770 – L’enfant passera des larmes aux rires

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             .

L’enfant rit

Puis soudain

Enfant pleure,

Sans qu’il y ait

Eu  un malheur

.

Humeur, n’étant

Pas encore  fixée,

Elle tangue, roule,

Selon   son   idée !

.

Car, dès que  cela lui

Échappe,  est étranger

Il prend de  suite, peur

Il tient  à le manifester,

Bruyamment  en pleurs

En réclamant   douceur.

.

Une fois dans  les bras,

De mère conso  latrice

Il se calme  et   il rit

Comme   E * ravi

.

L’enfant passera du rire aux larmes

Comme si…les instants précédents

Avaient fait…peu d’impressions

Sur lui, sur son tempérament.

.

L’enfant passe d’inertie à l’action,

Est là, regarde, contemplation :

Il mélange acte et imaginaire,

Réalité abstraite, arbitraire.

.

L’enfant est innocent ou pervers,

Parfois les deux, le contraire,

Il est jaloux, coupable, fier

Demain autant que hier.

.

L’enfant est un adulte miniature,

Qui apparait, adulte immature,

Enfant surprend de logique

Tout autant de magique.

.

Arrêtez : l’enfant est ce qu’il est,

Ce que nous aussi, en faisons,

Il a, à la fois, tort et raison,

Tantôt génie, tantôt benêt.

.

Si l’enfant vous pose problème,

C’est qu’il cherche ses limites,

Et si en tout, il vous…imite,

C’est qu’il vous bien aime.

.

Observer l’enfant, vous verrez

Homme miniature en entier,

Qui s’inscrit et se construit

En ses rêves, réinvestis.

.

Terminé, non, restant enfant,

On ne termine jamais d’être

Y a toujours un peut-être

Se conjuguant autant.

.

.

Extensions

 .

L’enfant, bébé, réagit

Comme un animal, qu’il est,

Et un animal en outre prématuré.

Il manifeste ses émotions sans filtre

Ni interprétation et au premier degré.

Qu’il passe du rire aux larmes n’a rien

D’anormal, il évacuera  ses  tensions

Les manifestera comme il les sent.

Simple fait de revenir au contact

De sa mère le rassure tant

Il fait entièrement corps

Avec elle et la lecture

De l’expression souriante

Sur son visage suffit à le calmer.

Le danger s’il existe, n’est plus pour lui.

Un visage étranger le perturbe : même si ce

Dernier sourit, c’est pas l’empreinte qu’il attend.

.

Crier, pleurer, verser des larmes

 Est aussi naturel et fréquent

Chez le tout jeune enfant

Que rire et sourire

Faut se le dire

Lors des signes

Avant ….. coureurs

Se profilent sur visage,

De lecture, compréhension,

Directes, il faudra les compenser.

.

L’enfant est une éponge :

Il absorbe tout ce qu’il voit

Ce qu’il sent, ce qu’il ressent,

Sans recul, au premier degré !

.

On lira, sans cesse, sur ses airs,

Ses émotions de nature primaire,

Il n’en a pas encore de secondaires

Avant trois/quatre ans, langagières.

.

S’il ne développe, entretient émotions,

Il y aura comme un soupçon d’autisme

Pour autant il ne faut pas d’alarmisme :

L’enfant changera vite lors socialisation.

.

.

Épilogue

.

On dit que l’enfant, petit, est ceci,

Quand d’autres prétendent, est cela,

Pour autant, on ne dit  n’importe quoi,

D’autant que tous, enfant, sommes ravis.

***

Il est vrai qu’avant trois ans, il n’est pas fini,

Il y a tant de changements qui se feront en lui,

Que ses humeurs, avec parfois un rien, varient :

Toutefois il saura ce que pleurs et rires nous dit.

***

La différence avec nous, qui sommes conscients

De nos états mentaux, états sensitifs, intérieurs

Nous ne passons pas de l’un à l’autre aussi vite

Ni aussi souvent : certains ne pleureront plus.

***

N’apparait la palette de toutes nos émotions,

Que plus tard, avec le contrôle d’expressions

Cela, de manière universelle en interaction

Qui nous fera dire, n’y a pas qu’imitation.

***

Le bébé, réagira au visage qu’il connait

Par un rire,  ne connait pas le sourire,

Et devant visage inconnu, il l’ignore,

Ou manifestera sa peur par pleurs.

.

.

770 – Calligramme

.

                        L’enfant  D  rit

                       Puis sou  U   dain

                      Enfant   *    pleure,

                  Sans   R    qu’il y ait

                Eu     I    un malheur,

           Hu     R  meur, n’étant

        Pas    *  E    encore  fixée,

     Elle     E    *    tangue, roule,

  Selon    N         A      son   idée !

Car, dès   F             U   que  cela lui

Échappe,   A                 X   est étranger

Il prend de  N                   *       suite, peur

Il tient à le   T                       L manifester,

Bruyamment  *                    A    en pleurs

En réclamant   P                R     douceur

Une fois dans   A             M    les bras

De mère conso  S        E    latrice

Il se calme et  S      S     il rit

Comme   E * ravi

.

**********************************

L’enfant passera du rire aux larmes

Comme si…les instants précédents

Avaient fait…peu d’impressions

Sur lui, sur son tempérament.

.

L’enfant passe d’inertie à l’action,

Est là, regarde, contemplation :

Il mélange acte et imaginaire,

Réalité abstraite, arbitraire.

.

L’enfant est innocent ou pervers,

Parfois les deux, le contraire,

Il est jaloux, coupable, fier

Demain autant que hier.

.

L’enfant est un adulte miniature,

Qui apparait, adulte immature,

Enfant surprend de logique

Tout autant de magique.

.

Arrêtez : l’enfant est ce qu’il est,

Ce que nous aussi, en faisons,

Il a, à la fois, tort et raison,

Tantôt génie, tantôt benêt.

.

Si l’enfant vous pose problème,

C’est qu’il cherche ses limites,

Et si en tout, il vous…imite,

C’est qu’il vous bien aime.

.

Observer l’enfant, vous verrez

Homme miniature en entier,

Qui s’inscrit et se construit

En ses rêves, réinvestis.

.

Terminé, non, restant enfant,

On ne termine jamais d’être

Y a toujours un peut-être

Se conjuguant autant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

770 4

 Une sorte de torche olympique

Sur un transfert entre deux sites,

Pile d’expressions possibles en bas

basée sur flamme d’émotions en haut

 .

Son expression est changeante au gré

Du vent, événement.

L’enfant ne maitrise, n’anticipe point,

Ses émotions.

 .

Symbolique

 .

Les enfants inventent,

Racontent et symbolisent

Leurs expériences à travers des histoires.

Ils le font à travers leurs jeux ou leurs dessins,

Dans lesquels ils représentent une réalité issue

De l’imitation ou de leur imagination.

.

Les géants, les poupées ou les fées,

Ont, souvent, des  rôles  principaux,

Fréquemment basés sur leurs parents,

Frères et sœurs, membres famille amis.

Lors la fonction symbolique chez l’enfant,

L’aide à générer ses moyens d’expression,

C’est souvent la base pour résoudre un conflit

 Avec le monde des adultes.

etreparents.com/limportance-de-la

fonction-symbolique-chez-les-enfants

.

Descriptif

 

770 – L’enfant passe du rire aux larmes

  Alignement central  / Titre  analogue / Thème  humeur

Forme en ovale /  Rimes égales  / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : expressions / Symbole de fond : émotions

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

770 6

.

Son expression est changeante au gré

Du vent, événement.

L’enfant ne maitrise, n’anticipe point,

Ses émotions. 

 .

Symbolique 

 .

Il existe une théorie

 «Émotions de base :

La Joie, Tristesse, Peur,

Colère, Dégoût, Surprise.

Les émotions secondaires,

La nostalgie par exemple,

Sont des mélanges des

Émotions de base.

.

On parle d’émotions mixtes

Pour les émotions secondaires.

Par exemple, d’après Paul Ekman

La honte  est  une émotion mixte :

Un mélange de peur et de colère,

Bloquée ou retournée contre soi

Source : Wikipédia Émotion

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Labilité définie comme propension

À changer, à bouger, à être mobile

Pour l’expression, pour la position,

Comme passer  du rire aux larmes,

Comme être sur le ventre, sur le dos

Tant il ne peut s’empêcher de réagir

Manque de contrôle et immaturité,

Déclenchant sensations de danger.

 .

.

Que d’émotions vives

.

Scénario

.

Enfant, ça pleure fort, au moindre mal, forcément

mais ça rie aussi de rien, ou de pas grand-chose,

et parfois il est entre les deux : sur le point de…

.

Visuels et textuels  >>

703 – Arrêtes, tu me chatouilles, mouilles !

Visuels et textuels  >>

.

Est-il vraisemblable que

Les chatouilles, les papouilles

Histoire d’enfant, pas d’amant.

Nenni, car ce n’est jamais fini,

De se faire rire, mutuellement,

Pour se mettre en condition

De s’aimer tout follement.

.

Des préliminaires

En quelque  sorte,

Sans la profondeur

Pas encore  mouillée,

Faut   s’arrêter  de  rire,

Pour    mieux   en    profiter.

Tes joues se remplissent de sang

Et ta bouche s’ouvre en plus  grand,

Écartelée sur le dos  et au milieu du lit,

Tes bras et jambes, s’abandonnent  aussi.

Regards se croisent, s’accrochent,  se fixent,

Pénètrent au plus profond de l’autre, préfixent

Lors effusion  lascive de nos deux corps accordés,

Comme deux serpents s’enlaçant jusqu’ à s’étouffer.

Nos moiteurs chaudes de nos frottements balancés,

En subliment nos odeurs de leurs parfums, saturés,

Tu n’as plus rien, ni à me montrer,  ni à me cacher,

Nos mouvements  un temps, s’arrêteront en bulles

Viendra s’établir autour de nos corps émoustillés,

Lequel, de l’un, ou de l’autre, viendra la craquer.

Et pour finir, cric et cric, crac-crac sur l’oreiller,

Centième fois comme la première, vrai prodige

Tant dans le creux de reins d’une, bien ramée,

Tu sais si bien faire monter ma sève en tige

.

Arrêtes, arrêtes, tu me chatouilles,

Faudrait-il déjà  que tu mouilles,

Et ce bien avant que je te fouille

Je glisse ma main où je parviens

En ton entrecuisse afin que divin

Effet, tu réagisses… t’arc-boutant

À ce qui te dépasse, ce qui te tend.

.

Arrêtes, arrêtes,  tu me chatouilles,

Commences pas à me recommencer,

D’accord si tu veux, pour la papouille,

Je suis bien réveillé et j’ai assez donné.

.

Faut-il opter  pour avoir  le  dos  tourné,

Chacun, de son côté, embrasser l’oreiller,

L’heure est au repos du guerrier et sa fée,

La tête vide, comme en un néant, tombée.

.

Matin, je me demande si je n’ai pas rêvé,

Mais tu es là toute souriante à mon coté

Et glissant mes mains dans les tiennes,

Il n’y a plus rien … qui nous retienne.

.

.

Extensions

 .

Les chatouilles,

Certains, certaines

En raffolent et d’autres

Les insupportent voire les

Considèrent comme neutres,

Sans aucun effet sur eux, elles.

Cela va sans dire,  qu’il faut que

Ce soit un tiers qui les prodiguent

Car de soi-même, attente, surprise

Sont fortement  compromises  et ne

Donneront de ce fait que peu d’effet.

.

Rires et chatouilles  font bon ménage,

Encore que chatouille, au sens figuré,

Est plutôt  dans le sens d’un divorce :

Et peut-être l’êtes-vous en me lisant,

Tant sur la forme  que sur les fonds.

Bon, ici il s’agit de jeux amoureux,

Et si l’on ne peut se chatouiller soi

Le faire à l’autre sera de bon aloi

Ou pas, y en a qui n’aiment pas.

.

Toutes les postures sont dans la nature,

Le Kamasoutra en présente bon nombre

Quant à se chatouiller on touche serpent

Qui se remue beaucoup pour y échapper.

.

Les jeux amoureux sont un vrai langage,

Chacun des deux partenaires s’engagent

À stimuler l’autre, mettre sur un nuage

Cas contraire : tu m’embêtes, dégage !

.

Ce jusqu’au premier/dernier outrage

Jusqu’à  ce qu’il ne puisse : en nage,

Avoir  force recommencer, courage,

De chatouilles et caresses, partage.

.

.

703 – Calligramme 

.

          Est-il vraisemblable que

           Les chatouilles, les papouilles

         Histoire d’enfant, pas d’amant.

       Nenni, car ce n’est jamais fini,

         De se faire rire, mutuellement,

       Pour se mettre en condition

       De s’aimer tout follement.

Des préliminaires

En quelque  sorte,

Sans la profondeur

Pas encore mouillée,

Faut s’arrêter  de rire,

Pour   bien  en   profiter.

Tes joues se remplissent de sang

   Et ta bouche s’ouvre  en plus  grand,

     Écartelée sur le dos    *  et au milieu du lit,

    Tes bras et jambes,  A  s’abandonnent  aussi.

    Regards se croisent, s’ac   R  crochent se fixent,

       Pénètrent au plus profond de   R  l’autre, préfixent

        Lors effusion  lascive de nos deux   Ê   corps accordés,

           Comme deux  serpents s’enlaçant jusqu’   T     à s’étouffer.

             Nos moiteurs    chaudes de nos frottements     E       balancés,

            En subliment     nos odeurs de leurs parfums,    *           saturés,

          Tu n’as plus  ……. rien, ni à me montrer ni à   T        me cacher

        Nos mou …………  vements  un temps, s’arrê  U   tent en bulle

         Viendra ………….  s’établir autour de nos  *  corps émoustillés,

          Lequel ……….…. de l’un, ou, de l’autre, M  viendra la  craquer.

         Et pour……..…….. finir : cric et cric  E crac-crac sur l’oreiller

          Centième ……..…… fois comme  *  la première, vrai prodige

            Tant dans ….….…    le creux de  C  reins d’une bien ramée

                Tu sais si……….bien faire  H monter ma  sève en tige

                                      Arrêtes, arrêtes   A    tu me chatouilles,

                                   Faudrait-il déjà    T   que tu mouilles,

                                 Et ce bien avant    O   que je te fouille

                              Je glisse ma main  U   où je parviens

                            En ton entrecuisse   I   afin que divin

                          Effet, tu réagisses    L   t’arc-boutant

                        À ce qui te dépasse   L  ce qui te tend.

                      Arrêtes, arrêtes, tu  E  me chatouilles,

                     Commences pas, à   S me recommencer,

                  D’accord si tu veux  *  pour la papouille,

              Je suis bien réveillé et j’ai assez donné.

           Faut-il opter pour avoir  le  dos  tourné,

       Et chacun de son côté  embrasse oreiller,

    L’heure est au repos du guerrier et sa fée,

 À la tête vide, comme  en  néant, tombée.

Matin, je me demande si je n’ai pas rêvé,

Mais tu es là toute souriante à mon coté

Et glissant mes mains dans les tiennes

Il n’y a plus rien qui nous retienne.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

703 4

.

La silhouette

D’une jeune femme,

De profil, le dos cambré

Nue et offerte au toucher !

 .

Bien des préliminaires qu’ils soient de face,

De dos ou profil,

Font, de l’amour sexuel, un jeu sensuel

Qui éveille le sens du toucher.

 .

Symbolique 

.

Un profil,

Est bien sûr,

Une vue de côté

Celui d’une femme

Est  différent  de  celui

D’homme quel qu’il soit.

Il est plus petit et cambré,

Où la femme laissera voir,

  Sinon   entrevoir,  marquer,

La  présence  de  ses  seins,

Vers   l’avant : en   somme

C’est un profil en courbes

Avec une pointe où bras

Rendus  derrière le dos,

Long du corps dégagent

Un vide, comme lumière.

.

Descriptif

.

703 -Arrêtes, arrêtes, tu me chatouilles !   

  Alignement central  /   Titre serpente  /  Thème  sexualité

Forme  courbe  /   Rimes égales    / Fond accordé à forme

Symbole de forme : profil  /  Symbole de fond : toucher

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Bien des préliminaires qu’ils soient de face,

De dos ou profil,

Font, de l’amour sexuel, un jeu sensuel

Qui éveille le sens du toucher.

.

Symbolique

 .

Le toucher :

Un des sens est mis en œuvre

Par la main, nous permet de mieux connaitre

Notre environnement et de pouvoir pallier  tous dangers.

La main est la partie la plus mobile du corps,

Elle touche, palpe, discerne un volume ou une matière.

.

Le toucher implique la notion de proximité,

De contact d’où vient l’« attouchement ».

Sur le Plan intérieur, le toucher sera

Délicatesse, tact, raffinement

Et discernement.

ledifice.net

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

De face, de dos, de trois quarts, de profil :

Autant de positions et postures différentes

Qui jouent sur la perception des silhouettes

À chacun de présenter son meilleur profil.

.

Il est certain que de dos, c’est plus délicat,

Ça veut dire que l’autre on ne fait pas cas

Tandis que de face, tout est grand ouvert

On pourra se parler tout en se tortillant.

 .

.

Premier geste préliminaires

.

Scénario

.

Le rire, lors des loisirs nature,

et, le rire, d’une façon plus familière,

conduisent à plus de disponibilité, intimité.

 .

Visuels et textuels  >>

1074 – Faites-moi rire, jusqu’à en pleurer

Visuels et textuels >>

.

Rire est un réflexe

Rire est  un besoin,

Faire rire est un art,

Rire est une thérapie

Rire, de  soi,  de  rien,

De tout,  fait  du  bien,

.

Quand on  en a  marre,

De ce qui  est complexe,

Qu’on  ne voit  plus  loin,

Qu’on se dit, ben tant pis.

Rire, comme  un   malade,

Vous redonne moral, santé.

.

Faites-moi rire

Jusqu’à en pleurer

Tant une heure de rire

Déstressera rude journée

Bien plus que verre de vin,

Voire même que petit joint !

.

Faites-moi rire

À mourir de plaisir

Tant une heure de rire

Augmentera mon désir,

Vivre en réelle harmonie,

Avec ma famille, mes amis.

.

Faites-moi rire

À me tordre ventre

Tant une heure de rire

Me guérira de ces maux,

Qui me rincent les boyaux,

Me donnent froid dans le dos.

.

Faites-moi rire

Et aussi en sourire

Tant une heure de rire

Est une potion magique,

Qui changera mon humeur,

Me procurera instant bonheur.

.

Faites-moi rire

Avec votre fou rire

Qui… n’en finira pas

De gagner l’assemblée

Une heure sans s’arrêter,

Jusqu’à la cloche ait sonné.

.

Ces rires, divers

Et en formes de vers

Vous sont ici adressés,

Pour que vous puissiez,

En rire… tout à votre aise,

De moi, ne vous en déplaise.

.

.

Extensions

 .

Le rire est un comportement oral

Qui va bien avec la parole et le geste

Et qui va beaucoup moins avec le texte.

Il nécessite, la plupart du temps, un public

Qui accentue ou diminue les situations drôles.

Il y a une mise en scène  du rire, du comique

Qui tient des arts et des artistes du théâtre.

.

Le rire intérieur, différent du sourire

Qui demeure expressif, souvent

Subtil mais, parfois, commercial,

Est un état mental joyeux et facétieux

Comme si l’on ne se prenait pas au sérieux,

L’on se moquait de soi-même où de la situation

Où l’on se trouve, où l’on s’est mis,  de soi-même !

.

Par ailleurs, le rire possède la vertu thérapeutique

De se déstresser, combattre l’anxiété, la déprime

Il s’agit alors d’un rire, provoqué, auto-stimulé,

Mais il est conseillé de le pratiquer en groupe

Pour bénéficier d’entrainement des autres.

Un quart d’heure de rire, à gorge déployée,

En respirant profondément entre chaque séquence,

Vaudrait, parait-il, deux à quatre heures de repos ?

.

Pleurer à force d’en rire

Pour arrêter un fou-rire,

Et pouvoir enfin, sourire,

Après  un profond soupir,

J’en ris de me voir si belle

 En ce miroir, chante-t-elle

La Castafiore dans Tintin

Avant de faire déchanter

Son miroir, à en pleurer

.

.

1074 – Calligramme

.

FAITES – MOI

Rire est un réflexe

Rire est  un besoin,

Faire rire est un art,

Rire est une thérapie

Rire, de  soi,  de  rien,

De tout,  fait  du  bien,

Quand on  en a  marre,

De ce qui  est complexe,

Qu’on  ne voit  plus  loin,

Qu’on se dit, ben tant pis.

Rire, comme  un   malade,

Vous redonne moral, santé.

RIRE,

Faites-moi rire

Jusqu’à en pleurer

Tant une heure de rire

Déstressera rude journée

Bien plus que verre de vin,

Voire même que petit joint !

Faites-moi rire

À mourir de plaisir

Tant une heure de rire

Augmentera mon désir,

Vivre en réelle harmonie,

Avec ma famille, mes amis.

JUSQU’À

Faites-moi rire

À me tordre ventre

Tant une heure de rire

Me guérira de ces maux,

Qui me rincent les boyaux,

Me donnent froid dans le dos.

Faites-moi rire

Et aussi en sourire

Tant une heure de rire

Est une potion magique,

Qui changera mon humeur,

Me procurera instant bonheur.

EN PLEURER 

Faites-moi rire

Avec votre fou rire

Qui… n’en finira pas

De gagner l’assemblée

Une heure sans s’arrêter,

Jusqu’à la cloche ait sonné.

Ces rires, divers

Et en formes de vers

Vous sont ici adressés,

Pour que vous puissiez,

En rire… tout à votre aise,

De moi, ne vous en déplaise.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1074 4

.

Bracelet de montre où mailles

S’enchaînent pour vous

Faire un tour… du bras

Si ce n’est pendable.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Les rires qui se suivent et s’enchaînent

 Finissent parfois en pleurs :

Pleurs de joie, pour sûr, tant mon corps

Est saturé de toutes chaines.

.

Symbolique 

.

La « chaîne symbolique » signifie

À la fois un mouvement et des étapes :

Représentations; substitution; communication

Se construit, sans une solution de continuité,

Depuis  les  premiers  symboles  corporels

Jusqu’au symbolisme de la langue écrite.

..

Il n’y a pas de « pré-langage », pas plus

Que de de « prérequis » au langage :

Le langage  corporel  est  un  langage

Anticipateur de la langue orale et écrite.

.

Les différentes étapes de la construction

De cette fonction qui … ….« s’enchainent »,

S’emboîtent, comme les maillons d’une chaîne.

etudier.com/dissertations/Chaîne-Symbolique/356257

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1074 6

.

Les rires qui se suivent et s’enchaînent

 Finissent parfois en pleurs :

Pleurs de joie, pour sûr, tant mon corps

 Est saturé de toutes chaines.

.

Symbolique 

.

Mot chaîne est lié au cadenas,

Aux entraves verrouillées dont

Il est impossible de se libérer,

Symbolise l’emprisonnement

Bien plus encore : servitude.

.

Et briser les chaînes signifie

Se libérer,  de la contrainte.

Au figuré,  évoque solidarité

En  se donnant  la main  pour

Former longue chaîne d’union.

.

À l’image des anneaux assemblés

Les uns  aux autres, les personnes

S’unissent en fraternité, entraide.

Car donner la main à quelqu’un,

C’est aussi l’aider, le soutenir !

Modifié, source : 1001 symboles

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

Chaine et rire ne vont pas ensemble :

Le rire suppose un minimum de liberté,

Avec certaines limites à ne pas dépasser,

Qu’on apprend au fil du temps, expérience

Le rire aurait cette propriété de déchainer

Notre aliénation, notre stress, ras-le-bol

De renouveler l’énergie emprisonnée

En nous qui empêchera d’avancer

Pleurer peut faire même effet.

 .

Rire ou pleurer, à en mourir ! 

.

Scénario 

.

Faites-moi rire

et tant que … jusqu’à en pleurer,

sourires et pleurs : émotions contraires !

 .

Visuels et textuels >>

1073 – J’ai le cœur à rire, l’esprit à pleurer

Visuels et  textuels >>

.

Des émotions,

Des  sentiments,

Pensées contraires

M’envahissent, sans

Que je puisse rien faire

Torturé par  injonctions

Des plus contradictoires,

Et tous blancs  ou noirs.

.

J’en pleure, de rire

Et j’en ris  à  pleurer,

Sans  vraiment savoir

Si cela va bien s’arrêter,

Lorsque le vent emporte

Tous instants, d’éternité

Frappant cœur,  esprit,

Tous deux contrariés.

 .

J’ai le cœur à rire et j’ai l’esprit à pleurer,

Lors je vois d’où je viens, et où je vais,

Le cœur à rire…il me faut bien vivre,

Chaque instant qui passe un peu ivre

D’émotion qui m’envahit, à ma …  joie

D’être au monde, chasseur et non proie !

.

Le passé ne sert à rien, et avenir, incertain :

Il n’y a là, rien d’autre que … d’humain,

Nous sommes tous en mêmes galères

Et nous prétendons tous être…frères,

C’est le moment d’une union … sacrée

Qui, seule, nous fera sortir de ce merdier !

.

Une dette faramineuse nous aura plombés,

Question est maintenant, qui va payer :

Les autres de préférence ou bien tous

Mais au profit de qui et là, on tousse,

Et rien ne nous garantira que les mêmes

L’ayant provoqué, non riches à l’extrême !

.

L’Europe du Nord résisterait bien … mieux

Que celle du sud, qui fera, encore, la fête,

Alors que tout s’écroule, sous leur pied,

Et qu’il faut se hâter vite de les sauver,

Partagée en deux, France est au milieu :

De quel côté ira-t-elle tourner… les yeux !

.

.

Extensions

 .

J’ai le cœur à rire, j’ai l’esprit à pleurer

Je passe de l’un à l’autre sans me fixer

Tant je me dis que la Politique est,

Tout comme la langue d’Ésope,

La meilleure et la pire des choses,

Tantôt elle nous enfonce, tantôt sauve.

.

Ah, elle me dira de garder mon sang froid,

Toute ma raison et de faire taire mes émotions,

Qu’on s’en tirera, ils sont là pour ça : c’est pas faux,

Mais je sais que cela recommencera car c’est le système

Lui-même qui génère ces états là et ce sont les mêmes

Qui produisent, et qui répareraient, les dégâts.

Et à qui profite cela, allez donc savoir :

Pas à l’humanité … en tous cas.

.

Le cœur et l’esprit peuvent être en inversion de phase

« Je suis très attiré par, mais j’ai peur de me tromper »

Il n’y a pas toujours de solution évidente à ce problème

Et les relations d’incertitudes  ne vont pas nous y aider :

 Il faut décider par soi-même : où est le bien où est le mal.

.

Le langage humain a ceci d’étrange, particulier,

Il est non seulement polysémique,  interprétable

Mais entaché de parties d’erreurs  et  de vérités !

.

Ce qui donne  des  innocents, déclarés  coupables,

Contre des coupables  qui se déclarent  innocents,

Le langage du juge  ne serait pas : vérité suprême.

.

Tout est une question de chiffres, de statistiques :

Le nombre, objectif, a pris l’avantage sur les mots,

Dont on se méfiera de par leur caractère subjectif.

.

Voilà qui fait que ce qui me donne le cœur à rire,

Me donnera, en fin du compte, l’esprit à pleurer.

.

.

1073 – Calligramme

 .

J  ’  A   I

 L  ………….

………….

Des   E  émotions…

Et  sen  S     timents…

 Pensées     P   contraires…

M’envahis     R    sent, sans…

Que je puisse     I      rien faire….

Torturé par in   T    jonctions…

Des plus contra  *       dictoires,

Où, tous blancs      À             noirs…..

Et j’en pleure            *            de rire ….

Et j’en ris à                P            pleurer ….

Sans vrai                    L       ment savoir

Si cela va bien         E         s’arrêter.

Lorsque, le vent     U        emporte

Chaque instant,   R       éternité

Frappant cœur   E        esprit

Tous deux con  R  trariés

 .

E  T  L E    C  Œ U  R     À     R   I  R   E 

J’ai le cœur à rire et j’ai l’esprit à pleurer,

Lors je vois d’où je viens, et où je vais,

Le cœur à rire…il me faut bien vivre,

Chaque instant qui passe un peu ivre

D’émotion qui m’envahit, à ma …  joie

D’être au monde, chasseur et non proie !

.

Le passé ne sert à rien, et avenir, incertain :

Il n’y a là, rien d’autre que … d’humain,

Nous sommes tous en mêmes galères

Et nous prétendons tous être…frères,

C’est le moment d’une union … sacrée

Qui, seule, nous fera sortir de ce merdier !

.

Une dette faramineuse nous aura plombés,

Question est maintenant, qui va payer :

Les autres de préférence ou bien tous

Mais au profit de qui et là, on tousse,

Et rien ne nous garantira que les mêmes

L’ayant provoqué, non riches à l’extrême !

.

L’Europe du Nord résisterait bien … mieux

Que celle du sud, qui fera, encore, la fête,

Alors que tout s’écroule, sous leur pied,

Et qu’il faut se hâter vite de les sauver,

Partagée en deux, France est au milieu :

De quel côté ira-t-elle tourner… les yeux !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1073 4

.

Visage d’homme,

Vu de profil, riant,

Soucieux et rempli

D’incertitudes ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Homme est un être d’incertitudes

plein de croyances, fausses vérités

dans lesquelles il tente de surnager :

aussi sa forme correspond à son fond.

.

Émotions peuvent êtres diverses

Et voire même  contradictoires :

Ce qui provoque, en nous, l’état

 D’interrogations, incertitudes.

 .

Symbolique 

 .

Le cerveau est l’organe des émotions :

Il donnera naissance à la joie, la tristesse,

La peur, la colère, la surprise ou le dégoût.

Comment ces affects sont-ils mis en relation

Sont-ils placés  sous le contrôle de la raison ?

.

Les découvertes en neurosciences l’expliquent.

L’on peut  passer d’une vision «achromatique

En noir et blanc  des processus dits cognitifs

À une représentation colorée, enluminée

Par des processus émotionnels divers.

Magazine Cerveau et Psycho

.

.

Fond

 

Évocation

.

.

Émotions peuvent êtres diverses

Et voire même  contradictoires :

Ce qui provoque, en nous, l’état

 D’interrogation, incertitude.

 .

Symbolique de fond

 .

L’incertitude, contraire de certitude,

Fait de ne pas être sûr de quelque chose.

.

1 – En  Sciences, et  surtout  en  métrologie,

L’incertitude désigne la marge d’«imprécision»

Sur valeurs de mesures de grandeur physique.

.

2- En psychologie, l’aversion à l’incertitude,

Forme d’aversion  au risque, est la crainte

Assez  répandue  qu’en  cas  d’incertitude

Situation pourtant générale dans la vie

Et dans la société et comme dans tout

Système dynamique, plus à perdre

Qu’à gagner, d’où les tentatives  

De  maintenir  le  statu  quo.

wikipedia.org/wiki/Incertitude

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

On ne peut vivre, en permanence, en incertitude :

La charge mentale serait trop lourde, déprimante

On risque de passer sans cesse du rire aux larmes

Ce qui causerait l’instabilité d’humeur ingérable !

.

Nous vivons souvent en une recherche d’équilibre

Que d’aucuns appelleront : sérénité, homéostasie.

Les émotions contradictoires sont plus fréquentes

Chez les jeunes enfants qui ne les contrôlent pas.

.

Chez l’adulte, passage rapide du rire aux pleurs

Sera un signe de forte instabilité  des humeurs.

Si l’on rit, ou pleure, tout le temps pour un rien

On n’est pas loin du burn out, voire dépression.

 .

.

Fauteuil pour deux ou deux pour un

.

Scénario

 .

J’ai le cœur à rire du plaisir de te retrouver,

puis j’ai l’esprit à pleurer d’avoir déjà à te quitter,

j’ai le cœur à rire, l’esprit à pleurer, tu me manques déjà.

 .

Visuels et  textuels >>

1071 – Le rire en bouche avec larme à l’œil

Visuels et textuels  >>

.

Rire

 Reste

Sourire

Intérieur,

Lors pleurer

Sans      larmes,

Un visage  fermé

On pleure  de rire,

On rit  aux  larmes,

Lors  mot   d’esprit,

Surprend,  désarme,

Et ce  jusqu’à ce que

L’on se tord le corps

Suite à un…fou-rire

Com-mu-ni-ca-tif !

.

J’ai le rire …en bouche,

La larme à l’œil en fête,

Si ce n’est le…contraire,

Lors je suis en… douche,

N’ai rien  d’autre, à faire,

Que de me laver … la tête

De toutes pensées noires,

Qui me hantent des soirs,

Jettent en  vrai désespoir.

.

Quand je suis en errance,

Ou je suis  en  souffrance,

J’attends ma … délivrance

En sortant de ma coquille

Pour boire bonne humeur

Pour dissoudre  les peurs,

Quand verres s’enquillent

Avant affronter  le monde

Autour me perçant à jour.

.

Lors j’ai  le  rire  en  bouche

J’ai la larme  à l’œil, en fête,

Tant  mes succès  et défaites,

Croulent  sous pleine douche

Et  jusque  sous  mes aisselles

Comme  une eau  de vaisselle,

Savonné,  lavé,  frotté, purifié,

Je brille, comme un ostensoir !

.

Miasmes se seront tous fondus

Errance, souffrance… désespoir

Se sont évacués et ont disparu :

Leur délivrance m’a… régénéré,

Séché, pomponné et … parfumé,

Me voilà   un tout autre homme,

En mâle heureux… tout comme,

Qui ne demande qu’à… assouvir

Un irréductible désir de  séduire

Le miroir qui sert à… l’admirer !

.

.

Extensions

 .

J’ai le rire en bouche, la larme à l’œil,

Le nez en fête, je m’éclate ou je m’écarlate

Ou j’épate mon visage, en somme, ce dernier

Devient un livre ouvert sur mes états intérieurs

Que je ne pourrai masquer à personne, du moins

À ceux qui me connaissent et qui me fréquentent.

.

Cela rappelle la comédie tragique, tragi-comédie,

Cette manière de mélanger des actes et humeurs

Contraires dans un scénario au sein d’une scène

Afin de détendre  l’atmosphère, insoutenable

Lors d’un acte qu’on juge injuste ou cruel.

.

Cela rappelle le «rire jaune», expression

Pour une personne tentant de se forcer

À rire, afin de calmer sa colère ou ne

Veut pas montrer qu’elle est vexée.

.

C’est tout le contraire de « rire aux larmes ».

Les clowns sont les champions du «faire rire»

Les autres sont souvent tristes à l’intérieur

D’eux-mêmes : ceci compenserait cela !

.

Rire, pleurer en même temps, est-ce vraiment possible.

Oui si ce sont des larmes de joie qu’on ne pourrait retenir,

Non, si le rire et les larmes seront  des signes de sidération.

Joie et tristesse  peuvent se mélanger, comme se disjoindre :

Chez  les  enfants, on voit les deux, alternativement, poindre.

Certain que le fou rire n’est empreint d’aucune ambivalence,

Certain aussi qu’une larme  marquera un bonheur inespéré

En somme que l’extrême qu’on pourra décoder, évidence :

Pleurer de déception n’est pas rire de situation absurde.

.

Rire et pleurer, et à volonté, reste ce talent

D’acteur chevronné, habitué à faire passer

Une émotion sur son visage, authentique !

.

Enfants en bas âge, ont aussi cette faculté

Mais parce qu’ils ne maitrisent émotions,

C’est la manière d’attirer notre attention.

.

Il existe des visages,  inémotifs, placides,

Lors vous ne les verrez ni rire ni pleurer,

Ils sont autistes, insensibles, amorphes !

.

.

1071 – Calligramme

.

LE

Rire

 Reste

Sourire

Intérieur,

Lors pleurer

Sans      larmes,

Un visage  fermé

On pleure  de rire,

On rit  aux  larmes,

Lors  mot   d’esprit,

Surprend,  désarme,

Et ce  jusqu’à ce que

L’on se tord le corps

Suite à un…fou-rire

Com-mu-ni-ca-tif !

RIRE EN BOUCHE,

J’ai  le rire …  en bouche,

La larme, à l’œil en fête,

Si ce n’est le … contraire,

Lors je suis en… douche,

N’ai rien  d’autre, à faire,

Que de me laver … la tête

De toutes pensées noires,

Qui me hantent des soirs,

Jettent en  vrai désespoir,

Quand je suis en errance,

Ou je suis  en  souffrance,

J’attends ma … délivrance

En sortant de ma coquille

Pour boire bonne humeur

Pour dissoudre  les peurs,

Quand verres s’enquillent

Avant affronter  le monde

Autour me perçant à jour.

LA LARME À L’ŒIL !

Lors j’ai  le  rire  en  bouche

J’ai la larme  à l’œil, en fête,

Tant  mes succès  et défaites,

Croulent  sous pleine douche

Et  jusque  sous  mes aisselles

Comme  une eau  de vaisselle,

Savonné,  lavé,  frotté, purifié,

Je brille, comme un ostensoir !

Miasmes se seront tous fondus

Errance, souffrance… désespoir

Se sont évacués et ont disparu :

Leur délivrance m’a… régénéré,

Séché, pomponné et … parfumé,

Me voilà   un tout autre homme,

En mâle heureux… tout comme,

Qui ne demande qu’à… assouvir

Un irréductible désir de  séduire

Le miroir qui sert à… l’admirer !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1071 4

.

Une fusée peut-être

Mais, tout aussi bien,

Tube de rouge à lèvres

Accentuant  ses  sourires !

.

(forme pleine, rimes égales

le fond s’approche de forme)

.

Rouge à lèvres et sourire vont ensemble

mais rire et larme ne s’en approchent pas

on dira que les premiers sont des aides

et ainsi la forme évoquerait le fond.

.

Le rouge à lèvres aurait-il quelque chose

 À voir  avec notre … rire ?

Non, disons plutôt, avec notre sourire qu’il

Accentue ou qu’il dessert.

.

Symbolique 

.

Le rouge à lèvres rouge est

Le symbole de la séduction … absolue.

Le rouge à lèvres est sur toutes les bouches,

Dans tous les sacs, augmente notre estime de soi

Autant que sa séduction : des coulisses à la vie

Quotidienne, il est notre allié bonne mine,

«L’arme  absolue séduction de femme»,

Disait Coco Chanel, et un emblème

De  la  pure  beauté  féminine

Et depuis cinq mille ans.

madame.lefigaro.fr/ /le-lipstick-

rouge-symbole-de-seduction-absolue

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1071 6

.

Rouge à lèvres aurait-il quelque chose

 À voir  avec notre … rire ?

Non, disons plutôt, avec notre sourire qu’il

Accentue ou qu’il dessert.

.

Symbolique

 .

Le sourire est

Une expression du visage

Témoignant en général de la sympathie.

Le mot sourire est apparu  au Moyen Âge, issu du

Verbe latin sub-ridere  qui signifie prendre une expression

Rieuse, ironique, destiné à tromper, mais le sens se

Renforce comme positive, ce dès naissance,

Pour cela, il est considéré  comme inné

Et génétiquement déterminé.

fr.wikipedia.org/wiki/Sourire

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Le rire serait différent si les lèvres sont

Soulignées ou marquées par du rouge,

Ou du noir ou n’importe quelle couleur

Si  l’on voit, ou non, des dents blanches,

Si le sourire est pincé genre commercial

Avec la larme à l’œil, l’on est interloqué.

.

Messages contraires : durs à décoder :

Et si,  en général, il n’y a pas de larmes

Avec les sourires, il arrive que l’émotion

Déborde  sur un rire au bord des larmes.

La différence serait que de vraies larmes

Tendraient la peau du visage vers le bas,

Que le rire plisserait la peau  vers le haut.

 .

.

Entre le rire et le sourire

.

Scénario

.

Le rire franc, en bouche, se décode instantanément, universellement,

et la larme à l’œil, avec  un visage empreint de tristesse : tout autant,    

mais le rire en bouche et la larme à l’œil, est émotion plus complexe !

.

Visuels et textuels  >>

1068- Le rire est-il propre à l’homme ?

Visuels et textuels >>

.

Rire est un poème

Faisant bien extrême

Détend corps  et  esprit,

Toujours  autant  de  pris !

.

C’est  le  propre  de l’homme,

Bien que … des animaux rient,

Aussi mais pas de même façon

Surtout  pas  de vous, de tout.

.

L’humour est

Le cousin du rire,

L’amour est le

Cousin du sourire.

.

Faut savoir les deux entretenir

Ça  donne  l’air   de   voir   venir,

Le rire est-il  propre  à  l’homme :

.

Rions  ensemble, alors … en somme

Pour que le monde, et  par contagion,

Soit verre davantage  plein d’émotions.

.

On dit : «vogue la vie et vogue la galère»,

Quand la roue tourne et l’on erre sur Terre,

Car de rire ne pourra que vous faire du bien

Vous ne serez pas mort au moins pour rien.

.

Le rire n’est que pur mécanisme conscient,

Mais qui peut se déclencher inopinément,

Il est, rien  qu’à lui seul : vraie thérapie,

Car l’on envie  celui qui, toujours, rit.

.

Il permet  de devenir, ou de rester,

De bonne humeur, genre farceur,

Tout semble plus léger… éthéré,

Si l’on secrète intime bonheur.

.

Et … si le sourire  est  son  frère,

L’humour est son proche cousin

On peut rire de tout, de rien

Mais cela ne modifierait,

Que peu, l’univers.

.

.

Extension

.

Le rire est-il propre à l’homme :

Non, bien sûr, les singes rient

Parait que les chevaux aussi.

.

Mais l’homme est le seul à rire

De lui-même et cette autodérision

Lui donne de la distance et modestie.

.

Pourquoi riez-vous : j’ai dit quelque chose

De drôle  ou de  déplacé ! Non, pas du tout,

Je me suis juste  projeter  dans  la  situation

À laquelle  vous faites  référence  et  cela m’a

Fait penser  à autre chose, en ma propre vie.

.

Nous rions tous mais pas des mêmes choses

Pas avec les mêmes gens ni tout le monde.

Certaines choses, dont on se rit, peuvent

Provoquer surprise, incompréhension,

De l’indifférence ou contraire, colère.

.

Rions un peu, ce n’est qu’un jeu ;

Rions beaucoup si cela vaut coup ;

Rions de trop, déclenchera fou rire.

.

Entre rire et sourire, montrer les dents, découvrir ses dents.

Premier rapprochement, en la nuance ;  second, contredanse :

Le singe ici vous sourit-il, ou contraire, de vous, se moquerait-il !

Que penser d’un rire, ou d’un sourire, imperceptibles, intériorisés !

Quatre filles peuvent faire un sourire spontané ou quelque peu forcé,

Sachant que la prise de photos ou selfies entraine un automatisme.

Il fut un temps en peinture religieuse, où le sourire était proscrit,

Signe de vulgarité mais, depuis, la Joconde est passée par là !

De toute façon, ce que j’en dis, vous avez le droit d’en rire.

.

Il y a rire et rire, dès lors, celui de l’homme

Ne ressemblera guère aux mimiques du singe :

Même expression, peut-être, pas même intention !

.

L’on peut rire de choses qui ne feront rire personne,

Réciproquement, ne pas trouver drôle la plaisanterie.

.

Faire rire une salle, une foule, auditoire quelconque,

Exigera un certain talent et voire un talent certain.

.

Quant à rire pour se moquer … certains le feront

Gentiment, charrier ; méchamment, abaisser.

.

.

Épilogue

.

Vous allez rire,  du moins sourire

En consultant Google, ai trouvé

Pas moins de trois doctorats

 Sur le rire,  avec 500 pages.

***

Non mais sérieux, par qui

Par un anthropologue,

Par un  sémiologue,

Par un sociologue

Ajouter Bergson,

 Le… philosophe.

***

À  côté  d’eux,

Je fais pâle figure,

Y a pas de quoi en rire

C’en est presque à pleurer

Je vais me retenir et continuer

De rire … recul, humour, de moi.

***

Après tout, je suis bien un homme…

Et même si je ne ris pas, tout comme

Il le faut pour me détendre, ma santé,

L’autodérision m’évite trop de sérieux.

***

Il y aura des gens dont c’est le métier

Faire rire  les  autres : les humoristes !

Je leur tire mon chapeau : pas simple :

Lors ça tombe à plat, je ne vous dis pas.

.

.

1068 – Calligramme

.

Rire est un poème

Faisant bien extrême

Détend corps et esprit :

 Toujours  autant  de  pris !

.

C’est  le  propre  de l’homme,

Bien que … des animaux rient,

Aussi mais pas de même façon

Surtout pas de vous, de tout.

.

L’humour est

Le cousin du rire,

L’amour, le

Cousin du sourire.

LE VRAI

Faut savoir les deux entretenir

Ça  donne  l’air   de   voir   venir,

Le rire est-il  propre  à  l’homme :

Rions  ensemble, alors … en somme

Pour que le monde, et par contagion,

Soit verre davantage plein d’émotions.

RIRE

On dit : «vogue la vie et vogue la galère»,

Quand la roue tourne et l’on erre sur Terre,

Car de rire ne pourra que vous faire du bien

Vous ne serez pas mort au moins pour rien.

SERAIT-IL

Le rire n’est que pur mécanisme conscient,

Mais qui peut se déclencher inopinément,

Il est, rien  qu’à lui seul : vraie thérapie,

Car l’on envie  celui qui, toujours, rit.

PROPRE

Il permet  de devenir, ou de rester,

De bonne humeur, genre farceur,

Tout semble plus léger… éthéré,

Si l’on secrète intime bonheur.

À L’HOMME ? 

Et … si le sourire  est son frère,

L’humour devient proche cousin

Si l’on peut rire, de tout, et de rien,

Cela ne modifiera,

Que peu, l’univers.

.

.

Forme

 Réduction

.

Évocation 

.

1068 4

.

 Une quille de bowling,

 Probablement oui mais

Version personnalisée

Et pleine d’humour !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

La quille et le rire ont peu de points

communs ensemble, à moins de la

prendre mais bien  au sens figuré,

si bien que forme diverge du fond.

.

Quille blanche animalisée

Puis personnalisée, avec air enjoué.

Elle possède ainsi un capital

De dérision, et à nulle autre pareil !

  .

Symbolique 

 .

« Une quille dans un jeu de chiens »

L’expression a surgi, subitement,

Sans même sonner à ma porte.

Elle m’a bien plu tout de suite.

Inverser une expression connue

Et parlante, en une autre, inconnue

Ça parle ? Ça évoque ! Voyez, la meute

De clébards, bave aux lèvres, crocs enragés,

Qui se ruent sur des pauvres quilles terrorisée,

Figée dans sa stupeur et son absence de pattes ?

Modifié, source : commeunequille.fr

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1068 6

.

Quille blanche animalisée

Puis personnalisée, avec air enjoué.

Elle possède ainsi un capital

De dérision, et à nulle autre pareil.

 .

Symbolique 

 .

Moquerie dédaigneuse, raillerie

Mêlées  de  mépris, de  sarcasme :

Avances accueillies  avec dérision.

Comme synonymes : dédain – ironie

Mépris, réprobation – risée, plaisanterie

Antonymes: déférence, respect, sérieux

Ce qui est dérisoire, insignifiant :

C’est une dérision que de vouloir

Faire cela avec si peu de moyens.

larousse.fr/dictionnaires/francais/dérision/24015

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’expression : jeune chien dans un jeu de quille

C’est à peu près l’impression que donne le rire

Sans moindre effet de panique, voire terreur,

 Juste comme ça, pour rire, de n’importe quoi,

Encore que, pas de tout, avec n’importe qui.

Toutefois, avant de rire de tout, et de tous,

Il faut commencer par rire de soi-même,

L’auto dérision vous protège d’un «égo»

Qui juge les autres et se met au-dessus.

 .

.

Entre rire et sourire, bien des nuances

.

Scénario

.

  Peut-on trouver des similitudes entre rire franc de l’humain,

 et celui, difficile à interpréter, d’un singe qui vous regarde, ébahi,

pour nous, tel rapprochement nous semble étrange, pas étranger !

 .

Visuels et textuels >>