794 – On se connaît à peine que, déjà, l’on s’aime

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Le temps joue pour soi

Et,  parfois  contre  soi

En relation amoureuse,

Forte,  mais trompeuse.

.

Au début, tout  allait bien,

Au début en commun ressenti

Puis soudain, tout a ralenti :

Je ne comprenais  plus rien.

.

Pour une fin, je me suis décidé,

Je  n’en pouvais  plus  de douter

J’ai rompu,  lui ai  communiqué

Si elle  en rêvait  encore  terminé.

En tous cas, pour moi, de mon côté,

Attente était trop lente étais  excédée.

.

On se connaît à peine

Que déjà, l’on s’aime,

Sans vouloir extrême

Sans poser problème.

.

Quelle chose se cache,

En nos vies qu’on gâche

Qu’attends-tu belle amie,

Ne comprends ce que tu dis.

.

Ne dis rien, mais, sache alors

Qu’il n’est pire  amour qui dort

Et, si des années nous séparent,

Sentiments de nous, s’emparent.

.

Qu’attends-tu de moi, belle amie,

Je ne suis, ne serai pas beau parti,

Je ne referai pas, pour toi, ma vie,

Même partager  ta couche, ton lit.

.

Comment sera comme on le dit,

Avenir commun et aussi indécis

Si nul des deux,  ne sait  encore,

S’il est au sud … s’il est au nord.

.

Belle amie, ne suis  et ne serai

Que celui que tu as  imaginé,

Un rêve, que tu t’es forgé,

Le mien… s’en est allé.

.

Extensions

 .

On se connaît à peine que déjà l’on s’aime

Et puis le temps a passé, le temps s’est suspendu.

Et puis, un jour, las de t’attendre, je suis parti ailleurs,

Et je ne suis plus revenu : peut-être n’étions-nous pas faits

Pour que cela se concrétise, que cela ne dure entre nous.

.

Peut-être y avait-il un problème épineux, un détail

Qui ne convenait pas, une apparence trompeuse.

Peut-être  était-ce  entre trop tôt  et trop tard,

Ce n’était, ni le bon moment, ni le bon espoir.

On s’est aimé pour rien, a pour rire ainsi soit-il !

.

Cela convient à lettre de rupture en sorte de cri :

«Je t’ai attendu et tu n’es pas venue» ou encore

«Je suis parti, las de n’avoir pas su te retenir »,

Ce qui montre que le temps est bien paramètre

Essentiel dans une relation, que le manque en

Est un autre, tout aussi capital, mais autant

Le premier est en mesure de durer,

Autant le second ne peut que

Se combler ou se casser.

.

Le premier représente les liens

Qui les relient tandis que le second,

Mesure les tensions qui les délieront.

Relier et délier sont le propre de la vie

Amoureuse et parfois,  de la vie tout court !

.

 «Les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics»

Vous connaissez tous la chanson de Georges Brassens.

Nous, on se rencontrerait, d’abord, sur un banc public,

Puis on s’embrasserait, un peu partout,  selon l’humeur,

On attendrait l’autre, à la sortie  de chez lui, avec fleurs !

Qu’y a-t-il de plus simple, plus naturel, plus romantique.

N’allez pas jusqu’ à proposer tel scénario à un cinéaste :

Il ne le prendra pas : c’’est trop réel, c’est pas vendeur

Gardez-le pour vous, dans le secret de votre cœur !

.

L’on se connait à peine et pourtant bien mieux

Que quiconque, disent amants, coup de foudre,

Comme si le temps avait peu d’emprise sur eux.

.

Autres peut-être plus lents à la détente, soucieux,

Disent, il faut prendre du temps, laisser voir venir

Les choses sans les précipiter pour bien les assurer.

.

Éclairer sera bien le « maitre mot » pour tout savoir

Les premiers diront avoir tout compris, en un éclair,

Les seconds qu’après avoir assuré, il faudra assumer.

.

Fragments 

.

L’impression de s’aimer est un sentiment,

Qui nous vient comme cela soudainement,

Et qui se voudrait certitude en ce moment.

.

Mais, il y aurait loin de la coupe aux lèvres,

Et je parle ici de passion et non de boisson :

À mesure que temps passe,  qu’on se revoit :

Le lien s’établit, se renforce ou bien se casse.

.

Pour y voir plus clair,  il faudra de la lumière :

Bougie, lampe de poche, lampe de chevet, etc.,

Afin de traverser part d’ombre qui nous sépare

Et ne pas faire de la rencontre … pure illusion !

.

Quand on rencontrerait  une personne désirée,

Très vite on se ferait  des romans  dans sa tête :

Il ou elle, est bien comme ça, comme je voulais,

Mais ce ne sera que projection, non réalisation.

.

En des romans, choses passent comme on veut :

On est maitre des deux côtés, réaction, heureux,

En la réalité, que de supposer vrai, on ne le peut

Et il arrive que l’on se trompe une fois sur deux.

.

Au final, que voudra dire se connaitre, s’aimant,

Je n’ai pas de réponses,  sensations,  sentiments,

C’est pas nous qui choisissons notre inconscient.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme  

.

Le temps joue pour soi

Et, parfois  O     contre soi

En relation      N   amoureuse,

Forte,  mais          *     trompeuse.

Au début, tout           S        allait bien,

Au début en com         E    *    mun ressenti

Puis soudain, tout       *             E       a ralenti :

Je ne comprenais     C                        N      plus rien.

Pour une fin, je me    O                             I   suis décidé,

Je  n’en pouvais  plus  N                               E       de douter

J’ai rompu, lui ai com   N                              P            muniqué

Si elle en rêvait  encore    À                            *               terminé.

En tous cas, pour moi, de    I                      À                 mon côté,

Son attente était trop lente        T        *               étais  excédée.

.

On se connaît à peine

Que déjà, l’on s’aime,

Sans vouloir extrême

Sans poser problème.

.

Quelle chose   se cache,

En nos vies         qu’on gâche

Qu’attends-tu  E      belle amie,

Ne comprends  T    ce que tu dis.

*

Ne dis rien,     D     mais, sache alors

Qu’il n’est pire    É       amour qui dort

Et, si des années     J      nous séparent,

Sentiments de nous     À      s’emparent.

                *

Qu’attends-tu de moi    O        belle amie,

Je ne suis, ne serai    N     pas beau parti,

Je ne referai pas      *      pour toi, ma vie,

Même partager      S     ta couche, ton lit.

Comment sera         A    comme on le dit,

Avenir commun        I    et aussi indécis

Si nul des deux,  ne    M    sait  encore,

S’il est au sud, s’il est   E     au nord.

.

Belle amie, ne suis    et ne serai

Que celui que tu as  imaginé,

Un rêve, que tu t’es forgé,

Le mien… s’en est allé.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une  lampe  de  chevet

Qui se devait d’éclairer

Notre si bel  amour 

Un peu idyllique !

.

794 4

.

U

Une lampe de chevet,  éteinte

N’est autre qu’objet de décoration.

C’est vrai, mais, dès qu’on l’allume,

Elle éclairera  l’amour  d’un couple.

La lampe est  par nature  éclairante

Et donc éclairera aussi un bel amour

En créant une intimité sous abat-jour

Et ainsi sa forme évoque bien le fond.

.

Symbolique 

 .

Une lampe de chevet

Est une  lampe près du lit,

À   hauteur  de  la  tête   dans

Chambre  à    coucher,  ailleurs

Elle   est   soit accrochée   au mur,

Soit    posée   sur   une  table   de   nuit

Elle sert à éclairer

Toute personne

Qui est assise ou

Allongée, de façon

À lui permettre

Par exemple de lire.

Wikipédia : lampe de chevet

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

794 6

.

Une lampe de chevet,  éteinte

N’est autre qu’objet de décoration.

C’est vrai, mais, dès qu’on l’allume,

Elle éclairera l’amour d’un couple.

 .

Symbolique 

 .

La lumière 

Est le symbole de

La connaissance, tu apprends

De jour en jour à mieux te connaître,

Tu évolues, grâce aux informations et savoir.

Si la lampe est éteinte, les tensions du moment

En  ta  vie familiale, professionnelle  ou dans

Ta vie de couple : ces tensions te fatiguent

Psychologiquement et font ressortir

De la colère ou de la tristesse.

 .

Rappelles-toi

Que tu ne peux

Pas changer ceux

 Qui       t’entourent,

Mais tu peux chan

Ger tes réactions.

Source : psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/lampe

.

La lumière 

Est le symbole de

La connaissance, tu apprends

De jour en jour à mieux te connaître,

Tu évolues, grâce aux informations et savoir.

Si la lampe est éteinte, les tensions du moment

En  ta  vie familiale, professionnelle  ou dans

Ta vie de couple : ces tensions te fatiguent

Psychologiquement et font ressortir

De la colère ou de la tristesse.

 .

.

Fond/forme

 .

Une lampe bien que n’étant pas d’Aladin

Ferait briller le bonheur de deux amants

Qui s’entretiennent mais sous couverture

Pour ne pas se déclarer, trop tôt, au jour.

Tant l’intensité lumineuse de son ampoule

Dépend de leurs sentiments, engagements,

Jusqu’à ce qu’ils décident enlever abat-jour

Pour affirmer union passionnée et durable

Et remettre l’abat-jour, au moindre doute !

.

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792 – Je l’ai, un beau soir, rencontrée, imprimée !

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le jour où je l’ai rencontrée.

Ainsi commence belle histoire

Qui peut être d’amour, amitié,

En tous cas nourrie de l’espoir.

 .

On s’observe, puis  on s’écoute,

Parfois même, on se projette :

Rien n’est fait, rien ne rejette

Avec un frein, en avant toute.

Elle m’aurait  trouvé  sympa,

Et rien de plus rien de moins,

Ou elle m’aurait trouvé extra,

Veut, avec moi,  faire le point.

 .

Combien de  commencements

Finissent  par  le renoncement

De l’un, l’autre, voire des deux,

Et puis, soudain,  gagne au jeu.

Je l’ai, un beau soir, rencontrée,

Elle a tourbillonné en ma pensée

Dans l’instant, elle s’est imprimée

En l’esprit : elle ne m’a pas quittée.

 .

Et, nous voilà, à discuter, tous deux,

Juste histoire pour mieux… combler,

Le fossé qui nous sépare … fort creusé

Par nos différents parcours, chanceux.

Elle n’est pas ceci …  moi je ne suis cela,

Ne réagit pas comme-ci, moi, comme ça,

Elle se tient à l’écoute  et moi aucun doute

J’attends avant m’engager… en avant toute.

 .

Son attrait en deux ans a quelque peu changé

Ce n’est pas qu’il soit plus ouvert ou plus fermé,

Il est juste un peu plus mûr, changé, hâlé, décalé,

Celui d’une femme cherchant encore amour égaré.

Ses regards et sourires et paroles qui m’interpellent,

Soulignent ses interrogations sur ses amours…irréels,

Docile, facile : oui et non, car d’elle, il y a plus à espérer,

Qu’à craindre, en vengeance, en violence, d’effarouchée !

.

Extensions

 .

Je l’ai, un beau soir, rencontrée,

Puis nous avons échangé puis nous

Nous sommes  perdus de vue  et  puis

À nouveau rencontrés et c’est alors que

Mais je vous laisserai  imaginez la suite,

Vous êtes assez grand   pour la concevoir.

.

Il y a plusieurs scénarios qui se dessinent,

Mais, généralement,     celui qui l’emporte

Est celui qu’on a vécu,     personnellement,

Parce qu’on s’y projette      et entièrement.

.

Elle ne m’a plus quittée : faut-il le prendre

Au premier degré  «nous sommes mariés»

Ou bien second «nous nous sommes revus

Chaque année » ou troisième : « elle est

Devenue mon modèle, mon égérie ».

.

Forcément tout à une fin

Un but proche ou lointain

Or chacun  imagine  le sien,

Comme le fruit de son destin

Si ce n’est de son choix, libre !

Rencontrée, imprimée,  effacée,

Ou les trois phases de rencontre,

Et qu’on pensait durer à jamais,

Que voilà, et déjà vite, terminée

Jusqu’à la prochaine et idem !

.

La première impression dit-on, est la bonne,

Mais si je ne me trompe,  qu’on me pardonne,

Ce qui n’est pas toujours les cas des deux cotés

Et l’on se leurrera, ainsi, sur celui, celle, aimé.

.

Une impression peut disparaitre rapidement

Contraire, s’installer à demeure en mémoire,

En tel cas, elle refera surface quand la cible

Ou un des possibles sosies se représentera.

.

C’est pourquoi on parle de première fois

Comme une sorte empreinte indélébile,

Qui conditionne une suite de sexualité,

Comme si l’image s’était superposée.

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Le jour où je l’ai rencontrée.

Ainsi commence belle histoire

Qui peut être d’amour, amitié,

En tous cas nourrie de l’espoir.

JE L’AI,

On s’observe, puis  on s’écoute,

Parfois même, on se projette :

Rien n’est fait, rien ne rejette

Avec un frein, en avant toute.

Elle m’aurait  trouvé  sympa,

Et rien de plus rien de moins,

Ou elle m’aurait trouvé extra,

Veut, avec moi,  faire le point.

UN SOIR,

Combien de  commencements

Finissent  par  le renoncement

De l’un, l’autre, voire des deux,

Et puis, soudain, gagne au jeu.

Je l’ai, un beau soir, rencontrée,

Elle a tourbillonné en ma pensée

Dans l’instant, elle s’est imprimée

En l’esprit : elle ne m’a pas quittée.

RENCONTRÉE,

Et, nous voilà, à discuter, tous deux,

Juste histoire pour mieux… combler,

Le fossé qui nous sépare … fort creusé

Par nos différents parcours, chanceux.

Elle n’est pas ceci …  moi je ne suis cela,

Ne réagit pas comme-ci, moi, comme ça,

Elle se tient à l’écoute  et moi aucun doute

J’attends avant m’engager… en avant toute.

IMPRIMÉE

Son attrait en deux ans a quelque peu changé

Ce n’est pas qu’il soit plus ouvert ou plus fermé,

Il est juste un peu plus mûr, changé, hâlé, décalé,

Celui d’une femme cherchant encore amour égaré.

Ses regards et sourires et paroles qui m’interpellent,

Soulignent ses interrogations sur ses amours…irréels,

Docile, facile : oui et non, car d’elle, il y a plus à espérer,

Qu’à craindre, en vengeance, en violence, d’effarouchée !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase  pour une fleur,

Verre de bière   à l’envers

Pourquoi pas  cheminée

D’une centrale atomique ?

.

792 4

.

Une cheminée d’une telle taille,

Cela  ne se rencontre pas  partout,

Si elle vous intrigue  énormément :

Impossible de ne pas la mémoriser !

Cheminée et cheminer on même racine :

Cheminée, vers le haut ;  cheminer, en bas,

Il y en a des très grandes, des toutes petites

Mais ici, leur formes diffèreront du fond.

  .

Symbolique 

 .

Toutes les fumées blanches

S’échappant grandes tours

Cheminée   réfrigération,

Des centrales nucléaires ne

Sont pas  très  dangereuses.

 .

Elles ne sont que des nuages

De  vapeurs  d’eau,  formant

Un  panache  variable   selon

Conditions   atmosphériques.

 .

Les tours    aéroréfrigérantes

Ne  sont  pas  très   spécifiques

Aux      centrales       nucléaires.

Elles   peuvent   équiper d  ‘autres

Centrales  tels : gaz, charbon, fioul.

Connaissancedesenergies.org/ les-fumees-

Des-centrales-nucléaires-sont-elles-dangereuses

.

.

Fond

 .

Évocation

.

792 6

.

Cheminée est faite pour

Faire du feu,  se chauffer

Pour  cuire  des  aliments

Et se rassembler devant !

.

Symbolique

 .

À l’époque du chauffage électrique,

Nos jeunes lecteurs peuvent méconnaître

Que nos ancêtres se chauffaient non pas avec

Des convecteurs à gaz, ni même avec des poêles

À charbon, mais  avec un âtre : un endroit  où l’on

Brûlait des bûches en bois, ce qui réchauffait la pièce

Qui devait avoir un plafond haut afin que les occupants

Ne suffoquent pas, et les gaz âcres  et  la fumée  étaient

Évacués par conduit débouchant sur la cheminée.

Source : ora-et-labora.frenchboard.com/t605-la-cheminee

 .

 .

Fond/forme 

 .

Romantique, cette rencontre… au pied

D’un feu de cheminée, un verre à la main

Une bouteille au frais, et il fait très chaud !

.

Non ce n’est pas scénario du prochain ciné,

C’est juste un cliché et même des plus éculés

L’on se rencontre plutôt les sites d’internet

Et là non plus, faut pas rêver, faut bruler.

Beaucoup d’énergie pour y harponner !

Laisse faire le hasard, bon conseiller

Matière de divorce à venir un jour.

.

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370 – J’enrage d’être obligé de partir, alors que

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Partir alors que

J’allais te rencontrer

J’avais,  enfin,   trouvé,

Mon alter-ego amoureux

Ce n’est pas moi qui décide

C’est le cours de la vie, espace,

Qui me place, déplace, remplace

Transformant le sucré en acide.

Dieu merci il me reste à penser,

Pour  me  projeter  me consoler,

Qu’un jour, l’autre, je te reverrai,

C’est pour mieux re commencer.

.

J’enrage d’être obligé

De partir

Alors que je me sens ici

À ravir.

.

J’enrage d’être forcé

De  quitter

Une telle douceur,

À tes côtés.

.

J’enrage d’être contraint

De  laisser

Un champ de paix pour

Un de ruine.

.

J’enrage d’être impuissant,

Changer le cours

Des choses en cours de vie

Conditionnée,

.

Ne dépendant pas de moi,

Elle me rappelle et sans cesse

À  tous  mes  devoirs  de  citoyens.

Amour me pousse à jouer  aux infidèles,

Se révoltant au point de devenir déserteur

Et de tout plaquer pour lui, pour le bonheur.

.

Extensions

.

Les lieux où l’on réside, où l’on travaille,

Sont des repères, sont des marqueurs de vie.

La distance, et surtout quand un océan sépare,

Rend quasiment impossible tout rapprochement

Et, difficile, le maintien d’une relation amoureuse,

Voire d’une situation conjugale, avec, sans enfants.

Dans le cas d’une rencontre amoureuse où l’on sait

Que le partenaire est sur départ, ne reviendra pas.

.

Le voile se déchire, le choix deviendra binaire :

Ou partir avec lui, et le suivre où qu’il aille,

Ou accepter de le perdre définitivement,

Quitter  quelqu’un, pour une semaine,

Voire une journée peut être frustrant

Même si l’on certain de le retrouver.

.

D’une part on est sujet à l’abandon

Ou le renoncement, et, d’autre part

On subit le manque et la séparation.

On se rencontre, fraternise, se confie

Et d’autre part, on se sépare comme si

De rien n’était, pour ne jamais se revoir,

Pour ne plus communiquer, petits cailloux

Sur une route pavée de … bonnes intentions

Mais, hélas, aucune véritable réalisation.

.

Ainsi va la vie, ainsi vont les choses :

Il n’y a qu’amis qui tiennent à vous

En la route envers et contre tout.

.

Pars vite, ailleurs, un temps, pour que je reste … avec toi !

Je partirais bien ailleurs mais comment le faire sans toi,

Autant de propositions qui seront autant d’injonctions,

À penser revenir alors que je ne suis pas encore parti :

Ce n’est pas tant de revenir que trouver changement !

.

Il y a peu de gens qui se sont rencontrés

À l’autre bout du Monde  et qui se seront

Retrouvés, ni même demeuré en contact :

En dépit téléphone, messagerie, Facebook,

La distance tue l’amour comme un poison.

.

Un poison  et  non  un poisson … quoique !

Demandez poisson de faire un demi-globe.

Je crains que non, au-dessus  de ses forces,

Pas davantage au milieu et ainsi abandon.

.

A contrario, on retrouve parfois par hasard

Quelqu’un, apprécié, des années plus tard.

Cela ne veut pas dire que l’on poursuivra

Mais l’on peut échanger ses souvenirs.

.

Fragments 

.

De plus en plus de rencontres, de nos jours,

Se feront en cours de voyages ou de séjours :

Des liens se nouent, affinités électives, jouent,

Et l’on se retrouvera à danser joue contre joue.

.

Mais,  voilà que  l’on est obligé de partir, revenir

Chez soi,  pour le travail, la famille … que sais-je,

Il faut mettre terme à opportunité de s’en quérir.

Cette impression tourne la tête, à avoir le vertige.

.

Cristallisation d’amour profond n’ayant pas eu lieu

On ne peut que de de revoir, hasard, formuler vœu,

On s’en  remet au destin : ça doit se faire, ça se fera,

En attendant, il me reste ma frustration… patatras !

.

Vous me direz : et le téléphone, le courriel, Internet.

C’est vrai, mais, dans la précipitation de partir… vite

On a oublié s’en assurer auprès nouvel être, tout net

Ce sera bien la pire manière de se quitter : inconnu.

.

Après avoir ferré un beau poisson en eau trouble,

Voilà qu’on tombe sur un os, pardon, belle arête

Dont on ne sait que faire, sauf  avoir l’air bête

Et sa frustration, soudain en vous, redouble.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Par  O  tir………………

Alors  B    que …………….

J’allais   L   te rencontrer……

J’avais      I  enfin, trouver……..

Mon alter   G   ego amoureux……

Ce n’est pas   É   moi qui décide…..

C’est le cours  *    de la vie, espace…

Qui me place    P  déplace, remplace

Transformant     A  le sucré en acide.

Dieu merci il me   R     reste à penser,

Pour me projeter    T       me consoler,

Qu’un jour, l’autre,   I     je te reverrai,

C’est pour mieux re   R     commencer.

.

J’enrage d’être obligé

De partir

Alors que je me sens ici

À ravir.

.

J’enrage d’être forcé

De  quitter

Une telle douceur,

À tes côtés.

.

J’enrage d’être contraint

De  laisser

Un champ de paix pour

Un de ruine.

.

J’enrage d’être impuissant,

Changer le cours

Des choses en cours de vie

Conditionnée,

.

J’ENRAGE D’ÊTRE

 .

Ne dépendant pas de moi,

Elle me rappelle et sans cesse

À  tous  mes  devoirs  de  citoyens.

Amour me pousse à jouer  aux infidèles,

Se révoltant au point de devenir déserteur

Et de tout plaquer pour lui, pour le bonheur.

.

Forme

.


.

Évocation 

.

 

Une espèce de champignon

Un trophée sportif,  ou autre,

Peut-être une lampe d’ambiance

Aussi bien qu’arête de poisson ?

.370 4

.

 

Qu’y a-t-il, de commun, entre un départ

Et une arête de poisson :

Rien évidemment, à moins qu’on ne force,

Et fort, son imagination.

C’est sûr,  arête va bien avec poisson

Mais, pour lui, c’est la fin, non départ,

Quand on l’a mangé, qu’il ne reste rien

Si bien qu’ici, la forme diffère du fond !

.

Symbolique

.

L’arête

Attire l’attention

Sur  un  environnement

 Discutable qui a atteint et entaché

Son humanité. Elle dit que l’on s’est

Laissé décharner, user.

 .

Il est temps de reprendre sa vie en main,

Matérielle et affective, et de se recentrer

Sur des satisfactions.

 .

Avoir mal à la gorge : la problématique

Avec la parole est mise en évidence.

On a à « avaler »  contrariété, affront.

Peine à venir.

wikireve.fr/dir/3673-arete

.

.

Fond

.

Évocation 

.

370 6

.

Qu’y a-t-il, de commun, entre un départ

Et une arête de poisson :

Rien évidemment, à moins qu’on ne force,

Et fort, son imagination.

.

Symbolique 

 .

Le poisson est à la fois cette créature

Qui vit  au fond des mers, en contact

Avec bien des mystères sous-marins

Et celui qui sera dans notre assiette.

.

Il a deux symboliques bien distinctes :

Le poisson sacré  que l’on  retrouve dans

Les interprétations ésotériques ou jungiennes

Et le poisson profane qui ne porte pas en lui-même

D’autre sens que celui d’être poisson prêt à être dégusté.

Source : doctissimo.fr/psychologie/dictionnaire-des-reves/reve-poisson

.

.

Fond/forme 

.

Un départ est, souvent, dieu merci, un choix,

Une obligation professionnelle en certains cas

On a rencontré quelqu’un, nourrit une passion

.

Et voilà qu’à la place de la prise d’un poisson,

On se retrouve, une fois parti avec son arête

Comme seul souvenir auquel se rattacher !

.

Ah me direz-vous, poisson est surtout fait

Pour être consommé frais, et sur place.

Si c’est le cas pour vous, bonne pêche.

.

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752 – Rêver de rencontrer une femme aimée

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

On rêve de rencontrer

Plusieurs femmes aimées.

Une seule suffit en réalité,

Difficile de multiplier !

.

Mais faut-il encore l’avoir rêvée

Pour s’assurer bien la rencontrer,

Ou c’est juste le moment présent

Que l’on se dit : j’en ai … rêvé !

.

L’inconscient  nous  prépare

À rencontrer femme idéale

Pour nous même si rare :

Première, la principale.

.

Vrai : je peux, toujours, en rêver

De rencontrer belle femme aimée

Je pourrais pour cela me fatiguer,

Ce n’est ni simple ni fait ni gagné.

.

Gagné, il m’arrive d’en frôler une,

Que j’aurais pu toucher  la fortune

Dans les bras d’autre, elle s’est jetée,

Comme demeuré, suis resté… pantois.

.

Pends-toi quand même, y a pas de quoi,

Pendaison est remise  à la prochaine fois

Mais  combien ne se reconnaissent pas,

En marchant à côté et au même   pas.

Pas  de  quoi  m’empêcher  de  rêver

Parfois même, croire l’avoir trouvé,

.

Si elle ne me cherche pas  de son côté,

Inutile de tenter, d’insister  ni d’espérer.

Espérer que la vie ne soit pas dents de scie.

Je t’aime – moi non plus, et tous deux ainsi,

Chantant refrain, allant bien à l’être, chagrin,

Pour reconnaître  qu’amour  ne sera pas divin.

.

Divin, devin  ou  du vin, et, quelle  importance

À partir de ces  moments où  l’on perd la danse

Avec des partenaires  qui voient  tout à l’envers

Et vous mènent  tout droit, du paradis à l’enfer.

.

Vrai que l’enfer est doux, lors on est amoureux,

Voici bien couplet, qui vous couperait le sifflet,

La personne que l’on aimait et qu’on adorait,

Voilà qu’un beau jour, vous hait pour deux.

.

Deux, j’imagine  un  être, une  femme

À qui cœur ému, déclare sa flamme,

Non pour toujours … pour un jour,

Temps que passion passe son tour,

Tour de manège gardant souvenir

Entre reste  d’enfance, innocence

Et  pleine  maturité  à  conquérir.

.

Extensions

 .

Mais qu’est-ce qu’une femme aimée

Si un jour on peut la remplacer, doubler ?

Est-ce celle dont on rêve ou celle avec laquelle on vit ?

Est-ce la femme qui aurait quelques défauts supportables

Ou toutes les qualités  ou aucune de celle-là,

Une femme simplement idéalisée.

.

Rêver de rencontrer une femme : et l’inverse alors

Rencontrer sert moins, s’il n’y a pas de réciprocité

Cela dit  lors de rapprochement très rapide et fort

Il n’y aura aucune garantie que le couple est créé !

 Erreur fréquente que croire que le coup est gagnant

L’on ne se transformera pas d’inconnus en amants,

Car tous les autres vecteurs méritent  leurs attraits

Pour vérifier que premier contact, n’est pas surfait,

Que le couple au bout de temps court ne sera défait.

.

Rêver de rencontrer une femme aimée,

A toujours, comme principale variante :

Rêver de rencontrer une femme aimante,

En vue d’aboutir à une totale réciprocité !

.

Le rêve ne peut fournir qu’états d’émotions

Qui tourneront à vide faute d’être confrontés

À leur remise en scène, dans une vraie réalité,

Qui séparera la projection de la concrétisation.

.

Qui dit rêve ni fantasme fort, envie de séduction

On se fait cinéma en sa tête comme si c’était fait,

Mais voilà que tout change en cours de répétition,

Le rôle n’est pas à la hauteur ou scénario est refait.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

 Calligramme   

.

On rêve de rencontrer

Plusieurs femmes aimées.

Une seule suffit   R   en réalité,

Difficile de se          E  multiplier !

Mais faut-il encore    N   l’avoir rêvée

Pour s’assurer bien    C  la rencontrer

Ou c’est juste le mo  O  ment présent

Que l’on se dit       N    j’en ai rêvé !

L’inconscient    T  nous prépare

À rencontrer R  femme idéale

Pour nous E  même si rare

Première R    la principale.

.

Vrai que je pourrai, toujours, en rêver

De rencontrer  une belle femme  aimée

Et je pourrais     pour cela, me fatiguer :

Ce n’est  F       ni simple ni fait ni     A gagné.

Gagné      E     il m’arrive  d’en frôler    I      une,

Que j’au   M     rais pu toucher  la for     M    tune

Dans les   M     bras d’autre, elle s’est     É    jetée,

Comme    E    demeuré, suis resté pan   E     tois.

Pends-toi       quand même : y a pas de       quoi,

Pendaison est remise  R   à la prochaine     fois

Mais  combien ne se   Ê  reconnaissent   pas

En  marchant à côté  V  et au même   pas.

Pas  de  quoi  m’em  E pêcher  de  rêver

Parfois même, croire  *  l’avoir trouvé,

.

Si elle ne me cherche pas  de son côté,

Inutile de tenter, d’insister ni d’espérer.

  Espérer que la vie ne soit pas dents de scie.

 Je t’aime – moi non plus,  et tous deux ainsi,

Chantant refrain, allant bien à l’être, chagrin,

Pour reconnaître qu’amour ne sera pas divin…

Divin, devin  ou  du vin, et, quelle  importance…

À partir de ces  moments où  l’on perd la danse…

Avec des partenaires  qui voient  tout à l’envers…..

Et vous mènent  tout droit, du paradis à l’enfer….…

Vrai que l’enfer est doux, lors on est amoureux………

Voici bien couplet, qui vous couperait le sifflet…………

La personne que l’on aimait, et que l’on adorait……….…

Voilà qu’un beau jour, elle vous hait, pour deux……………

.

Deux, j’imagine un être, une femme

À qui cœur ému, déclare sa flamme

Non pour toujours … pour un jour,

Temps que passion passe son tour.

Tour de manège gardant souvenir

Entre reste  d’enfance  innocence

Et pleine maturité à conquérir.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Silhouette de femme,

Habillée d’un manteau

Mais ici, en  vue  de  dos

Comme passant, fuyant.

.

752 4

.

Une étrange impression que d’aimer

Une femme, vue de dos :

On ne sait pas si elle est : belle, jeune,

 Intelligente, aimante !

.

Symbolique

.

Tout le XIXème siècle

Est   imprégné  d ‘images

Négatives    de   la    femme,

Véhiculées par littérature et arts.

 

Ce contexte se reflète dans la peinture

Symboliste,  dans laquelle  s’opposent

Cohabitent deux visions de la femme :

L’une idéalisée et asexuée, séraphique

Ou androgyne, l’autre, au contraire,

Castratrice fatale mante religieuse.

 

Si l’art  symboliste  révèle  ainsi….

Un nouvel érotisme sulfureux ….….

Parfois fétichiste, sadique ou ………….

Satanique, Éros, Thanatos ………………..

julien.gadier.free.fr/femmemain

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

752 6

.

Une étrange impression que d’aimer

Une femme, vue de dos :

On ne sait pas si elle est : belle, jeune,

 Intelligente, aimante !

.

Symbolique

.

Le dos est un gros groupe musculaire

Qu’il est indispensable de cibler sous

Plusieurs angles pour améliorer

Le tonus, le volume et le relief.

Et de plus, son développement

Permet d’accentuer l’évasement

Du dos ce qui permet d’affiner la taille.

Quoi de mieux,  lorsqu’on est une femme,

Que d’avoir la taille fine, un dos bien droit

Et une posture à la fois tonique et féminine ?

toutelanutrition.com/wikifit/guide-zone/femme/dos

 .

.

Fond/forme 

.

Le mal du dos est parait-il

Et selon les ostéopathes,

Appelé le mal du siècle

Or loin d’être le seul

Chaque  discipline

Médicale espère

En prévention

Et  le compte

N’y sera pas

Pourquoi ?

Les  causes

Ont bon dos

Symptômes,

Hélas moins.

.

Textuels et illustrations  >>

751 – Il m’arrive de rêver de ma femme !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Rêver quelqu’un

Qui dort à  ses côtés,

Est affaire  étonnante :

Il  faut  l’être, amoureux,

Lors il  ’agit   d’une  épouse

Qui vous a, déjà, tout donné.

Pourquoi non pourquoi pas,

Si on l’a choisi, elle valait

Bien toutes  les autres

Réunies, ou presque.

.

J’avoue qu’il m’arrive de rêver de ma femme,

Ça parait étrange ! Non, c’est plutôt normal,

Tant je la vois et je la sens, un  peu partout

Des fois au lit, et tel lieu n’est pas banal :

Elle me sourit  avec ses yeux  pétillants

Et là, je fonds, bien membré l’animal !

.

Il m’arrive de penser à notre   rencontre,

Me paraissant, étant divorcé improbable

Je la désirais pourtant et elle, tout autant.

Lors nos désirs demeuraient impalpables,

Et c’est là que, n’ayant plus rien  à perdre,

J’aurai fait  le premier pas, plus aimable.

.

Il m’arrive de repenser à grande décision

D’acheter ensemble une coquette maison,

Notre second pas, vers  notre belle union,

Comme nid d’amour de propres enfants,

.

Car elle y pensait déjà  et même souvent

Lors moi, j’en avais, déjà, deux, d’avant

Et  il m’arrive, encore, de  songer à elle,

En  vacances, en  région  de  Provence,

En bateau,  comme bain  de jouvence.

.

Pour nous, y a jamais eu, ritournelles

Avons souvent gardé amour d’avance

Avons vécu vie chaque fois nouvelle

Couple commence à consonne

Accouplée  à toutes voyelles.

.

L’enfant que l’on a eu

Nous fait parents

Afin  de   louer

C’est notre vie

Mais il  peut y avoir

Parmi   des  souvenirs

Heureux qui remontent

Nourrissent rêve commun,

Un d’entre eux qui séduise

Au point  de  fantasmer

Nouvelle   rencontre

Ou art  d’aimer.

.

Extensions

 

Il m’arrive de rêver de ma femme,

Comme une amante, une mère,

Une compagne et de lui faire

Jouer un tas de rôles,

Les uns, sérieux ;

D’autres, plus légers ;

Derniers, parfois drôles.

C’est dire  à quel point  j’ai

Fait un bon choix et que l’amour

M’a donné  la foi, en lui, jusque là

Tant que ce rêve demeure, en moi,

L’amour persiste, l’amour  survivra.

.

Cela veut dire  que  mon inconscient

Joue aussi  la même partie, est sur la

Même  longueur d’onde, et, peut-être

Que je me trompe,   qu’il me trompe,

Qu’il me fait croire qu’en ma femme,

D’autres présentes tapies en l’ombre

Mais  que m’importe, tout cela, dès

Lors que ma femme me satisfait !

.

Ce qui vient en premier, dans mon rêve, ce sont ses yeux,

Son regard surtout et qui me dévisage

Qui, peu à peu, diffracte d’autres visages lui ressemblant

Comme font mille femmes en une seule

Mais quel que soit le mélange toutes mosaïques nouvelles

Son visage surnage et s’impose à moi :

C’est peut-être parce que je décode à l’intérieur du regard

Une immense tendresse à mon égard !

.

Comment peut-on rêver de sa femme :

Certains diraient absurde c’est insensé,

Elle est, demeure, toujours à vos côtés !

.

Si l’on rêve pour échapper  à sa réalité,

Être marié en est une, qu’on oublie pas,

Mais rêver d’une autre, ne faudrait pas !

.

La solution est tout simple, toute trouvée

Sa femme est la concentration cent autres

Dieu sait si le rêve mélangera les identités.

.

C’est différent de penser à une autre femme

Durant l’acte sexuel comme divorce cérébral :

Rêver de la femme qu’on aime est assez normal

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Rêver quelqu’un

Qui dort   à    ses côtés,

Est affaire    *     étonnante !

Il  faut  ô  l’être,  ô amoureux,

Lors il  ’agit   //     d’une   épouse

Qui vous a    //   déjà tout  donné.

Pourquoi  // non pourquoi pas,

Si on l’a  ====  choisi, valait

Bien toutes   les autres

Réunies, ou presque.

.

J’avoue qu’il m’arrive de rêver de ma femme,

Ça parait étrange ! Non, c’est plutôt normal,

Tant je la vois et je la sens, un  peu partout

Des fois au lit, et tel lieu n’est pas banal :

Elle me sourit  avec ses yeux  pétillants

Et là, je fonds, bien membré l’animal !

Il m’arrive de penser à notre   rencontre,

Me paraissant, étant divorcé   A    improbable

Je la désirais pourtant et elle,     R    tout autant.

Lors nos désirs demeuraient        R    impalpables,

Et c’est là que, n’ayant plus          I      rien à perdre,

J’ai fait le premier pas, le           V         plus aimable.

Il m’arrive de repenser à         E        grande décision

D’acheter ensemble une        *        coquette maison,

Notre second pas, vers         D       notre belle union

Comme nid d’amour            E       propres enfants,

Car elle y pensait déjà          *         même souvent

Lors moi j’en avais déjà        R       deux, d’avant

Et il m’arrive encore de         Ê     songer à elle,

En vacances en région          V   de Provence,

Au bateau comme bain      E  de jouvence.

Pour nous, y a jamais eu, R    ritournelle

Avons toujours gardé amour d’avance

Avons vécu vie chaque fois nouvelle

Couple commence à consonne  c

Accouplée à cette voyelle :   o

L’enfant que l’on a eu :  u

Nous fait parents :  p

Afin  de   louer:    l

La     vie     :     e

Il     peut   y  avoir

Parmi   les   souvenirs

Heureux      *  qui remontent

Nourrissent D     rêve commun,

Un d’entre   E         E  eux qui séduise

Au point    *                 M   de  fantasmer

Nouvelle   M                   M         rencontre

Ou art   *  *  A                      E  *  *    d’aimer.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette de femme,

Mais   ici,  vue de dos,

Et  avec  des  formes,

Et parfum mystère.

.

751 4

.

Je rêve de ma femme dans toutes

Les tenues, les postures :

Rien ne m’échappe d’elle en dehors

Parfum de son mystère.

.

Symbolique 

 .

L’enjeu

Auquel font face

Certaines    femmes

Désirant être femme,

 Pleinement,

Reste immense, tant il demande un

Investissement personnel de l’ordre

Du don de soi et une réflexion pour

Comprendre l’axe entre sa dignité

Propre et sa relation au monde.

 .

La Woman Attitude cherche

À rassembler les femmes qui

«Comprennent que l’homme

Est le résultat  de ce qu’est

La femme et en tirent une

 .

Conscience de leurs responsabilités ».

À chaque femme reviendra de s’épanouir

Et de manière unique en tant que femme !

womanattitude.com/ca-veut-dire-quoi-être-femme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

751 6

.

Je rêve de ma femme dans toutes

Les tenues, les postures :

Rien ne m’échappe d’elle en dehors

Parfum de son mystère.

.

Symbolique 

 .

Interaction hommes / femmes :

Mystère !  Vous vous en doutiez,

Les hommes et les femmes n’ont

Pas le même       mode  d’emploi !

 

Si tout monde   ||||      se     retrouve

Dans la défini    ||||      tion d’intimité

Et la nécessité    ||||        de  partager,

La   vision du      ||||        corps,      elle,

Reste le point       ||||         de dissonance

Entre les hom        ||||         mes et femmes

L’homme aujour     ||||      d’hui sait parler !

N’hésite pas à par     ||||        tager son intimité

Cherche  même  à    ||||     vous   comprendre

L’homme en con    ||||    nait  plus sur vous

Que vous ne l’i      ||||    maginez, malgré

Vos préjugés     ||||     votre intimité,

   À moins de my  ||||       stère    pour lui.

magicmaman.com/l-intimite-

feminine-vue-par-les-hommes,

 .

 .

Fond/forme 

 .

Que toute femme soit un mystère :

Voilà bien fantasme qui m’est cher

Et dont je ne saurais pas, de toile,

Par quel bout soulever son voile !

Le voile sur son corps, je devine

Mais voile sur sa face sourdine

Me trompe, parfois, à l’estime

Je le mets en rêve en abyme.

.

Textuels et illustrations  >>

745 – Je marcherai, sur les chemins, à ta rencontre

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui, à l’encontre

Rester, chez soi,  immobile,

N’auraient  rien de   stérile.

.

Au tournant, halte, carrefour,

Seront autant occasions de voir

La vie  sous ses  différents  jours,

Parfois blanc, parfois rose, noir.

.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, la montagne,

En mer, en campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je m’éloignerai,

Bien  au-delà des  frontières,

Je partirai, puis  je  voyagerai

Et,   bravant  tous  les dangers,

Et je volerai et je nagerai mais

Vers toi, toujours,  reviendrai.

.

Et  j’irai, bien  éveillé,  jusqu’au

Plus   lointain de tous mes rêves,

En  traversant  le long  de ma  vie,

Tous les fleuves du  profond  désir

Et dans lesquels me  baignerai nu,

Et  cela, jusqu’au  dernier  soupir !

.

N’est-ce pas ce  que  l’on imagine

Assez  bien, chacun d’entre nous,

Quelque  chose d’autre à ajouter,

Rien pour moi, et quant à vous !

.

Extensions

 .

Je marche,

Sur le chemin,

À ta  …  rencontre :

Cri du cœur, idée esprit,

Acte de foi, d’âme, s’il en est !

On pourrait, toujours, en rajouter

Tant que  la passion, l’amour, l’espoir,

Demeurent intacts, revenir vers quelqu’un

Que l’on cherche jusqu’aux confins du monde :

Cela ne vous sera peut-être jamais arrivé mais un

Voyage peut vous fait voir vos amis sous autre angle.

Chapelet des rencontres  ou  de successions de déserts :

À chacun  de privilégier  la formule, qui lui  corresponde.

En tout état de causes, il faut se retrouver soi-même avant

Trouver l’autre, marche est une métaphore du mouvement.

Ce n’est pas tant la forme prise qui compte que le processus

Qui la décide, qui le remplit, qui lui réussit.

J’ajouterai à cela : il n’y a rien à

Rajouter bien que déjà dit.

.

Chacun marche partout, en ville, campagne, montagne,

Jusqu’à ce qu’une rencontre les fasse marcher, de concert

Et qu’ils continueront à le faire sur la voie qu’ils ont tracé.

En montagne, en forêt, on peut marcher  durant des heures

Sans croiser   âme qui vive, et sans échanger, avec personne,

Mais qu’importent les distances et solitudes, si, au bout, il y a

Une rencontre allant en même direction avec le même plaisir !

.

Rester, chez soi, à attendre

Ou marcher à ta rencontre

Ou se croiser… sans se voir

Trois alternatives à prévoir

.

Je n’aurai trouvé personne,

Personne ne m’aura trouvé,

Mais je continue à chercher,

Celui, celle, un jour, je sonne.

.

Me représentant quelqu’un (e)

Je me livre à ma bonne fortune

Lors ma rencontre est différente

Variation sera plus que tentante.

.

Tant, de modèles, je me défendrai,

M’étant suggéré par communauté,

Ce qui compte n’est pas apparence

Mais le fond du cœur en présence !

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

 .

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui …  à l’encontre

De  rester,  chez   soi,  immobile,

N’ont   Ô    rien de    Ô     stérile.

Lors tournant  //   halte,  carrefour,

Seront autant //  d’occasions  de voir

La vie  sous // ses  différents  jours,

Parfois blanc ==== rose, noir.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, montagne,

En mer, campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je      M                      V    m’éloignerai,

Bien  au-delà   A                     E   des  frontières,

Je   partirai,    R                    R   et  je  voyagerai

Et   bravant     C                   S   tous les dangers,

Et je volerai     H                  *   je  nagerai   mais

 Vers toi, tou    E                 T   jours,  reviendrai.

 *                A  …..

 Et j’irai, bien    S                 *    éveillé,     jusqu’au

 Plus   lointain   U               R   de tous   mes rêves

 En  traversant   R               E    le long   de ma  vie

  Tous les fleuves   *              N     du  profond   désir

 Et dans lesquels   C             C    me   baignerai nu,

  Et cela jusqu’au   H             O    dernier …  soupir !

 E              N

N’est-ce pas ce      M               T    que l’on imagine…

 Assez  bien  cha      I                  R   cun  entre nous, ….

Quelque  chose        N                  E  d’autre à ajouter …..

 Rien, pour moi,        *                     *   et quant à vous……..

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette d’un marcheur

Au pas rapide au pas décidé

 En cours de longue randonnée

Jusqu’à rencontrer l âme-sœur.

.

745 4

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur  sur  la voie ferrée,

Puis sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre d’âme-sœur.

Marche, rencontre, vont ensemble

Bien mieux que de rester … chez soi,

Dès qu’on se met d’humeur vagabonde

Toutes ses formes avancent vers le fond.

.

.

Symbolique 

 .

Les schèmes symboliques

Qui  manifestent  cette  marche

De l’être humain vers l’inconditionné

Se décryptent    en expérience spirituelle,

Que celle-ci soit    plutôt d’ordre esthétique,

Philosophique           gnostique ou mystique.

 

Le symbole du               chemin constitue l’un

Des éléments de                   l’image archétype

Qu’être humain se              forme de lui-même.

Révèle essence humaine «être-en-recherche».

Source : universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

745 6

Changer l’image ici 

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur sur une voie ferrée,

Ou sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre âme-sœur.

  .

Symbolique 

 .

Chaque rencontre

D’amour aura le sentiment

De ne ressembler à aucun autre.

 .

Dans la lignée des philosophes grecs,

Les psys dégagent pourtant trois profils

Types de l’état amoureux, et dans lesquels

Nous pouvons tous nous reconnaître. :

 .

Éros : L’amour passion ;

Agapè : l’amour-amitié :

Philia : l’amour profond

De l’être humain entier.

psychologies.com/Couple/

Vie-de-couple/Amour

 .

 .

Fond/forme 

.

La marche est le chemin, l’énergie, l’élan

La rencontre est l’opportunité, l’instant,

Où l’on se croise,  se parle, et  s’entend,

.

Pour poursuivre le chemin ensemble,

Ou l’on se quitte et tout fout-le-camp

Tout est à refaire … à recommencer.

.

Irai-je plus loin ou … abandonner :

Je suis fatigué   à force de marcher,

Mais je sais qu’au bout, te trouverai,

C’est ce que j’espère, c’est ma destinée.

.

Textuels et illustrations  >>

710 – Leçons, numéro un, deux… vingt et un !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre  la   main,

Et  le reste suivra,

Comme il se  doit.

.

Emmenez-le moi :

Comme il  se doigt,

Au meilleur  endroit,

Celui qu’on    fourvoie,

Esprits, sens, plein éveil

Représentant… merveilles

Et s’il caresse vos deux seins

C’est qu’ils les méritent bien :

Ils ne sont pas ronds pour rien,

Enfants les savent bien, coquins.

.

Si plus bas, votre  ventre se creuse

De votre appétit  à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure  le simple appareil

Au milieu  d’une  cicatrice trompeuse

Très    profonde,   pour ovaire, utérus,

Mais pour y avoir accès, que de ruses,

Pour la pénétrer, à l’endroit à l’envers,

.

Comme  une cathédrale, gelée, l’hiver.

Chacun, chacune nous avons séjourné

Neuf mois, du  monde entier, abrité

Pour se forger corps sexe, identité,

Avant franchir le col de sa réalité !

.

Combien de femmes pensent encore

Dans la perfusion de leur jeune corps

Quand   orgasmes seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre ou lors enfant sort !

.

Prenez une femme et qui se donne à vous

 Elle  vous prendra  ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui   devient en plein envol

Un nouveau cerveau  sexe, ou symbole !

.

Extensions

 .

Des seins à demi voilés,

Des jambes bien galbées,

Postures   de  laisser-aller,

Et voilà que le tour est joué,

L’homme pourra être séduit.

Chaque leçon profite aux deux

Tant lors on prend, on apprend

À combiner plaisir, être heureux

Jusqu’à ce qu’on se dise content,

D’être amants des plus chanceux.

.

Pour apprendre ce que c’est que le sexe

L’acte sexuel, voire cycle menstruel, etc.

Leçons d’anatomie, biologie, physiologie

Sont utiles et d’une évidence hygiénique

Et pour ce qui est de l’amour, séduction,

On plonge dans un abîme de subjectivité

Si vous entendez  vous dire un truc fatal,

Qui marche à tous les coups, méfiez vous

Du râteau, gifle, que vous allez  prendre !

.

Sûr qu’érotisme et lingerie  sont armes,

Vous vont droit au cœur, vous désarme

Si ça marche pour un soir  en faiblesse,

Le lendemain, dégrisé, la tête est lucide

Cela dépendra de ce que vous cherchez :

Le plan cul qui rencontre un plan cœur,

Ne fera d’aucun des deux, son bonheur

 Les leçons remettent pendules à l’heure.

.

Fragments

.

Drôle d’idées que d’associer

Amour et prendre des leçons,

Ne s’agit pas de  nager, danser,

Mais d’approche et de séduction.

.

Pour bon nombre de jeunes garçons

Information enseignée cours biologie

Si ce n’est sur internet, pornographie ;

Pour la pratique, la copine ou le boxon

.

Si tout tournait autour d’une initiation,

Il faudrait organiser une orgie libertaire

Où nous ne serions plus : sœurs et frères

Que des mâles et femelles en jubilations.

.

Voilà c’est direct et de plus sans leçons :

Bouteille de champagne, une invitation,

Deux verres et voilà le bel emballement,

On va faire mousser les bons moments !

.

La plupart du temps, rien n’est si simple :

On ne sait s’y prendre, on commet impairs,

Le verre est vide et pas d’amour, atmosphère

Et même les sexes ne grimpent pas en épingle.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

***************************

***********************

Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre   la   main,

Et  le reste  suivra,

Comme  il  se  doit,

Emmenez –le – moi :

Comme il    *    se doigt,

Au meilleur  L      endroit,

Celui qu’on    E      fourvoie,

Esprits, sens    Ç      plein éveil

Représentant     O       merveilles.

Et s’il caresse       N       deux   seins

C’est que vous              le valez bien,

Ils ne sont pas           *    ronds pour rien.

Enfants les savent     U          bien, coquins,

Si plus bas, votre        N        ventre se creuse

De votre appétit           *      à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure        D      le simple appareil

Au milieu  d’une           E    cicatrice trompeuse

Très    profonde,           U     pour ovaire, utérus

Et, pour y avoir             X    accès, que de ruses,

Pour pénétrer à             *      l’endroit à l’envers,

Une telle cathé              T      drale, gelée, l’hiver.

Chacun,  cune               R    nous avons séjourné

Neuf mois, du               O   monde entier, abrité

Pour se forger               I     corps sexe, identité,

Avant franchir              S      le col de sa réalité !

Combien de fem           *     mes pensent encore

Dans la perfusion         *       de leur jeune corps

Quand   orgasmes        V      seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre      I     ou lors enfant sort !

Prenez une femme      N et qui se donne à vous

 Elle vous prendra       G ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui        T  devient en plein envol

Un nouveau cerveau  *         sexe, ou symbole !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une des meilleures  bouteilles,

Probablement :

De champagne, certainement

Avec ou sans lingerie.

.

710 4

.

On apprend plus de l’amour

En  buvant  du  champagne

Qu’en  feuilletant n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique 

.

Naissances,

Ou mariages,

Nouvelle année.

Le champagne

Serait de toutes les

Grandes occasions !

On l’apprécie     dans le

Monde entier,    légèreté

Des bulles,   goût unique

De ce vin,        né à Reims

Au  IXe        siècle : 2005,

Plus de         307  millions

De bou        teilles  ont été

Vendues,           les  ventes

De Cham          pagne ont

Bondi  de             20 % en

Chine et             au Japon

Annonçant             record

De  consom           mation

Pour  l’année          2006.

Source : linternaute.com/actualite/savoir/

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

On apprend plus de l’amour

En buvant du bon champagne

Qu’en  feuilletant  n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique

.

La lingerie un simple vêtement

Hygiénique pour  certaines tandis que

Pour d’autres, est  un accessoire  sensuel.

La couleur  de la  lingerie  reste aussi un

L’élément essentiel  dans  notre  choix.

 

Le noir chic amincissant est aussi

Symbole du raffinement mystère.

Le blanc  est  considéré comme la

Couleur de la pureté, d’innocence.

 

Valeur sûre, intemporelle et indémodable,

Le rouge est souvent porté par des femmes

Passionnées,    énergiques,  et      sensuelles.

C’est    une  couleur   liée  à  la   séduction,

L’excitation,   au  pouvoir  et au désir :

Celle préférée vitrine Saint Valentin.

passeportsante.net/fr/Actualites/

Dossiers/DossierComplex

 .

.

Fond/forme 

Le champagne reste autant

Symbole de fête, événement

Qu’un bon vin bien pétillant,

De fines bulles, avec mousse,

En laquelle est recommandé.

De faire un vœu pour l’année.

Qu’importe  s’il se  ne réalisera

Pas dès  toute  première gorgée

À force d’en boire cela finira bien

Par arriver et par être bien arrosé,

De nouvelle bouteille de champagne.

.

Textuels et illustrations  >>

1081 – La vie nous réserve nombre de surprises

Visuels et textuels  >>

.

Quand

On va de surprise

En surprise, Charybde Scylla,

.

De mauvaise, plus mauvaise encore

Tout en espérant une bonne pour finir

Est souvent le lot de nombre d’humains

Quand tout va mal, c’est la loi des séries.

.

La vie nous réserve nombre de surprises

Certaines agréables, autres désagréables,

Il faut  s’attendre à tout,  quand, surtout,

Son propre passé vous rattrape par tout

Et à votre insu, de surprise en surprise.

.

Tout témoin deviendra gênant si alors

Il aurait connu votre  vie antérieure,

Que l’on veut effacer de sa mémoire,

Tout autant  que de celle des autres.

.

A  contrario : vraie surprise, plaisir

Que de revoir quelqu’un, quelqu’une,

Que l’on n’a pas vu depuis longtemps,

Et, que l’on croyait perdu vous rappelle

Des  moments  de grâce, de convivialité.

 .

«Déjà, à cet  âge-là, tu  aimais  écrire,

Faisais rire avec humour particulier.»

Il fait le lien  avec votre  passé,  ancien :

Écoles, collèges, lycées, ou  universités,

.

En  prouvant  que  vous êtes   constant

En vos valeurs, et,  en  vos  amabilités.

«Pour de vrai,  j’ai une bonne surprise

Et,  une mauvaise  surprise : laquelle

Vais-je vous annoncer  en  premier »

.

Qui n’a, jamais, entendu telle phrase,

Au lendemain d’un concours, examen,

Événement important scellant destin,

Je suis allé de surprises en  surprises.

.

Ma vraie, ma mauvaise, surprise, est

Que  tout cela  va finir, un beau jour,

Disparaitre   avec tout  et  moi aussi.

.

Monsieur  et Madame  Catastrophe,

Vont toujours de Charybde en Silla

Comme dans les voyages d’Ulysse.

 .

.

Extensions

 .

Il y a, c’est sûr, des degrés, dans les surprises,

Ainsi que des réactions adaptées ou exagérées

Un pain dans la gueule peut être une surprise,

Même si pour le caractériser, on utilise l’argot,

Lors un pain surprise vous ferait grands plaisir

Quand on va de mauvaise  en mauvaise surprise,

On dit «tomber de charybde en scylla», c’est quoi ?

.

Suivant instructions de Circé, Ulysse a doublé les sirènes

En qui des navigateurs expérimentés auront reconnu les Galli,

 Mis le cap sur scylla : arrivés  à mi-hauteur,  se trouve une grotte,

La falaise résonne des coups de boutoir que lui assènent des vagues

Déferlantes mais qui manqueront et de très peu de le faire chavirer.

.

La vie nous réserve bien des surprises,

Qu’elles soient bonnes  ou mauvaises,

Le ressort est on ne s’y attendait pas.

.

Certains, dans certaines  situations,

Diront aller de surprise en surprise

Comme escalade ou dégringolade.

.

Cadeaux sont censés être surprise

Or, ils ne le seront que rarement,

Correspondant attentes, envies.

.

Pour les rencontres c’est pareil,

Gens disent être là par hasard,

Alors qu’ils sont venus exprès.

.

.

1081 – Calligramme

.

Quand

On va de surprise

En surprise, Charybde Scylla,

De mauvaise, plus mauvaise encore

Tout en espérant une   bonne pour finir

Est souvent le lot de  L    nombre humains

Quand tout va mal,     A     c’est loi des séries,

La vie nous réserve        *   nombre de surprises

 Certaines agréables,       V     autres désagréables.

Il faut s’attendre à tout,  I             quand, surtout,

Son propre passé vous     E           rattrape par tout

Et à votre insu, de sur       *           prise en surprise.

   R

Tout témoin deviendra      É                  gênant si alors

Il aurait connu votre         S                  vie antérieure,

Que l’on veut effacer          R                 de sa mémoire,

Tout autant  que de            V                 celle des autres.

 À  contrario,   vraie            E               surprise et plaisir

Que de revoir, quel             *              qu’un, quelqu’une,

Que l’on n’a pas vu             C            depuis   longtemps,

Et, que l’on croyait             U           perdu vous rappelle

Des  moments  de               R          grâce et convivialité.

I

 «Déjà, à cet  âge                  E       -là, tu  aimais … écrire,

Faisais rire avec                U        humour particulier.»

Il fait le lien  avec               S        votre  passé,  ancien :

Écoles, collèges, ly              E          cées, ou  universités,

En  prouvant  que              S           vous êtes   constant

En vos valeurs, et,             E            en vos  amabilités.

«Pour de vrai,  j’ai             S           une bonne surprise

Et,  une mauvaise            *            surprise : laquelle

Vais-je vous annon          S           cer  en  premier »

 U

Qui n’aura jamais          R          entendu la phrase

Au lendemain d’un       P        concours, examen,

Événement impor        I      tant scellant destin.

Je suis allé  de sur      S     prise  en  surprise,

Ma vraie, ma mau    E   vaise, surprise,  est

Que  tout cela  va     S  finir, un beau jour,

Disparaitre avec    *   tout et moi aussi.

Monsieur  et  Madame  Catastrophe,

Vont toujours de Charybde en Silla

Comme dans les voyages d’Ulysse.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1081 4

.

Toute porte serait,

Par définition, un bel

Espace de projections 

D’ouverture maison ?

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

.

Derrière porte, il y a, parfois, surprise

qu’il s’agisse de porte fictive ou maison

et s’ouvre sur le connu comme l’inconnu

et ainsi la forme rejoindrait ici le fond.

.

Est-ce cette image, fantomatique,

Qu’on projette sur sa porte ?

Serait-ce la trace de voleurs entrés

En ma maison par effraction.

Symbolique 

Pendant  ……. des siècles

La porte  a été l’élément

Matérialisant le passage

Entre deux …….  mondes.

.

Et que ce soit,  l’intérieur

Extérieur,   de la maison,

Et  le profane  et  le sacré.

.

Nombre religions utilisent

La porte symbole passage

De l’obscurité à la lumière

Et de l’inconnu au savoir !

Modifié, source : cutivoo.com

.

.

Fond

Évocation

.

1081 6

.

Est-ce cette image, fantomatique,

Qu’on projette sur sa porte ?

Serait-ce la trace de voleurs entrés

En ma maison par effraction.

.

Symbolique

.

Comme

La cité, le temple,

La maison est au centre

Du monde,  image de l’univers.

La maison chinoise et arabe est carré,

Univers clos quatre dimensions horizontales

À savoir : l’Est, l’Ouest, le Nord, et puis le Sud

Et deux  verticales avec cheminée et fontaine,

Yourte mongole est ronde suite à nomadisme.

.

La maison signifie l’être intérieur, Bachelard :

Ses étages, sa cave et son grenier symbolisent

Divers états de l’âme, lors  la cave correspond

À l’inconscient, grenier  l’élévation spirituelle.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La porte, ah, la porte, que ne dit-on pas d’elle

À qui certains l’on intimera : prenez la porte,

La prendront, littéralement, et s’en iront avec,

Tout en sachant que ne n’est rien que la provoc.

.

Ouvrez la porte, derrière il y aura une surprise

Voilà qui excite l’imagination, puis la curiosité

Certains ont peur d’en trouver une mauvaise

D’autres, quelque chose qu’il n’attendait pas

Il y aura toujours un dedans et un dehors.

.

L’important est de ne pas rester sur seuil

 Faut se décider à franchir ou non le pas

La vie est faite ainsi, liberté de choix.

L’un en prenant la porte, l’emporte

L’autre, porte fermée, supporte

Parfois, la solution déporte,

En passant par la fenêtre

Devenant comme porte.

 .

.

Toi, ah ben ça alors

.

Scénario

.

Un pain surprise, mais on aime ou pas les surprises.

Voilà bien un smiley qui ne cache pas sa surprise totale.

Toute navigation réserve, comme la vie, bien des surprises.

.

Visuels et textuels  >>

669 – Pouvoir tous se rencontrer : en principe, oui

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Cela reste toujours possible,

En réalité, fort peu probable,

Vu le nombre  de potentialités.

Nous  ne  sommes, en rien, égaux,

Certains sont timides…voire réservés

Lors d’autres sont proactifs et sociaux.

Le tri s’opère selon filtre de ce qui a plu,

Les fréquentations  sont plus éclectiques

Que les amis, les partenaires, et les élus

Quand peut-on dire avoir rencontré,

Quelqu’un, quelqu’une vraiment.

Est-ce une question…de durée,

Ou d’intensité, de comment !

Et tous  nous  rencontrer !

En principe  …  c’est oui

Mais en fait, c’est non !

Lors rien n’est garanti

Entre filles,  garçons.

À cause des couleurs,

À cause des couleurs,

Par  dégout, pudeur,

De  l’état   de nature,

Jeune, beau  et fort ;

De  l’état  de culture :

Métier,  diplôme d’or.

À cause  des humeurs :

Caractère  incompatible

Des émotions, des cœurs

Plus ou  moins  sensibles.

Et puis, il  y  a  la  famille,

Les origines, ou  le milieu,

Les âges et les générations,

Les apparences les dictions.

Finalement, quand  on  trie :

Il ne  restera  que  bien peu :

Ceux  ressemblant  le  mieux,

À ceux  avec  lesquels, l’on vit.

En suite acceptation alter-ego

Celui, ou  celle  que …   j’aime,

Car, c’est  moi  qui  le barème,

Différences : mais   pas  trop !

Chacun, en cercle ou errance,

Couple, famille, préférences,

Vous protègent ou coupent

D’une nouvelle rencontre

Sauf à aller à l’encontre

En coupant racines,

Tant familiales

Qu’amicales

À jamais

Seul.

.

Extensions

 .

Pouvoir tous se rencontrer !

En théorie, oui, en réalité, non,

Tant la division des statuts, et profils,

Est inhérente  à l’humain, à des civilisations.

Et puis il y a les filles « bien comme il faut »,

«Bonnes à marier» et puis les autres,

Tout comme  il y a  les bons et

Les  vrais  mauvais  garçons.

.

Ceux qui se prennent pour des

Demi-dieux sur Terre, et celles

Que l’on ne pourrait approcher,

Qu’elles soient stars ou starlettes.

.

Au final je ne peux guère rencontrer

Que des gens qui me ressemblent voire

En plus ou en moins mais en tous cas qui

Ne me sont pas opposés, encore que l’on dit,

Que des fois, bien des contraires s’attireraient,

Se rejoindraient, quand ils ne s’épouseraient pas,

Durent ensemble, donnant tort à toutes prédictions.

.

Quelqu’un  qui me ressemble, quelqu’un  de différent :

Voilà bien le dilemme et pas toujours simple à résoudre.

.

Sur le plan quantitatif, la chose est strictement impossible

Qualitatif, elle l’est de même et de fait par âge, sexe, métier,

Affectif, le choix est  encore  plus restreint : électif ou imposé

N’en demeure pas moins que  les réseaux  sociaux, numérisés

Sont une tentative  courageuse, mais  illusoire  et désespérée,

De remettre des places publiques  en contacts, sinon privées.

En principe on peut tous se rencontrer mais en réalité, non.

Quand on se marie, l’on ne séduirait plus personne d’autre

Quand on se sépare, c’est pire, tous les amis se retirent.

.

On peut rencontrer beaucoup de gens

Surtout si on est en campagne élective :

Ce ne seront que  d’éphémères fantômes,

Qui n’auront de contacts suivis avec vous.

.

S’il s’agit trouver partenaire pour se marier,

Le choix n’a plus rien de politique : que privé.

De ce fait, il devient restreint fonction critères :

Âge, sexe, apparence, métier, milieu … passions.

.

Les rencontres sont favorisées par les interactions,

Les opportunités diverses et variées, disponibilités.

Faut-il encore, lors établies, les nourrir, entretenir,

On ne pourra guère tabler que sur quelques-unes.

.

Fragments

 .

En théorie, l’on devrait, l’on pourrait

Tous ou presque se rencontrer un peu

La technologie média universel le veut

Pour former, de l’Humanité, portrait !

.

En réalité, c’est impossible, chacun sent,

Ne disposant ni de temps, moyens, envie :

On peut certes rencontrer  gens  et à l’envi,

Mais famille, amis, seront restreints à cent.

.

La plupart des gens qu’on rencontre vraiment,

Sont même classe que nous, cols bleu, col blanc

Cols bleus, en polo, pull, tricot, jeans, vêtements,

Cols blancs en costume cravate voire l’équivalent.

.

La cravate a un peu disparue en travail de bureau,

Distinction entre intellectuel/manuel, est caduque :

Les mariages se font plus par amour  que par statut,

De même qu’entre ethnies,  religions  et professions !

.

Tempéraments plus altruistes, plus égoïstes, existent,

Il n’y aurait pas tant de différences dans leurs réseaux

Mais les altruistes s’attachent d’avantage que égoïstes

Ils pensent rencontre est cadeau, non source de profit.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

P O U V O I R   T O U S

Cela reste toujours possible,

En réalité, fort peu probable,

Vu le nombre  de potentialités.

 Nous  ne  sommes, en rien, égaux,

Certains sont timides…voire réservés

Lors d’autres sont proactifs et sociaux.

Le tri s’opère selon filtre de ce qui a plu,

Les fréquentations  sont plus éclectiques

Que les amis, les partenaires, et les élus

Quand peut-on dire avoir rencontré,

Quelqu’un, quelqu’une, vraiment.

S E       R E N C O N T R E R 

Est-ce une question…de durée,

Ou d’intensité, de comment !

Et tous  nous  rencontrer !

En principe  …  c’est oui

Mais en fait, c’est non !

Lors rien n’est garanti

Entre filles,  garçons.

À cause des couleurs,

À cause des couleurs,

Par  dégout, pudeur,

De  l’état   de nature,

Jeune, beau  et fort ;

De  l’état  de culture :

Métier,  diplôme d’or.

À cause  des humeurs :

Caractère  incompatible

Des émotions, des cœurs

Plus ou  moins  sensibles.

Et puis, il  y  a  la  famille,

Les origines, ou  le milieu,

Les âges et les générations,

Les apparences les dictions.

Finalement, quand  on  trie :

Il ne  restera  que  bien peu :

Ceux  ressemblant  le  mieux,

À ceux  avec  lesquels, l’on vit.

En suite acceptation alter-ego

Celui, ou  celle  que …   j’aime,

Car, c’est  moi  qui  le barème,

Différences : mais   pas  trop !

EN FAIT,  OUI  ET  NON !

Chacun, en cercle ou errance,

Couple, famille, préférences,

Vous protègent ou coupent

D’une nouvelle rencontre

Sauf à aller à l’encontre

En coupant racines,

Tant   familiales

Qu’amicales

À jamais

Seul.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Comme un clou ou une vis,

Qui  s’enfonce  ou  qui  glisse,

Ou simplement belle cravate,

Marquant différence  de classe.

.

669 4

.

La cravate a longtemps été un signe

De distinction entre classes

Entre ceux qui la portent  (les cadres)

Et les autres (les employés)

.

Symbolique 

.

Cravate est objet

N’ayant  aucun intérêt

Vestimentaire particulier,

Servant seulement d’apparat,

Qui s’impose, durant le XXe siècle,

Comme un standard vestimentaire,

Le plus souvent est associé à la tenue

D’un costume,  chez  les hommes aisés

Ou les hommes ayant fonction, emploi,

Les mettant en visibilité face au public,

Le port de la cravate est, autant, perçu

Comme un signe de distinction sociale

Que comme une contrainte sociale,

Quasiment toujours abandonnée

Hors de contexte professionnel.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation

.

669 6

.

La cravate a longtemps été un signe

De distinction entre classes

Entre ceux qui la portent  (les cadres)

Et les autres (les employés)

.

Symbolique 

 .

Avant de traiter ce qui importait

Le plus à l’auteur  de La Distinction,

Les classes sociales comme dimension

Des luttes   symboliques  de classements,

Pierre Bourdieu  s’est  d’abord   intéressé

Moins  aux propriétés  de classes, en tant

Qu’aux signes de distinction sous la forme

De capital  symbolique,  capable  d’assurer

Ce qu’il appelait  une «rente de distinction»,

Qu’à ce que les classes devaient aux relations

Qu’elles entretenaient, avec les autres classes,

Dans l’espace social, dès ses premiers travaux

Il critique, en effet, l’appréhension « réaliste »

Des classes  sociales   dans  toutes  les  sociétés.

cairn.info/revue-societes-et-

representations-2004-1-page-385

 .

.

.

Liens fond/forme 

Il y a une distinction à faire,

Entre des rencontres possibles

Rencontres probables et réelles.

Première tient lieu de fantasme ;

Seconde, de proximité physique ;

Dernière, de contacts  prolongés !

.

Faut avoir des choses en commun

Faut vouloir approfondir le sujet,

Ne pas craindre  un  brutal rejet,

Voire aplanir  bien des inégalités

Notamment pour les caractères.

.

Textuels et illustrations  >>

250 – L’enfant maure se rit de lui ou moi !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Mêmes sont enfants,

Sur  les  cinq continents,

Les  différences  provenant

Souvent  de  leurs … parents

Cet enfant maure,  me sourit,

Mais lors je lui tends la main,

Devient-il, pour autant, ami,

Ou  mon ennemi, demain !

Cela dépend de son pays,

Autant que de lui, moi.

.

L’enfant maure rit, encore

En pleine  innocence,  émoi !

Il me rappelle celui que j’ai été

Lors j’étais encore enfant paysan,

.

Tout  comme lui, ignorant, ignoré,

Toujours curieux  et  aussi souriant,

Il était là bien planté, les yeux rieurs,

Le regard porté sur moi interrogateur.

.

Il devait  avoir, vers les douze ans, nés,

N’avait  jamais  vu, de  près, l’étranger.

Il m’imagine  vivre  en France, Parisien

Mon langage cultivé  n’était pas le sien :

Je suis riche, bien habillé, peut voyager,

Aussi loin  que je veux, avec mon voilier.

.

Il y a déjà  longtemps,  j’étais cet enfant,

Bredouillant, bretonnant,  petit   paysan,

Je voyais débarquer le touriste…parisien,

D’un pays étrange, pour profiter du mien.

.

Cet enfant rêve d’un ailleurs, par curiosité,

De métier  qu’il n’a pas, qu’il n’ose espérer,

Né, mauvais moment, et, mauvais endroit,

Comme le sont milliers d’enfants d’ici-bas.

.

L’enfant maure, se rit de lui ou de moi :

Sourire épanoui… si je m’adresse à lui,

Je lui propose de faire tour de bateau

Que ce jour devienne souvenir beau.

.

Quel enfant, maure, ou mort,

Se rit, de lui, se rit … de moi,

Je ne sais mais crois encore,

Qu’il est ersatz  d’autrefois,

Stimulant un imaginaire,

Ferais bien d’écouter.

.

Extensions 

.

L’enfant renvoie à

À sa propre enfance,

En différé, en décalé, en interprété.

L’enfant que je suis n’est enfant j’ai été,

N’est pas l’enfant qui m’est présenté.

.

L’enfance ne se vivra qu’une fois

Même si se poursuit à l’état adulte,

En sourdine, pointillé, sauf si … ratée.

.

Enfants seront plus proches les uns des autres,

Quel que soit le pays et la culture,

Que les adultes qui l’auront compris

Et marqué leurs différences dans leurs identités.

.

Le regard de cet enfant qui m’observe

Sur mon voilier n’est pas non plus le mien

Il peine à se projeter  sur mon enfance misérable,

Car il me croit avoir toujours été riche,

Privilégié,  nanti, et  libre  de  mes mouvements.

.

Ce n’est pas le cas mais que je lui dise,

Il ne me croira pas et je le comprends

Tant le potentiel d’un enfant pauvre en France

Est dix fois plus grand qu’au Maroc,

Ça fait sa différence, non son individualité.

.

Un enfant reste un enfant et le même sur tous les continents,

Même si le delta entre enfants riches et pauvres est troublant

Il a autant besoin de : soins, nourriture, affection, sécurité,

À l’est qu’à l’ouest, au nord, qu’au sud et partout ailleurs

Il est à moitié dans l’imaginaire, à moitié, dans le réel

Et on ne peut pas lui demander d’avoir une pensée

Qui soit le plus autonome et universel possible.

De là découle naturellement une attention

Particulière pour lui, graine d’adulte.

.

Difficile  de savoir si  un enfant, se rit de vous,

Ou de lui, quand ce n’est pas les deux à la fois.

.

Il ne porte jugement direct sur vous, attitude,

Il se contentera de vous observer, interpréter.

.

Il ne vous compare pas, il ne vous envie pas :

Il vit simplement sa vie d’enfant, insouciant.

.

Cependant, il ne me rappelle pas la mienne :

Problème sans doute de milieux, d’époques.

.

Fragments

  .

Rien ici pour le moment

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Mêmes sont enfants,

Sur  les  cinq continents,

Les   différences   provenant

Souvent O de leurs  O parents

Cet enfant,  maure,  me sourit,

Mais  lors je lui tends la main,

Devient-il   ====  mon ami,

Ou  mon ennemi, demain !

Cela dépend de son pays,

Autant que de lui, moi.

.

*****  l’enfant maure    L     rit, encore *****

*******   En pleine inno  ‘    cence, émoi !   *******

********       Il me rappelle     E  celui que j’ai été      ********

*********        Lors j’étais enco   N  re enfant paysan         *********

*********         Tout comme lui     F  ignorant, ignoré,             ********

*********           Toujours curieux    N   et aussi souriant.              ********

********               Il était là bien plan   N      té, les yeux rieurs                 ******

*******                Le regard porté sur   T   moi interrogateur.                 ******

    .

Il devait avoir, dans     M   les douze ans, nés,

N’avait  jamais vu,       A   de près, l’étranger.

Il m’imagine vivre        U  en France Parisien

Mon langage cultivé     R  n’était pas le sien :

Je suis riche, bien ha    E  billé, peut voyager,

Aussi loin que je veux           avec mon voilier.

       S

Il y a déjà longtemps      E     j’étais cet enfant,

Bredouillant, breton             nant petit paysan,

Je voyais débarquer le    R   touriste…Parisien,

D’un pays étrange, pour  I      profiter du mien.

Cet enfant rêve d’un ail   T   leurs en curiosités,

De métier qu’il n’a pas         qu’il n’ose espérer,

Né mauvais moment et  D       mauvais endroit

Comme le sont milliers   E   d’enfants d’ici-bas.

     .

L’enfant maure, se rit     L       de lui ou de moi :

Sourire épanoui si          U      je m’adresse à lui,

Si je lui propose de         I        faire tour bateau

Que ce jour devien                  ne souvenir beau.

Quel enfant                    O        maure, ou mort,

Se rit, de lui,                  U             se rit de moi,

Je ne sais mais                              crois encore,

Qu’il est ersatz              M               d’autrefois,

Stimulant un                O              imaginaire,

Ferais bien                   I                d’écouter.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Silhouette d’enfant

 Évoluant en plein jeu,

Avec  ses  bras  écartés 

Aspirant devenir adulte.

.

250 4

.

Un enfant est bien plus spontané,

Bien   plus   franc   qu’un  adulte :

Et  cela reste vrai, pour n’importe

 Quel pays, qu’il soit maure ou pas.

.

Symbolique 

 .

Une part

De symbolique

De  toute enfance

Peut être décrite

Analogie

 Voulant qu’elle soit à la vie humaine

Ce qu’aube est au jour, printemps aux saisons,

Associée à l’âge d’or à l’histoire de l’Humanité

Et la  création  à  l’histoire  de  notre  Univers.

 

Elle n’épuisera pas la  symbolique, considérée,

Où devraient également intervenir l’analogie

Voulant que l’âme soit à Dieu  ce que l’enfant

Est à ses parents, celle voulant que la terre

Porte ses fruits (semences et récoltes,

Pierres et métaux, comme

Une mère son enfant.

Erudit.org/fr/revuesetudfr/1983

.

.

Fond

.

Évocation 

.

250 6

.

Un enfant est bien plus spontané,

Bien  plus  franc  qu’un adulte :

Cela  reste vrai,  pour   n’importe

 Quel pays, qu’il soit maure ou pas.

.

Symbolique 

.

Une maturité affective

Permettra de décohabiter,

De se passer de ses parents,

Et de découvrir des sources

Personnelles d’affections.

.

L’être adulte doit

Pour cela accéder

À esprit de responsabilité

Individuel  et l’assumer  en se

Projetant en avenir en intégrant

Les normes, valeurs, et interdits

Et satisfaire à ses obligations.

.

La rencontre avec autrui

Et capacité à établir des relations

En se dégageant d’un égocentrisme

I.d. faire avec et au milieu des autres

Devient un facteur de cohésion sociale,

Garant d’une vie en société décente

Et acceptable pour tous.

fr.wikipedia.org/wiki/Adulte

 .

.

Fond/forme 

 .

L’enfant maure n’est pas différent des autres :

L’insouciance et le rire en sont caractéristiques.

 .

Les différences tiennent à l’éducation, imitation,

Du foyer familial en plus de celui contexte social.

 .

S’il reste plus ou moins à l’aise avec les étrangers

Il n’en est pas moins curieux, avide d’apprendre,

Pour se confronter à d’autres modèles, réalités.

 .

 Textuels et illustrations  >>

249 – Marocaine, vue par un français

 Textuels et illustrations   >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

En Islam,

Cette jeune femme, belle et soumise,

Est-ce trésor que l’on peut posséder :

Pour homme riche, elle sera promise,

A son goût, à son honneur, sa portée.

En Europe,

Rien ne vaut le mariage à consommer

D’avance pour être mieux… accordés,

Qu’importe, si sa belle a déjà connu,

Pénétration intime d’un corps nu.

.

En Islam,

Rien ne vaut un bel hymen à déflorer,

Précieux, perlant de sang, de virginité,

L’honneur revient à celui qui l’a percé,

Recousu, il n’en saura rien, hypocrisé.

En Europe,

Les règles du contrat sont négociables

Chacun restera maitre de son corps :

Femme peut être moitié-nue dehors,

Pourtant, au-dedans, impalpable !

 .

En Islam,

Règles du contrat écrit sont inviolables,

Argent, notoriété, vous rend mariables,

D’yeux, que pour vous, femme n’aura,

Et dehors toujours voilée apparaitra.

En Europe,

L’enfant obéit à son père, chérit sa mère,

L’homme obéit à la loi par son état dictée,

La femme prendra le statut qu’elle préfère :

Mariée ou célibataire ; amante ou pacsée !

 .

En Islam,

L’enfant craint son père et vénère sa mère,

L’homme obéit, à la religion, et à son roi ;

La femme n’a que deux statuts, en droit :

Mariée ou prostituée, mère ou chimère.

En Europe,

Si vie de couple ne parait pas morose,

Elle n’est, toutefois, pas toujours rose,

Et à chacun de faire la part des choses.

 .

En Islam,

Amour s’achète, pour mieux être livré :

Argent comptant, vie de femme assurée

Ou répudiée, polygamée, emprisonnée.

En résumé,

La vie de couple et l’éducation,

Forment socle d’une civilisation,

Mais ne suffit pas de les comparer,

Différencier cultures, est compliqué. 

.

Extensions

 .

Il est difficile de se mettre à la place

D’une femme et de son éducation

Et de sa culture, ses préférences,

Ses valeurs, voire ses combats

Si l’on a été éduqué ailleurs,

En plus, si on est un homme.

.

On saisit mieux les différences

Que les convergences et si détails

Nous choquent, pour d’autres, c’est

De l’ordre de la coutume ou l’évidence.

.

Maroc n’est pas si éloigné de la France,

Géographiquement, et, culturellement,

Espagne s’y est beaucoup mêlée aussi.

.

Il n’est pas  étonnant  qu’il y ait  une

Revendication d’identité dite propre :

Mais si cela se fait au dépend du progrès,

C’est une tradition caduque qui se perpétue

En dépit des égalités entre hommes et femmes.

 .

On dit parfois que le climat et l’architecture

Autant que  la nourriture, éducation, culture,

Façonnent bien des visages et des expressions :

C’est peut-être en raison du soleil et de la chaleur

Que des femmes marocaines arborent large sourire

Et quelles paraissent ainsi plus attentives et ouvertes

Que des femmes européennes, plus fermées, méfiantes.

.

En dehors de tous clichés, présupposés ou préjugés

Nombre de rencontres avec les femmes marocaines,

Nous ont confirmés mélange, occidentale/orientale !

.

Elles ont le charme  et  le conditionnement de deux :

Bien apprêtées, bien habillées et parfois séduisantes,

Sont plus centrées sur famille, domesticité que nous.

.

Quant à parler des enfants, des éducations, parentés

Il faudrait vivre longtemps avec elles, voir se marier,

Mariages mixtes, ne sont aussi simples qu’il parait !

.

Fragments

.

Rien du Maroc ni tradition

Dans la forme en couplets :

Dès lors elle ne correspond

En rien au fond, différent.

***

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

En Islam,

Cette jeune femme, belle et soumise,

Est-ce trésor que l’on peut posséder :

Pour homme riche, elle sera promise,

A son goût, à son honneur, sa portée.

En Europe,

Rien ne vaut le mariage à consommer

D’avance pour être mieux… accordés,

Qu’importe, si sa belle a déjà connu,

Pénétration intime d’un corps nu.

UNE MAROCAINE

En Islam,

Rien ne vaut un bel hymen à déflorer,

Précieux, perlant de sang, de virginité,

L’honneur revient à celui qui l’a percé,

Recousu, il n’en saura rien, hypocrisé.

En Europe,

Les règles du contrat sont négociables

Chacun restera maitre de son corps :

Femme peut être moitié-nue dehors,

Pourtant, au-dedans, impalpable !

VUE PAR

En Islam,

Règles du contrat écrit sont inviolables,

Argent, notoriété, vous rend mariables,

D’yeux, que pour vous, femme n’aura,

Et dehors toujours voilée apparaitra.

En Europe,

L’enfant obéit à son père, chérit sa mère,

L’homme obéit à la loi par son état dictée,

La femme prendra le statut qu’elle préfère :

Mariée ou célibataire ; amante ou pacsée !

TOURTISTE

En Islam,

L’enfant craint son père et vénère sa mère,

L’homme obéit, à la religion, et à son roi ;

La femme n’a que deux statuts, en droit :

Mariée ou prostituée, mère ou chimère.

En Europe,

Si vie de couple ne parait pas morose,

Elle n’est, toutefois, pas toujours rose,

Et à chacun de faire la part des choses.

En Islam,

FRANÇAIS

Amour s’achète, pour mieux être livré :

Argent comptant, vie de femme assurée

Ou répudiée, polygamée, emprisonnée.

En résumé,

La vie de couple et l’éducation,

Forment socle d’une civilisation,

Mais ne suffit pas de les comparer,

Différencier cultures, est compliqué.

.

Forme

.

.

Marocaine toute en finesse

Toute  en parures  locales :

Tradition pour  se marier

Ou pour mieux séduire.

.

249 4

.

Évocation 

.

Marocaine est souvent fidèle

À la tradition : parfois moderne

Elle subira alors  le poids des lois

Islamiques qu’elle rejette ou non !

.

Symbolique 

.

La femme

 Marocaine  est

Véritable modèle

De la femme

 Battante.

 

On la décrit comme étant femme ambitieuse,

Motivée, cultivée, curieuse qui s’accrocherait

À ses rêves même si le chemin pour atteindre

Ses objectifs, est long et semé d’embûches.

«La  femme  marocaine  est  une   femme

Qui poursuit ses rêves et travaille dur

Pour atteindre ses objectifs, restant

Fidèle aux valeurs de la famille.

Elle est fière de sa culture

Et de ses traditions.»

lematin.ma/journal/2019/depense

-essentiellement/311963

.

.

Fond

.

Evocation 

.

249 6

.

Marocaine est, souvent, fidèle

À la tradition parfois moderne

Elle subira alors  le poids des lois

Islamiques qu’elle rejette ou non !

.

Symbolique 

 .

Au Maroc,

 Comme   dans

Le monde arabe,

La   situation

 

De la femme marocaine

Connaît de nets progrès en continu.

Tradition admission femme au travail,

N’est pas un «bienfait» de la colonisation,

Mais un phénomène ayant toujours existé.

 .

La situation de la femme au Maroc d’antan,

Connaissant, toujours, des hauts  et  des bas,

Mais les points négatifs n’empêcheront point

La femme d’être toujours forte et influente.

www.leseco.ma/maroc/75030-

la-femme-marocaine-histoire

  .

.

Fond/forme 

 

Statut de la femme au Maroc

N’est pas le même qu’en Europe

Question éducation et civilisation,

Et s’il tend à s’en rapprocher un peu

Il ne l’épouse pas encore entièrement !

L’influence bien réciproque de l’Espagne

Et du Maroc est plus forte que de France

Et la femme marocaine en bénéficie bien.

L’islamisme est  une culture, civilisation

Qui imprègnera tout le monde arabe

 Depuis bien plus d’un millénaire,

Et c’est ce qui fait sa richesse

Sans compter son attrait.

.

 Textuels et illustrations   >>  

248 – Marocain, vu par un français !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Si j’étais né marocain,

Et si resté, je l’étais, au pays

Penserais autrement que je fais.

Il parait difficile d’être autrement,

Dès lors que je proviens  d’un pays

Bien  différent, et en tous  points

Marqué, rupture de continent,

Où lois, et où coutumes,

Cultures inégalitaires,

Ont libertés d’action.

 .

Marocains, musulmans, islamistes, fatalistes.

Français, chrétien, européen, individualiste.

Toutes vies berbères sont communautaires

Font que chez eux tout le monde est frère.

 .

Inch Allah, de vivre  résigné, et  soumis,

Offre peu d’espoir à moindre initiative.

.

Ça marche grâce à lui, raté sinon aussi,

Y compris sentiments, et, vie affective :

Peu d’écoles : petits boulots pour finir,

Balloté entre les carences de la société.

.

Bien qu’aide indéfectible de la parenté,

J’y vivrais, au jour le jour, sans avenir,

Autre que de partir.. en pays étranger :

Sans visa et en danger de clandestinité.

 .

Une chance que pouvoir visiter ce pays,

Y être touriste pour juste profiter de lui.

 .

Privilège d’être observateur de sa misère,

Chez moi : cela produit la sorte de lumière

Qui m’éclaire sur les différences identitaires

Et envie du marocain d’émigrer autres terres.

.

Dans son pouvoir fort, royal, le marocain rame,

Jusqu’à vendre son âme contre quelques dirhams,

En espérant la racheter, ailleurs. Et, pour la femme,

C’est pire encore, parfois, elle existe à peine : infâme !

 .

Identité marocaine, ai passé quinze jours à la chercher :

Impossible pour un français, faut années pour la trouver,

Elle est en lui, plus qu’à travers sa culture, son apparence,

Un trésor qu’il garde au fond du cœur et de sa conscience.

 .

L’identité collective, culturelle,  et voire  civilisationnelle,

Demeure difficile à cerner pour un  touriste de passage.

.

Extensions

.

Le marocain est l’un des peuples

Qui se rapproche, le plus, de la

Civilisation, dite européenne,

Et en particulier française.

.

Cela  est dû  à  son  passé

De colonisation pour une part,

Langue, commune  avec la nôtre,

Mais aussi certaine attirance pour

Sa culture,  sa capacité  d’accueil.

Cousin lointain un peu étranger

Mais un peu aussi familier.

.

Beaucoup de retraités vont s’installer

Au Maroc pour vivre, certains pour des

Raisons économiques mais d’autres,

Plus nombreux, et ce  je l’espère,

Pour raisons humanitaires !

.

Le Maroc est une terre et une civilisation proches de l’Europe du sud,

Les échanges avec l’Espagne, auront toujours été nombreux, et croisés,

Il n’y a guère que les Berbères qui constituent encore peuple particulier

Comme les corses peut-être, pour désigner notre  équivalent, en France.

Ce qui est frappant, est leur hospitalité et bien plus, leur regard perçant

Par ailleurs, il y a quantité de monuments et bâtiments style islamique

Qui sont témoins d’un peuple vivant entre Atlantique et Méditerranée.

.

Nous sommes restés une dizaine de jours au Maroc :

à Tanger d’abord, puis Asilah, échappée Casablanca.

.

Ça ne donne pas le temps, ni le droit, de le qualifier :

Juste de reporter notre ressenti en tant qu’étrangers.

.

Maroc est un pays à la fois, arabe, africain, européen,

C’est ce mixage des trois qui en fait toute sa richesse.

.

Bien sûr il y a une majorité, d’arabes  et d’influences,

Bien sûr que cela a été pays colonisé par les français,

.

Mais aujourd’hui, il  garde  toute son indépendance :

Ce n’est pas rien comme identité de se dire Marocain.

.

Fragments

.

Une silhouette qui cache ses formes

Ou dans tous les cas, les enveloppe,

Que l’on peut attribuer marocain,

Ou s’en approche, c’est humain !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Si j’étais né marocain,

Et si resté, je l’étais, au pays

Penserais autrement que je ne fais.

Il est difficile  ô  être  ô  autrement,

Dès lors  que  je proviens  d’un pays

Bien  différent, et, en  tous  points

Marqué, rupture de continent :

Où lois, === coutumes,

Cultures inégalitaires,

Ont libertés d’action.

 .

Marocains, musulmans, islamistes, fatalistes.

Français, chrétien, européen, individualiste.

Toutes vies berbères sont communautaires

 Font que chez eux tout le monde est frère.

UN MAROCAIN

Inch Allah, de vivre  résigné, et  soumis,

Offre peu d’espoir à moindre initiative.

.

Ça marche grâce à lui, raté sinon aussi,

Y compris sentiments, et, vie affective !

Peu d’écoles : petits boulots pour finir !

Balloté entre les carences de la société,

Bien qu’aide indéfectible de la parenté,

J’y vivrais, au jour le jour, sans avenir,

Autre que de partir.. en pays étranger :

Sans visa et en danger de clandestinité.

VU PAR

Une chance que pouvoir visiter ce pays,

Y être touriste pour juste profiter de lui.

 .

Privilège d’être observateur de sa misère,

Chez moi : cela produit la sorte de lumière

Qui m’éclaire sur les différences identitaires

Et envie du marocain d’émigrer autres terres.

Dans son pouvoir fort, royal, le marocain rame,

Jusqu’à vendre son âme contre quelques dirhams,

En espérant la racheter, ailleurs. Et, pour la femme,

C’est pire encore, parfois, elle existe à peine : infâme !

 .

Identité marocaine, ai passé quinze jours à la chercher :

Impossible pour un français, faut années pour la trouver,

Elle est en lui, plus qu’à travers sa culture, son apparence,

Un trésor qu’il garde au fond du cœur et de sa conscience.

UN FRANÇAIS

L’identité collective, culturelle,  et voire  civilisationnelle,

Demeure difficile à cerner pour un  touriste de passage.

 .

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

.

Flacon de parfum avec diffuseur

Ou un moulin à  sel ou  à poivre,

Le corps  en djellaba : Maroc ?

Tête entourée avec foulard arabe

.

248 4

.

Flacon de parfum avec diffuseur

Ou un moulin à  sel ou  à poivre,

Le corps  en djellaba : Maroc ?

Tête entourée en foulard arabe

.

Une silhouette qui cache ses formes

ou dans tous les cas, les enveloppe

que l’on peut attribuer marocain,

ou s’en approche, c’est humain !

 .

Il s‘agit de vision traditionnelle du Maroc

Et aujourd’hui peu commune :

En réalité, un mixte entre un sang arabe

Et un sang local, maghrébin !

.

Symbolique 

 .

 

Parmi

Les symboles

Bien connus du Maroc,

On trouve  ses bâtiments,

Sa musique  et sa cuisine !

Je parle, bien évidemment,

Du fameux coucou, tajines.

Un des symboles du Maroc

Est  son thé  à la menthe.

Et le  drapeau du Maroc

Est   représenté  par   une

Étoile verte sur fond rouge,

Vert étant couleur de l’espoir.

.

.

Fond

.

Evocation

.

248 6

.

Il s‘agit de vision traditionnelle du Maroc

Et aujourd’hui peu commune :

En réalité, un mixte entre un sang arabe

Et un sang local, maghrébin !

.

Symbolique 

.

Les flux migratoires demeurent

Importants entre le Maghreb et l’Europe.

.

Après la fin de la Seconde Guerre mondiale,

Un certain nombre de Maghrébins ont quitté

Leurs pays pour venir travailler en Europe.

.

La France, en raison des liens historiques

Et culturels qu’elle entretient avec le

Maghreb, est première destination

Des migrations économiques.

.

Le Maghreb est dès lors

Le  point  de  départ  d’une 

Immigration arabe clandestine

Qui passe par le détroit de Gibraltar,

Par les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla.

.

.

Fond/forme 

 .

Bien qu’arabe et musulman,

Le Maroc reste un pays frère,

Personne ne dirait le contraire,

Et nous apporte toute la richesse

Us et coutumes et de gastronomie

Et en plus de la langue française,

Ses villes sont d’une architecture

Originale se mariant au désert.

.

 Textuels et illustrations  >>

247 – Croquis de grosses canariennes

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

 .

Qui sait si, de nous, travers,

Elles ne s’en moquent d’autant,

Prétendant  être  mieux  qu’elles

Serait, pour  nous, discriminant

Et puis, ce  serait  se complaire,

Sur  propre nombril, obnubilé.

Fut un temps, dans la France,

Où de belles femmes rondes

Étaient   très   recherchées

Lors  où, femmes  minces

Demeuraient pudibondes.

.

Le problème des grosses, au fond,

Ne serait-il pas,  à voir, tout autour,

Entre, celles  qui  assumeront,  ou non,

Existences  de  leurs  généreux  contours !

Portraits resteraient incomplets si les rondes,

On les  peignait, en très grincheuses, à la ronde.

.

Lors, il n’en est rien, au contraire de nature joviale,

Elles sont et aiment communiquer sourire non trivial

Et si c’est leur manière de paraitre  qui nous choquent,

C’est que, l’on devient intolérant, aux gens…différents

De nous : laissez les canariennes comme elles sont.

.

Marchant dans les rues canariennes,

On croise des jeunes, des mûres, vieilles,

Parmi  elles, on en cherche  des merveilles,

On en trouve  des  nombreuses, telluriennes.

Volcaniques ou éteintes mais sans complexes,

Elles étalent, et bien, leurs rondeurs convexes,

Sans souci de vous plaire ni de vous déplaire,

Le corps  n’étant destiné  qu’à  se complaire

En famille,  entre  amis  ou  en  entourage

Jusqu’à trouver un compère en mariage.

.

En marchant dans les rues canariennes

Croisons grandes, moyennes  t petites

Arborant, sur  elles,  faciès  d’iliennes,

On se demande  ce qu’on est pour eux,

Étrangers trop mal nourris pire qu’eux.

.

En outre, pour bien des filles   difformes,

Vêtements ne cachent rien de leurs formes

Dont iliens s’accommodent  ou  en profitent.

.

Le monde est  ce qu’il est  normes trompeuses,

Parfois pareilles et parfois différentes des nôtres.

De nos minceurs, pourquoi  s’en ferait-on l’apôtre.

.

Leur santé n’est pas menacée  elles sont  heureuses,

Mais, l’endroit où, le plus souvent leur bât les blesse,

Est le regard des autres sur elles sans  vraie tendresse

Comme marginales perçues  ou  énormes anormales

Qu’on n’inviterait pas aux fêtes, même pas au bal.

.

Extensions 

.

Grosses et difformes,

Cliché suscitant le rejet,

Et au mieux l’indifférence.

Des mannequins anorexiques

Et cachexiques nous sont imposés

En modèles de femmes à admirer :

Las, elles n’auront que leurs os

À vous offrir dans votre lit.

.

Grosse est un adjectif qu’on veut péjoratif pour une femme

Mais tout dépend des époques ou de leurs canons de beauté !

Il fut un temps où les rondeurs  étaient signes de bonne santé,

Sans parler de sensualité charnelle  ou aptitude à la maternité.

Tout serait en fait, affaire de courbes, d’équilibre, d’harmonie.

Après, il est vrai que certains abusent de nourritures grasses,

Et que d’autres se laissent aller sans jamais faire d’exercices

Et que ce serait pour certaines une question de génétique.

Grosse est donc un adjectif à employer avec parcimonie.

.

Il faut distinguer grosses et grosses,

Des anorexiques se trouvent grosses,

Des boulimiques se trouvent maigres,

Il y a les regards des autres  et le sien,

Qui soit, convergent,  soit s’opposent.

.

Il y a ceux qui en sont bien malades,

Il y a ceux qui en font un complexe,

Il y a ceux  qui font régime  ou pas,

Il y a ceux  qui  n’en  auront  cure,

Ceux qui redeviendront  minces !

.

Dire à partir  de quel surpoids,

On devient grosse, est difficile.

Même si l’indice IMC, calcule,

Le déni peut être le plus fort,

Grosse c’est aussi en la tête.

.

Fragments

.

Enrobées, voire disharmonieuses

C’est parfois question de cultures

Toujours  est-il que  cette   forme

Convient  parfaitement  au fond.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Qui sait si de nous, travers,

Elles ne s’en moquent autant.

Dire  ô  être   mieux  ô  qu’elles

Serait, pour nous, discriminant.

Et puis, ce serait   se complaire,

Sur propre  ====  nombril !

Il fut un temps en la  France

Où, belles femmes rondes

Étaient recherchées

Ou femmes minces

Rien  pudibondes.

.

Le problème des grosses, au fond,

Ne serait-il pas,  à voir, tout autour,

Entre, celles  qui  assumeront,  ou non,

Existences  de  leurs  généreux  contours !

Portraits resteraient incomplets si les rondes,

On les  peignait, en très grincheuses, à la ronde.

Lors, il n’en est rien, au contraire de nature joviale,

Elles sont et aiment communiquer sourire non trivial.

Et si c’est leur manière de paraitre  qui nous choquent,

C’est que, l’on devient intolérant, aux gens… différents

De nous : laissez les canariennes comme elles sont.

Marchant dans les    C  rues canariennes,

On croise des jeunes,   R   des mûres, vieilles,

Parmi elles, on en cher   O     che des merveilles,

On en trouve des nomb     Q      reuses telluriennes.

Volcaniques ou éteintes        U     mais sans complexes,

Elles étalent et bien, leurs      I      rondeurs … convexes,

Sans souci de vous plaire      S        ni de vous déplaire,

Le corps n’étant destiné                  qu’à se complaire

En famille,  entre amis       G       ou  en  entourage

Jusqu’à trouver un com    R      père en mariage.

En marchant dans les      O    rues canariennes

Croisons grandes, mo    S    yennes  et petites

Arborant, sur  elles,        S     faciès  d’iliennes,

On se demande ce          E  qu’on est pour eux,

Étrangers trop mal             nourris pire qu’eux.

En outre, pour bien        C     des filles difformes,

Vêtements ne cachent     A   rien de leurs formes,

Dont iliens s’accommo      N    dent ou en profitent.

Le monde est ce qu’il est     A      normes trompeuses,

Parfois pareilles et parfois     R    différentes des nôtres.

De nos minceurs, pourquoi      I   s’en ferait-on l’apôtre !

Leur santé n’est pas menacée     E    elles sont  heureuses,

Mais, l’endroit où, le plus souvent   N    leur bât les blesse,

Est le regard des autres sur elles sans   N    vraie tendresse

Comme marginales perçues ou énormes     E      anormales

Qu’on n’inviterait même pas aux fêtes et même pas au bal.

.

Forme

.

.

Évocation

Une silhouette qui,

N’étant pas  enrobée,

N’est  pas  disharmonieuse

Avec des seins, fesses partout.

.

247 4

.

 Enrobée, fière de l’être,

Bien  en sa tête,  sa peau :

Tout est question d’équilibre,

D’harmonie, et de bien-être !

.

Symbolique 

 .

Aucune femme

N’a les mêmes jambes

Que toute      autre,

Rassurez-vous,

Chaque point faible à sa solution.

Pour affiner cuisses obtenir résultats

Plus probants possibles  et durables,

Il faut, d’un côté, faire fondre le gras

Et, de  l’autre,  affiner   les   muscles.

Les sports, pour la santé des jambes,

Et drainage sont les activités de fond

Comme  le  vélo, ou  la marche  à pied,

La natation,  l’aquagym, le ski  de fond,

Sinon, elles risquent de rester enrobées.

.

.

Fond

.

Évocation

.

247 6

.

On peut être enrobée, fière de l’être,

Bien en sa tête, sa peau :

Tout est une question d’équilibre,

D’harmonie, et de bien-être !

.

Symbolique 

.

La  manière

De     vous   vêtir,

De    vous    coiffer,

Votre silhouette,

Les traits de votre visage,

 .

Taille, poids, jeunesse, harmonie,

Sachez que  toutes  ces facettes   de votre

Personne, sont analysées par recruteurs.

 .

Mais alors en quoi  l’apparence physique,

Jouerait-elle  au moment  de  l’embauche :

Etre beau ou belle vous ouvrira des portes ?

 .

On prête de nombreuses qualités aux beaux :

Ils seraient  plus intelligents, plus compétents,

Plus équilibrés, avenants, sociables, ambitieux.

helloworkplace.fr/beaute-et-carriere

 .

.

Fond/forme 

.

Femmes fortes, enveloppées, bien en chair,

Avantageuses, voire même confortables,

Que d’épithètes on affuble les rondeurs

Qui feront bien des charmes des unes

Pas des autres, question harmonie.

.

Que d’argent dépensé pour maigrir

Que de méthodes pour créer illusion

À l’époque Renaissance, les rondeurs

Étaient appréciées en canons de beauté.

.

De nos jours ce  sont les plates, platitudes

En réalité on aura toujours fait de la femme

Un objet de désir tout  autant que de plaisir ! 

.

Textuels et illustrations  >>  

246 – Stéréotypes d’Espagnols

Textuels et illustrations   >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Espagnol synonyme

Explorateur conquérant

Un peu partout essaimant,

Sans renier leurs patronymes

Tempérament fier, sang bouillant

Expressif avec  leur accent chantant

Aimant les fêtes, les rassemblements.

.

Mais d’être espagnol, cela veut dire quoi !

Tant son Histoire est divisée en provinces.

Ils veulent rattachement et indépendance,

Et s’affrontent souvent avec les portugais.

.

Ne connaissant  rien  de  leur économie,

Hormis touristique fruitière, industrie

Me contente  découvrir  mode de vie,

Qui est différent de celui de l’Italie.

.

Torero macho, rime avec sangria,

Tapas, avec melon et avec paella,

Avec  tous les rythmes sevillanas

Avec guitares et avec fandangos

.

Sabor est une belle association

Amie espagnole, sise Lannion

Où  l’on  y  pratique : la salsa

Sévillanas, flamenco, tango

.

Folklore,   me  direz-vous !

Espagne,  diverse  en tout,

Je  vous  l’accorde, l’avoue

Langue nationale partout.

 .

Frontière commune France

Culture est proche de nous,

Sang saxon, mêlé sans latin,

Nous sommes  à mi-chemin

.

Extensions

.

On imagine l’espagnol paresseux

Parce qu’il fait la sieste l’après-midi

Et fêtard parce qu’il se couche très tard.

On l’imagine aimant la corrida, connaissant

Par leur prénom les toréros célèbres en l’histoire.

.

On les imagine être des passionnés et de bon amants.

Du fait avoir le sang chaud, sont dits prompt à la bagarre,

À l’affrontement au sein de couples, bien plus entre machos.

.

En outre,  ils mangent  de la paella tous les jours, ou presque,

Et prennent des tapas comme apéritifs, des fruits, en dessert,

Notamment melons et pastèques comme les français, latinos,

Ils n’aiment pas parler anglais et pas plus portugais, voisins.

.

Moitié sec, vert, avec danses de caractère et une paella délicieuse :

L’Espagne se défend dans tous les domaines et sa langue se répand

Elle est pourvoyeuse d’un soleil, très généreux, sur la côte est et sud

Et sa province de Galice  rappelle un peu notre Bretagne… celtique :

Que demander de mieux pour un breton qui aime voir ses confères !

.

Provinces du Sud et du nord, comme en France

Ne se ressemblent et le centre, quasi désertique,

Tranche avec le reste,  autant Galice, Andalousie.

.

Pour l’avoir parcouru de long en large, Nord, Sud,

J’ai trouvé des gens fiers de leur pays, leur contrée

Mais toujours attentifs à leurs cousins … français.

.

Fragments

.

Feria, taureau, spectacle sanglant,

Procurant nombre  émotions fortes

On est bien en traditions espagnoles,

Ainsi la forme évoquera  bien le fond.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

246 – Calligramme

 .

………………Espagnol synonyme

…………..Explorateur conquérant

…….…Un peu partout essaimant,

……Sans renier leurs patronymes

Tempérament fier, sang bouillant

Expressif, avec  accents

Aimant les fêtes et

Les rassemblements.

.

Mais d’être espagnol, cela veut dire quoi !

Tant son Histoire est divisée en provinces.

Ils veulent rattachement et indépendance,

Et s’affrontent, souvent, avec les portugais.

.

Ne connaissant rien    S      de leur économie,

Hormis touristique   T   fruitière industrie **

…Me contente décou  É    vrir mode de vie,    ***

…Qui est différent   R de celui de l’Italie.    ****

É     ……..

…Torero macho  O  rime avec sangria,     ****

..Tapas avec    T   melon avec paella,     ****

..Et tous les   Y   rythmes sevillanas     ***

Avec guita   P   res et fandangos    ***

E ……………..

Sabor est  S  la belle association..

Amie, es    *   pagnol à Lannion….

Où l’on y   D pratique : la salsa…..

 Sévillanas   ‘   flamenco, tango……..

* …………………..

Folklore,    E  me direz-vous !………..

Espagne,   S  diverse en tout :…………

Je vous l’   P  accorde, avoue :………….

Langue na  A   tionale, partout…………..

G …………………..

Frontière     N    commune France…………

Culture est    O      proche de nous……………

Sang saxon     L  mêlé sans latin………………..

Nous sommes   S     à mi-chemin…………………

.

Forme

..

Évocation

.

L’arène et  sa féria,

Le torero, le taureau :

 Tout  un  rituel  sacralisé 

De mise à mort scénarisé.

.

246 4

.

Les espagnols aiment la féria,

Certains sont adeptes de tauromachie :

Mais ils ne seront pas que cela

Car ce ne sont rien d’autre que pur cliché.

 .

Symbolique 

 .

Une feria  est une fête taurine,

En Espagne, en Occitanie, au Portugal

Et en Amérique latine et caractérisée par

Suite de corridas, manifestations taurines :

Courses landaises ou courses camarguaises.

 

Selon les régions  ou les pays,  des lâchers

De taureaux  auront  lieu  dans les rues

Comme à  Pampelune,  lors  des Fêtes

De San Fermín au cours desquelles

Se déroule  la « feria del toro ».

 

Lors  des  ferias, des bodegas

Bars avec musiques festives

Sont installées pour la fête

Tandis que des  bandas

Jouent de la musique.

wikipedia.org/wiki/Feria

.

.

Fond

.

Évocation

.

246 6

.

Les espagnols aiment la féria,

Certains sont adeptes de tauromachie :

Mais il ne seront pas que cela

Car ce ne sont rien d’autre que pur cliché.

 .

Symbolique 

 .

Puisque vous passez en Espagne,

Assistez au spectacle fabuleux

Qu’est la tauromachie.

 .

Si ce sport, si c’en est un,

A été oublié nombre d’années

Déjà en divers pays, en Espagne

Il constitue encore véritable passion.

 .

Il fait intégralement partie  de la culture

Mais également de la richesse patrimoniale

De l’Espagne et chaque fois, attire des milliers

Et milliers de spectateurs, habitants ou visiteurs

 .

Tellement que … malgré une certaine aversion

De la part d’une minorité, des écoles pour

Toreros ont été ouvertes dans le pays.

azurever.com/espagne/magazine

 .

.

Fond/forme

 .

On ne peut réduire l’Espagne

 À sa tauromachie

.

Pas  davantage  qu’à  ses danses

En son Andalousie

.

Ni à ses célèbres musées, à Madrid

Ou son équitation

.

Il y aurait plusieurs pays dans ce pays

De Cadix en Galicie :

.

Les espagnols sont en cela proches de nous,

Latins s’excitant pour tout.

.

Textuels et illustrations   >>  

245 – Parmi les stéréotypes de Madériens

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ah ces madériens,

Qu’on les aime bien

Sur leur rocher, isolés

De tout,  sauf d’amitiés.

.

Leur vie est encore rude,

Moins que   siècle dernier

Ils ont dû  creuser lévadas

Pour  irriguer, les cultures,

Comme personne d’autres,

Pour faire du bon vin doux.

.

Habitants entre montagne et mer,

De leur madère, ils s’en disent fiers,

Même ils font concurrence  au Porto,

Font du pain dénommé : caco de bolo.

.

Que dire, d’autre sinon qu’ils font la fête

Qu’ils accueillent les touristes en cousins

Et non les parquent en des cités fermées.

.

Leur ile et eux, ont pour devise : partage,

On peut les voir comme,  humains, sages,

Ce qui ne se dément, lors fréquentations.

.

Certes, tempérament d’iliens malgré tout,

Les distinguera de la proche … Métropole

Ils sont, à la fois, dépendants, autonomes,

Pour ce qui est du tourisme    agriculture.

.

Quant à nous, pour les avoir fréquentés

Par deux fois, pendant pleine quinzaine

Faut dire que leur joie de vivre entraine

À y revenir souvent,  et le cœur content

Contents d’y être,  et non d’y paraitre,

Bien qu’éloignés de française société.

 .

Extensions

.

L’île de Madère est comme une

Chaine de montagne en pleine mer,

Loin de tout, et un peu loin du continent.

Le climat est changeant, la terre plutôt aride,

Sauf en quelques endroits autorisant des cultures.

Dans l’ensemble c’est vert du moins au versant ouest

Car, autant à l’est qu’au nord, ça l’est beaucoup moins.

.

En tant que  portugais, les résidents seront accueillants

Ont le sens de la fête, plus encore que sur le continent

Bien sûr, il se peut tourisme oblige, mais pas que.

Et nous avons eu, pendant nos deux séjours,

Huit jours de pluie, autant de beau temps :

C’est normal, après tout : le climat est

Comme le temps : hebdomadaire !

.

Drapeau  explorateurs, lévadas agriculteurs, maisonnettes de cœurs :

Trois emblèmes connus mais que ne résume pas l’identité de cette ile,

Où il fait bon vivre et faire des randonnées, ou bien, faire les marchés,

Les fêtes y sont nombreuses durant saison, l’été et surtout sur le port,

Au point qu’on ne dort guère avant minuit, et presque tous les jours !

.

 Pour visiter pays montagneux, volcanique,

On est servi : l’aéroport a dû être construit

Pour moitié  sur  la mer : impressionnant !

Cela dit : pas d’avantage  que leurs  lévadas,

Sillonnant île, à flanc de côtes d’est en ouest.

.

Les gens restent aussi affables  et accueillants,

Que ceux que l’on a fréquentés sur le continent,

Moins de visiteurs  mais encore plus de chaleur.

Pour avoir participé  aux fêtes  et ventes locales,

On sait ce que l’autarcie aura signifié, pour eux !

.

Fragments

.

Une semaine à Madère se dit hebdomadaire,

Ah oui, c’est vrai, calendrier : hebdomadère,

Ils ne s’en vexeront pas, du moins je l’espère

Semaine est trop court, tant île est prospère.

.

Déjà y venir en voilier témoigne d’un intérêt

Autre que touristique car bien plus culturel,

Ça nous donne occasion de visiter l’archipel,

Pour qu’on ne cesse de parler de lui et d’elle.

.

Traditions iliennes ne manquent pas, vivantes,

Bien authentiques loin du folklore commercial

Pour y avoir participer : pouvons y témoigner,

.

Le madère coule à flot, originellement sucré,

En vue mieux supporter voyages en bateaux

.

Ici et là, en des caves, quantité de tonneaux.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Ah ces madériens,

Qu’on les aime bien

Sur leur rocher, isolés

De tout,  sauf d’amitiés.

.

Leur vie est encore rude,

Moins que   siècle dernier

Ils ont dû  creuser lévadas

Pour irriguer, les cultures,

Comme personne d’autres,

Pour faire du bon vin doux.

.

Habitants entre    *     montagne et mer

De leur madère      S       ils s’en disent fiers

Même ils font      T         concurrence au Porto,

Font du pain        É        dénommé : caco de bolo.

R ………….

Que dire, d’autre        É       sinon qu’ils font la fête

Qu’ils accueillent les       O        touristes en cousins

Et non les parquent en        T       des cités fermées.

.

Leur ile et eux, ont pour        Y      devise : partage,

On peut les voir comme,          P    humains, sages,

Ce qui ne se dément, lors         E   fréquentations.

                           S

Certes, tempérament d’iliens      *    malgré tout,

Les distinguera de la proche      M    Métropole :

Ils sont à la fois dépendants,     A     autonomes,

Pour ce qui est du tourisme    D      agriculture.

                      É

Quant à nous, pour les        R  avoir fréquentés

Par deux fois, pendant       I   pleine quinzaine

Faut dire que leur joie    E    de vivre entraine

À y revenir souvent,     N   et le cœur content

S

Contents d’y être,    *     et non d’y paraitre,

Bien qu’éloignés    *    de française société.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Flacon de parfum avec diffuseur

Un piédestal  pour un buste, déco,

Une bouteille  de  vin de madère,

Provenant  de  caves   autochtones.

.

245 4

.

Comment visiter Ile de Madère

Sans gouter le vin dans les caves

Résidents accueillants et détendus

 Vivants  sur ile,  loin du continent !

Les madériens restent autant connus

Pour leur lévadas que pour leur… vin,

Bien que moins consommé que le porto

Et ainsi la forme converge vers le fond !

.

Comment visiter Ile de Madère

Sans gouter le vin dans les  caves

Résidents accueillants et détendus

 Vivants sur ile, loin du continent !

.

Symbolique 

 .

Le vin de Madère

Est un vin liquoreux,

Originaire du Portugal

Mais  produit  au  cœur

De l’archipel de Madère.

 

À l’origine, il était déjà enrichi  en  alcool

Par mutage (une technique pour préserver

Une partie du sucre, dans le vin,  en vue  de

de  supporter  les plus longs  voyages   dans

Les soutes chaudes  et  humides  des navires

Qui  accélère  son processus  de vinification.

Un hasard, poussant les Madériens à mettre

Au point dès le XVIème siècle la technique de

Maturation permettant d’obtenir vin liqueur.

academiedugout.fr/ingrédients/madere_278

.

.

Fond

.

Évocation 

.

245 6.

Comment visiter Ile de Madère

Sans gouter le vin dans les  caves

Résidents accueillants et détendus

 Vivants sur ile, loin du continent !

.

Symbolique 

.

Comment se fait-il que

Mon  subconscient  m’ait

Envoyé  un  rêve  de  cave ?

Il veut  me  dire  quelque chose.

 

Des  autorités  du  monde  onirique

Affirment que, rêver d’un baril indique

Que nous serions des personnes patientes

Que nous ne perdons pas souvent les nerfs

Et dès lors que  nous visiterons  une cave.

 

Nous y verrons de nombreux tonneaux,

Fûts ou barils empilés et renfermant

Des boissons qui  peuvent  parfois

Y rester  plus  de  20 ans,  ce qui

Indique tranquillité intérieure.

lefrontal.com/fr/signification-des-reves-

de-barils-de-tonneaux-ou-de-futs

.

.

Fond/forme 

 .

L’ile de Madère, ainsi que celles les Acores,

 Feront partie des iles  les plus accueillantes

Que nous ayons connu en toutes croisières,

Leur trait commun, toutes sont portugaises

De madère on ne connait souvent que le vin

Or tous les habitants demeurent aussi divins.

.

Il faut dire qu’ils ont eu du travail, du mérite

Pour transformer, leur rocher, en terre fertile

En construisant bon nombre lévadas, en vue  

De survivre, pendant des siècles, en autonomie

Et, aujourd’hui, accueillir les touristes, en amis.

.

Textuels et illustrations  >> 

244 – Parmi les stéréotypes de Portugais

 Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

..

Portugais,

Ai-me-raient,

Beau   …   coup

Les …  français,

Et,   Dieu   seul,

Sait   pourquoi

Mais … chut :

S’ils savaient.

.

Sont comme Bretons

Travailleur/explorateur

Et garderont, toujours,

Main sur leurs cœurs.

Portugais nord/sud.

.

La barrière des langues,

Est assez dure à dépasser :

Mais, portugais font un effort

Pour bien comprendre la nôtre.

 .

Comme tous les latins  bon teint

Ils ne sont pas  avares  de gestes,

Pour   échanger  avec  l’étranger.

.

Nous les avons  bien  pratiqués,

En voilier, train  ou en voiture :

Partout, la même disponibilité,

Et partout, la même  amabilité.

.

Ils ont un art, sympa, de vivre,

Sont complétement différents

De proches voisins espagnols,

Jouant position conquérant !

 .

Ou lors,  c’est un peu  comme

Nos Français  avec  les belges,

Ils resteront frères  et ennemis

De toujours, langue mis à part.

.

Extensions

.

 +

Les portugais sont connus pour travailler

Dans le bâtiment, suite à immigration massive

Ayant fourni main d’œuvre à bon marché, efficace

Ce sont, il n’y a pas de doute, des bâtisseurs… nés.

.

Parait hommes portugais s’appellent « Mario »

Et beaucoup de femmes portugaise « Maria »

Toutes et tous raffolent morue « baccalao »

Et de plats à base de fritures et le porto

Ferait parait de leur boisson favorite.

.

«Pasteis de Nata», ou appelés ailleurs

«Petits flans portugais» sont vrais délices.

Mais ce qui les distingue le plus des français,

C’est leur accueil et leur belle chaleur humaine.

.

Aimant étrangers, prennent soin des touristes

Comme autant d’opportunité de rencontres

La majorité reste des catholiques fervents,

Bien plus encore que les voisins espagnols

Cela se traduit dans leurs fêtes religieuses

Et folkloriques  en même temps dans leur

Mélange d’un peu de sacré  et de profane,

Comme témoigne chant musique «fado».

.

Un drapeau, un fado, un gâteau ou la trilogie d’identité portugaise :

Vue de l’extérieur, bien sûr, par un français  et ignorant leur langue,

Cela fait peu de l’avoir visité trois années de suite pour en délibérer,

Mais bon on ne peut pas s’empêcher de se faire à l’idée de  folklore,

Dès lors que l’on est de passage, avec la morue voilà qui les honore.

.

Les portugais ont longtemps été de grands navigateurs

Et ce jusqu’aux confins du monde, et y compris en Asie

Nombre d’iles en particulier, les aura beaucoup attiré,

Et nous avons bien séjourné aux Acores et à Madère.

.

C’est autant le Sud Portugal avec son climat chaud

Qui nous a beaucoup plu, et où nous avons trainé,

Il y règne atmosphère légère de fête en plein été,

Des gens, accueillants, nous en ont fait profiter.

.

Fragments

.

Que dire des portugais et des portugaises

Sinon qu’ils ont tous et toutes accueillants

Y avoir été maintes fois, à divers endroits,

M’aura aidé à me faire une bonne opinion

Bien qu’il faille vivre un bon bout de temps

Pour apprécier vie quotidienne toute saison

Tout aussi bien qu’en nombreuses occasions,

Or idée d’y vivre à l’année ne m’a pas gagnée.

.

Comme France, autres pays, climats tempérés,

Il y a une grande différence entre le nord et sud,

Cela se répercutent sur infrastructures tourisme

l’Algarve restant la région la plus peuplée en été,

 Nous avons fait nombre trajets, séjours en voiture

Et bien plus encore en croisière avec notre voilier

Les deux restent agréables et à tous point de vue.

.

On ne y passer sans gouter fameux vin de porto,

Dont portugais été anglais se disputent l’origine

Il y a en a de tout âge, qualité, et toutes bourses

En voilier, règle simple : pas d’apéro sans porto

Et la visite des caves, à Porto, mérite le détour,

Qu’on a fait à chaque fois que l’on y a séjourné

.

Le problème pour nous, nombre d’européens,

La langue, ayant peu de son voisin espagnol,

Fort heureusement, on se débrouillera bien

En parlant français, anglais international,

Gestes, mimiques complètent, corrigent.

.

Les pâtisseries, genre pasteis de nata,

Sont plus que tentantes,  ravissantes,

On en mangerait sans faim, sans fin,

Mais la crème : pas trop en abuser !

.

Porto, Lisbonne et Lagos et Faro,

Sont restés nos séjours privilégiés

Avec nombre de villes intérieures,

.

Portugais, portugaises, rencontrés,

Se comptent sur doigts d’une main

.

Mais d’une main tendue et sincère.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

 .

Portugais,

Ai-me-raient,

Beau   …   coup

Les …  français,

Et,   Dieu   seul,

Sait   pourquoi

Mais … chut :

S’ils savaient.

.

Sont comme Bretons

Travailleur/explorateur

Et garderont, toujours,

Main sur leurs cœurs.

Portugais nord/sud.

.

La barrière    S  des langues,

Est assez dure   T      à dépasser :

Mais, portugais  É     font un effort

Pour bien comp  R  rendre la nôtre.

 É

Comme tous        O  latins  bon teint

Ils ne sont pas     T  avares de gestes,

Pour échanger     Y    avec  l’étranger.

P

Nous les avons      E    bien pratiqués,

En voilier, train,     S    ou en voiture :

Partout, la même      *    disponibilité,

Et, partout, la même   *       amabilité.

  .               

Ils ont un art, sympa,     P       de vivre

Sont complétement      O      différents

De leurs voisins          R        espagnols

Jouant position       T      conquérant !

U

Ou lors, c’est      G        un peu comme

Les Français    A          avec les belges.

Ils resteront    I       frères et ennemis,

De toujours    S      langue mis à part.

.

Forme

.

.

Évocation

 

Flacon de parfum avec diffuseur

Un piedestal  pour un buste, déco

Une  bouteille  de  vin  de porto,

Provenant des caves bien connues

.

244 4

.

Le Portugal est connu pour ses caves

De vin de porto et de madère

Mais il ne faut pas oublier l’essentiel :

Son amabilité et hospitalité.

Une bouteille en verre, c’est certain,

Mais est-elle remplie et de quel vin,

Je penche pour cave et vin de porto

Et ainsi la forme évoquera le fond.

.

Symbolique 

.

Origines du

Vin de Porto

Les Anglais, 

Portugais ?

Qui répondra

À  la  question.

Nombre théories

 Sur ce sujet.

 

S’il est certain qu’anglais font partie

Intégrante d’émergence des vins de Porto

Tels que nous les connaissons aujourd’hui.

Il n’en demeurerait pas moins  que, le vin

Est produit  depuis des siècles, bien avant

L’arrivée britanniques.  Vignes du Douro

Sont cultivées depuis des temps reculés.

Lesvinsdeporto.com/page/ histoire-des-vins-de-porto

.

.

Fond

.

Évocation 

.

244 6

.

Le Portugal est connu pour ses caves

De vin de porto et de madère

Mais il ne faut pas oublier l’essentiel :

Son amabilité et hospitalité.

.

Symbolique 

.

Comment se fait-il que

Mon  subconscient  m’ait

Envoyé  un  rêve  de  cave ?

Il veut  me  dire  quelque chose.

 

Des  autorités  du  monde  onirique

Affirment que rêver d’un baril indique

Que nous serions des personnes patientes

Que nous ne perdons pas souvent les nerfs

Et dès lors que nous visiterons  une cave.

 

Nous y verrons de nombreux tonneaux,

Fûts ou barils empilés et renfermant

Des boissons qui  peuvent  parfois

Y rester  plus  de  20 ans,  ce qui

Indique tranquillité intérieure.

lefrontal.com/fr/signification-des-reves-

de-barils-de-tonneaux-ou-de-futs

.

.

.Fond/forme 

 .

Le Portugal ne se résume pas, loin s’en faut,

À ses pasteis de nata  ni à son vin de porto,

Et pas davantage à ses chants de … fado !

.

Tous les gens qu’on a croisés, rencontrés,

Se sont révélés aimables et fort dispos.

.

Visites paysage, admirable château,

Avec restaurants et bien à propos,

Donnent envie de prendre apéros.

 .

 Textuels et illustrations   >> 

243 – Parmi les stéréotypes de françaises

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Des stéréotypes

Auraient la peau dure.

L’on prétend  encore que

Les français  sont comme ci,

Et les françaises … comme ça,

C’est dire  qu’ils sont formatés

Dans des moules stéréotypés.

.

Mais comme chacun le sait,

Il n’en est rien, certain,

Et bien que l’on ait,

Un air de  cousin.

.

Les français  sont

Multiples,  diversifiés

En leur origine, culture,

Vrai que  français moyen

Est purement statistique

Tant  l’on  en  rencontre

Très peu  en  pratique.

.

Et, à l’étranger, ils ont

D’autres personnalités

À l’étranger se croient

En  terrain  conquis.

Le modèle français

Sera d’hégémonie.

.

Il aura fait du coq,

L’emblème  adoré,

Français … macho,

Affronte féministe

Et même parfois,

Se rencontrent !

.

D’être français

Point de honte

Point de gloire

Et à  l’encontre

Souvent  râleur

Et mécontent né

Tout autant que fêtard

Très heureux d’exister.

.

.

Extensions 

.

En plus de ces stéréotypes, on entend,

Très souvent des comportements suivants :

Ils aiment trop la culture, particulièrement

Leur patrimoine,  architectural,  national.

Ils ne travaillent autant qu’autres pays

Avec 35 heures, les congés, RTT. Etc.

.

Ce sont des râleurs nés, et pour tout,

Ils sont séducteurs : « french lovers »

Aimant les jolies filles très bien habillées.

Ils sont parfois arrogants, voire prétentieux.

Ils parlent peu anglais quand ils sont en France.

.

Enfin ils accordent trop d’importance à la cuisine

Et à la boisson, et notamment aux  vins de qualité,

Régimes alimentaires  font fureur  chez les femmes

À la recherche d’une nourriture  saine et équilibrée.

.

La baguette de pain, le béret, et voire le camembert,

Sont des symboles culturels datant d’avant-guerre…

Par  contre,   la Tour  Eiffel,    le Mont  Saint-Michel

Et les Châteaux de la Loire,  rencontrent du succès :

«Comment gouverner  un pays  qui  fabrique  autant

De fromages» clamait parfois le général De Gaulle.

.

Chacun sait que les clichés, les  stéréotypes, ont la peau dure

Qu’après demi-siècle décalage, on trouve, encore, des modèles,

De référence datant de la libération de Paris sous l’occupation.

En réalité, la diversité est telle, de nos jours et c’est tant mieux,

Que chacun, chacune s’habille comme il/elle veut ou tendance.

Quant au béret, et à la baguette, c’est presque image d’Épinal.

Il y a un tel brassage en France que français n’a plus de sens.

.

Le corps des femmes, en tous les pays du Monde,

Ne peut être contenu, résumé, en son apparence,

Surtout quand il s’agit de silhouette et de parure.

.

Le corps des hommes suscite moins de fantasmes,

Costume trois pièces, cravate, ou jeans et chemise

Rien là que de presque universel, sans grain de sel.

.

Stéréotype du tempérament du français est connu :

Gastronome, expressif, latin, voire lapin, séducteur,

Son mauvais penchant est d’être un éternel racleur.

.

Fragments 

 .

Une image de la  femme  française

Qui, bien que ne la … représentant,

Suffit à créer fausse image glamour

Et ainsi la forme épouserait le fond !

.

On dit parfois à l’étranger que le français

Est plutôt comme ci  ou plutôt comme ça,

Tout dépend  du pays  et  de ses références,

On ne peut guère échapper aux stéréotypes,

S’ils ont un fond de vrai, ont autant de faux

En deux générations,  ils peuvent  évoluer :

Qui voit un français avec  baguette, béret,

Vérité est une erreur sans cesse corrigée.

.

Si l’on considérait avant, les françaises

Comme des mannequins, des modèles,

À vanter, à imiter, et voire à surpasser

C’est un peu beaucoup suite à la mode

Qui a marqué années durant, son look.

Aujourd’hui c’est plus un effet de classe

Que pays : mode est devenue mondiale.

.

Ce qui demeure au fond d’une éducation

Sinon d’une culture  et voire civilisation,

Est une tendance à mettre une étiquette

Pour ranger tout le monde dans sa case,

Où habites-tu … quelle est ta profession,

Parfois on ose, suppose, ethnie, religion.

.

Les français sont comme autres, mixés,

Le racisme n’a pas lieu d’être, éradiqué :

Il y a autant de communautés françaises

Que variétés de fromages : c’est peu dire.

Ce qui fait sa force, en fait ses fragilités !

.

S’il est vrai  qu’habit ne fait pas le moine,

La façon  de s’habiller, se coiffer, maquiller

Révèlerait, pour partie, notre personnalité,

Un message adressé,  surtout,  à l’extérieur

.

Ne pas confondre stéréotypes réducteurs,

Requêtes égalitaires minorités ethniques,

Le peuple est ensemble de même nation !

.

En matière de jugements… que d’erreurs :

Il faut creuser  pour connaitre  l’intérieur.

.

Je suis, moi-même perçu, comme autre !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

Des stéréotypes

Auraient la peau dure.

L’on prétend  encore que

Les français  sont comme ci,

Et les françaises … comme ça,

C’est dire  qu’ils sont formatés

Dans des moules stéréotypés.

Mais comme chacun le sait,

Il n’en est rien, certain,

Bien que l’on ait,

Un air cousin.

.

Les français   * sont

Multiples,  *   diversifiés

En leur origine,   S  culture,

Vrai que français   T   moyen

 Est purement   É  statistique

Tant  l’on en  R    rencontre

   Très peu       É  en pratique.

     Et, à l’étran   O  ger, ils ont

          D’autres per   T   sonnalités

             À l’étranger    Y   se croient

               En terrain     P    conquis.

                 Le modèle     E  français,

                    Est  d’hégé   S     monie.

                        Il aura fait    *     du coq,

                         L’emblème  *     adoré.

                           Français    D     macho,

                             Affronte    E     féministe

                          Et même    *       parfois,

                         Se ren       *    contrent !

                       D’être         F     français

                     Point de      R          honte

                    Point de        A           gloire

                  Et à  l’en         N         contre

                   Souvent           C            râleur

                 Et mécon          A          tent né

                   Tout autant       I        que fêtard

                    Très heureux     S          d’exister.

.

Forme

.

.

Évocation

 

Jeune femme française,

Plutôt fine, plutôt fluide

Et qui  pourrait  être

Un mannequin ?

 .

.

É

Comme une sorte de mannequin

On imagine une française, habillée,

Mais dans la réalité, il n’en est rien,

Elle s’habillerait  comme elle veut !

.

Symbolique 

.

Essayeuse

Et puis   sosie 

Et puis le terme de

«Mannequin» 

Commence

À être

Utilisé xxe siècle.

La  distinction sera  alors faite

 Entre modèle  statique, «mannequin»

Mobile mais  le domaine de la «mode»

N’a retenu de nos jours  que le terme de

«Mannequin». «Corps mode aujourd’hui,

C’est silhouette faite au moule d’étroitesse

Incroyable, avec des bras et des jambes,

Interminables, un cou très long  et une

Très petite tête : faut pas avoir d’os  

Trop larges : choses qu’on ne

Peut pas raboter »

Karl Lagerfeld Wikipédia/mannequinat

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Comme une sorte de  mannequin 

On imagine une française, habillée,

Mais dans la réalité, il n’en est rien,

Elle s’habillerait comme elle veut !

.

Symbolique 

.

Française,

Au   chic   inné,

Avec  son  aura

Sulfureuse,

Enfants

Parfaits. 

 

Un cliché ultra-glam

Mais qui désespère

Toute américaine

Qui rêve d’égaler

Cette fashion icône

Un peu trop mythique

Pour être totalement vraie.

Elle est  la déli    cieuse mystificatrice

Qui excelle dans    l’art de « faire genre ».

Elle applique la      devise « less is more »

Dans à peu près       tous les domaines.

Un talent qui n’est       apparemment

Pas donné à tout           le    monde !

madame.lefigaro.fr/societe/l-femme-francaise-

an-american-dream-120813-442368

.

.

Fond/forme 

 .

Pour nombre d’étrangers qui connaissent peu

La France, les femmes sont comme mannequins.

 .

Fausse image, s’il en est, due rien qu’à l’élégance

Véhiculée vans cesse par la mode et la  publicité !

 .

En réalité il y a autant de grosses que de minces,

C’est juste une image de business, non glamour.

.

Textuels et illustrations  >>  

242 – Moïsette, capitaine sur Cornemuse

 Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

Moïsette, comment dire,

Moïse enfant, ferait sourire,

Sauvée des eaux à sa naissance,

Pour  y retourner, à l’adolescence.

.

Professeur de français  en  Belgique,

Donne, ici,  cours  de  mathématiques.

Contraste, paradoxe, ne lui font pas peur,

À elle pleine d’ardeur tout autant douceur.

.

Voilà presque trois ans qu’elle a, tout quitté,

Acheté un voilier, pour, toute seule, naviguer,

A rencontré son alter-ego sur un autre bateau,

Qui la suit de port en port en voguant sur l’eau.

.

Tant et si bien qu’à la fin, ils ont fait…un enfant

Qui est né depuis six mois, Laslow se nommant,

À la fois navigatrice, institutrice, multicréatrice

S’assume comme capitaine et mère préceptrice.

 .

Avec son chien Tarzan, élevé comme un familier

Ça fait  beau trio, sur même bateau, embarqués,

Embarqués pour une vie  qui n’est pas formatée

Dès lors qu’elle décide seule, du pays où habiter.

.

Après séjour au Portugal, Canaries puis Cap vert

Traversée vers les Caraïbes alizés portant l’hiver.

Lors où elle sera et ce qu’elle fera, dans trois ans,

Nul ne sait, elle fait confiance à son grand océan.

.

Un océan, de tendresse, de délicatesse qui laisse

Songeur un globe-trotter,  en mal de maitresse.

Souhaitons-lui  bon vent, avec Laslow, Tarzan :

Je prie pour la revoir, la recevoir avant dix ans.

.

Cornemuse  l’accompagne, la mer n’est bagne,

Bulle protectrice dedans, fier coureur cocagne.

J’atteste sans Contest, qu’un tel havre de paix,

Plein de ses souvenirs et de poupées, me plait.

.

Extensions

.

Une jeune femme, seule, avec son bébé

De un an et son chien qui, d’un port à l’autre,

Vogue sur les flots avec son petit, beau et vieux,

Voilier de huit mètres : on en croit presque rêver.

.

Et pourtant, elle n’est pas folle, et, elle reste même

Accessible à tous sur les pontons, une femme libre

Qui assume, et pleinement, son choix et son sort.

.

Elle donne  des cours de maths, ou, de soutien,

À quelques élèves canariens, histoire de faire

Bouillir  la marmite, et  pour payer les frais

De port,  pour entretenir le bateau, aussi.

.

Nous avons fraternisé  et  avons échangé

Quelques recettes de cuisine, navigation

 Au cours  des quelques repas, communs,

Durant semaine où nous avons été côte

À côte avant de partir … pour d’autres

Destinations, aventures … rencontres !

.

Reviendra-t-elle à terre un jour à venir,

Il n’y a qu’elle seule, qui le sait, le saura,

Mais ce serait un plaisir, que de se revoir,

Pour parler de nos diverses folles destinées !

.

Une femme seule autour de la trentaine, sur un voilier de dix mètres,

Naviguant de port en port depuis la Belgique, donnant cours de maths.

Il faut bien vivre : à l’origine, elle était professeur de français … là-haut.

Seule, j’oubliais deux détails, avec enfant de neuf mois, un chien à bord.

Ça mérite le respect, tout de même : courage, connaissance, autonomie.

Je vous laisse imaginez, comment, et pourquoi, elle vit  différemment !

Nous avons fraternisé étant voisins, ça m’a beaucoup impressionné.

.

Une vie jeune et déjà bien remplie, assumée,

Avec un avenir incertain fait d’on ne sait quoi

Sur terre on appellerait cela la vie de bohème,

Mais sur mer, pour une femme : aventurière !

.

Elle aurait pu choisir un voilier plus moderne,

Qu’un vieux gréement, joli, mais qui se traine,

Avec qui malgré tout, elle n’est pas à la peine,

Comme compagnon de route, solide et fidèle.

.

Fragments

.

Partir en couple, avec enfants,

C’est plus fréquent que solitaire

C’est souvent le cas des hommes,

Plus rarement celui d‘une femme,

Avec bébé de huit mois et un chien,

Qui plus est avec un ancien gréement.

.

Ancienne institutrice en mathématiques,

Elle a démissionné  d’Éducation Nationale,

Donne sur voilier, cours de rattrapages privés

Pour subvenir à ses besoins et ses obligations :

Frais de ports, nourritures, entretiens,  etcetera.

.

Elle nous fait part de sa passion de naviguer seule

C’est un rêve qui lui a tenu depuis son adolescence

Mesurant toutes les contraintes et tous les risques,

Si fait qu’elle a toujours le sourire, quoiqu’il arrive.

.

Je ne sais pas si j’aurais une telle force de caractère,

De tout quitter avec un bébé serait pour moi, galère,

Bien que pour elle, cela n’a rien de si extraordinaire.

.

Voilà une belle personne qu’on ne rencontre ailleurs,

Ce n’est qu’en naviguant que le hasard sera meilleur.

.

Tant et si bien que sa rencontre est marque blanche.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

Moïsette, comment dire,

Moïse enfant, ferait sourire,

Sauvée des eaux à sa naissance,

Pour  y retourner,   à   l’adolescence.

Professeur de français  M   en Belgique,

Donne, ici, cours de     O   mathématiques.

Contraste, paradoxe,    Ï ne lui font pas peur,

À elle pleine d’ardeur     S  tout autant douceur.

Voilà presque trois ans    E   qu’elle a, tout quitté,

Acheté un voilier, pour,     T  toute seule, naviguer.

A rencontré son alter ego    T   sur un autre bateau,

Qui la suit, de port en port        voguant sur l’eau.

.

Tant et si bien qu’à la fin       C  ils ont fait un enfant

Qui est né depuis six mois     A  Laslow se nommant.

À la fois navigatrice, institu    P  trice, multicréatrice

S’assume comme capitaine      I      mère préceptrice.

               

Avec son chien Tarzan élevé    A    comme un familier

Ça fait beau trio sur même      I    bateau, embarqués,

Embarqués pour une vie qui  N      n’est pas formatée

Dès lors qu’elle décide seule   E     du pays où habiter.

.

Après séjour, au Portugal,    S  Canaries puis Cap vert

Traversée vers les Caraïbes U     alizés portant l’hiver.

Lors où elle sera et ce qu’  R    elle fera dans trois ans,

Nul ne sait : elle fait con     fiance à son grand océan.

.

Un océan, de tendresse,    C   de délicatesse qui laisse

Songeur globe-trotters     O       en mal de maitresse.

Souhaitons-lui  bon vent  R     avec Laslow, Tarzan :

Je prie pour la revoir, la   N recevoir avant dix ans.

      E

Cornemuse  l’accompagne  M   la mer n’est bagne,

Bulle protectrice dedans, fier  U coureur cocagne.

J’atteste sans Contest, qu’un tel  S havre de paix,

Plein de ses souvenirs, ses poupées  E  me plait.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Peut-être une borne kilométrique,

Ou peut être une bouteille thermos,

Bon d’accord, cela peut représenter

 Un sac cornemuse, qui résonne.

.

242 4

.

Une vraie cornemuse, pour sûr

Est assez  loin  d’être  un bateau :

Et pourtant  quelque chose me dit

Qu’elle  résonnerait  tout  pareille !

Quoiqu’il en soit ou quoiqu’il en fût,

Cornemuse, bien que nom de bateau,

Ne sied pas à femme comme capitaine

Et ainsi la forme se démarque du fond.

.

Symbolique 

 .

Symbole d’Écosse, la cornemuse

Est pratiquée  depuis Le XIIIe siècle.

Les premières avaient un seul bourdon,

Elle en  a adopté  un  deuxième, troisième.

 

La  cornemuse,  de  type  bagpipe,  irlandaise,

Était utilisée à des fins essentiellement guerrières

Et ne subsiste, aujourd’hui que dans les pipes bands.

 

La cornemuse, symbolique du pays est le uilleann pipe

XVIIe, siècle, la poche, au lieu d’être gonflée à la bouche,

L’est à l’aide d’un soufflet actionné par le bras.

Le   biniou, une  cornemuse   bretonne,

Est plus petit   et est   plus aigu.

Elle n’a qu’un bourdon.

encycl-celt.chez-alice.fr

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

242 6

.

Une vraie cornemuse, pour sûr

Et bien loin d’être un bateau :

Et pourtant quelque chose me dit

Qu’elle résonnerait pareils.

.

Symbolique

.

L’Ecosse,

Et dans une

 Certaine

Mesure la Bretagne,

Qui ont su afficher la cornemuse

Comme leur second   drapeau qui résonne.

Le grand public connaît d’ailleurs plus, de l’Écosse

L’image de la cornemuse que celle du drapeau ou chardon

Ont, par là même, réussi à focaliser l’image de la cornemuse

Sur leur pays  à tel point que  même  pour  de nombreuses

Personnes natives de régions à tradition de cornemuse

Relativement proche, celle-ci symbolise maintenant

L’Écosse et la Bretagne.

jeanluc.matte.free.fr ›

articles ›symbolique

.

.

Fond /forme

 .

Une jeune femme, un bébé, un chien

Un bateau.

On s’attend à trouver un peu de tout

Sur l’eau

Mais cet équipage reste pour le moins

Trop beau.

Et pourtant cela marche, et cela tient,

À tous niveaux

Et vogue la mer, et vogue la … galère

Très loin du chaos. 

.

 Textuels et illustrations  >>    

241 – Gwen et Marie en crise sur Silencio

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ils se seraient rencontrés

En Bretagne à Perros-Guirec

Suite  à un   «coup de foudre»,

Partent sur leur  «coup de tête».

.

Sur  le voilier  nommé « Silence »

Faisant  trente-trois  pieds de long,

Aux Canaries,  au  port Las Palmas,

Ils auront atterris  pour s’y installer.

.

Marie y vit pendant  toute l’année,

Alors que  Gwen  s’en va travailler

Comme Capitaine  de ravitailleur

Sur une plateforme, pétrolière.

.

Marie y vit à l’année,

Gwen s’en va travailler

Capitaine de ravitailleur,

Sur plateforme pétrolière.

Qu’il soit là qu’à mi-temps,

Déprime, aujour d’hui, Marie,

Et qui à son tour déprime Gwen.

.

C’est leur vie, bien qu’en l’impasse.

Mais c’est, un peu le Monde à l’envers

Marie s’occupant de l’entretien du bateau,

Peinture, soudure, voilure ne lui feront peur.

Fait le ménage, cuisine avec le même bonheur

Tout en cousant ses habits, de vieux morceaux.

.

Nous les avons vus évoluer sur les trois années,

Tous deux sont charmants  et sont bon vivants.

Après avoir bien vogué  sur le haut de la vague,

Ils se sont trouvés  en son plein creux de vague.

Il ne faut pas, croire que de partir, larguer tout,

Va complètement, changer la vie, résoudra tout.

.

Vouloir refaire sa vie, ailleurs  est un projet fou :

Les difficultés d’insertion sont légions … partout.

Comment allons-nous les trouver, l’an prochain :

Difficile  de   le  prédire à moins d’être  un devin !

L’univers du marin  est un univers  très masculin,

La femme se retrouvera coincée en espace de rien.

.

Marie a suivi son compagnon : elle dépend de lui,

Son rêve de liberté totale depuis, s’est … évanoui !

Je ne sais  ce qu’ils deviendront : c’est leur avenir,

Ils auront tenté et été jusqu’au bout pour en finir.

Continent ne leur convenait plus et pays non plus.

Leur faut encore partir ailleurs pour s’aimer plus.

.

Extensions 

.

Un vrai poème, ce curieux couple,

Un peu à la dérive, bien que restant

Scotchés des mois, voire, des années,

Au ponton de la marina de Las Palmas.

.

Eux aussi, sont partis  de Perros-Guirec,

Un soir  de fête, sur un coup de tête  mais

Ne sont jamais revenus au point de départ.

.

Capitaine ravitailleur plate-forme pétrolière

Lui, il est absent durant la moitié du temps,

Tant et si bien qu’à force de vivre seule,

Elle a fini par déprimer : on en ferait

Peut-être autant, allez savoir.

.

En tous cas, elle s’occupe à l’entretien

Du bateau et à sa déco comme pas deux :

Un véritable nid douillet pour couple amoureux,

Sauf que solitude lui pèse trop sur son Silence,

Un nom prédestiné ou plutôt prémonitoire.

.

Gwen et Marie, la cinquantaine, sans enfants, rencontrés à Perros

Un couple au début, romantique à souhait : passionnés, fusionnels,

Et puis crac, boum, hue, allez savoir pourquoi, allez savoir comment

Ça crise un max, et, ça se corse, ça s’exprime, en pleurs, cris, paroles !

Marie serait-elle bipolaire : Gwen ne serait–il plus si extraordinaire !

Toujours est-il que les tensions se font jour mais il faut avouer aussi,

Que Gwen n’a pas sorti son bateau, Silencio, depuis fort longtemps

Silencio : quel beau nom pour des amours secrets, amours volés,

Mais a contrario, quelle prison pour une amante trop esseulée.

.

Les amants d’un jour, qui se sont rencontrés

Et qui sont partis au loin sur un coup de tête

Pour autant ne sont pas amants de toujours !

.

C’est ce qui arrive au couple de Gwen et Marie

Croyant atteindre les canaries comme paradis,

Ils auront échoué dans une sorte de purgatoire.

.

Absent six mois, sur une plateforme pétrolière,

Il laisse femme au bout d’un long quai désert,

Qui peu à peu s’ennui, devient mélancolique.

.

L’on comprend ce qu’est : femme de marin,

Surtout sans enfants compensant absence.

.

Fragments

.

Rien ici pour le moment

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Ils se seraient        G            rencontrés

En Bretagne, à        W      Perros-Guirec

Suite à un «coup     E              de foudre»,

 Partent sur leur        N         «coup de tête».

Sur le voilier nom      *           mé « Silence »

Faisant trente-trois    E            pieds, de long,

Aux Canaries, au         T        port Las Palmas,

Ils auront atterris        *         pour s’y installer.

Marie y vit pen            M      dant toute l’année,

Alors que Gwen            A           s’en va travailler

Comme Capitaine         R               de ravitailleur

Sur une plateforme,      I                      pétrolière.

E

Marie y vit    ¤                    ¤     à l’année,

Gwen s’en      ¤                            ¤  va travailler

Capitaine de   ¤                                 ¤   ravitailleur,

Sur plateforme ¤                                   ¤       pétrolière.

Qu’il soit là qu   ¤                                    ¤     à mi-temps,

Déprime, aujour ¤                                  ¤    d’hui, Marie,

Et qui à son tour  ¤                              ¤ déprime Gwen.

C’est leur vie bien  ¤                         ¤  qu’en l’impasse.

Mais c’est, un peu    ¤                   ¤  Monde à l’envers

Marie s’occupant de    ¤      ¤  l’entretien du bateau,

Peinture, soudure, voi      lure ne lui font pas peur.

Fait le ménage, cuisine       avec le même bonheur,

Tout en cousant ses habits    avec vieux morceaux.

             E

Nous les avons vus évoluer   N   sur les trois années

Tous deux sont charmants    *     et sont bon vivants.

Après avoir bien vogué sur    C      le haut de la vague,

Ils se sont trouvés en son      R     plein creux de vague.

Il ne faut pas, croire que      I     de partir, larguer tout,

Va complètement, chan      S   ger la vie, résoudra tout.

E

Vouloir refaire sa vie,         *    ailleurs est un projet fou :

Les difficultés d’inser         S   tion sont légions…partout.

Comment allons-nous        U   les trouver, l’an prochain :

Difficile  de   le  prédire      R     à moins d’être  un devin !

L’univers du marin est        *      un univers très masculin,

La femme se retrouvera       S    coincée en espace de rien.

I

Marie a suivi son compa      L       gnon, elle dépend de lui,

Son rêve de liberté totale      E        depuis, s’est … évanoui !

Je ne sais ce qu’ils devien     N        dront : c’est leur avenir,

Ils auront tenté et été jus      C        qu’au bout pour en finir.

Continent ne leur conve        I      nait plus et pays non plus.

Il leur faut encore partir      O     ailleurs pour s’aimer plus.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Deux corps, d’un couple,

Qui ne se fondent pas

Ne se fondent plus

En une tête !

.

241 1

.

Gwen  demeure  un  grand  marin,

Ravitaillant  plateforme  pétrolière.

Quant à Marie, une femme très libre,

Sensible attachée à lui, à son couple.

Ils  ne  sont pas     tête  contre  tête,

Côte à côte   comme  vieux couple,

Ils se voient peu … s’écoutent peu,

Ainsi leur forme rejoint leur fond !

.

Symbolique

.

  En    littérature,     folklore populaire,

Nombre marins        sont représentés

Par personnages         emblématiques :

Comme Capitaine       cuistot, le mousse,

Vieux loup de mer         et voire le corsaire,

Qui  sont confrontés        aux pirate et sirènes,

Aux créatures marines         géantes  ou aux tempêtes,

Avant d’échouer sur des       îles désertes  où il y a  fortes

Probabilités pour qu’ils        découvrent un coffre au trésor

Enfoui dans le sol        par les pirates grâce à une

«Carte         au trésor» codée.

Wikipédia/imaginaire populaire

.

.

Fond

.

Évocation 

.

241 6

.

Gwen demeure un grand marin,

Ravitaillant  plateforme  pétrolière.

Quant à Marie, une femme très libre,

Sensible attachée à lui, à son couple.

.

Symbolique 

 .

                                            ^

                                            // ||

          Pour être       //

une femme libre ?

On peut être  une femme  libérée

Avoir  le  droit  de vote, un  métier,

Un chéquier,  la pilule,  des amants…

 

Sans cependant accéder véritable liberté

Celle d’être soi, sans attendre autorisation

Venue de l’extérieur.

Comment oser vivre réellement ses désirs ?

Pour être libre, faut avoir confiance en soi.

Psychologies.com Comment-s-autoriser-

a-etre-une-femme-libre

||

== || ==

||

.

.

Fond/forme 

 .

Lui est un grand marin

Et elle une petite marine,

Qui l’a suivi comme on part

Avec un capitaine, et au loin

En laissant, derrière, toutes

Ses attaches de Bretagne

Pour vivre ailleurs, ici

Aux canaries, rêves

Beaux, épanouis,

Qui tourneront

Cauchemar.

.

Textuels et illustrations   >> 

240 – Gislaine et Dominique sur Mantalo

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

Cela fera bientôt sept ans

Qu’ils voguent sans galère,

Sur leur voilier « Mantalo »

Faisant  quarante-trois pieds

Et qu’ils ont, eux-mêmes, bâti

Sur très grand naval chantier.

Pour  trouver  leur  équilibre,

Entre les terres  et les mers,

Ils vont d’escale en escale,

Autour de Méditerranée

Pour bien s’amariner,

Profiter des congés.

.

Sur le voilier, le temps, s’écoule différemment

Naviguant d’iles en terres depuis et quatre ans

Avec leur dernier enfant, ont traversé  l’océan,

Ici et là-bas, avec cours  par  correspondances,

Et le bateau lui pesant, parvenu à l’adolescence

Ils naviguent depuis, seuls la  plupart du  temps.

.

Nous les avons rencontrés  à Las Palmas,  Canaries,

Le soir de notre arrivée, à Santa Cruz … de Tenerife

Et de suite le contact s’est fait, comme  par affinités

S’étant confirmées, le jour suivant,  comme  invités.

.

Puis  nous  avons  échangé nos  parcours  navigation,

Ainsi  que nos profils  familiaux et nos projets à venir

Et nos journaux de bord en buvant vin blanc canarien

Bach et autres, orchestrant belle humeur satisfaction.

.

C’est ainsi que, petit à petit  vu  la philosophie  de vie,

Nous paraissant, proche de  la nôtre, nous a conquis,

Tout quitter  pour naviguer  pour vivre sur le bateau,

Certains le font, lors jeunes ou vieux, tel  grand saut.

.

Le lendemain,  avons diné  à six et dans notre carré,

Gwen et Marie, en invités, autre profil, autre projet

Vivant au port sur Silence  depuis  trois ans  passés,

En arrivant ici, comme au  paradis se sont installés.

.

En vacances, sur Ar-Kilé, en itinérance, sur Mantalo,

Ou en résidence sur Silence chacun réalisant son rêve

Avec  les contraintes que la vie, sur un bateau, impose,

Mais au final, rapport à terre, leurs esprits, ils reposent.

.

Avion, voiture et randonnée, en compléments du bateau.

Avion, pour faire un saut dans la famille ou pour les visiter,

Voiture pour parcourir les iles, randonnées, pour y marcher :

Les reverrons-nous, qui sait, un jour : soit sur terre, sur l’eau.

.

Extensions 

.

Passer sept années à bourlinguer,

Ce n’est pas rien, une tranche de vie :

Et comment faire, après telle coupure,

Pour revenir à terre, y rester longtemps !

.

Il est vrai que voilier  de  quatorze mètres,

Avouons, c’est plus que confortable, à deux

Pour y vivre à bord en marge, toute l’année/

.

Lors comme ils ont une très bonne retraite,

De quoi tout assurer, mais, c’est courageux

Quand même et on en serait à les envier !

.

Un couple, autour d’un peu plus de  la cinquantaine :

Qui a décidé ne pas mettre leur vie  en quarantaine,

S’est acheté un voiler qu’ils ont, depuis sept années

À voguer de port en port, atlantique, méditerranée.

Nous aurions pu être eux, et cela mis à part  qu’eux,

Ils naviguent  toute, l’année, et nous, seulement  l’été.

Qu’importe cette différence, ils se disent être heureux !

.

Un couple, fin de cinquantaine, qui aura tout vendu,

Pour s’offrir un grand voiler, du temps pour naviguer

Avec bonne réserve d’agent pour voir venir longtemps

On pourrait presque croire qu’ils ils ont gagné au loto.

.

Mais ce n’est pas le cas, ce n’est que fruit d’entreprise

Un nouveau choix de vie et lors donc leur nouvel élan,

Vers une liberté dont ils jouissent comme ils veulent,

Naviguant d’ile en ile, avec les enfants, en vacances.

.

Fragments

.

Un couple proche de leur retraite

Donc, par là, plus proche de nous,

Avec un beau bateau, beau projet,

Et qu’il caressait depuis douze ans

Fabriquant eux-mêmes leur voilier,

Méditerranée, océan, en quatre ans

.

On aura saisi, avec eux, qu’un projet

De navigation au long cours en voilier

Se prépare de longue date, en budgets

Tant lorsqu’on part sur un coup de tête

Il s’agira plus de fuir que de construire

Une nouvelle vie ailleurs, pour toujours.

.

De naviguer  deux  à  trois  mois, par an,

N’aura rien à voir  avec mettre les voiles,

Voilier pour nous : résidence secondaire,

Pour eux, principale  et avec rien d’autre.

Ça suppose dire adieu à sa vie antérieure,

Si on tient à famille, est-ce choix meilleur.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

Cela fera bientôt sept ans

Qu’ils voguent     sans galère,

Sur leur voilier   G   « Mantalo »

Faisant  quaran   I    te-trois pieds

Et qu’ils ont eux    S       mêmes, bâti

Sur un très grand   L    naval chantier.

Pour trouver           A      leur équilibre,

Entre les terres        I            et les mers,

Ils vont d’esca                   le en escale,

Autour de Mé          E             diterranée

Pour bien                             s’amariner,

Profiter                              des congés.

.

Sur le voilier, le temps, pour eux, s’écoule différemment

Naviguant d’iles en terres          depuis bientôt quatre ans

Avec leur dernier enfant,                  auront traversé l’océan,

Ici et là-bas, avec cours           E            par correspondances,

Mais le bateau lui pesant         T         parvenu à l’adolescence

Ils naviguent depuis seuls                   ou la  plupart du  temps.

.

Nous les avons rencontrés        D         à  Las Palmas,  Canaries,

Le soir de notre arrivée, à         O         Santa Cruz … de Tenerife

Et de suite le contact s’est         M         fait, comme  par affinités

S’étant confirmées, le jour          I           suivant,  comme  invités.

 N

Puis  nous  avons  échangé          I          nos  parcours  navigation,

Ainsi  que nos profils  fami         Q         liaux et nos projets à venir

Et nos journaux de bord en         U          buvant vin blanc canarien

Bach et autres, orchestrant         E           belle humeur satisfaction.

.

C’est ainsi que, petit à petit         S            vu  la philosophie  de vie,

Nous paraissant, proche de         U           la nôtre,  nous a conquis,

Tout quitter  pour naviguer        R           pour vivre  sur le bateau,

Certains le font, lors jeunes                      ou vieux, tel  grand saut.

.

Le lendemain,  avons diné         M          à six et dans notre carré,

Gwen et Marie, en invités          A           autre profil, autre projet

Vivant au port sur Silence         N          depuis  trois ans  passés,

En arrivant ici, comme au         T          paradis se sont installés.

  A

En vacances, sur Ar-Kilé, en      L          itinérance, sur Mantalo,

Ou en résidence sur Silence       O        chacun réalisant son rêve

Avec les contraintes que la                  vie, sur le bateau, impose,

Mais au final, par rapport à               terre, l’esprit, ils reposent.

Avion, voiture et randonnée,            en compléments du bateau.

Avion, pour faire un saut dans      la famille, ou pour les visiter,

Voiture pour parcourir les iles,   randonnées, pour y marcher !

Les reverrons-nous, qui sait, un jour : soit sur terre, sur l’eau.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Deux corps en couple  

Avec leurs deux têtes qui

Se confondent comme une 

Seule en une preuve amour !

.

240 4

.

En couple, une circumnavigation,

 C’est partir à l’aventure :

Ce dans tous les sens du terme et ce

 Aussi jusqu’à son terme.

Face à face, et tête contre tête,

Un couple ne se la prendra pas,

Tant qu’ils ont partage d’amour,

Et ainsi la forme épouse le fond.

.

Symbolique 

 .

Quel sens et

Pour quel couple ?

Se sentir à l’unis     son du partenaire

Sur les questions          les plus profondes,

Et les plus brûlan         tes, n’adviendra pas

   Cela   est    certain,          du jour au lendemain.

Tant, explorer ces            questions, ensemble,

Est processus conti         nu à échelle d’une vie.

But ne doit pas être          de se mettre d’accord

Sur  ce  qui  compte           pour  vous : de  vivre

Au sein d’une union,         où chacun, est ouvert

Aux convictions les         plus chères de l’autre.

Modifié, source : sexologues.canalblog.com

.

.

Fond

.

Évocation 

.

240 6

.

En couple, une circumnavigation,

 C’est partir à l’aventure :

Ce dans tous les sens du terme et ce

 Aussi jusqu’à son terme.

 .

Symbolique 

.

  

                                                              ^

                                                           // \\

        L’amour relève       //

De la  symbolique de  //

L’union       des       opposés.

 .

Il est la pulsion fondamentale de l’être,

Libido pousse chacun à se réaliser dans l’action.

 .

Ce passage à l’acte ne se produit que par le contact

Avec l’autre, par une suite d’échanges matériels,

Sensibles, spirituels qui sont autant de chocs.

 .

L’amour tend à surmonter antagonismes,

À  assimiler  des  choses  différentes,

Les intégrer en une même unité.

 .

   ||

  == || ==

||

.

.

Fond/forme 

 .

De vieux routiers, si l’on peut dire,

Des mers et des escales et mouillages

Sept ans qu’ils naviguent avec enfants

Leurs  enfants, devenus grands, ils ont

Continué à deux, toujours  amoureux,

De la mer et ses rencontres mystères

Et nous avons été des plus heureux

De partager avec eux expérience

Qui par des côtés nous semble,

Presque identique à la nôtre

À quelque différence d’âge près,

C’est la mer qui nous a rapprochés.

.

 Textuels et illustrations  >>

238 – Damien et Anne-Laure sur Nabucco (II)

 Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ils nous ont tenus au courant,

Mensuellement de leurs péripéties

Lorsqu’ils étaient ou non naviguant,

Vers le sud d’abord, Cap vert devant

Avant de traverser,  enfin,  l’océan !

.

 On a appris  qu’ils avaient franchi,

Le Pot au Noir  et sans histoires,

Autre que pétole, grand calme,

Sans vent trois jours durant

Tout en implorant Éole.

.

Et

Oui

Après

Des hauts

 Quelques bas

Et des frayeurs

Vivre, surmonter

Et les voici arrivés

À Bahia, côte Brésil,

Port accueillant, facile.

.

De là, ils  seront  repartis

À frontière  de  Patagonie,

Pour  accoucher  d’une fille,

Un pied  sur terre, autre, mer

C’est ainsi  qu’elle  aura débuté

Toute première  année  de sa vie.

.

Puis, remontant jusqu’aux Antilles,

Progressivement prenant leur temps

Ils ont pris soin  de  leur  petite fille,

 Ravis de pouvoir voir grand-parent.

.

  Retour  maison, Sud de la France,

  Leur arrivée  fut  pure  délivrance

   Après quatre ans de joies, galères,

  Ils se sont posés sur coin de terre

     Et  là, devinez : ils se sont mariés !

.

     Lors on se supporte, avec le bébé,

     Sur un voilier : l’on s’est vacciné,

      L’or ne coulera pas  avec Damien

      Mais il en aurait déjà avec Laure.

.

        Depuis nous les avons perdus de vue

        Or ils sont encore prêts à nous revoir

          Histoire de réactiver très bon souvenir

           Ou s’en créer d’autres et à n’en plus finir

.

   Il est vrai qu’un grand voilier de douze mètres, et bien moderne

Est un beau transport pour aller presque jusqu’au bout du monde

Même s’il ne va pas très vite, on a le temps, il est tient lieu d’habitation,

Avec le plaisir en plus d’être sur l’eau, au milieu de nulle part et tranquille.

.

Extensions 

.

J’ai un peu de mal à m’imaginer

Avec  nouveau-né à nord du voilier

Et plus encore à naviguer avec lui,

Même si c’est de port en port !

 .

Quant à faire la traversée d’Atlantique,

Pour ma part,  je ne m’y risquerais pas,

Mais après tout pourquoi pas.

 .

Je présume que d’autres couples l’ont fait

Avant  eux, peut-être  même  d’accoucher

En cours de navigation.

 .

Chacun prend les contraintes  et risques,

Qu’il veut, ou qu’il peut, et avec les joies

Et bonheurs allant avec

.

C’est une façon, comme une autre,

De conforter dès les premiers jours

L’Adn navigateur ou navigatrice,

Qui coule dans ses veines.

 .

Ils ont poursuivi leur route, sans nous, navigateurs infatigables,

Et de leurs nouvelles sensations, émotions, actions, insatiables !

Arrivés à Bahia, au Brésil, ils nous ont annoncé  leur conception,

Non de la traversée, mais de prendre soin du bébé, sur le bateau.

Voilà un petit marin qui gardera toujours, un œil et pied, sur lui.

Nous espérons que nous les reverrons un jour, mais Dieu sait où.

C’était un rêve fou de le faire, mais une folie de ne pas le réaliser.

.

Je ne m’imagine pas en train de traverser

L’Océan Atlantique avec petit bébé à bord.

D’autres l’ont déjà fait  et d’autres le feront,

Ce n’est pas une grande performance en soi,

Mais tout de même : s’il se rendait malade !

.

De découvrir une mère sur une mer immense

Avec les mouvements et les bruits du bateau,

Le marquera certainement  un long moment,

Pour autant, deviendra-t-il marin ou terrien,

Il est bien trop jeune encore pour son destin.

.

Nous les avons revus en autre port canarien

Et nous avons continué à échanger avec eux

Le récit de leurs pérégrinations, en témoins

D’une belle rencontre comme il y en a peu

Qui laisse comme du baume en nos yeux.

.

Fragments

.

Nous les avons rencontrés de nouveau

Dans un autre port  en ile de tenerife,

Avant qu’ils partent pour le  cap vert :

Dernière étape avant longue traversée.

.

Traverser l’atlantique pour Martinique

En repassant par archipel des Açores,

Nous tentent en projet de navigation,

Le feront nous, je ne suis pas certain.

.

Des récits, journaux, carnets voyages,

Nous racontent nombre de péripéties,

Qui, en général,  se seront  bien finies,

Peu auront navigué avec bébé à bord.

.

Ce qu’il en reste, d’une telle rencontre,

Est plus qu’un simple et bon  souvenir

Événement à marquer pierre blanche,

Tant il est rare, et voire  quasi unique.

.

Nous avons gardé contact, des années,

Et puis le temps  et distances, ont joué,

Et il en est ainsi de bien des rencontres

Pour autant, quel plaisir de … partager.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme (II)

 .

Ils nous ont tenus au courant

Mensuellement de leurs péripéties

Lorsqu’ils étaient ou non naviguant,

Vers le sud d’abord, Cap vert devant

Avant de traverser,  enfin,  l’océan !

 On a appris  qu’ils avaient franchi,

Le Pot au Noir  et sans histoires,

Autre que pétole, grand calme,

Sans vent trois jours durant

Tout en implorant Éole.

 .

Et…..

Oui……

Après…….

Des hauts…..

Quelques bas…

Et des frayeurs…

Vivre, surmonter…

Et les voici  arrivés…

À Bahia,  c ôte Brésil…

Port accueillant, facile…

Et de là, ils seront repartis

À  frontière      D   Patagonie,

Pour accoucher  A    d’une fille,

Un pied sur terre M    autre, mer

C’est ainsi qu’elle    I     aura débuté

La toute première  E année de sa vie.

Puis, remontant  N  jusqu’aux Antilles,

Progressivement   *   prenant leur temps

Ils ont pris soin     T     De leur petite fille,

 Ravis de pouvoir    O       voir grand-parent.

  Retour maison        U            sud de la France

  Leur arrivée fut         T               pure  délivrance

   Après quatre ans         *                 de joies, galères,

  Ils se sont posés           S                sur coin de terre.

     Et là, devinez :              U                 ils se sont mariés !

     Lors on se sup                R                    porte avec le bébé

     Sur un voilier :                 *                       l’on s’est vacciné.

      L’or ne coulera                  L                          pas avec Damien

      Mais  pourra en                 E                           avoir avec Laure.

        Depuis les avons                  *                                perdus  … de vue

        Or ils sont encore                  M                                prêts nous revoir

          Lors pour réactiver                A                                    très bon souvenir

           Ou s’en créer d’autres              T                                    et à n’en plus finir.

   Il est vrai qu’un grand voilier     *     de douze mètres, et bien moderne

Est un beau transport pour aller  *      presque jusqu’au bout du monde

Même s’il ne va pas très vite, on a   le temps, il est tient lieu d’habitation,

Avec le plaisir en plus d’être sur l’eau,  au milieu de nulle part et tranquille.

.

Forme

.

.

Évocation

.

La grand-voile  ou  le  génois

Bien hissés, étarqués, souqués

Et avec le minimum de creux

Pour avancer au vent, rêver.

.

238 4

.

Avec un tel voilier bien affuté,

Bien armé, idéal pour

Naviguer à deux, sur Nabucco

Leur donne à rêver.

 

Un blanc nuage,  en haut  du mât,

Semble s’être dessiné, bien installé

Pour les accompagner et protéger

Et ainsi la forme s’accorde au fond.

 .

Symbolique 

 .

Mettre

Les voiles

Est  l’expression

Illustrant le symbole.

La voile se gonfle se lève,

Se tend, s’étarque,  se réduit,

Se baisse, s’abat  …  se remplit,

Se vide, se courbe… flotte au vent,

Reflète le besoin du départ imaginé.

Invitation  à  quitter terre  ferme  pour

L’élément liquide mais il faut se rappeler

 .

Que l’on ne quittera pas le port sur un  simple coup de tête.

Et qu’un long voyage se préparera en prenant

 En compte conditions météo.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

238 6

.

Avec un tel voilier bien affuté,

Bien armé, idéal pour

Naviguer à deux, sur Nabucco

Leur donne à rêver.

 .

Symbolique 

.

Rêver serait, selon certains,

Oublier le temps pesant,

Avec toute pesante matérialité,

Son anxiété, des sentiments

Partagés, de vivre ses espérances,

D’être ce qu’il voudrait être.

.

Il sert de décompression  aux trop

Grandes fatigues psychiques.

Lors on rêve au lieu d’agir, on rêve

Parce qu’on ne peut pas agir.

.

Tandis qu’autres se prélassent dans

Une multitude de songes creux

Ou ils demeurent comme endormis

Dans leur confort ou misère

L’inconscient et le conscient sont

Alors parfaitement complices.

.

.

Fond/forme 

 .

Ils ont mis et le paquet, et les voiles

Vendant tous leurs biens et quittant

Parents, amis, confort,  pour avenir

Incertain.

 .

Quand on aime à ce point

On fera le tour du Monde, joyeux,

Et c’est ce qui leur arrive de mieux,

Que de passer du rêve à sa réalité

Et de partir sans rien regretter. 

.

 Textuels et illustrations  >>  

237 – Damien et Anne-Laure sur Nabucco (I)

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Un  jeune  couple,

Frisant la trentaine

Lui  de  Martigues

Et elle  du Cantal,

Se sont mis  en tête

De  circumvolutionner,

Et, cela, juste après avoir

Fini de préparer  le bateau.

.

Deux années  pour  travaux,

Avant de venir mettre à flot,

Pour  voguer,  bien,  ou  mal

Vers  le vent pur  … zénithal.

.

Nabucco est  bien son nom,

Voilier de trente-huit pieds

Bucco cela lui va très bien

Pour l’excellent cuisinier

Qui sait faire  son pain

Comme le boulanger

Essaie toute recette

France, Étranger.

.

 Rencontrés

Arrecife Lanzarote

Où pour nous inviter

Sont venus  en annexe,

Et ont trouvé un prétexte

À se connaitre s’apprécier.

.

En tant que marins et hôtes,

Nous nous  sommes  dévoilés,

Et nous nous sommes attachés,

Au point de devenir de vrais amis

Malgré trente ans de plus … vieillis.

.

Il n’y a plus d’âge, entre aventuriers ;

Quand on prend cinq ans à bourlinguer.

Nous, à la retraite  et  par  petites étapes !

Eux ; besoin de travailler, ils prennent date !

Serait-ce pour fuir la réalité ou pour se réfugier

Dans un vieux rêve, déjà trop longtemps, caressé.

.

Que nenni, point : pour mieux se connaitre, s’aimer

Et découvrir l’Océan, le Monde, et par tous ses côtés.

Et, nous les avons retrouvés, plus tard, à Las Palmas,

Sans même se concerter  et avons poursuivi, marins,

Les échanges, que nous avions entamés, pas si loin,

Sur différents  travaux, conseils, astuces, recettes.

.

Fonder famille ils désirent, bateau comme étoile

Comme lieu de maternité, de vie, d’éducation,

Pour leurs enfants sans impairs nés de mers

Où la débrouillardise est toujours de mise,

Où autorité négociation jamais soumise

À l’arbitraire fou des vents contraires.

.

Extensions 

.

Il est gestionnaire de terrains,

Elle, est psychomotricienne

Oui mais qu’à cela ne tient,

Mais qu’à cela ne tienne,

Ils auront tout largués

Pour une aventure extraordinaire

Voir si leur union tiendra quatre ans.

.

On ne peut que leur souhaiter de réussir

À franchir tous les caps qu’ils se sont fixés,

Qu’ils soient en mer ou bien à terre,

En tant que père ou en tant mère,

Gestionnaire ou humanitaire !

.

Ils ne peuvent que s’en sortir

Renforcés dans leurs motivations

À faire ce que leurs choix leur poussent.

.

Un couple jeune, parti trois ans pour un tour du monde

Avec l’intention de faire un, voire deux enfants, en route,

Qui nous a invité et accueilli plusieurs fois sur leur bateau

Réciproquement durant une  semaine à Arrecife Lanzarote

Un bel exemple d’amitié, spontanée, et, intergénérationnelle,

Qui nous a fait chaud au cœur et fait garder le souvenir intact

Comme s’ils étaient nos enfants bien qu’en étant des étrangers !

.

 Beau projet, s’il en est que tout vendre,

Pour partir à l’aventure pour deux ans

Avec l’idée de faire un enfant, en route,

Qui, pour le moins, aura le pied marin.

.

Un couple qui avait le cœur sur la main,

Qui au premier regard nous aura adopté.

Ce n’’est pas tant l’apéro qui nous a séduit

Façon de nous inviter… bien qu’étrangers !

.

Si vrai  que  nos  deux bateaux,  mouillaient

Côte à côte pas très loin, mais de là à mettre

Une annexe à l’eau, et en plein coup de vent,

Faut le vouloir, quand-même, tant ça craint.

.

Fragments

.

Un bien beau couple,

Un bien beau  bateau :

Pur et vrai coup double,

Jeunes, cerise sur gâteau.

.

Un jour de tempête, Arrecife,

Nous étions réfugiés, avant-port :

Non loin d’eux, cent mètres à peine

Difficile de mettre une annexe à l’eau.

.

Mais eux l’on fait, curieux de connaitre

Notre couple plus vieux,  notre capitaine,

Nous rejoignent sur bateau avec un gâteau

Que nous avons partagé, avec apéro… porto !

.

Leur voilier de quarante pieds, un mètre de plus

Que le nôtre, a fière allure, fière mâture, pour sûr,

La trentaine tous les deux, ils vont traverser l’océan

Ils ont pour projet d’accoucher bébé à Rio de Janeiro

.

Le courant est passé entre nous, malgré différence d’âge,

Faut dire qu’ils auront tout quitté pour leur beau voyage :

On ne fraternise qu’avec ceux qui nous ressemble dit adage

Nous sommes avec eux, lors tempête, comme sur un nuage !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme (I)

Un  jeune  couple,

Frisant la trentaine

Lui   *  de  Martigues

Et elle   A     du Cantal,

Se sont    N   mis  en tête

De  circum  N  volutionner,

Et, cela, juste  E après  avoir,

Fini de prépa  rer  le bateau.

Deux années    L  pour travaux

Avant de venir A  mettre à flot,

Pour voguer,   U   bien, ou mal

Vers le vent   R   pur, zénithal.

Nabucco est E  bien son nom

Voilier  *   trente-huit pieds

Et bucco *   c’est très bien

Pour l’excellent cuisinier

Qui sait faire  son pain

Comme le boulanger

Essaie toute recette

France, Étranger.

 Rencontrés

Arrecife Lanzarote

Où pour nous inviter

Sont venus   en annexe,

Et ont trouvé   un prétexte

À se connaitre  D  s’apprécier.

En tant que  A  marins et hôtes,

Nous nous     M  sommes dévoilés,

Et nous nous    I    sommes attachés,

Au point de de      E  venir de vrais amis

Malgré trente ans    N     de plus … vieillis.

Il n’y a plus d’âge,       *    entre aventuriers ;

Quand on prend cinq     N     ans à bourlinguer.

Nous, à la retraite et          A    par petites étapes !

Eux ; besoin de travailler,     B     ils prennent date !

Serait-ce pour fuir la réalité,   U    ou pour se réfugier

Dans un vieux rêve, déjà trop      C    longtemps, caressé.

Que nenni, point : pour mieux       C   se connaitre, s’aimer

Découvrir l’Océan, le Monde             O       par tous ses côtés.

Et, nous les avons retrouvés,   plus     *        tard, à Las Palmas,

Sans même se concerter  et avons       R             poursuivi, marins,

Les échanges, que nous avions en        E                tamés, pas si loin,

Sur divers  travaux,   conseils                 N                    astuces, recettes.

Fonder famille ils désirent,                      C                bateau comme étoile

Comme lieu de maternité,                        O                     de vie, d’éducation,

Pour leurs enfants sans                             N                      impairs nés de mers

Où la débrouillardise est                           T                              toujours de mise,

Où autorité négociation                            R                                    jamais soumise

À l’arbitraire fou des                                 E                                     vents contraires.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Une sorte de pelle à gâteau ou autre,

Une poivrière au-dessus d’une salière,

En bas, une grosse coque d’un voilier,

En haut, des voiles en vue de naviguer

.

.

Leur voilier« Gin Fizz » en pleine navigation

 Au soleil levant :

Bateau de 37 pieds il y a de  place quand même.

Et beaucoup de surface de voile

.

Symbolique   

 

Je                     suis

Debout | |    et      au       bord

De la plage. | |  Un     voilier     passe

Dans la brise du | |  matin,  part  vers  l’océan.

Il est la beauté, il est | |   la vie, je le regarde  jusqu’à ce

Qu’il disparaisse à l’ho | |  rizon. Quelqu’un à  mon côté  dit

« Il  est  parti ! »    Parti | |  de  mon    regard,   et   c’est    tout,

Son  mât  est aussi haut | |   et   sa  coque a, toujours, la  force

De  porter  sa  charge hu | |  maine. Disparition  de  ma  vue est

En moi, pas en lui. Au mo | | ment où quelqu’un près de moi, dit :

 

« Il est parti ! » Il y en a d’autres qui le voyant poindre  à l’horizon

Et puis venir vers eux, s’exclament avec joie :

« Le voilà ! » William Blake

.

.

Fond

.

Évocation 

.

237 6

.

Leur voilier« Gin Fizz » en pleine navigation

 Au soleil levant :

Bateau de 37 pieds il y a de  place quand même.

Et beaucoup de surface de voile

.

Symbolique 

.

Lorsqu’un navigateur

Cherche à parcourir  une

Trajectoire définie en mer,

Il maîtrisera la direction de

Son voilier en tenant la barre

Et en observant un bon cap.

Boussole et carte maritime

Sont outils indispensables

Pour arriver à bon port.

Elles seront des images

Symboliques  de  la  vie :

Avez-vous une destination,

Ou vous laissez-vous pousser

Par les « vents de la vie » sans

Vous soucier  de la destination ?

Eh bien, justement,  la seule chose

Qui ne se maîtrise pas … Ce sont les

Caprices du vent, change de direction

Au gré de ses désirs et ses dépressions.

sourcedoptimisme.com/article-suis-je-

vraiment-responsable-de-ce-qui-m-arrive

.

.

Fond/forme 

.

Nous étions côte à côte, au mouillage

Dans l’avant-port d’Arrecife, Canaries

Mais, en dépit d’un vent fort, en annexe

Ils sont venus nous saluer à bord, inviter

À prendre l’apéro et sans nous connaitre

Sur leur voilier, afin de se  fraterniser.

Peu de marins ont telle convivialité.

 .

Textuels et illustrations  >>

236 – Thaïs, Loïc, rencontre à Las Palmas

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Loïc et Thaïs,

Un jeune couple,

Toujours en partance

Mais jamais en errance,

Sur leur voilier Armagnac

Et, qui, leur  aura  procuré,

Leur  premier air, de liberté,

Pour  raisonnables  dépenses !

.

Leur voilier souffre quelque peu

De  ses  vieux, problèmes,  maux,

Mais  en dépit de cela, apparence,

Il est resté, encore, assez  costaud.

.

Contreplaqué par ci, époxy par-là ;

Soudures par ci et peintures par là.

Et  que pourrais-je, en dire, d’autre,

Que c’est un plaisir de les rencontrer

De les revoir puis de les encourager !

.

Tant est vrai qu’ils poursuivent leur quête

De nouvelle rencontre en toute spontanéité

C’est le fond même de leur humaine qualité,

Qu’il leur faudra, en vie, à tout prix, garder !

.

Il faut dire aussi,  Loïc travaille le bois,

Et Thaïs soude, très bien l’inox, ma foi,

Tant et si bien occupés bien galvanisés

Ils courent les pontons, pour travailler.

.

Une bricole, par ci et une autre, par-là.

Nombre marins les emploie, une fois.

Avec eux  en finissant  par fraterniser

Très simple d’entrer dans leur amitié.

.

Icelle, nous avons contracté, avec eux

Les voyant se démener, comme dieux,

Si parfois tirent le diable par la queue,

Se disent souvent plus que lui heureux.

.

De dire que la vie de bohème, leur va,

Je veux, et les pieds sur terre, avec ça.

Pour avoir lors maintes fois, échangé,

On les trouve, originaux, passionnés !

.

Loïc, blond frisé, en sa décontraction,

Parait avoir confié son destin d’action

À sa bonne étoile, ou à sa … compagne,

Qui partout, jour et nuit…l’accompagne.

.

Thaïs, sous son air  de femme, intimidée,

Se débrouille autant que garçon mariné,

Elle déborde d’enthousiasme et d’idées :

Pour sûr, charmante et belle générosité.

.

Nous nous reverrons qui le sait, un jour,

Ailleurs et avec toujours, la même grâce

Et certainement, avec le même bonheur !

.

Extensions 

.

Des jeunes couples autour de la trentaine,

Circumvolutionant en bateau de huit mètres,

C’est sûr qu’on n’en rencontre pas tous les jours.

Ça arrive, parfois même  avec un voilier  plus petit

Oui mais  voilà, comme ils n’ont pas un sou d’avance,

Travaillent pour se nourrir, se vêtir, entretenir le bateau.

L’été ça va pontons visiteurs  s’activent à réparer  ceci, cela

L’hiver, rien ne bouge, faut payer le port ou mouiller dehors.

Et combien réaliseront leur périple jusqu’au bout  du bout

Combien jettent sac à terre pour mettre fin à la misère.

Nous nous reverrons, qui sait, un jour, et ailleurs,

Avec toujours même grâce, même bonheur.

.

Un couple cherchant du travail sur les pontons,

Elle soudeuse, travaillant le fer, l’aluminium,

Lui travaillant le bois et la résine plastique

Tous deux charmants, et sympathiques,

Au point qu’ils étaient attachants !

.

.

Un bricoleur avec une bricoleuse

Forme un beau couple sur voilier

Lorsqu’ils exercent leurs métiers,

Offrant leurs services sur ponton.

.

Nous leur avons fourni du travail

Pendant trois jours : réparations,

Très admiratif de voir une femme,

Très adroite avec son chalumeau !

.

Que deviendront-ils, nul ne sait !

Nous nous sommes liés d’amitié,

Et s’il leur arrive  de lire ce texte,

Reprendre contact sera prétexte.

.

Il faut  un certain courage, culot,

Pour partir avec leur vieux rafiot

Sans un sou d’avance ou presque

Pour moi, l’aventure dantesque !

.

Fragments

.

Un jeune couple … en partance,

Et de plus en plus  en itinérance,

Et de plus en plus loin  de France,

N’a rien de courant, ni d’évidence !

.

Les avons rencontrés sur notre ponton,

Lors ils cherchaient  des travaux à faire,

Sur bateau, elle soudeuse, lui menuisier :

Le bois et le plastic marié avec fer et acier.

.

Ça tombait bien, jupe, portique avait besoin

De consolidations suite à nombre de fissures,

Elle nous aura traité cela en une seule journée

Comme une vraie … professionnelle : chapeau.

.

Par la suite, c’est lui qui a pris le relais pour bois

Et en quelques jours, sommes devenus bons amis

Ils auraient pu être nos enfants… un peu bohème,

Vrai qu’ils sont débrouillards, autonomes, sympas.

.

Ils sont partis dans d’autres ports proposer services

Nous les avons imaginés, faire le tour de l’atlantique,

Nous ne les oublierons pas, alliant risques et plaisirs :

Ce n’est pas le seul rencontré, seul à nous avoir marqué.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Loïc et Thaïs,

Un jeune couple,

Toujours en partance

Mais jamais en errance,

Sur leur voilier Armagnac

Et, qui, leur  aura  procuré,

Leur  premier air, de liberté,

Pour  raisonnables  dépenses !

THAÏS, LOÏC,

Leur voilier souffre quelque peu

De  ses  vieux, problèmes,  maux,

Mais  en dépit de cela, apparence,

Il est resté, encore, assez  costaud.

Contreplaqué par ci, époxy par-là ;

Soudures par ci et peintures par là.

Et  que pourrais-je, en dire, d’autre,

Que c’est un plaisir de les rencontrer

De les revoir puis de les encourager !

RENCONTRE

Tant est vrai qu’ils poursuivent leur quête

De nouvelle rencontre en toute spontanéité

C’est le fond même de leur humaine qualité,

Qu’il leur faudra, en vie, à tout prix, garder !

**Il faut dire aussi, que, Loïc travaille le bois,

****   Et Thaïs soude, très bien, l’inox, ma foi,

*****    Tant et si bien occupés, bien galvanisés,

*****       Courent les pontons … pour travailler.

 *****        Une bricole, par ci et une autre, par-là.

*****         Nombre marins les emploie, une fois.

*****         Avec eux  en finissant  par fraterniser

*****        Très simple d’entrer dans leur amitié.

****       Icelle, nous avons contracté, avec eux

 ***      Les voyant se démener, comme dieux,

  **   Si parfois, tirent le diable, par la queue,

     Se disent souvent, plus que lui, heureux,

    Et de dire que la vie de bohème leur va,

  Je veux, et les pieds sur terre, avec ça.

   Pour avoir lors maintes fois, échangé,

     On les trouve, originaux,  passionnés !

À LAS PALMAS

      Loïc, blond frisé, en sa décontraction,

       Parait avoir confié son destin d’action

         À sa bonne étoile, ou à sa … compagne,

           Qui partout, jour et nuit…l’accompagne.

             Thaïs, sous son air  de femme, intimidée,

             Se débrouille autant que garçon mariné,

             Elle déborde d’enthousiasme et d’idées :

             Pour sûr, charmante et belle générosité.

              Nous nous reverrons qui le sait, un jour,

              Ailleurs et avec toujours, la même grâce

                 Et certainement, avec le même bonheur !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un grand flacon avec une anse,

Un sac de voyage avec poignée,

Une belle silhouette de femme,

Jeune, l’air plutôt décontractée.

.

236 4

.

Une femme qui respire la joie de vivre

 Avec sérénité même

Formant un couple parfait avec son

Compagnon de route !

.

Symbolique 

.

La femme

A une symbolique

Riche qui a évolué

Au fil du temps.

Toutefois,

Elle a toujours

Évoqué  la  fécondité,

La pureté et aussi le vice.

À partir  du XXe siècle des

Mouvements        féministes

Sont  apparus,   pour tenter

De rétablir meilleur équilibre

Entre hommes    et    femmes,

Rétablir les droits de femmes,

Qui occupent une place impor

Tante dans tout débat public.

Source : 1001 symboles

.

.

Fond

.

Évocation 

.

236 6

.

Une femme qui respire la joie de vivre

 Avec sérénité même

Formant un couple parfait avec son

Compagnon de route !

.

Symbolique 

.

Quel sens           pour quel            couple ?

Se sentir à        l’unisson du       partenaire

Sur les ques      tions les plus       profondes

Et les plus          brûlantes, n’      adviendra

Pas    du              jour au len           demain !

Explorer          ces questions          ensemble

Deviendrait    un processus            continu,

Tant, à faire       à l’échelle d’          une vie !

Cela dit      le but ne devrait pas      être de

Se mettre    d’accord sur ce qui       compte

Pour vous,     mais bien  de vivre     au sein

D’une union   où chacun demeure    ouvert

Aux convic      tions  plus chères      d’autre.

sexologues.canalblog.com

.

.

Fond/forme 

.

Se lancer en longue croisière,

Et de port en port en cabotage,

Avec un vieux bateau, hors d’âge

Demeure une aventure particulière

D’autant qu’il faut trouver sur place

De quoi manger et de quoi travailler.

.

Double contrainte, s’il en est, mais que

Ce couple d’amoureux n’aura pas hésité

À entreprendre comme bouteille à la mer.

.

Nous les avons rencontrés, embaucher

Et ils n’étaient pas peu fiers, amers

De nous dépanner, par soudures,

De nous arranger par coutures

Au point de faire amis sûrs.

.

Textuels et illustrations  >>

235 – Couple de bateau jaune, Graciosa

Textuels et illustrations  >> 

 .

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Rencontre, inattendue

En bien curieux voilier

Qu’on soit  pour, contre

Il ne laisse pas étranger.

Français,  d’abord, beau,

Très large … pour bateau

Jaune terre et vert d’eau,

Un vrai havre pour repos

Il a beaucoup  bourlingué

En glaces  du grand Nord

Mais tout autant navigué,

En Bretagne,   tous ports !

Un couple mûr, attachant

Dont la mère des enfants

Aura habité  l’Ile Grande

Avant  d’être  navigante.

Dites, comment penser,

La voisine du quartier,

Vive au ponton là-bas,

En  port  de  Graciosa

Après avoir fraternisé

Après  avoir échangé,

On visite leur  voilier,

Qu’ils ont … fabriqué.

Voilà quatre ans déjà

Qu’ils ont pris le large

Travaillant de ci de là

Survivants, en marge.

Le hasard est curieux,

Et sommes  chanceux,

De rencontrer  bretons

À chaque bout ponton.

Avec maison  sur  l’eau,

Ils  font  les  deux Pôles,

En plus,  ils sont  drôles,

Bon   humour : chapeau.

Ça existe  donc vraiment

Les voyageurs itinérants

Et qui sont intéressants

Alors les rencontrant !

 .

Extensions 

.

Il aura construit son voilier, contreplaqué marine

Doublé en dessous, devant, par plaque d’aluminium

Pour résister aux glaces soulevant sur mer banquise.

L’intérieur est sobre, fonctionnel, avec poêle à bois,

En plein milieu entre le carré et les cabines avant.

.

Cela nous a quelque peu étonné mais du bois,

L’on en trouverait partout le long des côtes,

Deux enfants à bord, de huit et douze ans,

Qui suivent des cours par correspondance,

Et se débrouillent à merveille sur le bateau.

.

Ils s’en vont au pôle sud, après avoir fait nord,

Quelque part en terre Adélie, lors pour un temps,

On les envie : faire le tour de la terre par parallèles,

C’est fréquent,  par les méridiens, c’est peu commun.

.

Il y a une course en solitaire autour du monde, qui fait

Le tour du pôle sud : bien entrainés, il devrait s’y inscrire

Enfin, prenant le temps, tout de même, et ça change tout !

.

Sa couleur jaune, solaire, ne passe pas inaperçu non plus,

Peu de voilier de cette couleur  et son carré, très large et

Grand ouvert sur le cockpit lui donne un espace de vie

Des plus agréables partout et tout au moins au port.

.

Eux deux, un couple de marins confirmés et aventuriers :

Elle, ancienne directrice de la base nautique d Ile-Grande

Lui, ancien charpentier de marine, en année  sabbatique

Un couple ouvert, et d’un abord des plus sympathiques,

Qui nous a fait visité bateau construit par leurs soins.

.

Un charpentier de marine qui aurait

Construit lui-même son grand voilier

Le connaitrait mieux que quiconque !

.

C’est le cas et pas le plus surprenant

Pour nous : marié  à  une  ancienne

Directrice  de notre Base  Nautique

De l’Ile-Grande, près de chez nous,

Le monde est petit, tout de même.

.

Pour affronter  les froids du Nord,

Il a monté un poêle en plein centre

Du carré, qui fonctionne avec bois !

Quid du bois : on en trouve  partout,

Même au fin fond de fjord norvégien.

.

Fragments

.

On croirait femme en pied de mât

Pour envoyer, descendre, la toile

Une femme de marin, surement,

Et lors la forme épouse le fond.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

¤¤¤¤¤    Rencontre, inattendue       C

¤¤¤¤¤    En bien curieux voilier      O

¤¤¤¤¤    Qu’on soit  pour, contre    U

¤¤¤¤¤    Il ne laisse pas étranger.   P

¤¤¤¤¤    Français,  d’abord, beau,   L

¤¤¤¤¤    Très large … pour bateau  E

¤¤¤¤¤    Jaune terre et vert d’eau,   *

¤¤¤¤¤   Un vrai havre pour repos    *

¤¤¤¤¤   Il a beaucoup  bourlingué  D

¤¤¤¤¤   En glaces  du grand Nord   U

¤¤¤¤¤  Mais tout autant navigué,   *

¤¤¤¤¤  En Bretagne,   tous ports !   *

¤¤¤¤¤   Un couple mûr, attachant  B

¤¤¤¤¤   Dont la mère des enfants   A

¤¤¤¤¤    Aura habité  l’Ile Grande  T

¤¤¤¤¤    Avant  d’être  navigante.   E

¤¤¤¤¤     Dites, comment penser,   A

¤¤¤¤¤      La voisine du quartier,   U

¤¤¤¤¤       Vive au ponton là-bas,    *

¤¤¤¤¤       En  port  de  Graciosa     *

¤¤¤¤¤        Après avoir fraternisé    J

¤¤¤¤¤        Après  avoir échangé,    A

¤¤¤¤¤        On visite leur  voilier,    U

¤¤¤¤¤        Qu’ils ont … fabriqué.    N

¤¤¤¤¤        Voilà quatre ans déjà    E

¤¤¤¤¤        Qu’ils ont pris le large    *

¤¤¤¤¤        Travaillant de ci de là    *

¤¤¤¤¤        Survivants, en marge.   G

¤¤¤¤¤       Le hasard est curieux,    R

¤¤¤¤¤       Et sommes  chanceux,    A

¤¤¤¤¤      De rencontrer  bretons    C

¤¤¤¤¤      À chaque bout ponton.    I

¤¤¤¤¤      Avec maison  sur  l’eau,  O

¤¤¤¤¤     Ils  font  les  deux Pôles,   S

¤¤¤¤¤    En plus,  ils sont  drôles,   A

¤¤¤¤¤    Bon   humour : chapeau.  *

¤¤¤¤¤   Ça existe  donc vraiment   *

¤¤¤¤¤    Les voyageurs itinérants   *

¤¤¤¤¤     Et qui sont intéressants   *

¤¤¤¤¤       Alors les rencontrant !    *

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une femme au pied d’un mât,

Bien occupée à hisser les voiles,

Charmante compagne, réalisant

Un  couple masculin-féminin

.

235 4

.

Une femme au pied d’un mât,

Bien occupée à hisser les voiles,

Charmante compagne, réalisant

Un  couple masculin-féminin

.

Symbolique   

.

Femme

Sans    tabou,

Oui, mais    pas

Sans mystère.

 .

Ce qui est caché est

Précieux, se révèle qu’à rares

Conditions. Ne pas tout mettre

 En lumière, voilà   la  clé  

D’un   mariage  parfait

De polarités féminines

Mais  ce  qui   reste  caché,

Ce  qui reste   dans  l’ombre,

A mauvaise presse de nos jours.

Lors aujourd’hui, il faut tout dire,

Tout révéler, tout mettre en lumière.

femininbio.com/beaute-mode/

actualites-nouveautes/femme-mystere

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Une femme au pied d’un mât,

Bien occupée à hisser les voiles,

Charmante compagne, réalisant

Un  couple masculin-féminin

 .

Symbolique

.

Dans l’univers,  mental, humain,

Toutes les oppo        sitions semblent

S’ordonner en            fonction de  tel

Couple mas       culin-féminin.

 

Celui-ci recouvre aussi bien des

Oppositions  dites  symboliques

Telles   que : lumières-ténèbres,

Ciel-terre,   droite-gauche,    etc.

Que des oppositions    conceptuelles

Telles que temps-espace forme-matière,

 Pair-impair. Ressort    de l’étude comparée

Systèmes de pensée         différentes cultures

 Humaines que les                valeurs masculines

Sont assimilées à                 des principes actifs

Et valeurs féminines      à des principes passifs.

universalis.fr/encyclopedie/masculin-feminin-symbolisme

 .

.

Fond/forme 

 .

Une femme, seule, sur un voilier

C’est assez rare mais il y en aura

En couple, c’est beaucoup mieux

Et ce à tout point de vue, entente

Qui plus est, ce sont aventuriers,

Autant mer du nord que su sud,

Qui vivent, réellement, en mer,

N’ont peur ni d’été ni d’hiver.

.

Textuels et illustrations  >> 

615 – J’ai vu, dans tes yeux …plus clair

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Tout est affaire de lumières

Et d’ombres,

Sans  compter,  couleurs,

En nombre,

Pour créer atmosphère,

Pénombre,

Où murmures, pleurs,

Encombrent

Le flux  des  regards

Sombres,

Où amour s’égare,

S’ombre.

 .

J’ai vu dans tes yeux,

Plus clair,

Qu’un reflet un curieux

Mystère :

Y ai vu quelque intérêt

Mais ne saurais

Dire lequel contredire,

À ceci près que

Il exprime un soupir,

Fort alangui.

.

Il donne à communiquer,

Plaisir de vraie vie.

Lorsque tu te sens aimée,

En réciprocité,

Quel qu’ombre s’y profile,

Gris nuancé,

Et dès qu’un doute se faufile

Reflet s’en va,

Tes yeux perdent leur aura :

Tu n’y es pas.

.

Mais j’ai vu, dans tes yeux,

Les  éclairs

D’un bel esprit heureux,

Sur Terre

D’enfin me rencontrer,

Et te plaire

Pour nous échanger

Paroles

D’amours tendres

À entendre

Si ce n’est agir

Ensemble.

.

Extensions

 .

Qu’est-ce qu’on perçoit en le regard de l’autre :

Un reflet de soi, un reflet de son intention

Si ce n’est pas un reflet de lui-même.

Le premier est d’ordre physique,

L’image en miroir de son propre visage,

Second est de l’intensité subtilité du regard,

Troisième tiendra parfois du mystère sauf s’il

N’exprime rien : regard vide, sans profondeur.

.

Le mystère d’un regard tiendra à la complexité

D’une vie intérieure, qu’on a du mal à décoder :

Elle est  bien là mais derrière un rideau, brouillée.

Yeux malicieux, yeux pernicieux, yeux bienheureux

Yeux malheureux, ce n’est plus la chimie qui prime,

Ou s’exprime, mais l’alchimie qui soupire ou respire.

J’ai vu, dans tes yeux : plus clair, et voire, plus clairs :

Singulier et pluriels, n’ont pas  la même signification :

Le premier évoque l’esprit, tandis que, second, le corps.

.

Pour certains, c’est le premier qui compte ou leur suffit ;

Pour d’autres, le dernier qui les intrigue, voire les inspire.

Tout est dans le regard mais rien n’est de facile à décoder.

Le risque de projection de soi est  grand si l’on y cherche

Ce que l’on y apporte : sublimation états amoureux.

Le mystère se dissipe, on revient de clair à clairs

Et pour le coup, on y voit beaucoup plus clair

Dans la projection de ses intentions.

.

Comment voir clair dans des yeux noirs ;

Comment voir clair dans un regard sombre

Et  pour y voir quoi, déjà : quel qu’intention,

À son égard ou simple curiosité dû au hasard.

Dans le regard on y voit et y met ce qu’on veut :

La peur, le doute, le désir,  parfois le merveilleux,

Il faudra que son mystère s’éclaircisse tôt ou tard !

.

Le pouvoir de transmission, de suggestion,

De persuasion des yeux est des plus grands

Un seul regard m’a suffi pour comprendre

Ce que tu voulais me dire  sans te l’avouer.

On est limite de l’influence de l’inconscient

Ce sera les yeux dans les yeux,  que l’on sait

Si quelqu’un nous ment ou qu’il est sincère.

.

Regarde-moi, quand tu me parles,  ne baisse

Pas les yeux, sinon je ne saurai  ce que je dois

Comprendre de ce que tu me dis, étrange, non

Tel besoin, sinon de vérification, de cohérence.

Allez dire après que le regard  n’est pas parlant,

Il  l’est parfois plus que les mots  et plus directs,

On le voit au cinéma et on le montrera à souhait.

.

Fragments

.

Reflèteraient-ils, les yeux des plus clairs

Ou absorberaient-ils   mieux, la lumière,

Que les yeux foncés …  marrons …  noirs,

En lesquels on croirait voir un désespoir.

.

Les tiens ne se contentent pas de réfléchir

Ils produisent une sorte d’intensité, éclair,

Qui pénètre en les miens, comme en chair,

Jusqu’à me faire frémir et voire découvrir.

.

Réciproquement, je contemple un tableau,

Tout au fond de tes yeux et des plus beaux

Qui me laisse deviner l’artiste, en devenir,

Qui, par le regard, aura su me conquérir.

.

Les mots, les mains, et, voire les gestes,

Peuvent apprendre  à cacher, à mentir,

Les yeux n’ont pas  de filtre trompeur,

Ils disent leur vérité  et à toute heure.

.

En tous cas, les tiens sont révélateurs

D’une personne d’une grande valeur,

Capable d’apporter un vrai bonheur,

À celui qui en capterait leurs lueurs.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Tout est affaire de lumières

Et d’ombres,

Sans  compter,  couleurs,

En nombre,

Pour créer atmosphère,

Pénombre,

Où murmures, pleurs,

Encombrent

Le flux  des  regards

Sombres,

Où amour s’égare,

S’ombre.

J

J’ai vu, dans tes yeux,

Plus  A  clair,

Qu’un reflet I  un curieux

Mys    *  tère !

Y ai vu quel  V   que intérêt

Mais ne   U    saurais

Dire lequel    *    contredire,

  À ceci   D   près que

Il exprime     A        un soupir,

Fort     N   alangui.

Il donne à     S  communiquer,

  Plaisir   *  de vraie vie.

Lorsque tu    T    te sens aimée,

En réci   E       procité,

Quel qu’om    S     bre s’y profile,

Gris   *   nuancé.

Et dès qu’un   Y   doute se faufile

Reflet   E     s’en va,

Tes yeux per   U  dent leur aura :

Tu n’   X  y es pas.

Mais j’ai vu,  *    dans tes yeux,

Les    T  éclairs

D’un bel es   R  prit heureux,

Sur    E   Terre

D’enfin me   S    rencontrer,

Et te    *   plaire

Pour nous   C    échanger

Par   L oles

D’amours A    tendres

  À ent  I  endre

  Si ce n’  R  est agir

Ensemble.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un pendentif ou une boucle d’oreille

Ou une forme de torche pour s’éclairer

Un goupillon double, pour nettoyer :

Ce n’est pas pour s’arracher les yeux.

.

615 4

.

Qu’y a-t-il de commun entre

 Un  goupillon  et   les  yeux :

Rien   évidemment,  on ne peut

Pas se l’enfoncer dans les yeux.

Que  vient  faire  un  tel  goupillon

Pour améliorer  la clarté  des yeux,

Rien du tout, c’est  tout le contraire,

Si fait que forme n’éclaire pas fond !

 .

Symbolique 

 .

Le goupillon 

Ou écouvillon, 

Reste  un objet

Pour nettoyer

Formes de bouteilles

Goupillon devient        objet liturgique

Pour asperger eau          bénite  les fidèles,

Lors de toutes céré          monies religieuses.

 

Par métonymie ca              ricaturale le mot

Sera employé par               des anticléricaux

Particulièrement              dans l’expression

«Le sabre et le gou           pillon» exprimant

Alliance pouvoirs    militaire, religieux.

Modifié, source  Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation

.

 .

Qu’y a-t-il de commun entre

 Un  goupillon  et  les  yeux :

Rien évidemment, on ne peut

Pas se l’enfoncer dans les yeux.

 .

Symbolique 

 .

Les          yeux

Sont outils privilégiés

Pour s’ouvrir au monde.

 «L’œil est le miroir de l’âme»

 .

Pour Platon Siège de la séduction

«Faire les yeux doux – tapez dans l’œil-

Ou voire encore : jouer de la prunelle.

 .

C’est le  symbole de la connaissance :

 Troisième œil, siège de la perception

Et de la connaissance divine.

 .

Chez les esquimaux

«Celui qui a des yeux»

Désigne le chamane, le clairvoyant.

poetiquedeloblique/overblog.com/les-yeux

.

.

Fond/forme 

 .

Il n’y a nul  besoin de goupillon pour

Se nettoyer les yeux, éclaircir sa vue :

Quelques gouttes d’eau claire suffiront.

.

Mais c’est autant par sa concentration,

Qu’on parvient à fixer et voir les choses,

Telles qu’elles sont, avec leurs contours.

.

Pouvoir lire dans les yeux  de quelqu’un,

Est comme bénéficier d’une seconde vue.

Savoir décoder, interpréter des signaux

Très faibles mais néanmoins très clairs !

 .

Textuels et illustrations  >>

614 – Quand hasard rencontre nécessité

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le hasard et la nécessité,

Ou, tout un programme,

Rempli  par contrariétés,

Pouvant créer un drame.

.

Une opportunité bien

Ou mal saisie… ratée,

Et,  voilà noce envolée

Pour un oui, non, rien.

.

Le hasard  est le plus arrangé

Par des proches : bien agencé,

Faisant face urgente nécessité

De faire en sorte de les marier.

.

Est-il encore un destin affranchi,

Ou simplement commodité de lit

Qui après tout, peut réussir sa vie.

.

Quand hasard rencontre nécessité

On appelle cela : belle opportunité,

Pour part de chance et de lucidité.

.

Certains pensent, on peut trouver,

Passant parfois, sa vie à chercher,

L’autre, que si le hasard est passé,

Il n’y aurait plus rien à …espérer !

.

Hasard vous a fait vous rencontrer,

Est-ce acte, de croyance, de vérité :

Personne pour certifier… le dénier.

.

Si, le hasard peut vous faire aimer

Plusieurs femmes avec qui marier,

Au final, vous n’en garderez qu’une

Pour bonne, ou mauvaise, fortune !

.

Faut-il avoir, des regrets, remords

Un hasard aurait-il raison, ou tort

À son choix il ne faut associer sort

Son choix est sien, donc vaut d’or

.

Tant qu’amour dure et dure encore

Nécessité fait loi et hasard s’endort

Pour se réveiller,  un jour prochain

Comme évanoui … dans le lointain

.

Mais, périodiquement, il revient

Dès lors : plus rien ne le retient

Car chacun prêche  pour le sien

Comme si, cette fois, plus divin

.

Extensions 

 .

Pas de hasard sans avoir de nécessité.

Ce serait comme le chercheur qui trouverait

Ce que les autres avaient sous les yeux, sans le voir :

Ils n’y étaient pas préparés, conditionnés, c’est tout.

Le hasard ne se produit pas qu’une fois dans sa vie.

Il serait hasardeux de l’affirmer en tous cas.

.

Une rencontre,  par hasard,  manquée,

Est comme  une rupture  ou un divorce,

Pour aventure en fixant mieux son choix.

Hasard s’arrête une fois la quête satisfaite

Ou il continue, pour pimenter  la première,

Pour la tester, pour la fantasmer et il frappe

À votre porte et d’un seul coup, vous emporte

Dans une comparaison douteuse ou houleuse :

« J’ai raté ma chance, maintenant je m’en veux,

Ce n’est pas ma faute si elle était mon seul vœu.»

.

Entre hasard et destinée, il y a un espace de liberté

Qui se reconstruit après deuil, séparation, abandon.

Et si  le hasard m’aurait trompé sur ma… nécessité ;

Ma nécessité m’a fait choisir quelqu’un, au hasard.

Pour sûr, il y a souvent nécessité de rencontrer

Quelqu’un, pour ne pas rester … seul,

Le hasard n’y serait pour rien.

.

Nécessité, pour certains, certaines, de se marier,

Cela que la rencontre ait eu lieu par hasard ou non,

Coup de foudre soudain, ou suite à une longue amitié,

Le résultat sera-t-il le même, une fois le couple installé :

Nul ne sait, sinon son destin, vu dans la boule de cristal !

.

Chacun sait que le hasard n’existe pas

Et qu’en bien des cas, nécessité fait loi.

.

Quand on ne veut rencontrer  quelqu’un,

On ne le rencontre pas, il faut être ouvert.

.

Quant au destin de se rencontrer, cela est

Juste du domaine de la croyance en elle !

.

Si on rencontre une personne c’est qu’on

Est prête pour ce faire et elle de même !

.

Le hasard peut n’être…qu’opportunité

À laquelle on ne s’attend pas ou plus.

.

Toujours est-il que, sans nécessité,

Hasard ou pas, ça ne marche pas.

.

Fragments

 .

Que vous vous soyez rencontrés

Constitue un fait, qu’on ne peut

Nier, oublier, on peut l’interpréter

Comme due au hasard ou croyance.

.

La nécessité se situe entre les deux :

J’ai envie, je suis libre,  je recherche,

Il ne serait pas des plus improbables,

Que je trouve partenaire qui convient.

.

L’escalier constitue une belle métaphore

Qui illustrerait le hasard ou la nécessité :

.

Si les deux, montent, descendent escalier

L’un après l’autre, puis s’éloignent après,

Il n’y aurait pas de rencontres possibles.

.

Au cas où l’un monte et l’autre descend,

Fatalement ils vont finir par se croiser,

Mais il n’y a, là  ni hasard ni nécessité.

.

Lors comment peut se faire rencontre :

Il faut de la chance ou de la nécessité.

.

Un en haut, se penche pour regarder,

Voit l’autre qui commence à monter

Et décide de l’attendre sur le palier,

Il y a une possibilité  de rencontre.

.

Un se blesse,  ratant  une  marche,

L’autre se précipite pour me lever

Le hasard tient lieu de nécessité,

Entrant chez lui, pour le soigner.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

                             Le hasard et la nécessité,

                            Ou, tout un programme,

                             Rempli  par contrariétés,

                              Pouvant créer un drame.

 .

                                                     SI LE HASARD

                                                            Une opportunité bien

                                                             Ou mal saisie… ratée,

                                                               Et,  voilà noce envolée

                                                                 Pour un oui, non, rien.

.

                                                                                    RENCONTRE

                                                                                Le hasard  est le plus arrangé

                                                                                  Par des proches : bien agencé,

                                                                               Faisant face urgente nécessité

                                                                                De faire en sorte de les marier.

.

                                                                                LA NÉCESSITÉ  

                                                                              Est-il encore un destin affranchi,

                                                                            Ou simplement commodité de lit

                                                                            Qui après tout, peut réussir sa vie.

.

                                                                      Quand hasard rencontre nécessité

                                                                      On appelle cela : belle opportunité,

                                                                   Pour part de chance et de lucidité.

.

                                                                  Certains pensent, on peut trouver,

                                                               Passant parfois, sa vie à chercher,

                                                               L’autre, que si le hasard est passé,

                                                              Il n’y aurait plus rien à …espérer !

.

                                                  Hasard vous a fait vous rencontrer,

                                                 Est-ce acte, de croyance, de vérité :

                                                 Personne pour certifier… le dénier.

.

                   Si, le hasard peut vous faire aimer

                   Plusieurs femmes avec qui marier,

                   Au final, vous n’en garderez qu’une

                   Pour bonne, ou mauvaise, fortune !

.

   Faut-il avoir, des regrets, remords :……………..

Un hasard aurait-il raison,  ou tort :……………

   À son choix il ne faut associer sort,………………..

       Son choix est sien, donc vaut d’or !………………….

.

                Tant qu’amour dure et dure encore,………………………………………………..

                Nécessité fait loi et hasard s’endort………………………………………………….

                Pour se réveiller,  un jour prochain,………………………………………………….

                 Comme évanoui … dans le lointain !………………………………………………

.

 Mais, périodiquement, il revient,…………………………………………………………………

 Dès lors : plus rien ne le retient,…………………………………………………………………..

Car chacun prêche  pour le sien,…………………………………………………………………..

Comme si, cette fois, plus divin……………………………………………………………………

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Onze marches, d’un escalier,

De plus en plus serrées, étroites 

Difficile aux personnes trop âgées

Peu équilibrées et dures au toucher.

.

614 4

.

Voilà bien un escalier où l’on ne risque

Pas de croiser quelqu’un

Ou alors, par le plus pur des hasards,

Et bien forcé de se toucher !

L’escalier n’a rien à voir  avec hasard,

Pas plus qu’avec nécessité ni le toucher,

Si fait que la forme se distingue du fond.

 .

 Symbolique 

 .

Cheminement

Très ascensionnel,

De marche en marche

Sans aucune raison évidente,

Vers un but qu’il ne connaît pas,

Et sur son long chemin d’évolution,

L’individu avancera, sans trop savoir

Sur  quelle bonne marche, de l’escalier,

Il se trouvera,  ni quel chemin, il lui restera

À parcourir ni  si tout cela ne serait sans fin ?

Modifié, source : http://antiochus.over-blog.com

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

614 6

.

Voilà bien un escalier où l’on ne risque

Pas de croiser quelqu’un

Ou alors, par le plus pur des hasards,

Et bien forcé de se toucher !

 .

Symbolique 

 .

Le toucher :

Un des sens est mis

En œuvre par la main,

Nous permet de connaitre

Notre environnement et pouvoir

Pallier  tous dangers.

.

La main est la partie

La plus mobile du corps,

Elle touche, palpe et discerne

Un volume ou une matière.

.

Le toucher implique la

Notion de proximité,

De contact d’où vient

L’« attouchement ».

.

Sur le Plan intérieur,

Le Toucher sera délicatesse,

Tact, raffinement et discernement.

ledifice.net

 .

.

Fond/forme 

 .

Peu de chances et pas plus de nécessités

De rencontrer quelqu’un dans l’escalier

Encore que, le hasard fait parfois bien

Les choses : on dira, en bas, ou haut.

.

Par contre le toucher …  davantage

Parce qu’il y a contact, réciprocité

Mais le dialogue  peut  alors être

Très court ou voire se prolonger.

.

Textuels et illustrations  >>

613 – Dans l’ombre d’une belle clarté divine

Textuels et illustrations >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Ombre et clarté,

Et belle  et divine :

De quoi  s’en réjouir,

Rien qu’en parler, ouïr !

Claire est son vrai prénom :

Elle le porte au  plus haut degré

Dans ses yeux, un regard lumière

Dégageant sublime atmosphère

Moi, n’étant que  lumignon,

Obscur prétendant

De la fière ondine.

* …

Dans l’ombre d’une belle clarté

Divine,

J’ai vécu bien des jours entiers.

Devine,

Comment  elle  se  sera  révélée

Coquine, 

Parce que son champ de vision,

Rétine,

M’aura perçu comme trublion,

Voisine,

* …

Mais je n’aurai pu  approcher,

Câline,

Ombre ne pouvant se marier.

Féline,

Avec cette fée  en luminosité,

Lutine,

Comme je ne  puis me passer

M’obstine

À suivre comme un prisonnier

Encline,

Me voir, fré   É quenter, bavarder

Copine,

Je n’ai pu la garder en amitié

Héroïne,

De mon rêve bien avorté.

.

Extensions

 .

Que serait une lumière sans ombre

Mais tout autant réciproquement,

Nous sommes davantage attirés

Et intéressés par la première

Que par toutes les secondes.

Certains parlent de projecteurs allumés,

Ou de feux de la rampe, d’étoile filante

Et tout le reste est dans le brouillard,

Voire dans l’obscurité la plus totale.

Voisine,  féline, coquine …héroïne,

Autant de qualificatifs convenant

Bien à une clarté divine illuminant

Mon quotidien, et, même si je reste

En son ombre peut-être à tout jamais.

Et qui pourrait m’empêcher d’espérer

Nulle raison, même nulle personne,

Surtout quand  mon imagination

Débordante, toujours, me sonne

D’éclats d’existence en moi résonne,

Me lancer en cette quête en fait partie.

Fréquenter une clarté divine qui vous sort de l’ombre

Pour mieux vous y remettre est une expérience à tenter,

Magnifique à vivre et douloureuse ensuite à abandonner.

L’ombre peut s’approcher de la lumière, voire cohabiter

Avec elle, mais jamais s’y fondre, jamais s’y confondre.

.

Dans l’ombre d’une clarté divine,

Ombre augmentant son mystère.

J’ai bien tenté d’y voir plus clair,

Derrière  son voile, qui assassine

Les méchants, les piètres amants

Et, bien plus encore, les pédants,

Promettant, Lune, en plein jour,

Et, dont la prestation se termine

Par un pâle soleil… qui se meurt.

.

Quelle belle idylle que voilà, imbécile :

Tu aurais dû savoir : pas faite pour toi

Mais ce n’est pas qu’elle soit trop belle

C’est juste toi qui n’est pas au niveau !

.

L’on mariera les belles  avec les beaux,

Pour avoir enfant  qui leur ressemble :

Ombre et lumière bien qu’inséparables

Ne peuvent jamais fusionner ensemble.

.

 À force de vouloir  l’impossible, on finit

Par croire  à  des amours  improbables

Mais ce ne sont là que contes  maudits,

Finissant par nous rendre… détestables.

.

Fragments

.

Dans l’ombre d’une celle clarté :

Ne serait-ce pas là un oxymoron,

La clarté ne peut délivrer d’ombre

L’ombre est dépendant d’une clarté

.

Il faudra donc mettre, entre les deux,

Un objet, un personnage, une personne,

Qui brille par une clarté projetée, sur elle

Et être derrière, pour rester en son ombre.

.

La Sirène est une chimère convenant à l’idée

Moitié femme et moitié poisson,  amoureuse,

Du Prince qui voudrait bien mais ne peut pas,

Et ainsi leur union n’a pas été rendue possible.

.

On se demande, qui du Prince et de la Sirène,

Reste le plus dans l’ombre ou dans la lumière,

La légende penche  pour cette dernière, reine

Des eaux profondes, royaume de baleinières

.

Transposée dans le monde réel des vivants,

La légende s’est transformée  en rencontre

Entre une déesse et un romantique amant

Avec barrière invisible et infranchissable.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme  

 .

Ombre et clarté,

Et belle   E    et divine :

De quoi        N      s’en réjouir,

Rien qu’en      *        parler, ouïr !

Claire est son     O         vrai prénom :

Elle le porte au   M      plus haut degré

Dans ses yeux     B       regard lumière

Dégageant sub  R  lime atmosphère

Moi, n’étant  E que  lumignon,

Obscur prétendant

De la fière ondine.

* …

Dans l’ombre   B  d’une belle clarté

Divine,

J’ai vécu bien   E  des jours entiers.

Devine,

Comment elle    L        se sera révélée

Coquine, 

Parce que son     L    champ de vision,

Rétine,

M’aura perçu       E      comme trublion,

Voisine,

* …

Mais je n’aurai       C            pu approcher,

Câline,

Ombre ne pou          L            vant se marier.

Féline,

Avec cette fée           A             en luminosité,

Lutine,

Comme je ne          R         puis me passer

M’obstine

À suivre com      T    me un prisonnier

Encline,

Me voir, fré   É quenter, bavarder

Copine,

Je n’ai pu la garder en amitié

Héroïne,

De mon rêve bien avorté.

D   I   V   I   N   E

.

Forme

.

Évocation 

.

Un lampadaire sur un très haut pied,

Ça peut être un poisson  avec  arrêtes,

Mais moi j’y ai surtout vu une sirène

Déguisée en femme ou le contraire.

.

613 4

.

Une sirène, blonde, comme symbole

D’une femme, divine :

Elle attire bien dans  tous les cas par

Ses lumières et ses couleurs.

  .

Symbolique 

 .

Monstres de la mer,

Avec tête et poitrine de femme,

Le reste du corps poisson ou oiseau,

Selon légendes, les sirènes séduisaient

Navigateurs par beauté de leur visage

Et  par les mélodies  de leurs chants,

Puis, les entraînaient  dans la mer,

Pour  s’en  repaître.  (Cf.  Ulysse.)

Si on compare la vie à un voyage

Les sirènes  figurent  embûches,

Nées de nos désirs et passions.

Ce  seront  des   créations  

De notre    inconscient,

De rêves fascinants,

Voire  terrifiants :

Autodestruction

D’un  désir.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Une sirène, blonde, comme symbole

D’une femme, divine :

Elle attire bien dans  tous les cas par

Ses lumières et ses couleurs.

 .

Symbolique

 .

Prolongeant le rêve de pureté

Des romantiques, les symbolistes

Donnent à la femme, allure virginale.

La femme a une symbolique très riche

Qui a évolué au fil du temps.

.

Toutefois, elle a toujours évoqué

Fécondité, a pureté, et aussi le vice.

.

Bon nombre de mythologies antiques

Attribuaient généralement une valeur

Sexuelle aux déesses, qui incarnaient

Souvent le désir et plaisir charnel.

1001 symboles

 .

.

Fond/forme 

 .

Si reine est sirène du fond des mers,

Qu’en sera-t-il pour elle, sur la terre !

.

Mais ce problème ne s’est jamais posé

Une sirène ne peut quitter son océan.

.

Mais pourquoi alors cherche-t-elle

Un prince charmant impossible

À trouver, à séduire, marier.

.

C’est bien là le drame que

De vouloir poursuivre

Dans son erreur !

.

Textuels et illustrations >> 

612 – Tu me manques, énormément depuis !

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Tu me manques, énormément !

Depuis le temps, le jour, l’instant

Où tu es entrée dans mon imaginaire

Par porte, bien de face, non de derrière,

Je n’arrête pas de gamberger à ton sujet.

.

J’ai déjà peur, j’ai déjà mal,  de ton rejet,

Réciprocité, mon bonheur sera complet.

Amour me convient, me ravit, me plait

J’avoue être la moitié de moi depuis,

Depuis je t’ai vue, tu m’as conquis.

 .

Tu me manques  énormément !

J’étais seul  mais  j’étais bien,

Je me trouvais indépendant :

Depuis que je t’ai  rencontré,

Sommes deux et dépendants.

.

Me voici parti pour un temps,

Lors, je me sens  moins joyeux,

Ne suis plus le même  qu’avant,

Et, sans toi, je  m’ennuie de tout

Lors avec, tout  est  merveilleux.

.

Tu   me   manques  énormément !

M’alimenter,  me laisse  sur faim,

Faim  de  toi  et  jusqu’à  souffrir,

De désir qui inspire  mes soupirs.

.

De te savoir  aimante et vivante,

Me  rassure  ou  morte, séparée,

Cassures dont ne me remettrais,

Sans fêlure  de mon corps, âme,

En craquelure  à être désespéré

Manque impossible à combler.

 .

Tu me manques   énormément !

C’est peu de le dire évidemment

Ça me tient au  corps et au cœur

Comme  sanctuaire, vrai bonheur

Qui nourrissent mes joies et peurs,

À chaque instant des jours et heure.

.

Au point de manquer  de cet appétit,

Qu’auparavant, je prenais pour parti,

Pour  compenser, me consoler, d’émoi

Au  Monde,  privé  de sens … sans  toi !

.

Extensions

 .

Celui qui a peur du manque n’a pas

Intérêt à se jeter dans des bras amoureux :

Il en souffrira d’autant qu’il ne peut le combler,

Le manque crée le désir et le désir, le manque :

Oui mais c’est un cercle vertueux, pour l’un

Lors c’est un cercle vicieux, pour l’autre.

Ça dépend de la représentation qu’on

S’en fait et l’on est capable d’assumer.

.

«Avant de te connaitre, je n’étais pas

En état de manque, et je me satisfaisais

De mon état, remettant amour à plus tard.

Et à présent que tu existes, rien que pour moi,

Je me sens déstabilisé voire totalement incapable

De revenir à l’état précédent où amour : indifférent»

.

Pour sûr, il y avait nombre de manques auparavant,

Or impossible de vivre sans,  mais ils étaient d’une

Toute autre nature et bien plus faciles à combler,

Ne dépendant que de soi … comme d’acheter ceci,

Ou de pratiquer cela ! Le manque a bien deux faces,

Face positive mais fugace, face négative mais tenace.

.

Le manque est un état irrépressible qui affecte l’esprit et le corps :

Il ne peut être comblé que par la présence, ingestion de substance,

Qui seule, permet une délivrance éphémère  de toute dépendance,

Tant cris resteront et longtemps les mêmes : «encore et encore»

Jusqu’à ce que soudain, l’effet ait disparu, par son abstinence.

.

Manque et dépendance sont

 Comme deux faux jumeaux :

L’un ne va point sans l’autre

Se recherchent en tous lieux

Et pour autant pas siamois,

Une distance est nécessaire,

Tant vivre collé à quelqu’un,

Ne durerait pas longtemps !

.

Peut-on   dire   à   quelqu’un,

Qui serait présent devant soi :

«Tu me manques, énormément»

État d’esprit paraitra incongru

Pourtant, y a du vrai là-dedans.

D’une certaine façon que j’aime,

Mais à laquelle tu ne souscris pas.

De fait il s’agit intensité, réciprocité.

.

Fragments 

.

Je n’aurai jamais manqué de te répéter

Que tu me manques, un peu, beaucoup,

Et parfois jusqu’à te dire : énormément.

.

Étant, par nature, incomplet et inachevé,

Ai besoin de présence vibrante à mon coté

Pour me dire heureux, accompli, vraiment.

.

Mais  hélas, ce manque  ne peut être  comblé

Comme toute drogue,  qui  vous ferait défaut,

Qu’en l’instant, sans cesse en renouvellement.

.

Manque n’est pas un défaut : juste une fragilité

Tout comme d’être un mortel reste une fatalité,

De l’autre, des autres, on nait et est dépendant !

.

Je me dois de m’avouer  cette faiblesse, radicale,

Qui accompagne toutes les vies, même animales,

Dont je suis seul à être conscient, humainement.

.

Il n’y a pas  d’alternative,  subterfuge, succédané,

C’est toi et personne d’autre, à tant me manquer,

Que j’en suis malade, sans moindre soulagement.

.

Pour finir, je t’aurai mise en poésie en mes écrits,

Pour mieux te savoir, te sentir, te sublimer, ainsi,

Au point de me demander si tu n’es qu’un roman.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Tu me manques, énormément,

Depuis le temps, le jour, l’instant

Où tu es entrée dans mon imaginaire

Par porte, bien de face, non de derrière.

Je n’arrête pas de gamberger à ton sujet.

J’ai déjà peur, j’ai déjà mal,  de ton rejet.

Réciprocité, mon bonheur sera complet.

Amour me convient, me ravit, me plait

J’avoue être la moitié   de moi depuis,

Depuis je t’ai vue,  T tu m’as conquis.

    U

Tu me manques   *   énormément !

J’étais seul mais   M     j’étais bien,

Je me trouvais      E  indépendant :

Depuis que je       *   t’ai  rencontré,

Sommes deux     M  et dépendants.

Me voici parti     A   pour un temps,

Lors je me sens   N      moins joyeux,

Ne suis plus le    Q  même  qu’avant,

Et, sans toi, je     U m’ennuie de tout

Lors avec, tout    E   est  merveilleux.

*

Tu   me   manques  …   énormément !

M’alimenter, me  D    laisse  sur faim,

Faim de toi, et     E    jusqu’à  souffrir,

De désir, qui ins  P  pire  mes soupirs.

De te savoir ai     U   mante et vivante,

Me rassure ou     I       morte, séparée,

Cassures dont     S   ne me remettrais

Sans fêlure  de    *    mon corps, âme,

En craquelure     L    à être désespéré

Manque impos     E    sible à combler.

*

Tu me manques           énormément !

C’est peu de le      T  dire évidemment

Ça me tient au      corps et au cœur

Comme  sanctu      M   aire, vrai bonheur

Qui nourrissent       P     mes joies et peurs

À chaque instant      S      des jours  et heure

Au point de man        *      quer de cet appétit

Qu’auparavant je         O      prenais pour parti,

 Pour  compenser,          Ù       me consoler d’émoi

Au  Monde,  privé            *       de sens … sans  toi !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Pilier de soutènement d’église,

Une canne rando avec pommeau

Silhouette  probable de   femme :

Vue de dos,   pensive et  en manque.

.612 4

.

Une femme qui s’interroge,

Qui attend, espère la présence

Comme  si  en état  de  manque,

De plaisir, jouissance de l’autre.

L’état de manque  n’est pas spécifique

À la femme, même si elle l’avouera plus

On interprète, parfois, à raison ou à tort,

Une femme de dos qui pense à un manque.

 .

Symbolique 

 .

Symbolique    

 

Le XIXème

 Siècle est imprégné

D’images  négatives

 De la femme,

Véhiculées  par la  littérature     et les arts.

Ce contexte se reflète en peinture   symboliste,

Où s’opposent, cohabitent deux visions    de femme,

L’une idéalisée et asexuée, séraphique ou an     drogyne,

L’autre, au contraire, castratrice, fatale, mante    religieuse.

Si l’art symboliste révèle ainsi un nouvel érotisme,     sulfureux,

Parfois  fétichiste, sadique ou satanique, liant  Éros et      Thanatos,

Il illustre aussi l’ambiguïté des rapports entre l’homme et     la femme,

Et annoncera la recherche de nouvelles identités, sexuelles,      et variées.

Modifié, source : julien.gadier.free.fr/femmemain

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

612 6

.

Une femme qui s’interroge,

Qui attend, espère la présence :

Comme  si  en état  de  manque,

De plaisir, jouissance de l’autre.

 .

Symbolique 

 .

Un être

Humain doit

Faire   avec le

Manque,

Il est et

Sera toujours en manque, cela fait partie

De son identité en sujet,   comme par l’être.

 .

Ce manque est propre à notre nature humaine

Inachevée, imparfaite, en tous cas, incomplète !

 .

Et lors, nous sommes tous fragiles physiquement

Psychiquement sans que rien puisse nous blinder.

Si cette fragilité reste propre à tout être humain,

Tout sujet s’organiserait autour d’une perte.

 .

Soustraction de jouissance primordiale,

À laquelle s’ajoute la vulnérabilité

Issue de la position subjective

Dans le processus

De construction comme sujet.

tel.archives-ouvertes.fr/tel-01304451/document

 .

.

Fond/forme 

 .

Le manque en amour est un symptôme

Universel du besoin de reconnaissance

Il est à la fois une force et une fragilité

On peut certes sans passer et affirmer

Qu’on est bien, on ne manque de rien,

Mais la plupart du temps, c’est faux :

Lui manquera toujours quelque chose

Du seul fait, qu’un jour, il va mourir.

.

 Textuels et illustrations  >> 

611 – Combien ont atteint le Graal de l’amour !

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Certains disent que l’amour

    Demeure un grave problème

         Ou que, rien qu’à le chercher,

              On peut y passer la vie entière.

                   Nommons cela graal problème :

                       Fidélité sans contrainte assumée

                           En est la parfaite image, illustrée,

                              Que cela existe et qu’on l’a trouvé !

                                 Nous sommes, là, dans le domaine

                                    De la rareté, l’excellence, la chance.

                                          Pour  la plupart  d’entre nous : unions,

                                            Ne sont  qu’illusions de … ses frissons !

                                              Qui ne le trouve en Amour, le cherchera

                                               En l’Art, lors sa plus grande sublimation,

                                                Mais l’amour de l’Art, et, l’art de l’Amour,

                                                 Ne sont pas équivalents, en un lit charnel.

                                                Pour finir, le Graal  est  cet élixir d’ivresse

                                                Qui promet éternité  d’une belle jeunesse,

                                                 Et, l’amour serait son filtre … d’allégresse,

                                                  Au point de s’unir … comme dieu et déesse.

                                                  Combien ont atteint… ce Graal de l’amour,

                                                 Combien l’ont frôlé, combien l’ont entrevu,

                                                S’en sont fait, à son idée, sans le rencontrer,

                                               L’ont raté, ou n’osent même pas, l’imaginer.

                                              Si, chacun se fait propre idée, de ce qu’il est,

                                             Chacun se prend à y croire, à en…témoigner,

                                            On devrait comme en un bonheur, converger,

                                          Lors il n’en est rien sauf en roman ou au ciné

                                       Moi, je ne prétends nullement l’avoir trouvé,

                                     Bien que ce ne soit faute, de l’avoir cherché,

                                 J’avoue que la poésie me l’aura bien évoqué

                              Je l’ai expérimenté, à défaut d’y demeurer !

                          Il n’est, ni en le sexe, ni en le corps entier ;

                       Il n’est ni en l’un, ni en autre… partenaire,

                     Il est ailleurs et c’est le plus extraordinaire

                    Quelque part,  entre terre et ciel,  à l’adorer.

                  Je t’adore, adore ton amour, amour en toi :

                Aucune de ces trois postures n’est un graal :

               Comme le bonheur on ne le sait ni le dit pas :

              On ne peut qu’aimer de travers, ou aimer mal.

            À moins qu’on ne soit un pur esprit… spirituel,

           Qu’on soit débarrassé de part d’animal résiduel

          Mais alors à quoi bon, le désir, le plaisir, soupir,

        Si, seul le corps les réclame, tient à les entretenir.

        Assouvir et sublimer sont deux faces  même désir,

      Et le Graal, en l’Art, n’existe pas plus…qu’en lard,

    Assouvir une beauté, ne sublime pas sa sexualité,

  Lors sublimer sa sexualité n’assouvit pas  beauté

   En conséquence, l’amour est un Graal problème,

   Qui nous pousse à des manifestations extrêmes,

    Alors que simple présence d’autre suffit, parfois,

    À l’atteindre, sans qu’on y comprenne pourquoi

      Si fait il n’y a pas  de bons et mauvais chemins,

      Que le graal on ne sait s’il est vraiment entrain

        En avant-train, en arrière-train… car combien

          Confondent, proie et ombre, en leurs mains

.

Extensions 

 .

Promesse est avant-gout du plaisir d’atteindre Graal en amour

Déception est arrière-gout du plaisir gâché par frigidité du jour :

Dans l’imaginaire, tout le monde peut grimper en haut de l’échelle,

En réalité, il y a loin entre tendresse, caresse, pénétration et frisson,

Quelquefois, passe encore, mais à chaque fois, on finit par en douter !

  .

Le plaisir est une sensation qui peut

Déclencher quel qu’intense émotion ;

Le bonheur est un état de corps – esprit

Qui durer longtemps, s’il s’autoalimente.

.

Autrement dit le graal de l’amour est dans

L’âme, au delà du sexe, corps, cœur, esprit :

Une sorte  d’extase  qui magnifie  l’existence,

La plaçant sur le nuage où rien n’est malheur.

.

On pourrait l’assimiler à une drogue  planante,

Une sorte de pilule d’un bonheur, bien artificiel.

La question est alors, est-ce fuite en les deux cas

Seulement dans l’un deux, parce qu’autoproduit.

.

Fragments

.

Le Graal est coupe à boire utilisée

 Lors de son dernier repas par Jésus.

.

Disciple Joseph d’Arimathie l’a utilisé,

Comme réceptacle de son précieux sang,

Qui coulait de ses plaies, juché sur la croix

Elle serait conservée en chapelle de Valence.

.

Puis tradition romanesque du Moyen Âge,

Du précieux Graal dont mystère et quête

Orienterait l’aventure de quelques

Chevaliers de la Table ronde.

.

Il aurait le pouvoir de guérir

Des blessures, dites incurables,

Puis est passé en légende urbaine

Pour exprimer un but ultime atteint.

.

En tous domaines : en amour, le Graal,

Peut être d’avoir trouvé le conjoint idéal.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Certains disent que l’amour    C

    Demeure un grave problème    O

         Ou que, rien qu’à le chercher,   M

              On peut y passer la vie entière.    M

                   Nommons cela graal problème :     B

                       Fidélité sans contrainte assumée    I

                           En est la parfaite image, illustrée,    E

                              Que cela existe et qu’on l’a trouvé !   N

                                 Nous sommes, là, dans le domaine     *

                                    De la rareté, l’excellence, la chance.     *

                                          Pour  la plupart  d’entre nous : unions,   O

                                            Ne sont  qu’illusions de … ses frissons !    N

                                              Qui ne le trouve en Amour, le cherchera    T

                                               En l’Art, lors sa plus grande sublimation,   *

                                                Mais l’amour de l’Art, et, l’art de l’Amour,   *

                                                 Ne sont pas équivalents, en un lit charnel.   A

                                                  Pour finir, le Graal  est cet élixir  d’ivresse    T

                                                   Qui promet éternité  d’une belle jeunesse,     T

                                                   Et, l’amour serait son filtre … d’allégresse,    E

                                                  Au point de s’unir … comme dieu et déesse.   I

                                                  Combien ont atteint… ce Graal de l’amour,    N

                                                 Combien l’ont frôlé, combien l’ont entrevu,    T

                                                S’en sont fait, à son idée, sans le rencontrer,    *

                                               L’ont raté, ou n’osent même pas, l’imaginer.    *

                                              Si, chacun se fait propre idée, de ce qu’il est,    L

                                             Chacun se prend à y croire, à en…témoigner,    E

                                            On devrait comme en un bonheur, converger,   *

                                          Lors il n’en est rien sauf en roman ou au ciné    *

                                       Moi, je ne prétends nullement l’avoir trouvé,    G

                                     Bien que ce ne soit faute, de l’avoir cherché,     R

                                 J’avoue que la poésie me l’aura bien évoqué    A

                              Je l’ai expérimenté, à défaut d’y demeurer !   A

                          Il n’est, ni en le sexe, ni en le corps entier ;    L

                       Il n’est ni en l’un, ni en autre… partenaire,    *

                     Il est ailleurs et c’est le plus extraordinaire    *

                    Quelque part,  entre terre et ciel,  à l’adorer.   D

                  Je t’adore, adore ton amour, amour en toi :     E

                Aucune de ces trois postures n’est un graal :     *

               Comme le bonheur on ne le sait ni le dit pas :    *

              On ne peut qu’aimer de travers, ou aimer mal.    L

            À moins qu’on ne soit un pur esprit… spirituel,   

           Qu’on soit débarrassé de part d’animal résiduel    A

          Mais alors à quoi bon, le désir, le plaisir, soupir,   M

        Si, seul le corps les réclame, tient à les entretenir.   O

       Assouvir et sublimer sont deux faces  même désir,   U

      Et le Graal, en l’Art, n’existe pas plus … qu’en lard,   R

     Assouvir une beauté, ne sublime pas sa sexualité,…    !

   Lors sublimer sa sexualité n’assouvit pas la beauté….  *

   En conséquence, l’amour est un Graal problème,…….   V

   Qui nous pousse à des manifestations extrêmes,……….   R

   Alors que simple présence d’autre suffit, parfois,……….  A

    À l’atteindre, sans qu’on y comprenne pourquoi………….   I

      Si fait il n’y a pas  de bons et mauvais chemins,……………   M

      Que le graal on ne sait s’il est vraiment entrain……………..   E

        En avant-train, en arrière-train… car combien……………….  N

          Confondent, proie et ombre, en leurs mains …………….……   T

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un phallus, qui sait, pourquoi pas

Ou un cierge plus ou moins tordu,

Ça pourrait être n’importe quoi :

Moi j’y vois comme une échelle.

.

611 4

.

C’est le haut de l’échelle en amour

Où le sentiment doit être pur,

Atteindre le plaisir est une affaire,

De hauteur puis d’innocence.

 .

Symbolique 

.

Symbole ……………………………………..

Des rapports ……………………….

Entre la terre et ciel ……..

Autant   de  l’ascension

Et  de  la  valorisation,

L’échelle indique une

Ascension … graduelle,

Voie de communication,

Marchant  à double sens.

La hauteur et la dimension

D’un  être, vu, de l’extérieur,

Profondeur, vue de l’intérieur.

Arc en ciel mène à idée d’échelle.

Et dans la psychanalyse, elle tient

La place de plus en plus importante.

Et, dans les rêves, en tant  que  moyen

D’ascension, elle  engendrerait : la peur,

L’angoisse ou au contraire la joie,  sérénité.

Ou encore crainte que l’échelle ne se renverse.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

611 6

.

C’est le haut de l’échelle en amour

Où le sentiment doit être pur,

Atteindre le plaisir est une affaire,

De hauteur puis d’innocence.

 .

Symbolique 

 .

Peut-on

Quan-ti-fier

 Le    plaisir ?

Oui       et       non,

Selon   Ava   Oiknin.

« On peut voir  physiquement

Par  la   force  d’un   orgasme,

Explique-t-elle mais on ne peut

Pas    constituer  une  échelle   du

Plaisir car   celui-ci est intrinsèque

À chaque  individu  et   surtout  qu’il

Varie en fonction du temps qui passe.

Le   plaisir  éprouvé   lors  des   premiers

Rapports  sexuels, dépend  des  fantasmes

D’alors et de l’apprentissage de sexualité. »

Au fil du temps, donc, le plaisir évoluera et les

Ingrédients nécessaires pour  l’éprouver aussi !

marieclaire.fr/sommes-nous-tous-

egaux-face-au-plaisir,1252762.asp

 .

.

Fond/forme 

 .

L’échelle comme moyen de mesure,

L’échelle comme degré supérieur atteint

L’échelle comme progression vers un plaisir;

.

L’échelle comme la recherche de la sublimation,

L’échelle comme manière de grimper septième ciel,

Autant de visions, de délires, produits d’imaginations. 

.

Mais qui nous feront penser au degré suprême du Graal

Attention à la chute des plus brutales avant d’avoir atteint

Les sommets, comme un raté dans ses stratégies d’élévations

.

Textuels et illustrations   >> 

610 – Il ne m’est point besoin d’aller en eaux

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Amour charnel, n’est pas, au bas mot,

Qu’une pénétration …   loin s’en faut :

Toutes les périphéries égalent centre

Il n’y a pas que faux lit, d’un ventre,

Qui puisse satisfaire  belle passion,

Où tout se passe … en vibrations.

.

Caresser l’âme est métaphore,

Pour dire que l’on s’aime fort

Et l’orgasme  devient extase,

Prélude à toute  interphase.

.

Il ne m’est point besoin d’aller en eaux

Profondes ni d’assouvir quel qu’assaut,

Pour caresser ton âme,  à fleur de peau,

Offerte en cadeau, parmi les plus beaux.

.

Lors pensée monte en rebond

Tout plaisir de la chair se tasse,

Ou alors, elle plane en lévitation,

Jusqu’apogée même de sa passion.

 .

Te voir, te toucher, te humer, te palper,

Et surtout, toutes tes formes, les épouser,

Avec  mains  agiles, douces   pour  manier

La caresse et la tendresse et jusqu’à satiété.

.

Car il ne m’est point besoin en toi d’orgasme

Pour susciter,  multiplier   chairs,  fantasmes

Lors tes membres se mêlent fort aux miens,

Font partie de moi comme   lots très divins.

.

Dont j’hérite,  et je profite,  et dont j’invite

À communiquer tous pores, avec  ma peau,

Sur terrain charnel de jeux très rapprochés

À communier au plus près de nos intimités.

 .

Au bout d’un prélude,   plus ou moins long,

Sacrifice s’achève, sur un très bel abandon,

 Et, s’il n’est essentiel qu’ainsi,  nous aimons,

Nous aurons au moins franchi … le Rubicon.

.

Extensions

 .

Aimer plaisir

Et le plaisir d’aimer

Seront complémentaires,

Second peut se passer d’union,

Et se satisferait du rapprochement

Corps, caresse substitue pénétration.

Rubicon est un interdit, danger de se

Bruler les ailes pour tomber en un

Précipice, sans issue, autre une

Solitude à deux, incomprise

De tous, y compris

De sa famille.

.

Tous les corps se ressemblent, plus ou moins

Toutes les âmes sont différentes et uniques

Les corps sont souvent interchangeables

Les âmes sont de nature authentique

Si vous préférer corps aquatique

Allongé, sur  plage  de sable,

Faites-vous vite à l’idée :

On peut le remplacer.

.

Préludes, ou préliminaires amoureux,

Peuvent parfois se suffirent en eux-mêmes

Pour satisfaire deux partenaires à l’extrême,

N’ayant besoin que de cela pour être heureux.

.

Du temps où on se faisait la cour avant baiser,

On appelait cela « un flirt » ou encore relations

Plus ou moins platoniques,  sans conséquences,

Pour assouvir une envie de sensualité passagère.

.

La tension d’aujourd’hui, entre le sexe et orgasme,

Fait que toute phase d’approche est plus raccourcie :

On va droit au but, droit au fait, droit à la pénétration

Ce n’est pas un jugement en soi, juste un fait de société.

.

Où tout doit aller vite, tout doit être efficace, mis en valeur

Prendre le temps est, à certains, un luxe ; autres, un gâchis

Or, sans fantasme, sans projection, sans attente, tout désir

S’émousse et faire l’amour ressemblera alors à un devoir.

.

Fragments

 .

Il ne m’est point besoin d’aller en eaux :

Message des plus sibyllins s’il en est un.

.

De quelles eaux s’agit-il, piscine ou pleurs,

Ou des humeurs se secrétant en intérieurs.

.

À force de caresser intime, comme lumière

Se découvre comme une entrée en douceur.

.

À la lueur de lampe de chevet, d’ambiance,

Les corps entrent en mouvements de danse

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Tous les corps sont beaux, restent attirants,

Lors ombres se substituent à pleine lumière

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Les amants eux-mêmes ferment leurs yeux,

Si le courant passe … l’humidité prend feu.

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Si ce n’est qu’un plaisir, ou voire qu’un jeu,

Tension retombe du coup : finit amoureux.

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Eaux se retirent, disparaissent, s’assèchent,

Lumière s’estompe, chacun regarde plafond.

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C’est pas cela j’appelle : franchir le Rubicon,

Pour le faire, il faut se livrer, total abandon.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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 Calligramme 

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Amour charnel, n’est pas, au bas mot,

Qu’une pénétration …   loin s’en faut :

Toutes les périphéries égalent centre

Il n’y a pas que faux lit, d’un ventre,

Qui puisse satisfaire  belle passion,

Où tout se passe … en vibrations.

 .

Caresser l’âme est métaphore,

Pour dire que l’on s’aime fort

Et l’orgasme  devient extase,

Prélude à toute  interphase.

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IL NE

Il ne m’est point besoin d’aller en eaux

Profondes ni d’assouvir quel qu’assaut,

Pour caresser ton âme,  à fleur de peau,

Offerte en cadeau, parmi les plus beaux.

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Lors pensée monte en rebond

Tout plaisir de la chair se tasse,

Ou alors, elle plane en lévitation,

Jusqu’apogée même de sa passion.

M’EST

Te voir,   P   te toucher, te humer   A   te palper,

Et surtout,  O      toutes tes formes,  L   les épouser,

Avec mains    I        agiles, douces     L     pour manier

La caresse et   N       la tendresse,     E   jusqu’à satiété.

Car il ne m’est    T      point besoin    R  en toi d’orgasme

Pour susciter,      *      multiplier       *   chairs fantasmes

Lors tes membres   B     se mêlent    E     fort aux miens,

Font partie de moi   E     comme     N    lots très divins.

Dont j’hérite, et je     S    profite,     *     et dont j’invite

À communiquer tous  O   pores     E     avec  ma peau,

Sur terrain charnel de  I   jeux   A    très rapprochés

À communier au plus  N près  U  de nos intimités.

          X

Au bout d’un prélude, plus ou moins long,

Sacrifice s’achève, sur un très bel abandon,

 Et, s’il n’est essentiel qu’ainsi,  nous aimons,

Nous aurons au moins franchi … le Rubicon.

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Forme

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Évocation 

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Foyer extérieur avec cheminée,

Un réservoir, un verre, une mèche,

Une lampe à pétrole, c’est bien sûr

D’une intensité lumineuse variable.

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L’amour  fonctionne  comme  une

Flamme  d’une  lampe    tempête 

Accroissant son intensité lumineuse

Jusqu’à éblouir avant de s’éteindre

Parler d’eaux et l’imager par le feu

Une lampe  et intensité lumineuse,

Peut paraitre décalé  ou incongru,

Pour autant forme évoque le fond.

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Symbolique 

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Toute   lampe,

Qu’elle soit électrique,

À huile ou bien à pétrole,

Représente toujours lumière

Intérieure, avec une  énergie,

Des capacités, des talents  que

L’on maîtrise … parfaitement.

C’est  l’homme  qui    maîtrise

La lumière avec un certain

Pouvoir pour l’allumer

Et pour d’éteindre.

La lumière est le

Symbole  de  la

Con-nais-sance

Vraie    et     pure..

.

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Fond

 .

Évocation

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L’amour fonctionnerait  comme une

Flamme de lampe tempête 

Accroîtra son intensité lumineuse

Jusqu’à éblouir  bien avant  de s’éteindre

 .

Symbolique 

 .

L’intensité lumineuse

Est une grandeur qui exprime

La capacité à éclairer d’une source

Ponctuelle de lumière en une direction.

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Dans  un  environnement  plus  obscur,

La vision humaine ne distinguera plus

Les couleurs,  la sensibilité spectrale

Relative est décalée vers le bleu.

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On parle de vision scotopique.

Entre les deux domaines de

Luminosité, on parle de

Vision mésopique.

Wiki intensité lumineuse

 .

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Fond/forme 

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Faut-il quelqu’un pour tenir la chandelle

Si l’on fait l’amour dans le noir complet !

Sûr que non, lumière est dans les esprits

Et qui brille dans les yeux d’il avec elle

Mais, paradoxalement, les amants

Ferment les yeux, lors de baiser. 

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