793 – Je ne suis dans tes rêves, ni dans tes désirs !

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.

Comme

 À  la suite de

Dépit amoureux

Dans cette lettre, je

 T’écris ici mes adieux,

Amitié que  tu me consens

Ne répondant  à  mon vœu.

Je  te confie d’arrêter ton jeu,

Lors frustré de ne pas pouvoir,

Me donner  en ma pleine mesure,

En tes rêves  comme  en  tes désirs,

Échanger entre nous, caresse, soupir,

Avec moi et pour une relation qui dure,

Chaque jour, chaque nuit … chaque soir.

Je suis à me demander ce que je représente

Vraiment pour toi et comme je ne parviens

Pas  à le deviner, je préfère abandonner.

 .

Je ne suis dans tes rêves,

Ni dans tes désirs,

Je ne suis plus sur tes lèvres,

Ni dans tes soupirs,

Avec toi conventionnelle amitié

Point extraordinaire,

Entre homme et femme non-initié,

Des paroles en l’air,

Pas d’engagements, ni d’enlacements,

Echange puritain ;

Rien à voir avec ces fiévreux… amants

Se tenant la main.

Si vrai que l’autre… on ne l’étreint plus,

Le laissant de côté,

Demeurent l’émotion, et le sentiment, nu,

De deux personnalités 

Si vrai que jouir mène, des fois, à souffrir,

C’est pour s’en protéger,

Qu’on fait taire passion  en quelque raison

Plutôt que d’en… profiter !

Amitié, coûte, rapporte, cela va  sans dire,

C’est juste qu’on se sente bien

Ensemble, on peut, vraiment, tout se dire,

Sans rien craindre demain !

Si vrai, qu’on peut passer d’ami, à amant,

Comme cela  …  en passant,

Le contraire se ferait plus difficilement,

En vrai, moins jouissant ;

L’un amant mais l’autre ami seulement.

.

Qu’est-ce que je représente, pour toi :

Le premier être … qui t’aura compris

Le premier être qui t’aura conquis

Le premier être mis dans ton lit

Le premier être  pour…la vie,

Le premier être aussi ami.

.

.

Extensions

 .

Je ne suis ni en tes rêves, ni tes désirs,

C’est moi qui dis cela, mais comment

Le saurais-je sans t’avoir questionnée,

Et si je fais les questions et les réponses,

Autant te zapper de suite sans tergiverser.

.

J’ai déduit tu étais une amie conventionnelle

Mais déduit de quoi et comment le savoir si je

Ne t’observe pas dans toutes les circonstances,

Et dans tous les échanges que l’on a pratiqués.

.

Entre une rencontre amoureuse…  fantasmée

Et jamais, je n’ose, bien que je sois avec toi

En amitié et peut-être parce qu’on s’y est

Installé : poser cette question d’amour.

.

 « Tu délires un max : même pas en rêve »

Qui n’aura jamais entendu ce «râteau» là !

Il est vrai que, si rêves et désirs vont de pairs,

Rêve et réalité ne se confondent même à l’envers

Désir et incarnation ne seront pas toujours frères

Le désir entraine, maintes fois, de la frustration

Lors le rêve la compense, en faisant fonction,

C’est ainsi que marche cinéma, télévision

J’ai rêvé d’être, mais ne le suis pas !

.

.

793 – Calligramme  

.

Com  N      me

 À  la      I   suite de

Dépit a    *    moureux

Dans cet    E   te lettre, je

 T’écris ici   N    mes adieux,

Amitié que   *    tu me consens

Ne répon      R  dant à mon vœu.

Je  te confie   Ê     d’arrêter ton jeu,

Lors frustré     V      de ne pas pouvoir,

Me donner     E    en ma pleine mesure,

En tes rêves    S      comme  en  tes désirs,

Échanger en    *    tre nous, caresse, soupir,

Avec moi et     D    pour une relation qui dure

Chaque jour   É      chaque nuit … chaque soir.

Je suis à me  S    demander ce que je représente

Vraiment    I pour toi et comme je ne parviens

Pas  à le   R    deviner, je préfère abandonner.

S …………………………………….

Je ne suis dans tes rêves,

Ni dans tes désirs,

Je ne suis plus sur tes lèvres,

Ni dans tes soupirs,

Avec toi conventionnelle amitié

Point extraordinaire,

Entre homme et femme non-initié,

Des paroles en l’air,

Pas d’engagements, ni d’enlacements,

Échange puritain ;

Rien à voir avec ces fiévreux… amants

Se tenant la main.

Si vrai que l’autre… on ne l’étreint plus,

Le laissant de côté,

Demeurent l’émotion, et le sentiment, nu,

De deux personnalités 

Si vrai que jouir mène, des fois, à souffrir,

C’est pour s’en protéger,

Qu’on fait taire passion  en quelque raison

Plutôt que d’en… profiter !

Amitié, coûte, rapporte, cela va  sans dire,

C’est juste qu’on se sente bien

Ensemble, on peut, vraiment, tout se dire,

Sans rien craindre demain !

Si vrai, qu’on peut passer d’ami, à amant,

Comme cela  …  en passant,

Le contraire se ferait plus difficilement,

En vrai, moins jouissant ;

L’un amant mais l’autre ami seulement.

.

Qu’est-ce que je représente, pour toi :

Le premier être … qui t’aura compris …

Le premier être qui t’aura conquis………..

Le premier être mis dans ton lit………………

Le premier être  pour…la vie,……………………..

Le premier être aussi ami……………………………..

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

793 4

.

Un poisson mort

Dont on ne projette

 Plus que ses arêtes 

Pour le reconnaître !

.

Seul, un amour charnel,

Consommé, lui donnerait du corps.

Comment peut-on rêver,

De désirer tel poisson avec arêtes !

.

Symbolique

 .

Le poisson reste l’emblème de l’eau,

Élément avec lequel il partagera

Son aspect le plus symbolique,

Il  est  symbole  de  fécondité

Mais tout autant de sagesse.

.

Il est occulte dans les

Profondeurs des eaux,

Domaine d’une force sacrée

De l’abîme dont il est pénétré.

.

Cet espace aquatique

D’une profondeur

Insondable est

Associé aux mystères

De l’inconscient humain,

Aux pulsions les plus cachées de l’esprit.

Source : les-voies-libres.com/symbolisme-du-poisson

.

Descriptif

.

792 – Je l’ai, un soir, rencontrée, imprimée

  Alignement central  /  Titre  courbe  / Thème  amitié

Forme animale  /  Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : poisson / Symbole de fond : arête

.

Fond

 .

Évocation 

.

793 6

.

Seul, un amour charnel,

Consommé, lui donnerait du corps.

Comment peut-on rêver,

De désirer tel poisson avec arêtes !

.

Symbolique 

.

L’arête attire l’attention sur

Un environnement très discutable

Qui a atteint, et entaché, son humanité :

Elle dit que l’on s’est laissé décharner, user.

.

Il est temps  de  reprendre  sa vie  en main,

Matérielle  et affective, et  de se recentrer

Sur des satisfactions simples et sereines.

.

Avoir mal à la gorge est problématique

Et avec la parole est mis en évidence

On aura à avaler une contrariété,

Un affront, une peine à venir !

Source : wikireve.fr/dir/3673-arete

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

-Arrêtes, arrêtes car si tu oses allez plus loin

Je noierai ton poisson dans ton verre de vin.

– Tu es sérieuse, là : c’était pas mon intention.

– Non mais c’est ma réponse par anticipation.

.

On peut continuer avec un peu d’imagination

Sauf à considérer l’approche, pétard mouillé

Dans les films il y aura toujours une réplique

Pour vous sortir de mauvais pas, dit guêpier.

.

En réalité on appelle cela prendre un râteau.

Je vous aurai prévenu, il fallait pas le tenter.

 .

.

Rêves d’amours interplanétaires

.

Scénario

.

Je ne suis ni dans tes rêves, le jour,

en aucun de tes rêves sur l’oreiller, la nuit,

ni même pas en le moindre de tes désirs envers moi !

 .

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758 – Imagine un monde, imagine une terre !

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.

À chacun son délire,  utopie :

On peut imaginer autre Terre

Où l’on serait tous frères, amis

Où il n’y aurait plus de guerres ,

Mais, ce ne serait plus le Monde,

.

Dans  lequel, tous les jours, l’on vit,

Fait de malheurs  et  fait  de misères,

Que les médias oublient … claironnent.

.

Que  devient le fameux : «vivre ensemble»

Si chacun pense à lui  et d’abord, rassemble

Tout ce  qui peut  lui  être  utile ou favorable,

Cupide, égoïste, passant pour être honorable !

.

Imagine un monde,

Imagine…une terre,

Où l’on serait frères,

Où l’on serait  sœurs,

Où au fond des cœurs

Amour nous inondent.

.

Hélas,  il n’en est point,

Ou souvent, contrepoint,

Chacun pensant aux siens

Et tant pis pour les voisins

Juste, respect de courtoisie,

Juste, «bonjours et mercis».

.

L’on ne peut aimer ni aider ;

Tout le monde  et l’humanité,

Ni enchanter … tout le monde

Dans ce monde,  désenchanté.

.

De prôner le «chacun pour soi»,

Ne créera pas  de communautés,

Il faut que, des cœurs, l’on  sonde

Toute chose dont chacun fera foi !

.

Or que faire d’autre, que  d’écouter

Peines, plaintes de gens désocialisés

Parfois désolidarisés… déshumanisés.

.

De leur venir en aide tout seul, ne serait

Qu’une goutte d’eau dans un vaste océan,

Sans politique  commune, l’on ne pourrait,

Que perdre à la fois son temps et son argent.

À chacun de trouver la formule, lui convenant.

Aider l’autre : facile à dire : le faire : comment !

.

.

Extensions

 .

Imagine un Monde, Terre :

Terre inconnue pour les uns,

Terre Promise   pour d’autres,

En notre galaxie, extragalactique

Aurait-elle figure  de notre Planète.

.

Et, si oui, aurait-elle  figure humaine,

Et si oui, mêmes systèmes inégalitaires,

Les mêmes qualités et les mêmes travers !

On se perd en suppositions, en descriptions,

En  évocations,   comparaisons,  explications !

.

La plupart du temps, il s’agit de la même Terre,

La nôtre, fonctionnant  simplement  différemment.

C’est difficile à imaginer, en dépit exemples du passé,

Alors en imaginer une dans le futur en lien avec le passé.

.

C’est peine perdue d’avant tant que les hommes resteront

Ce qu’ils sont, c’est-à-dire moitié ange et moitié démons.

Nos décisions sont prises par émotions plus que raisons.

Ce n’est pas la Terre qui pose problème : ses habitants !

.

Imagine : un rêve d’utopiste

Voulant mettre Monde en piste

Vers un bonheur  vécu universel.

Allez, allez et vite : tous  en s elle :

Mais tout autre  est notre réalité,

L’humain est fait  de duplicités,

Que l’on ne parvient à cacher,

Si bien même, on parvient,

Des fous en profiteraient.

.

Les amoureux, grand bien leur fasse,

Imaginent, souvent, Terre, différente

De celle  où ils ont vécu  jusque lors !

.

C’est humain,  c’est compréhensible,

C’est le fruit de deux âmes sensibles,

Mais réalités les prennent pour cible

Et seront trop souvent incompatibles

.

On peut imaginer des choses à l’envi,

Sans ce que cela devienne la vraie vie

C’est ce que me rappelleront les amis.

.

.

758 – Calligramme  

 .

À chacun  I   son délire,   I   utopie :

On peut   M  imaginer au   M  tre Terre

Où l’on   A    serait tous frè    A  res, amis

Où il n’   G       y aurait plus de   G   guerres.

Mais,      I      ce ne serait plus le     I    Monde,

Dans     N    lequel, tous les jours,     N    l’on vit,

Fait de   E        malheurs  et  fait de     E   misères,

Que les   *        médias   oublient,  clai    *    ronnent.

Que de  U      vient le fameux «vivre en     U  semble»

Si  cha   N      cun pense à lui, d’abord, ras   N   semble

Tout ce   *     qui peut  lui être   utile ou fa    E   vorable,

Cupide,   *       égoïste passant pour être ho   *   norable.

MONDE                                                 TERRE

.

******************************************

***********************************

.

Imagine un monde,

Imagine…une terre,

Où l’on serait frères,

Où l’on serait  sœurs,

Où au fond des cœurs

Amour nous inondent.

.

Hélas,  il n’en est point,

Ou souvent, contrepoint,

Chacun pensant aux siens

Et tant pis pour les voisins

Juste, respect de courtoisie,

Juste, «bonjours et mercis».

.

L’on ne peut aimer ni aider ;

Tout le monde  et l’humanité,

Ni enchanter … tout le monde

Dans ce monde,  désenchanté.

.

De prôner le «chacun pour soi»,

Ne créera pas de communautés,

Il faut que, des cœurs, l’on sonde

Toute chose dont chacun fera foi !

.

Or que faire d’autre, que  d’écouter

Peines, plaintes de gens désocialisés

Parfois désolidarisés…déshumanisés.

.

De leur venir en aide tout seul, ne serait

Qu’une goutte d’eau dans un vaste océan,

Sans politique  commune, l’on ne pourrait,

Que perdre à la fois son temps et son argent.

À chacun de trouver la formule, lui convenant.

Aider l’autre : facile à dire : le faire : comment !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.758 4

.

Un arbre ou tout au moins

Un tronc avec une cime, 

Des branches et racines

Ancrées dans la terre.

.

Un arbre aux multiples branches

Sur son long tronc vers le ciel :

Symbole même de la terre et

De la fertilité, la liberté !

.

Symbolique 

 .

L’arbre représente

« L’être      humain »,

Les  racines sont la base

De construction psychologique,

Des liens  qui  le  relient

Aux membres de sa famille,

Le transgénérationnel,

L’inconscient, la mémoire cellulaire.

Le  tronc  est, quant à lui,

Le corps physique et feuilles,

Et ses nombreuses branches représentent

Ouverture d’esprit,  spiritualité,

Sa capacité à s’élever vers le ciel.

Source : psycho2rue.fr/dictionnaire

-des-symboles-de-reve/tronc

.

Descriptif

 .

758 – Imagine un monde, imagine une terre 

  Alignement central / Titre  dédoublé  / Thème  monde

Forme  courbe  /Rimes égales  / Fond  approché de forme

Symbole de forme : tronc   /    Symbole de fond : terre

.

.

Fond

.

Évocation 

.

758 6

.

Un arbre aux multiples branches

Sur son long tronc vers le ciel :

Symbole même de la terre et

De la fertilité, la liberté !

.

Symbolique 

 .

La terre s’oppose

Symboliquement au ciel

En principe passif, principe actif.

La Terre supporte lors le ciel couvre.

La Terre est  née du chaos primordial

Séparée des eaux dans la Genèse.

.

Universellement,  la Terre est

Une matrice qui conçoit les

Sources et les minéraux et métaux.

Symbolise la fonction maternelle.

Elle donne, elle reprend la vie.

Symbole de fécondité et de

Régénération cyclique.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Pas de tronc d’arbre sans terre,

Pas de terre sans tronc d’arbre

Ou de tige de plantes, d’herbes,

Lors le ciel est vide et parsemé

D’étoiles, dont leurs lumières,

Semblent provenir de  l’infini.

Il constituera les imaginaires

Qui confondront  ciel et terre,

Pour nous extraire de misère,

Que nous souffrirons ici-bas !

 .

.

Monde imaginaire d’ailleurs

.

Scénario

.

L’imagination déborde comme les rayons du soleil abondent,

pour que l’on pense à vivre sur une Terre, planétaire, solidaire,

que quelques fous, terroristes, dictateurs, s’aviseront de détruire.

.

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757 – De l’autre côté de la rive, quoique je vois

Visuels et textuels  >>

.

De l’autre côté  de la rive,

Quoique je vois, il m’arrive,

Que tu me crois, me crois pas,

Je ne pourrais  exister sans toi !

.

Tant de l’autre côté de l’eau vive,

Dès  je te vois  dès que tu arrives,

Chez toi, pour retrouver  le calme

De ta maison  remplie de palmes ;

.

Je ne te connais pas lors j’imagine

Tu es une copine  et  belle coquine,

Lors j’ai atteint ta rive, en nageant,

Tu m’attendais,  comme un amant.

.

Le destin t’aura mis sur le chemin,

Celui de rencontre de notre amour,

Celui qui nous grandit chaque jour

Et qui nous fera le plus grand bien.

.

Tant vrai,  de l’autre côté  de la rive,

Quoique je vois, quoiqu’il  m’arrive,

Que tu me crois ou ne me crois pas,

Jamais ne pourrai exister sans toi.

.

De l’autre côté,   comme promise

Quoique tu fasses en insoumise,

Que tu me crois,  doute  ou pas,

Sans moi : tu n’existerais  pas.

.

Par un autre côté, vie exquise,

Ce moment passé qu’avec toi

De reine devenue marquise,

Comte ne délaisse ton pas.

.

Par un  autre côté, toute dérive

Reste possible la prochaine fois,

Quand la  liberté  ne  nous prive

Pas de revenir au premier choix.

.

Parce que nos vies s’entrelacent,

L’un, l’autre, l’on ne se reniera,

On sait ce qu’on est, n’est pas,

Amour ne  sera pas de glace.

.

.

Extensions

 .

De l’autre côté de la rive, tu te tiens,

Comme indépendante et séparée de moi,

Rivière qui nous sépare ne manque d’eau vive,

Sans cesse renouvelée et les ponts sont nombreux

Pour que l’on s’y rejoigne et que l’on témoigne

De notre attirance en nos éclats d’existence.

.

De la berge, on peut s’éloigner de notre

Rivière, momentanément, opportunément.

Notre rivière serpentant d’un côté à l’autre,

Tôt ou tard nous rapproche, pont nous réunit.

.

Quand bien même, il n’y aurait de pont proche,

Plus de pont du tout, l’un, l’autre, sommes prêts

À nous jeter à l’eau en vue de nous rejoindre

Quitte à nous laisser emporter par elle

Une frêle embarcation fera l’affaire.

.

Si la distance est bien trop grande ;

Les frontières, les barrières, interdits

Sont faits pour être bravés, franchis,

Attention toutefois à ne pas s’y noyer

.

À ne pas plonger trop profond

Et ne plus pouvoir refaire surface.

La mort guette ceux que l’amour étouffe :

Amour a besoin d’air pour exister en durée.

.

L’autre rive : c’est toi !

La rivière, c’est l’amour,

Et le nôtre, c’est un pont

Tout est dit en ces mots,

Et, si le pont est cassé,

Il nous reste à nager,

Et pour  le recoller,

Pour se retrouver,

Coute que coute

Sans un doute.

.

Achèvement

#

De l’autre côté de la rive,

Quoiqu’il en soit, il arrive

Je nage vers toi,  et ravive,

Une amitié  qui  transcrive

Âmes perdues,  lors dérives

Jusqu’à ce qu’amour revive.

.

Quand il n’y a plus… de pont,

On ne se voit plus entre rives :

Il faut que le courant repasse,

Pas que dessous, aussi dessus

Afin de rencontrer quelqu’un

Qu’avant, l’on aimait bien !

.

.

757 – Calligramme

.

De l’autre côté  de la rive,

Quoique je vois, il m’arrive,

Que tu me crois, me crois pas,

Je ne pourrais  exister sans toi !

Tant de l’autre  D    côté de l’eau vive

Dès je te vois      E    dès que tu arrives,

Chez toi, pour     *      retrouver le calme

De ta maison       L    remplie de palmes ;

‘ ……

Je ne te connais    A       pas mais j’imagine

Tu es une copine   U        une  belle coquine,

Lors j’ai atteint     T        ta rive en nageant,

Tu m’attendais,     R        comme un amant,

Le destin t’aura     E        mis sur le chemin,

Celui de la ren        *         contre de l’amour,

Celui qui nous        C     grandit chaque jour

Et qui nous fera     Ô        le plus grand bien.

Tant vrai,  de l’       T    autre côté  de la rive,

Quoique je vois,     É       quoiqu’il  m’arrive,

Que tu me crois,     *       ou ne me crois pas,

Jamais je ne pour  D       rais exister sans toi

De l’autre                E    côté comme promise

Quoique                   *     tu fasses, insoumise,

Que tu le                  L      crois, doute ou pas,

Sans moi, tu           A            n’existerais pas.

Par un autre côté,   *                    vie exquise,

Ce moment passé   R                     qu’avec toi

De reine devenue    I                       marquise,

Comte ne délaisse   V                          ton pas.

Par un  autre          E          côté, toute dérive

Reste               *     possible la prochaine fois,

Quand          J      notre liberté ne nous prive

Pas de             E    revenir au premier choix.

Parce que           *        nos vies s’entrelacent,

L’un, l’autre,         V           l’on ne se reniera,

On sait ce qu’on        O             est, n’est pas,

Amour ne  sera pas         I                de glace.

                    S

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

757 4

.

Bouteille plastique,

Pour de l’eau

Bouteille isotherme 

Café d’amitié

.

Rien à voir entre bouteille et rive

que ce soit pour l’eau, pour le café,

bien qu’isotherme, voire précieuse,

la forme ne convient pas au fond.

.

Bouteille isotherme a, pour fonction,

Garder liquide thé, café, au chaud :

L’amour se chauffe et refroidit vite

 Mais pas une amitié durable.

.

Symbolique

.

Pour être efficace,

Bouteille isotherme

Prend compte de dispersion

De la température du départ

Par  conduction   thermique,

La bouteille  est  emprisonnée

En une autre bouteille interne,

Avec un minimum de contacts ;

Par convection : les deux bouteilles

Encastrées sont séparées par du vide ;

Et par rayonnement électromagnétique :

Paroi bouteille intérieure est réfléchissante.

Source : Wikipédia

.

Descriptif

757 – De l’autre côté de la rive, je vois

  Alignement central / Titre  droit  /  Thème  amitié

Forme   droite   / Rimes égales  /      Fond  éloigné de forme

Symbole de forme : bouteille isotherme / Symbole de fond : amitié

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Bouteille isotherme  a, pour fonction,

Garder liquide : thé, café,  au chaud :

L’amour se chauffe et refroidit vite

 Mais pas une amitié durable.

.

Symbolique 

.

Longtemps suspectée,

L’amitié homme-femme

S’extirpe de sempiternels préjugés

Dans une société où se sont côtoyés

Mixité émancipante et désir assumé.

.

“On est point l’ami d’une femme quand

On peut être son amant !”,

Clamait ainsi Balzac au XIXe siècle.

.

“L’amitié entre homme et femme est impensable”,

Renchérissait, 100 ans plus tard, Gainsbourg.

.

Mais pourquoi l’affection placée sous le signe

De la platonicité souffre d’un tel manque

De crédibilité, et cela du moins dans

Une perspective hétéronormée ?

marieclaire.fr/amitie-homme-femme

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une bouteille est souvent l’occasion

D’échanger ou de partager un verre ;

Entre collègue, entre amis, ou amants,

Parfois il faut franchir un pont, rivière,

Pour faire une des plus belles rencontres

Que ce soit en marchant ou en nageant !

 cela tant que l’amitié n’arrête personne

Une rivière ne saurait être frontière.

 .

Scénario

.

L’autre est d’abord un modèle, une projection, avant d’exister,

 tout est dit, quand on prend conscience de l’amour de l’autre,

réciproquement, et cela, quel qu’en soit l’espace et le temps.

.

.

Côté rive ou dérive

.

Scénario

.

L’autre est d’abord un modèle, une projection, avant d’exister,

 tout est dit, quand on prend conscience de l’amour de l’autre,

réciproquement, et cela, quel qu’en soit l’espace et le temps.

.

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756 – Viens partager avec moi, doute, désarroi !

Visuels et textuels >>

.

De   vouloir partager

Moindre  doutes

Personne  ne

Le redoute,

Tant  en cas

De désarroi

Il  n’y aura

Pas que moi.

.

Doute sur qui :

Sur  n’importe quoi

Sur les sens de la  vie,

Sur l’amour qu’on bénit.

.

À deux,  chemin de croix

Est moins lourd  à porter :

Croix de fer, croix de bois,

Je fais tout pour te trouver.

.

Viens partager,  avec moi,

Ton doute,   ton désarroi,

Tu es reine  et je suis roi,

Soyons libres,  nos choix.

.

Viens mettre  tous tes pas

De danses dans  mes bras,

À en tourner  ta tête oh ah

Au point, tu n’y pensais pas.

.

Puis, viens coucher tes  ébats

Lors ta joie ne fera de débats,

Car chaque fois, première fois,

Chaque fois elle nous prendra.

.

Va et viens où le pont franchira,

Personne ne nous l’a-men-de-ra

En parlant  d’une  même…voix,

L’amour nous ré-en-chan-tera.

.

Tant que nos vies s’entrelacent

L’un sans l’autre, on n’existera

Tant que notre vie dure, durera

Amour y trouvera sa vraie place.

.

.

Extensions

.

Le doute sur l’amour vrai, profond,

Durable, sincère, fidèle que sais-je encore

Est comme un cancer en nous qui ne guérit pas

Si on ne l’extirpe pas tant il faut de preuves d’amour

Et qui ne laissent aucun doute sur la confiance réciproque.

.

S’il n’y avait que certitudes en amour, bien vite, on s’ennuierait,

Bien vite, on s’en irait car l’amour est fait de renouvellements

Incessants, entre mari et femme, y compris entre amants.

.

«Est-ce que je finirai ma vie, avec lui, avec elle ? »

Ce genre de doute très projectif est naturel

Mais, il n’y aurait aucune assurance, qui

Puisse l’affirmer, le garantir, l’infirmer.

.

Mariage, bout de papier inflammable

À  la  suite  de  plusieurs  étincelles !

Hier, jurant   de  son  amour éternel ;

Demain, divorçant de conjoint indélicat.

.

Le désarroi est différent du doute : angoisse

Diffuse perturbant le déroulement de la pensée :

« Je ne sais   que penser  …  et je ne sais   que faire,

Que dire …   je me sens, et complètement, perdu. »

.

Il survient lors on sollicite l’autre qui ne réagit pas :

« Où est-il, que fait-il, pourquoi ne répond-t-il pas ? »

Ce n’est pas qu’on doute de lui, c’est qu’on a peur

Qu’il lui soit arrivé quelque chose pour sa vie.

Qu’il donne des nouvelles pour me rassurer.

.

Le doute est un questionnement ;

Le désarroi, un consternement ;

La certitude,  un rassurement ;

Et moi, ne suis rien là-dedans

Qu’un pauvre hère… errant !

.

Le doute entrainera le désarroi

Ou le désarroi entraine le doute

On peut retourner la chaussette,

Sans qu’on y trouve une solution.

.

Tant si on doute de ses sentiments

Pour se marier et, tenir la distance

Mieux vaudrait ne pas s’y acharner,

Mais comment ne pas penser divorce

.

C’est pourquoi, faute de certitude réelle

Le mariage est un pari qui se renouvelle,

Trente ans plus tard on est plus le même ;

Pourtant on est bien resté avec… la même

.

.

Épilogue

.

Ce n’est pas Descartes qui rejettera le doute :

Lui qui l’a sanctuarisé : je doute, donc je suis.

Je suivrai quelqu’un d’autre, qui doute aussi :

Bonjour les certitudes, bonjour les paradoxes.

***

Quand on présenterait, à un enfant, en bas âge,

Flacons de taille, forme différente, même contenu

Il n’émet aucun doute, le plus haut est le plus grand

Bien qu’il y ait équivalence, ne voit de ressemblance.

***

Ce qui est vrai, sinon  patent, en physique,  l’est  encore

Plus en psychique, lorsqu’il provoquerait des désarrois :

Doute provient du cerveau tandis que désarroi, du cœur,

On doute de l’amour mais c’est le sentiment qui éprouve.

***

Éprouver un doute ne provoque pas toujours  de désarroi,

Tandis que tout désarroi conduira très souvent au doute :

On prétend qu’en lois scientifiques, il n’y a plus de doute,

L’on dit en même temps, qu’elles doivent être réfutables.

***

Alors comment s’en sortir quand il s’agit de sentiments,

N’y pas de lois absolues : qu’un continuum non clivant,

C’est en les partageant que l’ombre portée diminuera,

Et que l’on verra enfin sa lumière, sa vérité, en soi !

.

.

756 – Calligramme 

 .

                   De   vouloir   partager

                Moindre  A  doutes

                Person  V   ne  ne

             Le re   E  doute,

         Tant   C   en cas

     De dés *   arroi

Il  n’y   M  aura

Pas que   O    moi.

Doute sur    I    qui :

Sur  n’importe  *  quoi

Sur les sens de  la  vie,

Sur l’amour qu’ O on bénit

À deux,  chemin U de croix

Est moins lourd à T  porter :

Croix de fer croix  E   de bois,

Je fais tout  pour *  te trouver.

Viens partager   P      avec moi

Ton doute, et     A      désarrois,

Tu es reine et     R       je suis roi,

Restons libres   T         nos choix.

Viens mettre     A       tous tes pas

De danses en     G          mes…bras,

À en tourner      E        ta tête oh ah

Au point t’y        R      pensais … pas

Ensuite viens       *       coucher ébats

Lors ta joie ne     D     fera de débats,

Car chaque fois    É     première  fois,

Chaque fois elle    S      nous prendra.

Va et viens où le    A   pont franchira,

Personne ne nous  R     l’a-men-de-ra

En parlant  d’une   R      même…voix,

L’amour en nous    O    re-chan-tera.

Tant que nos vies    I    s’entrelacent

L’un sans l’autre     *  on n’existera

Tant que notre vie dure et durera

Amour y trouvera sa vraie place.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

756 4

.

Flacon    servant

À faire des mélanges,

Solutions,    en chimie 

De guingois, désarroi.

.

Pour ce flacon, goulot non droit.

Il en est ainsi pour, je crois :

Le doute, voire le désarroi,

C’est lorsque tout va de guingois !

.

Symbolique 

 .

Flacons de laboratoire

Font partie de la verrerie

D’un laboratoire de base.

Ils sont souvent en verre,

Renforcé, voire en plastique.

.

Le verre est transparent ou brun

Utilisé pour les solutions photosensibles,

Usages variés : préparation  de solutions,

Volumétrie, analyse, conservation, collecte,

Réactions chimiques, mélange, précipitation.

wikipedia.org/wiki/Flacon_de_laboratoire

.

Descriptif

 .

756 – Viens partager avec moi, doute, désarroi 

  Alignement central / Titre  serpente  / Thème  humeur

Forme   courbe / Rimes égales  / Fond  éloigné de forme

Symbole de forme : flacon / Symbole de fond : désarroi

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

756 6

.

Pour ce flacon, goulot non droit.

Il en est ainsi pour, je crois :

Le doute, voire le désarroi,

C’est lorsque tout va de guingois !

.

Symbolique de fond

 .

Nos enfants sont sans religion,

Or le «désir de sens» est intrinsèque

À la psyché humaine, toujours en quête

D’une «idée cohérente du monde», et que

Ce qui peut combler ce désir relève de

«Quelque chose  qui parle  le langage

De notre dimension symbolique».

.

Ce désarroi inquiète, ne plaide

Pas pour un retour aux religions

D’hier, et  pourvoyeuses de sens.

Il   reconnaît, pleinement, la  valeur

De «notre héritage rationnel et scientifique»,

Mais déplore qu’il ait «piétiné notre dimension

Symbolique», les deux peuvent et doivent coexister.

ledevoir.com/lire/335821/essai-les-raisons-du-desarroi-des-jeunes

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le doute est l’autre coté

D’une pièce  de monnaie

Du côté pile, je souscrirai

Du côté face, me méfierai

Toutefois n’être pas Janus

Qui présentera deux faces,

De profil et  simultanément

Connaissance modère doute

Ignorance renforce certitude,

Lors partager ses doutes serait

Essentiellement les questionner.

 .

S

.

Questions : sans réponses !

.

cénario

.

Je n’ai rien de cette statue, comme figé, et pour toujours.

 je me jette, je me projette sur tout ce qui bouge, me plait,

en me regardant dans ma glace : qui vois-je, réellement !

 .

Visuels et textuels >>

755 – Je resterai ce que je suis avec tout autre !

Visuels et textuels  >>

.

Je resterai ce que je suis

Avec tout autre, familier,

Et sinon  même, étranger,

Tant, changer … je ne puis.

.

Tout peut paraitre  changer

En moi dans les apparences,

Mais pas ma propre identité

Que je jetterais en balance !

.

Je suis calme  ou  je bouge,

 M’énerve  même,  des fois,

Je crois savoir pour quoi,

Avoir franchi ligne rouge.

.

Que je sois ici ou là-bas,

À Paris, ou dans ma villa,

Dans le train, dans mon lit,

Je reste encore ce que, je suis.

.

Contexte change autour de moi,

Où tout le monde bouge avec moi

Mais l’effet tourbillon, n’est en soi

Que leurre de vies par devers-soi.

.

Que je sois ici ou là-bas,

C’est pareil, à chaque fois,

Je ne m’ennuie jamais de toi,

Quand est-ce que  cela  finira !

.

Mouvement est d’abord intérieur

Parfois, il subit ceux de l’extérieur,

Souvent, le mouvement de pensées,

Subit le flux de sa forte instabilité.

.

Que je sois ici ou là-bas,

Qu’il fasse beau, même pas,

Je vis chaque instant avec toi,

Bouger, personne m’empêchera !

.

Parfois je dois faire face à un stress

Lors un déplacement devient urgent.

C’est la vie, sans cesse, qui me presse,

Comme d’autres, je n’ai pas le temps.

.

Que je sois ici ou là-bas

Mon cœur restera avec toi :

C’est la chose  dont je suis sûr,

Et c’est la seule,  qui me rassure.

.

Combien de fois, je te le chanterai :

Autant qu’il te faut pour mémoriser.

Je suis plus attaché à toi, qu’à moi,

Ton absence me plonge en effroi !

.

.

Extensions

 .

Demeurer identique à soi-même en tout,

Partout et avec tout le monde, est un pari

Osé et difficile à tenir mais qui vous assure

De votre intégrité et autant de votre identité.

En amour, c’est le plus difficile car l’autre

Vous influence plus que vous ne croyez.

.

Identique ne veut pas dire sans

Aucun changement, psychorigide

Au point de tout refuser, et en bloc

Savoir s’adapter aux interlocuteurs,

Aux événements, aux circonstances

Sans modifier le cœur de ses valeurs

Et  de ses croyances  fondamentales.

.

Les adaptations sont périphériques

Comme les variations d’un air, joué

De diverses manières ou par divers

Instruments ou différents endroits.

Une  permanence  de  son identité,

Permet de conserver  son histoire,

Et, de relier  ses  souvenirs, en s’y

Reconnaissant   pleinement : ah,

C’est bien moi, ah, c’est bien lui.

.

Demeurer identique et fidèle à soi-même

Et  s’adapter, pour ne pas dire, évoluer,

Semblent a priori totalement opposés

Et pourtant il s’agit bien du même,

La mémoire n’oublie rien, fédère

Ou bien elle  détruit les nerfs

Pour  plus  de  plasticité,

Pour autre identité,

Bien qu’à moitié.

.

Se montrer tel que l’on est aux autres

Est une attitude qui pourra surprendre.

On aura bien plus à gagner, en endossant

Un personnage qu’à dévoiler sa personne !

.

C’est tout simplement mécanisme de défense,

Si je me mets nu, de moi qu’est-ce qu’on pense,

Alors je garde un vêtement et une porte de sortie :

Il me parait vital qu’on ne sache trop ce que je suis.

.

Devenir différent, tout en restant le même, est  comme

Tenter de résoudre la quadrature du cercle, antinomique

Pourtant l’on connait quelques savants, sages, centenaires,

Qui en témoigne de cette attitude rare et tout à leur honneur.

.

.

Épilogue

.

Une partie  de  moi est cohérente  et  stable :

Tient à mon enfance, éducation, orientation

Autre, soumise à l’échec, réussite, influence,

Qui fait que je change de cap selon les vents.

***

Les autres ont-ils une présence forte en moi,

Certains, certaines, oui, et  la majorité : non.

Les autres me disent ce que je suis selon eux

Et je me vois comme en miroir à trois faces :

***

Miroir de ce que je crois être,  en moi-même ;

Miroir de ce que je crois être, pour les autres ;

Miroir de ce que les autres  croient que je suis,

Ce n’est que la vision tripartite qui m’identifie.

***

Il en est un quatrième, essentiel, bien que subtil,

Que renvoient  êtres que j’aime, et  m’entourent :

Les yeux dans les yeux : impossible  de se mentir,

Peu de divergence entre ce que je suis /veux être.

***

Pour reprendre symboles d’horloge et de montre,

L’horloge est mon masque public, social et facial,

La montre est mon visage privé  et plus convivial.

Selon les contraintes, je présente, l’un ou l’autre !

***

Il y aurait comme une dialectique … permanente

Entre une individualisation et une socialisation :

Je suis bien obligé de suivre les règles de société

Mais pour ce qui de pensée de fond : ma liberté.

.

.

755 – Calligramme  

 .

Je resterai ce que je suis

Avec tout autre, familier,

Et sinon  même, étranger,

Tant, changer … je ne puis.

Tout peut paraitre  changer

En moi dans les apparences,

Mais pas ma propre identité

Que je jetterais en balance !

Je suis calme  ou  je bouge,

 M’énerve  même,  des fois,

Je crois savoir pour quoi,

Avoir franchi ligne rouge.

JE RESTERAI

Que je sois ici ou là-bas,

À Paris, ou dans ma villa,

Dans le train, dans mon lit,

Je reste encore ce que, je suis.

Contexte change autour de moi,

Où tout le monde bouge avec moi

Mais l’effet tourbillon, n’est en soi

Que leurre de vies par devers-soi.

CE QUE JE SUIS

Que je sois ici ou là-bas,

C’est pareil, à chaque fois,

Je ne m’ennuie jamais de toi,

Quand est-ce que  cela  finira !

Mouvement est d’abord intérieur

Parfois, il subit ceux de l’extérieur,

Souvent, le mouvement de pensées,

Subit le flux de sa forte instabilité.

AVEC TOUT AUTRE 

Que je sois ici ou là-bas,

Qu’il fasse beau, même pas,

Je vis chaque instant avec toi,

Bouger, personne m’empêchera !

Parfois je dois faire face à un stress

Lors un déplacement devient urgent.

C’est la vie, sans cesse, qui me presse,

Comme d’autres, je n’ai pas le temps.

.

Que je sois ici ou là-bas

Mon cœur restera avec toi :

C’est la chose  dont je suis sûr,

Et c’est la seule,  qui me rassure.

Combien de fois, je te le chanterai :

Autant qu’il te faut pour mémoriser.

Je suis plus attaché à toi, qu’à moi,

Ton absence me plonge en effroi !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

755 4

.

Un bracelet de montre,

Probablement,

Bracelet de montre,

Certainement.

 .

Le bracelet : succession d’événements

la montre leur étalement dans le temps

les deux concordent, vont bien ensemble

tant et si bien que forme épouse le fond.

.

Ces anneaux d’un bracelet de montre

Demeurent  presque tous identiques :

Il y a donc  un facteur  de stabilité

Qui varie peu avec les années.

.

Symbolique 

.

Outre ses fonctions décoratives,

Le bijou est au service, multiple

Autres  fonctions  ou  intentions.

.

Ces fonctions sont très variables

Selon les époques et les cultures.

.

Mais autant selon les croyances

Perceptions individu, le portant.

;

Bracelet plus que tout autre bijou

Signifiera Partage et Communion.

.

Le  bracelet  chaines métalliques,

Souples faits de maillons chaînés.

lyn-et-or-bijoux.com/content

.

Descriptif

.

755 – Je resterai ce que je suis avec tout autre 

  Alignement central / Titre  intercalé  / Thème  identité

Forme   droite / Rimes égales  / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : bracelet / Symbole de fond : montre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

755 6

.

Ces anneaux d’un bracelet de montre

Demeurent  presque tous identiques :

Il y a donc  un facteur  de stabilité

Qui varie peu avec les années.

.

Symbolique 

.

La montre, c’est le temps.

Mais, contrairement à l’horloge

Qui  représente un  temps  commun,

La montre renvoie à un temps personnel

Car elle se porte au poignet et n’est vue

Que par celui ou celle qui la porte.

.

La montre  est  également un

Ornement  voire  un signe

Extérieur  de    richesse.

.

Lors le temps singulier

De la montre rappelle

Le  temps   qui  passe,

La vieillesse,   la peur

De la mort et difficulté

À s’incarner  dans  sa vie.

doctissimo.fr/psychologie/dictionnaire

-des-reves/rever-de-montre

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le temps fait beaucoup bouger les choses

On embrasse de plus en plus de situations,

Lors il nous faut naviguer entre sa sincérité

Et part de mensonge qui nous sauve la mise !

.

Avantage de demeurer  tel qu’on était, est sera

Cohérence interne avec ses valeurs, faits et gestes

On dira de quelqu’un resté fidèle à lui-même, amis,

Qu’il est «droit dans ses bottes» : opinion qui ne botte

Pas en touche, quels que soient les conséquences à venir

 .

.

C’est peu de dire racines 

.

Scénario

.

  Ce que je suis : enfin, ce que je crois, ce que j’en sais, je maitrise,

si je suis avec qui que ce soit d’autre,  je penserai toujours à toi,

toi qui me fais vivre, chaque instant comme je suis : amoureux !

 .

Visuels et textuels  >>

754 – En pente douce, je sombre en ma folie !

Visuels et textuels  >>

.

Mais d’abord,

Qu’est la folie

Dé-règle-ment

De  normalité,

Mais qu’est-ce

La  normalité ?

Si,  pas pareil,

Ailleurs qu’ici,

Toutes     folies

Nous guettent

Mais ne nous …

Détruiront pas ;

Celles  d’amour

Se  … guérissent.

.

Pas  mortelle  maladie,

Créant danger corps  esprit.

État amoureux est état second

On perd la tête,  devient abscons,

Mais retour à l’état de départ facile

Dès partenaire a décliné : non, merci,

On n’entre plus avec lui en amour folie.

.

En pente douce,  je sombre  en  ma folie,

La folie me guette, une folie qui me jette,

En des bras inconnus  lors je serais … nue.

Que vais-je devenir, et, que suis-je devenu :

Je suis devenu ce vaurien qui voudrait tout,

Et poursuis comme bon à rien vaudrait tout.

.

Si je ne vous vaux rien,  ne peux rien pour vous

Sauf à vous prévenir  que  folie est aussi en vous.

La même  et différente,  plus calme, plus violente

Si votre  raison  n’est plus seul maitre   des lieux,

Ce n’est jamais raison qui nous mène  aux cieux

Je ne  sais que résoudre les affaires  courantes.

.

Et en pente douce, je sombre en la  folie

Venez  m’y rejoindre et vous serez  ravi,

Notre rencontre sera l’occasion : merci,

Si une même passion vous anime aussi.

.

Je tourne et retourne mot … lie  et…folie.

Il n’est pas faux qu’ils  soient lié … amis.

Au point de partager,  parfois, même lits,

Et l’y faudra voir tout  ce qu’ils y ont mis.

.

.

Extensions

 .

En pente douce, je sombre en ma folie.

Folie douce en pente raide, descente

Toujours vers toi qui te sers de moi

Et seulement pour ton seul plaisir,

Afin de jouir du moment présent.

.

Tandis que je me découvre et

Me livre et entièrement à toi,

Tu sembles ailleurs, je ne sais où

Me rends fou de ne savoir comment

M’y prendre pour tu m’aimes vraiment.

.

Ce n’est pas tant qu’on ne se rencontre pas

Qui me rend fou : c’est le manque de passion,

De sentiment, attachement de ta part comme si

Faire l’amour pour toi n’était qu’un acte réflexe

Se déclenchant au contact de mon corps nu.

.

Que vais-je devenir si l’amour s’en va,

Que suis-je devenu lors amour n’est plus :

Ton ombre qui te suis comme un chien suit,

Son maitre, ta soubrette qui te sert à manger,

Ton esclave qui se soumet à tes fantasmes !

.

L’amour est maladie … l’amour est folie,

Peut-être, mais, qui s’attrape, se vit, au

Même degré et se soigne à deux, sinon.

.

Folie furieuse est comme coup de tonnerre ;

Folie douce, comme une pluie d’atmosphères ;

Folie amoureuse est comme un coup de foudre ;

Folie math comme un gros problème  à résoudre.

Folie bergère est  un abandon  des blancs moutons.

Moi, je me situe entre folie douce  et raide normalité,

N’ai peur que  d’une chose : mon cœur  cesse d’aimer !

.

Je sais que c’est une folie mais je l’aime,

Comprends-tu, n’as-tu jamais toi-même !

On croirait entendre le discours d’une fille

À son père n’acceptant son choix irrationnel

.

C’est là qu’amour passionnel sombre en folie,

Lors on veut prouver à l’autre son choix défini,

Alors que tous les signaux connus sont au rouge

Et que quoiqu’on dise, qu’on fasse, rien de bouge.

.

.

754 – Calligramme   

 .

Mais d’abord,

Qu’est la folie

Dé-règle-ment

De  normalité,

Mais qu’est-ce

 La  normalité ?

Si,  pas pareil,

Ailleurs qu’ici,

Toutes     folies

Nous guettent

Mais ne nous …

 Détruiront pas ;

Celles  d’amour

Se  … guérissent.

.

Pas  mortelle  maladie,

Créant danger corps  esprit.

État amoureux est état second

On perd la tête,  devient abscons,

Mais retour à l’état de départ facile

Dès partenaire  a décliné : non, merci,

On n’entre plus, avec lui, en amour folie.

.

En pente douce  * je sombre  *      en ma folie,

La folie me    E      guette, folie  S     qui me jette,

En des bras  N        inconnus lors   O   je serais…nue.

 Que vais-je    *        devenir et que       M    suis-je devenu

  Et je suis de   P           venu ce vaurien      B  qui voudrait tout

  Je poursuis    E          comme bon à rien       R qui vaudrait tout.

Si je ne vous N         vaux rien,  je ne peux       E    rien pour vous

Sauf à vous  T           prévenir  que  folie est       *     aussi en vous.

La même,  E            et différente,  plus calme,    E  plus violente

Si votre    *          raison n’est plus seul maitre   N     des lieux.

Ce n’est  D        jamais raison qui nous mène    *   aux cieux

  Je ne     O      sais que résoudre les affaires     F  courantes

Et en    U    pente douce, je sombre en la    O       folie

Venez  C    m’y rejoindre et vous serez     L     ravi.

Notre   E  rencontre sera l’occasion,    I  merci,

Si une même passion vous anime E   aussi.

.

Je tourne et retourne mot … lie  et …folie.

Il n’est pas faux qu’ils      soient liés … amis.

Au point de partager,           parfois, même lits,

Et l’y faudra voir tout                 ce qu’ils y ont mis.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

754 4

.

Récipient ancien

Entre vase et fiole

 Cornue  pour folie,

Avec quelle potion ?

.

Folie, potion, vont bien ensemble

Grain de folie en est petite portion,

pour autant chimie ne l’explique pas

mais la forme l’évoque pour son fond.

.

Cette potion servira à augmenter,

Ou à  diminuer la folie :

Mais il arrive que la folie vienne,

Toute seule, de l’intérieur.

.

Symbolique 

.

Potion magique est breuvage imaginaire

Qui donne une force surhumaine à quiconque

La boit dans l’univers d’Astérix,  série de bande

Dessinée créée par René Goscinny, Albert Uderzo.

C’est aussi le nom donné dans le langage populaire,

Aux produits dopants  utilisés par  les sportifs.  Wiki.

.

Connaître  les vertus médicinales  des  plantes,  c’était,

De tout temps, et chez tous les peuples, de disposer  d’un

Pouvoir totalement inaccessible au commun des mortels.

.

L’imaginaire collectif a eu tôt fait d’assimiler aux sorciers

Qui possédait ce savoir ancestral, est capable de préparer

Tisanes, préparations préventives, curatives, purifiantes.

gerbeaud.com/jardin/decouverte/plantes-magiques-sorcellerie

.

Descriptif

 .

754 – En pente douce, je sombre en la folie  

  Alignement central  /  Titre  droit cercle  / Thème  rêve

Forme en ovale / Rimes égales / Fond  approché de forme

Symbole de forme : potion    /   Symbole de fond : folie

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

754 6

.

Cette potion servira à augmenter,

Ou à  diminuer la folie :

Mais il arrive que la folie vienne,

Toute seule, de l’intérieur.

.

Symbolique 

 .

Selon le contexte, les époques et les milieux,

La folie peut désigner ou la perte de la raison

Ou du sens commun, le contraire de la sagesse,

La violation de normes sociales,

Une posture marginale, déviante

Ou anticonformiste, une impulsion soudaine,

Une forme d’idiotie, une passion ou une lubie,

Une obsession, ou une dépense.

.

Et  la  folie  peut être : passagère

Chronique, latente ou foudroyante,

Héréditaire, passagère  ou provoquée.

Elle  peut  être « guerrière »  ou qualifier

Un sentiment aussi fort que «l’amour fou».

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amour, comme chacun sait, et voit,

À une part intrinsèque de folie douce

Un amour raisonnable  et  raisonné,

Pose question quant à l’authenticité,

Paraitra calculé selon norme sociale,

Aucune pente ne viendra le perturber.

Mais  il y a tellement à dire, à son sujet,

Lors ce serait pure folie que de l’enfermer

En une définition admise de tout le monde,

Amour est bohème parfois jusqu’à l’extrême.

 .

.

Folie, A. Monsiau !

.

Scénario

 .

Folie de me sentir sous ta coupe, sous ta houppe,  sous ta croupe.

Folie  de mon enlèvement : mon attachement voulu  et  non forcé !

Folie de penser que seule la mort pourrait nous séparer : statufiés !

 .

Visuels et textuels  >>

753 – Si un jour, tu osais m’aimer, je te ferais !

Visuels et textuels  >>

.

Les promesses n’engagent

Que ceux  qui les écoutent.

Ce qui est vrai en politique,

Est-il autant pour le couple.

Si ceci, cela : vrai pour tout ;

On n’en vient jamais au bout.

Si tu oses, si tu osais… oserais,

Je te fais, je te ferai, je te ferais.

.

Si,  un  jour, tu  osais  m’aimer,

Je te ferais  histoires  et poésies,

Chansons  de   ma  composition,

Pour combler  ton ennui profond

Je serais pour toi, puits sans fond

De ta passion  de ton imagination.

.

Si, un, jour, tu osais  accompagnée,

Je te ferais visiter des lieux, paysages,

Villes aux noms si riches et tranquilles.

Pour combler envie  d’être en toit en ile,

Je serais pour toi, un  guide sans tréfonds

Pénétrations d’intimes  en contemplations.

.

Si un jour, tu osais me suivre, en récréation,

Je te  ferais  retrouver   le  goût  de  l’enfance,

De ta production au lieu de ta consommation.

Pour combler la  question sens de ta révélation,

Étant pour toi comme pygmalion en hors classe

Et jusqu’à ce que tu me surpasses et t’en lasses.

.

Si ceci, si cela mais, les si, n’aiment pas les rais.

Comme chacun sait, chacun fait ce qu’il lui plait

Deux, si ne font pas des ouais : ils font des mais

Et si un jour, tu voulais, et que tu me dirais,

Peut-être,  tu m’aimerais, et je te ferais

Un enfant qui  nous ressemblerait.

.

Grammaire, quelque peu arrangée,

Que décline beaux parleurs patentés

Pour connaitre, authenticité, véracité

Le seul moyen  serait de les   …  piéger.

Piéger au présent, est toujours possible,

Mais  au  futur : totalement  impossible :

Il  faut,  alors,  parier  que   l’engagement,

Tiendra bout de temps, et voire longtemps.

.

.

Extensions

 .

Si, un jour, tu osais m’aimer,

Je te soutiendrais dans tes actions,

Je participerais, de mon mieux, à celles

Qui nous seront affectées, ou communes.

.

Pour équilibrer l’organisation des tâches

Et des charges du foyer, de l’éducation

De nos enfants, des loisirs, passions,

Je ne serai pas le seul juge pour

Prendre  toutes les décisions.

.

Si, un jour ! Il peut être aussi

Bien maintenant que demain.

Combien se projettent  dans un

Changement futur en le repoussant

Toujours à «plus tard, oui plus tard»

.

Ce qui n’aura pas  nécessité  d’attendre,

C’est d’en parler en termes d’immédiate

Possibilité, en fonction  de nos capacités

Et complémentarités d’œuvre commune.

.

Je ferais ceci, je ferais cela : dans un élan amoureux

On ferait n’importe quoi,

La liste s’allonge projet après projet,  simultanément

Comme un puzzle complet,

Tout en sachant qu’on ne fera peut-être rien, pas tout,

Qu’on n’ira pas jusqu’au bout.

De le promettre peut, des fois, amorcer un amour fou.

.

Si tu osais m’aimer je ferais

C’est un pacte, une promesse

Qui fonctionnera  à vide, faute

D’un partenaire,  pour l’écouter

Faute de l’autre, pour le négocier,

Faute d’être deux, pour l’accepter !

.

C’est devant le mur qu’on voit le maçon

En voilà bien un beau, un parfait dicton !

Pour promettre la Lune, il faut l’atteindre,

Si c’est le seul discours que l’on peut feindre,

Il y a pour le partenaire, beaucoup à craindre,

Un amour aussi exaspéré répare une déception.

.

.

753 – Calligramme  

 .

Les promesses n’engagent

Que ceux  qui les écoutent.

Ce qui est vrai en politique,

Est-il autant pour le couple.

Si ceci, cela : vrai pour tout ;

On n’en vient jamais au bout.

Si tu oses, si tu osais… oserais,

Je te fais, je te ferai, je te ferais.

.

Si,  un  jour, tu   osais  m’aimer,

Je te ferais  des histoires poésies,

Chansons de    S  ma composition,

Pour combler   I  ton ennui profond

Je serais pour   *  toi, puits sans fond

De ta passion    U de ton imagination.

Si, un, jour, tu    N  osais accompagnée,

Je te ferais visiter *    des lieux, paysages,

Villes aux noms si   J  riches et tranquilles.

Pour combler envie    O    d’être en toit en ile,

Je serais pour toi, un    U     guide sans tréfonds

Pénétrations d’intimes    R       en contemplations

Si un jour, tu osais me      *     suivre en récréation,

Je te ferais retrouver   *      le     *    goût de l’enfance,

De ta production   T   au lieu de   M ta consommation.

Pour combler la   U   question sens     ‘   de ta révélation,

Étant pour toi   *    comme pygmalion    A   en hors classe

Et jusqu’à ce    O   que tu me surpasses et    I      t’en lasses.

Si ceci, si cela    mais, les  si, n’aiment   M     pas les rais.

Comme chacun  A  sait, chacun fait ce    E      qu’il lui plait

Deux si ne font   I   pas des ouais     R  ils font des mais

Et si un jour tu    S  voulais, et     * que tu me dirais

Peut-être tu m’  *  aimerais,  *    et je te ferais

Un enfant qui   *   nous   * ressemblerait.

J

Grammaire, quel    E  que peu arrangée,

Que décline beaux   *   parleurs patentés

Pour connaitre, aut  F  henticité, véracité

Le seul moyen  serait  E   de les   …  piéger.

Piéger au présent, est  R   toujours possible,

Mais  au  futur : totale  A   ment  impossible :

Il  faut,  alors,  parier     I   que   l’engagement,

Tiendra bout de temps   S    et voire longtemps.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

753 4

.

Lampe à pétrole,

 Probablement,

 Flamme pétrole,

Assurément !

.

Lampe et flamme vont bien ensemble

en outre lampe à pétrole chauffe aussi

pour oser quelque chose, fait voir clair

aussi ici la forme conviendrait au fond.

 .

Cette lampe s’allumera lors j’oserai,

Enfin, me déclarer :

Lors sa flamme brillera tout comme

La mienne, sans s’arrêter !

.

Symbolique

.

La lampe, qu’elle soit électrique,

À huile ou à pétrole, représente

Toujours une  lumière intérieure,

Une énergie, des capacités,

Des talents que nous maîtrisons.

.

C’est l’homme qui maîtrise

La lumière avec un certain pouvoir

D’allumer et d’éteindre.

.

Tant la lumière reste le symbole de la

Connaissance, on apprend

De jour en jour à mieux se connaître,

On évolue grâce à l’information, savoir.

.

Descriptif

 .

753 – Si un jour, tu osais m’aimer, je ferais 

  Alignement central  /  Titre  droit cercle  / Thème  rêve

Forme en ovale / Rimes égales / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : flamme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

753 6

.

Cette lampe s’allumera lors j’oserai,

Enfin, me déclarer :

Lors sa flamme brillera tout comme

La mienne, sans s’arrêter !

.

Symbolique 

.

La flamme est une partie du feu.

Comme  lui, elle émet  de la chaleur

Et de la lumière, mais moins intenses.

Symbole  avant tout  de l’illumination,

Mais aussi de la paix, l’amour, l’espoir.

.

Elle est  même  associée  à la  mémoire.

Sa  lumière  ranime  le  souvenir  d’un

Événement, personne,  ou  tradition :

Flamme qui brûle, continuellement,

Sur la tombe de ce soldat inconnu.

.

Elle ondule à la verticale évoque

Esprit s’élevant vers les cieux,

Associée à la transcendance,

Et à l’élévation spirituelle.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-flamme

 

 

Corrélations

Fond/forme 

.

L’amour n’aime pas le quotidien

L’amour n’aime pas la routine

L’amour n’aimera pas le rien

Il demande toujours estime.

Quoiqu’on en pense, en dise

En fasse, il faut encore oser,

Quitte à se ramasser, planter

Sinon toute flamme retombera,

Et laissera sa place à l’embarras.

 .

.

Aimer, risque à prendre

.

Scénario

.

L’amour, tous les jours, ou presque, dès cinq heures,

les courses, et les choses à faire, que tu auras planifié,

les jeux qui te conviennent et plans qui te surprennent.

 .

Visuels et textuels  >>

752 – Rêver de rencontrer une femme aimée

Visuels et textuels  >>

.

On rêve de rencontrer

Plusieurs femmes aimées.

Une seule suffit en réalité,

Difficile de multiplier !

.

Mais faut-il encore l’avoir rêvée

Pour s’assurer bien la rencontrer,

Ou c’est juste le moment présent

Que l’on se dit : j’en ai … rêvé !

.

L’inconscient  nous  prépare

À rencontrer femme idéale

Pour nous même si rare :

Première, la principale.

.

Vrai : je peux, toujours, en rêver

De rencontrer belle femme aimée

Je pourrais pour cela me fatiguer,

Ce n’est ni simple ni fait ni gagné.

.

Gagné, il m’arrive d’en frôler une,

Que j’aurais pu toucher  la fortune

Dans les bras d’autre, elle s’est jetée,

Comme demeuré, suis resté… pantois.

.

Pends-toi quand même, y a pas de quoi,

Pendaison est remise  à la prochaine fois

Mais  combien ne se reconnaissent pas,

En marchant à côté et au même   pas.

Pas  de  quoi  m’empêcher  de  rêver

Parfois même, croire l’avoir trouvé,

.

Si elle ne me cherche pas  de son côté,

Inutile de tenter, d’insister  ni d’espérer.

Espérer que la vie ne soit pas dents de scie.

Je t’aime – moi non plus, et tous deux ainsi,

Chantant refrain, allant bien à l’être, chagrin,

Pour reconnaître  qu’amour  ne sera pas divin.

.

Divin, devin  ou  du vin, et, quelle  importance

À partir de ces  moments où  l’on perd la danse

Avec des partenaires  qui voient  tout à l’envers

Et vous mènent  tout droit, du paradis à l’enfer.

.

Vrai que l’enfer est doux, lors on est amoureux,

Voici bien couplet, qui vous couperait le sifflet,

La personne que l’on aimait et qu’on adorait,

Voilà qu’un beau jour, vous hait pour deux.

.

Deux, j’imagine  un  être, une  femme

À qui cœur ému, déclare sa flamme,

Non pour toujours … pour un jour,

Temps que passion passe son tour,

Tour de manège gardant souvenir

Entre reste  d’enfance, innocence

Et  pleine  maturité  à  conquérir.

.

.

Extensions

 .

Mais qu’est-ce qu’une femme aimée

Si un jour on peut la remplacer, doubler ?

Est-ce celle dont on rêve ou celle avec laquelle on vit ?

Est-ce la femme qui aurait quelques défauts supportables

Ou toutes les qualités  ou aucune de celle-là,

Une femme simplement idéalisée.

.

Rêver de rencontrer une femme : et l’inverse alors

Rencontrer sert moins, s’il n’y a pas de réciprocité

Cela dit  lors de rapprochement très rapide et fort

Il n’y aura aucune garantie que le couple est créé !

 Erreur fréquente que croire que le coup est gagnant

L’on ne se transformera pas d’inconnus en amants,

Car tous les autres vecteurs méritent  leurs attraits

Pour vérifier que premier contact, n’est pas surfait,

Que le couple au bout de temps court ne sera défait.

.

Rêver de rencontrer une femme aimée,

A toujours, comme principale variante :

Rêver de rencontrer une femme aimante,

En vue d’aboutir à une totale réciprocité !

.

Le rêve ne peut fournir qu’états d’émotions

Qui tourneront à vide faute d’être confrontés

À leur remise en scène, dans une vraie réalité,

Qui séparera la projection de la concrétisation.

.

Qui dit rêve ni fantasme fort, envie de séduction

On se fait cinéma en sa tête comme si c’était fait,

Mais voilà que tout change en cours de répétition,

Le rôle n’est pas à la hauteur ou scénario est refait.

.

.

752 – Calligramme   

.

On rêve de rencontrer

Plusieurs femmes aimées.

Une seule suffit   R   en réalité,

Difficile de se          E  multiplier !

Mais faut-il encore    N   l’avoir rêvée

Pour s’assurer bien    C  la rencontrer

Ou c’est juste le mo  O  ment présent

Que l’on se dit       N    j’en ai rêvé !

L’inconscient    T  nous prépare

À rencontrer R  femme idéale

Pour nous E  même si rare

Première R    la principale.

.

Vrai que je pourrai, toujours, en rêver

De rencontrer  une belle femme  aimée

Et je pourrais     pour cela, me fatiguer :

Ce n’est  F       ni simple ni fait ni     A gagné.

Gagné      E     il m’arrive  d’en frôler    I      une,

Que j’au   M     rais pu toucher  la for     M    tune

Dans les   M     bras d’autre, elle s’est     É    jetée,

Comme    E    demeuré, suis resté pan   E     tois.

Pends-toi       quand même : y a pas de       quoi,

Pendaison est remise  R   à la prochaine     fois

Mais  combien ne se   Ê  reconnaissent   pas

En  marchant à côté  V  et au même   pas.

Pas  de  quoi  m’em  E pêcher  de  rêver

Parfois même, croire  *  l’avoir trouvé,

.

Si elle ne me cherche pas  de son côté,

Inutile de tenter, d’insister ni d’espérer.

  Espérer que la vie ne soit pas dents de scie.

 Je t’aime – moi non plus,  et tous deux ainsi,

Chantant refrain, allant bien à l’être, chagrin,

Pour reconnaître qu’amour ne sera pas divin…

Divin, devin  ou  du vin, et, quelle  importance…

À partir de ces  moments où  l’on perd la danse…

Avec des partenaires  qui voient  tout à l’envers…..

Et vous mènent  tout droit, du paradis à l’enfer….…

Vrai que l’enfer est doux, lors on est amoureux………

Voici bien couplet, qui vous couperait le sifflet…………

La personne que l’on aimait, et que l’on adorait……….…

Voilà qu’un beau jour, elle vous hait, pour deux……………

.

Deux, j’imagine un être, une femme

À qui cœur ému, déclare sa flamme

Non pour toujours … pour un jour,

Temps que passion passe son tour.

Tour de manège gardant souvenir

Entre reste  d’enfance  innocence

Et pleine maturité à conquérir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

752 4

.

Silhouette de femme,

Habillée d’un manteau

Mais ici, en vue de dos

Comme passant, fuyant ?

.

Une étrange impression que d’aimer

Une femme, vue de dos :

On ne sait pas si elle est : belle, jeune,

 Intelligente, aimante !

.

Symbolique

.

Tout le XIXème siècle

Est  imprégné d ‘images

Négatives   de  la   femme,

Véhiculées par la littérature et les arts.

.

Ce contexte se reflète dans la peinture

Symboliste,  dans laquelle  s’opposent

Cohabitent deux visions de la femme :

L’une idéalisée et asexuée, séraphique

Ou androgyne, l’autre, au contraire,

Castratrice, fatale, mante religieuse.

.

Si l’art symboliste révèle ainsi

Un nouvel érotisme sulfureux,

Parfois fétichiste, sadique ou

Satanique, Éros, Thanatos,

julien.gadier.free.fr/femmemain

.

Descriptif

 .

752 – Rêve de rencontrer femme aimée 

  Alignement central   /  Titre   analogue   /   Thème  rêve

Forme anthropo / Rimes égales / Fond  approché de forme

Symbole de forme : femme / Symbole de fond : vue de dos

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

752 6

.

Une étrange impression que d’aimer

Une femme, vue de dos :

On ne sait pas si elle est : belle, jeune,

 Intelligente, aimante !

.

Symbolique

.

Le dos est un gros groupe musculaire

Qu’il est indispensable de cibler sous

Plusieurs angles pour améliorer

Le tonus, le volume et le relief.

Et de plus, son développement

Permet d’accentuer l’évasement

Du dos ce qui permet d’affiner la taille.

Quoi de mieux,  lorsqu’on est une femme,

Que d’avoir la taille fine, un dos bien droit

Et une posture à la fois tonique et féminine ?

toutelanutrition.com/wikifit/guide-zone/femme/dos

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

.

Le mal du dos est parait-il

Et selon les ostéopathes,

Appelé le mal du siècle

Or loin d’être le seul

Chaque  discipline

Médicale espère

En prévention

Et  le compte

N’y sera pas

Pourquoi ?

Les  causes

Ont bon dos

Symptômes,

Hélas moins.

 .

.

Femme aimée !

.

Scénario

.

J’ai d’abord fait une fixette, assis de loin sur ses genoux,

flashé ensuite sur son visage, comme s’il s’agissait d’une madone,

et enfin je me suis dit, après l’amour, que cette fois, c’était la bonne !

 .

Visuels et textuels  >>

751 – Il m’arrive de rêver de ma femme !

Visuels et textuels  >>

.

Rêver quelqu’un

Qui dort à  ses côtés,

Est affaire  étonnante :

Il  faut  l’être, amoureux,

Lors il  ’agit   d’une  épouse

Qui vous a, déjà, tout donné.

Pourquoi non pourquoi pas,

Si on l’a choisi, elle valait

Bien toutes  les autres

Réunies, ou presque.

.

J’avoue qu’il m’arrive de rêver de ma femme,

Ça parait étrange ! Non, c’est plutôt normal,

Tant je la vois et je la sens, un  peu partout

Des fois au lit, et tel lieu n’est pas banal :

Elle me sourit  avec ses yeux  pétillants

Et là, je fonds, bien membré l’animal !

.

Il m’arrive de penser à notre   rencontre,

Me paraissant, étant divorcé improbable

Je la désirais pourtant et elle, tout autant.

Lors nos désirs demeuraient impalpables,

Et c’est là que, n’ayant plus rien  à perdre,

J’aurai fait  le premier pas, plus aimable.

.

Il m’arrive de repenser à grande décision

D’acheter ensemble une coquette maison,

Notre second pas, vers  notre belle union,

Comme nid d’amour de propres enfants,

.

Car elle y pensait déjà  et même souvent

Lors moi, j’en avais, déjà, deux, d’avant

Et  il m’arrive, encore, de  songer à elle,

En  vacances, en  région  de  Provence,

En bateau,  comme bain  de jouvence.

.

Pour nous, y a jamais eu, ritournelles

Avons souvent gardé amour d’avance

Avons vécu vie chaque fois nouvelle

Couple commence à consonne

Accouplée  à toutes voyelles.

.

L’enfant que l’on a eu

Nous fait parents

Afin  de   louer

C’est notre vie

Mais il  peut y avoir

Parmi   des  souvenirs

Heureux qui remontent

Nourrissent rêve commun,

Un d’entre eux qui séduise

Au point  de  fantasmer

Nouvelle   rencontre

Ou art  d’aimer.

.

.

Extensions

 

Il m’arrive de rêver de ma femme,

Comme une amante, une mère,

Une compagne et de lui faire

Jouer un tas de rôles,

Les uns, sérieux ;

D’autres, plus légers ;

Derniers, parfois drôles.

C’est dire  à quel point  j’ai

Fait un bon choix et que l’amour

M’a donné  la foi, en lui, jusque là

Tant que ce rêve demeure, en moi,

L’amour persiste, l’amour  survivra.

.

Cela veut dire  que  mon inconscient

Joue aussi  la même partie, est sur la

Même  longueur d’onde, et, peut-être

Que je me trompe,   qu’il me trompe,

Qu’il me fait croire qu’en ma femme,

D’autres présentes tapies en l’ombre

Mais  que m’importe, tout cela, dès

Lors que ma femme me satisfait !

.

Ce qui vient en premier, dans mon rêve, ce sont ses yeux,

Son regard surtout et qui me dévisage

Qui, peu à peu, diffracte d’autres visages lui ressemblant

Comme font mille femmes en une seule

Mais quel que soit le mélange toutes mosaïques nouvelles

Son visage surnage et s’impose à moi :

C’est peut-être parce que je décode à l’intérieur du regard

Une immense tendresse à mon égard !

.

Comment peut-on rêver de sa femme :

Certains diraient absurde c’est insensé,

Elle est, demeure, toujours à vos côtés !

.

Si l’on rêve pour échapper  à sa réalité,

Être marié en est une, qu’on oublie pas,

Mais rêver d’une autre, ne faudrait pas !

.

La solution est tout simple, toute trouvée

Sa femme est la concentration cent autres

Dieu sait si le rêve mélangera les identités.

.

C’est différent de penser à une autre femme

Durant l’acte sexuel comme divorce cérébral :

Rêver de la femme qu’on aime est assez normal

.

.

751 – Calligramme

.

Rêver quelqu’un

Qui dort   à    ses côtés,

Est affaire    *     étonnante !

Il  faut  ô  l’être,  ô amoureux,

Lors il  ’agit   //     d’une   épouse

Qui vous a    //   déjà tout  donné.

Pourquoi  // non pourquoi pas,

Si on l’a  ====  choisi, valait

Bien toutes   les autres

Réunies, ou presque.

.

J’avoue qu’il m’arrive de rêver de ma femme,

Ça parait étrange ! Non, c’est plutôt normal,

Tant je la vois et je la sens, un  peu partout

Des fois au lit, et tel lieu n’est pas banal :

Elle me sourit  avec ses yeux  pétillants

Et là, je fonds, bien membré l’animal !

Il m’arrive de penser à notre   rencontre,

Me paraissant, étant divorcé   A    improbable

Je la désirais pourtant et elle,     R    tout autant.

Lors nos désirs demeuraient        R    impalpables,

Et c’est là que, n’ayant plus          I      rien à perdre,

J’ai fait le premier pas, le           V         plus aimable.

Il m’arrive de repenser à         E        grande décision

D’acheter ensemble une        *        coquette maison,

Notre second pas, vers         D       notre belle union

Comme nid d’amour            E       propres enfants,

Car elle y pensait déjà          *         même souvent

Lors moi j’en avais déjà        R       deux, d’avant

Et il m’arrive encore de         Ê     songer à elle,

En vacances en région          V   de Provence,

Au bateau comme bain      E  de jouvence.

Pour nous, y a jamais eu, R    ritournelle

Avons toujours gardé amour d’avance

Avons vécu vie chaque fois nouvelle

Couple commence à consonne  c

Accouplée à cette voyelle :   o

L’enfant que l’on a eu :  u

Nous fait parents :  p

Afin  de   louer:    l

La     vie     :     e

Il     peut   y  avoir

Parmi   les   souvenirs

Heureux      *  qui remontent

Nourrissent D     rêve commun,

Un d’entre   E         E  eux qui séduise

Au point    *                 M   de  fantasmer

Nouvelle   M                   M         rencontre

Ou art   *  *  A                      E  *  *    d’aimer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

751 4

.

Silhouette de femme,

Mais  ici, vue de dos,

Et avec des  formes,

Et parfum mystère.

.

Je rêve de ma femme dans toutes

Les tenues, les postures :

Rien ne m’échappe d’elle en dehors

Parfum de son mystère.

.

Symbolique 

 .

L’enjeu auquel font face les femmes

Désirant  être femme, pleinement,

Reste immense, tant il demande un

Investissement personnel de l’ordre

Du don de soi et une réflexion pour

Comprendre l’axe entre sa dignité

Propre et sa relation au monde.

.

La Woman Attitude cherche

À rassembler les femmes qui

«Comprennent que l’homme

Est le résultat  de ce qu’est

La femme et en tirent une

Conscience de leurs responsabilités » :

À chaque femme reviendra de s’épanouir

Et de manière unique en tant que femme !

womanattitude.com/ca-veut-dire-quoi-être-femme

.

Descriptif

 

751 – Il m’arrive de rêver de ma femme !  

  Alignement central  /   Titre   serpente   / Thème  rêve

Forme anthropo / Rimes variées / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : femme / Symbole de fond : mystère

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

751 6

.

Je rêve de ma femme dans toutes

Les tenues, les postures :

Rien ne m’échappe d’elle en dehors

Parfum de son mystère.

.

Symbolique 

 .

Interaction hommes / femmes :

Mystère !  Vous vous en doutiez,

Les hommes et les femmes n’ont

Pas le même  mode  d’emploi !

.

Si  tout le monde  se retrouve

Dans la définition d’intimité

Et la nécessité de  partager,

La   vision   du   corps,  elle,

Reste le point de dissonance

Entre les hommes  et femmes…

L’homme d’aujourd’hui sait parler !

.

Il n’hésite plus à partager son intimité

Et cherche même à vous comprendre

L’homme en connait  plus sur vous

Que vous ne l’imaginez, malgré

Vos préjugés … votre intimité,

A moins de mystère pour lui.

magicmaman.com/l-intimite-

feminine-vue-par-les-hommes,

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Que toute femme soit un mystère :

Voilà bien fantasme qui m’est cher

Et dont je ne saurais pas, de toile,

Par quel bout soulever son voile !

Le voile sur son corps, je devine

Mais voile sur sa face sourdine

Me trompe, parfois, à l’estime

Je le mets en rêve en abyme.

 .

.

Rêve des plus sensuels

.

Scénario

.

Dans mon rêve, son visage apparait, son regard, surtout

qui se mélangent alors à celui d’autres femmes… étrangères :

si diverses, nombreuses soient-elles, reflète maximum d’énergie.

.

Visuels et textuels  >>

750 – La nuit est calme, rien ne bouge

Visuels et textuels >>

.

Nuit calme ne nuit

À personne, bénéficiera

À tout le monde  et chacun

Pour se lever     clair, au matin

Au  lieu  d’en       devenir  chagrin.

Rien ne bouge               à l’extérieur,

Rien ne bouge,                même en soi,

Corps et esprit              sont au repos,

Le cerveau seul,           fait la veille,

Résout  quelques      problèmes

Dont ne voyait d’issues

La nuit devient, amie,

Pour peu, on apprécie

.

La nuit est calme, rien ne bouge

Tout autour, et, le ciel  est rouge,

D’un coucher de soleil,   éclatant,

Face au lever  de  lune,  émouvant.

Le jour  s’en va, la nuit   s’en vient,

Et rien ni personne, ne me retient,

Ce noir, depuis la nuit  des temps,

Qui nous endort le tiers du temps.

Quand tout est serein et ne bouge,

Mes yeux voient, dans infrarouge,

Mes fantômes…autour de minuit,

Envahissent fond de mon  esprit,

Et peuplent mes rêves de songes,

En cauchemars qui me  rongent

Pour exister, dans un  ailleurs,

Exorcisant toutes mes peurs.

La nuit  est calme,  le matin

Me réveille plein  d’entrain

Car les fantômes de minuit

Seront ressortis de mon lit

Lors ainsi je vis deux vies,

Comme  le  jour et la nuit

Jour agité, plein de bruits,

Nuit silencieuse,  assouvie.

Fantôme, fantasme  facétie,

Sont représentations d’esprit,

Jouant une sarabande, de nuit,

En un corps, immobile, qu’ennui

Guetterait si son cerveau se  vide,

Comme une mer, encéphalo  plat

Ni vagues, ondes alpha, ni rides,

Sonnera  crépuscule  ou trépas.

La nuit est  une de mes  amies

Quand,  fatigué,  je  m’y pose,

En ses bras, je m’endors, ravi

De ses tempêtes caresses aussi.

La mer est calme rien ne bouge

Et tout autour, le ciel est rouge,

Corps s’apaise, esprit se  libère :

De ma nuit, n’en suis pas amère.

.

.

Extensions

 .

La nuit, moins il y aura de bruit

Et plus le sommeil sera profond,

À ce qu’on dit, mais, les enfants

En bas âge  peuvent, dormir  en

Une tempête sans discontinuer,

Lors les personnes âgées ont du

Mal à dormir et ce malgré toute

Absence de bruit et d’agitation.

Nous  ne sommes pas  à égalité

Devant nos droits au sommeil.

 .

Je regarde par la vitre de ma fenêtre : rien ne luit

Tout est bleu nuit

Le paysage est figé comme endormi par effet de lune

Point blanc sur lagune

Et lors je rêve que ma nuit avec toi dure éternellement,

En tant que couple d’amants.

.

Le bruit serait l’ennemi du sommeil

La lumière sera son parfait complice

Et bien qu’en beaux draps, me glisse

Mes yeux restent longtemps en éveil.

.

J’ai peut-être abusé sur les excitants,

Du genre cafés, alcools, films violents,

J’ai peut-être trop stressé, la journée,

Lors je paie l’addition, cash, retourné.

.

Ou encore je suis en dette de sommeil

Et mon corps n’arrive plus à l’éponger

Ou je suis amoureux, à ce point excité,

J’attends que tu sois près de moi, éveil.

.

.

750 – Calligramme    

  .

Nuit calme ne nuit

À personne, bénéficiera

À tout le monde  et chacun

Pour se lever     clair, au matin

Au  lieu  d’en       devenir  chagrin.

Rien ne bouge               à l’extérieur,

Rien ne bouge,                même en soi,

Corps et esprit              sont au repos,

Le cerveau seul,           fait la veille,

Résout  quelques      problèmes

Dont ne voyait d’issues

La nuit devient, amie,

Pour peu, on apprécie

.

La nuit est calme, rien ne bouge

Tout autour, et, le ciel  *  est rouge,

D’un coucher de soleil,   L      éclatant,

Face au lever  de  lune,    A    émouvant.

Le jour s’en va, la nuit      *        s’en vient

Et rien, ni personne, ne    N    me retient,

Ce noir depuis la nuit        U    des temps,

Qui nous endort le tiers     I     du temps.

Quand tout est serein et    T     ne bouge

Mes yeux voient en infra     *       rouge,

Mes fantômes…autour de   E   minuit,

Envahissent fond de mon   S     esprit

Et peuplent mes rêves de   T   songes

En cauchemars qui me    *   rongent

Pour exister dans un     C   ailleurs,

Exorcise toutes mes    A      peurs.

La nuit est calme,     L    le matin

Me réveille plein    M   d’entrain

Car les fantômes   E   de minuit

Seront ressortis    *   de mon lit

Lors ainsi je vis    Q   deux vies,

Comme  le  jour    U    et la nuit

Jour agité, plein     A   de bruits,

Nuit silencieuse,      N   assouvie.

Fantôme, fantasme,  D      facétie,

Sont représentations    *    d’esprit,

Jouant une sarabande    R      de nuit

En corps immobile, qu’     I        ennui

Guette si son cerveau se    E        vide,

 Comme mer, encéphalo     N         plat

   Ni vague, onde alpha, ni     *        ride,

      Sonnera  crépuscule  ou      N   trépas.

        La nuit est  une de mes       E    amies

            Quand,  fatigué,  je  m’y      *       pose

                 En ses bras, je m’endors    B         ravi

                   De ses tempêtes caresses   O    aussi.

                        La mer est calme rien ne   U     bouge

                            Et tout autour, le ciel est   G    rouge :

                                Corps s’apaise, esprit se     E    libère :

                                 De ma nuit, n’en suis pas   *   amère.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

750 4

.

Silhouette d’homme

Allongé  et en train de

 Dormir profondément 

Abandonné à Morphée

.

Rester allongé ainsi, je peux dormir

Dans  cette position et toute la nuit,

Sans bouger d’un pouce  et ce afin de

Sans insomnie abandonné à Morphée.

.

Symbolique

 .

Excès de café, stress, anxiété,

Hormones, mauvaise literie,

Sont  parmi   les  causes  des

Problèmes    pour  dormir ?

.

Quels  facteurs  psychologiques,

Physiologiques ou environnementaux

Barrent la route à marchand de sable ?

.

L’insomnie peut autant avoir  une origine

Psychologique (stress, anxiété, problèmes…),

Physiologique (style de vie, maladie, alcool, café),

Environnementale (bruit, luminosité, faible literie…)

Ou pathologique (maladie, génétique, fièvre, douleur).

modifié, source : doctissimo.fr/html/psychologie/bien_dormir

.

Descriptif

 .

750 – La nuit est calme quand rien ne bouge  

  Alignement central   /  Titre   serpente  /  Thème  sommeil

Forme  anthropo /  Rimes égales   / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : dormir / Symbole de fond : Morphée

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Rester allongé ainsi, je peux dormir

Dans  cette position et toute la nuit,

Sans bouger d’un pouce et ce afin de

Me blottir, abandonné à Morphée

.

Symbolique

 .

Mythologie grecque,  Morphée,

Dieu des rêves,  est le fils d’Hypnos,

Dieu du sommeil et de Nyx, déesse de la nuit.

.

Il est souvent représenté par un jeune homme

Tenant un miroir dans une main et

Des pavots soporifiques de l’autre.

Il donne le sommeil en touchant

Une personne avec ses pavots.

Il lui donne également des

Rêves pour la nuit.

.

Les bras étant symbole de sécurité,

Ais aussi de force, on comprend pourquoi

Cette image est restée pour désigner

Une personne qui dort profondément.

linternaute.fr/expression /etre-dans-les-bras-de-morphee

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Chacun sait bien que la mélatonine

Constituerait l’hormone du sommeil,

Qu’elle se diffusera dans notre corps,

Sous l’effet  silence et obscurité totale

Cela dit, y a des causes perturbatrices

Et qui feront que l’effet sera inopérant.

.

Prendre un cachet pour doper, tromper

Ne peut que l’endormir, mais … pas vous

Alors que la nuit est calme, rien ne bouge,

Vous êtes agité comme lièvre en son bouge.

Comme le disait si bien ce bon  La Fontaine.

 .

.

Bien réveillé, bien reposé !

.

Scénario

.

Calme plat, je ne vois ni n’entends aucune mouche voler,

je rêve, toute éveillée, que le temps se sera soudain arrêté,

que le clair de pleine lune va durer, cette nuit, une éternité.

 .

Visuels et textuels >>

749 – Mon sommeil, j’ai tardé à le trouver !

Visuels et textuels >>

.

Trouver   sommeil

Est cette expression

Un peu  étrange pour

État normal, journalier

Entre diurne et nocturne,

Quand la nuit  se fait noire.

Nous avons tous une horloge

Circadienne, à bien  respecter !

Si elle se décale, ou se détraque,

Faudra des jours, pour la recaler.

.

Dettes de sommeil,    s’accumulant,

Insomniaque … nerfs à vif, mettant.

Si l’on  s’active  de trop,  juste avant,

De  s’endormir,  ou joue avec écrans,

Peine à sombrer n’a rien d’étonnant,

Rêveries : sommeil  mal  préludant,

Le sommeil, j’ai tardé à le trouver.

.

Sur  le  dos, le  ventre,  ou  de côté,

Chien  de fusil  ou, parfois, tourné

À l’envers, avec la tête  aux pieds,

Même en essayant autre position

Aucune ne  m’a donné le sommeil

Regardant heure avec un lampion

Elle tourne en rond  et sans pareil.

.

Mais si à mes côtés, tu avais dormi

Comme filtre, en moi, il aurait agi,

Tant  il endort  celui que le prend,

Et puis, le matin, seul,  vous rend

En pleine forme  et  fort heureux

Avoir senti chaleur de ton amour

Contre corps apaisant, généreux,

Ayant gouté la nuit, comme jour.

.

Avec toi,  je m’abandonne et rêve,

En contrées, je voyage sans trêve,

Chevauchant fantasmes, pensées,

Content, au matin, de me trouver

Toujours, et  encore,  à mes côtés,

En   gardienne  de  mon sommeil,

Et,  réciproquement,  lors  nuitée,

Encline à coucher,  tu me réveilles.

.

.

Extensions

 .

Mon sommeil, j’ai tardé à le trouver,

J’ai gambergé, comme il se doit,

Une grande partie de la nuit,

Qui m’aura parue sans fin

Ce jusqu’au petit matin

Où il est venu… enfin !

.

Mais voilà que les bruits,

Les lumières, les obligations

De la journée me stimulent,

Me tracassent tant j’ai dû,

Et, très vite, rouvrir  l’œil.

Ça y est, mon lit  est v ide,

Et tout le monde s’affaire :

Quelle heure est-il : mon dieu !

.

On va me prendre pour un gros fainéant

Et ils ne me croiront pas si je leur dis la vérité.

Je me lève les yeux fermés, je te vois, rêve halluciné.

Je ne sais si je suis encore en mon sommeil ou la réalité.

Je jette un œil sur mon smartphone pour voir si le monde

Continue à tourner, le livre dont j’ai abandonné la

Lecture pour m’endormir est ouvert sur le lit !

.

Entrée en sommeil et sortie de smartphone

Sont incompatibles :

Rien que la lumière bleue, à elle toute seule,

Perturbe la sérotonine

Alors, si vous êtes branché sur vos amis(es),

N’y comptez pas ou plus :

Lisez plutôt un court récit, conte imaginaire

Et, dans les bras de Morphée.

.

.

749 – Calligramme    

.

Trouver   sommeil

Est cette expression

Un peu  étrange pour

État normal, journalier

Entre diurne et nocturne,

Quand la nuit  se fait noire.

Nous avons tous une horloge

Circadienne, à bien  respecter !

Si elle se décale, ou se détraque,

Faudra des jours, pour la recaler.

.

Dettes de sommeil,    s’accumulant,

Insomniaque …  nerfs à vif, mettant.

Si l’on  s’active  de trop,     juste avant,

De  s’endormir,  ou joue  *   avec écrans,

Peine  à sombrer n’a   S  rien  d’étonnant,

Rêverie, sommeil   O            mal préludant !

Le sommeil,       M           ai tardé à le trouver

Sur le dos,       M              le ventre,  ou de côté,

Chien  de       E                fusil ou parfois tourné

À l’envers      I                 avec la  tête  aux pieds,

Même  en      L               essayant, autre position

Aucune ne      *                m’a donné  le  sommeil

Regardant       A               l’heure avec  lampion,

Elle tourne       I           en rond  et sans pareil.

Et si, à mes       *          côtés, tu avais dormi,

Comme filtre      T       en moi, il aurait agi,

Car il endort        A      celui que le prend

Et puis, le matin   R      seul, vous rend

En pleine forme et D     fort heureux

Avoir senti chaleur É   ton amour,

Contre corps apaisant généreux

Ayant gouté nuit, comme jour.

.

Avec toi,  je m’abandonne, rêve,

En contrées T voyages sans trêve,

Chevauche    R  fantasmes, pensées,

Content au      O  matin de me trouver

Toujours et       U    encore,  à mes côtés,

En gardienne      V           de mon sommeil,

Et réciproque      E             ment, lors nuitée

Enclin à coucher   R                tu me…réveilles.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

749 4

.

Lampe de chevet

De type veilleuse,

En vue de  pénombrer

Mon sommeil, la nuit.

 .

Veilleuse et sommeil vont ensemble

à condition que lumière soit faible,

sinon, mélatonine ne m’endormira,

lors ici, la forme aidera bien le fond 

.

L’intensité  et couleur de cette

Veilleuse   s’adapterait   aux

Quatre états  d’un sommeil :

Nul, léger, profond, paradoxal.

.

Symbolique 

.

Une veilleuse est une petite lampe destinée

À rester allumée la nuit ou en milieu obscur.

Elle se présente aussi sous forme d’ampoule,

Dans différentes couleurs, et que l’on pourra

Brancher au secteur, sous forme  de  jouet,

De doudou,

De guirlande…

Elle sert à calmer

Accompagner bébés

Enfants pour sommeil

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

 .

748 – J’avoue que j’ai mal dormi la nuit  

  Alignement central   /  Titre   serpente  /  Thème  cycle

Forme conique /  Rimes égales   / Fond  approché de forme

Symbole de forme : veilleuse / Symbole de fond : sommeil

.

.

Fond

 .

Évocation

.

749 6

.

L’intensité  et couleur de cette

Veilleuse   s’adapterait   aux

Quatre états  d’un sommeil :

Nul, léger, profond, paradoxal.

.

Symbolique 

 .

Le sommeil est la pierre

Angulaire d’organisme en santé.

Il n’est   toutefois pas  évident de

Savoir si sa nuit a été réparatrice. 

La Fondation américaine du sommeil.

Quatre repères de la qualité de sa nuit :

1) Vous vous endormez en moins de 30 minutes ;

2) Vous ne vous réveillez  plus d’une fois par nuit ;

3) Vous vous rendormez rapidement en 20 minutes ;

4) 85% du temps, passé au lit, est consacré au sommeil.

madame.lefigaro.fr/bien-etre/le-mode-demploi-pour-sommeil-de-qualite

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une veilleuse serait faite pour veiller

Mais sur quoi, en réalité, n’ayant pas

D’intentionnalité même pour sommeil,

Ni pour transition nuit/jour, au réveil :

Juste objet transitionnel de mon angoisse.

.

L’insomnie d’une nuit n’est pas un problème

D’une semaine, ça devient un vrai symptôme

Car tant que la dette de sommeil s’accumule,

Il sera difficile de retrouver une nuit calme.

.

On peut bien sûr se droguer pour dormir

Et les somnifères ne peuvent remédier

Sauf à rendre dépendant, c’est pire.

 .

.

Ma nuit : un vrai cauchemar

.

Scénario

.

Ah, ces smartphones : excitants numériques pour gens insomniaques

lors pertes heures de sommeil s’égrènent sans pouvoir fermer l’œil :

suffirait de lire un de mes écrits pour tomber en bras de Morphée.

 .

Visuels et textuels >>

748 – J’avoue que j’ai fort mal dormi cette nuit

Visuels et textuels  >>

.

J’ai très mal dormi la nuit

Oui mais pourquoi : ennui

Même pas, content de moi.

Alors je ne comprends pas !

.

En voilier, tout bouge, un peu,

Oui mais cela vous berce au pieu.

J’avoue que, j’ai mal dormi, la nuit,

Ce n’est pas que j’étais fatigué, stressé,

Il faisait chaud, à crever,  et pas ventilé.

.

Ma couchette,  en  voilier,  ne l’était pas,

Je me suis pris  la tête, à   me retourner,

Comme un rat en cage,  fait prisonnier.

.

Il y avait une comme une atmosphère

Empêchant  dormir à poings ouverts

Comme un bébé, au sein de la mère

Pourtant c’est ce qu’on a de mieux

Pour sommeil des  plus  radieux.

.

Lors, contre mauvaise  fortune,

Bon cœur et …  c’est bien long

Quand une telle nuit blanche

N’en finit pas de s’allonger

Qu’elle  va  durer, encore,

À moitié endormi le jour.

.

Voilier est un peu ventre

L’on y sort, l’on y rentre,

Lors chacun y prospère,

De jour, comme de nuit !

.

En cockpit, carré, couchette

On se sent quelque peu à l’étroit,

Quand on est plus que deux ou trois,

Peut-être aurais-je dû dormir sur le pont

Mais j’étais trop occupé à tourner en rond.

.

J’ai fini par sommeiller ….. au petit matin,

Quand il a fait plus frais,

Avec,  plus  de vingt-cinq  degrés,  la nuit :

J’avais sensation d’un four.

.

La nuit m’a parue longue, parue l’éternité,

Même si pour compenser,

Mes rêveries, dans toutes mes insomnies,

M’ont retourné vers toi,

Pour cette fois encore ça n’aura pas suffi

Car tu n’étais pas là.

.

Même contorsionnant fort, mon esprit,

Ne t’ai fait apparaitre

En tant que gardienne, mon sommeil

Et sa garante, à la fois.

.

C’est dans ta chaleur je me repais,

Et non celle de ce four

Qui cette nuit encore aura joué

Son mauvais tour.

.

.

Extensions

 .

Mal dormi :

Fausse impression

Ou bien  vraie réalité !

Il est rare que l’on fasse

Une nuit blanche complète

Et les temps d’assoupissement

On en n’aurait en pas conscience,

Seul, un observateur extérieur, peut

Témoigner que vous n’avez pas fermé

L’œil de la nuit, ou en fin presque…

Mal dormi :

Est-ce insuffisamment,

D’un sommeil, habité par

Mauvais rêves,  mal réveillé

Durant la phase paradoxale !

.

Tourné d’un côté à l’autre,

Et cela finalement pour tourner en rond

Sans pourtant m’endormir,

En finissant même par compter les moutons,

Mais sans toujours y parvenir

Ressemble assez à un une nuit sans fin et sans fond

C’est rêvant de toi, elle prend fin.

.

Je vais vous livrer un secret personnel,

C’est quand j’ai très bien dormi, la nuit

Qu’au petit matin… après un bon réveil,

J’atteins, pour écrire, maximum énergie

.

Et figurez-vous qu’après le repas de midi,

Je fais une bonne sieste de 30/45 minutes,

Et voilà mon moteur sémantique est reparti

Avant que ma fatigue d’écrire, ne se rechute.

.

Rechute, rechute, attendez donc, chut, chut :

Écrire n’est pas un vice ni addiction, maladie,

Je n’en suis pas au point de me lever…  a nuit :

Mon sommeil est sacré et rien ne me l’ampute !

.

.

748 – Calligramme    

.

J

J’ai très mal     dormi la nuit

Oui mais pour A  quoi : ennui

Même pas, con I   tent de moi.

Alors je ne com  *     prends pas !

En voilier, tout   M  bouge, un peu

Oui mais cela vous  A   berce, au pieu.

J’avoue que j’ai mal     L    dormi la nuit,

Ce n’est pas que j’étais    *  fatigué, stressé,

Il faisait chaud, à crever,     D    et pas ventilé.

Ma couchette,  en  voilier,    O      ne l’était pas,

Je me suis pris  la tête, à      R       me retourner,

Comme un rat en cage,      M      fait prisonnier.

Il y avait une comme        I      une atmosphère

Empêchant  dormir        *      à poings ouverts

Comme  un   bébé       L    au sein de la mère

Pourtant   c’est       A  ce qu’on a de mieux

Pour sommeil     *    des   plus   radieux.

Lors, contre     N   mauvaise  fortune,

Bon cœur       U   et  c’est bien long

Quand une   I  telle nuit blanche

N’en finit   T pas de s’allonger

Et, qu’elle va durer, encore,

À moitié endormi le jour.

.

***********************

***********************

.

Voilier est un peu ventre

L’on y sort, l’on y rentre,

Lors chacun y prospère,

De jour, comme de nuit !

En cockpit, carré, couchette

On se sent quelque peu à l’étroit,

Quand on est plus que deux ou trois,

Peut-être aurais-je dû dormir sur le pont

Mais j’étais trop occupé à tourner en rond.

 .

J’ai fini par sommeiller ….. au petit matin,

Quand il a fait plus frais,

Avec,  plus  de vingt-cinq  degrés,  la nuit :

J’avais sensation d’un four.

 .

La nuit m’a parue longue, parue l’éternité,

Même si pour compenser,

Mes rêveries, dans toutes mes insomnies,

M’ont retourné vers toi,

Pour cette fois encore ça n’aura pas suffi

Car tu n’étais pas là.

 .

Même contorsionnant fort, mon esprit,

Ne t’ai fait apparaitre

En tant que gardienne, mon sommeil

Et sa garante, à la fois.

 .

C’est dans ta chaleur je me repais,

Et non celle de ce four

Qui cette nuit encore aura joué

Son mauvais tour.  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

Modifier l’image ici

.

Deux vases superposés 

De taille, et  de forme,

À  peu  près  égales

Très  différents.

.

Le vase du haut : forme inversée

Celui du bas, forme plus moderne,

Aucun des deux  ne convient à nuit,

Ainsi leurs formes diffèrent du fond.

.

J’étais un peu vaseux, j’aurais préféré

 Autre forme,  un vase  plus creux,

À côté pour m’aider à me blottir

 Tout comme à m’évanouir.

.

Symbolique 

.

Forme, grâce des courbes

Et sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin:

Son creux évoquera celui de l’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides vitaux.

.

Dans l’art, et,  les rites  funéraires, le vase

Apparaît comme emblème de vie éternelle.

.

Bible : le vase est utilisé comme symbole.

Il peut être fait de matériaux différents

Et   contenir   des   choses   totalement

Différentes au fond (eau, vin, trésor)

Source : heraldie.blogspot.com/2014/08  et 

le-vase et  emcitv.com/jeremy-sourdril

.

Descriptif

 .

748 – J’avoue que j’ai mal dormi la nuit  

  Alignement central  /  Titre  serpente / Thème  sommeil

Forme en ovale /  Rimes égales   / Fond  éloigné de forme

Symbole de forme : vase-creux / Symbole de fond : blottir

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

.

J’étais un peu vaseux, lors j’aurais préféré

 Une forme en vase creux

À mes côtés pour m’aider à me blottir

 Tout comme à m’évanouir.

.

Symbolique 

 .

Blottis l’un contre l’autre,

En cuillère, ou encore dos à dos,

La position en laquelle vous dormez

Avec  votre partenaire  serait  révélatrice

De l’ambiance au sein de votre propre couple.

.

Pendant la nuit, le ou la partenaire, viendra

Se blottir tout contre le dos de sa moitié.

.

Ce qu’elle signifie : c’est très bon signe :

Les scientifiques en charge de l’étude

Interprètent cette position comme

Symbole de relation de couple

Parfaitement… équilibrée.

cosmopolitan.fr/,la-position-du-

sommeil-en-dit-long-sur-votre-couple

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Bien se blottir contre un vase

Que l’on prendra dans ses bras

N’aiderait guère à bien dormir.

.

Il vaudrait mieux un bon oreiller

Lors sur lequel, sa tête, appuyer.

Et un bon matelas bien moelleux,

Sur lequel, son corps … allonger.

.

Si la femme serait un vase creux,

Dormir contre elle, encore mieux,

À moins de trouver cela ennuyeux

.

.

Mal dormi sans toi, hélas !

.

Scénario

.

Je me suis retournée si ce n’est cent fois dans mon lit,

j’ai compté plus de cent moutons raconté leurs histoires,

et c’est en te croyant, près de moi, que je me suis endormie.

 .

Visuels et textuels  >>

747 – Le réveil au petit matin est moment opportun

Visuels et textuels  >>

.

Le réveil   …    au matin,

Est  un  moment crucial

Pour   bien  commencer

Programme   de journée

Et, se lever du bon pied,

Sera  un gage de félicité,

En restant, zen, détaché.

.

Le temps qu’il fait météo

En rajoute,  s’il fait beau,

Si l’on obtient  un sourire

De son chéri  ou sa chérie

Tout devient merveilleux.

.

Le réveil,  au petit matin,

Est un moment opportun

Pour goûter  aux silences

En soi, autant  qu’autour.

Les bruits sont …   légers,

Les bruits sont … feutrés,

Et la nuit  devient le jour,

Le jour  devient d’amour.

Le réveil,  au  petit matin,

Est moment  le plus divin

Pour entrer  en une danse

Où tout vit,  recommence.

.

Quelques  oiseaux, crient,

En cherchant une pitance

Lors sortis… de leurs nids

En mal de vols  d’errance.

Des lumières  de maisons,

S’allument  et chien aboie

Quand poubelle passeront

Tous animaux tournoient.

.

Le ciel   estompe  la Lune,

Quand nuages rougeoient

Venant annoncer à la une

Qu’un  beau soleil  est roi.

Ce sera bientôt mon tour,

D’entrer en un tourbillon,

Des mille  choses  à faire,

Essentielles et contraires

Parfois tournant en rond

Dans le temps qui court !

.

Qui court après le temps,

Pas moi, pas maintenant

Je me réserve cet instant,

Pour retarder ce moment

Où toutes les impressions

D’un réveil au petit matin

Disparaitront subitement

Comme paroles, au vent !

.

.

Extensions

 .

Le réveil, au petit matin, devient un moment où

Une nouvelle énergie, rechargée toute la nuit,

Est disponible pour accomplir tous projets

Restés en suspens, en retrait  de la veille.

.

Le dernier rêve reste, toujours, présent,

Le dernier rêve est toujours prégnant.

La réalité n’aura pas  encore  imposé

Ses obligations, même ses priorités.

.

Je me donne  cinq minutes  pour finir

Ma nuit en beauté et puis l’odeur du café,

Déclencher automatiquement par le réveil matin

Vient stimuler mes neurones   qui se mettent  à  danser

Dans mon cerveau qui, du coup, m’empêche de fermer l’œil.

.

Tous mes sens en éveil, je me lève d’un bond, du bon pied

Et d’attaque pour commencer ma longue journée

De travail ou de loisir ou d’aventure !

.

Au réveil, de la brume opaque, dense, où l’on distingue

Vaguement formes sépia

Aux superpositions en profondeurs de tendres couleurs,

Comme en une aquarelle,

On en vient à séparation plus nette, du ciel et du paysage,

Aux formes fines, et filtrées

Par une lumière qui se réfléchit sur elle-même, et par tout,

Dégradé couleur jaune, rouge.

.

Il s’en passe des choses au réveil,

À la lisière inconscient/conscient,

Autant rêve cauchemar/merveille,

Odeurs de café avec des croissants.

.

Un bras, un coude ou main cherche

Partenaire de lit … encore endormie.

Si ce n’est le cas, la belle s’est … tirée,

De là à revenir café, croissant, amour.

.

Quand même,  c’est encore beau cliché,

Faut pas inverser les rôles, femme, mari.

N’empêche que l’odeur à un gout paradis

Si la nuit fut ratée, le réveil, bien rattrapé.

.

.

Épilogue

.

En France, il est courant et fort apprécié,

Être réveillé par odeur de café /croissant,

Sinon par parfums de thé, chocolat, pain,

Stimulant et nos olfactifs et nos papilles !

Sensations qui se mêlent, qui accentuent

Nos souvenirs récents de rêves nocturnes

L’estomac serait-il comme celui des chats

Muni d’une horloge  indiquant une faim !

Ce sera toujours mieux que d’être réveillé

Par le bruit tonitruant d’un réveil intrusif

Qui vous sonne comme par coup de canif,

Coupant votre sommeil, alors si bien rêvé.

.

.

747 – Calligramme

 .

RÉVEIL,  AU MATIN

Le réveil   …    au matin,

Est  un  moment crucial

Pour   bien  commencer

Programme   de journée

Et, se lever du bon pied,

Sera  un gage de félicité,

En restant, zen, détaché.

Le temps qu’il fait météo

En rajoute,  s’il fait beau,

Si l’on obtient  un sourire

De son chéri  ou sa chérie

Tout devient merveilleux.

Le réveil,  au petit matin,

Est un moment opportun

Pour goûter  aux silences

En soi, autant  qu’autour.

Les bruits sont …   légers,

Les bruits sont … feutrés,

Et la nuit  devient le jour,

Le jour  devient d’amour.

Le réveil,  au  petit matin,

Est moment  le plus divin

Pour entrer  en une danse

Où tout vit,  recommence.

MOMENT      CRUCIAL

Quelques  oiseaux, crient,

En cherchant une pitance

Lors sortis… de leurs nids

En mal de vols  d’errance.

Des lumières  de maisons,

S’allument  et chien aboie

Quand poubelle passeront

Tous animaux tournoient.

Le ciel   estompe  la Lune,

Quand nuages rougeoient

Venant annoncer à la une

Qu’un  beau soleil  est roi.

Ce sera bientôt mon tour,

D’entrer en un tourbillon,

Des mille  choses  à faire,

Essentielles et contraires

Parfois tournant en rond

Dans le temps qui court !

Qui court après le temps,

Pas moi, pas maintenant

Je me réserve cet instant,

Pour retarder ce moment

Où toutes les impressions

D’un réveil au petit matin

Disparaitront subitement

Comme paroles, au vent !

 .

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

747 4

.

Un flacon ou plutôt

 Un échantillon de parfum

Favorable à tout réveil matinal

Parfum frais, comme un croissant.

.

Parfum et croissant vont bien ensemble

les deux vous réveilleront, il me semble,

avec des images fraiches plein la tête

ainsi les formes évoqueront le fond.

.

Rien de mieux, pour s’endormir,

Le soir, qu’un parfum,

Comme d’odeurs des croissants

 Le matin, au saut du lit !

.

Symbolique 

.

Le parfum désigne une odeur agréable.

Il symbolise la délicatesse et la subtilité.

Il était déjà utilisé dans la préhistoire.

Aujourd’hui, le parfum est considéré

Comme une sorte de produit de luxe,

Mais accessible au plus grand nombre.

.

Le parfum marque aussi  la personnalité

De l’individu qui le porte, en lui permettant

De se différencier par son odeur et pour ainsi

S’affirmer aux autres, prendre confiance en lui.

C’est en quelque sorte, sa « signature olfactive ».

Modifié, source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-parfum

.

Descriptif

 .

747 – Réveil, au matin, est moment crucial

  Alignement central   /  Titre  intercalé  /  Thème  liberté

Forme droite / Rimes égales  / Fond  approché de forme

Symbole de forme : parfum / Symbole de fond : croissant

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Rien de mieux, pour s’endormir,

Le soir, qu’un parfum :

Comme d’odeurs des croissants

 Le matin, au saut du lit !

.

Symbolique de fond

 .

Symbole du petit-déjeuner français,

Les croissants seront pourtant peu

Recommandés par les nutritionnistes.

Pourquoi  aimons-nous  les croissants :

.

Le plaisir  du petit déjeuner, en  général,

Et le plaisir des croissants en particulier,

C’est en fait un plaisir culturel à travers

Lequel, chaque  matin, après  le  repos

De la nuit dans lequel nous sommes

Seuls   avec  nous-mêmes, nous

Retrouvons  le monde auquel

Nous appartenons et société

Dans laquelle nous vivons…

franceinter.fr/emissions/

la-petite-philo/la-petite-philo-

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le parfum de la nuit ne sera pas le même

Que celui du jour et cela est vrai, toujours.

Le parfum du rêve n’est pas de la réalité,

Et pourtant c’est bien réalité du parfum

Qui nous ferait, le plus souvent… rêver.

.

Plus subtil qu’un bon parfum, tu meurs

Il est là tout en n’existant pas vraiment

Sorti de son flacon, appliqué sur peau,

Il récitera sa chanson  d’embaumement,

Tant du corps, que cœur, esprit, de l’âme.

 .

.

S’étirer pour se tirer du lit !

.

Scénario

.

Réveil au petit matin, est moment opportun pour tenter de voir clair,

lors la brume se dissipera, et de son sommeil, et de son atmosphère,

pour laisser place à un ciel dégagé, chargé de couleurs et lumières.

 .

Visuels et textuels  >>

746 – Mâle, femelle, nous ne pouvons que nous aimer

Visuels et textuels  >>

.

Qui se ressemble, s’assemble

Dit un proverbe pour se marier

Avez-vous déjà vu la belle le faire

Avec un laid, sauf pour son argent.

.

Peut-on  dire  qu’homme  et femme

Se  ressemblent : non  ils  diffèrent,

Au moins  par le sexe, procréation,

Et  voire, par le corps, esprit, âme.

.

Différent  mais  complémentaire,

Mais cela n’a rien  d’un mystère,

Pas même rien d’extraordinaire

La loi du genre, sauf exception.

.

Je suis mâle  et vous femelle,

Je suis révolté  et vous rebelle,

Je suis beau, et  vous  êtes belle,

Je suis jeune, et vous demoiselle,

Nous ne pouvons que nous aimer.

.

Quoi d’autre, mes  parents, origines,

Des plus nobles  et  des plus notables,

Mes études, et mon diplôme et métier,

Je serai l’avocat en  défense incroyable

Nous … ne pouvons que nous… aimer.

 .

Vous êtes la blonde et moi, beau brun,

Avez peau de pêche et moi peau velue

Un sourire  d’ange   et moi, de diable

Des yeux de biche   et moi, de loup,

Nous ne pouvons que nous aimer.

 .

Vous êtes douce et moi, aimable,

Âme   généreuse, moi charitable

Pleine  de  vertu, et moi, de vice,

Vous maternelle, moi complice,

Ne pouvons que nous … aimer.

 .

Je veux une fille, et toi, un garçon,

Je veux un studio et toi une maison

Si tu veux la mer, moi, la campagne,

On vivra quelque  part  en  Bretagne,

Nous ne pouvons que … nous  aimer.

 .

Si tout cela est vrai, alors marions-les.

Bien que c’est à eux de voir, de décider,

Il ne suffit pas  d’être  beau, d’être belle ;

Encore moins un révolté  ou une rebelle,

Pour s’accoupler dans une vie éternelle.

.

.

Extensions

 .

La différence sexuelle n’exclut

Pas une ressemblance culturelle.

On peut être ressemblant, en tout,

Sauf en sexe serait une  âme sœur»,

En quelque sort, en sachant qu’une

Âme n’aura pas de sexe en théorie.

.

De nos jours, on parle davantage

D’orientation sexuelle à propos

Des homosexuels qu’inversion

Car la loi sera passée  par là,

En  suivant, en cela, les  lois

Du choix  facteur génétique,

Et sur lesquels pourront venir

Se greffer des choix d’éducations

Qui renforceront le premier choix

.

«Je  suis  mâle, et, vous, femelle :

Nous ne pouvons pas  que nous

Ignorer, sexuellement parlant»

En  somme, il n’y aurait … plus

Ni choix naturel ni choix forcé.

.

Un mâle et une  femelle en quête l’un de l’autre puis en poursuite

Quoi de plus normal, quoi de plus animal.

Leurs rapprochements de plus en plus intime, sexuels, crée fusion

Et là, miracle, il y a comme une explosion.

De là naitra un nouvel être qui, à son tour un jour, fera succession

Est-ce le fruit d’un amour ou d’un destin fatal

Mais l’humain ne transmet pas que sa génétique avec toute sa suite

Il éduque aussi pour une conscience maximale.

 .

Je ne tiens pas trop à m’embarquer,

Lors d’autres diraient … m’enfoncer

Dans  des théorisations  des genres,

Je ne suis pas un spécialiste de cela.

 .

Je ne pourrais, pas  plus, m’appuyer

Sur l’observation d’un fait de nature,

Qui serait comme une loi généralisée,

Quel que soit l’intention pure et dure.

.

Quand on touche au vivant, à l’aimant,

Rien ne sert d’être pédant,  être clivant,

Sauf à s’appuyer sur ce dogme religieux,

Que Dieu ait fait Ève compagne d’Adam.

.

.

746 – Calligramme

 .

Qui se ressemble, s’assemble

Dit un proverbe pour se marier

Avez-vous déjà vu la belle le faire

Avec un laid, sauf pour son argent.

Peut-on  dire  qu’homme  et femme

Se  ressemblent : non  ils  diffèrent,

Au moins  par le sexe, procréation,

Et  voire, par le corps, esprit, âme.

Différent  mais  complémentaire,

Mais cela n’a rien  d’un mystère,

Pas même rien d’extraordinaire

La loi du genre, sauf exception.

.

Je suis mâle  et vous femelle,

Je suis révolté  * et vous rebelle,

Je suis beau, et    *      *   vous  êtes belle,

Je suis jeune, et    *           *   vous demoiselle,

Nous ne pouvons    M                L    que nous aimer.

Quoi d’autre, mes     Â                      E    parents, origines,

Des plus nobles et     L                            *     des plus notables,

Mes études, et mon   E                                C    diplôme et métier,

Je serai l’avocat en     S                                     H    défense incroyable

Nous… ne pouvons    *                                          O    que nous… aimer.

Vous êtes la blonde    E                                               I    et moi beau brun

Avez peau de pêche  T                                                 X  et moi peau velue

Un sourire  d’ange    *                                                   *   et moi, de diable

Des yeux de biche    F                                                  N    et  moi, de loup,

 Nous ne pouvons    E                                                O    que nous aimer.

Vous êtes douce     M                                              U    et moi aimable,

Âme   généreuse    E                                             S     moi charitable

Pleine  de  vertu    L                                            *    et moi de vice,

Vous maternelle    L                                        A     moi complice,

Ne pouvons que    E                                    I    nous … aimer.

Je veux une fille      S                             M   et toi un garçon

Je veux un studio     :                       E  et toi une maison

Si tu veux la mer,              *       R   moi la campagne,

On vivra quelque             *           part en Bretagne,

  Nous ne pouvons           *           que  nous  aimer.

   Si tout cela est vrai      *          alors marions-les.

Bien que c’est à eux    *        de voir, décider.

Il ne suffit pas d’être *     beau, d’être belle

Encore moins  un  révolté ou une rebelle

Pour s’accoupler, dans la vie, éternelle !

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

746 4

.

Un flacon de parfum,

 Sinon, une gourde d’eau

Ou une flasque d’alcool

Ou liquide qui ressemble.

Flacon et flasque ne se marient pas

Lors mâles et femelles, eux, le feront :

Objets, d’eux-mêmes ne se reproduiront

Tant et si bien formes diffèrent du fond

Peu importe flacon pourvu qu’on ait

Une  véritable  ivresse   d’aimer

Tant ne faudrait confondre

La gourde et la flasque

Ne pas y souscrire.

.

Symbolique 

.

Lorsque l’on parle de parfumerie,

Même si l’essence odorante en elle-même

Est importante, on ne peut ignorer le flacon.

.

Élément essentiel lié à la conservation

Et au transport du parfum, il sert

Aussi à sublimer son image.

.

Grandes maisons de luxe

Sont bien conscientes

De son importance et

Feront donc appel aux

Plus   grands    designers

De la planète pour élaborer

Des  bouteilles, toujours, plus

Audacieuses et plus somptueuses.

Source : tendance-parfums.com/parfum-

femme/choisir-un-parfum/flacon

.

Descriptif

 .

746 – Mâles et femelles : choix de nous aimer

  Alignement central  /  Titre  analogue  / Thème  liberté

Forme en ovale /  Rimes égales   / Fond éloigné de forme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Peu importe le flacon, pourvu qu’on ait

L’ivresse d’aimer

Il faudrait confondre gourde et flasque

Pour ne pas y souscrire.

.

Symbolique 

 .

La flasque

Pour  l’alcool

Est à l’honneur.

Pas n’importe quelle flasque

Non pas  celle  de l’alcoolique

Qui souhaite atteindre l’ivresse

En catimini  à  n’importe quelle

Heure  de la journée,  mais celle

Hédoniste, qui saura  en profiter

Avec parcimonie, partageant son

Contenu avec une belle rencontre.

Remplie de whisky  ou  de cognac,

Elle trouve sa pertinence en nature

Lors d’une grande balade  en forêt,

Ou sur les rivages  iodés  de l’océan,

Ou bien encore en haute-montagne,

Lors  d’une  randonnée  mémorable.

leparadigmedelelegance.wordpress.com/

inspiration-de-la-semaine-la-flasque

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Masculin et féminin ne sont pas liés à l’amour :

il y a des exceptions de personnes de même sexe,

qui s’aiment et fondent un couple, élèvent enfant

mais pour ce qui est de la reproduction, cellules

sexuelles la gouverne, sans aucune dérogation

pour ce qui est des humains que nous sommes

à chacun de déterminer caractère sexualité !

 .

.

S’aimer en toutes occasions

.

Scénario

.

Une cellule sexuée mâle poursuit assidument une cellule femelle,

un rapprochement se décide quand il se font face lors leur union,

un autre être en naitra : de son sexe, ferait-il le choix lui-même !

 .

Visuels et textuels  >>

745 – Je marcherai, sur les chemins, à ta rencontre

Visuels et textuels  >>

.

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui, à l’encontre

Rester, chez soi,  immobile,

N’auraient  rien de   stérile.

.

Au tournant, halte, carrefour,

Seront autant occasions de voir

La vie  sous ses  différents  jours,

Parfois blanc, parfois rose, noir.

.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, la montagne,

En mer, en campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je m’éloignerai,

Bien  au-delà des  frontières,

Je partirai, puis  je  voyagerai

Et,   bravant  tous  les dangers,

Et je volerai et je nagerai mais

Vers toi, toujours,  reviendrai.

.

Et  j’irai, bien  éveillé,  jusqu’au

Plus   lointain de tous mes rêves,

En  traversant  le long  de ma  vie,

Tous les fleuves du  profond  désir

Et dans lesquels me  baignerai nu,

Et  cela, jusqu’au  dernier  soupir !

.

N’est-ce pas ce  que  l’on imagine

Assez  bien, chacun d’entre nous,

Quelque  chose d’autre à ajouter,

Rien pour moi, et quant à vous !

.

.

Extensions

 .

Je marche,

Sur le chemin,

À ta  …  rencontre :

Cri du cœur, idée esprit,

Acte de foi, d’âme, s’il en est !

On pourrait, toujours, en rajouter

Tant que  la passion, l’amour, l’espoir,

Demeurent intacts, revenir vers quelqu’un

Que l’on cherche jusqu’aux confins du monde :

Cela ne vous sera peut-être jamais arrivé mais un

Voyage peut vous fait voir vos amis sous autre angle.

Chapelet des rencontres  ou  de successions de déserts :

À chacun  de privilégier  la formule, qui lui  corresponde.

En tout état de causes, il faut se retrouver soi-même avant

Trouver l’autre, marche est une métaphore du mouvement.

Ce n’est pas tant la forme prise qui compte que le processus

Qui la décide, qui le remplit, qui lui réussit.

J’ajouterai à cela : il n’y a rien à

Rajouter bien que déjà dit.

.

Chacun marche partout, en ville, campagne, montagne,

Jusqu’à ce qu’une rencontre les fasse marcher, de concert

Et qu’ils continueront à le faire sur la voie qu’ils ont tracé.

En montagne, en forêt, on peut marcher  durant des heures

Sans croiser   âme qui vive, et sans échanger, avec personne,

Mais qu’importent les distances et solitudes, si, au bout, il y a

Une rencontre allant en même direction avec le même plaisir !

.

Rester, chez soi, à attendre

Ou marcher à ta rencontre

Ou se croiser… sans se voir

Trois alternatives à prévoir

.

Je n’aurai trouvé personne,

Personne ne m’aura trouvé,

Mais je continue à chercher,

Celui, celle, un jour, je sonne.

.

Me représentant quelqu’un (e)

Je me livre à ma bonne fortune

Lors ma rencontre est différente

Variation sera plus que tentante.

.

Tant, de modèles, je me défendrai,

M’étant suggéré par communauté,

Ce qui compte n’est pas apparence

Mais le fond du cœur en présence !

.

.

745 – Calligramme   

 .

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui …  à l’encontre

De  rester,  chez   soi,  immobile,

N’ont   Ô    rien de    Ô     stérile.

Lors tournant  //   halte,  carrefour,

Seront autant //  d’occasions  de voir

La vie  sous // ses  différents  jours,

Parfois blanc ==== rose, noir.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, montagne,

En mer, campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je      M                      V    m’éloignerai,

Bien  au-delà   A                     E   des  frontières,

Je   partirai,    R                    R   et  je  voyagerai

Et   bravant     C                   S   tous les dangers,

Et je volerai     H                  *   je  nagerai   mais

 Vers toi, tou    E                 T   jours,  reviendrai.

 *                A  …..

 Et j’irai, bien    S                 *    éveillé,     jusqu’au

 Plus   lointain   U               R   de tous   mes rêves

 En  traversant   R               E    le long   de ma  vie

  Tous les fleuves   *              N     du  profond   désir

 Et dans lesquels   C             C    me   baignerai nu,

  Et cela jusqu’au   H             O    dernier …  soupir !

 E              N

N’est-ce pas ce      M               T    que l’on imagine…

 Assez  bien  cha      I                  R   cun  entre nous, ….

Quelque  chose        N                  E  d’autre à ajouter …..

 Rien, pour moi,        *                     *   et quant à vous……..

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

745 4

.

Silhouette d’un marcheur

Au pas rapide au pas décidé

 En cours de longue randonnée

Jusqu’à rencontre âme-sœur.

.

Marche, rencontre, vont ensemble

bien mieux que de rester … chez soi,

dès qu’on se met d’humeur vagabonde

toutes ses formes avancent vers le fond.

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur sur une voie ferrée,

Puis  sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre âme-sœur.

.

Symbolique 

 .

Les schèmes symboliques

Qui manifestent cette marche

De l’être humain vers l’inconditionné

Se décryptent en expérience spirituelle,

Que celle-ci soit plutôt d’ordre esthétique,

Philosophique, gnostique ou mystique.

.

Le symbole du chemin constitue l’un

Des éléments de l’image archétype

Qu’être humain se forme de lui-même.

Révèle essence humaine «être-en-recherche».

Source : universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

Descriptif

745 – Marche sur le chemin, vers ta rencontre

  Alignement central  /  Titre  dédoublé  / Thème  liberté

Forme anthropo /  Rimes égales   / Fond accordé à forme

Symbole de forme : marcheur / Symbole de fond : rencontre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

745 6

Changer l’image ici 

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur sur une voie ferrée,

Ou sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre âme-sœur.

  .

Symbolique 

 .

Chaque rencontre

D’amour aura le sentiment

De ne ressembler à aucun autre.

Dans la lignée des philosophes grecs,

Les psys dégagent pourtant trois profils

Types de l’état amoureux, et dans lesquels

Nous pouvons tous nous reconnaître. :

 .

Éros : L’amour passion ;

Agapè : l’amour-amitié :

Philia : l’amour profond

De l’être humain entier.

psychologies.com/Couple/

Vie-de-couple/Amour

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

La marche est le chemin, l’énergie, l’élan

La rencontre est l’opportunité, l’instant,

Où l’on se croise,  se parle, et  s’entend,

.

Pour poursuivre le chemin ensemble,

Ou l’on se quitte et tout fout-le-camp

Tout est à refaire … à recommencer.

.

Irai-je plus loin ou … abandonner :

Je suis fatigué   à force de marcher,

Mais je sais qu’au bout, te trouverai,

C’est ce que j’espère, c’est ma destinée.

 .

.

Chemin de Compostelle

.

Scénario

.

Je marcherai dans les montagnes et les vallées, pour te chercher,

je marcherai en toutes campagnes et toutes forêts pour te trouver :

et, si on se croise, on ira ensemble, dans la même direction, toujours !

 .

Visuels et textuels  >>

744- Je voudrais être un oiseau, dans les airs

Visuels et textuels   >>

.

Être un  … oiseau,

Colibri  ou  condor,

Minuscule  ou géant.

L’un, battant des ailes,

Près de cent par seconde,

L’autre planant en hauteur

Sans bouger  un bout d’ailes.

.

Sans compter œil de l’épervier

Qui voit dans un trou de souris,

À près de cent mètres de hauteur

Mais, si cela est bien de prendre

De la hauteur,  vouloir monter

Très haut devient très chaud

Au point de risquer chute.

.

Je voudrais être oiseau,

Grimpant en les airs,

Survolant  la Terre,

Planant sur  l’eau,

Un oiseau,  de feu :

S’envolant où il veut,

Pour s’évader de misère

Qu’il voit trop sur la Terre.

 .

Mes ailes déployées

Prendraient de l’envergure

Avec ma vie, au fur et à mesure,

Et me procureraient moyens d’aimer,

Visiter lieux que je n’ai pas découvert,

Rencontrer les gens chez eux au vert

Et toujours, partir … sans se fuir,

Pour être bien  …  pour en finir.

.

Que je sois cormoran ou pétrel

Cigogne ou bien rose flamant,

Qu’importe,  si j’ai leurs ailes,

Migrant du sud au printemps

Et sillonnant  des campagnes,

Survolant mers, et montagnes,

Pour rejoindre  ancien lieu-dit,

Pour y refaire, à deux, leur nid.

 .

Lit d’amour des petits,

Pour les nourrir sans façon,

En fond de lac nous plongerons,

Pêcherons ensemble, compagnons,

Notre vie sera, de nature, toute faite,

Les jours assureront survie et fêtes,

Humains, jamais, ne se posent,

.

Ne pas compliquer choses.

En battant des ailes  … j’irai

Partout où, d’être, je choisirai,

Ma liberté surveillée, non prison,

Ma cage ayant pour limite l’horizon,

J’ai volé cette poésie à l’amante chérie

Qui me l’a fort inspirée, à qui je la dédie.

.

.

Extensions

 .

Je voudrais être un oiseau,

Dans les airs pour prendre de la

Hauteur par rapport à mes activités,

Mes relations, mes affections, humeurs,

Et même mes défauts de caractère, travers.

Pour voir  ce que  les  autres  font de leur vie,

Ce que j’ai, de commun, que j’ai, de différent,

Contraire d’eux ce peu de supplément d’âme

Qui créé mon identité, et ma personnalité,

Ce qui peut changer dans la vie à deux.

Vaste programme et parcours de vol

Quand avec toi je décolle, je survole

Je me trouve à tracer des courbes,

Autour de  notre  planète … intime

Pour tenter de faire œuvre sublime.

J’ai volé cette romance amante chérie

Qui me l’a inspirée, et à qui je la dédie !

.

Voler, rien de plus simple et naturel pour un oiseau

Rien de plus complexe et arrogant pour un homme !

Il n’y a guère que les chefs d’orchestre, avec baguette,

Qui  parviennent, magiquement, à élever  un morceau.

Il parait  que  la raie Manta, ainsi que cousins marins,

Se déplacent, en imitant le vol des oiseaux, dans l’eau.

Lequel s’est inspiré de l’autre : héritage d’évolutions ?

Le poète a été comparé par Baudelaire à un albatros

Qu’il qualifiera de semblable au…prince des nuées !

.

L’oiseau est un symbole de prise de hauteur,

À la fois de légèreté, de survol de toute chose,

Parait moins grand, plus lourd lors il se pose,

Lors s’envole comme albatros, plus marcheur.

.

Ce qui caractérise un oiseau, ce sont ses ailes :

C’est pourquoi l’on en a prêté, donné aux anges,

Qui pourtant évoluent en un lieu en apesanteur :

Tant religion n’en serait pas à un paradoxe près !

.

À défaut d’avoir des ailes, l’homme à une langue

Avec laquelle ses mots s’envoleront de sa bouche

Et que parfois, par écrit, en souvenir, les couche

Pour que feuilles s’envolent selon leur destinée.

.

.

744 – Calligramme   

 .

Être un  … oiseau,

Colibri  ou  condor,

Minuscule  ou géant.

L’un, battant des ailes,

Près de cent par seconde,

L’autre planant en hauteur

Sans bouger  un bout d’ailes.

Sans compter œil de l’épervier

Qui voit dans un trou de souris,

À près de cent mètres de hauteur

Mais, si cela est bien de prendre

De la hauteur, vouloir monter

Très haut devient très chaud

Au point de risquer chute.

Je voudrais être oiseau,

Grimpant en les airs,

Survolant  la Terre,

Planant sur  l’eau,

Un oiseau, de feu :

S’envolant où il veut,

Pour s’évader de misère

Qu’il voit trop sur la Terre.

VOUDRAIS ÊTRE

Mes ailes déployées

Prendraient de l’envergure

Avec ma vie, au fur et à mesure,

Et me procureraient moyens d’aimer,

Visiter lieux que je n’ai pas découvert,

Rencontrer les gens chez eux au vert

Et toujours, partir … sans se fuir,

Pour être bien  …  pour en finir.

Que je sois cormoran ou pétrel

Cigogne ou bien rose flamant,

Qu’importe,  si j’ai leurs ailes,

Migrant du sud au printemps

Et sillonnant  des campagnes,

Survolant mers, et montagnes,

Pour rejoindre  ancien lieu-dit,

Pour y refaire, à deux, leur nid.

UN OISEAU

Lit d’amour des petits,

Pour les nourrir sans façon,

En fond de lac nous plongerons,

Pêcherons ensemble, compagnons,

Notre vie sera, de nature, toute faite,

Les jours assureront survie et fêtes,

Humains, jamais, ne se posent,

DANS LES AIRS 

Ne pas compliquer choses.

En battant des ailes  … j’irai

Partout où, d’être, je choisirai,

Ma liberté surveillée, non prison,

Ma cage ayant pour limite l’horizon,

J’ai volé cette poésie à l’amante chérie

Qui me l’a fort inspirée, à qui je la dédie.

.

.

Forme

Réduction.

.

Évocation 

.

744 4

.

En fait d’oiseau,

Cela  ressemblerait

Plutôt  à  bombarde

Qui crève l’air avec son

.

Bombarde comme instruments musique

est loin d’être comme oiseau dans les airs

même si son chant peut, parfois, l’évoquer

sa forme ne correspond en rien au fond.

.

Qu’y aurait-il de comme entre des oiseaux

Et une bombarde :

Rien sauf qu’éperviers, quand on chasse,

On les bombarde aussi !

.

Symbolique 

.

Connues dès la plus haute antiquité

Et dès le moyen âge, la cornemuse

Et la bombarde, auront très vite

Pris racine  dans les pays bretons.

.

Au gré  des évolutions  techniques,

Modes musicales, pressions sociales

Et des grands évènements historiques,

Le couple  bombarde-biniou est devenu,

L’expression de certaine culture populaire.

.

Culture puisant sa force  en la tradition orale,

Rayonnant des cours de ferme au cœur des bourgs,

Des grèves à la lande, de la Basse Bretagne à péninsule.

Modifié, source : mesgenealogies.blogspot.com/2013/07/la-bombarde.

.

Descriptif

.

744 – Voudrais être un oiseau dans les airs  

  Alignement central    /  Titre  intercalé  /    Thème  oiseau

Forme droite  /    Rimes égales    /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bombarde / Symbole de fond : épervier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Qu’y aurait-il de comme entre des oiseaux

Et une bombarde :

Rien sauf qu’éperviers, quand on chasse,

On les bombarde aussi !

.

Symbolique de fond

 .

Dans le Dictionnaire des symboles

De Jean Chevalieret Alain Gheerbrant,

On découvre que : « Dans notre langage,

L’épervier est symbole d’usure, de rapacité,

Comme la plupart des oiseaux de même espèce,

Aux serres crochues. Du fait que la femelle est

Plus forte, plus habile que le mâle, symbolise

Aussi le couple où la femme domine.

.

On se souviendra qu’en fonction des

Mœurs de l’époque, le port de l’épervier

Sur le poing fut autrefois un signe

De noblesse et de distinction diem faucon.

Oiseau chasseur et agressif,

Désigne aussi le pénis.

Luminessens.org/post/2017/01/14/lepervier

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

On  voit et  on entend

Rarement en faire autant

De bruit avec un instrument,

Si petit qu’on le mettra en poche

Tout comme  un tout petit  oisillon,

Crie après sa mère comme un sourd.

.

Un épervier crie autant, pour sa taille

Quand on rêve d’être un oiseau en l’air,

Ce n’est chant qui nous attire : son vol

Surtout quand il est haut et planant

Permet contempler les paysages.

 .

.

En un vol plané, planant

.

Scénarios

.

Quand certains rêveraient d’être un aigle, ou  un oiseau de proie,

autres rêvent d’être chef d’orchestre, ou scénariste,  ou réalisateur,

je rêve d’être oiseau fantasque, mythique, fantastique, chimérique !

 .

Visuels et textuels   >>

743 – Des temps forts suivis de temps morts !

Visuels et textuels  >>

.

Temps forts suivis

Par temps  morts

On ne peut rester

Trop longtemps

Sur les crêtes

Des   nerfs

Sans un

Re-pos

Marqué

Avant de

Re-prendre

Toute activité

Avec  gros  effort.

.

L’alternance de temps

Nécessaire indispensable

Autant à  activité, qu’à rêve,

Comme  toute pulsation de vie,

Qu’elle soit vibrante,  soit  vivante.

.

Comment rester sur le fil quand il se profile

Pics d’émotions mettant nos corps en vibration,

Invisible à l’intérieur quand indicible à l’extérieur

Tout vacille quand sexe, indocile en l’âme, se faufile,

Lors explose sensations de grands frissons à l’unisson,

Gonflées par fusion postérieur autant que par œil rieur.

.

La vie s’écoule,  amants  se roulent  sont en pleine houle,

Vient le moment où à contre temps, en plein firmament,

Temps qui s’arrête de conter fleurette à ses amourettes

Chacun se sépare chacun s’écarte  chacun s’écroule

En repliements, étourdiments,  remerciements

Nos interprètes   de l’amour      font retraite.

.

Temps s’est distordu comme en corps nus,

Place au temps mort  au plein de remords,

Et pour recommencer sans jamais se lasser

Faut que ce soit rêve d’être Adam ou Ève !

.

.

Extensions

 .

Temps forts suivis de temps morts :

Mais ne sont pas les mêmes pour tous :

Parfois des repas, parfois sexes, jeux ou arts.

Chacun fait selon ses passions ou ses raisons.

.

Des temps forts  pourront durer  des heures ;

On ne pourrait demeurer sur un temps fort,

Une éternité, temps de penser à une idée,

Le temps de le dire, le temps de l’écrire

Et le temps fort  est  déjà  passé  dans

L’excitation du moment ou relectures,

Modifications ne sont pas aussi créatives.

.

Toute création procèderait d’un temps fort,

Précédé, et, suivi, de différents temps morts

Et  pour son incubation, pour son évolution :

Concentration d’énergie et fluidité de l’esprit,

Activation du corps, tout y est, sauf célébrité !

.

Le rêve est considéré, comme  un temps mort,

Alors  qu’il se révèlera source d’un temps fort,

Au réveil, quand  un scénario  vient à l’esprit.

Les temps forts sont faits pour être partagés

Et ils le sont, d’autant plus, s’ils créent des

Souvenirs se reliant les uns aux autres

Comme ne faisant plus qu’un.

.

Temps fort : exposer ; temps mort,  pause-café,

Encore que le cerveau, lui, continue à chauffer

Temps mort, temps fort est appelé fractionné

C’est le cas en sports, bien d’autres activités !

Jeter un poème, écrit sur le papier ou clavier

Est, sans aucun doute, parmi les temps forts,

Pour autant, modifier, n’est pas temps mort :

La pensée se projette  avant de se matérialiser,

Seul temps mort  est  quand  on a enfin terminé.

.

La vie ne peut être faite que de temps forts,

Le pire serait qu’il n’y ait que temps égaux :

Même ennui tout le temps, quoiqu’on fasse

Serions dans prison, pas couloirs du temps.

.

Les temps forts sont liés à l’activité au défi,

Comportent large part de stress, d’émotions

Et parfois même  d’agitations, palpitations :

C’est son souvenir qui nous les gardera aussi

.

Toute écriture, qu’elle soit textuelle, poétique,

Lors elle jaillit, de son esprit, est un temps fort

Ensuite s’il faut la reprendre, retravailler, fixer,

On considère cela parfois comme temps morts.

.

.

Épilogue

.

Le temps n’aurait rien de linéaire :

Pour autant, il n’est pas circulaire,

Il est fait  de temps morts  et forts,

Alternant  en  éveillé  ou  en  dort !

***

Point de vue  d’activité  conviviale,

Professionnelle, sociale,  familiale,

L’amour serait comme temps mort

Et celui plus personnel, temps fort.

***

Il en est de même lors de créativité,

Temps fort s’il en est, impondérable

Et parfois, en temps mort, enraciné,

Tant il dérive d’inconscient, notable.

***

Cela indiquera qu’il faut respirations

Pour mieux trouver ses inspirations :

Pour qui veut créer son œuvre, sa vie,

Rien n’est inutile ni à jeter,  desservis.

***

Pour finir,  en beauté,  sur temps forts,

Je dirai qu’écrire poésie, l’est pour moi,

Je ne perçois plus le temps espace en soi,

Parfois, le reste me parait être temps mort.

.

.

743 – Calligramme   

 .

Temps forts suivis

Par temps  morts

On ne peut rester

Trop longtemps

Sur les crêtes

Des   nerfs

Sans un

Re-pos

Marqué

Avant de

Reprendre

Toute activité

Avec  gros  effort.

.

L’alternance  T de temps

Nécessaire  E    indispensable

Autant à  M        activité, qu’à rêve,

Comme     P           toute pulsation de vie

Qu’elle       S           soit vibrante,  soit vivante.

.

Comment rester sur le fil quand il       *      se profile

Pics d’émotions mettant nos corps en      F    vibration,

Invisible à l’intérieur quand indicible à        O    l’extérieur

Tout vacille quand sexe indocile en l’âme,         R      se faufile,

Lors explose sensations de grands frissons à        T         l’unisson

Gonflées par fusion postérieurs autant que par     S          œil rieur.

 .

La vie s’écoule,    T     amants se roulent  sont       M  en pleine houle,

Vient le moment    E    où à contre temps, en       O   plein firmament,

Temps qui s’arrête   M    de conter fleurette       R    à ses amourettes,

Chacun se sépare     P      chacun s’écarte        T     chacun s’écroule

En repliements,       S     étourdiments,       S      remerciements

Nos interprètes      *     de l’amour           *       font retraite.

.

Temps s’est distordu                    comme corps nus,

Place au temps mort          au plein de remords,

Et pour recommencer sans jamais se lasser

Faut que ce soit rêve d’être Adam, Ève.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

743 4

.

Vase qu’on pourrait

 Faire  passer  pour

Une  belle  cruche

En temps mort.

 .

Les pleins en ce vase : temps forts

et creux en ce vase : temps morts

ou forme bombée, forme rétrécie,

en tous cas, vase évoque les deux.

 .

Un  temps fort et un temps mort

Sont pareils à cette cruche :

La partie bombée est temps fort ;

Celle rétrécie, temps mort !

 .

Symbolique 

 .

Le temps à travers le temps

Ou le voir à travers la  musique.

«Or, tant les coureurs que les désœuvrés

S’entendent pour qualifier de temps mort

Les temps d’arrêt et les moments d’attente,

Heures creuses où rien ne semble se passer.

Le temps vivant, ce serait   le temps occupé,

Qui court, qui sert, le temps   à toute vitesse;

Le temps qui accélère, ou  le temps qui grise,

Les temps forts que pour les forts, seulement.

.

Et s’ils se trompaient ?   Et si le temps vivant

Était ce temps au ralenti qui s’arrête presque

Quand on prend le temps de vivre, un adagio

Baroque, doux et lent, en vent de soir d’été ?»

agora.qc.ca/chroniques/temps-vivant-temps-mort

.

Descriptif

 .

743 – Temps forts suivis de temps morts  

  Alignement central    /  Titre  cercle  /    Thème  rythme

Forme ronde  /    Rimes égales    /  Fond approché de forme

Symbole de forme : temps-mort / Symbole de fond : temps-fort

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

743 6

.

Un  temps fort et un temps mort

Sont pareils à cette cruche :

La partie bombée est temps fort ;

Celle rétrécie, temps mort !

.

Symbolique 

 .

On  me parle de ce temps mort,

ce sont ses propres mots, de ce temps mort,

Juste avant une improvisation, il est musicien de jazz,

Va-t-il se laisser aller au-delà de la technique

Ou penser et jouer seulement  comme tout le monde .

.

Ce léger laps d’attente évoque la mort indéfinissable

Et  inconnu, cet  arrêt  marque  l’étendue  de  la  vie :

Le débordement pulsionnel installe un vide de penser

Et peut se transmuer en un travail créatif associatif.

cairn.info/revue-libres-cahiers-pour-la-psychanalyse

.

 

Corrélations

Fond/forme 

 .

La France est divisée

« Pot » ou « cruche » ici,

« Broc » ou « carafe » là ?

Mais l’on serait stupide

Tout comme une cruche

Et sourd comme un pot

Pour rester en carafe.

Cela  me parait  plein

De bric  et  de  broc !

Je requiers une pause,

Pour faire temps mort,

Et changer  ces symboles

Pour passer un temps fort !

 .

.

Temps mort de Dali

.

Scénario

.

temps forts et collectif, lors d’un exposé, d’une réunion, conférence,

temps morts,  pause, mis à profit pour échanger, faire autre chose :

temps forts de la journée par définition, les plus limités, concentrés.

 .

Visuels et textuels  >>

.


.

Visuels suggestion de scénario

.

.

temps forts et collectif, lors d’un exposé,

d’une réunion, conférence,

.

.

temps morts, pause, mis à profit

pour échanger, faire autre chose :

.

.

temps forts de la journée par

définition, les plus limités, concentrés.

.


.

Textuels calligramme / extensions

£  +   &   #

  • £  Temps forts suivis par temps morts : on ne peut rester trop longtemps sur les crêtes des nerfs sans un repos marqué avant de reprendre toute activité avec gros effort. L’alternance des deux temps est nécessaire, indispensable, autant à l’activité qu’au rêve, comme toute pulsation de vie, qu’elle soit vibrante, vivante. Comment rester sur le fil quand se profile des pics d’émotions mettant nos corps en vibrations, invisibles à l’intérieur quand indicibles à l’extérieur. Tout vacille quand le sexe, indocile, en l’âme, se faufile, quand explose des sensations de grands frissons à l’unisson, gonflé par fusions postérieurs autant que par yeux rieurs. La vie s’écoule, amants se roulent, sont en pleine houle. Vient le moment où, à contre temps, en plein firmament, le temps s’arrête de conter fleurette à ses amourettes.  Chacun se sépare, chacun s’écarte, chacun s’écroule en repliements, étourdissements, remerciements : les interprètes de l’amour ont fait retraite. Le temps s’est distordu comme les corps nus, place au temps morts ou plein de remords. Pour recommencer, sans jamais se lasser, il faut que ce soit un rêve d’être couple Adam et Eve.

.

  • + Temps forts suivis de temps morts : pas les mêmes pour tous : parfois des repas, parfois sexes, parfois jeux ou arts. Chacun fait selon ses passions, certains selon leurs raisons. Des temps forts peuvent durer des heures ; des temps morts, des jours entiers, sinon l’inverse : le rapport est déséquilibré. On ne pourra demeurer sur un temps fort, toute une éternité. Le temps de penser à une idée, le temps de le dire, le temps de l’écrire et le temps fort est déjà passé dans l’excitation du moment, relectures, modifications ne sont pas aussi créatives. Toute création procède d’un temps fort, précédé et suivi de temps morts pour son incubation, évolution : concentration d’énergie, fluidité de l’esprit, activation du corps, tout y est. Le rêve, considéré, par définition comme un temps mort, l’est parfois à tort quand il se révèle source d’un temps fort, par la suite, au réveil quand un scénario vient à l’esprit. Les temps forts sont faits pour être partagés et ils le sont d’autant plus qu’ils créent des souvenirs qui se relient les uns aux autres comme ne faisant plus qu’un.

.

  • & Temps fort : exposer ; temps mort, pause-café, encore que le cerveau lui, continue à chauffer. Temps mort, temps fort, est appelé fractionné : c’est le cas en sports, bien d’autres activités ! Jeter un poème, écrit sur le papier ou clavier, est, sans aucun doute, parmi les temps forts ! Pour autant, modifier, n’est pas temps mort ! La pensée se projette avant de se matérialiser : seul temps mort est quand on a enfin terminé.

 .

  • # La vie ne peut être faite que de temps forts, le pire serait qu’il n’y ait que temps égaux : même ennui tout le temps, quoiqu’on fasse, nous  serions dans une prison et pas dans les couloirs du temps. Les temps forts sont liés à l’activité au défi, comportent large part de stress, d’émotions, et parfois même d’agitations et de palpitations : c’est son souvenir qui nous les gardera aussi. Toute écriture, qu’elle soit textuelle, poétique, lors elle jaillit, de son esprit, est un temps fort, ensuite s’il faut la reprendre, retravailler, fixer, on considère cela parfois comme temps morts.

 .


 .

Textuels symboliques et corrélations

 .

.

Temps mort

  • Symbolique de forme : Le temps, à travers le temps, ou le voir à travers la  musique. «Or, tant les coureurs que les désœuvrés s’entendent pour qualifier, de temps morts, les temps d’arrêt et les moments d’attente, heures creuses où rien ne semble se passer. Le temps vivant, serait le temps occupé, qui court, qui sert, le temps  à toute vitesse, le temps qui accélère, ou  le temps qui grise. Les temps forts que pour les forts, seulement. Et s’ils se trompaient ? Et si le temps vivant était ce temps au ralenti qui s’arrête presque quand on prend le temps de vivre, un adagio baroque, doux et lent, en vent de soir d’été ?»     agora.qc.ca/chroniques/temps-vivant-temps-mort

.

Temps mort

  • Symbolique de fond : On me parle de ce temps mort, ce sont ses propres mots, de ce temps mort, juste avant une improvisation, il est musicien de jazz, va-t-il se laisser aller au-delà de la technique ou penser et jouer seulement comme tout le monde ? Ce léger laps d’attente évoque la mort indéfinissable et inconnue, cet arrêt marque l’étendue de la vie. Le débordement pulsionnel installe un vide de penser et peut se transmuer en un travail créatif associatif. cairn.info/revue-libres-cahiers-pour-la-psychanalyse

 

Temps fort > division, pause, temps mort, symboles

  • Liens fond/forme: La France est divisée en « pot » ou « cruche » ici, « broc » ou « carafe » là ? Mais l’on serait stupide tout comme une cruche et sourd comme un pot pour rester en carafe. Cela me parait plein de bric et de broc ! Je requiers une pause, pour faire temps mort, et changer ces symboles pour passer un temps fort ! 

742 – La belle distorsion du temps des amants !

Visuels et textuels >>

.

Le temps est

Pure   notion,

Ou  objective,

Ou subjective

Poly-sémique.

Celui d’amant

Est spécifique

Du  fait  qu’il

Vit  en   bulle.

.

Il se tord, se retord

Ou encore,  se distord,

En fonction de sensations,

Bien plus que fonction mort

Ne pouvant mettre fin passion

Dévorante, voire chronophage,

En tous cas toute  en illusions.

.

Temps s’étire et plus il se tire,

Temps soupire, plus il expire

Temps secrète bel air de fête,

Temps s’arrête et j’ai l’air bête.

.

Veux dormir pour  mieux m’embellir,

Tant la nuit, je rêve  enfin de m’épanouir

Lors bête à deux dos  en peau contre peau,

En bête deux faces   en laissant ses traces

Sur grand lit blanc sur mes tourments,

Pour qu’il fasse  pour qu’il refasse

Saut l’arrière   et saut devant.

.

À ce tempo   de mon dodo

Belle fenêtre  que je pénètre

En ouvertures puis fermetures

En mouvements juste pour temps

De bien paraître  ou de mieux être,

Longue… armure, profond murmure,

Et à tous instants,  les rendra excitants.

.

.

Extensions

 .

Une distorsion du temps d’amants :

«Mon Dieu, il est déjà cette heure-là,

Il faut que je file, je suis  en retard. »

Cela se dit après  évidemment : avant,

Plus encore pendant, le temps n’existe

Plus vraiment en tête nombre amants.

.

Autre distorsion du temps d’amants :

«Je  suis  arrivé  une   heure  en avance

À mon rendez-vous,  tellement j’avais

Peur de le manquer   ou ne pas savoir

Où me garer, jusqu’à le ou (la) rater.»

Cela ne se fait pas  pour un rendez-vous

À Pôle Emploi ou chez autre employeur :

Question de priorité, à gérer, pour la vie.

.

Autre distorsion  du temps  des amants :

«J’ai égaré  ma montre,    mon  téléphone,

Si fait je ne regarde,  ne sait pas l’heure,

Si fait que je ne réponds plus personne.»

Cela veut dire que l’extérieur, clairement,

N’a plus aucune espèce d’importance tant

Que l’on est, reste en présence de l’amant.

.

Et autre  distorsion  du temps  d’amants :

«L’on ne devait pas diner  chez des amis !

Ce soir ils peuvent attendre longtemps

Cela se transforme en coup de téléphone

Pour  annoncer  un  empêchement  de

Dernière  minute, ou  de la migraine

Carabinée pour s’excuser de n’avoir

Pas eu le temps de décommander.

.

Que le temps se distorde, s’accélère, s’arrête, se ralentisse,

Rien de plus normal

Il est perçu ainsi, dans un déroulement subjectif, non lisse,

Comme pour un animal.

Même s’i l’on en fait rien, le temps passera et notre cerveau

De toute façon nous rappellera

Qu’il faut manger, qu’il faut s’activer, et qu’il faut dormir,

Pour les amants, qu’il faut en finir.

.

Il existe encore des gens à notre époque

Qui n’ont pas de montre ni de smartphone :

On se demande comment ils évaluent le temps.

Chacun sait que nous avons une « horloge interne »,

Biologique pour les passages de jour à sommeil de nuit

Mais pour chaque heure et prendre ses repas : comment !

Quand le corps réclame à manger, quand le sommeil gagne :

Mais on n’est pas des chats et l’on n’est pas non plus des poules

Nous faut croire que notre cerveau distord le temps à notre profit

.

.

Épilogue

.

Il n’y a pas que le temps qui se distord,

Qui se réduirait ou qui se perpétuerait,

Il y a aurait aussi l’espace où l’on dort,

En bras du partenaire qu’on aimerait !

***

Temps des amants est temps présent,

En concentré chaque minute passant

Absents  de tous les bruits ambiants,

De tous les espaces …  environnants.

***

Point  besoin  d’horloge, balancier,

Ni même de jour  ni de calendrier,

Répétitions actes sexuels suffisant

À gommer le temps : rendu néant.

***

Distorsions vécues, de l’intérieur,

L’amour se pointe  à l’improviste,

Et il montre  qu’encore on existe,

Gommant une action extérieure !

***

On bouge, se tord à raison ou tort,

On en perd le Sud et puis le Nord :

L’amour est tout  sauf temps mort,

Surtout  quand il agit  au plus fort !

.

.

742 – Calligramme  

 .

Le temps est

Pure   notion,

Ou  objective,  

Ou subjective 

 Poly-sémique.

 Celui d’amant

 Est spécifique

Du  fait  qu’il

 Vit  en   bulle.

.

****************

*****************

.

Il se tord, B se retord

Ou encore,    E   se distord,

En fonction     A    sensations,

Bien plus que   U fonction mort

Ne pouvant met X   tre fin passion

Dévorante, voire  *      chronophage,

En tous cas toute  A         en illusions.

Temps s’étire        M          plus se tire,

Temps soupire       A         plus il expire

Temps secrète         N         bel air de fête,

Temps s’arrête         T        et j’ai l’air bête.

Veux dormir pour      S      mieux m’embellir,

Tant la nuit, je rêve       *      enfin de m’épanouir

Lors bête à deux dos       D       en peau contre peau,

En bête deux faces      I     *    U    en laissant ses traces

 Sur grand lit blanc  S         *         *   sur mes tourments,

Pour qu’il fasse   T              *            T  pour qu’il refasse

  Saut l’arrière   O   *  *  *  O  *  *   *  E    et saut devant.

  À ce tempo    R               *              M     de mon dodo

Belle fenêtre   S            *            P  que je pénètre

En ouvertures      I     *    S     puis fermetures

En mouvements        O        juste pour temps

De bien paraître       N       ou de mieux être,

 Longue… armure       *       profond murmure,

 Et à tous instants        *         le rendra excitant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

742 4

.

Une silhouette

 D’un couple fusionnel

 Sinon  horloge  comtoise 

Datant de   son   grand   temps ?

L’horloge mesure et indique le temps,

Est en phase  avec celui  qui le consulte :

Le tic-tac du balancier sert de métronome,

Tant et si bien que la forme épouse le fond

Temps d’horloge des amants est bien

Plus distordue qu’une heure exacte,

Avec distorsion du temps subjectif,

Par  rapport  au  temps dit  objectif !

  .

Symbolique 

 .

Cet objet familier a été d’emblée

Très chargé de symbolisme et les

Hommes ont projeté sur l’horloge

Tous questionnements quant au temps.

.

Le temps en états, quantitatif et qualitatif,

Le temps qui passe, le temps qui presse,

Le temps qui fuit, le temps de l’oubli,

La marque du  temps … l’horloge

Scande chaque étape de la vie,

Par  ses  coups  horaires  et  son

Tic-tac nous encourage à l’activité.

.

Regarder une heure  à une horloge :

Quand on a retenu l’heure, c’est mieux

Mais  pas fondamental. L’horloge invite

À respecter  des étapes, à ne rien négliger

Dans ses affaires privées ou professionnelles

Pour obtenir résultats, faute de quoi, c’est l’échec.

wikireve.fr/dir/2422-horloge

.

Descriptif

 .

742 – Bons amants et distorsion du temps

  Alignement central   /  Titre  cercle  /   Thème  amants

Forme courbe  /  Rimes égales    /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : horloge /   Symbole de fond : temps

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

742 6

.

Horloge des amants est bien

Plus distordue que l’’heure exacte

Avec distorsion du temps subjectif,

Par  rapport  au  temps  objectif !

.

Symbolique

 .

La montre, l’horloge et la pendule

Symbolisent  une  prise  de  conscience

Sur le temps qui passe, la montre insiste

Sur  le mot « montrer », ton  rêve  vient  te

Montrer qu’il est temps d’agir et d’analyser

D’où viennent tes blocages qui t’empêchent

D’accepter la transformation  dans ta vie.

Elle symbolise  les cycles  qui se répètent

Dans une vie, des histoires qui dans les

Grandes lignes se ressemblent, toutes

Rythment le flux de notre quotidien.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles

-de-reve/horloge-pendule-montre

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le temps est ce qui nous manque toujours,

On a beau faire il nous manquera des jours,

Il est une chose qui  prend du temps : l’amour

Pour certains, trop et pour d’autres pas assez !

Quand on tient bien à quelqu’un, quelque chose,

L’on trouverait souvent du temps à lui consacrer

Ce n’est pas le temps qui manque, c’est l’agenda,

Et ceux qui n’en n’ont pas, ou plus, s’ennuieront

Le temps ne se distord pas, il vous dévorera

Le temps, toute votre vie vous retardera,

Votre dernière heure ne vous oubliera.

 .

.

Temps de l’un, pas autres !

.

Scénario

.

À midi, pour l’amour, si permis ; à minuit, si l’amour est un crime,

quand l’on se trompe, ou mélange les deux,  temps se distord ainsi,

mais ma mécanique a perdu l’heure,  elle tournera pour elle-même.

.

Visuels et textuels >>

741 – S’allier pour faire quelque chose ensemble

Visuels et textuels >>

.

S’allier en un projet commun :

Quoi de plus banal, commun,

Toujours, avancer ensemble,

Et, dans la même direction,

Est mieux que  de s’éloigner

Ou… ne plus communiquer.

.

Banalité, évidence, tout cela :

Pourquoi les gens ne le font pas

Et, si l’on ne fait pas tout ensemble,

Au moins, choses auxquelles on tient,

Renforcent couple, du moins le soutient

Choses qui nous ressemblent, rassemblent.

.

Et lors de s’allier

Pour  faire  ensemble

Voilà parcours, me semble,

D’amoureux voulant faire route

En vue de s’extraire  de leurs doutes,

Sur leurs prétendues    belles intentions.

 .

Mais il faut faire très  attention

Car la voie est, très dure,  instable,

En dépit de moments forts agréables,

Qui nous rapprochent,  nous ressoudent,

Le lien est rompu dès que l’un d’eux boude.

.

Car ce n’est plus l’autre, que l’on aperçoit,

Mais son image, enfin celle que l’on croit

Comme en miroir, l’un et l’autre se voit,

Le moindre flou ou la moindre ombre

Viendront ternir les visages sombres.

.

Car tel est bien l’effet cristallisation

Qui, d’une branche, jetée sur le sel,

Rassemblera tant d’éclats sur elle

Au point  de masquer sa vision.

.

L’envol d’essai des amoureux

Est fait de pleins et de creux

Certains le trouvent joyeux,

Lorsque d’autres : ennuyeux

 .

Voler, survoler puis  convoler,

En justes noces ou en juste ciel

S’apparente à la…. Lune de miel

En forçant à s’aimer, ou à tomber.

.

.

Extensions

 .

S’allier pour une chose ensemble,

Quelque chose de simple, de naturel,

Beau, de grand  et voire d’exceptionnel.

Qu’importe le but premier, atteint ou non,

Tant ce dernier évolue en cours de parcours :

C’est le processus qui compte, lui qui se nourrit

D’énergie qu’on dépense, repense, compense

Par un soutien sans faille. Un enfant !

Mais ce serait vous qui le seriez

Si vous ne pensiez pas déjà

À son éducation,  à son avenir,

Insertion en famille, école, société.

.

Faire quelque chose ensemble, que ce soit utile ou pas

Est le premier pas

Vers la longévité d’une rencontre qu’on aime ou pas

Un projet est canevas

Où s’inscrit la capacité, de chacun, à s’allier ou pas

Avec celui on connait pas

Surtout quand l’échange verbal ne suffit pas

À jauger l’autre en tous cas.

.

Parmi les choses que l’on peut faire ensemble,

La liste peut être très courte ou très longue :

Habiter ensemble,   construire sa maison,

Élever ses enfants,  travailler ensemble,

Sont les plus  communes, minimales.

.

Auxquelles l’on peut bien rajouter :

Voyager, et prendre mêmes loisirs

Voir et recevoir les mêmes amis

Partager ses soins,  ses soucis,

Et beaucoup d’amour, au lit.

.

Grande passion commune,

Pour une cause,  à la une,

Garde des petits enfants

Et le reste, à l’avenant !

.

.

741 – Calligramme  

 .

S’allier en un projet commun :

Quoi de plus banal, commun,

Toujours, avancer ensemble,

Et, dans la même direction,

Est mieux que  de s’éloigner

Ou… ne plus communiquer.

 .

Banalité, évidence, tout cela :

Pourquoi les gens ne le font pas

Et, si l’on ne fait pas tout ensemble,

Au moins les choses auxquelles on tient,

Qui renforcent couple, du moins le soutient :

Des choses qui nous ressemblent, rassemblent.

.

*****************************************

*****************************************

.

S’allier

Pour faire  P  ensemble

Voilà parcours  R   il me semble,

D’amoureux vou   O  lant faire route

Afin de s’extraire     J    de leurs doutes,

Sur leurs prétendues  E  belles intentions.

      T

Mais il faut    S       faire très       P   attention

Car la voie     ‘        est très dure,     O    instable,

En dépit     A      de moments forts  U   agréables,

Qui nous   L  rapprochent et nous   R   ressoudent,

Le lien est   L   rompu dès que l’un  *  d’eux boude.

Car ce n’est   I   plus l’autre que    F   l’on aperçoit,

Mais son image E    enfin celle  A   que l’on croit

Comme en miroir R     l’un,    I   l’autre se voit,

Le moindre flou      *  la    R  moindre ombre

Viendront ternir        E    visages sombres.

Car tel est           *   l’effet cristallisation

Qui d’une       E branche jetée sur sel,

Rassemble  N   tant d’éclats sur elle

Au point  S  de masquer sa vision.

L’envol   E  d’essai des amoureux

Est fait   M de pleins et de creux

Certains  B    le trouvent joyeux,

Lorsque   L  autres,  ennuyeux

E …………

Voler, survoler   puis  convoler,

En justes noces ou en juste ciel,

S’apparente à la …. Lune de miel

En forçant à s’aimer, ou à tomber.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

741 4

.

En haut, chapeau de cheminée

En bas, un conduit avec son foyer.

On peut y voir une soupière profonde,

J’y verrais  plutôt  une bonbonnière !

 .

Bonbon et bonbonnière s’accordent

mais pas avec s’allier ensemble pour

en tous cas pas pour les amoureux

et ainsi la forme diffère du fond.

.

Bon  bonbon, bonbonnière,

Riche tout de même, c’est une affaire :

Attention au piège, bonbons

Sont très sucrés et nocifs pour la santé.

.

Symbolique 

 .

La bonbonnière

Est d’origine italienne où la tradition,

Lors d’un mariage, veut que les jeunes mariés

Offriront un petit présent, à chaque convive,

Ou à tous ceux qui leur ont présenté leurs

Vœux, et voire, offert  un  cadeau.

Petit présent, également offert

À  l’occasion  d’un   baptême

Ou bien d’une communion,

Reste confectionné  dans

Petit morceau de  tulle

Ou de soie entouré de

Ruban  et  contenant,

Des  dragées  et  carte

Rappelant cet évènement.

Wikipédia : bonbonnière

.

Descriptif

.

741 – S’allier pour faire projet ensemble

  Alignement central   /  Titre  serpente  /   Thème  projet

Forme conique  /  Rimes égales    / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bonbonnière / Symbole de fond : bonbon

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

741 6.

.

Bon  bonbon, bonbonnière,

Riche tout de même, c’est une affaire :

Attention au piège, bonbons

Sont très sucrés et nocifs pour la santé.

 .

Symbolique de fond

 .

Un bonbon, c’est délicieux,

Mais c’est avant tout un morceau de sucre.

L’OMS recommande de ne pas dépasser 50 g

De sucres par jour, l’équivalent de 8 bonbons.

.

Lors d’Halloween, le 31 octobre dernier,

Enfants s’en sont donnés à cœur joie

En collectant bien des friandises.

.

Le problème : elles ne sont pas

Composées uniquement de sucre.

Ils sont également constitués d’additifs

Dont certains peuvent se révéler néfastes

Pour la santé ; notamment ceux qui pétillent

Dans les bouches : ils sont bourrés  d’un  additif

Très concentré qui attaque l’émail dents et estomac.

tf1info.fr/sante/les-bonbons-sont-ils-

si-mauvais-pour-la-sante-2069336

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Bon, bon, on ne va pas en faire

Toute une bonbonnière d’alliance

Matrimoniale, semi commerciale,

Mais juste garder la dragée haute,

Pour que l’alliance ne périclite pas,

Et il y a de quoi faire en la matière,

Tellement certaines sont prenantes,

Comme  éduquer enfants, ensemble,

Et jusqu’à leur propre mariage, etc.

L’amour demeure une alliance pour

Construire quelque chose, ensemble,

Si ce n’est en plus, quelqu’un, enfant

Mais à condition de bien s’entendre.

 .

.

Faire tout ensemble !

.

Scénario

.

Faut faire n’importe quoi qui nous passionne et nous rend utile

ca peut être aussi construire son propre nid, maison commune,

ou son jardin, qu’on dessine, plante, cultive, entretient à deux

 .

Visuels et textuels >>

353 – A cinq ans, il rêvait d’une cabane en bois

Visuels et textuels  >> 

.

Il y a bien longtemps,

Une époque… lointaine,

Où les hommes vivaient,

En parfaites… harmonies,

Où  les arbres,  et les gens,

Parfois,   se mélangeaient :

Et lors   morts  en hommes,

En  arbres,  ils   revivaient !

.

Aujourd’hui,   ils ne  parlent

Plus … sauf, à  ces  enfants,

Construisant  leur  cabane,

Et cela,  afin de perpétuer,

Leurs légendes  …  de fées

Lors demeurant les seuls

À pouvoir les … décoder.

.

Il en est, ainsi, d’enfants,

Qui, à l’âge  de  cinq  ans,

Imagine  monde parallèle,

En images, où  … vos amis,

Voire des ennemis invisibles

Menacent, ou bien défendent,

Sa cabane devenue très visible.

.

^

Oui

À cinq ans,

On rêve de cabane

En bois, branche,  tronc,

Où l’on s’amuse, ou se pavane,

Se sent chez soi,  se fait son nom.

.

Facile à dire  mais bien moins à faire,

À cinq ans, il n’y a rien qui aille de soi,

Il faut déjà l’appuyer sur quelques bois,

Sinon elle risque de tomber vite, à terre.

Il faut manier, couteaux, liens, marteaux,

Pour assembler, solidement, la structure.

.

Se faire un plancher avec  toit de verdure,

Un lit, un siège,  une   table, un feu, haut.

Ne pas oublier de se ménager  une porte,

Petit cadre  sur  un  pignon, sur  un côté,

Petite fenêtre pour faire de l’air, circuler,

Râtelier d’armes, pour chasser cloportes.

.

Entrez donc pour vous mettre  à l’ombre,

En forêt qui vous   accueille  et   entoure,

Il n’y a pas de meilleur  endroit  sombre,

Pour vous reposer des misères des jours.

Fermez  les  yeux,    devenez     écoutants

Éternels chants  dits discrets   de la forêt

Vous faites parties intégrantes à présent

Des magies de leurs  murmures,  secrets.

.

.

Extensions

.

Une cabane ou la première habitation

De l’homme après avoir quitté la caverne,

Celle de l’enfant après avoir quitté berceau !

À cinq ans, il est trop jeune encore pour

Se la bâtir, et solidement, tout seul.

.

Aussi profitera-t-il de la présence

Disponibilité et savoir d’un père

Ou grand-père pour s’y essayer

En lisière  d’une  forêt  qui  lui

Fournira tout bois nécessaire.

.

Il y a toutes sortes de cabanes,

Certaines, haut perchées en arbre,

D’autres, demi enterrés en sous-bois :

Chacun selon ses moyens et ses fins.

.

Mais une fois celle-ci construite,

Une autre tâche commencera,

Celle de la meubler, l’habiter,

Et ensuite celle de la défendre,

Pet ensuite celle de la faire évoluer

La détruire pour construire une autre.

Microcosme du monde adulte en somme.

.

La part d’enfance comprise dans l’idée même

Que l’on se fait, aujourd’hui, en nous, de la cabane

 Est sans doute un exceptionnel support à l’imaginaire.

Cette unité minimale est le point de départ à l’expression

D’une création plastique, et voire artistique, qui prend

En compte questions d’espace, de lieu, de fonction

Comme des besoins, désirs de l’être humain.

Inspiré par habiter-autrement.org

.

Achèvement

#

«Ma cabane au Canada
Est blottie au fond des bois
On y voit des écureuils
Sur le seuil
Si la porte n’a pas de clé
C’est qu’il n’y a rien à voler
Sous le toit de ma cabane au Canada
Elle attend, engourdie  sous  la neige,
Elle attend le retour du printemps.»

.

Une belle chanson de Line Renaud

C’est le retour en une pleine nature

Et cela ne manque pas au Canada,

Au point que chacun a la sienne.

 

.

353 – Calligramme

 .

Il y a bien longtemps,

Une époque… lointaine,

Où les hommes vivaient,

En parfaites… harmonies,

Où  les arbres,  et les gens,

Parfois,   se mélangeaient :

Et lors   morts  en hommes,

En  arbres,  ils   revivaient !

Aujourd’hui,   ils ne  parlent

Plus … sauf, à  ces  enfants,

Construisant  leur  cabane,

Et cela,  afin de perpétuer,

Leurs légendes  …  de fées

Lors demeurant les seuls

À pouvoir les … décoder.

Il en est, ainsi, d’enfants,

Qui, à l’âge  de cinq  ans,

Imagine monde parallèle,

En images, où  … vos amis,

Voire des ennemis invisibles

Menacent, ou bien défendent,

Sa cabane devenue très visible.

^

Oui

À cinq ans,

On rêve de cabane

En bois, branche,  tronc,

Où l’on s’amuse,   ou se pavane,

Se sent chez soi,    *    se fait son nom.

Facile à dire  mais  À   D bien moins à faire,

À cinq ans, il n’y a       *        ‘  rien qui aille de soi,

Il faut déjà l’appuyer    C             U       sur quelques bois,

Sinon elle risque de       I                    N     tomber vite à terre.

Il faut manier, coute      N                       E    aux, liens, marteaux,

Pour assembler, solide    Q                           *        ment, la structure :

Se faire un plancher          *                               C      avec  toit de verdure,

Un lit, un siège,  une      A                                     A      table, un feu, haut.

Ne pas oublier    N          se ménager          B       une porte,

Petit cadre sur   S          un pignon, sur       A         un côté,

Petite fenêtre     *           pour faire l’air,       N       circuler,

Râtelier d’ar       I          mes pour chasser     E     cloportes.

Entrez donc       L         pour  vous mettre     *     à l’ombre,

En forêt qui       *         vous   accueille  et      E       entoure,

Il n’y a pas         R        de meilleur  endroit    N       sombre,

Pour vous          Ê        reposer des misères     *     des jours.

Fermez              V        les yeux,      devenez     B    écoutants

Éternels             A       chants  dits discrets     O   de la forêt

Vous faites        I         parties    intégrantes    I    à présent,

De magies         T        de leurs   murmures     S        secrets.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

353 4

.

En haut, une haute cheminée ;

Et en bas, une cabane en bois !

À moins que ce ne soit chapelle

Avec un très très grand clocher.

.

Cabane et chapelle vont bien ensemble

une grande cabane ou petite chapelle

tant dans les deux, l’on se recueille :

ainsi forme correspond au fond.

.

Cabane en bois en forêt, quel enfant

De cinq ans n’en rêve pas :

Jamais très compliquée à construire,

 Et toujours… comme chapelle

.

Symbolique de forme

.

Construire une cabane

Demeure un rêve d’enfant

Elle place l’enfant, au cœur

De tout  son  environnement,

Et, souvent, en  pleine  nature.

.

C’est un abri, de bric  et de broc,

Patiemment construit durant l’été

Au fond du jardin, pour se réfugier,

Jouer et rêver ou bien  carton géant

Détourné de sa fonction d’emballage.

.

Planté, dans la chambre, font partie

Des grands classiques de l’enfance,

Une sorte de petit espace à soi

Dans le grand tout que constituent

L’appartement, la maison familiale.

habiter-autrement.org/08.minimaliste

.

Descriptif

 .

353 – A cinq ans : rêvant de cabane en bois

Alignement central  /  Titre analogue  /  Thème  habitat

Forme oblique    / Rimes égales  /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : cabane    /  Symbole de fond : chapelle

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

En haut, une haute cheminée ;

Et  en bas,   une cabane   en bois !

À moins que ce ne soit une chapelle

Avec un très très grand clocher.

.

Symbolique 

 .

Chapelle

Est souvent

Au centre bourg

Ou la ville, au cœur

D’un quartier souvent le

Plus ancien, donc  au cœur

De l’histoire  de  communauté

La forme  de l’édifice : souvent en

Forme de croix, avec la nef et le chœur

Coupés par transept figurant les bras du

Christ en croix. Clocher  signale  l’église.

.

Le tintement  des cloches  convoque au

Rassemblement dominical et annonce

Toutes les étapes de la vie chrétienne

On  pourra, en certains, lieux, noter

Aussi l’angélus du matin et du soir.

Sitecoles.enseignement-catholique.fr

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une petite cabane aura toujours été

Un lieu propice au rêve, imaginaire

Souvent cachée  au fond des bois,

Elle est en contact avec la nature

Chasse  et  cueillette  dans les bois

Et, aujourd’hui, en construire une

Serait s’intégrer pour s’y remettre

Sous forme de jeu et non nécessité

Pour se protéger comme caverne !

 .

.

Une cabane de sorcière

.

Scénario

.

 Une cabane construite en une heure, des plus simples et précaires.

Une cabane plus grande, plus élaborée construite  en deux jours.

Cabane servant de refuge aux chasseurs pour casser la croute.

 .

Visuels et textuels  >> 

1117 – Et si l’amour n’était qu’un rêve, hallucination !

Visuels et textuels  >>

.

Si amour n’est qu’hallucination

Alors la vie, même la mort, autant.

Formulée, ainsi, la messe  est dite :

Vérité dont personne  n’en profite.

.

Je ne parle pas  d’amour physique

L’un en l’autre, réciproquement

Nos sens ne  nous abusent pas,

Le plaisir  est bien présent là.

.

Mais,  l’amour   dans  l’âme,

Amour  de l’âme  de l’autre

Je n’en dirais pas  autant,

Même le croyant vivant.

.

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

Ou une hallucination, irréalité : trêve

De plaisanterie, ailleurs que sur terre,

Quelque part en un ciel…sans misère.

.

Comme je me sens bien, suis heureux,

Pour le dire, faut encore avoir souffert,

L’extase n’est pas ce. .. nouvel univers,

Où suffit d’être deux, d’être amoureux.

.

Descend sur Terre : tu n’es pas un ange,

L’amour n’est qu’une folie…passagère :

Reviens vite en ce monde … où tu erres,

À sa recherche, pour le perdre en fange.

.

Amour est une maladie jusqu’à la mort

De soi-même …  quand la vie de l’autre

Est beaucoup plus pour vous, que vôtre,

Est unie en un même temps même sort.

.

Tout le monde … ne serait-ce qu’un jour,

Se devrait connaitre un tel état d’amour

Quel que soit la souffrance pour y arriver

Et celle qui se produira, une fois tombée.

.

Toucher du doigt les étoiles de l’éternité,

Est un cadeau des dieux pour l’humanité

Et entre vous et l’autre cet espace existe,

Faut y croire pour, qu’en vous, il persiste

.

Et qu’il ne vous lâche plus comme frappé

Par la foudre d’éclair vous rendant habité

Par une force qui va et ne vous quitte pas,

Tout devient rêve en vous jusqu’au trépas.

.

.

Extensions

 .

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

Une hallucination de plus, tout comme

Dans le « mythe de la Caverne »  de Platon

Mais sensations, émotions, passions, déraisons,

Constructions qui en émanent nous occupent bien.

C’est déjà ça, car à quoi me servirait  une montagne

D’argent  si je n’en  retire pas  l’émotion, susceptible

De suffire à mon bonheur ou  si attrait et séduction,

Pour une charmante personne, ne me coutent rien,

Lors si elle est réciproque, elle me rapporte joies.

L’amour est un rêve que l’on concrétise à deux,

L’amour est un rêve qui nous rend heureux ;

L’amour est un rêve qui nous consolerait

D’être seul au monde, malheureux !

.

 «La forme, pas les formes», disent les vendeurs de régime

Les idées sont bonnes, il ne reste qu’à les mettre en forme,

La forme déteint sur le fond autant que fond sur la forme.

En matière de fond, pas de limites ; en forme, des normes

En amour  y-at-il besoin de formes pour exprimer le fond

Et si la forme n’a de fond, c’est qu’il s’agit d’hallucination

Ainsi en déclaration d’amour, il faut y mettre les formes,

Tout en mettant à l’épreuve, rêve, en matière de réalité.

.

L’amour serait un rêve qui se réalise, parfois,

Quand il échoue, il était fruit d’une illusion,

Mais quand il est projeté, sans se réaliser,

Il peut constituer comme hallucination.

Hallucinations visuelles, je l’ai aperçu

En la foule, il ne m’a pas remarqué

Vérification faite, il n’y était pas

Hallucinations … auditives

J’ai entendu sa voix :

Ce n’était pas …  lui.

Non mais  dites-moi,

Je rêve toujours de lui,

L’amour serait-il un rêve,

Ou je rêve, sur lui, d’amour !

.

.

1117 – Calligramme

 .

E T     S  I

Si amour n’est qu’hallucination

             Alors la vie, même la mort, autant.

          Formulée, ainsi, la messe  est dite :

       Vérité dont personne  n’en profite.

     Je ne parle pas  d’amour physique

  L’un en l’autre, réciproquement

 Nos sens ne  nous abusent pas,

Le plaisir  est bien présent là.

Mais,  l’amour   dans  l’âme,

Amour  de l’âme  de l’autre

Je n’en dirais pas  autant,

Même le croyant vivant.

L’A M O U R   N’ É T AI T

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

    Ou une hallucination, irréalité : trêve

       De plaisanterie, ailleurs que sur terre,

         Quelque part en un ciel…sans misère.

.

               Comme je me sens bien, suis heureux,

                 Pour le dire, faut encore avoir souffert,

                  L’extase n’est pas ce. .. nouvel univers,

                     Où suffit d’être deux, d’être amoureux.

.

                          Descend sur Terre : tu n’es pas un ange,

                            L’amour n’est qu’une folie…passagère :

                               Reviens vite en ce monde … où tu erres,

                                 À sa recherche, pour le perdre en fange.

.

                                 Amour est une maladie jusqu’à la mort

                                De soi-même …  quand la vie de l’autre

                                Est beaucoup plus pour vous, que vôtre,

                              Est unie en un même temps même sort.

.

                             Tout le monde … ne serait-ce qu’un jour,

                         Se devrait connaitre un tel état d’amour

                        Quel que soit la souffrance pour y arriver

                     Et celle qui se produira, une fois tombée.

.

                  Toucher du doigt les étoiles de l’éternité,

               Est un cadeau des dieux pour l’humanité

           Et entre vous et l’autre cet espace existe,

        Faut y croire pour, qu’en vous, il persiste

.

   Et qu’il ne vous lâche plus comme frappé

  Par la foudre d’éclair vous rendant habité

 Par une force qui va et ne vous quitte pas,

Tout devient rêve en vous jusqu’au trépas.

Q  U ’ H  A  L  L  U  C  I  N  A T  I  O  N ?

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1117 4

.

Une  forme très souple

Ou la fusion est imaginée,

Mais non réelle et en vérité

Et ici double, en couleurs !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Formes et couleurs se complètent

et permettent de jouer sur plastique

changeante selon le focus du regard

ainsi les formes épousent couleurs.

.

Jeu d’ombres de formes d’un théâtre chinois

Derrière un rideau :

L’homme et la femme se doublent, confondent,

Entre sexes et baisers !

 .

Symbolique

 .

Comme les couleurs, les formes

Influenceront  notre perception

Des choses qui nous entourent

Design industriel des meubles

.

Ou  automobiles : le  carré  ou

Le cercle, et voire la ligne droite

La courbe, représentent la féminité,

Harmonie, douceur ; rigidité, masculinité.

.

Idem en design graphique, création d’affiches

Ou de logo, dont nous analysons consciemment

Ou inconsciemment les formes : chaque forme,

Symbole a une signification selon nationalité,

Interprétés de façon similaire ou arbitraire.

Source : multi-graf.com/la-symbolique-des-formes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1117 6

.

Effet de chromatisme de tableau de maitre

Qui juxtapose, superpose

Différentes formes, de différentes couleurs

Pour mieux nous émouvoir.

 .

Symbolique 

 .

La couleur est une

Notion très subjective.

Ce qui évoque une sensation

Pour moi en évoquera une différente

Pour une autre personne, parfois

Pour des raisons de préférences

Personnelles, ou culturelles

Cameron Chapman.

.

Quelle couleur bonheur ?

Orange : Énergie, Bonheur, Vitalité.

Jaune : Bonheur, Espoir, Tromperie.

Vert : Commencement, Abondance, Nature.

Bleu : Calme, Responsabilité, Tristesse.

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme

 .

Le rêve a-t-il un fond, une forme, une couleur,

Tout comme  l’amour,  un sexe,  une attraction,

Ou bien les deux participent de la même illusion 

Question mérite  qu’on s’y arrête,  approfondisse,

En rentrant dans le vif du sujet, sans restriction,

Mais voilà qu’une grande partie de l’explication

Nous échappe, étant à la fois, réalité et mystère

 .

.

Confondre réalité, rêve, hallucination

.

Scénario

.

Un complexe d’enfance  plutôt assez halluciné,

avant le contrat de mariage, qui lui, deviendra bien réel,

tant vrai que  notre  rêve  d’amour et amour vrai n’en feraient qu’un !

 .

Visuels et textuels  >>

731 – Romantique, amoureux, rêveur, idéaliste

Visuels et textuels >>

.

 Je te trouve trop romantique,

Je te trouve trop pragmatique,

Comment  réaliser  bel équilibre

Entre ce qui est réaliste  et  libre !

.

Le rêve dépasse, souvent, la réalité,

Qui le rattrape pour le mettre au pas

Plus haut aura été  l’idéal du mariage,

Plus dure sera la chute  pour le divorce.

.

Les petites attentions valent les grandes,

Elles sont  de tous les jours, toutes façons,

Plutôt que de rester camper sur son nuage,

Il vaut mieux créer romantisme de passage.

.

Romantique, amoureux transi,

Rêveur, idéaliste  …    fusionnel,

Malade : sont des noms donnés,

À ceux qui sont d’amour éternel

Face à cela : réalité leur oppose,

.

Jalousies, tromperies, divorces,

Polygamies, voire double vies

Ou  mariage, à trois, aussi,

Union libre, libertinage,

Tout, sauf le mariage,

Désuet, hors d’âge.

.

Aimer qui je veux, quand je veux

Où je veux  enfin comme je veux,

Me parait plus illusoire  qu’espoir

Finir ma vie à deux, pour le mieux.

.

Être volage inconstante nature  de femme

Doit porter le chapeau de toute   zizanie,

Comprenant le mot, sentiment,  mot lit.

Tout cela n’est ni vrai ni faux ni sérieux

Amours sont de brefs jours désillusions

Sont de mauvais mais durent toujours.

.

Sexe, caractère, culture et sentiment,

Ont pris le pas sur sécurité d’argent,

Ce qui ne simplifierait pas le choix

Si amour n’a pas eu force de lois.

.

Si fait qu’inversion de  positions

Fait qu’homme cherchant épouse

S’occupant  de lui, enfant,   maison,

Ne trouve pas que des femmes libérées

Qui de se caser ne se sentent pas pressées

Tant vrai  que d’avoir été bien  oppressées

Et durant des millénaires  étouffant d’air.

.

Romantiques  pragmatiques,  en ménage

S’accordent aussi bien de leur différence

Que ceux qui établissent simples con…trats

D’assistance mutuelle sans aucun sentiment,

Et l’équilibre à trouver dépendrait du partage

Et non d’un modèle venant de voler en éclats,

À chacun de se fixer sa voie, sa limite de choix.

.

.

Extensions

 .

Romantique, amoureux transi,

Rêveur, idéaliste, fusionne…  malade :

Je suis tout cela et rien de tout cela à la fois.

Amour est considéré de certains comme maladie :

On tomberait amoureux comme on tomberait malade.

Une maladie qu’on entretient au lieu de chercher à en guérir.

Le monde à l’envers, tout de même, et quand on est vrai rêveur

Et romantique, cela peut aller en s’empirant jusqu’à en mourir.

.

Romantique : évoque les attitudes, et  les thèmes,

Chers à romantique, sensibilité, exaltation … rêverie,

Amoureux : personne qui  aime quelqu’un, avec passion.

Adorateur, galant, tourtereau, aimant, amant… prétendant.

Rêveur : personne absorbée dans ses pensées, dans  sa rêverie

Qui perd, peu à peu, le contact avec toute réalité, en amour fou !

Idéaliste : qui obéit à un idéal, des valeurs absolues, d’ordre moral,

Qui croit que l’amour vrai, pur, peut améliorer la société ou l’homme

Si ces définitions vous qualifient, vous serez amoureux(se) et perdu(e)

 .

Romantique, amoureux, rêveur que je suis peut-être

Sinon vous qui me lisez, votre conjoint, votre demeure.

Voilà qui donne l’impression ne pas vivre dans la réalité

Bien que  le romantisme en fasse partie depuis des temps

En tant que prédominance d’idéalisme et de sentimentalité

Qui, par nature, touche à excès de sensibilité et imagination,

Invite à l’émotion et à la rêverie, à l’expression des sentiments

Encore que : attention, il peut ne s’agir de belle posture d’esprit,

Comme romantique pour les gens, et pas du tout pour les choses !

.

.

731 – Calligramme  

 .

  Je te trouve trop romantique,

Je te trouve trop pragmatique,

Comment  réaliser  bel équilibre

Entre ce qui est réaliste  et  libre !

Le rêve dépasse, souvent, la réalité,

Qui le rattrape pour le mettre au pas

Plus haut aura été l’idéal du mariage,

Plus dure sera la chute  pour le divorce.

Les petites attentions valent les grandes,

Elles sont  de tous les jours, toutes façons,

Plutôt que de rester camper sur son nuage,

Il vaut mieux créer romantisme de passage.

.

*************************************

**********************************

.

Romantique, amoureux transi,

Rêveur, idéaliste  …    fusionnel,

Malade : sont des noms donnés,

À ceux qui sont d’amour éternel

Face à cela : réalité leur oppose,

Jalousies, tromperies, divorces,

Polygamies, voire double vies

Ou  mariage, à trois, aussi,

Union libre, libertinage,

Tout, sauf le mariage,

Désuet, hors d’âge.

.

Aimer qui je    R   veux, quand   A      je veux

Où je veux     O      enfin comme    M     je veux,

Me parait       M        plus illusoire      O    qu’espoir

Finir ma vie   A        à deux et pour       U   le mieux.

Être volage     N     inconstante nature    R  de femme

Doit porter    T      le chapeau de toute    E     zizanie,

Comprenant    I     le mot, sentiment,    U      mot lit.

Tout cela n’est   Q     ni vrai ni faux    X        sérieux

Amours sont de   U   brefs jours    *   désillusions

Sont de mauvais   E    mais  *  durent toujours.

Sexe, caractère        *     *  culture, sentiment,

Ont pris le pas   *  sur  *  sécurité argent,

Ce qui ne    *  simplifie  *  pas le choix

Si amour  *  n’a pas force  *    de lois.

Si fait     *   l’inversion des   *  positions

Fait qu’ *    homme cherchant  *    épouse

S’occu    *    pant de lui, enfant,   *   maison,

Ne trouve *   pas que des femmes  *     libérées

Qui de se     *    caser ne se sentent    I    pressées

Tant vrai       R     que d’avoir été si     D oppressées

Et durant        Ê       des millénaires       É  étouffe air.

Romantiques  V          pragmatiques        A   en ménage

S’accordent      E      aussi bien de leur      L     différence

Que ceux qui   U    établissent simples      I      con…trats

D’assistance    R   mutuelle sans aucun    S    sentiment,

Et l’équilibre  *   à trouver dépendrait     T  du partage

Et non d’un   *  modèle venant de voler  E   en éclats,

À chacun de * se fixer sa voie, sa limite * son choix.

.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

731 4

.

En haut, un grand chapeau

En bas,  silhouette d’homme ;

En haut, une partition musique

 En bas, silhouette de guitare ?

.

La guitare, comme le violon, aurait des

accointances avec les états romantiques

ils sont perclus par les femmes : séduction

tant et si bien que la forme touche le fond !

.

Un homme amoureux, rêveur

 Avec une guitare dans le dos

Et s’il était moins amateur

Il serait musicien pro.

.

Symbolique 

.

Accords entre sexe et guitare:

Le potentiel érotique de la six cordes

Étrange, subtile, attirance des femmes,

Pour  les  hommes  portant  des  guitares.

Tout le monde se souvient de ces guitaristes

De  l’époque  du  Sex,  Drugs  and   Rock’n’roll

Ondulant, sensuellement, dans leurs pantalons

Moulants, mimant accouplements avec guitare.

Un jeu de scène si suggestif, qu’il leur aura valu

D’être interdit  de plateau de télé  pour ne pas

Émouvoir “la ménagère de plus de 40 ans”.

Source : guitar.vanlochem.be/sexe-et-guitare-

le-potentiel-erotique-de-la-six-cordes

.

Descriptif

 .

731 – Romantique, amoureux, rêveur, idéaliste

  Alignement central    / Titre analogue    /  Thème  identité

Forme anthropo / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : guitare   / Symbole de fond : musicien

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

731 6

.

Un homme amoureux, rêveur

 Avec une guitare dans le dos

Et s’il était moins amateur

Il serait musicien pro.

 .

Symbolique

.

Un auteur

Étant compositeur

Et  en plus, interprète,

Est une personne qui rédige

Les paroles, compose musique

De chansons qu’elle interprète.

.

L’ordre peut varier d’une artiste à l’autre,

Ou d’une œuvre à l’autre pour un même artiste ;

Soit il compose  avant d’écrire le texte, soit après.

Il peut même créer en parallèle texte et musique,

Voire les arranger pour une orchestration.

wikipedia.org/wiki/Auteur-compositeur-interprète

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

On ne saurait trop si c’est

Plutôt  le son  de la guitare

Sa forme  de caisse, manche

Ou un corps qui se déhanche,

Lors on en joue devant femmes

Qui suggèreraient acte érotique

Mais pourquoi pas acte héroïque

Est-ce là  une intention  explicite

Où un regard  plus  qu’implicite,

C’est à chacun de se déterminer

Sur ce qu’il faudra interpréter

Fonction de contexte donné,

Selon son état hormonal.

 .

.

Tango romantique

.

Scénario

.

Un peu de romantisme, c’est bien, mais là, trop c’est trop,

là, c’est davantage le paysage qui l’est, parlant pour eux,

là, c’est discret, c’est mouvant, émouvant, très classique.

 .

Visuels et textuels >>

306 – Château de ma vie est sous mon chapeau

Visuels et textuels  >> 

.

Mais dites-moi : qui n’aura jamais rêvé,

Et, au moins, une fois dans sa vie,

D’un beau  château, à hériter,

De Bretagne, ou, d’Espagne,

Ou voire en … Cambrésis !

.

Je le vois, grand et large,

Avec belle allée arborée,

Donnant sur cour pavée.

Dites-moi : qui n’a rêvé,

Voire  une fois  en sa vie,

De château même virtuel,

Par une belle âme, habitée.

.

Pour  le  château de  ma vie :

Il réside sous  mon chapeau !

Il se porte bien, se porte haut,

Et c’est bien le seul qui me ravit

Il n’est pas de Bretagne ni Espagne

Tant il est partout, et dans  mon cœur,

Il m’aide, souvent, à trouver le bonheur,

Étant loin, d’une  prison, ou d’un bagne.

Montez le perron puis  essuyez vos pieds

Entrez  dans petit vestibule aux patères

Pied grand escalier, déposez vos gants,

Puis votre manteau et votre chapeau,

Vous y êtes petit salon vous attend.

.

Je n’envie pas châtelain enfermé,

Dans sa tour  par dédain d’autrui.

Mon château à moi, est plus réseau,

De mes amitiés, entretenues à loisir :

Et  il a autant, de chambres, de salons,

De cuisines, qu’il me plait de souscrire.

.

Rien n’est trop beau, rien n’est de trop

En mon château, où l’air est si pur,

Tout le monde  pourra y entrer,

Mais, quant  à  le … visiter,

Et plus encore,  à y rester,

C’est  une  autre  histoire :

Profiteur, par ici  la sortie !

.

Mon château à moi est en moi,

Et il ne se montre ni ne se détruit,

Son unique  porte  d’entrée, de sortie,

Est mon imaginaire à partager avec ceux

Qui ont trouvé la clef et tiennent à  l’habiter.

.

.

Extensions

.

Chaque espace humain, espace habité

Est de l’imaginaire en temps compressé.

On y a mis  tout ce qui  nous tient  à cœur

Couvrant parfois jusque cinquante années.

.

La mémoire  abrite  des châteaux  n’étant

Ni de Cocagne ni d’Espagne, de Bretagne

Mais le résumé d’une vie bien remplie

Qu’on oriente vers l’avenir pour

L’agrandir ou le rétrécir.

.

Une œuvre est aussi une sorte

De château où on partage les pièces

Avec ses lecteurs/spectateurs/acteurs

Une œuvre  est : un monde,  un univers

Qui  nous  reflète, et, nous  communique

Aux  autres,  et  qui, en  retour,  l’enrichit.

.

Château  virtuel  est  construction d’esprit,

Fait appel à l’imaginaire de chacun  et tous.

Lors mon château à moi est : chacun se doit

De le définir parvenir à le réaliser, l’habiter,

Qu’il soit comme il a souhaité pour évoluer.

.

Château et chapeau sont proches l’un de l’autre,

Un château défend son être, un chapeau, sa tête :

On peut mettre plusieurs chapeaux en un château,

Lors un seul peut prendre place sous votre chapeau

Ce dernier peut être petit ou grand, fort ou fragilisé,

Dans tous les cas, il répond à vos désirs et nécessités.

Il prend la forme que vous voulez car il n’est que rêvé.

.

Château de ma vie, sous mon chapeau :

On est en plein délire y a de quoi en rire

Mais si l’on pense qu’on peut  l’imaginer,

Rien n’empêche de le voir, tel qu’on veut !

.

Sous le chapeau n’est pas jouer du chapeau

Oui je sais, je joue là beaucoup sur les mots,

Mais où est la frontière entre écrire et délire,

Et pourquoi, images fantastiques, s’interdire !

.

Je vous invite en mon château sous mon chapeau.

Tentez de deviner ce qu’il est et à quoi il ressemble.

Je vous le donne en mille, il n’est pas fait en pierres :

Éclats d’existences est une œuvre purement virtuelle !

.

.

306 – Calligramme

 .

Mais dites-moi : qui n’aura jamais rêvé,

Et, au moins, une fois dans sa vie,

D’un beau  château, à hériter,

De Bretagne, ou, d’Espagne,

Ou voire en … Cambrésis !

.

Je le vois  C grand et large

Avec belle H  allée arborée

Donnant    A     cour pavée.

Dites-moi   T    qui n’a rêvé,

Une fois      E      dans sa vie,

De château  A  même virtuel,

Par belle      U   âme, habitée.

.

D  E            M A          V  I  E

Pour   le  château  de   ma vie :

Il réside sous  S  mon chapeau !

Il se porte bien   O  se porte haut,

Et c’est bien le seul  U  qui me ravit

Il n’est pas de Bretagne   S ni Espagne

Tant il est partout, et dans *   mon cœur,

Il m’aide, souvent, à trouver C le bonheur,

Étant loin, d’une  prison, ou   H d’un bagne.

Montez le perron puis  essuy   A ez vos pieds

Entrez  dans petit vestibule     P aux patères

Pied grand escalier, déposez   E  vos gants,

Puis votre manteau et votre   A chapeau,

Vous y êtes petit salon vous  U  attend.

.

Je n’envie pas châtelain enfermé,

Dans sa tour  par dédain d’autrui.

Mon château à moi, est plus réseau,

De mes amitiés, entretenues à loisir :

Et  il a autant, de chambres, de salons,

De cuisines, qu’il me plait de souscrire.

.

Rien n’est trop beau, rien n’est de trop

En mon château, où l’air est si pur,

Tout le monde  pourra y entrer,

Mais, quant  à  le … visiter,

Et plus encore,  à y rester,

C’est  une  autre  histoire :

Profiteur, par ici  la sortie !

.

Mon château à moi est en moi,

Et il ne se montre ni ne se détruit,

Son unique  porte  d’entrée, de sortie,

Est mon imaginaire à partager avec ceux

Qui ont trouvé la clef et tiennent à  l’habiter.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

306 4

.

Un pilier d’un château,

Ou alors un pied de table

Sculpté  en  bois tourné, 

Donjon vieux château

.

Un pied de table n’est ni un pilier

ni une tour ni donjon de château,

un chapeau encore moins : pointu

et lors forme se distingue du fond.

.

C’est juste l’histoire de prendre pied dans

Une romance à rêver !

Apparemment, rien à voir avec un château,

Ni avec un chapeau !

 .

Symbolique

 .

Le pied de table est un symbole

De force, de résistance et d’éternité.

Il est indestructible : cette force réside

Dans une vérité plutôt fondamentale :

Il soutient la terre et le ciel, il les relie.

Et il réunit le masculin  et le féminin.

Le pied symbolise l’axe  du monde.

Quand  nous  rêvons  d’un pilier,

Nous contemplons un principe

Immuable, une force relative

À nos convictions nouvelles.

Il s’agit d’une construction

Mentale, système cohérent

Qui viendra répondre à nos

Interrogations sur le monde.

Modifié, source : tristan-moir.fr/pilier

.

Descriptif

.

306 – Château de ma vie sous mon chapeau

Alignement central  / Titre serpente / Thème  habitat

Forme courbe /  Rimes égales   /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : Pied-table / Symbole de fond : château

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

306 6

Changer l’image ici

.

C’est juste l’histoire de prendre pied dans

Une romance à rêver !

Apparemment, rien à voir avec un château,

Ni avec un chapeau !

.

Symbolique 

 .

En faisant

Circuler dans son

Château   intérieur

Dans tous ses espaces

Latéraux et superposés,

Clos   et   ouverts,  décrits

Avec un talent  d’architecte,

Thérèse d’Avila       (1515-1582)

Rend compte de ce que peut l’âme.

.

Au long des trajets qu’elle emprunte,

L’âme mystérieusement accompagnée

De l’hôte qu’elle recherche  et découvre

Ses  propres  secrets, jusqu’à  l’ultime,

L’union mystique. En château intime,

On est libre d’entrer  et  se promener

À toute heure du jour ou de  la  nuit,

Sans que permission soit nécessaire.

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

On ne peut confondre, pied de table,

Et tour de château, même d’escalier.

Chapeau et chapeau vont ensemble.

Oui mais de quel chapeau s’agit-il,

De clown,  de sorcière,  de curé !

De quel château est-il question.

Ici c’est château en Espagne !

 .

.

Château ou chapeau

.

Scénario 

.

Vue en croquis d’intérieur de tour d’un vieux château …  médiéval.

Vue en croquis d’extérieur de tour  d’un vieux château … médiéval.

Photo réelle d’une tour, rénovée, d’un ancien château … médiéval.

 .

Visuels et textuels  >>

1095 – L’instant hypnagogique !

Visuels et textuels  >> 

.

Hypnagogique ou somnolence

Précédent le sommeil  ou  l’éveil,

Profitant de la baisse  de vigilance

Pour fleurir rêverie qui émerveille.

C’est, à cet instant-là,  à son réveil,

Qu’on se rappelle  son dernier rêve,

Venant d’être achevé,  qui  poursuit

Mêlant allègrement fantasme, réalité

Instant qui conditionnant sa journée,

Combien d’auteurs s’en seront servis

Comme clé pour trouver  leurs idées,

Qu’ils n’auraient, éveillés,  endormis.

 

On sait que l’œil  est : appareil photo,

Et l’oreille est un  détecteur de mots,

Entre image,  sons, réalité présente,

S’évanouit, s’éclipse en hypnagogie.

Vous entends, même je vous vois

 Puis soudain, instant,  plus rien

Autre que fond sonore,    visuel

Qui ne me dit, ne traduit rien.

 

Entre l’éveil   et  le  sommeil,   

Je ferme porte et fenêtres

L’une après l’autre…soir

S’installe, tapis volant,

Me porte  endormant

Fenêtre  des …  sens.

Si   je   vous  quitte,

Corps,  seul,  existe,

Et l’univers consiste

En rêve image illicite,

Qui s’imposeront à moi,

De plain-pied, plein droit.

 

Enfermé en lieu  très secret

Où je puisse être  je m’imagine

Ailleurs, et vis une tout autre vie

Où l’espace et le temps, sont infinis,

Jusqu’à ce que  je me réveille à l’instant,

 

Où mon réveil sonne : il est grand temps

De revenir, à ce que j’étais, précédemment,

Avec un petit quelque chose qui aura changé :

Impression d’avoir résolu  un problème urgent,

Lors on a passé  la veille, à vouloir  le solutionner.

 

Réveil instant hypnagogique fonctionne à l’envers

Il nous sort, du sommeil, de cauchemar, de rêve,

Nous refait toucher du  doigt bribes des réalités

Comme lampe allumant en nous instantanés. 

.

.

Extensions

 .

L’instant  dit… hypnagogique

N’est ni l’éveil ni le sommeil

Mais, no-man-land, le long

D’une   frontière,   gardée,

D’un  côté,  par  le flot  de

Sensations  externes,  qui

Alimentent l’état de veille

Et, de  l’autre,  le  flux  de

Proprioceptions internes

Qui nourrissent, tiennent

Notre  état  de  sommeil.

Un  instant  merveilleux,

Comme   une  télépathie,

La téléportation qui nous

Ouvre des horizons étranges,

Où nous jouons un rôle qui décharge

Toutes nos pulsions restées en frustration.

.

Être entre deux, entre deux états, entre  deux eaux,

Pour, ensuite, se projeter, comme entre ciel et terre,

Sur un tapis volant, déroulant  ses rêves  récurrents,

Plus tout à fait éveillé, pas encore endormi  profond,

Comme sas pour plonger en sommeil, pour en sortir.

.

On appelle mélatonine, hormone du sommeil,

Tout comme la sérotonine : la pilule du bonheur

Créant sentiment de stabilité, bien-être, de plaisir.

.

La mélatonine peut tenir le rôle du marchand de sable

Dans un remake moléculaire de « Bonne nuit les petits » 

Le soir venu, la mélatonine facilite notre endormissement.

.

On lui prêtera d’autres superpouvoirs mais ne rêvons pas !

Il lui faudra certaines conditions afin  qu’elle fonctionne :

Absence de lumière, calme, position allongée, détendue.

.

.

1095 – Calligramme

.

Hypnagogique ou som   I  nolence

Précédent le sommeil    N  ou l’éveil,

Profitant de la baisse   S  de vigilance

Pour fleurir rêverie     T qui émerveille.

C’est à cet instant-là     A      à son réveil,

Qu’on se rappelle son      N     dernier rêve

Venant d’être achevé qui  T       se poursuit

Mêlant allègrement fan     *    tasme, réalité

Instant qui condition     H    nant sa journée.

Combien d’auteurs      Y      s’en seront servis

Comme clé pour        P    trouver  leurs idées,

Qu’ils n’auraient,     N      éveillés,  endormis.

On sait que l’œil      A    est : appareil photo,

Et l’oreille est un     G    détecteur de mots,

Entre image,  sons,   O    réalité présente,

S’évanouit, s’éclipse   G  en hypnagogie.

Vous entends, même   I     je vous vois

 Puis soudain, instant,   Q     plus rien

Autre que fond sonore,   U    visuel

Qui ne me dit, ne traduit  E rien.

Entre l’éveil   et  le  sommeil,   

Je ferme porte et fenêtres

L’une après l’autre…soir

S’installe, tapis volant,

Me porte  endormant

Fenêtre  des …  sens.

Si   je   vous  quitte,

Corps,  seul,  existe,

Et l’univers consiste

En rêve image illicite,

Qui s’imposeront à moi,

De plain-pied,   plein droit.

Enfermé en lieu   É   très secret

Où je puisse être  V   je m’imagine

Ailleurs, et vis    E  une tout autre vie

Où l’espace et    I  le temps, sont infinis,

Jusqu’à ce que   L    je me réveille à l’instant

Où mon réveil    \     sonne : il est grand temps

De revenir, à    S    ce que j’étais, précédemment,

Avec un petit   O  quelque chose qui aura changé :

Impression d’   M  avoir résolu  un problème urgent,

Lors on a passé  M   la veille, à vouloir  le solutionner.

Réveil instant hyp  E   nagogique fonctionne à l’envers

Il nous sort, du som  I   meil, de cauchemar, de rêve,

Nous refait toucher du  L  doigt bribes des réalités

Comme lampe allumant en nous instantanés. 

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Flacon   de   parfum 

Dont   la   senteur  serait

 Propice à l’hypnagogie,

Ou sommeil semi-conscient

 .

(forme creuse, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Le parfum est une senteur enivrante,

l’inconscient,  une puissance désirante,

lors de sentir ce type de parfum au réveil

nous mettra en état appelé hypnagogique

.

.

Forme

.

Évocation 

.

1095 4

.

Flacon  de parfum strié  blanc et rouge

 Et en spirale autour :

Illusion optique de l’instant hypnagogique

Entre éveil et sommeil.

.

Symbolique de forme

 .

Classiquement, un parfum

Se décrit par des notes olfactives

Qui se différencient en notes de tête,

Celles liées  à la  première impression

Olfactive et qui sont les plus volatiles,

Notes de cœur (celles qui constituent

Le cœur du parfum et demeurent

Pendant plusieurs heures,

Et enfin notes de fond

Celles qui persistent longtemps

Après que le parfum a été vaporisé

Et peuvent rester pendant des

Mois sur quelque vêtement.

Wikipédia : parfum

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1095 6

.

Phase préparatoire, tête sur un coude

Pour faire une bonne sieste

Par entrée instant hypnagogique

Entre éveil et sommeil.

.

Symbolique 

Etat étrange et fascinant,

Caractérisé  par des visions

Similaires  aux rêves  et  aux

Expériences, dites sensorielles,

Inhabituelles, situé à la frontière

De la pleine conscience et du repos.

.

Psychologue nomme hypnagogie,

Mais les artistes s’en servaient déjà

Et depuis des siècles, pour y puiser

Certaines de leurs meilleures idées.

.

L’artiste  surréaliste  Salvador Dalí

L’a qualifié de « sommeil avec une clé »

Et l’utilisait comme source d’inspiration

Créative pour bon nombre de ses peintures.

Modifié, source : lescheminsdelenergie.com/

l-hypnagogie-l-etat-de-semi-conscience

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Parfum permet de créer des conditions

 propices au sommeil dès lors qu’on se trouve

Enveloppé d’une odeur rassurante qu’on connaît.

Il en est de même pour le réveil,  en sens inverse,

Parfum très fort  nous stimulera notre cerveau.

Si vous voulez l’expérimenter, un hypnotiseur

Il vous raconte une histoire pour endormir

Il compte très fort jusqu’à trois pour…

.

.

Instant bascule en sommeil

.

Scénario

.

Ce court instant entre l’éveil et le sommeil,

suivi de rêveries fantasques et rêves insolites,

si ce n’est pas hallucinatoire sur un tapis volant.

 .

Visuels et textuels  >>

670 – Si j’étais un poisson, que tu étais papillon !

Visuels et textuels>> 

.

Le premier, nage sous l’eau,

Le deuxième, vole dans les airs :

Comment pourrait-il…se rencontrer

Car, tout comme une carpe et un lapin,

Tout les séparent, rien ne les rapprochent.

Une demoiselle libellule se pose sur l’eau,

Et un poisson volant saute sans les airs,

Un cormoran sait nager, sous l’eau,

Mais là s’arrête comparaisons.

Un poisson … ne sait pas

Que le papillon existe

Et réciproquement,

L’affaire, réglée.

Enfin il reste

Les sirènes

Mi femme

Mi  poisson

Qui cherchent

Un oiseau  rare,

Mi-homme-lion !

Si j’étais un  poisson,

Et toi, étais un papillon,

Comment se rencontrer,

Et plus encore…s’aimer !

Toi, tu voles terre surface

Lors je nage, sous glaces,

Toi tu résides en plafond,

Lors je plonge bas-fonds.

Demoiselle, ou   libellule,

N’y change  rien, virgule,

Anguille, ou, raie Manta,

Tu ne m’attraperas  pas.

Est-ce  à dire  que, seuls,

Ceux qui se ressemblent

Copulent,  s’assemblent,

Le reste  n’est que veule.

Moi, en poisson  volant,

M’aimerais-tu,  autant,

Si j’étais  un bel oiseau,

Avec ses ailes sur le dos

J’ai perdu mes … ailes,

Branchies,  nageoires,

Mais, je garde espoir

De me tenir en elle,

Tout autour d’elle,

Si, papillonnant,

En vrai amant

Etre si beau

Poisson.

.

.

Extensions

 .

Un poisson peut avoir des ailes,

Un papillon ne peut avoir de nageoires :

L’évolution est faite ainsi qu’il n’y a pas de

Retour en arrière mais la légèreté du papillon

L’emportera toujours sur celle du poisson.

.

Visiblement ces deux-là ne sont pas faits

Pour se rencontrer mais pourquoi pas :

Ils sont faits de même matière vivante,

Ce  ne sont que  leurs développements,

Leurs environnements, leurs fonctions

Qui les  séparent, phylogénétiquement !

.

On cite l’exemple de la carpe et du lapin,

Sans qu’on sache très bien ce que ça signifie

On voit bien que ça ne peut pas coller entre eux :

Ces deux êtres sont incompatibles et bien opposés

Et ne seront donc jamais en harmonie entre eux.

.

Chacun vit dans son monde en ignorant tout

De  l’autre, jusque, parfois, son  existence,

L’harmonie des contraires reste possible

Dans un couple mais de même espèce

 Les apparences changent, mais

Pas les fondamentaux.

.

Combien d’analogies, de métaphores et de chimères

Peuplent nos écrits  et envahissent nos imaginaires,

Et ce n’est pas vous qui prétendriez le …  contraire,

Tant la chair est faible, en un esprit fort, primaire.

Il arrive qu’on parle aussi de la carpe et du lapin.

La femme serait poisson, l’homme, mammifère.

  À l’origine : mariage d’un noble avec roturière !

.

Il était une fois un poisson

Qui aimait un beau papillon

Et il voulait comme lui, voler

Dans l’air, dans l’atmosphère.

.

Et le papillon lui rendait visite

Une fois par heure sauf la nuit

Mais il ne pouvait s’approcher

Sans risquer se noyer en l’eau.

.

Désir était simple : j’aimerais

Bien te connaitre davantage,

Oui mais je vole et tu nages

On ne se mariera jamais.

.

.

670 – Calligramme   

.

SI J’ÉTAIS POISSON,

Le premier, nage sous l’eau,

Le deuxième, vole dans les airs :

Comment pourrait-il…se rencontrer

Car, tout comme une carpe et un lapin,

Tout les séparent, rien ne les rapprochent.

Une demoiselle libellule se pose sur l’eau,

Et un poisson volant saute sans les airs,

Un cormoran sait nager, sous l’eau,

Mais là s’arrête comparaisons.

Un poisson … ne sait pas

Que le papillon existe

Et réciproquement,

L’affaire, réglée.

Enfin il reste

Les sirènes

Mi femme

Mi poisson

Qui cherchent

Un oiseau rare,

Mi-homme-lion.

TOI PAPILLON !

Si j’étais un  poisson,

Et toi, étais un papillon,

Comment se rencontrer,

Et plus encore…s’aimer !

Toi, tu voles terre surface

Lors je nage, sous glaces,

Toi tu résides en plafond,

Lors je plonge bas-fonds.

Demoiselle, ou   libellule,

N’y change  rien, virgule,

Anguille, ou, raie Manta,

Tu ne m’attraperas  pas.

Est-ce  à dire  que, seuls,

Ceux qui se ressemblent

Copulent,  s’assemblent,

Le reste  n’est que veule.

Moi, en poisson  volant,

M’aimerais-tu,  autant,

Si j’étais  un bel oiseau,

Avec ses ailes sur le dos

J’ai perdu mes … ailes,

Branchies,  nageoires,

Mais, je garde espoir

De me tenir en elle,

Tout autour d’elle,

Si, papillonnant,

En vrai amant

Etre si beau

Poisson.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

670 4

.

Le corps d’un papillon,

Ça ressemblerait à ça,

Et d’un poisson, non

Un poisson-papillon

.

Que peut-il bien y avoir de commun,

Entre papillon et poisson ?

Un papillon fantaisiste étant dessiné

Par un enfant comme  poisson

  .

Symbolique 

.

Le papillon n’est pas recensé dans les

Dictionnaires de mythologie égyptienne

Alors que,  dans  la mythologie  grecque,

Le papillon est  symbole  d’immortalité.  »

.

C’est «l’âme humaine»  comme le souligne

L’étymologie : « psyché » en  grec  désigne

À la fois, l’âme de quelqu’un  et  le papillon.

Symbolisme  Amérindien, le papillon  est le

Symbole de métamorphose et changement.

.

Il nous enseigne qu’il faut laisser les désirs

Se réaliser, de changer nos vies,  de créer

De nouvelles situations  pour améliorer

Notre quotidien pour être plus éthéré.

Source : blogggcollection.wordpress.com/

2014/05/papillon-symbolemetamorphose

.

Descriptif

 .

670 – Si j’étais poisson, et toi… papillon !   

  Alignement central / Titre intercalé  / Thème  rencontre

Forme  losange / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : papillon  / Symbole de fond : poisson

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Que peut-il bien y avoir de commun,

Entre papillon et poisson ?

Un papillon fantaisiste étant dessiné

Par un enfant comme  poisson

.

Symbolique 

.

Le poisson reste l’emblème de l’eau,

Élément avec lequel il partagera

Son aspect le plus symbolique.

Il est symbole de fécondité

Mais tout autant de sagesse.

.

Il est occulte dans les

Profondeurs des eaux,

Domaine d’une force sacrée

De l’abîme dont il est pénétré.

.

Cet espace aquatique

D’une profondeur

Insondable est

Associé aux mystères

De l’inconscient humain,

Aux pulsions les plus cachées de l’esprit.

Source : les-voies-libres.com/symbolisme-du-poisson

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un poisson pour sûr, ne vole pas

Et papillon, pour sûr, ne nage pas

L’un aura pour milieu naturel, l’eau,

L’autre aura pour milieu naturel, l’air.

Ils sont donc aux antipodes, ne peuvent

Communiquer d’aucune manière efficace,

Tout comme la carpe et le lapin, populaires

Quand on les marie entre eux, ils divorcent !

Ce ne sont là que de purs symboles gratuits.

 .

.

Formes des poissons

.

Scénario

.

Mi poisson en bas, mi femme, en haut, ressemble à une chimère.

Vaut-il mieux  être  un poisson, comme celui-ci : multicolore.

Une femme nue comme ici voulant devenir un papillon !

 .

Visuels et textuels>> 

1049 – Qui peut dire : j’ai rêvé d’être ce que je suis

Visuels et textuels >>

.

Être ou ne pas être,

Ou être  ce que l’on est,

Être ce  qu’on a rêvé d’être,

Sont choix de vie, de destinées.

Rêve de nuit et voire rêve de jour

Ne me raconteraient pas toujours

Même chose  ===  plus lourds,

De nuit ; plus légers, de jour.

Le stress vient s’y greffer ;

Stress vient habiter,

S’évacue, équilibre,

Ou, parfois, cancer.

 

J’ai rêvé d’être ce que je suis,

Et je suis ce que  j’ai rêvé  d’être

Qui peut le dire peut  le prouver,

Tant un rêves est peu conscientisé

En moi, il y aurait  deux rêveurs :

Celui qui me parle en pleine nuit,

Celui qui parle de moi plein jour

L’un et l’autre  savent équilibrer

Sinon, l’un d’eux me… détruirait,

Et un cancer, en moi, produirait,

Tant stress de la nuit, et du jour,

Annihileraient contres et pours.

Peut-être le concret du bonheur

Rêver de réussir son pur projet

Le  faire, réellement, à l’heure,

Et se dire, voilà j’y suis, étais !

Et, que m’importe, si j’échoue,

Si projet tombe dans les choux,

De l’avoir tenté, seul me permet

De modifier mon rêve… en secret

Car le rêve appartient à soi-même

Il tiendrait à nous à bien le réaliser.

.

.

Extensions

 .

Ce que je suis serait prophétie auto réalisatrice

Comme d’un changement de rêve tout comme

On se construit des  faux souvenirs d’enfance

Qu’on prend pourtant et souvent pour vrais.

Est-ce que j’ai vraiment réalisé mon rêve

Ou est-ce que j’ai adapté un ancien rêve

Par rapport à ce que je suis, ou j’étais ?

Difficile de répondre, étant honnête

À un tel questionnement  précis !

Notre  société,  par  la  publicité,

Les reportages, les documentaires,

Ne nous vend que du rêve, et à crédit.

«Pourquoi pas vous est devenu son slogan :

Il suffit de se mettre en marche, avec méthode

Et suite à  la réussite ou à l’échec, faire son bilan

Le rêve peut devenir réalité, et la réalité, tout autant,

Peut devenir un rêve, entre «je suis ce que j’ai voulu être»

Et «je ne suis que ce que j’ai pu être», il n’y a pas différence

Lexicale ou sémantique, il y a surtout un espace imaginaire

Qui s’est rempli et satisfait ou est demeuré à moitié vide,

La motivation pour faire un métier n’est pas toujours

En lien avec une passion pour réaliser une activité,

Elle est d’origine économique et opportuniste

Tant rares sont les gens étant en parfaite

Adéquation entre ce qu’ils sont, font !

.

Qui dit j’ai rêvé d’être ce que je suis

On peut lui renverser la chaussette

Parce que, ceci ou cela, vous étiez,

Que vous en avez rêvé en un passé

Qui, par la suite, vous aura guidé.

On serait là  en un vrai paradoxe,

Comme celui de l’œuf et la poule.

.

Il existerait nombre de personnes, disant

Qu’en faisant ceci ou cela en travaillant,

Ils auraient réalisé leurs rêves  d’enfant

Est-ce un parmi autres ou seul tenant.

Il n’existe qu’un moyen de le vérifier,

Qui est celui d’interroger les parents

Qui s’en souviennent ou l’inventent !

.

Je ne me souviens,  personnellement,

D’avoir rêvé de devenir ce que je suis :

Comme enfant je rêvais d’être pompier

Si ce n’est maire, instituteur, voire curé

Ce sont bien des personnages d’influence

Et  je ne serai devenu, aucun d’entre eux :

Je ne regrette rien, je suis comme je suis !

.

.

Épilogue

.

D’être ce que l’on est,

Ce que l’on a rêvé d’être,

Comportent  divergences,

Dans toutes nos existences.

***

Être ce que l’on est d’évidence

 Au moment même où on le dit :

Rien n’est figé tout peut changer

Accomplir son rêve, le manquer !

***

Et lors, en le supposant accompli,

En aurais-je d’autres ou cela suffit,

Et jusqu’au dernier jour de ma vie.

***

On se demandera d’où vient ce rêve

Qui conditionnerait toute notre vie

Est-il vraiment le nôtre, influencé !

***

D’ailleurs est-ce rêve ou destinée :

Y aurait-il un choix,  une fatalité :

À chacun d’y croire, d’en décider.

***

N’ai pas rêvé d’être ce que je suis,

Je le suis devenu au fil des années,

Je ne regrette rien de ce que j’ai été.

.

.

1049 – Calligramme

.

Être ou ne pas être,

Ou être  ce que l’on  est,

Être ce  qu’on a rêvé   d’être,

Sont choix de vie,  de destinées.

Rêve de  Ô  nuit, rêve   Ô  de jour

Ne me raconteraient pas toujours

Même chose  ===  plus lourds,

De nuit ; plus légers, de jour.

Le stress vient s’y greffer ;

Stress vient habiter,

S’évacue, équilibre,

Ou, parfois, cancer.

 J

J’ai rêvé d’être       ’      ce que je suis,

Et je suis ce que   A      j’ai rêvé  d’être

Qui peut le dire     I    peut  le prouver,

Tant un rêves est  *   peu conscientisé

R

En moi, il y au      Ê  rait deux rêveurs

Celui qui me par  V  le, en pleine nuit,

Celui qui parle      É  de moi plein jour

L’un et l’autre        *   savent équilibrer

*

Sinon, l’un d’eux    Ê      me… détruirait,

Et un cancer, en     T      moi, produirait,

Tant stress de la     R      nuit, et du jour,

Annihileraient        E     contres et pours.

*

Peut-être le con       Q       cret du bonheur

Rêver de réussir       U       son   pur  projet

Le faire réelle            I          ment à l’heure,

Et se dire, voilà          *            j’y suis, étais !

J

Et, que m’impor         E             te, si j’échoue,

Si projet tombe           *           dans les choux,

De l’avoir tenté,           S           seul me permet

De modifier mon         U         rêve … en secret.

Car le rêve appar          I         tient à soi-même

Il tiendrait à nous        S        à bien le réaliser.

.

.

 Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1049 4

.

Marionnette enfantine,

Marionnette      populaire,

Marionnette  manipulée,

 Faite entièrement en LEGO 

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Une marionnette n’est pas une poupée

n’est pas une silhouette, n’est pas statue,

pour autant elle a une expression humaine,

tant et si bien que la forme converge vers fond

.

Plutôt que d’être une marionnette,

Manipulée par d’autres :

Choisir sa vie, sa famille, son métier,

Son loisir, c’est réussir !

 .

Symbolique

 .

Le symbolisme de la marionnette

Rejoint celui du Théâtre dont la fonction

Originelle est d’exprimer un archétype divin

Le monde étant un grand théâtre, où chacun

Joue le rôle  qu’il doit, en exprimant, non pas

Son propre désir  mais la volonté scénariste.

.

Comme  l’homme libre  et  mu  de l’intérieur,

Elle semble se mouvoir par elle-même alors

Qu’elle obéit au contrôle qui la tient et sans

Lequel elle tomberait inanimée ;

Se croire indépendante et faire

Comme elle veut, serait contre nature ;

Source : aminour.unblog.fr/2008/04/03/

le-symbolisme-de-la-marionnette

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1049 6

.

Plutôt que d’être une marionnette,

Manipulée par d’autres :

Choisir sa vie, sa famille, son métier,

Son loisir, c’est réussir !

 .

Symbolique 

.

Une manipulation mentale

Ou manipulation psychologique

Est  une méthode délibérément

Mise en œuvre dans le but

Contrôler ou influencer la pensée,

Les choix, les actions d’une personne,

Via un rapport de pouvoir ou d’influence

telles que  des suggestions, contraintes.

.

Les méthodes utilisées fausseront

Ou orienteront la perception de

La réalité de l’interlocuteur

En usant,  notamment,  d’un

Rapport séduction, suggestion,

De persuasion, ou de soumission

Non volontaire ou voire consentie.

fr.wikipedia.org/wiki/Manipulation_mentale

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Quelque part entre le rêve et la réalité

La marionnette Pinocchio s’anime seule,

Auparavant manipulée par son créateur,

C’est elle seule qui décide  se des aventures.

Est-elle le reflet  ou le double de son maitre !

.

Ce qui n’est pas le cas théâtre de marionnettes

Où le manipulateur la bouge et parle à sa place,

D’ailleurs si quelqu’un se fait manipuler par autre,

On dit de lui qu’il n’est rien autre que sa marionnette

 .

.

Rêve d’être ce que je suis

.

Scénario

.

Célèbre photo d’un jeune garçon  dont on ne sait pas de quoi il rêve,

d’une projection de Nature,  parce qu’il est bien assis sur du bitume,

ou multitude d’autres visions, possibles, quoique très improbables !

.

Visuels et textuels >>

1040 – L’histoire et le destin personnel de chacun


Visuels et textuels >>

.

La part du rêve, en nous, serait plus grande

Que celle  de toute attente vers la réalité.

C’est pas que dernière nous indiffère,

Ne peut, en aucun cas satisfaire

Désirs seront  de l’immensité,

Presque tous s’en défendent.

 .

La part de  nos rêves, d’ombre,

Ne nous donne lumière rationalité

À prendre décision de manière sensée

Nous devons jongler avec  points  de vue

Contraires, incertains, illogiques, malvenus,

Qui, en l’histoire personnelle nous encombrent.

 .

Il est vrai qu’histoire et destin personnel de chacun,

N’appartient  qu’à lui-même et pas du tout aux autres

Sinon  son existence devient aliénante, et voire aliénée.

Vrai que mon destin ressemble à celui milliers d’autres

Mon histoire, expérience personnelle, restent  uniques,

Le rêve de ce que l’on veut être l’emporte sur la réalité.

.

Réaliser son rêve, durant sa vie, est, en lui-même, rêve

Qui déforme et transforme toute réalité  pour arriver :

Je veux être ceci, ou cela, à toute fin, sinon j’en crève.

Avec  de la persévérance,  du  courage,  de la chance,

Il ne restera que peu d’obstacles à vaincre en vérité.

Faut y croire pour que jamais son cœur ne flanche

 .

Parfois un rêve devient réalité voire le contraire

De vouloir gagner aux jeux d’argent énormité

Cela arrive  à l’un  lorsque  millions parieurs

Restent  frustrés  de ne jamais rien gagner

Bien que lien entre mérite, tirage au sort

Soit peu de leur fait, plutôt du hasard

Ils espèrent gagner, tôt ou tard !

.

Toute sa vie, rêver de gagner

Au  Loto, ou, autres  jeux,

Sans jamais concrétiser,

À en devenir … malheureux,

Est pure folie, pure manipulation,

Pour vendre du bonheur, et de l’illusion.

.

.

Extensions

 .

Nous ne sommes pas égaux

Devant notre destin mais il est

Certain qu’on  peut  le construire

Et en en être satisfait dès lors qu’on

Le prend en main et qu’on fait ce qu’il

Faut pour y accéder et le gérer au mieux.

.

Or il arrive qu’un événement, une malchance

Le brise d’un seul coup et fait du reste de notre vie,

Purgatoire en attendant la mort mais aussi de rebondir

Et de s’en créer un nouveau et qui n’a parfois rien à voir

Avec le premier. L’effet et l’effort de résilience permet,

Grâce à la plasticité de notre cerveau, de dépasser

Nos angoisses et de transformer cette énergie

Négative et mortifère en énergie positive

Et prospère et … ainsi soit-il !

.

Quelle différence y aurait-il entre deux jumeaux,

Ayant des carrières sociales totalement divergentes

Et deux autres personnes qui ont embrassé la même.

Difficile d’y répondre : ils ne sont pas interchangeables,

Peut-être chez les premiers, y-a-t-il eu un grain de sable,

Peut-être chez les seconds, y-a-t-il eu vocation semblable !

Qui peut le dire et l’affirmer haut et fort, inscrit en les gènes,

Ou  en origine sociale, destins banals, particuliers, originaux ?

Nul ne peut dire que son destin personnel est écrit, indéfectible.

.

Dans la vie, a-t-on, suit-on, croit-on à un destin !

En admettant, en aurait-on, un, deux, plusieurs,

Peut-on imaginer vivre  des destins contraires !

.

Ce qui est certain est qu’on a tous une histoire

 Que l’on a en partie, choisie et en partie, subie,

Se rapprochant du destin  de sa communauté.

.

D’où viendrait que des enfants, élevés ensemble

Avec la même éducation, auraient destin divers :

L’un voleur et assassin, l’autre policier judiciaire !

.

.

1040 – Calligramme

.

La part du rêve, en     H     nous, serait plus grande

Que celle  de  toute     I     attente  vers  la  réalité.

C’est pas que der    S    nière nous indiffère,

Ne peut, en au     T     cun cas satisfaire

Désirs  seront     O    de  l’immensité,

Presque tous      I    s’en défendent.

R

La part de  nos      E     rêves, d’ombre,

Ne nous donne lu      *      mière rationalité

À prendre décision       P      de manière sensée

Nous devons jongler        E       avec  points  de vue

 Contraires, incertains         R       illogiques,   malvenus,

Qui, en l’histoire person          S         nelle nous encombrent.

   O

Il est vrai qu’histoire  et  des         N             tin personnel de chacun,

N’appartient  qu’à lui-même        N           et pas du tout aux autres

Sinon  son existence  devient       E          aliénante et voire aliénée.

Vrai que mon destin ressemb     L        le à celui milliers d’autres,

Mon histoire, expérience per     L        sonnelle, restent  uniques,

Le rêve de ce que l’on veut êt    E       re l’emporte sur la réalité.

   *

Réaliser son rêve, durant sa     D     vie, est, en lui-même, rêve

Qui déforme et transforme      E     toute réalité pour arriver.

Je veux être ceci, ou cela, à     *     toute fin sinon j’en crève.

Avec de la persévérance, du   C    courage, et, de la chance,

Il ne restera que  peu d’obs  H   tacles à vaincre en vérité.

Il faut y croire pour que ja  A  mais son cœur ne flanche

  C

Parfois un rêve devient     U  réalité voire le contraire

De vouloir gagner aux     N  jeux d’argent énormité

Cela arrive à l’un lors     *    que millions parieurs

Demeurent frustrés de   ne jamais rien gagner

Bien que lien  entre mérite, tirage au sort

Soit peu de leur fait, plutôt du hasard

Ils espèrent gagner, tôt ou tard !

.

Toute sa vie, rêver de gagner

Au Loto, ou, autres jeux,

Sans jamais concrétiser,

À en devenir … malheureux,

Est pure folie, pure manipulation,

Pour vendre du bonheur, et de l’illusion.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1040 4

.

Une urne funéraire

Suite destin personnel

Une grande chope de bière,

Tout  aussi  bien   qu’un  vase

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Une urne funéraire comme un destin

je veux bien mais le plus tard possible,

en attendant,  je rêve d’une vie meilleure,

si fait que la forme se distinguera du fond.

.

À sa naissance, chacun aurait

Urne funéraire qui contiendrait

Durée de vie en partie écrite par

Génétique, hérédité, et milieu !

 .

Symbolique 

 .

Nous allons bientôt y aller citoyens !

Enfin, une  partie  d’entre  nous,  dans

Un  premier  temps, et  puis, le  plus tard

Possible nous irons tous  en  urne funéraire

En laquelle nous pouvons mettre des cendres,

Mais aussi de l’eau, principe même de la vie.

.

L’urne peut donc symboliser l’eau de la vie

Tout autant que les cendres de la mort,

Ou bien comme le réceptacle d’un

Testament, tant elle peut être

Fécondante comme le

Vase de l’alchimiste.

lafrancmaconnerieaucoeur

.com/2016/08/symbole-l-urne

.

.

Fond

 .

Évocation 

..

1040 6

.

À sa naissance, chacun aurait

Ce type d’urne  qui contiendrait

Sa vie étant en partie écrite par :

Génétique, hérédité, et milieu !

 .

Symbolique

 .

Durée de vie humaine 2014

Espérance de vie à la naissance,

Atteint 79,3 ans pour les hommes

Atteint 85,5 ans  pour les femmes.

.

Au cours  des 60 dernières années,

Les hommes  et femmes  ont gagné

14 ans de vie en moyenne. En 2017.

.

L’espérance de vie, à la naissance

Est de 85,3 ans pour les femmes

De 79,5 ans pour les hommes.

Wikipédia : durée de vie humaine

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Urne rime avec diurne et nocturne

Le destin est diurne, urne, nocturne

Car à notre mort, le destin est scellé.

.

La mort du désir est un désir de mort

De rater son destin mérite d’en mourir

 Tout écrivain raté  fera mourir nombre

De personnages virtuels bien avant lui

En multipliant pourtant leur histoire

Sans parler les exercices de styles.

.

Chacun a une histoire semblable

Et différente de tous les autres

Lors si des destins se croisent

Ils ne se répèteront jamais.

 .

.

Dispersion espérance de vie humaine

.

Scénario

.

Deux intellectuels, passionnés par les mêmes livres et sujets.

Deux artistes, qui exposent leurs œuvres, attendent le public.

Deux ambassadeurs qui serrent la main pour leur diplomatie.

 .

Visuels et textuels >>

182 – Rêve de sirène en mer avant le quart

Visuels et textuels  >> 

.

Bercé par la houle

En la mer  qui roule

Sur  bateau tangueur,

Je dors comme rêveur.

Où vagues  et en foules

S’y jettent et  en boules,

Mon corps  se  fait  rond

Et j’y dors   et  par bonds.

Oh,  réveille-toi, connard,

C’est l’heure de ton quart

Et en ai  plus  que marre

Que tu sois, déjà, retard.

.

Vas-et-viens, me saoule,

Mon corps,  se  déroule,

À chaque bord plaqué

À la cloison opposée.

.

J’essaie de me caler,

Je sursaute de côté

La vague  déboule

Sur moi s’écroule

Abandon volonté.

.

Ma chair s’enroule

Lors, j’en roucoule

Et la mer de houle,

Éclaire  l’ampoule,

De mon rêve de fée

De m’être envouté !

.

J’entends une sirène,

De la mer, pure reine,

Lors, je résiste, encore

Mais son charme, fort

M’invite  à deux dos !

.

Baiser, fond de l’eau,

Extase tous mes sens,

Pertes de conscience,

En nageoires, glissent

En couleurs d’abysse,

La sirène  m’emmène :

Je deviens phénomène.

.

Extension

.

Qu’elle soit du Danemark ou bien d’ailleurs :

Que ne fait-elle rêver plusieurs d’entre nous :

Moitié femme, moitié poisson, quelque part

Entre le bestiaire et monstre, virtuel et réel

Issue folklore scandinave, voire médiéval,

Elle demeure toujours d’actualité, rêvée.

.

Faut dire que leur envoutement est si fort

Qu’il confine à la sorcellerie féminine en termes

De manipulation pour obtenir objet de leur désir

Mais elle est doublée ou remplacée, de nos jours,

Par une charmante jeune femme, innocente,

Qui voudrait sauver son amant des griffes

D’une mégère, tyran par tous moyens.

.

Il n’est pas inintéressant de relever

Les noms donnés par Homère »

Auteurs de la même époque :

« Celle qui a une belle voix,

Celle au beau visage

Celle qui enchante,

Celle qui méduse par la parole,

Celle qui éclaire, illumine, enflamme »

 (Source : Wikipédia)

 

La plupart des sirènes qui figurent en l’imaginaire

Sont  des  femmes : jeunes, et sveltes, et gracieuses !

Il s’agit d’avantage  d’une hallucination  que de réalité

L’amour  y  figure, en premier, bien que, chez  Homère,

Ce sont des femmes oiseaux, ensorceleuses  et tueuses.

Le monde sous-marin est peuplé, de plein de songes :

L’imaginaire aura repris les sirènes en leurs contes.

.

La sirène de mer pour  fonction première, la séduction

Sirène des pompier et autres : celle d’attirer l’attention.

.

Comment la première en est venue à désigner la seconde

Quand une sirène pneumatique  alertera une population

.

Cela n’a rien d’un leurre, son chant n’est pas rassurant,

Il doit se passer quelque événement très dramatisant.

.

Mais l’imaginaire préfère s’attacher au fantastique,

Qui le fait rêver, qu’au triste constat de sa réalité,

Et pourtant un mariage ne pourrait se réaliser.

.

.

182 – Calligramme

 .

Bercé par la houle

En la mer  qui roule

Sur  bateau tangueur,

Je dors O  en  O  rêveur.

Où vagues  …  et  en foules

S’y jettent  …  et  en boules,

Mon corps   …    se fait rond

Et j’y dors   …   et par bonds.

Oh réveille       toi, connard,

Eh c’est l’heure de ton quart

J’en ai bien plus que marre

Que tu sois déjà en retard.

.

    Vas-et-viens, me saoule,   R

      Mon corps,  se  déroule,  È

         À chaque bord plaqué   V

            À la cloison opposée.   E

.

           J‘essaie de me caler,

                   Je sursaute de côté  D

                      La vague  déboule   E

                    Sur moi s’écroule

                        Abandon volonté.

.

                                 Ma chair s’enroule  S

                                   Lors, j’en roucoule   I

                                      Et la mer de houle,  R

                                        Éclaire  l’ampoule,   È

                                          De mon rêve de fée  N

                                            De m’être envouté !  E

.

                                            J‘entends une sirène,

                                              De la mer, pure reine,

                                                  Lors, je résiste, encore E

                                                 Mais son charme, fort  N

                                         M‘invite  à deux dos !

.

                                   Baiser, fond de l’eau,

                              Extase tous mes sens,

                           Pertes de conscience,   M

                    En nageoires, glissent   E

              En couleurs d’abysse,   R

      La sirène  m’emmène :

 Je deviens phénomène.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

182 4

.

Évocation 

.

La tête  et puis le tronc

Et la queue d’une sirène :

Spirituelle, sensuelle, cruelle,

Oui, c’est sûr, hallucination :

.

Sirène ne peut être autre qu’hallucination

on ne peut se la représente qu’en pleine rêve

ici dans ce sens, la forme épouse bien le fond.

Sirène grandeur nature, telle en rêve, en mer,

Mouvements houle provoque une hallucination.

.

Symbolique 

.

Monstres de la mer,

Avec tête et poitrine de femme,

Le reste du corps étant d’un poisson

Voire d’un oiseau, selon les légendes.

.

Sirènes séduisaient les navigateurs

Par la grande beauté  de leur visage

Et par les mélodies de leurs chants,

Puis les entraînaient,  dans la mer,

Afin  de s’en repaître.  (Cf.  Ulysse.)

.

Si on compare  la vie à un voyage,

La sirène figurerait les embûches

Nées des désirs et des passions.

Créations  de  l’inconscient,

Des  rêves    fascinants

Voire   terrifiants :

Autodestruction

Du désir.

.

Descriptif

.

182 – Rêve de sirène en mer

Alignement  central / Titre externe / Thème  rêve

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : sirène / Symbole de fond : hallucine

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

182 6

.

Sirène grandeur nature, telle on rêve,

En pleine mer :

Forts mouvements de la houle provoque

 Telle hallucination.

.

Symbolique

.

Une hallucination

Est définie, en psychiatrie,

Comme une perception sensorielle

Sans présence d’un stimulus détectable :

Par exemple voir des objets physiquement absents,

Ou bien entendre des voix sans que personne ne parle.

.

Les hallucinations visuelles surviennent en états affectifs :

Euphorique (extase mystique), passionné (visions érotiques),

Pénible ou effrayant (appelés onirisme confusionnel).

.

Les hallucinations auditives sont la perception

De sons (bourdonnements, voire sifflets…),

De musiques ou de voix, inexistantes,

Mais clairement entendus.

wikipedia.org/wiki/

Hallucination#Visuelles

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une sirène dans ma baignoire : j’hallucine !

Rassurez-vous, vous n’en verrez pas la queue.

Quant à l’entendre chanter : vous déchanterez.

Paire de seins, peut-être, qui émerge de mousse.

.

C’est Homère qui aura mis en scène, les sirènes.

Peu importe  leurs formes : ce sont des leurres,

Qui créent des problèmes plus qu’en résolvent

Méfiez-vous donc de leurs beautés fatales !

.

.

Forçant un peu les formes

.

Scénario

 .

On dirait sirène attend quelqu’un qui vient de loin et espère le voir !

Une apparition, des plus étranges mais attirantes, sur un rocher !

Symbole mondial du Danemark : illustre les contes d’Andersen.

.

Visuels et textuels  >> 

949 – Comment imaginer lumière sans ombre

Visuels et textuels >>

.

Les objets font de l’ombre

À toute lumière projetée,

Sous  un certain  degré,

Parfois,  en pénombre.

.

Et une personne peut

Vivre dans… l’ombre

De quelqu’un autre,

Sens propre, figuré.

.

Rester dans l’ombre

Se mettre en lumière

Ou, partager les deux,

Font toute personnalité.

.

Comment imaginer toute projection de lumière,

Sans ombre portée  sur les objets étant derrière :

Contrastes nous font bien percevoir leurs formes

En intensités de couleurs  si parfois … difformes.

.

Ombre et lumière n’existeront pas d’elles-mêmes,

Lumière reflète l’énergie, l’ombre, son incapacité,

Lumière  reflète  transparence ; l’ombre, l’opacité,

Épaisseur de nuit, matin, lumière d’ombre, blême.

.

Obscurs sont les néants habitants notre inconscient

Participant au collectif, ne seront pas moins, béants,

Si l’inconscient détient la clé de notre histoire privée,

Nous ne parvenons même pas  à  nous la remémorer.

.

Lumière ne provient pas,  à la fois, des deux côtés,

Et dans l’ombre, je peux m’autoriser quelque repos

Si j’imaginais que je puisse me voir, de face, de dos,

Je craindrais qu’ombre ne pourrait pas me cacher.

.

Dans l’ombre, je fais des choses,  sans y voir  clair,

Pour mieux  les rejouer ensuite  en pleine lumière,

L’apprentissage est ombre ; l’expérience est clarté,

En la maitrisant, la zone d’ombre  sera supprimée.

.

Pour vous influencer, je joue dans votre… ombre,

Quand c’est à moi d’agir face au grand… nombre

Il arrive  que je vive des heures … plutôt sombres,

Et alors je souhaite me retirer dans la pénombre.

.

Parfois, on me dit que je ne suis pas une lumière :

Pour autant je ne me vois pas d’ombre, ni œillère,

Dont je ne saurais que faire, pour me débarrasser,

Ma source serait-elle trop faible, pour m’éclairer !

.

Paradoxe que cette source  qui produit ma lumière,

Avoir besoin de son ombre pour bien me ressourcer,

Sans l’ombre  de ma lumière, je ne serais qu’insensé,

Sans la lumière de l’ombre,  je ne serais que mystère.

.


.

Extensions

 .

Complément

  +

Pendant longtemps,

L’on a cru que la lumière

Sortait des yeux, comme une

Projection sur l’environnement.

On sait à présent qu’il n’en est rien,

L’œil ne fait que la percevoir et refléter.

Les objets eux-mêmes reflètent la lumière

Et la couleur. Il n’est pas certain que les yeux

Voient leur réalité tant l’œil n’est pas objectif.

.

Supplément

&

Avant toute chose, préciser ce que désignent

La lumière, l’ombre, la pénombre, obscurité,

Puis nommer différentes sources de lumières

La  lumière naturelle  et  la lumière artificielle

Les  lieux  obscurs : grottes, caves, cinéma, etc.

Ou des personnages, des animaux, des activités,

Associés à jour, nuit,  la lumière ou à l’obscurité !

 L’ombre mettra en valeur la lumière par contraste,

Et fera ressortir comme une part de mystère caché.

.

Achèvement

#

L’ombre est caractéristique d’une absence

De lumière, et non pas à cause de celle-ci

D’un ou plusieurs objets qui la masque.

.

Si on dit  de quelqu’un  qu’il nous fait

De l’ombre, qu’il n’est pas une lumière

On fait référence à quel qu’obstruction,

Non pas tant à l’espace qu’à l’intelligence.

.

Lumière existe sans ombre mais non l’inverse

Bien que  personnes, personnages  existent bien

Dans l’ombre mais de façon analogique seulement

De même qu’on parle  de zone  d’ombre  en affaires !

.

.

949 – Calligramme

.

Les objets font de l’ombre

À toute lumière projetée,

Sous  un certain  degré,

Parfois,  en pénombre.

Et une personne peut

Vivre dans… l’ombre

De quelqu’un autre,

Sens propre, figuré.

Rester dans l’ombre

Se mettre en lumière

Ou, partager les deux,

Font toute personnalité.

.

Comment imaginer toute         C              projection de lumière,

Sans ombre portée sur les       O              objets étant derrière :

Contrastes nous font bien       M             percevoir leurs formes

En intensités de couleurs        M             si parfois … difformes.

E

Ombre et lumière n’existe        N            ront pas d’elles-mêmes,

Lumière reflète l’énergie          T            l’ombre, son incapacité,

  Lumière reflète  transpa           *             rence, l’ombre, l’opacité,

 Épaisseur de nuit, matin,          I           lumière d’ombre : blême.

 M

Obscurs sont les néants ha       A          bitants notre inconscient

Participant au collectif, ne        G            sont pas moins, béants,

Si l’inconscient détient la          I            clé notre histoire privée,

Nous ne parvenons même        N         pas à nous la remémorer.

E

Lumière ne provient pas,          R            à la fois, des deux côtés,

Et dans l’ombre, je peux            *        m’autoriser quelque repos

Si j’imaginais que je puis           L       se me voir, de face, de dos,

Je craindrais qu’ombre              U       ne pourrait pas me cacher.

M

Dans l’ombre, je fais des             I           choses,  sans y voir  clair,

 Pour mieux  les rejouer              È         ensuite  en pleine lumière,

L’apprentissage est om              R       bre, l’expérience est clarté,

En la maitrisant, la zone            E          d’ombre  sera supprimée.

*

Pour vous influencer, je             S          joue dans votre … ombre,

Quand c’est à moi d’agir            A             face au grand… nombre

Il arrive  que je vive des             N          heures … plutôt sombres,

Et alors je souhaite me               S          retirer dans la pénombre.

*

Parfois, on me dit que je            O           ne suis pas une lumière !

Pour autant je ne me vois          M             pas d’ombre, ni œillère,

Dont je ne saurais que fai          B            re, pour me débarrasser,

Ma source serait-elle trop          R              faible, pour m’éclairer !

E

Paradoxe que cette source          *             qui produit ma lumière,

Avoir besoin de son ombre                      pour bien me ressourcer,

Sans l’ombre de ma lumière                        je ne serais qu’insensé,

Sans la lumière de l’ombre                       je ne serais que mystère.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

Flacon de quelque chose,

C’est certain :

 Lors flacon de parfum 

Ou d’odeur

.

(forme pleine, rimes égales,

la forme s’éloigne du fond)

.

Une lumière sans ombre serait

Comme un parfum sans odeur, 

Et a contrario, l’odeur ne peut se

Passer de son substrat physique.

 .

Symbolique 

 .

À la Renaissance,

Le   parfum

A connu un

Réel   essor.

On l’utilisait

Pour  camoufler

Les mauvaises odeurs

Aujourd’hui, le parfum

Est considéré comme un

Produit  de luxe devenant

De  plus en plus  accessible

À  grand  nombre de gens.

Mais  le parfum marquera

Également la personnalité

De l’individu qui le porte.

Ce sera en quelque sorte

Sa signature olfactive.

Source : 1001symboles.net

.

.

Fond

.

Évocation 

.

949 6

Une lumière sans ombre serait

Comme un parfum sans odeur, 

Et a contrario, l’odeur ne peut se

Passer de son substrat physique !

 .

Symbolique 

 .

Odeurs s’offrent-

Réellement à notre nez ?

Il les fabrique   en partie.

Sont-elles  détachables des

Objets   qui   les    dégagent ?

Non, il nous semble impossible

De convoquer l’image d’une odeur

Qui ne serait pas l’odeur de quelque chose.

Se souvient-on  d’une  odeur ? Non.

.

On se souvient de l’avoir déjà sentie:

Pouvons-nous  décrire  cette  odeur ?

Non, pas davantage que l’expression d’un visage ;

On peut seulement en dire. Pourquoi ?

C’est parce que nous avons conscience d’une odeur

Sous la seule forme de « l’effet que cela fait » de la sentir.

Journals.openedition.org/terrain/4325

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Imaginez parfum qui ne vous convient :

Il vous dessert plus qu’il ne vous soutient

Et ce dernier étant par nature éphémère,

Il aura besoin  d’un fixateur  pour exister

Il en serait de même   pour toute ombre :

.

La lumière elle-même, ne peut en avoir,

Il faut un obstacle  pour projeter ombre.

L’ombre parfum est lumière qui le tient

Les deux se rejoignent en couple divin,

Qui illumine sa vie à chaque matin !

 .

.

Ambiance ombre et lumière

.

Scénario

.

Un puits de lumière  tout en haut mais tout autant d’ombre autour.

La moitié de son visage disparait dans l’ombre et par contraste.

Que met en valeur un tel jeu subtil d’ombres et de lumières ?

.

Visuels et textuels >>

948 – Mon espace-temps se contracte au soleil

Visuels et textuels >> 

.

Alors mon espace-temps,

Qu’est-ce   que  cela  peut  bien  être

Sinon l’endroit précis en ce jour où  je suis.

Où tout  s’étire et distend, fonction lieu, temps

Fonction  du rêve, de sensation, pensée, action.

.

Le temps semblera s’être arrêté,

Voilà la contraction espace-temps,

Faisant durer, longtemps : l’instant,

En un magique environnement.

.

Temps, espace disparaissant,

Il reste notre esprit vagabondant

Au gré de joyeuse, triste humeur

Et jusqu’à ignorer  le jour et l’heure.

.

Espace-temps  se contracte au soleil,

Allongée nue sur sable endroit désert

N’entends que  murmure de la mer,

Dont vague me susurre de dormir,

Par chants de sirène à s’étourdir.

.

Je ne sais plus trop, où je suis,

Je ne sais trop  où  j’en  suis,

L’espace-temps  s’évanouit,

J’en  suis  conquis  et ravi.

.

Rayon  caresse  ma peau,

Il me fait rêver   d’eaux,

Au-delà… mon cerveau

Profite de  son  repos,

.

Qu’une bulle octroie

À celui qui s’y  noie

Sans foi et sans loi

Nu comme un roi

.

Dans mon corps

Ni sud ni nord,

Soleil endort,

Pire encore

.

Le temps,

Espace,

Fond

On

V

 .

.

Extensions

.

Me contracter puis me fondre puis disparaitre

Comme une simple molécule ou simple atome

Dans la Nature pour ne subir la gravitation

Terrestre par le poids réel de mon corps,

Pour bénéficier de son attraction céleste

Me faisant voyager à travers l’espace-temps,

Ne sera rien d’autre que rêve sans aucun doute

Tant, à chaque fois que je me réveille, bien que nue

Et abandonnée aux rayons du soleil, je reviens sur Terre

En quatrième vitesse dès que je bouge le doigt de pied

Je réintègre mon corps pour le restant de la journée.

S’affranchir de toute pesanteur est, pour sûr,

Vrai bonheur mais comme personne ne peut rester

Des heures en repos sur un fil d’équilibriste, la réalité

Prend le pas sur la fiction en récusant l’imagination pour

Nous rendre et nous soumettre à ce que l’on appelle la raison.

Dire que le temps s’arrête est du domaine de l’hallucination

Bien que l’astronome prétend que le temps n’existe pas,

Que nous l’avons, purement et simplement, inventé

Pour transformer la course folle de l’espace

En histoire collective et individuelle.

Le temps subjectif devient une succession

De parenthèses où je suis et où  je ne suis pas.

L’important serait donc les changements d’états :

C’est parce que je perds conscience de ce qui m’entoure

se passe en moi que je prends conscience, au réveil, j’existe.

.

Le Soleil est un cercle, une boule, une étoile, un point lumineux

Il m’irradie de ses rayons de lumière et de chaleur gracieuse

Jusqu’à me faire tourner la tête et le reste avec, de fièvre

Si je m’y expose, toute une journée, et sans bouger

D’un seul coup, comme un voile sombre, noir

Avec juste un point  jaune, au milieu

Je  vacille et je tourne en rond

Suis malade pour de bon

Victime insolation.

.

Si on enlevait toute l’eau contenue

Dans mon corps plus la graisse, sang,

Sans compter tous fluides et humeurs,

Il ne resterait pas grand-chose  de moi !

.

Ce n’est pas ce qu’on appelle «contraction»

Ce sera plutôt : dessèchement, lyophilisation

Je n’y tiens pas plus que cela,  même au soleil,

Qui, dans mes rêves, ne sera qu’un disque doré.

.

.

Épilogue

.

L’espace où, rêvassant,

Je passe et perd du temps

Tout d’abord … il se rétracte,

Pour ne pas dire, se contracte.

Mon corps, esprit s’embrument,

Tout s’arrête, tout tend vers infini,

Juste parce que chaleur soleil ravit.

Plongé dans ma rêverie sans objet,

Je passe cent minutes comme une,

Et au final, je ne le regretterai pas,

Le prend comme  cadeau, fortune,

Il est si rare de pouvoir consacrer

Du temps à ne rien faire, à rêver.

Le soleil rechargera bien ma pile

Tant que je me brancherai  à lui,

Sans la moindre des résistances

Jusqu’à ce  qu’il ait fait  le plein,

Déclenchant, enfin, mon  réveil.

Espace  se remet  à faire surface

Et le temps à s’égrener … vivace

Je suis prêt  à sauter … à bondir

Sur tout  ce qui peut  m’advenir.

M’extirper  de  ma  chaise longue,

Me demande un effort surhumain

Mais  que j’accomplirai, volontiers.

Ah mince, ma peau aura trop rougi,

Au point je sens  comme un   frisson,

Aurai-je été victime d’une insolation !

.

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948 – Calligramme

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Alors mon espace-temps,

Qu’est-ce   que  cela  peut  bien  être

Sinon l’endroit précis  en          E         ce jour,  où    je suis.

Où tout  s’étire et distend           S          fonction lieu,  temps

Fonction  du rêve, de sensa       P         tion, pensée, action.

Le temps semblera   A     s’être arrêté,

Voilà la contraction   C    espace-temps,

Faisant durer, long    E  temps : l’instant,

En un magique         *       environnement.

Temps, espace       T             disparaissant,

Il reste notre       E      esprit vagabondant

Au gré de        M    joyeuse, triste humeur

Et jusqu’à   P    ignorer  le jour et l’heure.

Espace    S  temps  se contracte au soleil,

Allongée  *   nue sur sable endroit désert

N’entends   S  que  murmure de la mer,

Dont vague   E  me susurre de dormir,

Par chants de   *  sirène, à s’étourdir.

Je ne sais plus   C    trop, où  je suis,

Je ne sais trop    O     où  j’en  suis,

L’espace-temps    N    s’évanouit,

J’en  suis  conquis   T   et  ravi.

Rayon caresse ma   R      peau

Il me fait rêver     A   d’eaux,

Au-delà du      C    cerveau

Profite de   T   son repos,

Qu’une  E bulle octroie

À celui   qui  s’y  noie

Sans foi  et sans loi,

Nu comme  un roi

Dans  mon corps

Ni sud ni nord,

Soleil endort,

Pire encore

Le temps,

Espace,

Fond

On

V

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Forme

Réduction

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Évocation 

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Une vis plantée

Dans un cercle.

Ou une aiguille

Sur un  cadran

 .

(forme pleine, rimes égales,

la forme s’éloigne du fond)

.

Rien de bien comme entre l’aiguille, l’espace et temps,

bien qu’aiguille d’horloge indique l’heure selon endroit.

dire qu’elle se contracte au soleil réfère théorie d’Einstein

mais nous sommes loin du compte, temps = espace replié.

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Le temps est, plus souvent, figuré

Par une aiguille

Lors l’espace est souvent figuré,

Par un cercle.

 . 

Symbolique 

 .

Les  toutes premières  horloges  comptaient

Souvent  une aiguille : celle des heures 

Et déjà celle-ci tournait généralement

Dans le même sens qu’aujourd’hui.

Selon quel décret,  quel modèle ?

 .

Mystère : après avoir consulté

Quatre musées trois historiens

Et physiciens, pas de réponse.

 .

Pour les adeptes de la logique,

Les aiguilles reproduiraient la

Course du Soleil, vu de la Terre.

 .

Lors, les premiers cadrans étaient

Divisés en 24 parts : l’aiguille mettait

24 heures pour faire son tour complet,

Tout comme la course apparente du Soleil.

letemps.ch/societe/aiguilles-montre-quete-sens

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Fond

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Évocation 

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Le temps est, plus souvent, figuré

Par une aiguille

Lors l’espace est souvent figuré,

Par un cercle.

 .

Symbolique

 .

Le point est l’équivalent

Géométrique de l’unité arithmétique.

Il est à l’origine de l’ensemble des familles

De nombres figurés : il  n’a pas de dimension.

La première dimension commence avec la ligne

Composée  de deux points. Le point est le cercle

Qui attend  pour se développer  qu’on établisse

Un rayon, rapport entre lui et circonférence.

Le cercle est  dès lors le symbole du Tout.

 .

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Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

On s’y perd un peu, ici, en conjectures

Sans tenir compte de toutes conjonctures

Notre géométrie en prend plein la figure,

Nous abandonnant  en rade, déconfiture?

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Si le point, la droite, la courbe, le cercle

Seraient à l’origine  de bien des choses

D’autres nous échappent totalement,

Comme la matière noire voire grise

Comme les trous noirs : troublant.

 .

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 Mille temps : un seul espace !

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Scénario

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J’ai passé toute l’après-midi à bronzer en chaise longue sur la plage

en me réveillant, le soir, j’ai senti, chez moi, comme un tourbillon,

insolation et depuis je me repose en fauteuil avec une couverture.

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