323 – Tours de vélo : Josselin-Malestroit

Visuels et textuels >>  

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Rohan, Josselin, Malestroit,

Une vraie voie verte en canal,

Sur la rivière de l’Oust, chenal :

Piétons, vélos, comme  il  se doit.

.

Ces trois cités, dites de caractères,

Se font à vélo  en  une seule journée,

Faut  deux heures, chacune, à visiter,

Petite, grande, moyenne, en mystères.

.

Mystère  que l’architecture médiévale

Conservée par endroit presque en état

Maisons, presque toutes, de guingois,

.

Nous font mesurer passé d’intervalle.

Rohan, ville de quinze cent habitants

Trône  en  bassin-retenue, fièrement,

Non loin de Timadeuc  et son abbaye

Où, les pères trappistes vous prient !

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Josselin est  grande ville  d’autrefois,

Avec  château, bordant l’Oust en eau,

Cinq tours et maisons à pans de bois,

Une basilique, place  trésors de Roi !

.

Malestroit, est entre rives    à l’étroit,

Ses moulins à grains tourner faisant,

Et ruine d’église, datant  de mille ans,

Moyenne  cité, qui,  jamais, ne déçoit.

.

D’écluse  en  écluse  une  quarantaine,

Rythment  une ballade  dont certaines

Sont inhabitées, voire, à vendre, à qui,

Veut profiter de l’Oust,  et de son … lit !

.

Les retenues d’eau formeront … autant

De cascades, chantant  les mouvements

De ses flots qui auront été domestiqués

Pour bienfaits bateliers avant cavaliers.

.

Sans compter les pié-

Tons  et  les  cyclistes,

Se  tenant  debout ou

 Assis sur  cette  piste,

Mais, moindre écart,

Un plouf  dans  l’eau,

Ne  comptez  pas  sur

  Secours  d’un  bateau !

 

Rares péniches,  plai- 

  Sanciers,     naviguant,

Prennent ici, le temps      

 De vivre,  en   éclusant

Leur temps, en le pas-  

Sant  en le remontant,

Et nous : charmés,   en    

Vélo, en le descendant.

Flâner, le long de ber- 

 Ges, rivières… canaux,

D’une  ville   à l’autre,

 Caractère, vrai régal.

.

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Extensions

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Notre parcours, en vélo, le long d’un canal

Est comme une nouvelle  expérience à vivre

Et sans monotonie  ni ennui,  regrets, aucun,

Malgré le manque de descentes et de montées,

Car un canal est toujours plat, sauf aux écluses.

.

Allez d’une ville à l’autre,  est des plus plaisants,

Traversée de cours d’eau des plus intéressantes.

On y voit lavoirs le long des berges témoignant

Des activités des lavandières de par le passé.

.

Même s’il n’y a de péniches, transportant

Des cargaisons de sable ou blé, autre :

Imagine apparaissant au tournant.

 .

De Josselin à Malestroit, par le chemin de halage

Du Canal de Nantes à Brest au cœur de  la Bretagne,

Demeure un plaisir inégalé dans la fraîcheur d’un bel été

De la verdure, du sable, le long de l’eau, écluses parsemées :

Même pas besoin de changer de vitesse ni d’avantage d’allure,

C’est le calme, la contemplation, voire la relaxation, à l’état pur :

À l’arrivée, une bonne bière dans une taverne datant du Moyen-âge.

.

Je ne sais pas si je ferais

Le canal de Nantes à Brest

En vélo, pas d’un seul trait,

360 km : il faut la semaine.

.

On peut faire des incursions,

À droite et à gauche du canal

En le faisant sur deux années

Afin de varier les excursions !

.

Vélo n’a de limite que le temps

Qu’il faudra pour atteindre but

Il y a des formules avec services

De bagage, couchage voire repas.

.

Encore est-il qu’en couple, groupe,

Ce sera souvent mieux que tout seul,

Ce n’est pas qu’on s’ennuie, monotonie

Un voyage, une passion, cela se partage !

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323 – Calligramme  

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Rohan, Josselin, Malestroit,

Une vraie voie verte en canal,

Sur la rivière de l’Oust, chenal :

Piétons, vélos, comme  il  se doit.

Ces trois cités, dites de caractères,

Se font à vélo  en  une seule journée,

Faut  deux heures, chacune, à visiter,

Petite, grande, moyenne, en mystères.

T   O   U   R        D   E

Mystère  que l’archi  V  tecture médiévale

Conservée par end  É  roit presque en état

Maisons, presque    L   toutes de guingois,

Nous font mesurer    O      passé intervalle.

Rohan, ville de quinze    *    cent habitants

Trône,  bassin-retenue,    J         fièrement,

Non loin de Timadeuc      O  et son abbaye

Où, les pères trappistes    S    vous prient !

Josselin est  grande ville  S       d’autrefois,

Avec  château, bordant   E     l’Oust en eau,

Cinq tours et maisons   L     à pans de bois,

Une basilique, place    I       trésors de Roi !

Malestroit, est entre    N    rives    à l’étroit,

Ses moulins à grains          tourner faisant,

Et ruine d’église, da   M  tant  de mille ans,

Moyenne cité, qui,      A   jamais, ne déçoit.

D’écluse  en  écluse      L   une quarantaine,

Rythment  une ballade  E      dont certaines

Sont inhabitées, voire,    S   à vendre, à qui,

Veut profiter de l’Oust,   T   et de son … lit !

Les retenues d’eau for     R    ment … autant

De cascades, chantant    O  les mouvements

De ses flots qui auront    I   été domestiqués

Pour bienfaits bateliers, T   avant cavaliers.

.

Sans compter les pié-

Tons  et  les  cyclistes,

Se  tenant  debout ou

 Assis sur  cette  piste,

Mais, moindre écart,

Un plouf  dans  l’eau,

Ne  comptez  pas  sur

  Secours  d’un  bateau !

Rares péniches,  plai- 

  Sanciers,     naviguant,

Prennent ici, le temps     

 De vivre,  en   éclusant

Leur temps, en le pas-  

Sant  en le remontant,

Et nous : charmés,   en   

Vélo, en le descendant.

Flâner, le long de ber- 

 Ges, rivières… canaux,

D’une  ville   à l’autre,

 Caractère, vrai régal.

.

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Forme

Réduction

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Évocation 

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323 4

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Un randonneur

Ou une randonneuse

Lors d’un circuit en vélo

Sur une chemin de halage.

 .

Circuit en vélo et chemin de halage,

forme plate mais belle longue rando

pour autant les paysages changent

si bien que la forme rejoint le fond.

 .

Un circuit en vélo, entre deux villes,

Reliées par un canal :

Une trentaine de kilomètres sur le plat

D’un chemin de halage.

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Symbolique 

 .

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Descriptif

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323 – Tour de vélo : Josselin-Malestroit  

Alignement central /  Titre serpente  / Thème  vélo

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : circuit / Symbole de fond : chemin

 .

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Fond

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.Évocation 

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323 6

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Un circuit en vélo, entre deux villes,

Reliées par un canal :

Une trentaine de kilomètres sur le plat

D’un chemin de halage.

.

Symbolique 

.

Une balade incontournable,

Et n’ayons pas peur des mots, assez magique.

Chemin de halage à Pont-l’Abbé a quelque chose d’onirique.

Sillonner courbes rivière, c’est pénétrer en un autre univers.

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Le chemin de halage a, d’abord, eu vocation  économique.

Il permettait, aux haleurs, à l’aide  d’une corde, de remonter

Les navires en direction du port mais les progrès techniques

Vont précipiter  la fin de cette activité  dans les années 20.

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Devenu un lieu prisé de promenade, le chemin de halage

Est désormais un sentier familier et pourtant, il cache

Encore des secrets bien gardés.

letelegramme.fr/finistere/pont-labbe/un-

symbole-mysterieux-sur-le-chemin-de-halage

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Corrélations

Fond/forme 

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Le vélo a repris ses lettres de noblesse

Droit même de cité dans nombre de villes

Depuis la chasse au carbone, vélo cartonne

Mais un bien pour un mal, en vélo électrique

Moi je serais plutôt adepte du vélo classique

VTT tout terrain comme son nom l’indique,

Il faut pédaler dur, ça fait mal aux fesses.

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Il est vrai qui suivre chemin de halage

Ne sera pas grimper le Tourmalet,

Aucun mérite donc, une ballade

En dépit de quoi, l’un est

 Très content le soir

Mettre pied

À terre

V

 .

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Qui dit canal dit écluse

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Scénario

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Le grand château de Josselin sis tout au bord de la rivière.

Beau et long chemin de halage entre Josselin et Malestroit.

 La ville de Malestroit avec ses maisons type moyenâgeuses.

 .

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219 – Le Guadalquivir, jusqu’à Séville

Visuels et textuels  >> 

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Le Guadalquivir

Est un long fleuve,

Large comme … lac

Que marée contrarie

Séville lors remontée.

Mais c’est  vrai plaisir

D’y naviguer en voilier.

.

Après long parc  naturel

Avec des bois, et pinèdes,

Chaque coude nous oblige

À virer, à toutes ses bouées,

Comme repères à nous aider.

.

Grace à Dieu, petit vent frais,

Calme toute ardeur, plein été,

De soleil de plomb, de chaleur.

Et cela fera déjà  quatre heures

Qu’on le monte, ou  le  remonte

Et pas un village  qui se montre.

.

Guadalquivir, lenteur, monotonie

Produisent une douce mélancolie,

Accentuée par les  vols  des hérons,

Ou cigognes, qui tournent, en rond,

.

Quand ce n’est pas vol de mouettes,

Criant sur nous à nous en faire fête

Où toute une colonie d’aigrettes,

Se perchant sur les arbustes,

En une végétation frustre

Où, cent ibis caquètent.

.

Paradis…pour oiseaux,

Belle réserve de roseaux,

Avec nombre d’arbrisseaux

Penchant, tous, vers ses eaux.

.

Chaque coude, redonne  espoir,

Voir surgir bâtisse  à nous éblouir

Lors aperçues seules font désespoir

De sa majesté sauvage Guadalquivir.

.

Vraie quantité de poissons pullulent,

À voir les bateaux, équipés à l’arrière,

De grands filets proches par leurs airs

D’ailes des papillons ou des libellules.

.

Et nous arrivons enfin à son terminus

Après un passage d’un cargo à doubler,

Nous attendons le passage  d’une écluse,

Derrière laquelle, Marina, pour séjourner.

.

.

Extension

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Le Guadalquivir est un long et grand fleuve

Qui traverse toute la province de l’Andalousie.

Curieusement,  il n’y a que  trois grandes villes

Sur son parcours, pourtant de 650 kilomètres ;

Une à embouchure, San Lucar de Barramedia,

Une au milieu, Séville, et une, en fin, Cordoue.

.

Il est actuellement navigable jusqu’à Séville,

Et c’est, partout, la campagne  qui domine.

Nous avons croisé  quelques petits cargos,

Qui suivent très exactement le lit du fleuve.

.

L’un d’eux nous a doublé juste avant l’écluse

Et nous avons dû attendre une heure plus tard.

Son embouchure est très large, et peu profonde,

Mis à part  son chenal, en son milieu, ou presque.

En voulant couper plus court pour gagner du temps,

On a failli talonner la vase, à un mètre, à marée basse.

.

En approche d’une grande ville, un fleuve se domestique

Il est l’objet des constructions, pour des abords pratiques !

Il a quitté son cours, sauvage, champêtre, pour un nouveau,

Où monuments de la ville se refléteront, souvent, en ses eaux,

Qui demeurent d’un calme serein et les bateaux le sentent bien.

De nombreux ponts l’enjambent  pour le traverser, l’ornementer

Lors les passants, sur ses berges, s’y promènent, pour l’admirer !

.

Guadalquivir, qui vire à gauche, droite !

Jeu de mots facile,  quelque peu tortueux

J’en ai pris le droit  pour l’avoir parcouru,

J’en conviens, je l’avoue, pardon à Séville !

.

Ce n’est ce qu’on appelle fleuve tumultueux

Attention quand même à ses pièges vicieux

Son lit n’est pas large, rapport à ses berges,

Et si on ne le suit pas seul voiler gamberge.

.

Cycliquement, courant s’accélère, ralentit,

En fonction des marées méditerranéennes

Et aussi des passages  plus étroits, pentus,

Naviguer sur lui, n’est pas toujours repos !

.

.

Épilogue

 .

Le Guadalquivir est un fleuve majestueux

Qui vire vraiment en nombreux tournants

En étendant ou rétrécissant  ses méandres,

Créant ainsi, naturellement, forts courants,

On prend  plaisir  à  le remonter, descendre,

Lors crues, se rendant soudain, tumultueux !

***

Sur ses berges,  il y a peu  de ville ou  villages,

Partout la végétation fleurit, de lui se nourrit.

Ici où là, quelques ilots  abritent  des oiseaux,

Qui volent en bandes autour de notre bateau.

On croise parfois un cargo,  une petite barge,

Avec un filet en carrelet en poupe bien garni.

***

Un fleuve est comme une frontière, une route

Que la nature  aura tracé, sans moindre doute,

Pour irriguer les terres, pour abreuver les mers

En modifiant son  débit, en été  comme en hiver,

Selon ses pluies, ses orages, ses facéties, ouvrages

Tel, son écluse à Séville, tel, en amont, son barrage.

***

Quant  à   son  embouchure …  allant   en  s’élargissant,

De la mer, avec le voilier, l’on peine à la voir, approchant

Son entrée, chenal, ses bancs, afin  d’éviter  de s’y planter,

Lors d’être obligé  d’attendre  une prochaine  grande marée.

Dieu merci, nous avons un dériveur  et un bon positionneur :

Il nous aura été plus facile d’en sortir que d’y entrer : bonheur !

.

.

219 – Calligramme

.            

            Le Guadalquivir     L

           Est un long fleuve,   E

           Large comme … lac   *

            Que marée contrarie   G

              Séville  lors remontée.  U

                Mais c’est  vrai plaisir    A

                  D’y naviguer en voilier.   D

                      Après long parc naturel    A

                         Avec des bois, et pinèdes,   L

                            Chaque coude nous oblige   Q

                                À virer, à toutes ses bouées,   U

                                    Comme repères à nous aider.   I

                                       Grace à Dieu, petit vent frais,   V

                                        Calme toute ardeur, plein été,   I

                                           De soleil de plomb, de chaleur.   R

                                             Et cela fera déjà  quatre heures    *

                                               Qu’on le monte, ou  le  remonte    J

                                                 Et pas un village  qui se montre.   U

                                                   Guadalquivir, lenteur, monotonie   S

                                                    Produisent une douce mélancolie,    Q

                                                   Accentuée par les  vols  des hérons,   U

                                                   Ou cigognes, qui tournent, en rond,    ‘

                                                    Quand ce n’est pas vol de mouettes,   À

                                                  Criant sur nous à nous en faire fête   *

                                              Où toute une colonie d’aigrettes,     S

                                         Se perchant sur les arbustes,       É

                              En une végétation frustre    V

                      Où, cent ibis caquètent.    I

                   Paradis…pour oiseaux,     L

                Belle réserve de roseaux,    L

               Avec nombre d’arbrisseaux   E

                Penchant, tous, vers ses eaux.    *

               Chaque coude, redonne  espoir,    G

              Voir surgir bâtisse  à nous éblouir   U

          Lors aperçues seules font désespoir    A

       De sa majesté sauvage Guadalquivir.  D

     Vraie quantité de poissons pullulent,   A

  À voir les bateaux, équipés à l’arrière,  L

 De grands filets proches par leurs airs  Q

D‘ailes des papillons ou des libellules.   U

 Et nous arrivons enfin à son terminus   I

     Après un passage d’un cargo ? à doubler, V

          Nous attendons le passage  d’une écluse,   I

                 Derrière laquelle, Marina, pour séjourner. R

.

.

Forme

.

Réduction

.

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219 4

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Évocation  

.

Un méandre du fleuve

De ce long…  Guadalquivir

Et son courant,  de passage

En paysage de belle campagne.

 .

Fleuve, c’est large, tortueux,

Courant variable selon saisons :

Mais ici, l’on aura  deux couleurs :

Vert de campagne et bleu de rivière.

 .

Symbolique 

 .

Fleuve rivière cours d’eau ruisseau

Est, avant tout, une ressource en eau :

Boisson, irrigation, énergie, navigation,

Cadre de vie urbain et la source, le cours,

Lit, embouchure, évoque ordonnancement

Du monde et une approche cosmologique.

.

Temps  qui  passe,  cataclysme de la crue,

Quiétude du lac, pureté naïve de source

Et les miasmes, mortels, d’un marais,

La vie et la mort, l’enfer et paradis.

.

Et lors inscription géographique

Du fleuve signifie à l’homme

Sa place dans l’univers.

.

Descriptif

 .

219 – Le Guadalquivir jusqu’à Séville

Alignement  central / Titre externe / Thème  fleuve

Forme spirale / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : fleuve  /  Symbole de fond : courant

.

.

Fond

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Évocation 

.

219 6

.

Fleuve, c’est large, tortueux,

Courant variable selon saisons

Mais ici, on aura  deux  couleurs :

Vert de campagne et bleu de rivière.

.

Symbolique 

Si l’eau symbolise l’Inconscient,

Le fleuve symbolise le regard

Sur  soi,  devenu   conscient.

Mais   nous ne pouvons pas

Revenir  en  arrière,  la  vie

S’écoule  dans  un seul sens,

Tout comme les  courants 

L’écoulement nous  invite à

Nous   détacher  du    passé.

Nous  pouvons  simplement

Nous laisser porter nageant

Doucement, en  total  accord

Avec notre vie  et son histoire.

Le courant  du fleuve  sera donc

Symbole transformation continuelle.

Selon Héraclite, tant « on ne se baigne

Jamais deux fois dans le même fleuve ».

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Fleuve

 .

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Corrélations

Fond/forme 

En mer on n’aura pas l’impression

Que l’eau se déplace, linéairement,

Sauf si on est dans un fort courant

Elle bouge mais sur place : station

Lors il n’en est rien, par définition,

De source, ruisseau, rivière, fleuve

Qui coule et roucoule et sans cesse,

Suivant une pente, douce ou forte.

Devenant parfois très large, évasé

Il rend illusion de lac, être arrêté !

 .

.

Embouchure Guadalquivir

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Scénario

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Approche, avec le voilier sur le Guadalquivir aux environs de Séville,

nous n’irons pas plus loin, il y a un pont : accoster, apponter au port,

pour pouvoir visiter Séville, ne manquant pas de cachet ni d’attraits.

 .

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