douceur

Et un bel équilibre dans la marche.

On marche longtemps, sans fatigue,

Par tous les temps, toutes les saisons.

À chacun son rythme, son endurance.

Cairn.info/revue-etudes-2010-11-page-519

.

Descriptif

.

398 – Bord mer, chemin terre, sentier forêt   

Alignement central   /   Titre analogue /  Thème   rando

Forme anthropo  / Rimes égales   /Fond accordé à forme

Symbole de forme : marcheur / Symbole de fond : paysage

.

.

Fond

.

Évocation 

.

398 6

.

Sac au dos, et c’est parti pour

Quatre à cinq heures de marche :

Avec des paysages qui changent

Et se diversifient sans cesse.

.

Symbolique 

 .

Un paysage est une vue

De portion d’espace terrestre,

Perçue par les sens humains ou

Divers arts visuels et représentée

Ou observée, en majorité des cas,

À l’horizontale,  ou photographié

Par un observateur… attentionné;

.

Son caractère résulte de l’action

Et de l’interaction  des facteurs

Naturels  et voire …  humains.

.

La notion   de paysage  a une

Dimension esthétique  forte,

Voire picturale ou littéraire

En tant que représentation.

Wikipédia : paysage

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La marche permet d’aller partout !

Prenez  une route  en voiture, suivez

Le chemin empierré, dit carrossable,

Et continuez  à pied, vous y arrivez !

.

Information  l’on ne peut plus claire,

On ne peut être ici ou là, sans pieds.

.

Que ce soit en campagne, montagne

Et même en ville, l’on se déplacera

Toujours comme tous les piétons

Sans se soucier sens interdits

Barrages  et  tutti quanti,

Pour y arriver, merci.

  .

.

Randonnée en bord de côte

.

Scénario 

.

En bordure de mer, le long des plages et des falaises,

en sentiers de terre, en grandes forêts, petites futaies,

où l’ombre joue avec lumière et lui transfère son reflet.

 .

Visuels et textuels >> 

397 – Une randonnée dans des vallées

Visuels et textuels >>  

.

Des vallées, monts

À explorer.

Des rivières  et des ponts

À enjamber.

Des sources, et des fontaines

À retrouver.

Des paroles et fredaines

À raconter.

.

Des ventres  et  des dos

À fatiguer.

Paysages nouveaux

À visiter.

À être passionné

Randonner.

.

Vallées de fruits d’été

D’un jour léger,

Où des vents d’intimités,

Parfument haleines,

D’eaux claires troublées

En quêtes vaines,

Où mieux vaut s’encorder

Pour remonter,

Car l’autre vallée t’attend,

Pentue devant.

.

Fangeux et comme  exprès

Fais attention aux marais,

Il vaut mieux  aller monts,

Que de s’enfoncer  profond.

Une question de point de vue,

Lors randonnées se perpétuent.

.

Il est vrai, qu’arrivés là-bas là-haut,

Le monde est plus vert est plus beau.

Je vous ai  tout dit, vous n’avez rien vu :

Monts et vallées sont que premier  aperçu,

De ce  que  la  Nature,  en  sa  grande beauté,

 Se prend la peine gratuitement de nous donner.

.

.

Extensions

.

Les vallées sont surprenantes de beauté, variété de paysages :

On longue des rivières, traverse des ponts,  sillonne bourgades,

Admire des parcs, jardins, champs, vergers, que sais-je encore.

.

La vallée est un creux où la vie bouillonne où la vie bourdonne,

Où l’homme a imprimé sa marque, sur Nature, trop d’ailleurs,

En bitumant  les places, les voies, les cours, à tort et à travers.

.

En compensation, il orne, ses bourgs, de parterres de verdures

Ses fenêtres, de pots de fleurs : air de jardin si ce n’est paradis.

Parcourir les vallées requiert moins d’effort que grimper monts,

C’est une évidence, le but n’est pas le même, le plaisir non plus.

.

Une vallée est entourée de monts et prend sa source au pied,

Au fond de l’un d’eux en formant comme un cirque :

Ici commence la vallée, ici commence le mont,

Vous avez le choix de descendre ou monter.

.

Pour autant le début d’une vallée peut être pentue,

N’aller pas vous imaginer qui dit vallée dit terrain plat,

Elle comporte aussi des aspérités, des tours et des détours

Qui vous obligent à allonger le pas si ce n’est faire pause.

.

Il n’y a qu’à revoir le tracé des rivières et des routes

Et leurs nombreux virages pour se rendre compte

Qu’une vallée n’est pas souvent en ligne droite

Mais, c’est aussi ce qui fait  son charme,

Tout au moins pour les randonnées !

.

J’ai mis mes pas dans ceux de Rimbaud, Cendras

Bien que  sans jamais pouvoir, en rien,  les égaler

Mais qu’importe : mouvement  m’a mis en avant,

Je ne pense pas que je sois perdant, en marchant,

Au contraire, les belles vallées,  belles randonnées

Sont entrées  en moi, par yeux, corps, cœur, pieds

Et certaines n’en sortiront jamais, tant émerveillé

Je l’ai été l’instant, tant je cherche  à  les retrouver

Pour renouveler stocks des sensations de beautés !

 .

Monter dans le creux d’une vallée, en randonnée,

Est plus simple et moins fatiguant qu’un sommet,

Cela va de soi, cela reste une promenade de santé,

On attaque un sommet, en haut on n’en peut mais.

.

Il y a des vallées larges, il y a des vallées profondes

Avec des sentiers plats, en pentes, parfois escarpés

Avec des ponts et des rivières qui se correspondent

Qui procurent la joie et l‘admiration en randonnée.

.

.

397 – Calligramme     

 .

Des vallées, monts

À ex                  plorer.

Des rivières  et des ponts

À en                         jamber.

Des sources, et des fontaines

À re                       trouver.

Des paroles et fredaines

À ra           conter.

.

Des ventres  et  des dos

À fatiguer.

Paysages nouveaux

À visiter.

À être passionné

Randonner.

.

Vallées de fruits d’été

D’un jour léger,

Où des vents d’intimités,

Parfument haleines,

D’eaux claires troublées

En quêtes vaines,

Où mieux vaut s’encorder

Pour remonter,

Car l’autre vallée t’attend,

Pentue devant.

.

Fangeux    et   comme   exprès

Fais attenti    U    E on à marais,

Il vaut mieux   N       N   aller monts,

Que de s’enfon   E         *    cer  profond.

Une question de  *            U   point de vue,

Lors randonnées  R              N  se perpétuent.

    A                 E

Il est vrai qu’arri     N                   * vés là-bas là-haut

Le monde est plus     D                     V  vert est plus beau.

Je vous ai  tout  dit,    O                       A vous n’avez rien vu :

Monts et vallées sont    N                        L  que premier  aperçu,

De ce  que  la  Nature,    N                         L   en  sa  grande beauté,

 Se prend la peine gratui  É                          É   tement de nous donner.

E                          E

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

397 4

.

Bombarde  du genre celtique,

Ou impression d’une Tour Eiffel

Ou silhouette d’un  marcheur,

Durant randonnée de santé ?

.

Marcher est bon pour la santé,

ne pas marcher, la détériorera,

petit à petit, à bas bruit, on dit,

si fait que forme épouse le fond

.

Un panneau indiquant un départ

D’une marche nordique

Où le plaisir, s’associe à un sport,

Pour une bonne santé !

.

Symbolique 

 .

« Je suis le piéton de la grande route par les bois nains ;

La rumeur des écluses couvre mes pas.

Je vois longtemps la mélancolique lessive d’or du couchant. »

Arthur Rimbaud, Enfance.

.

La marche rappelle la vocation naturelle de l’homme au mouvement.

Un pas, l’un devant l’autre, il se met en route, il va, il bouge, il avance.

Il retrouve l’ardeur des commencements, l’impulsion nouveau départ.

.

Contre la paresse et l’égoïsme et la souffrance et voire la maladie

Qui accablent et contraignent parfois à « ne plus bouger »,

Jusqu’à l’arrêt de la mort qui est, elle, définitive.

Cairn.info/revue-etudes-2010-11-page-519

.

Descriptif

 

397 – Une randonnée dans une vallée   

Alignement central   /   Titre analogue /  Thème   rando

Forme anthropo / Rimes égales /Fond accordé à forme

Symbole de forme : marche / Symbole de fond : santé

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

397 6

.

Un panneau indiquant un départ

D’une marche nordique

Où le plaisir, s’associe à un sport,

Pour une bonne santé !

 .

Symbolique 

 .

On connaît les bienfaits

De la marche pour entretenir

Sa forme physique, beaucoup moins

Ceux  exercés sur  sa santé psychique.

.

Se sentir mieux,  après bonne marche,

Est un sentiment partagé par tous ceux

Qui en ont fait leurs réelles expériences.

L’interaction corps et esprit est unique.

.

Marcher 30 à 40 minutes plusieurs fois

Par semaine décompresse, apaise si on est tendu,

Permet de voir plus clair ou trouver des solutions.

C’est à la fois un extraordinaire booster cognitif

Et un formidable tranquillisant ….. naturel.

antemagazine.fr/beaute-forme/sport/marche-

velo-jogging/marcher-cest-bon-pour-le-mental

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

On marche d’abord pour randonner

Pour prendre l’air, admirer paysage ;

On marche ensuite pour préserver santé

En somme pour garder  une bonne forme.

Marcher en montée est pareil que sur plat,

Il faut simplement régler respiration et pas

On avance moins vite, l’on compte en heures,

C’est souvent faux de dire qu’on y arriver pas.

 .

 .

Randonnée vallée encaissée

.

Scénario

.

Dans des vallées profondes avec en fond les montagnes,

dans des vallées entre deux monts comme en Bretagne,

dans des vallées le long des rivières, le long des fleuves.

.

Visuels et textuels >>  

361 – Seconde, longue randonnée

Visuels et textuels  >> 

.

Tout là-haut,

Sur la montagne,

Étant bien plus haute

Que notre belle Bretagne,

L’authentique forêt primaire

Nous attend et elle comprend,

Arbre, arbuste… fleur d’antan.

.

C’est un vrai, et un pur régal,

L’endroit est bien silencieux

Le paysage,  bien en creux,

Un long sentier en gravit

Sa colline impénétrable

En tous points, divine !

.

Lors nous y enfonçons,

D’un pas plus que léger,

En paysages  de fin d’été

Regorgeant  des verdures,

Et, de plantes,  si  sauvages

Que  l’on pourrait   en parler

Comme legs,  ou   sauvetages !

.

Entre haies roses,  qui jaunissent,

Ça monte, tourne, descend,   glisse,

Il faut tenir sa main qui tire et hisse

Afin que nos montées  ne rompissent

Le tour de chauffe, première montée.

.

Au bout  de  trois quatre, randonnées,

Vous serez roi des monts haut-perchés

Vous procurant points de vue extasiés.

Ici,  forêts  de  l’ile, vierges,  inhabitées,

Métropole : toutes exploitées,  spoliées ;

Ici, si vous jetez  une graine, elle pousse,

Là-bas, que chiendent, ronces, mousses !

.

Pour finir, la brume nous a pris et surpris

Par sa candeur, sa fraicheur sans la pluie,

Bien que, vite, chaleur du soleil, la dissipe,

Ça glisse encore assez pour se casser la pipe.

.

Une longue randonnée vous plongera et d’avantage,

Dans le paysage, dans la nature et jusqu’aux nuages

Car tout change, à chaque montée, à chaque virage,

Qui plus est, vous perdez du poids, finissez en nage.

.

La marche en montagne se compte en heures plus

Qu’en distance, vrai qu’il faut compter un quart

De temps en moins pour descente régulière.

Indications pancartes correspondent,

Temps des pauses non compris.

.

.

Extensions

.

Une petite

Randonnée fait ici

De quatre à cinq heures

Sur terrain pas trop dénivelé,

Une grande, de six à sept heures,

Sur terrain beaucoup plus accidenté.

.

Les forêts primaires, on ne les trouvera

Qu’à quinze cent mètres en les hauteurs,

Aussi faut-il grimper pour les atteindre,

Le silence est très impressionnant :

L’on peut se croire à mille lieux

De civilisation, d’habitations !

.

Une  boussole,  et  une carte,

Sont indispensables en lieux

Couverts des forêts primaires

Où les sentiers se ressemblent,

Et carrefours sont mal orientés :

On perd une heure si l’on se trompe.

.

Mon épouse devant, et moi derrière, et l’ami Pierre, qui suit :

Sommes tous trois en bermuda, tee-shirt et chapeau adéquat

Une première partie, facile, en pente légère, et bien régulière,

Suivie de quelques raidillons qui vous raidissent les tendons,

Et pour finir, un pic qui nous met l’estomac dans les talons.

Nous aurons fait quinze kilomètres et bu deux litres d’eau,

Sous un soleil frisant les 35 degrés en bas, et 25 en haut !

 Nous ne regrettons pas au vu du panorama imprenable,

Deux heures à le contempler entre le repas et la sieste.

.

L’on commence à grimper dans les hauteurs,

Et c’est de là qu’on voit la mer, de tous côtés,

On prend conscience des dimensions de l’ile,

Et de son caractère volcanique … accidenté.

.

Ce qui nous impressionne le plus : cirques,

Au nombre de trois et chacun son charme,

Et bien sûr la Fournaise encore en activité

Où l’on s’est promis d’aller jour prochain.

.

.

361 – Calligramme

.

Tout là-haut,

Sur la montagne,

Étant bien plus haute

Que notre belle Bretagne,

L’authentique forêt primaire

Nous attend et elle comprend,

Arbre, arbuste… fleur d’antan.

C’est un vrai, et un pur régal,

L’endroit est bien silencieux

Le paysage,  bien en creux,

Un long sentier en gravit

Sa colline impénétrable

En tous points, divine !

***************************

**************************

Lors nous y enfonçons,

D‘un pas plus que léger,

En paysages  de fin d’été

Regorgeant  des verdures,

Et, de plantes,  si  sauvages

Que  l’on pourrait   en parler

Comme legs,  ou   sauvetages !

Entre haies roses qui jaunissent,

Ça monte, tourne, descend   glisse,

Il faut tenir sa main qui tire  et hisse

Afin que nos montées  L ne rompissent

Le tour de chauffe   O    première montée.

Au bout de trois   N        quatre, randonnées,

Vous serez roi      G     des monts haut-perchés

Vous procurant    U         points de vue extasiés.

Ici, forêts de l’ile      E               vierges, inhabitées,

Métropole : toutes      *              exploitées, spoliées ;

Ici, si vous jetez une       R              graine, elle pousse,

Là-bas, que chiendent,       A               ronces, mousses !

Pour finir, la brume nous       N              a pris et surpris,

Par sa candeur, sa fraicheur        D                 sans la pluie,

Bien que, vite, chaleur du soleil        O                   la dissipe,

Ça glisse, encore assez, pour se casser    N                 la pipe !

Une longue randonnée vous plongera, et     N      d’avantage,

Dans le paysage,  dans la nature  et  jusqu’aux  É      nuages,

Car tout change, à chaque montée,   à chaque    E  virage,

Qui plus est, vous perdez du poids, finissez en   *  nage.

La marche, en montagne, se compte en heures plus

Qu’en distance, vrai qu’il faut compter un quart

De temps en moins pour descente régulière.

Indications pancartes correspondent,

Temps des pauses non compris.

À   L A   R  É  U  N  I  O  N  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

Lors on randonne,

Il faut toujours garder

Une poire, pour la soif,

Voire des letchis locaux.

.

Poire et fruit exotique ont peu à voir

avec une randonnée en cirque, ou pic

au delà des mille mètres, il y en a peu

si fait que la forme diffèrera du fond.

.

Une poire est bien issue d’une fleur de poirier

 Qui ne produit le fruit exotique letchi

Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtus et goutés.

.

Symbolique 

.

Les grecs

L’auraient appréciée

La poire puisque Homère

Disait d’elle que c’était cadeau

Des dieux. Mais c’est aux romains

Que l’on doit  sa véritable  diffusion

Dans le reste de l’Europe,  l’auraient

Plusieurs fois croisée et auraient créé

Une cinquantaine de  variétés. Chine,

La fleur du poirier est le symbole du

Caractère éphémère de l’existence,

Car elle est très fragile. Occident,

Dans l’univers onirique, poire

Symbole érotique féminin.

patybio.over-blog.com/article-

petite-histoire-de-la-pyra-ou-poire

.

Descriptif

.

360 – Longue randonnée, à La Réunion   

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme  en courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : poire    /     Symbole de fond : letchi

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

Une poire est bien issue d’une fleur de poirier

 Qui ne produit le fruit exotique letchi

Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtus et goûtés.

 .

Symbolique 

 .

Il s’agit du véritable symbole

Pour la belle  île de la Réunion !

Un letchi agréable à consommer,

Surtout pour les fêtes de fin d’année,

Letchi n’a pas que qualités gustatives.

.

Il s’agirait, aussi, d’un fruit  qui  possède

De nombreux bienfaits   pour notre santé,

Véritable source de fibres, le letchi est aussi

Très riche en vitamine C et en vitamine B9.

.

En dégustant le letchi de l’île de la Réunion,

Vous ferez du bien à vos papilles et santé !

blog-colipays.com/739/le-letchi-

le-symbole-de-lile-de-la-reunion

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le letchi est un arbre majestueux

Atteignant 20 mètres  de hauteur :

Il présente un houppier  volumineux,

Il est de forme  généralement arrondie.

Cultivé depuis plus de 4.000 ans en Chine,

 Et il aura été introduit à La Réunion en 1764.

Le fruit arrive à maturité au mois de décembre.

Gourmandise prisée  des Réunionnais,  les letchis

 Ornent tables de Noël et Jour de l’An à La Réunion.

 .

.

Belle forêt primaire

.

Scénario

.

Ma femme et moi, un ami, lors partie de montée facile, verdoyante,

qui nous procure vue panoramique  et  imprenable  sur un cirque,

projet de grimper sommet : sept heures de marche aller-retour !

 .

Visuels et textuels  >> 

360 – Première, courte randonnée

Visuels et textuels >> 

.

Facile sur le papier,

Facile, sur une carte,

Facile par les sentiers,

Facile avec… pancartes.

.

Au début, avons pied léger,

Grimpons  vers  les montées,

Descente, avons cœur, fatigué

Notre entrain nullement altéré.

.

Même quand une très raide pente

Ralentit notre marche, rendue lente

Quand racines nous feront trébucher,

Ferons bien attention à ne pas glisser.

.

Une petite pause, bienvenue et Petit-Lu,

Boire de l’eau n’est pas non plus, superflu,

Nous n’avons pas fini,  ne sommes pas d’ici,

Encore trois heures de marche, courage parti.

  .   

Nous traversons quantité de bois et de sous-bois,

Longeons quelques haies de plantes, fleurs des bois,

Et toutes ces végétations luxuriantes, de la fin de l’été,

Nous mettent nos yeux en émois, notre cœur aux abois.

   .

Une dernière pause, s’impose, avant d’attaquer la montée,

Casse-croûtes, bouteilles d’eau, commencent  à nous peser :

Oh hisse on s’arrache on s’agrippe à quatre pattes, grimper

On sue, on suffoque, on expire, soupire : cette fois on y est.

   .

Au bout d’un haut sentier en plein milieu de la randonnée

Il ne nous reste plus qu’à descendre quelque peu fatigué,

Notre journée aura été très longue,  dès six heures levés

Cela dit, à aucun moment, ne songerons à la regretter.

.

Facile sur le papier  ….  plus dur sur la montée :

Notre sort  de  randonneurs   réunionnais,

N’est pourtant pas des plus mauvais,

Il y en a d’autres à nous envier.

.

.

Extensions

.

Vrai que petite mise en jambes

Avant d’attaquer les plus longues

Et hautes randonnées, s’avère  plus

Que nécessaire, puis vital, à l’arrivée.

.

Vous débarquez, station  de ski, l’hiver,

Vous n’attaquez pas d’emblée piste noire

Prenant le risque de vous casser, de passer

Votre semaine de vacances dans un hôpital.

.

Une marche est  moins dangereuse,  violente.

Corps s’habitue à endurer, de mieux en mieux,

À se dépasser, à se surpasser,   jusqu’à vous faire

Comprendre le moment, l’endroit où  il serait bon

De souffler  ou, parfois, de s’arrêter, voire renoncer.

.

Chaleur, fraicheur, compteront autant que longueur,

Et hauteur de randonnée, boire est impératif absolu

Au-delà trente-cinq degrés, le corps se déshydrate

Nettement plus vite, et le fait faire une pause

Pour grignoter retarde l’hypoglycémie.

.

La première randonnée sera une, d’échauffement, d’acclimatation.

Elle ne sera pas trop longue, pas trop haute, et pas trop fatiguante.

Un sac léger sur le dos, contenant rien que le pic-nic, et  boissons,

Une marche non rapide, avec des arrêts fréquents pour souffler.

Il y a quand même et avant tout décalage, déphasage, horaire

À compenser et ce n’est pas en forçant que l’on va y arriver.

On risquerait de plus de se faire des ampoules ou entorse.

.

Faut se mettre en train, sans se forcer :

Dix kilomètres, premier jour, c’est assez,

Vingt nous auraient cassés genoux, pieds

En plus des trois heures d’horaire décalé,

.

Avec métropole  et  un coucher fort tard,

On est un peu zombies,  dans le coltard :

 Mal réveillé, lors en état de somnolence,

Randonnée ne doit pas être pénitence.

.

.

360 – Calligramme

 .

Facile sur le papier,

Facile, sur une carte,

Facile par les sentiers,

Facile avec… pancartes.

.

Au début, avons pied léger,

Grimpons  vers  les montées,

Descente, avons cœur, fatigué

Notre entrain nullement altéré.

.

Même quand une très raide pente

Ralentit notre marche, rendue lente

Quand racines nous feront trébucher,

Ferons bien attention  à ne pas glisser.

.

Une petite pause, bienvenue et Petit-Lu,

Boire de l’eau  n’est pas,  non plus, superflu,

Nous n’avons pas fini  *    ne sommes pas d’ici,

Encore trois heures de    C marche courage parti.

   

Nous traversons quantité    U   de bois et de sous-bois,

Longeons quelques haies de  R      plantes, fleurs des bois,

Et toutes ces végétations luxu  T      riantes, de la fin de l’été,

Nous mettent nos yeux en ém    E     ois, notre cœur aux abois.

     *

Une dernière pause, s’impose,      R      avant d’attaquer la montée,

Casse-croûtes, bouteilles d’eau,      A       commencent  à nous peser :

Oh hisse on s’arrache on s’agrip      N       pe à quatre pattes, grimper

On sue, on suffoque, on expire,         D       soupire : cette fois on y est.

              O

Au bout d’un haut sentier en plein       N        milieu de la randonnée

Il ne nous reste plus qu’à descendre       N        quelque peu fatigué,

Notre journée aura été très longue,         É     dès six heures levés

Aucun moment, ne songerons                E      à la regretter.

À     L A     R É U N I O N   

.

Facile sur le papier  ….  plus dur sur la montée :

Notre sort  de  randonneurs   réunionnais,

N’est pourtant pas des plus mauvais,

Il y en a d’autres à nous envier.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

.

Lors on randonne,

Il faut toujours garder

Une poire pour la soif,

Voire fruit exotique.

.

Poire et fruit exotique ont peu à voir

avec une randonnée en cirque, ou pic

au delà des mille mètres, il y en a peu

si fait que la forme diffèrera du fond.

 .

Une poire est bien issue d’une fleur de poirier

 Qui ne produit de fruit, de fleur exotique 

Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtues et goutés.

.

Symbolique 

 .

En chine,

La fleur du poirier

Est symbole du caractère

Éphémère de notre existence,

Tant elle est perçue comme fragile.

.

En occident dans notre univers onirique

La poire serait un symbole érotique féminin,

Les noms, qu’on lui a donnés, au fil  des siècles.

.

En témoignent assez bien : comtesse d’Angoulême

Belle lucrative, doyenne comice, duchesse Orléans

Galien y voit le fruit le plus propre à désaltérer,

Et de fait l’expression désormais populaire

Qui est de  » garder une poire pour la soif « 

N’est pas tout à fait dénuée de sens.

Source : patybio.over-blog.com/article-

petite-histoire-de-la-pyra-ou-poire

.

Descriptif

.

360 – Courte randonnée, à La Réunion   

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme  en courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : poire    /     Symbole de fond : fruit

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

.

Une  poire n’est pas ce qu’on peut appeler

Un fruit exotique :

Mais dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtues et goutés.

.

Symbolique 

.

Il est assez courant

De se voir dans des jardins fruitiers

Ou bien même devant un potager dans ses rêves.

Il est possible, aussi, de voir apparaître des fruits

Exotiques bien mûrs, appétissants en sa vision.

Tout cela n’est évidemment pas dû au hasard

Car tous ces fruits, légumes, ont un sens

Au niveau symbolique spirituelle.

crystallia.unblog.fr/symbolique

-des-fruits-et-legumes

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les poires et les fleurs de poiriers,

Pour sûr, seront des plus communes

Lors fruits exotiques sont découvertes

Pour un métropolitain, de la Bretagne.

.

En voit en certains magasins spécialisés,

Mais pas sur des plantes, arbres, pousser.

C’est vrai plaisir que de pouvoir les cueillir,

En saison ou les acheter sur les étals locaux.

Des ananas Victoria, mangues et bananes.

Letchis,  longanis,  papayes,   goyaviers,

Anones, jusqu’aux fruits de la passion,

Et j’en passe…  tant il y en a, y en a !

 .

.

Temps pour contemplation

.

Scénario

.

Une allée couverte d’arbustes sauvages se profilant en montant.

Plus en hauteur, la même avec une végétation sèche et tombante.

Arrivés à destination sur les bords d’un cirque, le moment pic-nic.

 .

Visuels et textuels >> 

354 – Étrange randonnée que la chambre du loup

Visuels et textuels >>

.

Allons voir au bois

Si le loup, n’y est pas :

Loup y es-tu, m’entends-tu

Qui ne connait cette comptine

De l’école  maternelle  enfantine

Et plus vite que cela… turlututu !

.

L’enfant croit bien  qu’il y en a un

Sans toutefois…vraiment y croire

Perdu un peu dans ces histoires

Que lui raconte ses parents

Pour pousser à imaginer

Monde fantastique.

 .

Une bien étrange randonnée

Que celle de la chambre du loup,

Au départ du village du Haut du Tôt.

Après le départ, chemin, parfois, coupé,

Sur un kilomètre, par des sapins tombés.

.

Ils sont là, en travers et depuis longtemps,

Il faut les contourner, sinon, les enjamber.

Pas  évident, avec  un bébé  de  cinq mois,

Tout  contre soi, tout blotti dans ses bras.

.

Enfin, nous y voilà, au bout d’une heure,

La chambre est perchée toute en hauteur

En l’anfractuosité, d’un amas de rochers,

Qu’on rejoint par étroit chemin, arpenté.

.

Il se peut que loup ait pris quartier d’été,

De la place, pour un, pas pour une famille

Encore moins  toute une meute de loups.

.

Ce n’est pas la réalité historique qui compte,

Mais une légende qui court, ou qu’on modifie,

Voire que l’on invente pour cette occasion rêvée.

.

En tous cas, elle vaut le détour, elle a bien intrigué

L’enfant qui en a eu peur, autant avant que pendant

Et qu’après, bien qu’on ait trouvée une chambre vide.

.

Au fond, c’est l’imaginaire   fantastique quant au loup,

Qui demeurera présent et de  génération en génération,

Alors même que l’on en  voit plus, tellement    beaucoup,

À part en parc animaliers ou  en zoos

.

.

Extensions

.

Le loup est un animal fantastique,

D’imaginaire d’enfant de cinq ans.

C’est un peu comme le Père Noël :

Il y a croit encore à cinq ans mais

Sans trop y croire, vrai, vraiment.

.

Il y a de la porosité entre son réel

Et son imaginaire faisant il peut

Croire tout et  ….. son contraire,

Aller voir la chambre d’un loup,

Dont on sait  qu’il n’existe plus,

Sera une sorte de voyage  extra

Dans le temps  et dans l’espace

Qui nous rapproche des contes

De fées et d’histoires horribles.

.

Il faut  bien  se donner  un  but

Pour  une  promenade  en forêt,

Celui-là en vaudra bien d’autres.

Nous avons failli essuyer  l’orage,

Au moment de la découverte de la

Chambre et ça a ajouté du mystère,

Et de la profondeur, à cet événement.

Le beau temps  est revenu, et, a un peu

Casser le mythe, on dira la prochaine fois.

.

Une randonnée en pleine montagne vosgienne, qu’à cela ne tienne

Allez rendre visite à la chambre du loup

Déjà le titre fait peur aux enfants mais pourquoi dans une chambre !

Je croyais que c’était réservé aux humains.

Voyons-donc, ce doit être un grand loup, chef de meute, certainement

Il va nous manger si on le dérange, le déloge

À moins que ne se soit qu’une chambre abandonnée, qu’on a tué le loup.

Voilà bien de quoi faire fantasmer l’imaginaire

Et qui ne demande qu’à grandir au fur et à mesure que l’on s’en approche.

.

« Quand on s’en va se coucher
Dans le lit de notre chambre
Faut juste pas trop me toucher
Chu devenue comme sauvage.

Ton petit méchant loup
Je lui obstrue l’accès
Je sers les genoux
Je clôture ma forêt
Juste à penser au string
Je ne trouve plus le sommeil »

 .

Cette chanson de Lynda Lemay

s’adresse à un « doux méchant loup »

qui n’est pas celui du Petit chaperon rouge

ni d’aucun autre conte à nous faire frissonner.

Il y a loup et loup : l’homme en est un pour elle.

.

.

354 – Calligramme

 .

Allons voir au bois

Si le loup, n’y est pas :

Loup y es-tu, m’entends-tu

Qui ne connait cette comptine

De l’école  maternelle  enfantine

Et plus vite que cela… turlututu !

L’enfant croit bien  qu’il y en a un

Sans toutefois…vraiment y croire

Perdu un peu dans ces histoires

Que lui raconte ses parents

Pour pousser à imaginer

Monde fantastique !

 

É  T  R   A  N  G  E

 

R    …………….

Une bien   A  étrange randonnée

Que celle de la   N   chambre du loup,

Au départ du village   D  du Haut du Tôt.

Après le départ, chemin, O   parfois, coupé,

Sur un kilomètre, par des   N sapins tombés.

Ils sont là, en travers et depuis   N   longtemps,

Il faut les contourner, sinon, les   É  enjamber.

Pas  évident, avec  un bébé de    E     cinq mois,

Tout  contre soi, tout blotti    *   dans ses bras.

Enfin, nous y voilà, au bout C       d’une heure,

La chambre est perchée    H  toute en hauteur

En l’anfractuosité, d’un    A   amas de rochers,

Qu’on rejoint par étroit  M    chemin, arpenté.

Il se peut que loup ait   B   pris quartier d’été,

De la place, pour un,   R   pas pour une famille

Encore moins  toute   E      une meute de loups.

Ce n’est pas la réalité   *   historique qui compte,

Mais une légende qui  D   court, ou qu’on modifie,

Voire que l’on invente  U pour cette occasion rêvée.

* ….

En tous cas, elle vaut le   L  détour, elle a bien intrigué

L’enfant qui en a eu peur,  O    autant avant que pendant

Et qu’après, bien qu’on ait   U    trouvée une chambre vide.

Au fond, c’est l’imaginaire      P      fantastique quant au loup,

Qui demeurera présent et     ce de      génération en génération,

Alors même que l’on en          voit plus,         tellement    beaucoup,

À part en

Animaliers

Zoos

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

354 4

.

Une cloche, probablement,

 Une cloche, très certainement

À moins que ne soit la clochette

Qui pendra au cou des vaches

.

Une cloche sied bien à une vache

mais pas à une chambre du loup !

car qu’en ferait-il à courir partout

et ainsi la forme diffère du fond.

.

Battant cloches seraient toutes les  églises

Ainsi que vaches, ou autres mammifères,

Pour mieux les localiser en montagne

Voire les prémunir contre les loups.

  .

Symbolique 

 .

Pour l’Église orthodoxe russe,

Les cloches sont des êtres  animés

D’un  nom, d’un corps et de sentiments.

.

Par ailleurs, la forme creuse et arrondie

De la cloche l’assimile au corps féminin,

Tandis  que  le  battant, et, le manche,

Évoqueraient  comme  un   phallus.

.

Toutes ces connotations sexuelles,

Contribueraient au symbolisme

De la cloche, employé dans les

Rituels bouddhistes tibétains.

grandrêve1234.blogspot.com

.

Descriptif

 .

354 – Étrange randonnée à la chambre du loup   

Alignement central  /  Titre serpente  /  Thème  animal

Forme courbe  / Rimes variées  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : cloche    /  Symbole de fond : vache

.

.

Fond

.

Évocation 

.

354 6

.

Battant cloches seraient toutes les  églises,

Ainsi que vaches ou autres mammifères

Pour mieux les localiser en montagne

Voire les prémunir contre les loups.

 .

Symbolique 

 .

Ces cloches permettent

Aux éleveurs de retrouver leurs vaches

Quand certaines d’entre elles se sont égarées.

.

Que ce soit en alpage ou dans d’immenses prairies,

Elles s’avèrent très utiles en s’apparentant à un GPS

Ancienne génération car même lorsqu’il fait nuit ou

Que le brouillard s’invite, les agriculteurs  peuvent

Se diriger uniquement à l’aide du son de cloche.

.

Autre raison de présence de cloches

Autour du cou des vaches, la volonté

De faire fuir les prédateurs.

Les loups notamment

Sont sensibles

Au bruit.

ledauphine.com/savoie/2019/08/04/

pourquoi-les-vaches-portent-elles-des-cloches

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un loup n’aura rien d’une vache :

Meute et capable de tuer son veau

Mais ce sont, surtout, les agneaux

Qu’il apprécie comme nourriture.

 Mais un chien de berger veillera

À ce que le troupeau aille bien

Et sans compter le berger,

Dans sa cabane en bois

Ne craignant le loup

En sa chambre !

.

.

Vosges point GPS chambre loup

.

 .

Scénario

.

La fameuse chambre du loup mais qui ne ressemble à rien du tout.

Le loup, comme il y en avait autrefois, en nombre, dans les Vosges.

Une pause pour se désaltérer au-dessus du village du Haut du Tôt.

 .

Visuels et textuels >>

330 – Petite randonnée… en sous-bois

Visuels et textuels  >> 

.

Étang, ruisseau, marais

Avant de pénétrer  en l’ile,

Fort belle  ballade que voilà

Joli parcours  …. n’est-il pas !

Qui ne rêverait  d’un  sentier,

Aussi abrité et autant varié.

Une promenade de santé :

Fraiche nature, respirer.

.

Il y a tant de choses à contempler

Qu’on ne s’arrêterait pas de s’arrêter

Ici, ou bien là, ou un peu, tout partout,

Pour être sûr de ne rien rater : c’est fou.

.

Lors vous aurez deux heures de temps,

Vous entrerez dans ce grand sous-bois

Trouverez des champignons poussant

À l’ombre des grands  chênes, parfois.

.

Puis vous longerez deux longs étangs

Pleins de poissons et tous, frétillants

Vous apprécierez le calme de ce lieu

Seul,  en pleine  nature,  et heureux

.

Vous suivrez  le cours de ruisseau

Vous le longerez le long d’un pré,

Sur son sol vert bien gorgé d’eau

Foulerez leurs herbes mouillées.

 .

Vous accosterez village fermier,

Où les  maisons sont anciennes

Faites de pierres  et ardoisées,

Avec cour pavée  et en damier.

 .

Traverserez le marais marin,

Où des oiseaux  vont pécher,

Et savourerez endroit divin,

Par soleil couchant, éclairé.

 .

Tout y est : non …  attendez,

J’allais oublier cette humeur

Vagabonde  dont votre cœur

Restera, long temps, attaché.

 .

Enfin… rentrez dans mon ile,

Chocolat chaud, vous attend,

Comme un viatique reposant

D’une ballade  très tranquille.

.

.

Extensions

.

Il arrive que le retour d’une randonnée

Offre un paysage différent de celui de l’aller

Ou des points de vue qu’on n’a pas découverts.

.

Ile Grande, nombre de gens  se disent surpris,

Agréablement, par les différences, et variétés,

De paysages, de panoramas et lumières selon

Qu’ils ont fait le tour dans un sens, et l’autre.

.

Vous me direz, c’est une ile avec mer autour

Et ça, pour le moins, ça ne changera pas !

Eh, détrompez-vous, elle n’est pas même

Là  où  il  y  a  des  rochers  ou  du  sable,

Là où il y a une baie  ou un promontoire,

Là où il y a fort courant, où il n’y en a pas.

.

Et puis du côté terre, c’est encore plus net,

La végétation, la couleur, la morphologie,

Changent sans cesse : sentier des douaniers,

Comme on l’appelle, et qui longe toute la côte,

Fourmille de merveilles, tant naturelles, culturelles

On peut le pratiquer dix fois, vingt fois, sans s’en lasser.

.

Sous-bois est abrité, procure à la fois une atmosphère

De fraîcheur et un imaginaire propice à rêverie, rêveurs

Au printemps, le vert tendre domine et parfume canopée,

En automne, les couleurs flamboient,  charment le regard,

En été, on joue à cache-cache avec le soleil parfois torride

En hiver, on voit tout à travers et on se préserve du froid,

Chaque saison à son attrait ainsi que chaque sous-bois.

.

Disons-le : franchement, avouons-le, directement :

On ne se ballade longtemps pour se faire les pieds,

Bien plus souvent c’est le paysage, qui nous attire

D’autant qu’on ne le connait pas, on le découvre !

.

Quel plaisir de pénétrer, en sous-bois  ombragé,

De marcher sur un tapis de feuilles, desséchées,

Passer sous tunnel d’arbustes qui se rejoignent,

Marcher en chemin creux, à hauteur d’homme.

.

Et puis après, le retour à la lumière, au paysage

Et suivre les pas de ceux qui ont créé ce passage,

En regardant un ciel complice et sans un nuage :

La Nature nous aura donné tout cela en héritage.

.

.

330 – Calligramme 

 .

Étang, ruisseau, marais

Avant de pénétrer  en l’ile,

Fort belle  ballade que voilà

Joli parcours  …. n’est-il pas !

Qui ne rêverait  d’un  sentier,

Aussi abrité et autant varié.

Une promenade de santé :

Fraiche nature, respirer.

.

Il y a tant de choses à contempler

Qu’on ne s’arrêterait pas de s’arrêter

Ici, ou bien là, ou un peu, tout partout,

Pour être sûr de ne rien rater : c’est fou.

.

Lors vous aurez deux heures de temps,

Vous entrerez dans ce grand sous-bois

Trouverez des champignons poussant

À l’ombre des grands  chênes parfois.

Puis  vous longerez  deux longs étangs

Pleins de poissons, *   tous, frétillants ;

Vous apprécierez   P le calme de ce lieu

Seul, en pleine       E nature et heureux

 T

Vous suivrez  le      I  cours de ruisseau

Vous le longerez    T   le long d’un pré,

Sur son sol vert     E  bien gorgé d’eau

Foulerez leurs      * herbes mouillées.

  R

Vous accosterez    A   village fermier,

Où les  maisons    N   sont anciennes

Faites de pierres  D       et ardoisées,

Avec cour pavée    O       et en damier.

   N

Traverserez le           N       marais marin,

Où des oiseaux          É            vont pécher,

Et savourerez             E           endroit divin,

Par soleil cou               *            chant, éclairé.

 S

Tout y est :                    O               non attendez,

J’allais oublier                U                 cette humeur

  Vagabonde                       S                dont votre cœur

  Restera, long                     –                   temps, attaché.

 B

  Enfin, rentrez                      O                       dans mon ile,

    Chocolat chaud,                   I                             vous attend,

       Comme un via                      S                             tique reposant

         De votre ballade  ………………………………………….. très tranquille.

.

.

Forme

Réduction

.

.

 Évocation 

.

330 4

.

La silhouette d’un marcheur

Avançant, tranquillement

Et bien à son rythme

Long chemin ?

 .

Marcher met en exercice le bas du corps

même si le reste y participe grandement

marcher est un réflexe en partie contrôlé

la forme justifiera le parcours du fond !

 .

 En voilà un marcheur qui a l’air de

Bien prendre le temps : 

Petit chemin évoque une randonnée

Et des plus tranquilles.

.

Symbolique 

.

Si les pieds sont autant symbole de liberté,

Ce serait peut-être enfin à cause du lien

Entre  le marcheur  et ses pensées.

Un lien dont étaient convaincus

Des personnages aussi divers

Qu’Aristote, Beatriz   Padovan,

Nietzsche  Jean-Jacques Rousseau.

Cheminez à pieds, petits poucets rêveurs,

Et laissez donc vagabonder vos belles pensées !

.

Descriptif

 

330 – Petite randonnée dans les sous-bois     

Alignement central / Titre courbe   / Thème  rando

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : marcheur  / Symbole de fond : chemin

.

.

Fond

.

Évocation 

.

330 6

.

En voilà un marcheur qui a l’air de

Bien prendre le temps : 

Petit chemin évoque une randonnée

Et des plus tranquilles.

.

Symbolique 

.

Les schèmes symboliques

Qui  manifestent  cette  marche

De l’être humain vers l’inconditionné

Peuvent se décrypter derrière

Expérience spirituelle,

Que celle-ci soit d’ordre esthétique,

Philosophique, gnostique, mystique.

.

Tant le symbole du chemin constitue

L’un des éléments de l’image archétype

Qu’être humain se forme de lui-même.

Il lui révèlerait  l’essence humaine

En tant qu’«être-en-recherche».

universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Randonnée suppose un circuit balisé

Mais, parfois, un aller-retour, accepté

Vous procure autant surprise et plaisir,

Voire d’un très bon exercice, pour finir !

.

Combien de fois ai-je fait le tour complet

D’Ile-Grande sans jamais un seul regret.

.

On pourrait croire à certaine lassitude

La craindre mais le paysage change

Très souvent et lors on ne marche

Que rarement même paysage.

 .

.

Sous-bois cachant secret

.

Scénario

.

Entre deux bois, passage à pied d’une rivière.

En automne, dans un sous-bois, tapissé de feuilles.

Au printemps, dans un fourré aux abords d’une clairière.

 .

Visuels et textuels  >> 

329 – Grande randonnée, en sous-bois

Visuels et textuels   >>  

.

Un sous-bois

Fait  toujours

Rêver, marcher;

Un  sous-bois  est  fait  pour

Se cacher :

Un  sous-bois  est,  d’amour,

Opportunité.

.

Un  sous-bois  met  émotions

Aux abois ;

Un   sous-bois  est  protection,

De bon aloi ;

Un  sous-bois  reste  en relations

Bon endroit.

.

Sous-bois serait pour et par Nature

Un vrai trésor ;

Sous-bois est calme, sous-bois est pur

Impression tout dort ;

Un sous-bois est comme épée d’Excalibur

Mystérieux en ses rapports !  

.

Mes pas s’enfoncent, en surface et doucement

En un tapis des feuilles mortes, jonchant le sol,

Venant juste tomber, ces jours derniers, au vent

Dans une dernière arabesque, dansée en sous-sol.

.

Cet humus qui, sans cesse, se renouvelle, et abrite

Centaines d’insectes : combien d’animaux … divers,

Je suis inconscient du poids destructeur de mes pas,

Je suis géant,  au pays des nains  et  réciproquement.

 .

La cime des arbres,  qui accroche les nuages,  sollicite

Ma vue, de leurs chatoiements de couleurs … exfoliées

Tant je sens  leurs odeurs suaves, envelopper mon nez,

Qu’un flot  d’images, en mémoire limbique, me suscite.

.

Quelle chance d’être accompagné  en tous les sous-bois,

Pour partager plein de sensations, vibrations, émotions,

Quelle chance  de se retrouver et au milieu de nulle part

Car nature se ressemble d’Est en Ouest  de toutes parts.

.

Un temps maussade ne produit pas d’effets sur l’esprit,

À peine un brin de blues nostalgie  et ou  de mélancolie

Que, bien vite, cette présence amie chasse… et me ravit,

Adam et Ève n’auraient pas été  chassés de ce paradis ci.

.

.

Extensions

.

Le sous-bois est, souvent, recherché

Pour marcher et autant à cause de

Sa fraicheur que de sa splendeur.

Le soleil est filtré par un voile de

Feuillages, plus ou moins dense,

Si fait qu’il scintille de lumières

Par contraste des zones d’ombre.

.

Quand il pleut, il retient  ou retarde

La tombée des goutes  sur votre tête,

Votre peau, et puis garde  l’humidité,

Si le soleil tape par la suite, très fort.

.

Le sol lui-même exhale des senteurs

D’humus sur tapis feuilles mortes,

En automne, et, parfois, en hiver,

Les oiseaux chantent leurs refrains,

Voire leurs couplets, l’on peut apercevoir

Quelques lapins, renards, faisans ou gibiers.

.

Par contre, il faut savoir se guider car la vue

Porte qu’à une centaine de mètres au plus

Et, les chemins nombreux, mal bornés,

Peuvent vous perdre en pleine forêt.

.

On peut randonner tout seul ou avec un chien,

Mais on peut être à deux ou je ne sais combien,

Essentiel est avancer, régulièrement, sur terrain,

Ne pas se dire, c’est fatiguant, quand  c’est la fin !

Moyennant, le plaisir est, souvent, au rendez-vous.

Il ne faut pas oublier que  l’humain reste un bipède,

Un nomade, ayant besoin de pieds, pour se déplacer.

La pensée se détend et s’exprime mieux en circulant,

Finalement, la marche c’est bon autant pour l’esprit.

.

La meilleure façon de marcher

C’est surement la nôtre

C’est de mettre un pied devant l’autre

Et de recommencer

Extrait, chant scout de Dans la troupe

.

Marche ou crève, me disait-on à l’armée.

Quelle idée d’aller faire service chez paras.

.

Tant que tu peux parler, tu peux marcher :

Restait plus qu’à tomber à terre … inanimé.

.

Voilà deux manières d’envisager une rando,

Je vous dirai pas mot de celle que je préfère.

.

.

Épilogue

.

La marche consiste simplement à mettre

Un pied devant l’autre et à recommencer.

Voilà définition facile, et qui marche bien,

Qui commence à un an, pour ne plus finir.

 

***

 

Et,  tant qu’à se faire plaisir pour marcher,

Autant le faire au bon endroit, en sous-bois

Le sol reste un peu élastique sans être mou,

Plus reposant  pour les pieds, qu’une route !

 

***

 

Puis les paysages sont, souvent, magnifiques

Tunnels de verdure seront plus qu’idylliques,

Lieu vallonné, ciel bleu, soleil, et herbe verte,

Une image carte postale, où  il  fait bon vivre.

 

***

 

On y marche, l’esprit léger,  sans se fatiguer :

On y passe des heures sans se rendre compte

Alors que tout au long chemin,  on se raconte

Des histoires, voire  souvenirs, à se partager !

 

***

 

Sous-bois, parfois sombres, jamais aux abois :

Décidons du sentier à chaque embranchement

Même si, parfois, on s’y perd, on se retrouvera,

Étonné d’avoir trouvé la sortie, et rando : finie.

.

.

329 – Calligramme

 .

Un sous-bois

Fait  toujours

Rêver, marcher;

Un  sous-bois  est  fait  pour

Se cacher :

Un  sous-bois  est,  d’amour,

Opportunité.

.

********************************

**********************************

.

Un  sous-bois  met  émotions

Aux abois ;

Un   sous-bois  est  protection,

De bon aloi ;

Un  sous-bois  reste  en relations

Bon endroit.

 

Sous-bois serait pour et par Nature

Un vrai trésor ;

Sous-bois est calme, sous-bois est pur

Impression tout dort ;

Un sous-bois est comme épée d’Excalibur

Mystérieux en ses rapports !  

 

G  R  A  N  D    E

Mes pas s’enfoncent, en surface et doucement

En un tapis des feuilles mortes, jonchant le sol,

Venant juste tomber, ces jours derniers, au vent

Dans une dernière arabesque, dansée en sous-sol.

 

Cet humus qui, sans cesse, se   R  renouvelle, et abrite

Centaines d’insectes : combien   A  d’animaux … divers,

Je suis inconscient du poids  des  N  tructeur de mes pas,

Je suis géant, au pays des nains     D    et réciproquement.

                       O          

La cime des arbres, qui accroche     N     les nuages, sollicite

Ma vue, de leurs chatoiements de     É     couleurs … exfoliées

Tant je sens leurs odeurs suaves         E     envelopper mon nez,

Qu’un flot d’images en mémoire          *      limbique me suscite.

                       *           

Quelle chance d’être accompagné          S     dans tous les sous-bois,

Pour partager plein de sensations          O       de vibrations, émotions,

Quelle chance  de se retrouver                U        et au milieu de nulle part

Car nature se ressemble d’Est                S           en Ouest  de toutes parts.

        –

Le temps maussade ne                         B                produit d’effet sur l’esprit,

À peine un brin de blues                    O                    nostalgie et/ou mélancolie

Que bien vite cette présence            I                          amie chasse… et me ravit,

Adam et Ève n’auraient pas été     S                               chassés  de  ce paradis ci.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

329 4

.

Une silhouette d’homme,

En  train  de  marcher

Et même rapidement

  Avec carte, chrono.

 .

Marcher met en exercice le bas du corps

même si le reste y participe grandement

marcher est un réflexe en partie contrôlé

la forme justifiera le parcours du fond !

.

Diverses façons de marcher existent,

 Lente, moyenne, rapide :

Voici des marcheurs allongeant le pas

 De façon rapide, sportive.

 .

Symbolique

 .

Les pieds sont notre base.

La base de notre … posture,

De notre stature en verticalité

De notre ancrage dans la Terre.

.

Et ils servent  à notre déplacement.

Avant l’agriculture  durant néolithique

Sédentarisation, l’homme est  un nomade,

Marchait quotidiennement longue distance.

.

Les  pieds  permettent  la marche et sa manière

La plus rapide : la course. Que ce soit en catimini

Ou à toute allure, lors les pieds permettent de fuir.

Ils nous permettent aussi, de sauter et de grimper.

leguano.fr/blog/pieds-symbole-de-liberté/2016/09

.

.

Fond

.

Évocation 

.

329 6

.

Diverses façons de marcher existent,

 Lente, moyenne, rapide :

Voici des marcheurs allongeant le pas

 De façon rapide, sportive.

.

Symbolique de fond

.

Les pieds sont notre base.

La base  de notre posture,

De  notre  verticalité  et  de

Notre ancrage dans la Terre.

Ils servent à notre déplacement.

.

Avant  l’agriculture  au  néolithique

Et la sédentarisation, l’homme était nomade.

Il marchait quotidiennement de longues distances.

.

Les pieds permettent la marche et sa façon la plus rapide

La course, et que ce soit en catimini  ou à toute allure,  les pieds

Permettent de fuir, nous permettent aussi, de sauter et grimper. 

leguano.fr/blog/pieds-symbole-de-liberte/2016/09

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Le poids n’aiderait pas à marcher, vite et longtemps

les champions ont des muscles longilignes, densifiés :

à quoi d’autre servent les pieds sinon courir, sauter, nager,

et je n’oublierai pas à danser et sur la pointe des pieds !

.

J’ai souvent été surpris par réserve d’énergie des enfants

ils se disent fatigués, faut les porter, ils courent à l’arrivée

je suis peut-être un peu vieux, lors je récupère moins vite

j’aimerais être encore comme eux, me dépenser pour rien

me dépenser uniquement, pour marcher, me fait du bien.

  .

.

Bois, sous-bois, protecteurs

.

Scénario

.

Au tout départ de notre rando, nous n’étions guère que deux,

puis nous en avons rattrapé quatre autres, dans la forêt,

pour finir notre belle randonnée à une quarantaine !

 .

Visuels et textuels   >>

263 – Bord mer, chemin terre, sentier forêt

Visuels et textuels  >> 

.

La nature nous offre

Son paysage émouvant

Si on va au-devant d’elle,

Se promenant, cheminant

Entre  les bords  de la mer,

Et les routes de campagne

Et sur sentiers forestiers,

Comme  en  montagne,

Elle nous fait oublier,

Ennuis  vie moderne

Qui  nous  stressent,

Nous  la rend  terne.

.

Si j’ai temps à perdre

 Je mets  les chaussures

Pour aller marcher, dur

Sur cailloux, sable, herbe.

Mes souvenirs sont nature

Qui sont rentrées  par pieds,

Tout autant que  par mes yeux.

.

Il est vrai, pour ne pas les reperdre,

Partout où j’aurai longtemps marché,

Je me souviendrai   de  toutes les odeurs

De sous-bois de prés, d’herbes et de fleurs.

Faire une belle randonnée en beau  paysage,

Qui, à chaque virage, présentera  ses visages,

Est comme bon voyage, en soi,  réconciliation

Avec la splendeur de la nature diverse à foison.

.

Nous sommes couronnement en faisons partie,

Mais les uns la chérissent et d’autres, la fuient.

Suivez itinéraire, fléché  jaune ou blanc-rouge,

Pour petits ou grands sentiers de randonnées,

Seul, à deux, à trois, à plusieurs, voire groupé

Marcher sans arrêt sans discuter, vous bouge

Les sangs, idées sont à vos rythmes cadencés,

De pauses, pour consulter la carte des égarés.

.

Ici, une route pavée d’ancienne voie romaine,

Là un chemin creux, sait-on où il nous mène :

C’est ce qui fait le  charme de nos randonnées

Avis sont partagés vers droite on s’est trompé

Comment, à une carte ou son instinct, se fier,

S’il n’y a plus  de  marques  pour nous guider.

.

Arrivé à mi-parcours, moitié des gens fatigués

Demande quand on arrive car  ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trainants, et cloquants,

À marcher, ils ont des problèmes handicapants.

On ne croise presque personne, sur les sentiers ;

Seraient-ils assis,  en fauteuil,  à regarder la télé !

.

Ma randonnée sur sentier de campagne, en forêts,

Suivie de parcours, sur un chemin en  bord de mer,

Termine sa grande boucle sur le parking du départ !

Bien de belles images ont été stockées, quelque part,

En ma mémoire, qui ne se lasse pas de les distinguer :

J’ai beau les parcourir  je ne finis jamais de m’étonner.

.

.

Extension

.

Les randonnées … en bord de mer,

Sont toujours attrayantes, plaisantes

Tant le contraste avec la forêt où l’œil,

Est prisonnier du sous-bois des arbres

Est saisissant, voire même angoissant

Par le manque d’horizon, ou lumière.

.

Les randonnées différent, tant elles seront variées ou  complémentaires :

Chemin pratiqué vous emporte en pleine nature sauvage ou domestiquée

La Bretagne, en particulier, dispose d’un vrai labyrinthe  de randonnées,

Où l’on peut se perdre sans la moindre crainte de ne point s’y retrouver,

Tant campagnes, forêts, bords de mer, s’y succèdent, sans discontinuer.

.

Mer calme, bleue turquoise,

Plus campagne  vert  tendre,

Traversée de forêts, sous-bois,

Forment programme de rando,

Des plus enviables, plus enviées.

.

Il  y a tant  et tant, de  diversités,

Dans les paysages où l’on marche,

Que l’on ne sent, nullement, fatigue,

C’est juste  une danse, pour les pieds,

Juste régal inoubliable pour les yeux !

.

Et puis à l’arrivée, on est prêt à repartir

À recommencer nouveau périple, même

Mais peut-être aussi  que la compagnie,

Nous aide à déjà ailleurs nous projeter,

Comme si on avait des ailes aux pieds.

.

.

263 – Calligramme 

 .

La nature nous offre

Son paysage émouvant

Si on va au-devant d’elle,

Se promenant, cheminant

Entre  les bords  de la mer,

Et les routes de campagne

Et sur sentiers forestiers,

Comme  en  montagne,

Elle nous fait oublier,

Ennuis  vie moderne

Qui  nous  stressent,

Nous  la rend  terne.

Si j’ai temps à perdre

 Je mets  les chaussures

Pour aller marcher, dur

Sur cailloux, sable, herbe.

Mes souvenirs  sont natures,

Qui sont rentrées, par mes pieds,

Tout autant que         B     par mes yeux.

Il est vrai, pour ne pas     O       les reperdre,

Partout où j’aurai longtemps       R          marché,

Je me souviendrai de toutes les          D           odeurs

De sous-bois de prés, d’herbes et de      *              fleurs.

Faire une belle randonnée, en beau       M            paysage,

Qui à chaque virage, présentera            E              son visage,

Est comme bon voyage, en soi                         réconciliation

Avec la splendeur de la nature            *               diverse à foison.

Nous sommes couronnement           C                 en faisons partie,

Mais les uns la chérissent et           H                   d’autres, la fuient.

Suivez itinéraire, fléché                E                 jaune ou blanc-rouge,

Pour petits ou grands                 M                 sentiers de randonnées,

Seul, à deux, à trois,                  I                     à plusieurs, voire groupé

Marcher sans arrêt,                N                      sans discuter, vous bouge

Les sangs, idées,                     *                  sont  à vos rythmes cadencés,

De pauses, pour                    T                      consulter la carte des égarés.

Ici, une route                         E                  pavée d’ancienne voie romaine,

Là un chemin                         R                  creux, sait-on où il nous mène :

C’est ce qui fait le                     R                       charme de nos randonnées,

Avis sont partagés                         E                     vers droite on s’est trompé

Comment, à une carte                      *                         ou son instinct, se fier,

S’il n’y a plus de marques                                                pour nous guider.

Arrivé à mi-parcours, moitié                      E                        des gens fatigués

Demande quand on arrive, car                       N                       ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trainants                        T                       et  cloquants,

À marcher, ils ont des problèmes han                      I                       dicapants.

On ne croise presque personne, sur les                       E                      sentiers ;

Seraient-ils assis,  en fauteuil,  à regarder                  R                         la télé !

Ma randonnée, sur sentier de campagne                   *                      , en forêts,

Suivie de parcours, sur un chemin en                   F                       bord de mer,

Termine sa grande boucle sur le                   O                     parking du départ !

Bien de belles images ont été                  R                      stockées, quelque part,

En ma mémoire, qui ne se                    E                  lasse pas de les distinguer :

J’ai beau les parcourir                       T                je ne finis jamais de m’étonner.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

263 4

.

Évocation

.

Ça peut être une grande gourde d’eau

Tout autant qu’une coupole d’église ?

.

Il n’y en a pas que pour les bouteilles

et de quelques formes qu’elles soient

il y a aussi les dômes et les coupoles,

cela dit, forme se distingue du fond.

.

Une gourde ou bouteille d’eau,

Comporte un intérêt en rando :

Ne négliger la découverte  d’une

Chapelle, d’une coupole d’église.

.

Symbolique 

.

Dans

Les   églises,

Toute    coupole,

Tenue    pour     symbole

Du ciel,    et domine     la nef,

Figure  monde terrestre, visible,

Éclairée, orientée  par  sanctuaire,

Reflet  du  monde  visible, intelligible.

En la Bible, cette coupole reste le trône

De Dieu, c’est vers elle que s’élève Christ

Lors de résurrection après mort en croix.

Atelier-st-andre.net/stgeorges/petit_dictionnaire

.

Descriptif

 

263 – Bord de mer, chemin terre, sentier forêt 

Alignement central  / Titre serpentin / Thème rando

Forme courbe  /  Rimes égales /  Fond  éloigné de forme

Symbole de forme : coupole / Symbole de fond : coupole

.

.

Fond

.

Évocation 

.

263 6

.

Une gourde ou bouteille d’eau,

Comporte un intérêt en rando :

Ne négliger la découverte  d’une

Chapelle, d’une coupole d’église.

.

Symbolique 

.

Une

Coupole est

Une voûte dont la

Forme   qui se   rapproche

D’un    hémisphère en  évoquant

Une coupe renversée, où sa base peut

Être circulaire, elliptique ou polygonale,

Tandis que le profil peut également varier.

Si la coupole  est  surmontée  d’une toiture,

Cette dernière  est  plutôt  appelée  dôme,

Et  cela  bien que les deux termes soient

Utilisés comme autant de synonymes.

En  astronomie, la coupole  désigne

La partie supérieure du bâtiment

Généralement  en   demi-sphère

 Mais pas toujours qui protège

 Le télescope qu’elle contient.

fr.wikipedia.org/wiki/Coupole

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

On peut marcher partout,

Il y a tant à faire  et à voir :

Du chemin,  on trouve le bout,

Quand  il s’agit  de ce  bel espoir,

De communier avec mère Nature.

.

La mer, la campagne, la montagne

Nous offrirons  autant de paysages,

Divers, variés, plaisants,  étonnants,

Qu’on n’aura  qu’embarras  du choix.

.

Parfois, randonnées  courtes, longues,

Souvent en boucles, sinon aller-retour.

La Nature a pour unique couple, le ciel,

Et ce dôme lui fournit ses espaces infinis

Et qu’on prendra le temps de contempler

Lors d’une pause, repas, sous la canopée,

Ou en haut d’un sommet, en bord de mer.

.

.

Le sentier des douaniers du GR 34

.

Scénario   

.

Belle randonnée en bord de mer  sur falaises de Trédrez, en Bretagne.

Échappée de la mer vers les terres entre les rochers  de Ploumanac’h.

 Une marche quelque part au bord d’un lac bordé d’une grande forêt.

.

Visuels et textuels  >> 

262 – Une randonnée dans de belles vallées

Visuels et textuels  >>  

.

Des vallées, des monts,

À explorer.

Des rivières… des ponts,

À enjamber.

Des sources  et fontaines,

À retrouver.

Des paroles, des fredaines,

À raconter.

Des ventres, voire des dos,

À fatiguer.

 Sinon, paysages nouveaux,

À visiter.

Mais voilà ça vous prendra

La journée.   

 .

Je vais en être … essoufflé,

À randonner,

À cueillir des fruits légers

D’un jour léger,

Où des vents,  d’intimités,

Parfument haleines

D’eaux claires,  troublées,

En quêtes vaines,

Où mieux vaut s’encorder

Pour remonter,

Car l’autre vallée  t’attend,

Pentue devant.

 .

Faire attention à ce marais,

Etant fangeux exprès,

Mieux vaut grimper sur mont,

Que de s’enfoncer profond :

Simple question de point de vue,

Si randonnées se perpétuent,

Il est vrai qu’arrivés, là-bas, là-haut,

Le monde est plus vert et beau.

Je vous ai tout dit, vous n’avez rien vu,

Monts et vallées sont le premier aperçu ! 

.

.

Extension

.

Voilà bien une randonnée bucolique, romantique

À souhait, s’il en est, et d’un cachet  et de reflets,

Presque désuets, sonnant  comme air cantique !

Quoi de plus reposant qu’une belle et profonde

Vallée verdoyante, agrémentée d’une rivière

Et d’un plan d’eau, d’accidents de terrain

Qui lui donnent son caractère original.

.

Une vallée, c’est une lente descente,

Avec la vue sur l’échappée de l’horizon

Qui se poursuit jusqu’ au loin, ou ailleurs ;

Une vallée c’est une trouée entre des massifs,

Obstacles naturels qui la protègent, la défendent ;

Une vallée c’est parfois une lente montée vers un col,

Une source plateau où paissent nombre de troupeaux,

Une vallée, c’est aussi, encore et surtout, un lieu de vie,

Lors presque toutes les habitations ont jardin arboré,

Pelouse bien coupée, des massifs de fleurs, colorées,

En écho, harmonie avec la nature qui les entoure

Et les laissent respirer un air pur, dépoussiéré.

.

Chant d’un coq, oiseaux, aboiements d’un chien,

Meuglements de vache, hennissements de cheval,

Battements cloches village, vous accompagnent,

Au long de votre randonnée comme scandée.

Passer une vallée pour grimper un mont

Et loger une vallée en le contournant

Constitueront deux programmes.

.

Randonnée dans une vallée n’est pas randonner sur un mont.

Dans bon  nombre de vallées, il y a des cours d’eaux, des ponts,

Tandis que  sur les monts : des ravins,  voire des pics, précipices.

Randonner en fond de vallée se passe dans de meilleurs auspices,

On peut  flâner, papillonner, s’intéresser, verdure  et  botanique,

Sans compter s’arrêter près d’un ruisseau, pour le piquenique.

Si on garde l’œil ouvert, ses souvenirs rentrent par ses pieds.

.

Toutes les vallées  ne  se ressemblent :

Chacune aura un charme particulier,

Tout comme  des  bruits  d’activités,

Qui troublent un calme, recherché !

.

De la monter puis de la descendre,

Donnera panoramas différenciés :

D’autant si l’on est  autre versant,

Avec rivière  comme base, repère.

.

Il existe bien  des vallées désertes,

Où l’on ne rencontre pas activités.

Une des impressions  qu’on retire :

Une  nature  vierge ou  ensauvagée !

.

.

Épilogue

.

Marcher au milieu d’un paysage

À vous couper le souffle est  comme

Vivre un rêve éveillé, en communion

Nature, sans aucune transformation,

Et ce qui est vrai en haute montagne,

L’est autant  …  en pleine campagne

Où l’on découvre  ses belles vallées

Que l’on a plaisir à… contempler.

***

Il y aurait un grand contraste

Entre verdure  dans la vallée,

Roche pentue, en montagne :

Douceur de vie contre aridité,

Mais les deux méritent détour,

Chacun son charme particulier !

***

Montagne est bien plus fatigante,

Elle use vos pieds,  voire vos genoux,

Requiert beaucoup  d’énergie  et  d’eau,

Lorsque vous êtes rentré, avez mal au dos.

***

Les vallées  sont bien reposantes, romantiques,

Durées correspondent aux distances parcourues.

***

Au final,  la vallée est belle, la montagne : rebelle !

.

.

262 – Calligramme

.

RANDONNÉE

Des vallées, des monts,

À explorer.

Des rivières… des ponts,

À enjamber.

Des sources  et fontaines,

À retrouver.

Des paroles, des fredaines,

À raconter.

Des ventres, voire des dos,

À fatiguer.

 Sinon, paysages nouveaux,

À visiter.

Mais voilà ça vous prendra

La journée.  

 .

DANS DE

Je vais en être … essoufflé,

À randonner,

À cueillir des fruits légers

D’un jour léger,

Où des vents,  d’intimités,

Parfument haleines

D’eaux claires,  troublées,

En quêtes vaines,

Où mieux vaut s’encorder

Pour remonter,

Car l’autre vallée  t’attend,

Pentue devant.

 .

BELLES VALLÉES

Faire attention à ce marais,

Étant fangeux exprès,

Mieux vaut grimper sur mont,

Que de s’enfoncer profond :

Simple question de point de vue,

Si randonnées se perpétuent,

Il est vrai qu’arrivés, là-bas, là-haut,

Le monde est plus vert et beau.

Je vous ai tout dit, vous n’avez rien vu,

Monts et vallées sont le premier aperçu ! 

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

262 4

.

Un réservoir,  une flamme,

Un anneau : une lampe,

Oui mais lampe  de qui :

D’un obscur  mineur ?

.

Lampe et randonnée … sauf la nuit,

ne se prêtent pas main forte ensemble,

et s’il s’agit d’une lampe d’obscur mineur

son travail n’a rien d’une belle randonnée.

.

Lampe d’exploration ancienne,

À mèche et flamme

Pour les caves, les grottes, mines,

Endroits obscurs.

Symbolique 

.

La lampe, qu’elle soit électrique, à huile

Ou à pétrole, représentera toujours une

Lumière intérieure, énergie, capacités,

Des talents et que nous maîtrisons.

.

L’homme maîtrise la lumière avec

Un  pouvoir d’allumer et d’éteindre.

.

Lumière symbole de la connaissance,

Tu apprends de jour en jour à mieux

Te connaître, tu évolues grâce à ces

Informations et ce savoir.

.

Descriptif

 .

262 – Randonnée dans de belles vallées

Alignement central  / Titre intercalé  / Thème rando

Forme droite  /  Rimes égales /  Fond  éloigné de forme

Symbole de forme : lampe   /   Symbole de fond : obscurité

.

Fond

.

Évocation 

.

262 6

.

Lampe d’exploration ancienne,

À mèche et flamme

Pour les caves, les grottes, mines,

Endroits obscurs.

.

Symbolique 

 .

Notre société occidentale,

Vision des choses, manichéenne,

Nous fait considérer le jour et la nuit

Comme moment déconnectés, opposés.

.

La lumière, qui éclaire le jour, est alors vue

Comme un vecteur d’intelligence et de progrès

Alors que l’obscurité de la nuit est vécue,

Elle, une source de peur et de danger.

.

La symbolique de la nuit dans

Notre culture renvoie en effet

À la peur ancestrale du noir,

À l’angoisse du vide et silence

Et quelque part au côté obscur

Des choses  dans  tous  les sens

Terme ténèbres, chaos, enfer.

nuitfrance.fr/page=culture-psycho-

societe&partie=lumiere-obscurite

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il  faut distinguer deux sortes de lumières :

La lumière extérieure, produite par le soleil,

Et celle de la nuit, obscurité, par une lampe,

Servant plus souvent en lumière intérieure :

Là où le Soleil  n’éclaire pas, ne peut éclairer,

Si l’on voudra suivre un chemin, il faut le voir

Ne serait-ce que pour éviter de bien se perdre

Ou pire encore de se blesser sur des dangers :

Le noir n’est pas le vide, le vide n’est pas noir.

 .

.

Vallée romantique

.

Scénario 

.

Une vallée plate, avec, dans le fond, des monts comme en Bretagne.

 Une vallée encaissée entre deux flancs de montagnes, dans les Alpes.

Un petit pont de bois, sur torrent, plateau d’un massif montagneux.

 .

Visuels et textuels  >>  

153 – Randonnée Laguna Grande La Gomera

Visuels et textuels >>  

.

Une randonnée,

Ce n’est pas mettre,

Un pied devant l’autre

Et puis recommencer,

C’est aussi,  regarder,

Tout  autour  de soi,

Ce qu’il y a  à  voir,

Pour créer l’émoi.

Ici  nous  visons,

D’ile, son centre,

Son cratère devenu

Comme  une  lagune,

Où, nous avons observé

Trois sortes comportements.

Le nôtre, randonneurs étrangers,

Locaux : pique-niquant, en familles,

Touristes : acheminés en tous-terrains.

.

Du parc, Centre  de  Garajonay, Parajito :

Notre point de départ est souvent le même,

Tout près du point culminant de La Gomera !

Nous faisons première halte au sommet de l’ile

À quinze cent mètres d’où on peut bénéficier,

À  la  fois  ruines  funéraires  des  Guanches,

Et du panorama, des plus complets  de l’ile

Et des iles  de : La Palma, Hiéro, Tenerife.

 .

Des moments culturels tout aussi poétiques

Immortalisés  par  des photos, en salves, hop :

L’on reprend le sentier  vers  La Laguna Grande,

Un centre récréatif où il y a des chemins, parking,

Un four pour barbecue un restaurant, aire de jeux.

Durant notre déjeuner de casse-croûte lors pic-nic,

On voit arriver dizaine de gros 4X4, tous-terrains,

Déversant, chacun, ses huit touristes allemands,

En tenue légère avec des espadrilles, au pied.

Un des chauffeurs, le chef ou présupposé,

Leur fera un topo culturel sur endroit

Direction le restaurant pour un café

Ou bière ou jus ou gâteau ou glace.

.

Ils refluent tous, en  file indienne,

Sans mettre  un pied dans le Parc,

  Rejoignant véhicule, peur de le rater.

Tandis qu’autour de la table d’à côté,

La  famille canarienne s’est regroupée,

Débute un concert de guitares pour jouer,

Pour  chanter  leurs  mélodies   folkloriques :

.

Trois mondes, au même moment, se sont côtoyés,

Le nôtre des  randonneurs et qui suent sang et eau ;

Celui des touristes friqués, qui se laissent promener ;

Celui d’autochtones, vivant leur vie d’us et coutumes.

.

.

Extension

.

Durant la pause déjeuner,

Trois mondes se sont côtoyés

Au même moment :

Le nôtre …   celui des randonneurs

Qui suent sang et eau pour y parvenir

En toute autonomie.

.

Celui des touristes friqués, voire pressés,

Se laissant promener comme des moutons,

Et celui des autochtones qui vivent leurs vies

En famille, en respectant leur us et coutumes !

.

Marcheurs, groupes, familles, au même endroit,

Se côtoient, chacun suivant son désir dans sa voie

Utilisant divers moyens pour divers programmes.

.

 Un sentier de randonnée, bien fléché, au cœur même du parc national,

Quoi de mieux pour passer une longue journée en étant bien rassuré :

Ça monte, descend tout le temps, rien n’est plat,

Mis à part la Laguna de sable au milieu du parc

Où l’on a vu  plein de touristes, arrivant par 4X4,

Et traversant la lagune, équipés de simples savates

Nous avons piqueniqué, au son des guitares et des chants des voisins,

Et sommes repartis, l’estomac plein, le cœur léger, sur notre chemin !

.

Laguna Grande serait un cœur au milieu d’un cœur :

Le grand cœur de La Gomera est un immense cratère,

Verdoyant de partout avec un petit désert de sable sec

En plein milieu : comme sorte de curiosité géologique.

.

Chose moins étrange mais tout de même surprenant,

Un café restaurant y attenant, avec tables  et parasols.

 Comment, pourquoi du sable a-t-il été transporté  ici :

 En réalité ,non juste un mélange de terre et de cendre.

.

Nous avons pique-niqué là en profitant de l’ambiance

On aurait pu se croire n’importe où : en autre réalité !

.

.

153 – Calligramme

.

Une randonnée,

Ce n’est pas mettre,

Un pied devant l’autre

Et puis recommencer,

C’est aussi,  regarder,

Tout  autour  de soi,

Ce qu’il y a  à  voir,

Pour créer l’émoi.

Ici  nous  visons,

D’ile, son centre,

Son cratère devenu

Comme  une  lagune,

Où, nous avons observé

Trois sortes comportements.

Le nôtre, randonneurs étrangers,

Locaux : pique-niquant, en familles,

Touristes : acheminés en tous-terrains !

Du parc,    R  Centre de Garajonay, Parajito :

Notre point de   A   départ est souvent le même,

Tout près du point    N   culminant de La Gomera !

Nous faisons première   D   halte au sommet de l’ile

À quinze cent mètres d’où   O    on peut bénéficier,

À la fois  ruines funéraires   N        des Guanches,

Et du panorama, des plus  N    complets de l’ile

Et des iles de La Palma    É      Hiéro, Tenerife.

Des moments culturels   E   tout aussi poétiques

Immortalisés par des      *    photos en salves, hop,

L’on reprend le sentier    L    vers  La Laguna Grande,

Un centre récréatif où      A   il y a des chemins, parking,

Un four pour barbecue    G     un restaurant, aire de jeux.

Durant notre déjeuner   U    de casse-croûte lors pic-nic,

On voit arriver dizaine   N     de gros 4X4, tous-terrains

Déversant chacun ses    A     huit touristes allemands,

En tenue légère avec    *    des espadrilles, au pied.

Un des chauffeurs,     G    le chef ou présupposé,

Leur fera un topo      R    culturel sur endroit

Direction le restau   A   rant pour un café,

Ou bière ou jus ou    N   gâteau ou glace.

Ils refluent tous, en   D      file indienne,

Sans mettre un pied   E     dans le Parc,

  Rejoignant véhicule,     *    peur de rater.

Tandis qu’autour de la    L      table d’à côté,

La  famille canarienne     A      s’est regroupée,

Débute un concert de      *     guitares, pour jouer,

Pour chanter, leurs        G        mélodies   folkloriques.

Trois mondes au         O       même moment se sont côtoyés,

Le nôtre des             M       randonneurs et qui suent sang et eau ;

Celui des             E          touristes, friqués, qui se laissent promener ;

Celui               R          d’autochtones, vivant leur vie d’us et coutumes !

A            ……………………………………………

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

153 4

.

Évocation 

.

D’extérieur, statue en majesté,

Randonneur avec un sac à dos

Et d’intérieur, sentier  en forêt,

Quelque peu sinueux, il est vrai !

.

Ici, le sentier est tracé avec ses méandres

qui nous mène à un sommet, éperon rocheux

et il est bien balisé, on ne peut guère se tromper

tant et si bien que la forme converge avec le fond.

.

A La Gomera, un tel sentier

Sur terrain plat, faut pas en rêver

Ça monte et ça descend  tout le temps,

Pour randonner,  sauf à cet endroit.

.

Symbolique 

 .

La signalisation

Des chemins pédestres

Marquage  des  sentiers

Par le moyen de signalisations

Se suivant, à une certaine distance,

Et d’indications de direction (fléchage)

D’indication de distance, durée du trajet.

Et cette signalisation permet au voyageur,

De mieux s’orienter et suivre des itinéraires,

Lui évitant ainsi de se perdre ou d’emprunter

Des itinéraires, jugés parfois très dangereux !

Wikipedia /Signalisation.sentiers randonnées

.

Descriptif

 

153 – Randonnée Laguna Grande La Gomera

Alignement  central / Titre serpentin / Thème  rando

Forme courbe   /  Rimes libres   /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : sentier / Symbole de fond : randonnée

.

.

Fond

.

Évocation 

.

153 6

.

A La Goméra, un tel sentier

Sur terrain plat, faut pas en rêver

Ça monte et ça descend tout le temps

Pour randonner, sauf à cet endroit.

.

Symbolique 

.

Pourquoi randonner ?

Une question, de nombreuses réponses.

Certaines personnes vous ont déjà

Probablement  posé  la  question

Celles qui ne comprennent pas

.

Pourquoi vous faites autant d’efforts,

Parfois sous le mauvais temps,

Parfois avec un sac lourd,

Pourquoi vous dormez

.

Dans une tente, avez  des  ampoules,

Vous êtes mangé par moustiques

Surtout pourquoi après tout ça

Vous rentrez avec le sourire !

Et lors ceux qui ne vous ont pas posé

.

La question, ne comprendraient

Pas votre plaisir de randonner

Et doivent simplement penser

Que vous n’avez pas toute votre tête.

Randonner-malin.com/pourquoi-randonnez-vous

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

On trouve des sentiers bien balisés,

D’autres qui laissent un peu à désirer

Ou les marquages seront mal placés :

Une carte bien détaillée, une boussole

Sont utiles, parfois, lors randonnée.

En montagne si vous vous égarer

Ou vous vous tromper de vallée

Vous perdrez la demi-journée

À vous retrouver, terminer.

Vous vous en souviendrez.

 .

.

Notre randonnée à La Gomera

.

Scénario

.

La Laguna grande : une clairière en plein milieu d’une forêt dense,

avec des tables pour manger, jeux pour enfants dont cheval de bois,

et nous repartons dans l’épaisse forêt empruntant un petit sentier !

.

Visuels et textuels >> 

152 – Faux départ, ennui mécanique, vent nord

Visuels et textuels  >> 

.

Quelques… vrais  ennuis,

Quelques empêchements,

Sur notre …  petit voilier :

Il y en a et plutôt souvent !

Arrive que ce soit,  des fois,

Électronique ou mécanique

Aussi vent ou allure vélique,

Quand les voiles se coincent.

.

On peut y passer… une heure

Sinon deux, trois,  voire plus,

Pour simple, bête,  broutille :

Par exemple, filtre, ou vanne,

Qui se refusent à fonctionner.

Si vent n’est pas bien orienté

L’on avance de travers, en cap.

.

Si la voilure sera trop mal adaptée,

Trois fois la distance,  dès lors on se tape.

Notre bateau représente une vraie valeur sûre,

C’est d’accord, encore que … pour bien naviguer,

Il faudra prendre, avant tout la mesure  du temps,

La météo s’il y a une tempête comme d’état de l’eau.

.

Sinon très loin d’être confort, si, trop vite, on sort,

Vite on rentrerait se mettre à l’abri, à bon  port.

Je crois bien que ce sera le cas au-jour-d’hui,

Tant debout, à six heures pour départ à sept

Jusque onze heures  l’on  aura tenté

Dernière chance  pour naviguer,

De  La  Gomera   à  La  Palma !

.

Retour vent  arrière  au  port,

Par suite  de vent fort  du nord,

Panne  refroidissement  moteur.

L’on ressemblerait un objet flottant

Quatre heures, pour aller, vers l’avant,

Mais  seulement deux  à revenir  au port,

La messe est dite car ce n’est pas notre jour,

On aura fait un vrai bide pour ne pas dire four.

.

En dépités, l’on reprendra notre place au ponton,

On déjeune, on répare et on se balade  dans la ville,

Et pour s’en remettre, s’offre une  bière, en terrasse,

Pour notre départ, programmé,  demain  dix heures.

Le diagnostic du manque de refroidissement moteur

Nous avait déjà orientés vers  probable prise d’air,

Que nous avons réparé puis testé et puis retesté,

Ça recommence : il y a rien à comprendre.

.

C’est alors en démontant le circuit d’eau,

Qu’on trouve bout d’ailette en la pompe,

Changée pourtant, il y a peu longtemps :

On teste et voilà que, ça ne chauffe plus,

Ou plutôt moteur refroidit normalement.

.

.

Extension

.

Demain, si la météo le permet,

Nous tenterons à nouveau notre chance

La tempête est annoncée pour le week-end,

Et ce sera donc notre dernière chance

Avant d’être obligé d’attendre

Encore un jour ou deux,

Au calme, au port !

En navigation en voilier :

L’état de la mer vous commande.

.

Au ponton, dans la marina : c’est simple de réparer la mécanique,

Mais pour tester une pompe à eau défectueuse, il faut bien sortir,

Car le refroidissement moteur ne se teste bien  qu’en navigation

Et voilà, que le moteur chauffe, que le voyant se met au rouge.

Il faut revenir, changer une pièce, repartir, croiser les doigts,

En espérant que la panne de ce circuit vienne bien de cela !

Journée gâchée, l’on compense par une bière, en terrasse.

Demain  est  un autre jour, sécurité moteur, avant tout :

Qui n’a jamais eu de problème de ce genre sur voiler ?

.

Une panne moteur n’est jamais anodine en pleine mer

Certes on peut se servir des voiles quand il y a du vent,

Quand il n’y a pas, attendre patiemment qu’il revienne

Mais pour rentrer dans une marina, ce serait du sport.

.

Ce n’est pas tant le moteur, en lui-même, à incriminer,

Que son circuit de refroidissement, sans doute bouché,

Après inspection, ce sera une ailette de la pompe à eau

Nous n’en avons pas de rechange, alors retour au port.

.

Ce n’est pas faute d’entretien, le capitaine y veille bien,

Installation date de vingt ans, elle s’use, dysfonctionne.

Je me dis que n’étant, en rien, compétent en la matière

Il vaut mieux que je ne m’aventure seul, hors frontière.

.

.

Épilogue   

 .

En haute mer, sur un voilier, il est rare :

Voiles se déchirent  et  moteur, en pétard,

Toutefois vaut mieux maitriser mécanique,

Pour se sortir de toutes situations critiques.

***

Telles que : pétole molle et  plus aucun vent

On pourra dériver avec la force du courant

Ou croisement d’un bateau, en gisement,

Sans pouvoir l’éviter, danger abordage.

***

Ici, en notre cas, c’est l’échappement,

Qui ne dégorge plus d’eau, surchauffe,

Et finit en sécurité, par caler le moteur,

On ne peut compter dessus dans un port.

***

Faut changer échappement et collecteur,

Autant dire une grande partie du moteur :

Il a trente ans, et  bien que  bien entretenu,

Il devient à bout de souffle : services rendus.

***

Au final, on a aura pu trouver l’intrus, réparer

Mais le problème risque bien de se renouveler

Croisons les doigts  et  espérons qu’il tiendra,

Dieu merci le capitaine est bon mécanicien.

.

.

152 – Calligramme

.

Quelques… vrais  ennuis,

Quelques empêchements,

Sur notre …  petit voilier :

Il y en a et plutôt souvent !

Arrive que ce soit,  des fois,

Électronique ou mécanique

Aussi vent ou allure vélique,

Quand les voiles se coincent.

On peut y passer… une heure

Sinon deux, trois,  voire plus,

Pour simple, bête,  broutille :

Par exemple, filtre, ou vanne,

Qui se refusent à fonctionner.

Si vent n’est pas bien orienté

L’on avance de travers, en cap.

.

Si la voilure sera trop mal adaptée,

Trois fois la distance,  F      dès lors on se tape.

Notre bateau représente  A     une vraie valeur sûre,

C’est d’accord, encore que    U          pour bien naviguer,

Il faudra prendre, avant tout  X          la mesure  du temps,

La météo s’il y a une tempête     *           comme d’état de l’eau

Sinon très loin d’être confort      D              si, trop vite, on sort,

Vite on rentrerait se mettre        É              à l’abri, à bon  port.

Je crois bien que ce sera le        P               cas au-jour-d’hui,

Tant debout, à six heures        A            pour départ à sept

Jusque onze heures        R        l’on  aura tenté

Dernière chance       T   pour naviguer,

De   La   Gomera   à   La   Palma !

.

Retour vent  arri    E    ère  au  port,

Par suite  de vent    N    fort  du nord,

Panne  refroidisse    N    ment  moteur.

L’on ressemblerait    U  un objet flottant

Quatre heures, pour    I   aller, vers l’avant,

Mais seulement deux    *    à revenir   au port,

La messe est dite car ce    M    n’est pas notre jour,

On aura fait un vrai bide     É     pour ne pas dire four.

En dépités, l’on reprendra      C       notre place au ponton,

On déjeune, on répare et on    A        se balade  dans  la ville,

Et pour s’en remettre, s’offre   N        une  bière,  en  terrasse,

Pour notre départ program     I        mer  demain  dix heures.

Le diagnostic du manque     Q   de refroidissement moteur

Nous avait déjà orientés    U   vers  probable prise d’air,

Que nous avons réparé  E  puis testé et puis retesté,

Ça recommence : il y a rien à comprendre.

V  E  N   T

C’est alors en démontant le circuit d’eau,

Qu’on trouve bout d’ailette en la pompe,

Changée pourtant, il y a peu longtemps :

On teste et voilà que, ça ne chauffe plus,

Ou plutôt moteur refroidit normalement.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

152 4

.

Évocation 

.

Une silhouette d’homme debout

Ou une colonne d’une rambarde

Ou une bouteille d’eau minérale

Ou alors une lampe à pétrole ?

.

Une lampe pour la forme ; personne, le fond,

on a besoin des deux pour ennuis mécaniques,

une certaine convergence se serait établie ainsi.

.

Si l’on a un ennui mécanique, en mer,

Pour bien se pencher  sur le problème,

 Il faut d’abord une lampe éclairante,

Il faudra aussi une personne avisée.

 .

 Symbolique 

 .

Lampe est un point

De lumière en l’obscurité.

Et par analogie, elle symbolise

L’entendement en confusion mentale,

Révélation d’un savoir enfoui ou caché.

L’expression «Éclairer sa lanterne»,

Signifiant clarifier quelque chose,

Exprime bien cette notion

D’un savoir dévoilé.

Modifié : 1001 symboles

.

Descriptif

 

152 – Faux départ, ennui mécanique, vent

Alignement  central / Titre droit / Thème  croisière

Forme ronde / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : éclairage

.

.

Fond

.

Évocation

.

152 6

.

 

Si l’on a un ennui mécanique, en mer,

 Il faut bien un homme avisé

Et pour bien se pencher sur le problème,

 D’une lampe bien éclairante.

 .

 Symbolique 

 .

La lampe

Est un symbole

De connaissance

Et d’intelligence, celle qui

Éclaire le monde des hommes.

Elle abrite le feu fragile et sacré,

Celui qu’il faut préserver.

.

La lanterne contient la lumière

Individuelle qui peut se transmettre.

Elle nous guide  et guide les autres.

Si  nous  rêvons  d’une  lanterne,

Elle   représente   l’intelligence

Lumineuse d’une personne.

Bien avisée qui éclaire.

tristan-moir.fr/lanterne

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Une mécanique

Se doit de fonctionner

Comme une horloge réglée

Et ne pas vous laisser en panne

Au plus mauvais, dangereux moment.

Un moteur qui démarre, cahote, s’arrête,

De manière aléatoire n’est pas sécurisant.

Or le nôtre ne l’était pas,  ne l’était plus,

Et l’on ne pouvait pas compter sur lui

Quelque chose ne tournait pas rond

Comme une ampoule qui faiblit,

Qui clignote, et puis s’éteint.

.

.

 Notre moteur sur notre voilier

.

Scénario

.

Nous quittons San Sebastian, avec un vent étant déjà fort bien établi,

en mer vers le nord, ennuis de refroidissement moteur surviennent,

et nous force à faire demi-tour : un pot en ville nous en remettra !

 .

Visuels et textuels  >>

151 – Soirée bateau avec voisins belges-espagnols

Visuels et textuels  >> 

.

Toute soirée bateau,

Est un  beau moment,

Quand tous les convives,

S’entendent, de voix vives :

Ici, ils sont belges, d’origine,

Émigrés,  à Ibiza,  en Espagne.

.

Ils ont tout vendu pour retraite,

Pour aller vivre  sur leur voilier,

C’est leur rêve, et, bien maturé,

Lors caressé depuis trente ans,

Et qu’ils réalisent maintenant

En prenant tout leur…temps.

.

Au menu de l’apéro : des tartines toastés,

 Avec des olives, des chips, du jambon bateau,

Et que nous sommes fiers de pouvoir faire goûter

En boisson, du rhum canarien ou du coca bien frais

Avec une tranche de citron et quelques cubes de glace.

.

Au premier verre, nous parlerons aménagement capote,

Au second de nos enfants, puis nos professions diverses,

Au troisième, diverses danses,  allant du rock à la salsa,

Pour finir sur la magie tango, qu’ils aimeraient danser.

.

Tant et si bien, qu’à  minuit, nous avons jeté l’éponge,

Afin de revenir  au bateau  et manger   notre     diner,

Diner fort bon au demeurant avant de nous coucher.

.

Couché, je me  suis  dit  que  l’on aurait pu être eux,

Sauf qu’on ne parvient pas  à se décider  à traverser

L’Atlantique, pour aller  en Argentine, ou, Antilles :

Pour  tout laisser, derrière nous, rien que naviguer.

.

Voilà bien des gens conviviaux et qui ont travaillé

Toute leur vie, sans chercher, à frimer, en voilier,

Et le hasard aura voulu que nous soyons voisins.

 .

Le hasard suscite  rencontres  impromptues

Nous éloignant de tous chemins battus,

De rêve de continentaux terriens

Préférant l’avion au voilier

Pour voyager léger.

.

.

Extension

.

Un couple de belges, ayant émigré en Espagne, aux Baléares,

Nous a fait part de toutes leurs gratitudes et leurs vicissitudes,

Dans leurs vies de bohème et jusqu’à ce point des plus extrêmes,

De tout vendre, maison, commerce, et naviguer comme  retraités.

Nous n’avons pas fait un tel saut de tout larguer pour s’aventurer.

Le regretteront-ils un jour, nul ne sait, seul l’avenir nous les dira :

Nous avons parlé de capote bateau avec eux non pas de capoter.

.

Curieusement, aux Canaries, nous avons rencontré

Plus d’étrangers que résidents locaux sur les pontons,

Cela n’a rien d’étrange sur quelques pontons visiteurs !

.

On y trouve  un peu de tout : des égarés, des vacanciers,

Des baroudeurs, des travailleurs, des coursiers des mers

Mais qu’importe : provenances, motivations, catégories,

.

L’essentiel est de confronter, conforter, nos expériences

C’est bien le cas en cette soirée avec nos voisins belges,

Qui nous ont accueillis, nourris en racontant leur vie.

.

.

151 – Calligramme

 .

Toute soirée bateau,

Est un beau moment,

Quand tous les convives,

S’entendent, de voix vives.

Ici, ils sont belges, d’origine,

Émigrés,  à Ibiza,  en Espagne.

Ils ont tout vendu pour retraite,

Pour aller vivre  sur leur voilier.

C’est leur rêve, et, bien maturé,

Lors caressé depuis trente ans,

Et qu’ils réalisent maintenant

En prenant tout leur…temps.

.

Au menu de l’apéro : des tartines toastés,

 Avec des olives, des chips, du jambon bateau,

Et que nous sommes fiers de pouvoir faire goûter

En boisson, du rhum canarien ou du coca bien frais

Avec une tranche de citron et quelques cubes de glace.

.

Au premier verre, nous parlerons aménagement capote,

Second de nos enfants puis S    V  nos professions diverses,

Troisième diverses danses  O          allant du rock à la salsa,

   Pour finir sur belle  magie   I              I   tango qu’ils aiment danser.

Tant et si bien qu’à minuit  R                S    nous avons jeté l’éponge,

Afin de revenir au bateau et É                 I       manger   notre     diner,

Diner fort bon au demeurant E                 N       avant  de  nous coucher.

Couché, je me  suis  dit  que   *                  S        l’on aurait pu être eux,

Sauf qu’on ne parvient pas    B                 *        à se décider à traverser

L’Atlantique, pour aller  en  A              B      Argentine, ou, Antilles :

Pour  tout laisser, derrière  T           E     nous, rien que naviguer.

Voilà bien des gens convi  E        L   viaux et qui ont travaillé

Toute leur vie sans cher  A    G  cher à frimer, en voilier,

 Et le hasard aura voulu U E que nous soyons voisins.

S

Le hasard suscite  rencontres  impromptues

Nous éloignant de tous chemins battus,

De rêve de continentaux terriens

Préférant l’avion au voilier

Pour voyager léger.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

151 4

.

Évocation

.

On y voit un vase pour des fleurs

Ou un gant moufle pour une main

Ou flacon de parfum avec bouchon

Voire une ampoule électrique ?

.

Une soirée demande à être arrosée

tout autant éclairée par ampoules,

et celle-ci bien ronde et en couleur,

donne, à elle seule, un air de fête.

.

Une ampoule électrique

Telle qu’on l’a utilisé le plus souvent :

Ces lampes à incandescence

Sont remplacés par des ampoules à leds.

.

Symbolique

 .

EUREKA !

Ampoule, est symbole

De l’idée qui jaillit sans qu’on l’ait

Vraiment ou très longtemps, recherchée :

Hasard heureux, erreur fructueuse, sérendipité

Toujours est-il qu’il s’agisse d’une lampe à huile

À pétrole ou d’une lampe moderne, électrique,

Elle symbolise l’énergie que nous contrôlons,

Bien plus encore celle que nous maîtrisons.

.

Dans la bande dessinée, dessin animé,

L’apparition d’une idée est souvent

Représentée par la petite lampe

À incandescence qui s’allume

Au-dessus tête personnage.

.

.

Descriptif

 

151 – Soirée bateau, voisins belges

Alignement  central / Titre analogue / Thème  repas

Forme ronde / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : ampoule / Symbole de fond : électrique

.

.

Fond

.

Evocation

.151 6

.

On y voit un vase pour des fleurs

Ou un gant moufle pour une main

Ou flacon de parfum avec bouchon

Voire une ampoule électrique ?

.

Symbolique 

.

L’ampoule

 Élec-tri-que

Est le symbole,

Sinon l’archétype

De l’innovation.

.

Elle a permis à l’homme

De  se libérer  du joug  de  la

Lumière naturelle pour imprimer

Son propre rythme à toutes activités,

Ouvrant la voie au formidable progrès,

Tant sur le plan de la liberté individuelle

Que sur plan  productivité industrielle.

.

Lumière électrique est probablement

La marque la plus visible du génie

Humain lors on observe la Terre

Depuis les hauteurs de l’espace.

library.e.abb.com/public/FRA72dpi

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Convivialité, convive,

Il faut bien qu’on vive,

Ensemble, en fraternité

Buvant du vin partagé,

Et pas que de l’eau vive

Rien de bon à manger.

Faut égayer le propos

D’humour suranné,

En   atmosphère,

Pleine    gaieté

Pour  sentir

Le temps

Passer

Vite

V

.

Boire, manger

.

Scénario

.

Ici, nous avons fait connaissance avec des voisins de ponton, belges

qui nous ont invité à prendre l’apéritif convivial comme il se doit,

suivi par une assiette de poisson, daurade, avec petits légumes.

.

Visuels et textuels  >> 

150 – Randonnée Allogera, Taza, Epina, et retour

Visuels et textuels >>

.

Avant de quitter l’ile de La Gomera,

Je m’attendais à village exceptionnel.

Village, finalement, comme les autres,

Point de fantaisie foin de plaisanterie,

Pas compliqué  d’enfiler trois vallons.

.

Le premier  nous plonge vers la mer,

Le second  nous longe la palmeraie,

Le dernier les prolonge, au retour,

Rien de plus  simple  et pourtant,

On s’est trompé  et on en a bavé.

.

Au village Taza,  après le picnic,

On s’est engagé sur fausse piste :

Il a fallu, un peu,  qu’on  persiste,

Pour rejoindre  le  village d’Épina.

 .

Nous avons  gouté des grappes de raisins,

Sans cela : demi-tour  au fond  d’un ravin

Pour revenir, et, à pas d’heure, à Allogera !

.

Je m’en suis  bien remis,  en mettant un pied

Devant l’autre, en profitant paysage, alentour :

Mariage étroit entre la terre et la pente, partout

Jusqu’à des hauteurs abruptes et infranchissables.

.

Et une mer bien étale, bien qu’un peu moutonneuse

Nous laissant entrevoir contours de l’Ile La Gomera :

D’un côté, et du sommet du Teidé, de l’Ile de Tenerife,

De l’autre, grâce à un ciel pur et sans le moindre nuage.

.

Arrivés au village de Taza ;  à mi-hauteur et mi-parcours,

Un creux  dans l’estomac, suggèrerait une pause déjeuner,

Sous trois palmiers  qui nous offrent leur ombre, fraicheur,

Salades de légumes avec assortiment fruits comme il se doit.

.

On repart et choses vont de travers et l’on s’enfile en un ravin,

Le long d’étroit  sentier qu’on espère déboucher sur une piste

Or de piste, hélas, point, lors parvenu, au fin fond d’un ravin.

.

Faut-il faire demi-tour ou allons-nous  grimper la montagne

Pour aller où : et après conciliabule décidons tenter le coup

L’aventure, c’est l’aventure, ici l’on a été, plutôt, bien servi

Questions : chercher, marcher,   persévérer,  s’accrocher.

.

En grimpant en aveugle, l’on finit par voir une piste,

Qui rejoint un village et dont on ignorait le nom :

Était-il, ou non, sur, ou à l’opposé, du circuit !

.

Une piste grimpe doucettement vers village

Offre pieds de vignes plein raisins noirs,

Goût muscat. On en vole, en raffole,

Il a comme un goût du paradis

Du vin après enfer ravin.

.

.

Extension

 .

La suite est classique,

Mis à part l’échange avec

Un villageois, nous ayant vu

Monter le ravin, nous félicitant

Pour notre courage et ténacité

Apparemment, et, selon lui,

Nous sommes bien les seuls

À avoir utilisé ce sentier

Depuis des lustres.

.

Une belle randonnée, belle journée, et pour partie en bord de mer

Qu’est-ce que l’on peut, de mieux, espérer,

Après une tempête au dans notre marina,

Et avant de quitter cette ile de La Gomera,

Qui nous a tant charmé paysage contrasté.

Bien que voilà, on a quand même failli se perdre dans sa montée !

.

Sans aucun doute, une rando des plus diversifiées

Question paysages : mer, campagne, et montagne.

.

Une simple erreur de choix à un embranchement,

Nous voilà enfilant un ravin sans un seul chemin !

.

Deux solutions : faire demi-tour  et puis reprendre,

Ou grimper le ravin pentu à travers les broussailles.

.

En sortant du ravin, quelle ne fut pas notre surprise,

De tomber sur une vigne dont grappes étaient mures

.

Non loin, un village avec quelques maisons, habitants

Nous voilà rassurés car nous sommes presque arrivés !

.

.

150 – Calligramme

.

Avant de quitter l’ile de La Gomera,

Je m’attendais à village exceptionnel.

Village, finalement, comme les autres,

Point de fantaisie foin de plaisanterie,

Pas compliqué  d’enfiler  trois vallons.

Le premier *  nous plonge vers la mer,

Le second  R  nous longe la palmeraie,

Le dernier   A   les prolonge au retour.

Rien de plus    N    simple et pourtant,

On s’est trompé    D     et on en a bavé.

Au village Taza,     O     après le picnic,

On s’est engagé      N    sur fausse piste.

Il a fallu un peu    N        qu’on persiste,

Pour rejoindre    É      le village d’Épina.

Nous avons    E gouté grappes de raisins,

Sans cela * demi-tour  au fond  d’un ravin

Pour revenir, et à pas d’heure, à Allogera. !

.

Je m’en suis bien remis,  en mettant un pied

Devant l’autre, en profitant paysage, alentour.

Mariage étroit entre la terre et la pente, partout

Jusqu’à des hauteurs abruptes et infranchissables

Et une mer bien étale bien  qu’un peu moutonneuse

Nous laissant entrevoir   contours  de l’Ile La Gomera,

D’un côté, et du sommet  du  Teidé, de l’Ile  de Tenerife,

De l’autre, grâce  à  un  ciel  pur et sans le moindre nuage.

.

Arrivés au village de Taza  *  à  mi-hau    T   teur et mi-parcours,

Un creux dans l’estomac    A   suggèrerait    A      une pause déjeuner,

Sous trois palmiers  qui      L    nous offrent   Z    leur ombre, fraicheur,

Salades de légumes avec     L      assortiment   A   fruits comme il se doit.

On repart et choses vont     O       de travers et   *    l’on s’enfile en un ravin,

Le long d’étroit  sentier       G     qu’on espère   E    déboucher sur une piste

Or de piste hélas point       E    lors parvenu    P      au fin fond d’un ravin.

Faut-il faire demi-tour     R     allons-nous   I       grimper la montagne

Pour aller où : et après   A  conciliabule  N  décidons tenter le coup

L’aventure c’est l’aventure et l’on a   A   été, plutôt, bien servi

Questions : chercher, marcher,   persévérer,  s’accrocher.

.

En grimpant en aveugle, l’on finit par voir une piste,

Qui rejoint un village et dont on ignorait le nom :

Était-il, ou non, sur, ou à l’opposé, du circuit !

Une piste grimpe doucettement vers village

Offre pieds de vignes plein raisins noirs,

Goût muscat. On en vole, en raffole,

Il a comme un goût du paradis

Du vin après enfer ravin.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

150 4

.

Évocation 

.

On y voit un vase pour des fleurs

Ou un gant moufle pour une main

Ou fruit de sa propre imagination

Du genre ampoule électrique ?

Belle ampoule rondelette, à filament,

mais qui éclaire le sujet, sans le traiter,

tant et si bien que ce n’est pas convergent

.

Une ampoule électrique

Telle qu’on l’a utilisé le plus souvent :

Les lampes à incandescence

Sont remplacés par ampoules à leds !

 .

Symbolique 

 .

L’ampoule

 Élec-tri-que

Est le symbole,

Sinon l’archétype

De l’innovation.

.

Elle a permis à l’homme

De  se libérer  du joug  de  la

Lumière naturelle pour imprimer

Son propre rythme à toutes activités,

Ouvrant la voie au formidable progrès,

Tant sur le plan de la liberté individuelle

Que sur plan  productivité industrielle.

.

Lumière électrique est probablement

La marque la plus visible du génie

Humain lors on observe la Terre

Depuis les hauteurs de l’espace.

library.e.abb.com/public/FRA72dpi

.

Descriptif

 

150 – Randonnée d’Allogera à Taza, Epina

Alignement  central / Titre dédoublé /Thème  rando

Forme courbe  /  Rimes libres  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : ampoule / Symbole de fond : électrique

.

.

Fond

.

Évocation 

.

 .

Une ampoule électrique

Telle qu’on l’a utilisé le plus souvent :

Les lampes à incandescence

Sont remplacés par ampoules à leds !

 .

Symbolique 

 .

EUREKA !

Ampoule, est symbole

De l’idée qui jaillit sans qu’on l’ait

Vraiment ou très longtemps, recherchée :

Hasard heureux, erreur fructueuse, sérendipité.

.

Toujours est-il qu’il s’agisse d’une lampe à huile

À pétrole ou d’une lampe moderne, électrique,

Elle symbolise l’énergie que nous contrôlons,

Bien plus encore celle que nous maîtrisons.

.

Dans la bande dessinée, dessin animé,

L’apparition d’une idée est souvent

Représentée par la petite lampe

À incandescence qui s’allume

Au-dessus tête personnage.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Quand on parvient, par mégarde ou par erreur

À s’égarer dans le fond d’une vallée sauvage

Il nous faut quelque lumière pour trouver

Comment poursuivre, s’en sortir sans

Être contraints à faire demi-tour.

.

Ce n’est pas simplement ici que

La végétation devient très dense

Mais le terrain monte vers village

Qui nous parait, d’en bas, inaccessible

Et pourtant, un simple sentier de chasseur

Nous suffira pour sortir comme en vainqueur !

 .

.

 Randonnée vallée de la Gomera

.

Scénario

.

On descend d’Allojera par escaliers vers mer qu’on distingue en bas,

un petit village s’est construit sur la rive étroite entre mer et falaise,

regrimpant à l’intérieur, on distingue cultures au-dessous d’Épina.

.

Visuels et textuels >>

149 – Déjeuner au pied de deux palmiers, perchés

Visuels et textuels  >>  

.

En une randonnée

Démarrée à l’envers,

L’on a plus de chances

De se tromper au départ

De chemin  ou de croisée,

Et de ne plus les retrouver,

Suite à erreurs de parcours,

En tout début de randonnée,

Lors commençons à grimper,

À grimper  presque tout droit,

Un sentier,  fait de pierrailles,

Menant à un petit monticule,

Perché à flanc de montagne.

 .

Et lors nous nous sommes réfugiés sous trois palmiers

Trônant là, comme trois égarés, et, parmi des milliers,

Émergeant, comme des piliers, dans le fond de Vallée

Grand Rey Gomera où leur ombre nous a rafraichis.

.

De notre point de vue, le paysage s’étalait partout

Maisons, villages, parsemées à flanc de coteau,

Nous  présentaient  leurs  terrasses  rouges,

Agrémentées des leurs murs multicolores

Et qui se fondaient à même la verdure.

.

Et là, nous y mangeons nos salades,

Et avec de bons légumes, sans pareils,

Réchauffés par chaleur, intense, soleil,

Ça leur donnait un goût moins fade

Nous  y avons passé bonne heure.

.

Assommés par le soleil, épuisés par la grimpée

Commençant à ressembler de plus en plus, escalade,

Tellement les pentes devenaient de plus en plus raides,

Tellement les chemins se perdaient dans roches et murs.

.

Une fois  le repas terminé,  nous redescendons  au village,

En recherchant le sentier longeant le flanc de la montagne

Plutôt que tenter de le trouver, en la grimpant tout droit :

Attention à glissade, mettant sur le dos et tordant le pied,

Nous voilà de retour à village : c’est notre point de départ.

.

Nous interrogeons les gens et nous remettons d’émotions.

Personne ne connaissait ce sentier, nous l’avions imaginé,

Nous descendons, avec la voiture  vers Vallée Grand Rey,

Là, nous découvrons une chapelle, dénommée ermitage,

C’était bon sens point de départ pour notre randonnée,

Or il est quinze heures passés : trop tard pour refaire !

.

Nous faisons contre notre mauvaise fortune bon cœur

Nous nous baignerons sur une plage de sable, tout noir,

En mer chaude idyllique, et voilà que cette seconde pause

Nous plonge en un autre monde, ailleurs sous les cocotiers.

.

.

Extension

.

Notre pique-nique était avec nous,

On avait bien fait  de l’emporter :

C’était pour sûr, bonne décision.

À force de monter  et grimper,

Jusqu’à  n’en plus … pouvoir,

L’on se trouverait… coincés.

Il fallait  nous  trouver,  vite,

Un  coin  d’ombre, agréable,

Tant, là-haut : sous  le  soleil,

Il faisait … trente-cinq degrés.

.

Des palmiers par ci, palmiers par-là : c’est normal aux Canaries,

Même s’ils ne seront pas, le plus souvent, répartis par colonies,

Comme ce sera le cas pour notre pause-déjeuner de rando, ici.

Ils tranchent par un tronc étroit, long, des feuilles, en pétard,

Ils ont un charme, bien à eux, et nous gratifie de leur ombre,

Avant d’abandonner notre rando, pour l’avoir pris à l’envers.

Nous nous consolons par bain chaud en plage de sable noir !

.

Non seulement on aura pris le chemin

Rando à l’envers, en plus on a grimpé,

Trop haut, jusqu’à être devant falaise :

.

Les erreurs  de parcours  en randonnée

Sont plutôt rares, et voire  accidentelles,

En général nous les préparons assez bien.

.

Nous avions  oublié  notre carte  au  bateau,

Chose visiblement à ne pas faire, hasardeuse,

Et nous nous sommes fiés à une seule pancarte

.

Mais  notre moral, pour autant, n’a pas été atteint,

Nous avions toute la journée et il faisait beau temps,

C’est pourquoi nous avons pu nous baigner à la soirée.

.

.

Épilogue  

.

Quel rapport entre parfum et déjeuner :

 Aucun, si ce n’est l’odeur d’un bon pain,

D’un bon beurre, pâté, à étaler dessus.

 

***

 

Après quelques heures de randonnée,

Appétit réveille l’estomac vide de rien,

Arbres se font rares,  ombres aperçues.

 

***

 

L’air est très sec et le soleil, très chaud,

Abri palmier est tout  ce qu’il nous faut,

Bien perché,  l’on verra tout,  de là-haut.

 

***

 

Quoi de plus naturel et de plus commun

Qu’un pic-nic en pleine nature sauvage

Si ce n’est pure communion avec elle.

 

***

 

Ne me souviens de ce que j’ai mangé,

Qu’atmosphère belle journée… d’été,

Et de la plénitude du temps  arrêté.

 

***

 

Derrière, tout autour, la montagne

Devant, jusqu’à  l’horizon : la mer,

Un paysage de rêve et de mystère.

.

.

149 – Calligramme

.

En une      D  randonnée

Démarrée   É    à l’envers,

L’on a plus   J   de chances

Se tromper   E     au départ

De chemin,    U    de croisée,

Et ne plus les  N     retrouver,

Suite erreurs   E       parcours,

En tout début  R    randonnée,

Lors commençons   à grimper.

À grimper  presque tout droit,

Un sentier,  fait de pierrailles,

Menant à un petit monticule,

Perché à flanc de montagne.

P  E  R  C  H  É  S

Et lors nous nous sommes réfugiés sous trois palmiers

Trônant là, comme trois égarés, et, parmi des milliers,

Émergeant, comme  des piliers, dans le fond de Vallée

Grand Rey Gomera, où leur ombre nous a rafraichis.

De notre point de vue, le paysage s’étalait partout,

Maisons, villages, parsemées à flanc de coteau,

Nous présentaient  leurs terrasses  rouges,

Agrémentées par des murs multicolores

.

Qui se fondaient dans la verdure.

Et là, nous y mangeons nos salades,

Et avec de bons légumes, sans pareils.

Réchauffés par chaleur intense soleil

Ça leur donne un goût moins fade

Nous avons passé bonne heure,

.

Assommés par le soleil, épuisés par la grimpée

Commençant à ressembler de plus en plus, escalade,

Tellement les pentes devenaient de plus en plus raides,

Et tellement les chemins se perdaient  en roches et murs.

Une fois le repas terminé, nous redes   A  cendons  au village,

En recherchant le sentier longeant   U  le flanc de la montagne

Plutôt que tenter de le trouver     *     en la grimpant tout droit.

Attention à glissade mettant     P    sur le dos et tordant le pied.

Nous voilà retour au village      I      c’est notre point de départ !

Nous interrogeons les gens et    E    nous remettons d’émotions.

Là, personne ne connaissait ce    D    sentier, on l’avait imaginé.

Nous descendons, avec la voiture    *       vers Vallée Grand Rey,

Et nous découvrons une chapelle,      P     dénommée ermitage,

C’était point de départ, bon sens pour    A      notre randonnée,

Or il est quinze heures passés : trop tard     L        pour refaire !

Nous ferons, contre notre mauvaise fortune      M       bon cœur

Et nous nous baignerons sur des plages de sable      I            noir

En une mer chaude idyllique, c’est ainsi que seconde   E    pause.

 .

.

Forme

.

Réduction

.

.

149 4

.

Évocation 

.

Forme d’instrument de musique

Une tourelle   avec   sa cardinale,

Ou encore un flacon de parfum,

Exhalant odeur randonnée.

.

Beau flacon et fermé par beau bouchon,

convenant parfaitement à un bon parfum,

mais rien à voir avec déjeuner sous palmier.

.

Qu’y aurait-il de commun entre randonnée 

Et un flacon de parfum ?

Il n’y a rien en apparence quoiqu’en réalité,

L’odeur de rando demeure.

.

Symbolique

.

Un parfum

Est une odeur

Ou plus souvent

Une composition odorante

Plus ou moins persistante,

Naturellement émise par

Une plante,   un animal,

Un champignon, ou un

Environnement.

Dans la nature,

.

Les parfums sont souvent

Des    messages   chimiques

Et biochimiques, notamment

 Phéromones, phytohormones.

Wikipédia : parfum

.

.

Descriptif

 .

149 – Déjeuner, perchés au pied de palmier

Alignement  central / Titre serpentin /Thème  rando

Forme courbe  /  Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : flacon / Symbole de fond : parfum

.

.

Fond

.

Évocation 

.

149 6

.

Qu’y aurait-il de commun entre randonnée 

Et un flacon de parfum ?

Il n’y a rien en apparence quoiqu’en réalité,

L’odeur de rando demeure.

.

Symbolique 

 .

Un parfum est une odeur

Ou plus souvent une composition

Odorante plus ou moins persistante

Et naturellement émise par une plante,

Un animal, champignon, environnement.

.

Dans  la nature, les parfums  sont souvent

Des messages chimiques, et, biochimiques,

Notamment phéromones, phytohormones.

Modifié, source : Wikipédia.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Quel lien entre repas et parfum

Aucun, sinon  l’odeur  des mets,

Que ce soit, melon  ou  jambon,

L’on en respire tous les atomes

Qui en plus nous mettent ou non

En appétit et génèrera les plaisirs

De les manger, que dis-je, déguster,

Qui ne nous laissera pas sur notre faim

Nous permettra de continuer notre chemin.

Marcher le ventre creux est doubler l’épreuve,

Et ne rien boire deviendrait comme de la tripler

 .

.

Un piquenique  sous un palmier

.

Scénario

.

     Des palmiers, il y en a un peu partout sur l’Ile de La Gomera

nous en avons trouvez trois, perchés, pour nous faire de l’ombre,

puis nous sommes allés nous baignés à la plage de Valle Gran Rey.

.

Visuels et textuels  >>  

148 – Fête, randonnée d’Hermigua, à La Gomera

Visuels et textuels >>   

.

Une fête de village assez courante, devient souvent

Un de ses importants évènements  qui comprend

Des stands de jeux, bon nombre de distractions

Chacun demeure particulier par ses traditions.

Tous ont des guirlandes,  longues  et colorées,

En cercle ou carré ; sur  place, sont dressées.

.

Des hauts parleurs diffusent fond d’alertes,

Buvettes  qui déssoiffent, seront ouvertes,

Des barbecues seront de même, installés

Pour vous restaurer, en viandes grillées.

Ne manque plus qu’animateur patenté,

Qui vous entraine  en danse  endiablée.

.

C’est notre jour de chance aujourd’hui,

Nous avons bien choisi  lieu  du  départ

Et d’arrivée d’un circuit  de  randonnée,

Dans un lieu, où  c’est  la  fête au village,

Avec serpentins et musiques   sur  la place,

En la foule des gens avec plein d’animations.

.

Là, nous avons gouté aux produits  du terroir,

Igname, patates, sauce rouge avec viande grillée

Sans parler bière Dorada, bue  comme du petit lait.

Un animateur met en route une sorte de canon à eau

Pointant  sur les  gens, en maillots de bain, ou habillés,

Un jet de mousse en sort comme neige couvrant les gens,

Le tout sur un air de salsa de Cuba, de mambo et de Rio.

.

Les enfants crient, les parents rient, tournent en rond.

L’on dirait que  nombre lichens de la forêt primaire

Les ont, très fortement tachés, avec de la mousse,

Et, nous avons six heures  de marche,   à   faire.

.

La montée reste  assez raide, passée, la porte

Des cascades bondissantes entre les roches,

Chantant mélodie familière, à la dernière,

Qui tombe de deux cent mètres  de haut.

.

Face à un tel spectacle, extraordinaire

En ce cirque  de verdure, à nos pieds,

Pause  de cinq heures  est bienvenue.

.

La fatigue se fait sentir, en sous-bois,

En forêt primaire s’enlacent arbustes

Et troncs, partant dans tous les sens,

Couverts  de  lichens, et de mousses.

.

.

Extensions

 .

Le soleil ne parvient pas à pénétrer

Jusqu’au bas du sol, suite à tohu-bohu

Innommable de végétations luxuriantes.

Le retour est exténuant pour genoux

Avant  de  rejoindre  Hermigua

Où notre voiture nous attend

Mais en  panne de  batterie,

Pour avoir oublié d’éteindre

Les lumières en stationnant au départ.

Poussant dessus, accepte de démarrer,

Sinon pour le coup, vraie galère en vue.

.

Que la fête commence, pour cela balance

Des tonnes de mousse fraîche sur la foule,

Qui, sous ses effets enveloppants, roucoule,

Des airs de ce pays, où l’on siffle le … silvio !

Hermigua s’étale comme trainée de poudre,

Où on sent sous les flonflons de fête, sourdre

Comme une envie folle de s’amuser et à fond,

Alors que, nous, sa montagne, nous grimpons,

Et jusqu’au sommet d’une cascade… sans nom !

.

Fête locale en les iles est dans notre programme

À ne pas rater pour partager la vie des résidents

Et garder le souvenir de rencontres de vrais gens.

.

Il faut dire que, question animation et originalité,

Nous avons été, servi : plongé en bains de mousse,

Pour manger, des plats  du cru, bien croustillants.

.

Ce n’est qu’à regret qu’on a pris sentier randonnée

Changement de décor, une grimpette très abrupt,

Au sommet de laquelle, une cascade, puis un café.

.

.

148 – Calligramme

 .

Une fête de village assez courante, devient souvent

Un de ses importants évènements  qui comprend

Des stands de jeux, bon nombre de distractions

Chacun demeure particulier par ses traditions.

Tous ont des guirlandes,  longues  et  colorées,

En cercle ou carré ; sur  place, sont dressées.

.

Des hauts parleurs diffusent F  fonds alertes,

Buvettes qui déssoiffent   Ê  seront ouvertes.

Des barbecues seront    T  de même installés

Pour vous restaurer,    E   en viandes grillées.

Ne manque plus qu’   *    animateur  patenté,

Qui vous entraine      R     en  danse  endiablée.

C’est notre jour de    A      chance    aujourd’hui,

Nous avons bien       N       choisi  lieu  du  départ

Et d’arrivée d’un       D        circuit  de  randonnée,

Dans un lieu, où         O         c’est  la  fête au village,

Avec serpentins et        N         musiques   sur  la place,

En la foule des gens        N         avec plein d’animations.

Là, nous avons gouté         É          aux produits  du terroir,

Igname, patates, sauce        E          rouge avec viande grillée

Sans parler bière Dorada,       *         bue  comme du petit lait.

Un animateur met en route       H        une sorte de canon à eau

Pointant  sur les  gens, en mail     E        lots de bain, ou habillés,

Un jet de mousse en sort comme    R       neige couvrant les gens,

Le tout sur un air de salsa de Cuba,  M       de mambo et de Rio.

Les enfants crient, les parents rient,    I      tournent  en  rond.

L’on dirait que  nombre lichens  de      G     la forêt primaire

Les ont, très fortement, tachés, avec     U     de la mousse,

Et, nous avons six heures  de marche,   A     à     faire.

.

La montée reste assez raide, passées, les portes

Des cascades bondissantes, entre les roches,

Chantant mélodie familière, à la dernière,

Qui tombe de deux cent mètres  de haut.

.

Face à un tel spectacle, extraordinaire

En ce cirque  de verdure, à nos pieds,

Pause  de cinq heures  est bienvenue.

.

L A     G O M E R A

La fatigue se fait sentir, en sous-bois,

En forêt primaire s’enlacent arbustes

Et troncs, partant dans tous les sens,

Couverts  de  lichens, et de mousses.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

148 4

.

Évocation 

.

Un tabouret de type africain,

Ou une poterie  en terre cuite

Des plus classiques, sans décor,

Et fait main sur tour de potier.

 .

En dehors du creux pour le village

pouvant aussi représenter randonnée,

il y aura peu de convergence avec poterie

bien que forme soit issue d’un tour de potier.

  .

Art du potier consiste à transformer

Des boudins faits d’argile

En poteries, vase, cruches, etc. D’abord

À l’état brut puis cuits.

 .

 Symbolique 

 .

Entre 3500 et 3450 avant J.C.,

La poterie subira une véritable

Révolution et ce avec l’introduction

Du tour de potier, au Proche-Orient,

Grâce à une nouvelle population

Venue du croissant fertile,

Chin,  3000 avant J.-C.

Grâce à la culture de Longshan.

Entre 2900 et 2300 ans avant J.-C.,

Durant durée âge retenu pour le bronze,

On trouve trace décoration à base d’engobe.

Modifié : www.djazairess.com/fr/lemidi/1006091902

.

Descriptif

 .

148 –  Fête, randonnée, Hermigua, La Gomera

Alignement  central /   Titre courbe   /   Thème  rando

Forme en ovale / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : poterie / Symbole de fond : tour-potier

 

.

.

Fond

.

Évocation 

.

148 6

.

Art du potier consiste à transformer

Des boudins faits d’argile

En poteries, vase, cruches, etc. D’abord

À l’état brut puis cuits.

 .

Symbolique 

 .

Un tour de potier est,

Dans le domaine de la poterie,

Une machine utilisée en création

De céramiques dites «arrondies».

La poterie  en colombins est une

Technique primitive dans l’art.

.

De la céramique importée des Amériques

Après découverte de Christophe Colomb.

Le potier solidarisera tous les colombins

En les pressant les uns contre les autres

Puis lisse  la surface  au fur et à mesure

Que s’élève la pièce et un tel façonnage

Rend poterie plus solide à la cuisson.

wikipedia.org/wiki/Poterie_en_colombins

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La pratique du «tour du potier»

Avec un boudin d’argile, au départ,

Est un vrai tour de main à acquérir !

Tout parait pourtant si simple, en vue

À voir un artisan façonner son œuvre !

Tout est dans les mains et dans la tête

La création, correction, modification

Se fait d’un seul geste en montant

Et comme par magie, une forme

Originale et parfait apparait.

 .

 .

Le village d’Hermigua La Gomera

.

Scénario

.

Les hauteurs d’Hermigua sont des plus verdoyantes

Hermigua est étalée sur tout le long du fond de sa vallée,

même si son bourg reste concentré autour d’église et place.

.

Visuels et textuels >>   

147 – Randonnée au parc national de La Gomera

Visuels et textuels >> 

.

Parc national est souvent surprenant,

La Gomera l’est particulièrement.

Plein centre,  d’ile  volcanique,

Lors bien   qu’aucun volcan,

Il aura laissé des marques

Sur  son  environnement.

.

Environnement,  ici, qui

Sans atteindre  sommet,

Est fait  d’une  sauvage

Et, très primaire, forêt,

Que l’on prendra plaisir

À parcourir  en tous sens,

En nombre de randonnées,

Tant il est proche de paradis,

Qui nous parait  abandonné.

.

Un tel circuit se devait n’être que balade  de santé :

Nous sommes montés en voiture au centre de l’ile

À altitude de 1200 mètres, 25 km San Sébastian.

Salades de riz, thon, tomates,  bouteilles d’eau,

Biscuits dans le sac à dos,  grimpons raidillon

Qui nous hisse à trois cent mètres  plus haut,

Au milieu des bosquets, ou  des arbrisseaux.

.

Un point de vue, dominant le Parc National

S’étendant, à la ronde, sur plusieurs vallées

Avec manteau de verdure, dit sans couture.

Contraire Europe où végétation est fournie

Jusqu’à 1500 mètres, rare absente au-delà.

Ici, c’est le contraire,  c’est vrai à partir de.

Descendons, serpentant en pleine ravine,

Pour atteindre un ruisseau en contrebas,

Coulant toute l’année dans zone humide.

.

Vents des alizés chargés    vapeurs d’eau,

Montant les hauteurs et barrant la route,

Sont à l’origine de l’humidité permanente.

Arrêt pour le déjeuner, près d’une cascade,

Qui nous chantonnera  son  éternel refrain.

Ensuite, nous rejoignons une belle chapelle

Où coule source, jaillissant du tronc d’arbre,

À hauteur homme : miracle,  simple trucage !

.

Avons oublié que cela monterait tout le temps

Avec, au total, plus d’un kilomètre  de dénivelé,

Qu’on commence vraiment à ressentir la fatigue.

Nous sommes encore, et, cela depuis notre départ,

Dans une forêt primaire qui  daterait d’un millénaire,

Où l’homme n’est jamais intervenu, conservé en l’état.

On voit arbres gigantesques dont les troncs sont uniques

Doubles ou en dizaines accolés, lauriers, châtaigniers

Pour la plupart, sans compter autres essences.

.

.

Extension

.

Il est pourvu d’essences

 Et qui tous nous interpellent

Tous sur leur grande … longévité.

Parc National de Garajonay Gomera

Demeure abandonné aux végétations,

Et, qui plus est, différents animaux,

Et à différentes espèces d’oiseaux,

Qui, de leurs chants … si beaux,

Vous saluent, et, de bien haut,

Dans les arbres  ou arbustes,

Si ce n’est … arbrisseaux.

.

La végétation au ciel, la sécheresse à la terre

Où l’on croirait presque, le monde à l’envers,

Mais dès que l’on pénètre en sa forêt primaire

Il n’y a plus rien que des arbres, et, bien verts !

Et randonnées, lors, se font  toutes  en  hauteur,

Mais cela correspond bien  à recherche bonheur,

Sans compter de quiétude, du corps et de l’esprit,

Qui, pas après pas et autant marche après marche,

S’installe, en nous, pour une durée … indéterminée.

.

Un sentier de randonnée parmi tant d’autres

On pourrait s’en lasser, oui mais voilà, aucun

Ne ressemble à aucun autre, même souvenirs

La Gomera est un paradis pour randonneurs

Pas loin d’une douzaine de circuits indiqués,

Pour faire centre et tour de l’ile plutôt petite.

.

Le centre est, curieusement, très verdoyant :

On dirait que le tour est comme une muraille

Qui le protège de toutes submersions marines

Au point d’en faire un lieu sûr,  quasi intime !

Je dois dire que je m’y suis plu un maximum,

Et que l’envie d’y retourner, parfois me prend.

.

.

147 – Calligramme

 .

Parc national est souvent surprenant,

La Gomera l’est particulièrement.

Plein centre,  d’ile  volcanique,

Lors bien   qu’aucun volcan,

Il aura laissé des marques

Sur  son  environnement.

Environnement,  ici, qui

Sans atteindre  sommet,

Est fait  *  d’une sauvage

Et très    P  primaire forêt

Que l’on     A   prend plaisir

À parcourir  R   en tous sens,

En nombre de  C  randonnées,

Tant il est proche  *    de paradis,

Qui nous parait      *      abandonné.

.

****************************************

****************************************

.

Un tel circuit se devait * n’être qu’une  balade  de santé :

Nous sommes   N    montés en voiture au centre de l’ile

À altitude     A  de 1200 mètres, 25 km San Sébastian.

Salades      T   de riz, thon, tomates, bouteilles d’eau,

Biscuits     I    dans le sac à dos, grimpons raidillon

Qui nous   O    hisse à trois cent mètres plus haut,

Au milieu   N   des bosquets, ou des arbrisseaux.

Un point de  A  vue, dominant le Parc National

S’étendant à la  L  ronde  sur plusieurs vallées

Avec manteau de * verdure dit sans couture.

Contraire Europe  où végétation est fournie

Jusqu’à 1500 mètres, rare absente au-delà.

Ici c’est le contraire   c’est vrai à partir de.

Descendons, serpentant   en pleine ravine,

Pour atteindre un ruisseau   en contrebas,

Coulant toute l’année dans    zone humide.

Vents des alizés chargés       vapeurs d’eau,

Montant les hauteurs leur barrant la route,

Sont à l’origine de    l’humidité permanente.

Arrêt pour le  *    déjeuner, près d’une cascade,

Qui nous   L      chantonnera son éternel refrain.

Ensuite      A    nous rejoignons une belle chapelle

Où coule      *    source, jaillissant du tronc d’arbre,

À hauteur       G     homme, miracle, simple trucage !

Avons oublié      O    que, cela monterait tout le temps

Avec, au total,        M      plus d’un kilomètre de dénivelé,

Qu’on commence       E      vraiment à ressentir la fatigue.

Nous sommes encore,      R     et, cela depuis notre départ,

Dans une forêt primaire qui   A     daterait d’un millénaire,

Où l’homme n’est jamais intervenu,   *    conservé en l’état.

On voit arbres gigantesques dont les troncs sont uniques

Doubles ou en dizaines accolés, lauriers, châtaigniers

Pour la plupart, sans compter autres essences.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

147 4

.

Évocation 

.

Flacon de parfum, shampoing

Ou poivrière avec un bouchon,

En haut   et  en bas,  poteries,

Décoration en argile rustique.

Poterie  en bas,  et petite  en  haut  

Un chemin de randonnée au milieu

d’une poterie représentant une bois.

.

Ainsi la forme se dessine sur le fond,

L’argile  est  matière  abondante,

Souple  à travailler   en  poterie :

De fait, elle héritera  de multiples

Formes et multiples décorations.

 .

 Symbolique 

L’argile nous relie

A une dimension très

Symbolique de  la terre,

Au sens  de  la terre  nous

 Portant et sur laquelle nous

Posons  nos  pieds – racines.

.

C’est l’argile qui nous donne

Naissance par Adam et Ève

Dans nombre mythes de la

 Culture     judéo-chrétienne

C’est là où nous achevons

Notre voyage … d’humain.

.

Une  poétique  symbolique  va

Se décliner autour de ce médium,

Et cela le plus souvent de façon

 Totalement inconsciente.

ergopsy.com/l-argile-un-

medium-presque-malleable

.

.

Descriptif

.

147 – Randonnée parc national La Gomera

Alignement  central /   Titre oblique   /   Thème  rando

Forme courbe  / Rimes libres   / Fond approché de forme

Symbole de forme : figue / Symbole de fond : figuier

.

.

Fond

.

Évocation 

.

147 6

.

L’argile est matière abondante,

Souple à travailler en poterie :

De fait, elle héritera de multiples

Formes et multiples décorations.

Symbolique 

La poterie à usage domestique

Est un travail réservé aux femmes

Elle est faite d’argiles de différentes

Couleurs   selon les divers  gisements.

.

Les signes  utilisés   pour  la décoration

Remontent pour certains à la Préhistoire

Et  aux origines  de l’alphabet tifinagh.

.

La coloration se fait à base de kaolin

Ou d’oxyde ferro-manganique,

Ce qui permet d’obtenir

Des teintes vives.

Modifié : www.djazairess.com/

fr/lemidi/1006091902

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

La poterie est l’art de la fabrication

De contenant pour garder un contenu

Ou, tout au moins, pour bien s’en servir.

.

Au Moyen-âge, elle est souvent remplacée

Par différentes tailles, et formes, de verres

Et au XX ème siècle par des plastiques

Au XXI ème par d’autres matières

Certaines poteries résisteront

À la cuisson, d’autres non.

 .

.

Randonnées de La Gomera

.

Scénario

.

Une vue aérienne de La Gomera, parc au centre, tout en verdure

avec une allée, en son milieu, nous invitant à randonnée découverte,

lors ailleurs, il y aura bien des flancs, des monts, abrupts, rocailleux.

.

Visuels et textuels >> 

146 – Randonnée de Taborno à Santa Cruz (III)

Visuels et textuels >>

.

Un filet d’eau coule

Le long de l’abreuvoir :

Allons voir plus haut, derrière,

D’où cela peut bien s’infiltrer

Car ce point d’eau sert

Autant aux animaux

Qu’aux humains

À se désaltérer.

Encore     faut-il que

.

Source, intarissable,

Remplisse et à plein ce réservoir

Pour les jours de sécheresses avancées !

Cette source d’eau, roucoulant en sourdine

Se déverse  en bassin profond comme piscine.

Plus haut une immense grotte … préhistorique,

S’enfonce dans son mont puis en sort, mirifique.

.

C’est alors que contrepente enfin nous traversons

Champs de cactus, figues de barbarie, exploités

Et cela, au vu  de  leurs  fortes  concentrations,

Avec sept maisonnettes, plantées sur la crête,

  Sur une arête blanchie, paraissant les garder,

  Pour les cueillir, à temps, nous interpellent !

.

Zig zag, nous tournons à gauche, à droite

 Recommençons une vingtaine, trentaine

  De fois, jusqu’à atteindre la petite ferme

     En contrebas, où un âne mulet et jument,

      Broutent sur une petite parcelle de terre.

.

        Sur l’instant ils nous tiennent compagnie

        Et puis ils viennent vers nous en frères,

        Heureux de voir passants les distraire

        Tant semblent s’ennuyer en ce désert

         Aride, isolés d’herbe fraiche, avides.

.

        Nous voilà en un creux d’un ravin

          Torrent immobile, coule, devant

          Derrière lui trace blanchiment,

           Eau creusant  suite de gradins.

            Cascades déversant illusions,

           De flots tombant à foison.

.

             Plus loin, trou marmite

              Rideau : lit  torrentiel,

                Sans eau, existentielle

                 Ni eau providentielle.

.

.

Extension

 .

À voir les captations d’eaux plus haut,

L’on comprend, comment le lit du torrent

Se trouve sans eau ou bien momentanément

Avec beaucoup trop suite à fortes  intempéries.

.

Nous parvenons à une route menant à un village

Miracle, la première des dix maisons était un café.

Une bière fraiche, accompagnée  de  quelques olives,

Nous libère un court instant de la sensation de fatigue.

.

Revenus sur le front de mer, remarquons un paquebot

Sur le départ raclant ses tuyaux avec des sons rauques

Nous retrouvons notre ponton, notre bateau, voisin,

Très satisfaits de nos douze heures de marche

Et pour notre plus grand bien ! Repos !

.

La descente du Val Seco vers Santa Cruz est des plus arides

Qui soit car d’eau en été, il n’y en a pas ou peu et qui se boit.

C’est pourquoi, des réserves sont aménagées, afin d’abreuver

Les ânes et chevaux qui seront les seuls animaux rencontrés,

Qui nous auront quelque peu distraits d’un tel val sans attrait.

Notre randonnée s’achève sur la découverte d’un bistro ouvert

Qui, fortunément, était en mesure de nous offrir, bière fraiche.

Jamais, rarement en tous cas, boisson ne fut autant bienvenue.

Elle nous aura requinqués, pour finir notre journée…en beauté.

.

Un val, on vallon, une vallée,

Appelez  comme vous voulez,

Souvent agréable à regarder,

L’est plus encore à pratiquer.

.

Torrent à sec avec marmites,

Les sols ravinés  sur les côtés,

Ici ou là, des pans de verdure,

Dessinant des couleurs pures.

.

Jardin de figuiers de barbarie

Qu’à manger on a pleine envie

Mais attention à leurs épines :

Mains ne seraient que ruines !

.

Pour finir, un café… bienvenu,

Aux confins de marina pontés,

L’eau commençait à manquer,

Genoux se mettaient  à  plier !

.

.

146 – Calligramme

.

Un filet d’eau coule

Le long de l’abreuvoir :

Allons voir plus haut, derrière,

D’où cela peut bien s’infiltrer

Car ce point d’eau sert

Autant aux animaux

Qu’aux humains

À se désaltérer.

Encore     faut-il que

.

Source,               R                           intarissable,

Remplisse et           A                 à plein ce réservoir

Pour les jours de        N            sécheresses avancées !

Cette source d’eau          D           roucoulant en sourdine

Se déverse  en bassin         O         profond comme piscine.

Plus haut une immense         N           grotte,    préhistorique,

S’enfonce dans son mont,        N          puis en sort, mirifique.

C’est alors que contrepente        É         enfin nous traversons,

Champs de cactus figues de      E        barbarie   exploités

Et cela, au vu de leurs fortes    *         concentrations,

Avec sept maisonnettes,     D   plantées sur crête,

  Sur arête blanchie    E   paraissant les garder

  Pour les cueillir à temps, nous interpellent

.

Zig zag, nous tournons à gauche, à droite……

 Recommençons   une vingtaine,  trentaine……….

  De fois, jusqu’à atteindre la  ++  petite ferme………..

     En contrebas où un âne + T ++  S  mulet et jument………

      Broutent  sur une petite + A    ++ A + parcelle de terre…….

        Sur l’instant ils se tien  + B   +++ N + nent compagnie,……..

       Et puis ils viennent ++  +++ T +  vers nous, en frères ….

       Heureux de voir  ++  R +++  A + passants  les distraire…

       Tant semblent ++  N +++  *  + s’ennuyer  en ce désert

         Aride, isolés ++  O +++  C + d’herbe fraiche, avides

        Nous voilà ++++++   R + en un creux d’un ravin

          Torrent ++  À +    U + immobile coule devant

          Derrière  ++    lui trace blanchiment

              Eau ++ creusant  suite de gradins.

            Cascades déversant illusions,

           De flots tombant à foison.

             Plus loin, trou marmite

              Rideau : lit torrentiel,

                Sans eau existentielle

                Ni eau, providentielle.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

146 4

.

Évocation 

.

Une sorte de plante

Ou de fruit  exotique,

Et plutôt  bizarroïde,

Figue de barbarie ?

.

Grosse feuille en bas, verte avec piquants,

trois, quatre petites, réparties sur le haut,

on croirait sculpture moderne, de Calder.

.

Une plantation de figuiers de barbarie

Au milieu de nulle part :

Entourant trois équidés, une cascade,

 À sec : très surprenant !

 

Symbolique 

 .

Figuier symbolise volonté de survie

Et  la générosité et la richesse naturelle,

Il s’accroche au moindre creux de rocher,

À la moindre petite fissure  afin d’y puiser

L’eau qui lui est nécessaire pour sa survie.

.

L’homme  pourra y voir  l’analogie avec

Le courage, l’intelligence et la volonté

Nécessaire de déployer pour vivre

Réussir expérience sur la Terre.

.

Le figuier  symboliserait

Chez les Égyptiens

La richesse

Et la fécondité.

Modifié :  quetedesoi.unblog.fr/

2017/02/23/le-symbolisme-du-figuier

.

.

Fond

.

Évocation 

.

146 6

.

Une plantation de figuiers de barbarie

Au milieu de nulle part :

Entourant trois équidés, une cascade,

 À sec : très surprenant !

 .

Symbolique 

 .

La figue

Est peut-être le fruit

Le plus symbolique de

Par sa structure particulière.

Ce n’est pas un fruit : un capitule

Creux contenant de centaines de

Petites fleurs serrées les unes

Contre les autres.

.

La symbolique de la figue,

Comme du figuier, est multiple

Mais  recouvre  une  seule   large

Dimension, comme  la   grenade :

À la fois connaissance et initiation,

Universalité et  unicité  du savoir,

Et aussi fécondité, régénération

De la nature et sexualité.

lewagges.fr/text=La symbolique de la figue

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le figuier dont il s’agit ici

Est le figuier de … barbarie

Pourquoi barbarie, je ne sais,

Mais il se défend avec piquants

Pour le cueillir, il faut des gants

Et même pour l’ouvrir en deux.

Des fruits  juteux, et  délicieux !

 .

.

Le Val Seco est un val sec !

.

Scénario

.

L’on distingue,  à peine,  Santa Cruz en un paysage de montagnes.

La rencontre avec deux benêts d’ânes intéressés pour se distraire.

Un torrent à sec donne son nom à ce Val Seco pour endroit aride.

.

Visuels et textuels >>  

145 – Randonnée de Taborno à Santa Cruz (II)

Visuels et textuels  >>  

.

Parvenus au somment du Pic,

Nous avons un panorama extraordinaire

Couvrant une moitié de l’ile, loin dans la mer.

En face, nous apercevons l’ile de La Gomera ;

A l’ouest, l’ile de Gran Canaria ;

Tout en bas, Santa Cruz ;

Au nord, l’Anaga.

.

Faisons un détour d’un kilomètre de notre route

Redescendons pour rejoindre une chapelle, nommée

« Cruz de Carmen », où la fête locale bat tout son plein.

Nous l’atteignons à la sortie d’une célébration solennelle.

Mais notre faim n’est pas de ciel, elle est bien plus de miel

Tant il est vrai que stand sur le côté adresse à notre nez

Son fumet et qui aiguise fortement notre appétit.

Mais ici pas de galettes saucisses bretonnes

Des viandes en brochettes ou ragoûts,

Feront l’affaire pour déjeuner.

.

À chacun ses traditions !

Nous respectons les canariens,

Sans  les  questionner,  d’entrée,

Sans exprimer  d’autres manières.

Leurs coutumes valent bien les nôtres

Tant un peuple s’exprime par ses chants.

Musiques, danses impriment en notre tête

Leurs airs de fête et que tous reprennent

Et que tous répètent avec l’orchestre.

Aux mandolines succèdent les guitares

.

Nous entrainant en rythmes valses, salsas.

Nous sommes en face, à vol d’oiseau,

Du nord de l’Amérique latine.

Des musiciens, amateurs et pros,

.

Nous égrenant une dizaine de comptines,

Autant d’émotions qui nous procurent

Autant de frissons sous nos pas.

D’origine votive, où gens s’amusent.

.

Nous repartons, mais à regret, de la fête,

Dans l’ambiance des plus festives

Puis nous repassons par le Pico

Bifurquons vers le Val Seco.

.

Nous longeons crête de trois kilomètres,

Avant de retrouver la forêt vierge

Aux sentiers gorgés d’eau.

Où un très long tunnel de verdure

.

Nous cachera la vue, le temps est beau,

Calme, agréable, sommes contents

D’être ici, d’être passé par là,

 D’y avoir consacré toute la journée !

.

.

Extension

.

Le temps est ensoleillé,

Il est parfois brumeux,

N’est jamais  pluvieux.

Les nuages   percutent

Et s’accrochent, certes

Aux sommets montagneux,

Mais se dévoilent pour ne gâcher

Le paysage aux meilleurs moments.

.

À la sortie du sentier, nous découvrons

Le Val ou nous dirions plutôt les « vaux »,

Tant quatre d’entre eux s’offrent à nos yeux.

.

Lors le Val Seco se détache, caillouteux et pelé

Comme mouton tondu, assoiffé, privé d’eau.

Avant d’y descendre, nous découvrons

Une vieille bergerie … troglodyte

Y pénétrons, nous désaltérer.

.

Fête de village est toujours assemblée festive, standard,

Pourtant ici, le dépaysement, exotisme est presque total

Nous met en plein cœur sans transition du folklore local

Restant en mémoire des années durant jusque fort tard.

Le contraste de la randonnée, avant, après, est saisissant,

Mais les airs de musique nous poursuivent, en marchant,

Et ce n’est que bien plus loin que paysage redevient désert

À nos yeux, à nos nez, à nos oreilles, et, à nos imaginaires :

Son silence  permet de mémoriser nos  émotions primaires.

.

Tout comme les paysages, les fêtes sont différentes

D’un pays, d’une région, communauté à l’autre.

Tous et toutes auront en commun, un point

De vue subjectif de celui qui le pratique

Le journaliste, le reporter, écrivain,

N’échappera point à cette règle,

Or le publiciste  la  détourne

Pour pousser   l’avantage

D’aller voir  sur place.

Vendeur  de  rêves,

Sinon d’illusion

Qui fascinera

Ou décevra

Au point

Final

V

.

.

145 – Calligramme

.

Parvenus au somment du Pic,

Nous avons un panorama extraordinaire

Couvrant une moitié de l’ile, loin dans la mer.

En face, nous apercevons l’ile de La Gomera ;

A l’ouest, l’ile de Gran Canaria ;

Tout en bas, Santa Cruz ;

Au nord, l’Anaga.

.

RANDONNÉE

Faisons un détour d’un kilomètre de notre route

Redescendons pour rejoindre une chapelle, nommée

«Cruz de Carmen», où  la fête  locale  bat  tout son plein.

Nous l’atteignons à la sortie d’une célébration solennelle.

Mais notre faim n’est pas de ciel, elle est bien plus de miel

Tant il est vrai que stand sur le côté adresse à notre nez

Son fumet et qui aiguise fortement notre appétit.

Mais ici pas de galettes saucisses bretonnes,

Des viandes en brochettes ou ragoûts,

Feront l’affaire pour déjeuner.

.

DE TABORNO

.

À chacun ses traditions !

Lors respectons les canariens

Sans  les  questionner,  d’entrée,

Sans exprimer  d’autres  manières.

Leurs coutumes valent bien les nôtres

Tant un peuple s’exprime par ses chants.

Musiques, danses impriment en notre tête,

Nombre d’airs de fête,  que tous reprennent,

Tous répètent, et en chœur, avec l’orchestre.

Lors aux mandolines succèdent les guitares.

.

À SANTA CRUZ (II)

Nous entrainant en rythmes valses salsas.

Nous sommes en face, à vol d’oiseau,

Du  nord  de  l’Amérique  latine.

Des  musiciens, amateurs  et  pros,

.

Nous égrenant une dizaine de comptines,

Autant d’émotions qui nous procurent

Autant  de  frissons  sous  nos  pas.

D’origine votive, où gens s’amusent.

.

Nous repartons, mais à regret, de la fête,

Dans l’ambiance, des plus festives,

Puis  nous repassons  par le Pico

Nous bifurquons  vers le Val Seco.

.

Nous longeons crête de trois kilomètres,

Avant de retrouver la forêt vierge

Aux sentiers bien gorgés d’eau,

Où un très long tunnel de verdure

.

Nous cachera la vue, le temps est beau,

Calme, agréable : sommes contents

D’être ici, puis d’être passé par là,

 D’y avoir consacré toute la journée !

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Forme

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Réduction

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145 4

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Evocation

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Deux flacons de parfums

Objet pivotant sur lui-même,

Outil pour célébrer une fête :

Un tire-bouchon peut-être ?

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Un tire-bouchon n’évoque pas une fête

or sans lui, difficile de la faire, c’est bête :

comme le vin canarien est bon, débouchons.

.

Tire-bouchon, pour sûr, mais

À cette fête du village, n’avons bu

Qu’un seul verre, d’un vin du pays,

Pour rester en forme pour marcher.

 .

Symbolique 

.

Au XVIIe siècle, apparait le tire-bouchon.

Mais il reste contemporain de l’invention

De la bouteille dite « moderne ».

.

Déboucher un une bouteille aura d’emblée

Nécessité l’invention d’un outil spécifique :

Et  le  tire-bouchon  était  né !

.

Objet précieux, aristocratique

À l’origine,  le «tire-bouchon »

Est  vite  devenu  un  symbole

De  bien-vivre  et  de  partage,

En Angleterre, France d’abord.

.

Se démocratise progressivement

Et devient universel, en devenant

Du même coup magnifique

Objet de collection.

club-francais-du-tire-bouchon

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Descriptif

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145 – Randonnée de Taborno à Santa Cruz (II)

Alignement  central /   Titre intercalé   /   Thème  rando

Forme droite  / Rimes libres   / Fond approché de forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : fête

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Fond

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Évocation

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145 6

.

À cette fête du village, nous avons

Bien mangé, avons bu un seul

Verre en tire-bouchon pour rester

En forme pour bien marcher.

  .

Symbolique 

Les fêtes peuvent revêtir des formes différentes :

Les fêtes annuelles  bien inscrites  dans la tradition,

Ou créées  de toutes  pièces, totalement commerciales,

Fêtes associatives soutenues par les collectivités locales.
.

Fêtes moins régulières destinées à marquer un élément,

Un  événement  important, comme  l’arrivée  de  l’été,

Fêtes religieuses  en l’honneur  d’un  saint  patron.

Et  toutes sont bien arrosées ! Les tire-bouchons,

Décapsuleurs et fûts pour bières sont de sortie.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 

Une fête de village,

Pour tous les villageois

Et pour ceux des alentours

A tout du caractère authentique

Avec ses rituels et ses coutumes locales

Il n’en faut pas davantage   pour vous

Satisfaire  en vous mêlant à la foule,

Sans préjugé ni sans commentaire.

Chacun a le droit à sa différence.

 .

Randonnée dans l’Anaga

.

Scénario

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Cruz de Carmen offre un panorama magnifique à tous points de vue,

sans parler airs de musiques fanfare locale honorant fête du village,

avant de repartir vers le Val Seco, en vue de rejoindre Santa Cruz.

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Visuels et textuels  >>  

144 – Randonnée de Taborno à Santa Cruz (I)

Visuels et textuels >>

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06h00 : prenons bus,

Gare routière Santa Cruz

Pour descendre La Laguna.

Avons juste  temps de prendre

Un café noir   que le second bus,

Pour  Taborno  via Cruz démarre.

Arrivés, nous   montons,  à la Roqué

Pour jouir du spectacle,  sur sa pointe

Tombante en surplomb au raz de la mer.

Juchés, perchés, sa vue imprenable, s’offre

À nous un lever de soleil aux effets brumeux.

Et ses trois lignes de crêtes descendantes sur les

Rochers pointent en mer le haut du cap de Tenerife.

.

C’est une merveille d’aquarelle verte et jaune,

Ponctuée  par les rares maisonnettes

Agrippées au flanc de versants.

Les matins sont très beaux

Dans les hauteurs de l’Anaga.

Courageux, ne sont pas légions

Sommes les seuls qui y marchons,

Mais sommes empreints énergie

De lumières et de bonheurs

D’être là, et, pas, ailleurs :

En pleine cité, l’horreur !

Voilà que le temps passe,

Alors retour à Taborno :

 Petit village, douze maisons,

Au bar-restaurant des plus curieux :

Ce ne sont tout de même pas les habitants

De ce lieu qui le remplissent chaque jour.

Nous y voilà, en face : allons boire

Un verre pour nous renseigner !

Parlez-vous français, tenancier ?

– Oui, cette langue est aussi mienne.

.

Intéressé de savoir d’où l’on vient, et, pour

Combien de temps nous restons à Tenerife,

Il nous confie être de Nice et est  installé ici

Depuis  deux ans. Et alors  nous lui confions

À notre tour, que nous sommes deux marins

Bretons nés,  que  notre voilier  est stationné

En marina des pécheurs. Il y demeure aussi.

Il nous offre du fromage de chèvre, du pain.

 .

-Les canariens adorent la cuisine française, ses gâteaux.

Nous avons un seul service, le midi. Le soir nous vivons au

Port de Santa Cruz, dans un yacht à moteur, de 36 pieds.

– Ca alors, nous, nous y sommes aussi, avec notre voilier.

– Oui, je l’ai vu arriver avant-hier, vous êtes sur Ar-Kilé.

.

.

Extension

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Coïncidence, hasard, nécessité,

 Qui peut bien nous le dire, affirmer !

Sommes contents de les avoir rencontrés

Avoir échangé nos identités, après les avoir salué,

Nous montons ensuite vers le sommet  du Pico Inglès.

.

Nous foulons au pied un sentier au feuillage vert et humide,

Agrémenté de fougères et mousses couvrant ses bordures en terre.

Puis nous marchons, de concert, dans une forêt vierge dite primaire

De cette ile, extraordinaire, tout en contrastes, et tout en contraires !

.

Ah mais on a le même à la maison ou presque

A Trébeurden, Bretagne comme tête d’homme

Y aurait pas de quoi écrire… toute une fresque,

Mais, un repère, impressionnant, tout comme !

Le village de Taborno est lui-même pittoresque,

Son restaurant : « para no dormir », son homme

Des plus accueillants et bien français, de surcroit.

Lors nous en ferons bien un pur copain de bateau,

Mais après avoir mangé ses délicieuses assiettées !

.

Quelque part, perdu au sommet de l’Anaga,

Un coin sauvage, lors très faiblement peuplé.

.

Sans parler  des plus escarpés, avec son clocher

De chapelle sur une placette mouchoir de poche.

.

En contrebas, un restaurant, dont on se demande

Pourquoi il est là, il est tenu  par un chef français,

Dont la renommée dans l’ile attire foule de clients.

.

.

144- Calligramme

.

06h00 : prenons bus,

Gare routière Santa Cruz

Pour descendre La Laguna.

Avons juste  temps de prendre

Un café noir   que le second bus,

Pour  Taborno  via Cruz démarre.

Arrivés, nous   montons,  à la Roqué

Pour jouir du spectacle,  sur sa pointe

Tombante en surplomb au raz de la mer.

Juchés, perchés, sa vue imprenable, s’offre

À nous un lever de soleil aux effets brumeux.

Et ses trois lignes de crêtes descendantes sur les

Rochers pointent en mer le haut du cap de Tenerife.

.

RANDONNÉE

C’est une merveille d’aquarelle verte et jaune,

Ponctuée  par les rares maisonnettes

Agrippées au flanc de versants.

Les matins sont très beaux

Dans les hauteurs de l’Anaga.

Courageux, ne sont pas légions

Sommes les seuls qui y marchons,

Mais sommes empreints énergie

De lumières et de bonheurs

D’être là, et, pas, ailleurs :

En pleine cité, l’horreur !

Voilà que le temps passe,

Alors retour à Taborno :

 Petit village, douze maisons,

Au bar-restaurant des plus curieux :

Ce ne sont tout de même pas les habitants

De ce lieu qui le remplissent chaque jour.

Nous y voilà, en face : allons boire

Un verre pour nous renseigner !

Parlez-vous français, tenancier ?

– Oui, cette langue est aussi mienne.

DE TABORNO

Intéressé de savoir d’où l’on vient, et, pour

Combien de temps nous restons à Tenerife,

Il nous confie être de Nice et est  installé ici

Depuis  deux ans. Et alors  nous lui confions

À notre tour, que nous sommes deux marins

Bretons nés,  que  notre voilier  est stationné

En marina des pécheurs. Il y demeure aussi.

Il nous offre du fromage de chèvre, du pain.

À SANTA CRUZ (I)

-Les canariens adorent la cuisine française, ses gâteaux.

Nous avons un seul service, le midi. Le soir nous vivons au

Port de Santa Cruz, dans un yacht à moteur, de 36 pieds.

– Ca alors, nous, nous y sommes aussi, avec notre voilier.

– Oui, je l’ai vu arriver avant-hier, vous êtes sur Ar-Kilé.

.

.

Forme

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Réduction

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144 4

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Évocation

 .

En haut, l’image d’un rocher,

 Qui se dresse comme une figure

Et en bas, une falaise verdoyante,

Qui tombe directement dans la mer.

.

Le rocher, en haut, qui s’érige  en proue,

Le chemin pour y aller, et voire y monter.

En bas, en partant du pied restaurant cité,

Tant et si bien que forme, fond s’enchainent.

.

C’est ce rocher que nous avons rejoint,

 Sommes à son pied enfin :

Après randonnée d’une heure  et y voyons

Figure du  Père Trébeurden

 .

 Symbolique 

Le rocher désigne une grosse pierre.

Symbolise solidité, éternité et élévation.

Dans la Bible, le rocher émergé des eaux

Représente la terre dans l’étendue céleste.

Une île où les hommes vivent et meurent.

Lors dans la mythologie grecque,

Le rocher est associé à  Sisyphe.

La légende, Zeus le condamna

À faire rouler, éternellement,

Jusqu’en haut  d’une  colline,

Un rocher qui en redescendait

Chaque fois avant de parvenir au sommet.

 1001symboles.net/symbole/sens-de-rocher.

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Descriptif

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144 – Randonnée de Taborno à Santa Cruz (I)

Alignement  central /   Titre intercalé   /   Thème  rando

Forme courbe  / Rimes libres   / Fond accordé à forme

Symbole de forme : rocher / Symbole de fond : figure

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Fond

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Évocation 

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144 6

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Après randonnée d’une heure  et y voyons

Figure du Père Trébeurden

Sur la charmante presqu’ile dit «du Castel»

Face le port, plage de Tresmeur

 .

Symbolique 

 .

Situé entre la Pointe de Bihit

Et le beau port de Trébeurden

Et faisant face à l’Ile Milliau,

Castel est un promontoire

De granit et de verdure.

.

Sur sa face sud-ouest,

L’on peut bien découvrir

Le rocher du Père-Trébeurden.

.

Ce colosse de pierre sculpté

Par les éléments prend la figure

D’un personnage au sourcil ombrageux

Que l’on surnomme «Le Père Trébeurden».

.

Situation, Trébeurden est situé à environ

8 kilomètres au nord-ouest de Lannion ;

Le rocher du Père Trébeurden se trouve

Promontoire du Castel, à côté du port.

tregor.fr/index.php/accueil/carte/255:rocher-

du-pere-trebeurden-a-trebeurden-le-castel

.

Corrélations

Fond/forme 

Un rocher, isolé, comme un éperon

Qui est seul et qui surplombe la mer,

Attire pour le moins l’attention tant il

Parait être un gardien en long de côte,

Qui plus est un amer très reconnaissable

Tout comme le rocher sis à Trébeurden

Surnommé pour le coup du nom Père

Et il doit y en avoir un peu partout

Que l’on appelle le doigt de Dieu.

 .

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Restaurant Historia par no dormir

.

Scénario

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D’abord prendre bus à 06h00 du matin, à Santa Cruz pour Taborno,

ensuite, marcher deux heures jusqu’au pic de Taborno, puis retour,

 enfin aller visiter son village pittoresque avec son église et place !

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Visuels et textuels >>