393 – Retour de voyage à mon ile

Visuels et textuels  >>  

.

Retour  au point de départ,

Retour au port d’un Gérard,

Retour enfin  vers la France,

Retour  suite  aux vacances !

.

Je ne suis  pas revenu pareil,

Je suis revenu avec merveille,

Dans les yeux et dans le cœur,

Histoires à raconter bonheurs.

.

Tant partir, est sourire à la vie,

Rester, c’est  en mourir d’envie,

Être  quelqu’un d’autre ailleurs,

Changer pour temps… meilleurs

.

Je  voyage, ainsi, dans  ma  tête,

Et  je  goûte  aux  jours  de  fête,

Tant  pour  se changer les idées,

Rien ne vaut que de s’aventurer.

.

Au risque de ne point retourner,

Je ne sais pas si je  ferais ce pas

De larguer tout, pour  naviguer,

D’un port à autre… vie à trépas.

.

D’avoir quitté deux mois, mon ile,

Temps de perdre contact avec elle,

Grande pour moi, belle  et surréelle,

Ma maison reste mon être, aquatile !

.

Partir   pour décrocher,  mais   complétement,

De vie  familiale, sociale,  culturelle,  économique,

J’en connais qui l’ont fait et l’envie me prend parfois

De sauter le pas. Ce n’est pas l’âge, ni l’argent, ni l’envie

 Qui me retiennent : mon réseau d’amis qui devient absent !

.

..

Extensions

.

Une fois tout largué,

Je suis seul et pour l’éternité.

J’aime ma maison, mon ile, ma région :

Pourquoi chercher ailleurs ce qu’on a chez soi.

L’écriture est plus facile chez moi que chez les autres.

L’isolement chez un hôte à l’étranger est mal vécu,

Comme une ignorance, un égoïsme, un rejet.

.

Et puis ici je revois mes quatre enfants

Enfin, cela ne sert à rien d’argumenter,

De mettre les choses dans la balance,

Le retour est un moment émouvant,

.

Je retrouve ma maison comme laissé,

La veille, comme si  elle … m’attendait,

Comme si elle m’accueillait dans ses bras

Chargé de souvenirs, dans toutes ses pièces,

En tous ses meubles, objets, tableaux, décors.

.

Ma maison a une âme, avec un peu de celle que

Je lui ai donnée, un peu de celle qu’elle m’a prise,

Un peu de mon couple, famille, un peu

De l’air du temps et de son environnement.

On appelle cela, à juste titre un port d’attache

Et les deux mots ont des sens très forts pour moi.

.

D’abord, et avant tout, franchir le pont de l’Ile-Grande :

Petit, d’accord, mais entouré d’eau, à toutes les marées,

Et ensuite en faire le tour, comme si c’était mon jardin

Enfin revenir vers le pont et rentrer chez soi, satisfait,

Pour se reposer, en terrain connu, en ile bienvenue.

On appelle cela jeter l’ancre à son port d’attache.

Pourquoi, après avoir vécu dizaines d’années,

En un paradis, allez résider ailleurs et où ?

Ici, j’ai tout ce qu’il me faut ou presque.

.

L’ile-Grande serait plus qu’un pied à terre,

Pour moi, c’est un repère,  entouré de mer :

.

L’Ile-Grande, plus qu’un grand tas de pierres

C’est ma maison en mon jardin, mon repaire.

.

Je m’y sens bien, j’aime bien ses atmosphères,

En pleine canicule, je manquerai jamais d’air.

.

Iles autour de la Bretagne, celle que je préfère,

Même si elle n’a, en elle, rien d’extraordinaire.

.

Pour finir, j’y mourrai enterré en son cimetière

Je continuerai à l’avoir en mon cœur, en prière.

.

.

Épilogue

.

La première chose qu’on demande au voyageur

Est soit son pays d’origine, l’endroit où il réside

Bien avant  de savoir ce qu’il fait, où il va, il est.

***

Et, s’il répond je n’ai pas de lieu de prédilection,

On l’associera  alors  avec un routard, vagabond,

Quelqu’un sans racines, quelqu’un opportuniste.

***

Moi je réponds souvent, j’habite une ile en France

Ce qui d’emblée, intrigue, rebondit … en laquelle :

Une petite ile que l’on qualifie pourtant de grande,

Six cent habitants, reliée par un pont au continent.

***

C’est mon port d’attache et c’est mon havre de paix,

Quoiqu’il se passe ou quoiqu’il arrive dans ce Monde

Je peux m’y refuser pour me protéger, me ressourcer

Je ne sais pas  si c’est moi qui l’ai adopté, si c’est elle.

***

Toujours est-il que, quarante an,  en ce même endroit

«Ça commence à faire un bail» : expression consacrée.

Je n’envisage plus de déménager  malgré opportunités

C’est là qu’est ma mémoire, mon espoir de vivre vieux.

***

Mes enfants, mes voisins, mes amis,  visiteurs,  hôtes,

Tous disent la même chose : c’est un coin de paradis :

Une métaphore, sans nul doute, grande partie, vraie !

***

J’espère  qu’il en est ainsi, pour vous, où que ce soit !

Ce n’est pas  un château, ni un manoir : une maison,

Ayant bien du caractère, comme leurs propriétaires.

.

.

393 – Calligramme   

 .

Retour au point   R        de départ

Retour au port   E     d’un Gérard,

Retour enfin      T    vers la France

Retour  suite     O    aux vacances.

   U

Je ne suis  pas      R  revenu pareil,

Je suis revenu avec   *     merveille,

Dans les yeux, dans    D     le cœur,

Histoires à raconter     E  bonheur.

                        *

Tant partir, est sourire   V   à la vie,

Rester, c’est  en mourir  O    d’envie,

Être quelqu’un d’autre   Y    ailleurs,

Changer pour temps      A   meilleurs

                     G

Je voyage ainsi dans     E       ma tête,

Et je goûte aux jours     *         de fête,

Tant pour se changer    D     les idées,

Rien ne vaut que s’a      A     venturer.

                   N

Au risque de ne point    S    retourner,

Je ne sais pas si je  fe      *    rais ce pas

De larguer tout, pour      M     naviguer,

D’un port à autre, vie       O     à trépas !

                        N

D’avoir quitté deux mois,   *      mon ile,

Temps de perdre contact     Î      avec elle,

Grande pour moi, belle  et     L     surréelle,

Ma maison reste mon être,     E     aquatile !

                               *

Partir   pour décrocher,  mais   complétement,

De vie  familiale, sociale,  culturelle,  économique,

J’en connais qui l’ont fait et l’envie me prend parfois

De sauter le pas. Ce n’est pas l’âge, ni l’argent, ni l’envie

 Qui me retiennent : mon réseau d’amis qui devient absent !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

 .

393 4

.

Une colonne de soutènement

Ou un pied de lampe de chevet

Une tourelle, et  qui ressemble

À un amer, ancrage maritime.

 .

Tourelle et ancrage iront bien ensemble

tourelle ne bouge et marque son endroit,

terrestre ou maritime n’y changera rien :

tant et si bien que la forme évoque le fond.

.

Une tourelle, comme on en trouvera,

Aux abords de mon ile :

Un point d’attache, un point d’ancrage,

À nul autre, pareil !

.

Symbolique 

.

Le balisage est constitué

Des tourelles fixes situées

En mer parfois même à terre,

De bouées flottantes et d’amers,

Balises indiquant dangers en mer

Délimitant chenaux d’accès aux ports.

.

Les tourelles et les bouées peuvent émettre

Un signal lumineux de nuit, de portée réduite,

Permettant  l’identification, peuvent être équipées

D’émetteurs sonores : localisation par temps de brume.

Source : wikipedia.org/wiki/Signalisation_maritime#Le_balisage

.

Descriptif

 .

393 – Retour de voyage dans mon ile   

Alignement central   / Titre serpente /  Thème   île

Forme ronde  /  Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : tourelle / Symbole de fond : ancrage

.

Fond

.

Évocation 

.

393 6

.

Une tourelle, comme on en trouvera,

Aux abords de mon ile :

Un point d’attache, un point d’ancrage,

À nul autre, pareil !

.

Symbolique

 .

L’ancre

Est  symbole

De la stabilité,

De la fidélité et de

L’équilibre intérieur.

.

L’ancre  permet   de

Stabiliser tout navire

En agitation des flots.

.

Évoque l’enracinement,

Protection face au danger,

Permet à l’homme, qui vacille,

De faire face aux remous de l’existence,

Et de l’ancrer pour qu’il trouve son équilibre.

D’ailleurs, l’expression « Jeter l’ancre »

Signifie arrêter d’errer, se poser.

Source : 10001 symboles

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’ile-Grande est à la fois mon repère,

Pour me situer sur un endroit du Globe

Comme  un point  GPS,  et mon repaire,

Pour me réfugier, voire me ressourcer,

Une balise… une tourelle … un donjon

Où je suis certain que vivre est bon.

Un lieu de prédilection, s’il en est

Et où, quoiqu’il arrive,  je sais

Que j’y serai  bien, à l’aise,

Et m’en fous de foutaise.

 .

.

Paysage s’offrant à mes yeux

.

Scénario 

.

Une fois franchi le pont, je suis bien dans mon Ile-Grande,

j’en fais le tour dans tous les sens et sans jamais me lasser,

tant ses paysages sont beaux, variés, sauvages, familiers.

 .

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379 – Le voyage vers l’infini d’un retraité

Visuels et textuels  >>  

.

Vers autre destination

Sans plus de  frontière.

Etre ici, être là, ailleurs,

Etre partout en être fier.

Levé, plus tôt,  le matin,

Voyager  dans l’espace,

Ou bien dans le temps

Me remplirait la tête

Couché tard le soir,

Consommer  fêtes

Se…ressemblant,

Me viderait  tête.

Ce qui  me sauve,

Est ce même désir

Restant à combler,

Celui de  …  t’aimer.

Avant, pendant, après,

Et toujours hors du logis,

Est un défi de ma vie, même

S’il ne me conduirait nulle part.

Si chacun construit son enfer, paradis,

Mieux vaut faire ce que l’on désire : partir.

.

Ou partir ?

Changer de lieu, changer d’air, changer de galère,

 D’atmosphère, faire une pause, trouver

Un passage entre instant de demain et instant hier,

Pour pouvoir cheminer, de concert,

.

 Où revenir ?

Revenir en mon logis, où souvenirs visages soupirent

A mon endroit changement radical de désir :

Une route s’impose, à moi, il me suffit de la parcourir,

Rien à penser ni faire, rien qu’à laisser venir !

.

Pourquoi revenir ?

Un voyage, au long cours, n’en finit pas, il se transforme

Au fil d’instants en visions, émotions multiformes :

En fuite du quotidien pour vider le stress ou la méforme,

Besoin de changer d’air pour ma remise en forme.

.

Que dois-je dire ?

« N’habite plus ici, courrier poste restante, pour un temps,

Parti vivre ailleurs, pour voir, exister autrement »

Parlant de mes changements d’états, tas de changements

A des amis qui ne me croiront pas sur le champ.

.

Comment partager ?

Mes impressions, transposées ailleurs, perdent en saveurs

Tombent à plat, par manque de vécu, d’odeur :

Car vous parviennent en bribes, mots, images, fragments

Difficiles à rendre hors de leurs environnements.

.

Vaut-il mieux écrire ?

Mes récits, reconstruits, requièrent une part d’empathie,

Pour, lorsqu’on les lit, l’imaginaire du non-dit

Évoque des liens qui rétablissent les pulsations du cœur,

Émotions qui sinon tombent en oubli, meurent.

.

.

Extensions

.

La retraite est un temps libre

Pour ne rien  faire  cependant

Pour  beaucoup   de   retraités.

.

En fait, c’est  tout  le contraire :

C’est pour faire tout ce qu’on n’a

Pas  eu   le  temps   auparavant !

.

Et, de fait  c’est  le temps  où  l’on

Pose  des  questions  existentielles

Sur son passé,  présent … devenir.

.

Selon qu’on est acteur dominateur,

Qu’on est pédagogue et médiateur,

Qu’on est égoïste et séducteur,

Elle n’a pas même profil,

Même contenu,

Même mise en scène !

.

L’infini d’un retraité a plutôt des allures de fini

Quand on connait la prochaine étape, attendue :

Et encore chance, qu’à présent, l’espérance de vie

Et dépasse  80 ans hommes et femmes, confondus,

Parce qu’il y a cent ans, à 60 ans, c’était déjà foutu.

Donc 20 ans de payé à ne rien faire sauf à se reposer

Mais de l’énergie  encore à revendre, et pour voyager,

À condition bien sûr de bien s’organiser, programmer,

Mais si l’on s’adonne au seul bricolage : adieu voyages !

.

La retraite est un voyage à la carte, avec du temps

Pour peu qu’on en ait l’envie, qu’on en ait l’argent.

.

Retraite est en principe un temps  sans contrainte,

Hormis celle qu’on se donne, supporte, on a choisi.

.

Après il y a casaniers  qui ne quittent pas  chez eux,

Les grands voyageurs  qui n’y sont pas, ou très peu ;

.

Ceux qui alternent les deux, moitié résidence/voyage

Selon leurs envies, leurs moyens, leurs âges, courage.

.

.

379 – Calligramme

.

Vers autre destination

Sans plus de  frontière.

Etre ici, être là, ailleurs,

Etre partout en être fier.

Levé, plus tôt,  le matin,

Voyager  dans l’espace,

Ou bien dans le temps

Me remplirait la tête

Couché tard le soir,

Consommer  fêtes

Se…ressemblant,

Me viderait  tête.

Ce qui  me sauve,

Est ce même désir

Restant à combler,

Celui de  …  t’aimer.

Avant, pendant, après,

Et toujours hors du logis,

Est un défi de ma vie, même

S’il ne me conduirait nulle part.

Si chacun construit son enfer, paradis,

Mieux vaut faire ce que l’on désire : partir.

VOYAGE,

Ou partir ?

Changer de lieu, changer d’air, changer de galère,

 D’atmosphère, faire une pause, trouver

Un passage entre instant de demain et instant hier,

Pour pouvoir cheminer, de concert,

VERS L’INFINI,

 Où revenir ?

Revenir en mon logis, où souvenirs visages soupirent

A mon endroit changement radical de désir :

Une route s’impose, à moi, il me suffit de la parcourir,

Rien à penser ni faire, rien qu’à laisser venir !

D’UN RETRAITÉ  

Pourquoi revenir ?

Un voyage, au long cours, n’en finit pas, il se transforme

Au fil d’instants en visions, émotions multiformes :

En fuite du quotidien pour vider le stress ou la méforme,

Besoin de changer d’air pour ma remise en forme.

VOYAGE,

Que dois-je dire ?

« N’habite plus ici, courrier poste restante, pour un temps,

Parti vivre ailleurs, pour voir, exister autrement »

Parlant de mes changements d’états, tas de changements

A des amis qui ne me croiront pas sur le champ.

VERS L’INFINI

Comment partager ?

Mes impressions, transposées ailleurs, perdent en saveurs

Tombent à plat, par manque de vécu, d’odeur :

Car vous parviennent en bribes, mots, images, fragments

Difficiles à rendre hors de leurs environnements.

D’UN RETRAITÉ  

Vaut-il mieux écrire ?

Mes récits, reconstruits, requièrent une part d’empathie,

Pour, lorsqu’on les lit, l’imaginaire du non-dit

Évoque des liens qui rétablissent les pulsations du cœur,

Émotions qui sinon tombent en oubli, meurent.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Une pelle à tarte, à gâteaux

Ou  un couteau  de plâtrier,

Gratte-ciel avec cent étages

Ou une des tours jumelles !

.

Évocation 

.

379 4.

Infini, c’est atteindre le ciel

Ce que veut faire ce gratte-ciel :

Mais il y a des étages à monter,

Des épreuves à surmonter !

.

Symbolique 

.

Les hautes

Tours des

Gratte-ciels

Font  fantasmer

Tous les humains.

.

Mais avant de les ériger,

Il faut les penser dans leur

Environnement et s’entendre

Sur un « projet  de civilisation »

Susceptible  de donner  un sens.

Pourquoi   veulent-ils  ces  tours ?

.

Elles ne plaisent pas  et font chuter

Nombre politiques qui les réclament

Et pourtant leur pouvoir d’attraction

Sera d’une telle force, que, nos élus les

Très soucieux  de  leur bonne audience,

Oublieront  toute  prudence   électorale

En face d’elle, s’obstinent à les vouloir.

.

 Descriptif

.

379 – Voyage, vers l’infini, d’un retraité  

Alignement central / Titre absent  / Thème  voyage

Forme droite / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : gratte-ciel / Symbole de fond : tour

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

379 6

.

Évocation de fond

.

Infini, c’est atteindre le ciel

Ce que veut faire ce gratte-ciel :

Mais il y aura des étages à monter,

Et parfois des tours jumelles !

.

Symbolique 

 .

Tours

Jumelles

Est un terme

Qui désigne des

Gratte-ciel construits

Côte-à-côte et identiques

Sinon voire  quasi identiques.

Parmi  les  plus  célèbres  figurent :

Les Twin Towers de New York (États-Unis),

Détruites lors des attentats du 11 septembre 2001 ;

Les tours Petronas, celles  de Kuala Lumpur (Malaisie),

Les plus hautes (452 m), jusqu’aux tours de Canton (Chine).

Wikidia : tours jumelles

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’infini pour le temps d’un retraité

Est limité par sa mort et rien d’autre

Tout comme l’image  du «gratte-ciel»

Est limité par la profondeur, solidité,

De ses fondations, en cas  d’ouragan,

Le gratte-ciel de la santé, du retraité,

Dépend de ses défenses immunitaires

Qui définiraient son espérance de vie

Sauf maladie grave, accident, suicide

Or si le terme de l’infini n’est pas loin

Il reste encore du temps pour aimer.

 .

.

Voyage à deux vers quel infini

.

Scénario 

.

L’infini, c’est quoi, pour un retraité : la mer, à perte vue et de temps,

s’asseoir dans un parc, pour regarder les feuilles tomber comme lui,

aller d’une ile à l’autre, pour vivre en des exotismes paradisiaques !

 .

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377 – En voyage, chemin du retour : vue de l’esprit

Visuels et textuels  >> 

.

En nombre de voyages,

Le  chemin   du  retour,

Est pure vue  de l’esprit,

Car si l’on sait, toujours,

D’où l’on part … un jour,

    .

Vrai qu’on ignore parfois

Où l’on va,  et  où l’on ira,

Ou quand  l’on  reviendra,

Ou si encore, on y tiendra.

  .

Un voyage sera un  autour

De soi-même et nous ravit,

Un voyage serait un séjour,

Qui toujours nous  remplit.

 .

Il est une des choses  à faire,

Sur terre,  en toute notre vie

Avant, tout perdre,  être rien.

.

Un marin, qui voyage au loin,

À son port d’attache, y revient

Toutefois, si rien ne l’y retient,

S’il peut le plus, en fera moins !

.

Si l’on y trouve de quoi nourrir

Autant le corps que cœur/esprit

L’on s’y adonne  jusqu’à  mourir,

Tant qu’on aura pour lui, appétit.

.

Un voyage, dit intérieur, est aussi

Semblable à  celui  de  l’extérieur,

On y côtoiera le pire et le meilleur,

Et de ses priorités, on en fait le tri.

.

Temps passe : tout nouvel  espace,

Est de l’imaginaire vécu  sur place,

Qui en nous, laissera quelque trace

En une mémoire  qu’on cadenasse.

.

Tout voyage, nous distrait, et ravit,

Et même le plus court et plus petit,

Dès qu’on se met en  mouvements,

Le sang circule, en tête, vraiment.

.

.

Extensions

.

Le voyage, avec un retour, programmé, budgété, attendu,

Et le voyage comme fuite, aventure, saut dans l’inconnu,

N’auront pas grand-chose en commun :

Sécurité d’un côté, insécurité de l’autre.

.

Il y a le déroulement des visites d’un côté,

La surprise des rencontres fortuites, de l’autre.

Le séjour est une chose, et l’autour est un autre.

.

Il y a les formules mixtes telles que celle billet aller

Avec chambre d’hôtel réservé le jour de l’atterrissage

Et possibilité de modifier la date ou le lieu du retour.

.

La vie ressemble parfois, à ce dernier type de voyage.

On vous  garantira : l’éducation, formation, diplôme,

À vous  de trouver, à la sortie, votre  premier emploi,

Voire, de négocier  votre métier, dans un autre pays,

Ou d’en changer, en cours de route puis de revenir,

Prendre votre retraite dans votre pays… d’origine.

.

Vous pouvez, aussi, avoir une nostalgie du pays,

Avoir fait de mauvaises affaires dans un autre,

Ou encore avoir des opportunités de grimper

Dans votre carrière dans votre pays après

Cinq  à  dix  ans, passées  à l’étranger.

.

À condition  de ne pas  avoir  trop

Souvent changé de job car vous

Donnerez l’impression alors

D’être un vrai instable.

.

Le retour à la maison, d’un voyage est toujours une épreuve

C’est  la fin d’une belle aventure  pour un retour au quotidien

Avec son lot de soucis ou de problèmes, en attente, et à régler !

On ne revient jamais pareil au retour, bien qu’au même endroit,

Chaque voyage, séjour, modifie des choses en nous pour toujours.

.

Quel que soient, destination, endroit, durée

Du séjour et plaisir à y être, il faut revenir

À son point de départ puis à sa réalité,

À moins de s’organiser, avec famille

 Pour circumvolutionner le Globe !

.

Pas impossible, certains l’on fait :

Je ne leur ai pas emprunté … le pas :

Je suis bien trop attaché à ma petite Ile

Comme un bel endroit où je vis tranquille,

Comme un lieu sûr ou rien ne peut m’arriver.

.

.

Épilogue

.

Nombre de gens préfèrent un circuit,

À tout simple aller-retour pour partir,

Premier : pas l’impression de revenir ;

Second : impression de déjà vu, recuit.

***

Partant Paris,  faire  le  tour du Monde,

Aller-retour à  Tokyo ne sera pas vécu :

Comme un retour en arrière sera perçu

Alors que non pour un tour du Monde !

***

Ceci dit, ce ne sera qu’une vue de l’esprit

En avion, cela ne fait guère de différence.

En vélo, en moto, en voiture, bus … train,

Oui, chaque endroit visité serait nouveau.

***

Mais là n’est pas l’essentiel de notre sujet :

Il est de revenir à des réalités quotidiennes,

De fermer la parenthèse et poursuivre sa vie

Qui peut parfois prendre un nouveau départ.

***

Un pont, quel qu’il soit, terrien, marin, aérien,

Évoque et symbolique tel processus, assez bien,

Dès lors qu’il relie deux points, rives, continents,

Il fait l’aller-retour dans un circuit, tout le temps.

.

.

377 – Calligramme 

 .

En nombre   de voyages,

Le chemin   *   du retour,

Est pure vue   V de l’esprit,

Car si l’on sait  O   toujours

D’où l’on part    Y    un jour,

         A

Vrai qu’on igno  G  re parfois

Où l’on va,  et     E où l’on ira,

Ou quand  l’on     :   reviendra,

Ou si encore, on   C   y tiendra.

           H

Un voyage sera       E  un  autour

De soi-même et       M nous ravit,

Un voyage serait       I    un séjour,

Qui toujours nous     N      remplit.

                 *

Il est une  des choses  D        à faire,

Sur terre,  en toute     U      notre vie

Avant, tout perdre,     *        être rien.

Un marin, qui voy      R     age au loin,

À son port d’atta       E   che, y revient

Toutefois, si rien     T      ne l’y retient,

S’il peut le plus,     O     en fera moins !

 U

Si l’on y trouve      R      de quoi nourrir

Autant le corps      *     que cœur/esprit

L’on s’y adonne     R      jusqu’à  mourir,

Tant qu’on aura     E     pour lui, appétit.

T

Un voyage, dit         O  intérieur est aussi

Semblable à celui      U      de l’extérieur,

On y côtoie le pire et       R      le meilleur,

Et de ses priorités on en       *    fait le tri.

                            V

Temps passe : tout nouvel      U      espace,

Est de l’imaginaire vécu     E      sur place,

Qui en nous, laissera       *    quelque trace

En une mémoire       E     qu’on cadenasse.

S …..

Tout voyage,       P    nous distrait, et ravit,

Et même le plus      R      court et plus petit,

Dès qu’on se met en       I        mouvements,

Le sang circule, en tête    T           vraiment.

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

377 4

.

Escalier probablement,

 Ou sinon quoi d’autre,

Un pont peut-être

Mais vers où ?

.

Un long pont que l’on voit en perspective

dont on a l’impression qu’il va diminuant,

un pont piétonnier franchissant un ravin,

tant et si bien que la forme touche le fond.

.

Un pont est un passage, jeté

Entre deux rives, deux mondes,

Mais lorsque l’on en franchit un,

On ne pense pas vite le reprendre!

.

Symbolique

 .

Le pont demeure une construction

Qui permet de franchir un cours d’eau.

Il est symbole du passage, franchissement.

Il évoquera une épreuve initiatique de passage.

.

Ce type de pont est présent en nombreuses légendes.

La plus connue est certainement la légende arthurienne,

En  effet,  les héros  devront  franchir  des ponts  dangereux.

Ces ponts  sont  des épreuves  que les héros  doivent  surmonter.

Modifié, source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-pont.

.

 

Descriptif

 

377 – Chemin du retour : vue de l’esprit 

Alignement central / Titre serpente  / Thème  voyage

Forme triangle / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : pont / Symbole de fond : pont

.

Fond

.

Évocation de fond

.

377 6

.

Un pont est un passage, jeté

Entre deux rives, deux mondes,

Mais lorsque l’on en franchit un,

On ne pense pas vite le reprendre!

 .

Symbolique 

.

Les ponts ont inspiré les poètes,

Suscité des chansons enfantines,

On y danse tout en rond, fascinés

Par l’arceau doré,  ils s’effondrent

Parfois comme une vraie punition

Au comme un désir … inconvenant.

.

Démunis trouvent un abri dessous.

Les photographes et les cinéastes

Nous les ont montrés construits,

Détruits, rebâtis et architectes

En font parfois œuvres d’art.

.

Des légendes présentent les ponts

Comme de véritables voyages initiatiques :

Lancelot franchit un pont métal, pont sabre.

Ils sont parfois réduits à une liane tremblante.

La passerelle jetée par Zeus et parcourue

Par Iris sa messagère est l’arc-en-ciel.

cairn.info/revue-imaginaire-et-

inconscient-2003-4-page-61.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le retour sera souvent une fin de quelque chose

Qui se passait très bien qu’on voudrait poursuivre,

Ce sont les impératifs du calendrier qui vous impose

De quitter le lieu : qu’il soit paradis, purgatoire, enfer.

Le pont représente bien un tel saut qualitatif aller-retour

Mais un retour à quoi au juste : à un  même lieu de départ

À un état d’humeur, santé, état mental précédent, meilleur :

C’est parfois concomitant fragmentaire, illusoire, anxiogène.

 .

.

Chemin du retour vers soi

.

Scénario

.

La réalité quotidienne étant ce qu’elle est, rapport à toute escapade,

la route du retour serait souvent moins appréciée que celle de l’aller,

même si c’est pour retrouver endroit avec jardin, grande maisonnée.

 .

Visuels et textuels  >> 

730 – L’amour est éternel recommencement !

Visuels et textuels >>

.

Y a,  au  moins, trois façons,

D’interpréter  une telle phrase,

Je recommence avec une autre,

Je recommence avec  la même,

Je recommence  avec les deux !

.

Vous, choisissez lequel est bon sens,

Amour est essence, amour est existence,

Amour est espérance, amour est substance

Qui ne se marie, ne connait pas sa chance

Se remarier n’aura rien d’une évidence.

 .

Détrompez-vous, amour s’en moque

Des promesses et  des  tendresses,

Il a en lui : temporalité, éternité

Et n’aspire qu’à une seule chose,

.

Encore, toujours, recommencer,

L’amour n’est réellement qu’un

Éternel    re-commen-cement :

Combien de   fois, ai-je  exigé,

De toi, un  gage  de  sincérité,

Preuve même, de tes fidélités,

Alors que je mens    de t’aimer.

.

Fidélité se conjugue au pluriel,

Et est bien plus que le singulier,

Même  folle de lui  ou  fou  d’elle,

Trop de fois : dur de se  remarier !

 .

Amour est éternel ensemencement.

À la fin, ça fera bien, vraie rengaine,

Des bisous, et mamours et je  t’aime,

Qui ne sont pas de vous  ni d’amant,

Mais de paroles : routine bien vaine

Mais qui, peu à peu, vous  entraine,

À porter  vos regards vers… ailleurs

Pour  tester  votre constante ardeur.

.

Pour  savoir  si  elle  vous vaut  bien,

Il serait bien  de voir où mène la fin

Nul ne la connait, nul n’en sait rien,

Amour, commencement sans fin,

Amour est toujours éternel

Recommencement !

.

.

Extensions

.

Amour, éternel recommencement :

Je me répète, un peu, là, ça boucle :

Où se trouve la sortie du labyrinthe

Où l’on se sentirait enfermé et à vie !

.

Mais plutôt que de le recommencer

Si l’on essayait de le démultiplier.

C’est carrément une idée folle,

C’est presque la révolution !

.

Ça existe depuis les humains.

Fidélité se conjugue au singulier,

Sinon c’est une liaison extra conjugale,

Extra maritale, extra ce que vous voudrez,

Jusqu’à la trahison, et la rupture de contrat.

Légal, le mariage a ses lois, amour n’en a pas.

.

L’on ne peut  légiférer  un sentiment  subjectif

Qui  n’est  autre qu’un  consentement mutuel,

Amour peut être un éternel recommencement

Avec même, sans rupture ou avec séparation.

Se remarier avec le, la, même prête à sourire.

.

Enfin il y a ceux qui y renoncent, en brisant

Ainsi le cercle  de la répétition, frustration,

Pour autant deviendront-ils plus heureux,

Ou tout simplement, moins malheureux.

.

Amour est éternel recommencement

Cela demeure vrai au plan individuel,

Tout autant qu’au plan universel,

Il relie chacun d’entre nous,

Comme une seule entité

Ce qui demeure fou

En tous cœurs

Amoureux

Deux.

.

Dire qu’un amour tournerait

Toujours  en  boucle, en courbe,

Jamais en ligne droite est évidence

Sa loi est de s’établir, de progresser

De se stabiliser, puis de descendre

Jusqu’à ce qu’il se renouvellera !

.

On peut déplorer, pas l’éviter

Il est, mouvement en nous,

Il se régénère, ou meurt.

C’est ainsi, comme ça

On y croit ou pas :

Amour boucle.

.

.

730 – Calligramme  

 .

     Y  a  au  moins                            L                              trois façons,

D’interpréter                              ‘                             telle phrase,

Je recommence                      A                    avec une autre,

Je recommence                   M                  avec  la même,

Je recommence                O              avec  les deux !

Vous, choisissez             U          lequel bon sens,

Amour est essence      R   amour,  existence.

Amour est espérance, amour est substance

Qui ne se marie, con    *    nait pas sa chance

Se remarier n’aura        E    rien d’une évidence

Détrompez-vous,             S        amour s’en moque

Des   promesses,               T         et  des  tendresses,

Il a en lui : tem                *           poralité, éternité

 Et n’aspire qu’à              U           une  seule chose,

Encore, toujours         N         recommencer !

L’amour ne serait   *   réellement qu’un

Éternel   re …  commen  …  cement.

Combien  de   fois,   ai-je  exigé,

De toi, un  gage  de  sincérité,

Preuve même, de tes fidélités,

Alors que je mens    de t’aimer.

.

Fidélité se conjugue   *   au pluriel,

  Et est bien plus que   *         singulier,

   Même folle de lui      *          ou fou d’elle,

   Trop de fois, dur   É      T      de se  remarier.

  Amour est un   T     éternel   N ensemencement.

  À la fin,        E       ça fait bien      E  vraie rengaine,

 Bisous,       R         et mamours et      M       je  t’aime,

  Qui ne        N          sont pas de vous        E    ni d’amant,

 Mais de      E            parole     routine        C     bien vaine

Mais qui     L            peu à peu, vous          N       entraine

À porter      *            vos regards vers         E        ailleurs

Pour tester  R          votre constante       M       ardeur.

Pour  savoir  E        elle vous vaut       M           bien,

Il serait bien    C       de voir       O            la fin

Mais nul ne la connait, nul n’en sait rien,

Amour, commencement sans fin,

Amour est toujours éternel

Recommencement !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

730 4

.

Bijou tout en volutes,

Et  tout en rondeurs,

Tout en fraicheur

Mis en boucles

 .

Une boucle en bijou symbolise

Évocation d’un recommencement,

Toutefois pas toujours … le même,

Et pas toujours avec … la même !

.

Symbolique

.

Boucles

D’oreilles

Sont indispensables

À votre tenue quotidienne,

Comme à vos tenues de soirée.

Que savons-nous de plus sur ce

Bijou beauté, vous mettant en valeur.

.

L’histoire des bijoux d’oreilles remonte

Aux temps les plus anciens et ce bijou

Autour est utilisé comme parure

Dans le monde entier cultures

Qui le portent. Lors elles sont

Diverses et variées  fonction

De leurs formes, leurs motif,

Fixations, compositions, prix.

.

Descriptif

 .

730 – L’amour : éternel recommencement !  

  Alignement central    / Titre droit, cercle   /  Thème cycle

Forme ronde   / Rimes égales  /   Fond approché de forme

Symbole de forme : boucle-oreille / Symbole de fond : bijou

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une boucle en bijou symbolise

Évocation d’un recommencement,

Toutefois pas toujours … le même,

Et pas toujours avec … la même !

.

Symbolique 

 .

Les bijoux que nous portons

Contribuent à former notre personnalité.

Certains n’aiment que colliers très fins, discrets,

D’autres sont attirés par des formes larges et visibles.

Chaque personne a spontanément ses préférences,

Qui diront souvent quelque chose de nous.

.

Témoins des histoires de chacun

Ou d’un simple coup de cœur,

Nombre pendentifs sont

Comme un ornement

Et livrent leur beauté

En harmonie avec celui

Ou avec celle qui les porte.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Ce bijou peut être une boucle d’oreille, ou autre,

Dont on percevrait bien le début et moins la fin

En amour, si on connait la fin : fort  probable

Qu’on ne  le commencerait pas pour l’éviter

À la troisième union, la boucle est bouclée

Il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité

Mais cela on le savait,  dès le début :

Ça n’empêche de le recommencer.

 .

.

Bijou tourne en boucle

.

Scénario

.

La première fois, seule, l’envie, parfois une erreur de jeunesse ;

la seconde, le début de florilège de fleurs et voire, de tendresses ;

un jour on commence à s’aimer romantiquement passionnément.

 .


.

Visuels suggestion de scénario

.

730 1

La première fois, seule, l’envie,

parfois une erreur de jeunesse ;

.

730 2

.

la seconde, le début de florilège

de fleurs et voire, de tendresses ;

.

730 3

.

et un jour, l’on commence à s’aimer,

romantiquement et passionnément.


Textuels calligramme / extensions

£  +   &   #

  • £  Il y a, au moins, trois façons  d’interpréter une telle phrase : je recommence avec une autre, je recommence avec la même, je recommence avec les deux !  A vous de choisir votre bon sens, l’amour est essence, et existence, l’amour est espérance en substance : se remarier n’a rien d’une évidence ! Mais qui ne se marie ne risquera rien : détrompez-vous, amour s’en moque des promesses, et des tendresses, il a en lui : temporalité, éternité, et n’aspire qu’à une seule chose : encore et toujours, recommencer. Combien de fois ai-je exigé de toi un gage de sincérité, preuve même de tes fidélités, alors que je mens de t’aimer, fidélité se conjugue au pluriel, et est bien plus que singulier. Même folle de lui, ou fou d’elle, trop de fois, il sera toujours plus dur de se remarier, que se marier bien qu’amour ne soit qu’un éternel recommencement. A la fin, ça fait un peu rengaine, ces bisous, ces mamours, ces « je t’aime », qui ne sont plus, de vous, d’amants, mais de routines, voire de paroles vaines. Et, qui, peu à peu, vous entrainent à porter vos regards vers ailleurs pour tester votre constante ardeur, pour savoir si  elle vous vaut bien, il serait bien d’en entrevoir la fin ! Or nul ne la connait, la fin, nul n’en sait rien, de l’amour, commencement qu’on voudrait sans fin : amour ne serait qu’un éternel recommencement !

.

  • + L’amour est éternel recommencement : je me répète un peu là, ça boucle : où se trouve la sortie d’un tel labyrinthe où l’on se sent enfermé, à vie ! Plutôt que de le recommencer si on essayait de le multiplier. C’est carrément une idée folle, c’est presque la révolution ! Elle existe depuis les humains. Fidélité, au pluriel : elle ne se conjugue qu’au singulier, sinon liaison extra conjugale, extra maritale, extra ce que vous voudrez, jusqu’à la trahison, la rupture de contrat. Légalement, le mariage a ses lois tandis que l’amour n’en a pas. On ne peut légiférer un sentiment subjectif qui n’est autre qu’un consentement mutuel, donc consensuel, sensuel. L’amour peut être éternel recommencement avec le, la même, sans rupture ou avec séparation, y compris divorce. Se remarier avec le, la, même, prête à sourire, mais non à rire. Enfin, il y a ceux qui y renoncent et brisent ainsi le cercle de la répétition : sont-ils plus heureux pour autant ou tout au plus, moins malheureux.

.

  • & Amour est éternel recommencement : cela demeure vrai au plan individuel, tout autant qu’au plan universel. Il relie chacun d’entre nous, comme une seule entité, ce qui demeure fou en tous cœurs amoureux deux…

.

  • # Dire qu’un amour tournerait  toujours  en  boucle, en courbe, jamais en ligne droite est évidence, sa loi est de s’établir, de progresser, de se stabiliser, puis de descendre jusqu’à ce qu’il se renouvellera ! On peut déplorer, pas l’éviter : il est, mouvement en nous, il se régénère ou meurt. C’est ainsi, comme ça, on y croit ou pas : amour boucle.

.


.

Textuels symboliques et corrélations

.

.

Boucles (d’oreilles)

  • Symbolique de forme : Les boucles d’oreilles sont indispensables à votre tenue quotidienne, comme à vos tenues de soirée. Que savons-nous de plus sur ce bijou beauté, vous mettant en valeur. L’histoire des bijoux d’oreilles remonte aux temps les plus anciens et ce bijou est utilisé comme parure dans le monde entier et les cultures qui le portent. Elles sont diverses et variées, fonction de leurs formes, motifs, fixations, compositions, prix.

.

Bijoux

  • Symbolique de fond : Les bijoux que nous portons, contribuent à former notre personnalité. Certains n’aiment que colliers très fins, discrets, d’autres sont attirés par des formes larges et visibles. Chaque personne a spontanément ses préférences, qui diront souvent quelque chose de nous. Témoins des histoires de chacun ou d’un simple coup de cœur, nombre pendentifs sont comme un ornement et livrent leur beauté en harmonie avec celui ou avec celle qui les porte.

.

Amour (boucle) > début, recommencement, fin,  fidélité, éternité

  • Liens fond/forme : Ce bijou peut être une boucle d’oreille, ou autre, dont on percevrait bien le début et moins la fin. En amour, si on connait la fin : fort  probable qu’on ne  le commencerait pas pour l’éviter. À la troisième union, la boucle est bouclée : il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité. Mais cela on le savait,  dès le début : ça n’empêche de le recommencer.

.

671 – En ma vie, ne cesse de partir pour te revenir

Visuels et textuels >>

.

Partir et puis revenir,

Pour aimer à mourir

Va et vient, convient,

Va et vient … soutient

Mon âme,  vagabonde,

Allant, de par le Monde,

En quête d’amour renoué

Avec toi  puis sous ton toit,

Comme physique, élastique,

La reine, ré-épousant le roi,

En un lit de première nuit

Comblé par ce charme

In-dé-fi-nis-sable,

In-sai-sis-sable

Inal-térable

Instable

Able

V

.

En ma vie, je ne cesse de partir

Mais c’est pour mieux te revenir.

Que de fois, je me serai senti perdu,

Loin de toi  et de tout, pauvre et nu.

.

Lors j’imaginais être  seul à en jouir,

À  n’en plus pouvoir  de  me contenir

Voilà que fantasmes, surgis du néant,

Reprennent avec toi pieds de géants.

.

Retiens-moi…ne me fais pas flipper,

Dis-le que tu ne vas pas me quitter,

Je suis corps et âme  qui transpire

De tes regards  et  de tes soupirs.

.

Je m’en vais, loin,  l’esprit plein

De la peur  et de tout, de rien,

Crains  le pire, pour demain,

Sauf s’il n’est pas commun.

 .

Garde ta main en la mienne

Afin  qu’elle  me  retienne,

Qu’en chassant ma peine

Feu d’amour revienne.

.

.

Extensions

 .

Partir pour marquer une distance,

Plus ou moins grande, définitive

Ou pour ressourcer son couple

En faisant autres expériences

N’ont rien à voir en définitive :

En premier cas, le lien est rompu

En second, il est seulement distendu.

Le manque de l’autre se ferait plus sentir

Quand on est loin  que quand on est proche,

La parenthèse peut renouveler panne du désir,

Pour peu que l’autre prenne l’absence en patience.

.

Un mois, deux mois, jusqu’à un an, après, c’est différent,

L’ennui s’installe, le manque est patent et les quelques rares

Occasions de se revoir peuvent ne pas le combler suffisamment.

Le temps passe, la vie tourne l’on n’entrevoit plus de solution…

Que de refaire sa vie, avec un autre, ayant le mérite d’être là.

Peu de couples, solides, résistent à la pression du temps.

Travail de deuil se met en marche souterrainement

Et le besoin de se faire aider quotidiennement

L’emporte sur les voyages et les amants.

Un père pour ses enfants est un père présent,

Sinon un père de substitution fera mieux l’affaire.

.

S’attacher, se détacher, se  souvenir, se départir

Autant de mots  aux  significations contraires

Qui donneront à penser, et puis à réfléchir,

À ce qui compte pour soi plus qu’en l’air

Et à mieux voir ce qui va des travers

Il y a des fleurs extraordinaires

Comme des fleurs ordinaires

Coquelicot unit les deux

Beauté éphémère

Rustique.

V

.

Tout va-et-vient nous fait du bien,

Pour nous décaler, nous ressourcer

Sans pour autant, vraiment quitter

Les êtres qu’on aime, à qui on tient.

.

Au début, la découverte  de libertés,

L’emporte sur mon attache affective

Avec toi  mais,  vite,  au fil du temps,

Je me resitue en mon cœur d’amant !

.

Et lors je ne penserai qu’à une chose :

De te retrouver au plus tôt en tes bras

Ce n’est que  lorsque j’y suis, j’y serai,

Que le souvenir de liberté me tanne.

.

.

Épilogue

.

Cela pourrait être … cela devrait être,

Une sorte de message, lettre d’amour,

Adressée comme supplique de revenir

Où la vie n’a plus de sens, importance.

***

Je ne sais  si je m’en vais, ou  bien elle :

Je peux rester  en place  et être ailleurs,

Si  l’un revient  quand l’autre … s’en va,

Il est certain que  l’on ne se retrouvera !

***

Dès que ce va-et-vient, est trop fréquent,

La confiance s’en ira et elle ne reviendra.

Partir, revenir, ne sont pas  des caprices,

Ni des manipulations  ni  des chantages !

***

Tout a un sens  dans tout ce que l’on fait,

Même si on n’en a conscience ni lucidité.

Partir  pour mieux te revenir est un choix

Qu’il faut assumer seul : risques et périls.

***

Offrir des roses rouges  est signe d’amour,

Et partir  pour se mettre au vert, de doute.

Aucune relation n’est stable pour toujours,

Faudra juste expliquer ce que l’on redoute.

.

.

671 – Calligramme 

.

Partir et puis revenir,

Pour aimer à mourir

Va et vient, convient,

Va et vient … soutient

Mon âme,  vagabonde,

Allant, de par le Monde,

En quête d’amour renoué

Avec toi  puis sous ton toit,

Comme physique, élastique,

La reine, ré-épousant le roi,

En un lit de première nuit

Comblé d’un charme

.

*****************

**************

.

Indéfinissable,

Insaisissable

Inaltérable

Instable

Able

V

.

En ma vie, je ne cesse     N   P   de partir

Mais c’est pour mieux    E     O   te revenir.

Que de fois, je me serai   *       U   senti perdu,

Loin de toi et de tout,    C         R   pauvre et nu.

Lors j’imaginais être     E           *  seul à en jouir,

À n’en plus pouvoir      S            M de me contenir

Voilà que fantasmes    S             I   surgis du néant

 Reprennent avec toi   E              E  pieds de géants.

Retiens-moi, ne me    *              U  fait pas flipper,

Dis-le que tu ne vas  D              X  pas me quitter,

Je suis corps et âme E              *   qui transpirent

Pour tes regards et  *              T   de tes soupirs.

Je m’en vais loin   P              E    l’esprit plein

De la peur et de   A             *    tout, de rien

Crains  le pire    R           R  pour demain

 Sauf s’il n’est    T         E pas commun.

   I       V

Garde ta main  R   E  en la mienne

Afin qu’elle        * N  me retienne,

Qu’en chassant  I        ma peine

Feu d’amour  R      revienne.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

671 4

.

Un pot en terre

Pousse de plante

D’intérieur … jeune,

Fleur couleur rouge 

.

Plante et couleur vont bien ensemble

mais par avec départ  ni avec retour

aucune plante ne peut voyager seule

aussi la forme se distingue du fond.

  .

Plantes en pot voyagent

 Plus facilement  qu’en terre 

C’est  une   grande  différence

Entre sédentaire, d’intérieur !

.

Symbolique 

 .

Diverses cultures folkloriques

Et traditions attribuent des

Significations symboliques

Aux  différentes  plantes.

.

Bien que celles-ci  ne soient

Plus communément comprises

Par des peuples  qui sont de plus

En plus séparés  de leurs anciennes

Traditions rurales, certaines survivent.

.

En outre, des allusions à ces significations

Sont faites anciennes images, chansons, textes.

De  nouveaux  symboles ont, également, émergés :

L’un des plus connus au Royaume-Uni est le coquelicot

Comme symbole commémoration des victimes de  guerre.

Modifié,  source : wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_plantes

.

Descriptif

 .

671 – Ne cesse de partir pour mieux te revenir 

  Alignement central  / Titre analogue   / Thème  départ

Forme  en ovale / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : plante/ Symbole de fond : couleur-rouge

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

671 6

.

Plantes en pot voyagent

 Plus facilement  qu’en terre, 

ici c’est une plante d’intérieur 

avec une fleur de couleur rouge

.

Symbolique 

 .

Soit pour la couleur rouge

Prépondérante  chez les espèces,

Légende de jeune fille brûlée dans le feu,

L’anturium est une plante symbole de l’amour.

Appelée aussi : la fleur flamante, ses couleurs

Passant du rose par le rouge au violet foncé.

.

En effet, la légende raconte qu’une jolie fille

A été ravie par souverain des plus cruels

Lorsqu’au jour du mariage, on a allumé

Un grand feu, la jeune fille, en robe

De mariée rouge, s’est jetée dans le brasier.

Alors Dieu, touché par sa beauté  et  sa fidélité,

L’a dotée de jolie fleur rouge, symbole de l’amour.

freshidees.com/fetes/saint-valentin/plante-symbole-de-l-amour

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Dans «Le Petit prince» de Saint Exupéry

Le renard qu’il rencontre dans le désert

 Lui confie une rose qu’il faut arroser

Tous les jours, et sans exception

Pour qu’elle ne meure pas !

.

C’est sûr qu’il peut s’en aller

De ci  ou de la, pour voyager,

Mais revenir est une promesse

Qu’il devra tenir coûte que coûte.

.

Tout est dit en ce conte d’enfant là :

Si on aime, ce n’est pas qu’on part pas,

C’est juste que de revenir, on n’oublie pas.

 .

.

Sac à dos : prêt !

.

Scénario

 .

Échapper à, s’échapper de : une fonction primordiale

 comme des oiseaux migrateurs qui reviennent toujours

ou des électrons libres qui se détachent, se rattachent.

.

Visuels et textuels >>

252 – Retour de voyage à mon île

Visuels et textuels  >> 

.

Mon

Retour

Port attache

Point de départ,

Ma maison sur l’Ile :

Redevenir   tranquille,

Ne plus faire le routard,

Qui,   partout,  parcourt,

La Terre … toute entière,

Sans poser aucune valise.

.

Retrouver air atmosphère

De l’automne et de l’hiver,

Où souvenirs s’impriment,

S’effacent   ou  s’estompent,

Mais mon ile est en lumière

Elle n’est pas  dans l’ombre.

.

Retour à mon  port d’attache,

Retour à mon  point de départ,

Retour à la suite  des vacances,

Retour enfin vers belle France.

.

Je ne suis pas  revenu  pareil :

Je suis revenu  avec merveille,

Dans les yeux  et dans le cœur,

Histoires à raconter : bonheur.

.

Partir, serait sourire  à la vie,

Rester, serait mourir d’envie,

Être quelqu’un autre ailleurs,

Changer pour temps meilleur.

.

Je voyage ainsi dans ma tête,

Goûte aussi aux jours de fête,

Car pour se changer les idées,

Rien ne vaut que s’aventurer.

.

Risque de ne pas  y retourner :

Je ne sais pas si je ferais ce pas

De larguer tout, pour naviguer,

D’un port à l’autre, vie à trépas.

.

D’avoir quitté  deux mois mon ile,

Temps de perdre contact avec elle :

Grande  pour moi, belle, et surréelle,

Ma maison restera mon être, aquatile.

 .

Le quotidien reprend son rythme prévisible

Succédant à l’envie de tâche visible, invisible.

Reste celle de repartir ailleurs, autre lieu, mer.

.

.

Extension

.

Éternel mythe, retour au point de départ,

Là où l’on a laissé tous ses êtres aimés.

Ce lieu n’est pas qu’un coin de terre,

Il constitue avant tout un réseau

De liens des plus indéfectibles.

.

Quel que soit  l’issue du voyage,

Qu’il pose bonheur  ou  problème,

L’envie et voire le besoin de revenir

Se fait toujours sentir, à un moment

Ou l’autre, comme  de revoir  sa mère.

.

Il y a les gens du voyage qui pratiquent

L’itinérance d’un lieu à l’autre, d’un pays

À l’autre et leur patrie serait leur roulotte,

Ou caravane  ou camping-car  mais  jamais

Belle maison,  dans  une région, quelconque.

.

C’est un choix de vie  qui aura  ses avantages

Mais  aussi  ses défauts : comment s’attacher

Si on n’a le temps de rester assez longtemps.

J’ai choisi d’aller et venir, partir  et revenir,

D’être quelqu’un ici, être un autre ailleurs

Et je m’en porte bien de telles coupures,

De ces ruptures dans mon quotidien.

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Revenir est une action de retour vers c qui est connu, habituel.

Quand il s’agit de se poser, retour vers sa résidence principale :

Ce n’est pas comme bernique à son rocher, bateau à son ancre,

C’est revenir capitaliser ses souvenirs et reprendre de l’énergie

En ce sens retour du voyage permet de refaire la valise départ.

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252 – Calligramme

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Mon

Retour

Port attache

Point de départ,

Ma maison  sur l’Ile :

Redevenir    R tranquille,

Ne plus faire E     routard,

Qui, partout  T      parcourt,

La Terre        O toute entière

Sans poser     U     ses valises,

Retrouver air R   atmosphère

De l’automne  *    et de l’hiver

Souvenirs ou  D  s’impriment

S’effacent ou   E  s’estompent.

Mais mon ile   * est en lumière

Elle n’est pas  *   dans l’ombre.

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Retour     *      *       à mon  port d’attache,

Retour    *      *     à mon  point de départ,

Retour    *      *      à la suite des vacances,

Retour     *      *   enfin vers belle France.

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Je ne suis    V      pas  revenu  pareil :

Je suis revenu    O       avec merveille,

Dans les yeux et     Y      dans le cœur,

Histoires à raconter   A         bonheur.

Partir, c’est sourire       G         à la vie,

Rester, c’est mourir        E       d’envie,

Etre quelqu’un autre        *      ailleurs,

Changer pour temps         D   meilleur.

Je voyage ainsi dans           A    ma tête,

Goûte aussi aux jours          N     de fête,

Car pour se changer les        S       idées,

Rien ne vaut que s’aven        *        turer.

Au risque de ne pas  y re      *      tourner

Je ne sais pas si  je ferais    M        ce pas

De larguer tout pour         O      naviguer,

D’un port à l’autre        N      vie à trépas !

D’avoir quitté         *    deux mois mon ile,

Temps de        I   perdre contact avec elle :

Grande     L    pour moi, belle, et surréelle,

Ma    E  maison restera mon être aquatile.

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Le quotidien reprend son rythme, prévisible

Succédant à l’envie de tâche visible, invisible.

Reste celle de repartir ailleurs, autre lieu, mer.

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Forme

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Réduction

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252 4

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Évocation 

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Une tour,

Une plateforme,

Et grosse lanterne 

Un phare…  c’est sûr.

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Un phare avec une petite lanterne

constitue un repaire pour repaire,

d’autant quand il s’agit de son ile :

ainsi forme et fond se confondent.

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Est-ce qu’y aurait pas, deux phares,

Balises, tourelles, identiques :

En tous cas chacun reconnait le sien,

Sa lanterne lors il est sur son ile.

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Symbolique

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La lanterne

Symbole de connaissance

Et d’intelligence, celle qui éclaire

Le monde des hommes dès lors elle abrite

Le feu fragile et sacré, celui qu’il faut préserver.

La lanterne contient la lumière individuelle

Qui peut se transmettre, elle nous guide

Et peut guider les autres et lorsque

Nous en rêvons, elle représente

L’intelligence       lumineuse

D’une personne  précise.

Sa pensée nous éclaire.

tristan-moir.fr/lanterne

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Descriptif

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252 – Retour de voyage dans mon île

Alignement central / Titre serpente / Thème voyage

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : allumer

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Fond

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Évocation

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252 6

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Évocation de fond

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Est-ce qu’y aurait pas, deux phares,

Balises, tourelles, identiques :

En tous cas chacun reconnait le sien,

Sa lanterne lors il est sur son ile.

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Symbolique 

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Symbolisme phare

Demeure très positif.

Il représente la lumière

Qui guidera les hommes.

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Le phare indique

Une direction

Et un sens sacré.

À l’instar de la tour,

Il affirme sa verticalité.

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Cette construction possède

Cependant   un  sens   opposé

Puisqu’elle est faite pour être vue

Alors que la tour est faite pour voir.

Le phare demeure porteur de lumière.

Modifié, source tristan-moir.fr/phare

 

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Corrélations

Fond/forme 

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Lumière connue, peut éclairer ma lanterne,

Ne serait-ce qu’en faisant appel au souvenir

D’un vrai repère pour joindre mon repaire !

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En l’occurrence, mon Ile-Grande bretonne,

Ou le calme et la sérénité d’un tel paradis

Me porte, chaque fois, à vite y revenir

Avec envie de n’en jamais repartir

Jusqu’à ce que l’appel du large,

Résonne ç nouveau à l’oreille.

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Attendre taxi, rentrer chez soi

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Scénario

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Retour au quotidien parfois difficile, comme école après vacances,

la magie des voyages buterait contre le mur de sédentarité forcée,

de revenir sur ile bretonne et en Ile de France n’est en rien pareil.

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Visuels et textuels  >>