729 – La faim de désirer, amour d’advenir !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

L’amour tarde à venir

Pas d’amour advenir :

Crois, amour  me fuit,

Aucun espoir  ne luit !

 Tout  mon  élan  monte

Dès que  je pense  à lui,

Puis ma libido retombe,

Quand il dit : non, merci.

.

Il est vrai que dès qu’il me faut repartir,

Pour une nouvelle quête, ou,  conquête,

Je me mets de suite vite à faire la fête,

À fond en espérant quelqu’un séduire.

.

La faim de désirer, amour, d’advenir

Faim de bouger,  de  vouloir  partir,

Vers l’inconnu nous ferait souffrir.

.

Malgré tout, on préfère à mourir,

D’ennui, lassitude, de désespoir,

De voir sa vie, en blanc et noir.

.

Alors que les couleurs des soirs

Sont d’arc-en-ciel ou brouillard,

Amour reste un commencement !

 .

Oui, mais de quoi,  d’un firmament,

Non mais bien, de  temps en temps,

D’un affleurement de ses sentiments.

.

Ce n’est que dans un tout nouvel élan

Qu’amour  donne  de beaux éléments

Pour sublimer un nombre d’amants,

En un or pur si ce n’est … diamant !

.

Amour n’est que commencement :

Sans autre fin  que celle mourant

Mais si prenant, en l’attendant,

Qu’on mourra, cœur content.

.

Extensions

 .

L’amour est comme le bonheur, éphémère et intermittent.

Leur quête est, elle, perpétuelle et l’un ne va pas sans l’autre.

Il arrive de passer années, sans trouver, le désirant fortement.

Il arrive  qu’on ne le trouve pas, du tout, ou, qu’on s’en réfère

Aux agences matrimoniales pour la perle rare avec laquelle

Tout va naturellement baigner.

.

J’ai rencontré des hommes me disant qu’ils n’avaient pas

Le temps de chercher, de tenter et qu’ils ne voulaient pas

D’échec, qu’ils voulaient trouver la bonne et à coup sûr.

Voilà des hommes qui ne se nourrissent pas d’échecs

Qui font le lit des sentiments et lors il se produira,

En dépit des précautions prises, ne sauront plus

Que faire à l’avenir, autres ont pour principe :

Une de perdue, dix de retrouver.

.

Tous les cas et tous les coups sont dans la nature.

Vaut-il mieux ne connaitre, et, n’en pratiquer qu’un

Seul partenaire mais à fond et s’y adapter ou plusieurs

Pour s’en faire une idée et choisir le meilleur pour soi,

Quitte à se tromper : à chacun devoir, d’en décider et

De l’assumer car en la matière, les conseils ne valent

Que pour soi-même, peu souvent pour les autres

Du fait qu’on n’est pas à leur place,

Qu’on ne vit pas comme eux.

.

Le désir est un concept d’ordre général, mais autant, particulier :

Tendance qui porte à vouloir obtenir un objet connu ou…imaginé ;

Tendance consciente et suscitée par quelqu’un, aux plaisirs sexuels !

Les deux forment le moteur de nos attentions, et, de nos orientations,

Mais la seconde est plus profondément ancrée dans notre inconscient.

Tout désir est semblable au besoin, il cherchera à combler un manque

Désir se représente but à atteindre, volonté mettre en œuvre moyens.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme

.

L’amour tarde à venir

Pas d’amour advenir :

Crois, amour  me fuit,

Aucun espoir  ne luit !

 Tout  mon  élan  monte

Dès que  je pense  à lui,

Puis ma libido retombe,

Quand il dit : non, merci.

.

Il est vrai que dès  F  qu’il me faut repartir,

Pour une nouvelle   A  quête, ou,  conquête,

Je me mets de suite  I     vite à faire la fête,

À fond en espérant   M  quelqu’un séduire.

   *

La faim de désirer,    D  amour, d’advenir

Faim de bouge de      E      vouloir partir,

Vers l’inconnu nous   *     ferait souffrir.

       D

Malgré tout, on pré  É   fère à mourir,

D’ennui, lassitude   S          désespoir,

De voir sa vie en     I     blanc  et noir.

R

Alors que les      E  couleurs des soirs

Sont d’arc     R en-ciel ou brouillard,

Amour reste    *  un commencement !

A

Oui, mais de quoi  M d’un firmament,

Non mais bien de   O  temps en temps

D’un affleurement  U     ses sentiments.

R

Ce n’est que dans   * un tout nouvel élan

Qu’amour donne   A  de beaux éléments

Pour sublimer un  D nombre d’amants,

En un or pur si ce  V n’est … diamant !

  E

Amour n’est que    N  commencement :

Sans autre fin     I  que celle mourant

Mais si pre   R nant en l’attendant,

Qu’on mourra, le cœur content.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

Corps de femme,

Pro-ba-ble-ment ;

Corps de femme,

Certainement !

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729 4

.

Le corps de femme peut-devenir un

Pur objet de désir sexuel,

Mais certains s’en lassent, leur désir,

Tout comme le reste, passe.

.

Symbolique 

 .

Teint clair,

 Petit       pied,

Forme généreuse

 

L’idéal  de beauté  du corps de femme

Évolue avec le temps  puis avec les modes,

Puis, autant, selon les envies des hommes.

 

Aujourd’hui, silhouette prônée à la mode

Sur réseaux sociaux, «people» consiste

En fesses fermes et cuisses charnues,

 

Une poitrine  assez généreuse…

Tout    en  gardant   une   taille

Bien marqué  et  un ventre plat.

 

Idéal, difficile    voire impossible,

À atteindre        naturellement,

Ce qui expli        que explosion

De recours       à toute chirur

Gie d’ordre           esthétique.

 Source : ohmymag.com/news/voici-a-quoi-

ressemble-le-corps-ideal-de-la-femme

.

.

Fond

.

Évocation

.

729 6

.

Le corps de femme peut-devenir un

Pur objet de désir sexuel,

Mais certains s’en lassent, leur désir,

Tout comme le reste, passe.

.

Symbolique 

 

Certaines couleurs telles que le rouge

Ont véritable impact sur notre physique

Ou sur notre mental. Cela est souvent fait

De manière inconsciente, mais son pouvoir

Est bel et bien réel.  Le rouge est une couleur

Qui attire l’œil et provoque du désir.

.

Dès qu’une femme entrera en une soirée avec

Robe rouge, les regards se tournent vers elle !

.

Le rouge symbolise la force, le courage,

Mais également la chaleur. C’est une couleur

Puissante  qui dégage  de l’énergie, mais  peut

Également signifier l’interdit, l’attrait du sang.

femmedinfluence.fr/pouvoir-de-couleur-

rouge-symbolique-des-couleurs

 .

.

Fond/forme 

 .

Le corps de femme est objet de désir,

Mais pas plus que celui d’un homme :

Ça dépend de qui et de quoi l’on désire.

.

Le désir n’est autre qu’inclination vers

Qui pourra se transformer en passion,

Ou en une simple attente de résolution/

.

Désir du corps n’est pas désir d’esprit,

C’est mieux quand les deux soupirent,

Pour le mime objet ou le même sujet.

.

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713 – Un, deux, trois, nous irons au bois !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Cette comptine

Pour … les enfants,

Qui  ne  la  connait  pas,

Pour  apprendre  à  compter

Et pour apprendre à raconter,

En  deux niveaux  de lecture,

Enfant, et puis, adolescent,

Innocent puis amoureux,

Imaginaire et puis jeu.

.

Un, deux, trois, nous irons au bois,

Comptine pour apprendre à compter,

Pour apprendre à chanter sur les doigts,

Un vrai début de conte de sorcière ou fée.

.

Quatre,  cinq,  six,  cueillir des  …  cerises,

Un beau dimanche en grimpant bien vêtus,

Toi, d’une robe, moi, de pantalon, chemise,

Et ensemble, dans l’arbre  du  fruit défendu !

.

Sept, huit neuf … dans  mon panier …  neuf,

Pour  gouter  le  nectar  d’une  chair   désirée,

De queue, jusqu’à noyau, plein  comme  œuf :

N’en descendre qu’après  une pleine  ventrée.

.

Dix, onze, douze, elles seront toutes …rouges

Et nous verts d’en avoir, sans retenue, profité,

On ne vit qu’une fois et si jamais on ne bouge,

On ne vivra jamais paradis sur Terre retrouvé.

.

Comptine en forme de chansonnette revisitée,

S’adressant à nombre d’amoureux d’autrefois,

Au bois, sans cerises … ou cerises,  sans bois

Chimie, aujourd’hui, remplacera l’alchimie.

.

Chimie qu’une chair, un noyau ou queue,

Des cerises croquées, avec plaisir, à loisir

Belle  alchimie  des  saveurs  et des désirs

 Qui  en ferait, ainsi,  des fruits savoureux,

.

Auréolé d’un certain  parfum ….  mystère

Qui en ferait comme un péché sur…Terre

Tant  cerises  sont    accouplées  par deux

Et font, pour nous     pendentifs, curieux.

.

Un, deux, et trois,      retournons au bois

Voir si l’amour y est encore ou n’y est pas

Grimper ensemble   arbres, risques, périls

Resterait grand moment d’activité fébrile.

.

Extensions

 

La cerise évoque le printemps, forcément

Mais tout autant le gâteau, comme supplément.

Le bonheur en sus du plaisir, n’est-ce pas là l’apogée

Du désir, celle qui ne se produit que de temps en temps

Et qui demeure comme un soleil rouge dans un ciel sans nuage,

S’en allant couchant.

.

Le bois évoque la cachette sous les arbres,

La protection de la nature, la communion avec elle,

Le lit de feuillages et la lumière tamisée : un univers

En demi-teinte e semi obscurité ou seuls

La lumière de l’amour parvient à jaillir

Des amants en pleine étreinte

Et pleine sérénité.

.

1, 2, 3
Nous irons au bois
4, 5, 6
Cueillir des cerises ;
7, 8, 9
Dans mon panier neuf

10, 11, 12
Elles seront toutes rouges !

.

Fragments

.

Comptine ou chanson,

C’est comme on veut,

Et dernier quatrain,

En guide de refrain

.

Et nous, c’est deux

Deux en amoureux,

Homme avec femme,

Un beau programme !

.

Étant enfant, on va au bois

Pour courir dedans, s’amuser,

Étant adolescent pour s’embrasser,

Étant adultes pour aller au fond de soi.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

 .

Cette comptine

Pour … les enfants,

Qui  ne  la  connait  pas,

Pour  apprendre  à  compter

Et pour apprendre à raconter,

En  deux niveaux  de lecture,

Enfant, et puis, adolescent,

Innocent puis amoureux,

Imaginaire et puis jeu.

.

Un, deux, trois, nous irons au bois,

Comptine pour apprendre à compter,

Pour apprendre à chanter sur les doigts,

Un vrai début de conte de sorcière ou fée.

.

Quatre,  cinq,  six,  cueillir  des  …  cerises,

Un beau dimanche en grimpant bien vêtus,

Toi, d’une robe ; moi, de pantalon, chemise,

Et ensemble, dans l’arbre du fruit défendu !

.

Sept, huit neuf … dans mon panier …  neuf,

Pour gouter  le nectar  d’une  chair  désirée,

De queue, jusqu’à noyau, plein comme œuf :

N’en descendre qu’après une pleine ventrée.

.

Dix, onze, douze, elles seront toutes … rouges

Et nous verts d’en avoir, sans retenue, profité,

On ne vit qu’une fois et, si jamais on ne bouge,

On ne vivra jamais, paradis sur Terre retrouvé.

.

Comptine  en forme de   chansonnette, revisitée,

S’adressant à nombre      d’amoureux d’autrefois,

Au bois sans cerises  U        I   ou cerises sans bois

Chimie, aujourd’hui  N        R   remplace alchimie.

Chimie qu’une chair  *         O  un noyau ou queue,

Des cerises croquées D        N   avec plaisir à loisir

Belle  alchimie  des   E         S    saveurs  des désirs

 Qui  en ferait ainsi    U        *     un fruit savoureux,

Auréolé de certain     X        A     parfum…. mystère

Qui en fait comme     *        U   un  péché sur Terre

Tant  cerises  sont     T         *  accouplées par deux

Et font, pour nous     R        B   pendentifs curieux.

Un, deux, et trois,     O       O   retournons au bois

Voir si l’amour y est  I        I  encore ou n’y est pas

Grimper ensemble    S       S  arbres risques périls

Restera   grand  mo  *        * ment activité fébrile.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une silhouette d’homme

Parvenu à la maturité,

Mais vu ici,  de dos :

De sexe ambigu.

.

713 4

.

Enfant devenu homme

Ses jeux auront changé :

Aller au bois,  c’est pour 

 Goûter au sexe préféré !

.

Symbolique 

 .

Les symboles

De la masculinité

Évoluent avec le temps

Et selon  les ‘endroits

Du globe où

On se trouve.

 .

Ainsi, on retrouve des symboles

Phalliques aux temps les plus

Reculés  de   notre  histoire.

Ces symboles représentent

À la fois la virilité et la

Fécondité de l’homme.

 .

Et en Europe, lors de  la

Christianisation, ils   ont

Peu à peu disparu, car ils

Étaient associés à l’acte sexuel.

over-blog.com/Quel_est_le_symbole_de_lhomme_

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Enfant devenu homme

Ses jeux auront changé :

Aller au bois, c’est pour 

 Goûter au sexe préféré 

.

Symbolique

.

Il vous arrive de devoir réfléchir pour

Savoir quel signe correspond à quel sexe ?

Petit truc  pour ne plus jamais vous tromper !

.

Le symbole féminin est en fait, dans la mythologie,

Miroir de déesse Vénus au pied en forme de croix.

.

Et le symbole masculin est celui du Dieu Mars

Un bouclier et une flèche prête à être tirée.

Source : jeretiens.net/masculin-ou-feminin

 .

.

Fond/forme 

 .

Qui ne connait la chanson pour compter

Les chiffres qu’on énumère comme série,

Pour les apprendre  aux jeunes  enfants,

De manière ludique,  mnémotechnique !

.

Il  existerait des centaines d’illustrations

Comme celle-ci notamment pour le sexe

Le miroir à pied en croix pour la femme

Le bouclier avec la flèche pour l’homme.

.

Et pour les lacs de l’Amérique du Nord :

Sherlock Holmes : la série, le détective :

Huron, Ontario, St Laurent, Michigan,

Erie, Supérieur, rien d’autre à ajouter.

 Textuels et illustrations  >>

710 – Leçons, numéro un, deux… vingt et un !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre  la   main,

Et  le reste suivra,

Comme il se  doit.

.

Emmenez-le moi :

Comme il  se doigt,

Au meilleur  endroit,

Celui qu’on    fourvoie,

Esprits, sens, plein éveil

Représentant… merveilles

Et s’il caresse vos deux seins

C’est qu’ils les méritent bien :

Ils ne sont pas ronds pour rien,

Enfants les savent bien, coquins.

.

Si plus bas, votre  ventre se creuse

De votre appétit  à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure  le simple appareil

Au milieu  d’une  cicatrice trompeuse

Très    profonde,   pour ovaire, utérus,

Mais pour y avoir accès, que de ruses,

Pour la pénétrer, à l’endroit à l’envers,

.

Comme  une cathédrale, gelée, l’hiver.

Chacun, chacune nous avons séjourné

Neuf mois, du  monde entier, abrité

Pour se forger corps sexe, identité,

Avant franchir le col de sa réalité !

.

Combien de femmes pensent encore

Dans la perfusion de leur jeune corps

Quand   orgasmes seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre ou lors enfant sort !

.

Prenez une femme et qui se donne à vous

 Elle  vous prendra  ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui   devient en plein envol

Un nouveau cerveau  sexe, ou symbole !

.

Extensions

 .

Des seins à demi voilés,

Des jambes bien galbées,

Postures   de  laisser-aller,

Et voilà que le tour est joué,

L’homme pourra être séduit.

Chaque leçon profite aux deux

Tant lors on prend, on apprend

À combiner plaisir, être heureux

Jusqu’à ce qu’on se dise content,

D’être amants des plus chanceux.

.

Pour apprendre ce que c’est que le sexe

L’acte sexuel, voire cycle menstruel, etc.

Leçons d’anatomie, biologie, physiologie

Sont utiles et d’une évidence hygiénique

Et pour ce qui est de l’amour, séduction,

On plonge dans un abîme de subjectivité

Si vous entendez  vous dire un truc fatal,

Qui marche à tous les coups, méfiez vous

Du râteau, gifle, que vous allez  prendre !

.

Sûr qu’érotisme et lingerie  sont armes,

Vous vont droit au cœur, vous désarme

Si ça marche pour un soir  en faiblesse,

Le lendemain, dégrisé, la tête est lucide

Cela dépendra de ce que vous cherchez :

Le plan cul qui rencontre un plan cœur,

Ne fera d’aucun des deux, son bonheur

 Les leçons remettent pendules à l’heure.

.

Fragments

.

Drôle d’idées que d’associer

Amour et prendre des leçons,

Ne s’agit pas de  nager, danser,

Mais d’approche et de séduction.

.

Pour bon nombre de jeunes garçons

Information enseignée cours biologie

Si ce n’est sur internet, pornographie ;

Pour la pratique, la copine ou le boxon

.

Si tout tournait autour d’une initiation,

Il faudrait organiser une orgie libertaire

Où nous ne serions plus : sœurs et frères

Que des mâles et femelles en jubilations.

.

Voilà c’est direct et de plus sans leçons :

Bouteille de champagne, une invitation,

Deux verres et voilà le bel emballement,

On va faire mousser les bons moments !

.

La plupart du temps, rien n’est si simple :

On ne sait s’y prendre, on commet impairs,

Le verre est vide et pas d’amour, atmosphère

Et même les sexes ne grimpent pas en épingle.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

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***********************

Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre   la   main,

Et  le reste  suivra,

Comme  il  se  doit,

Emmenez –le – moi :

Comme il    *    se doigt,

Au meilleur  L      endroit,

Celui qu’on    E      fourvoie,

Esprits, sens    Ç      plein éveil

Représentant     O       merveilles.

Et s’il caresse       N       deux   seins

C’est que vous              le valez bien,

Ils ne sont pas           *    ronds pour rien.

Enfants les savent     U          bien, coquins,

Si plus bas, votre        N        ventre se creuse

De votre appétit           *      à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure        D      le simple appareil

Au milieu  d’une           E    cicatrice trompeuse

Très    profonde,           U     pour ovaire, utérus

Et, pour y avoir             X    accès, que de ruses,

Pour pénétrer à             *      l’endroit à l’envers,

Une telle cathé              T      drale, gelée, l’hiver.

Chacun,  cune               R    nous avons séjourné

Neuf mois, du               O   monde entier, abrité

Pour se forger               I     corps sexe, identité,

Avant franchir              S      le col de sa réalité !

Combien de fem           *     mes pensent encore

Dans la perfusion         *       de leur jeune corps

Quand   orgasmes        V      seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre      I     ou lors enfant sort !

Prenez une femme      N et qui se donne à vous

 Elle vous prendra       G ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui        T  devient en plein envol

Un nouveau cerveau  *         sexe, ou symbole !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une des meilleures  bouteilles,

Probablement :

De champagne, certainement

Avec ou sans lingerie.

.

710 4

.

On apprend plus de l’amour

En  buvant  du  champagne

Qu’en  feuilletant n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique 

.

Naissances,

Ou mariages,

Nouvelle année.

Le champagne

Serait de toutes les

Grandes occasions !

On l’apprécie     dans le

Monde entier,    légèreté

Des bulles,   goût unique

De ce vin,        né à Reims

Au  IXe        siècle : 2005,

Plus de         307  millions

De bou        teilles  ont été

Vendues,           les  ventes

De Cham          pagne ont

Bondi  de             20 % en

Chine et             au Japon

Annonçant             record

De  consom           mation

Pour  l’année          2006.

Source : linternaute.com/actualite/savoir/

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

On apprend plus de l’amour

En buvant du bon champagne

Qu’en  feuilletant  n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique

.

La lingerie un simple vêtement

Hygiénique pour  certaines tandis que

Pour d’autres, est  un accessoire  sensuel.

La couleur  de la  lingerie  reste aussi un

L’élément essentiel  dans  notre  choix.

 

Le noir chic amincissant est aussi

Symbole du raffinement mystère.

Le blanc  est  considéré comme la

Couleur de la pureté, d’innocence.

 

Valeur sûre, intemporelle et indémodable,

Le rouge est souvent porté par des femmes

Passionnées,    énergiques,  et      sensuelles.

C’est    une  couleur   liée  à  la   séduction,

L’excitation,   au  pouvoir  et au désir :

Celle préférée vitrine Saint Valentin.

passeportsante.net/fr/Actualites/

Dossiers/DossierComplex

 .

.

Fond/forme 

Le champagne reste autant

Symbole de fête, événement

Qu’un bon vin bien pétillant,

De fines bulles, avec mousse,

En laquelle est recommandé.

De faire un vœu pour l’année.

Qu’importe  s’il se  ne réalisera

Pas dès  toute  première gorgée

À force d’en boire cela finira bien

Par arriver et par être bien arrosé,

De nouvelle bouteille de champagne.

.

Textuels et illustrations  >>

699 – Cheveux longs, épais, en bataille

 Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Il est

Vrai que les

Cheveux de femmes

Ont, de tous temps, été

Un important  attribut

Pour leur séduction,

Et  encore plus,

S’ils  sont  longs,

Épais, et   bouclés,

Tombent en bataille.

.

Cent façons de les coiffer

Et une seule de les décoiffer,

En les secouant, nonchalamment,

Tout en tournant la tête innocemment.

.

Tandis que ses pieds,  aux chevilles fines,

Habillés, en leurs écrins,  la rendent divine,

En marquant sa silhouette lors elle chemine

En courbes et en rondeurs que l’on devine.

.

Ses cheveux, longs, épais … en bataille,

Flottent sur  ses épaules  et entourent

Un visage auquel amour  en canaille,

Prête ses expressions au grand jour.

.

À l’opposé, petits pieds, en souliers,

Danseront un tango, une farandole

D’un pas qui vous mène en amitié

De beaux partenaires, s’y collent.

.

Entre les deux : bosses  et creux

Affirment  ses rondeurs, un peu,

Assez pour attirer les amoureux

Par démarche, allure,  par jeux.

.

Nulle parure, nul habit flatteur,

Elle se pare de sa seule humeur,

Partagée  par ceux dont le cœur

Est à nu pour délivrer les peurs.

.

Ces mots, pour  la  peinturlurer

Comme un bel idiot  que  je suis,

Aurai-je le  S droit de  les dessiner

Sur ce beau corps qui m’a  séduit.

.

Tandis  que  ses  beaux pieds,

Avec ses chevilles, fort fines,

Habillés dans leurs écrins,

La rendent  très  divine,

Marque  sa silhouette

Lors  elle chemine :

Courbes rondeurs

Que l’on devine.

.

Extensions

 .

Une chevelure au vent

Laisse flotter derrière elle

Un parfum de femme   qui

N’est pas seulement olfactif

Ou visuel mais autant sensuel

Par ses mouvements incessants.

.

Drapeau flottant avec mêmes effets

Ne produira pas les mêmes réactions.

En outre, une chevelure soutient l’allure

En se déplaçant dans son environnement.

On aimera à découvrir le visage qu’il cache

Quand on la voit de dos, là, parfois surprise :

Une femme ayant une cinquantaine d’année !

.

Preuve que chevelure marqueur de séduction :

Quelle dépense, soins mensuels pour se coiffer !

De plus en plus, en vieillissant, en s’enrichissant

Mais c’est à leur honneur car, par ce fait même,

Elles demeurent belles ainsi  plus longtemps  et

Se plaisent autant à eux-mêmes qu’aux autres.

.

La chevelure fait partie de son allure

Et ce d’autant qu’elle flottera au vent

Et en nudité sa seule, unique, parure,

Protégeant, sa pudeur, son sentiment.

En la coupant elle se veut une révoltée,

De se soumettre aux canons de beauté,

Pour  affirmer  une autre, intériorisée :

Nombre hommes aiment les chevelures

Pour leurs effets de charme, émouvant !

.

La longue chevelure de la femme,

Constitue un attrait pour hommes

Qui les confortera en leur féminité,

En éclairant un visage accueillant !

.

Libre et sauvage plus que disciplinée

Ou naturelle plus que mise en forme,

Elle tend à devenir signe ostentatoire

D’émancipation et du désir de plaire.

.

La chevelure brune, blonde ou rousse,

Qui descend jusqu’aux bas des reins,

Deviendrait proche de soumission

Sinon voire de pleine licence.

.

Fragments

.

Les cheveux, la chevelure, c’est sûr,

 Font partie d’attraits qui nous plaisent

Chez les femmes plus que chez hommes,

De par leur longueur, couleur, épaisseur !

.

Certaines ont une chevelure en fil statique,

D’autres en ont une plus souple, dynamique

La première, on la verra bien plus en Afrique

La dernière, onduler créant un effet magique.

.

En réalité, l’on ne peut plus guère les opposer

Chevelures sont comme curseur en continuité,

D’autant qu’on peut les coiffer  comme on veut

Les couper, rallonger colorer,  comme on peut.

.

Les cheveux, façon dont ils sont bien coiffés,

Reflètent langage social, notre personnalité.

Dont les codes changent au gré des modes,

Mais ont toujours une évocation érotique.

.

Les coiffures longues tombant sur croupe

Habille un dos nu,  comme parure d’Êve,

 Suscitant fantasmes comme en un rêve,

Pour un peu que démarche chaloupe !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

.

Il est

Vrai que les

Cheveux femmes

Ont de tous temps été

Un principal    attribut

Pour            séductions,

Et        encore       plus,

S’ils       sont     longs,

Épais, et    bouclés,

Tombent en bataille.

.

Cent façons de les coiffer

Et une seule de les décoiffer,

En les secouant, nonchalamment,

Tout en tournant la tête innocemment.

Tandis que ses pieds,  aux chevilles fines,

Habillés en leurs écrins,  la rendent divine,

En marquant sa silhouette lors elle chemine

En courbes, et, en rondeurs, que l’on devine.

.

Ses cheveux,  C   longs, épais,  E    en bataille,

Flottent sur  H      ses épaules    T et entourent

Un visage    E    auquel amour   *  en canaille,

Prête ses     V    expressions au  E grand jour.

À l’opposé  E    ses petits pieds  N en souliers

Danseront  U    un tango, une    *   farandole

D’un pas    X   qui vous mène   B  en amitié

De beaux   *      partenaires     A s’y collent.

Entre les    L    deux : bosses  T    et creux

Affirment   O  ses rondeurs  A     un peu,

Assez pour   N attirer les     I amoureux

Par démarche G    allure    L   par jeux.

Nulle parure,  S  nul  habit L   flatteur,

Elle se pare  *   de sa seule   E  humeur

Partagée    É  par ceux dont *   le cœur

Est à nu   P pour délivrer  *  les peurs.

Ces mots  A       pour la  * peinturlurer

Comme un  I   bel idiot * que  je suis,

Aurai-je le  S droit de  * les dessiner

Sur ce beau corps qui m’a  séduit.

Tandis que  ses beaux ….. pieds,

Avec ses chevilles  …… fines,

Habillés dans leurs écrins,

La rendent  trop divine,

Marque sa silhouette

Lors elle chemine :

Courbes rondeurs,

Que l’on devine.

.

Forme

 .

.

Évocation  

.

Une amphore, ou alors

 Une  longue  chevelure

En belle forme qui ondule

Comme  un champ de  blé !

.

699 4

.

Chevelure de femme, bien ourlée,

Avec des volutes des plus épaisses :

Au point on dirait  qu’elle ondule

Comme un champ de blé mûr.

.

Symbolique 

 ..

Les cheveux,

Notamment la façon

Dont ils sont bien coiffés,

Reflètent notre personnalité.

Ils sont un langage social,

Dont les codes changent

Au   gré  de  la  mode.

Chevelure de  femme

A  toujours  porté des

Connotations    érotiques.

De    nombreuses    religions,

Notamment le christianisme ou islam

Interdisaient, aux femmes, de dévoiler

Leur chevelure car cela était considéré

Comme un manque de pudeur.

Modifié, source : 1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Chevelure de femme, bien ourlée,

Avec des volutes des plus épaisses :

Au point on dirait  qu’elle ondule

Comme un champ de blé mûr.

.

Symbolique de fond

 .

Pour les Grecs, la chevelure

Présente des liens étroits avec

Le domaine du tissage, du végétal

L’animal, en particulier avec cheval.

 L’apparence  capillaire, de  référence,

  Toute en longueur    et bien éclatante,

       En ondulation   et en mouvement,

        Indice de jeunesse      et d’excellence,

         De force, de virili      té, de panache,

         Est celle des  dieux    et  des  figures

        Héroïques, modèles     dont s’inspire

        L’élite aristocratique      la chevelure

      Contribue à identifier  et à distinguer

      Et hiérarchiser le sauvage  et le civilisé,

     L’ordre et le désordre  mais  aussi à dire,

   À travers les violences dont elle est souvent

  L’objet, les souffrances ou la négation d’’être.

Pour les Grecs, la chevelure présente des liens

Étroits avec le domaine  du tissage,  du végétal

Et l’animal, en particulier avec queue… cheval !

tel.archives-ouvertes.fr/tel-01838283

 .

.

Fond/forme 

 .

Les cheveux qui ondulent comme les blés,

Cheveux qui balancent de tous les côtés,

Mouvement permanent en marchant

Enluminés par des reflets luisants.

Cent coiffures selon les couleurs ;

Cent coiffures  selon longueurs ;

Raides avec mèches ou frisures

Entourant tête de courbures !

 Textuels et illustrations >>

679 – Comment conter fleurette à une… alouette !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

C’est  belle expression

Ancienne, romantique

D’avant   la   évolution

Moderne   et  sexuelle,

Reprise    aujourd’hui,

Pour tenter sa chance

Près d’une  inconnue.

.

Auprès d’une alouette

Et qui passait   par là

Qui se trouvait seule

Perçue    en    proie.

.

Facile,   disponible

Libre de s’éloigner

Monter très haut,

Être inaccessible.

.

Raconter sans filet sans procès, regret,

Écrire ces mots  sans apprêt, sans effet,

Finir comme cela, hasard vite bien fait,

Histoire de voir s’ils sont bien parfaits.

.

Parfaits pour vous en conter, fleurette,

Heure étant dédiée  au plaisir  et  fête,

De vous raconter  la  belle  amourette,

Vous plaisant à vous mettre  en quête

D’un amour fou  qui vous  consolera,

De tous  prétendants  qui,  à tout va,

N’ont que sexe, en tête,  sur vos pas.

.

Croient que, votre cœur leur cédera,

Or votre cœur est comme forteresse

Qu’on ouvre  que  par  des caresses,

De votre âme, ou par ruse,  finesse,

D’un écrit qui aura trouvé adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul  parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,  trois en lit.

.

Vous, lui, l’amour qui  vous  réunit,

La place sera prise, voilà qui réjouit

Un amour déçu qui n’attendait plus

De la vie que  temps de survie vécue

En l’ombre  d’un destin, entraperçu,

Tardant à  venir, ne serait pas venu.

.

Eh bien non, l’on recommence tout,

L’amour n’est pas ainsi, est partout,

Celui-là, autre, il faut   qu’il soit fou,

Pour vous aimer, malgré lui et vous.

.

Voilà j’ai fini ma chanson, sœurette,

À quoi vous servirait d’être coquette,

Si vous ne l’apprenez,  restez muette,

Alors qu’autour, amour  vous guette,

Sans filets, sans procès, sans regrets.

.

Extensions

 .

Faire la cour, ou bien conter fleurette,

On n’emploie plus ces expressions

Aujourd’hui, devenues désuètes

Après  la révolution  sexuelle,

Bien que le souci et besoin

D’être désirée demeure.

On  parle  de « flirts »

Pour   des   caresses,

Et des embrassades,

On parle de « passe »

Relation sexuelle tarifée,

Et  on parle  de « plan Q »

Pour une envie  de conquête

Le soir même, dans son au lit :

Tout cela n’aura rien d’engageant,

Ressemble passe-temps ou gâterie.

.

Amour, amourette … confusion des émotions, des sentiments ?

Allez savoir, allez comprendre, allez moraliser

Y- a-t-il tromperie intention, objet, marchandage, marchandise

Et le sait-on plus qu’avant, que pendant, après

Toujours est-il que, consentants, qu’y aurait-il de grave à redire !

.

 Aventure, badinage, caprice, idylle,

 Intrigue, liaison, passade, béguin,

 Flirt, tocade, voire  toquade, etc.

Sont synonymes d’amourette.

.

L’amourette serait éphémère

Sans suite ni conséquences,

Une sorte de banc d’essais,

Pour savoir qui nous plait

.

Lors à ce qu’il nous évoque,

Si consentement, réciproque,

Il n’y a rien en cela qui choque :

Qu’un faux amour qu’on convoque.

.

Fragments

.

Conter fleurette à une amourette :

Lui tenir des propos galants,

Puis lui faire la cour.

.

C’est léger, sans arrière-pensée,

En attendant engagement

Et voire dégagement.

.

Amourette, aventure passagère,

Dite sans conséquence :

Intrigue ou passade

.

Cœur et sentiment l’emportent-il

Sur le sexe : pas nos jours

Ou l’on consomme !

..

Point de passion, d’attachement,

Volontiers frivole et léger

Séduction  éphémère.

.lus difficile avec une femme

Ne s’en laissant pas conter

Qui aura du caractère.

.

Fleurette est juste une allumette,

Qui fera comme une recette

Sans faire de vous, poète.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

C’est l’expression………..……

Ancienne et romantique…….……

       D’avant   V     la révolution…………..……

    Moderne      A   et …… sexuelle…….………

     Et reprise        *          aujourd’hui…….………

Et pour tenter  D        sa chance…….……

Près d’une          O       inconnue…………

Auprès d’une     N     alouette…………

   Et qui passait    C       par là…………

 Qui se trouvait *   seule………

Perçue  en   proie…………

       Facile, disponible…………

            Libre de s’éloigner…………

             Monter   très haut…………

                Etre inaccessible. …………

.

Raconter sans filet  C    sans procès, regrets,

Écrire ces mots       O    sans apprêt sans effet

Finir comme cela    N   au hasard vite bien fait

Et, histoire de voir   T     s’ils sont bien parfaits.

Parfaits pour vous    E         en conter, fleurette,

Heure étant dédiée    R           au plaisir  et  fête,

De vous raconter la     *           belle  amourette,

Vous plaisant à vous    F          mettre en quête

D’un amour fou qui       L       vous consolera,

De tous  prétendants       E      qui, à tout va,

N’ont que sexe en tête,     U      sur vos pas,

Croient que, votre cœur     R   leur cédera,

Or votre cœur est comme    E   forteresse.

Que l’on ouvre que par des  T   caresses,

De votre âme, ou par ruse   T      finesse

D’un écrit qui aura trouvé  E   adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,    trois en lit.

.

 Vous, lui, l’amour       À  qui vous réunit,

La place sera prise    *   et voilà qui réjouit

  Un amour déçu,     U      qui n’attendait  plus

    De la vie que        N         temps de survie vécue

         En l’ombre         E             d’un destin, entraperçu,

          Tardant à            *             venir, ne serait pas venu.

           Eh bien non,       A                 l’on recommence tout,

            L’amour n’est      M                pas ainsi, est partout :

            Celui-là, autre,       O                il faut   qu’il soit fou,

            Pour vous aimer,     U                  malgré lui et vous.

             Voilà j’ai fini ma        R                chanson, sœurette

            À quoi vous servirait   E                 d’être coquette,

           Si vous ne l’apprenez,   T                restez muette,

      Alors qu’autour, amour  T              vous guette,

      Sans filets, sans procès   E              sans regrets.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette d’amourette 

Jeune,  et  belle,  de profil,

Habillée avec  frous-frous, 

Pour dessous  de  caractère.

.

679 4

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

Pour sûr, amourette, caractère

Amoureux et très vite emballé

Vont de pair et vers impair,

Ainsi forme évoque fond.

.

Symbolique 

 .

Attachement passager,

Généralement exempt de passion,

Volontiers frivole, pour une personne.

C’est  un  homme  qui  aurait toujours,

Quelque amourette (Ac. 1835-1932);

Ses  amourettes  lui  feront du tort,

Dans  le monde  (Ac. 1835-1932)

Synonyme : caprice, fredaine,

Flirt,  séduction  éphémère…

www.cnrtl.fr/definition/amourette

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

679 6

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

.

Symbolique 

.

Les femmes à fort caractère

Sont des femmes sûres d’elles

Du moins d’après apparences.

Volontaires, parfois elles sont

Très organisées dans leur vie

Professionnelle comme privée.

.

Elles ont une personnalité forte,

Savent ce qu’elles veulent et vont

«Droit au but » : dans leur séduction

Elles  adoptent  une position  active

Elles choisissent leur bon partenaire.

En couple, elles prennent des initiatives

Aiment imposer leur rythme au partenaire.

love-intelligence.fr/La-femme-a-fort-caractere-en-amour

.

.

Fond/forme 

.

Amour passager et sans conséquence

Amour courtois et avec bienséance

Amour sur l’instant, platonique

Autant d’éphémères idylles,

Et qui n’engagent à rien

Autant dire qu’elles

N’ont d’existence

En conscience

Voire, sexe !

.

Textuels et illustrations  >>

665 – Solitude est immense si on ne vous aime plus

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

Solitude en amour

Est prison intérieure

Bien que prison à deux

Ne soit guère  meilleure.

.

D’être aimé, se croire aimé

Qui revient parfois au même

Aide à vivre, sinon à survivre,

Confiance, espérance, garder.

.

Le doute, il est vrai, s’instaure,

Si on lui donne raison  ou tort,

On s’approche, alors, de mort,

En s’enfonçant en la solitude.

.

La solitude  est  adoucie  par,

La sollicitude  qui nous évite,

La vicissitude  luttant contre

Habitude  de se croire  seul.

.

S’il n’y a plus de sollicitude

On vit à  tombeau  ouvert,

Tout est futile, et inutile :

On est état Alzheimer.

.

Solitude est immense si on ne vous aime plus

Quand vous le découvrirez, brutalement,

Au détour de phrase, anodine en sus,

D’un geste ou d’un événement.

.

Vous cherchez depuis quand,

Depuis hier, un an,  plus longtemps,

Impossible de savoir mais doute est là,

Et c’est lui qui en son temps vous cassera.

.

Qu’ai-je donc fait, qu’ai-je mal fait ou pas fait,

Que n’aurai-je dit, qu’ai-je mal dit, n’ai-je pas dit.

Autant de questions qui tomberont, à plat : nenni !

Simplement, amour autre parti, lors, je suis refait.

.

N’étant pas  au courant : de pouvoir, lutter contre,

Je ne suis nullement allé au-devant, à la rencontre,

De celui ou de celle qui commençait, à  m’ignorer,

M’enlevant jusqu’au désir, et la force, de l’aimer !

.

Lors,  si les jeux sont faits,  sollicitude  est futile,

Je n’ai qu’à me considérer que comme imbécile

Me projeter en un ailleurs qui m’est plus utile

Pour adoucir ma solitude paraissant fragile.

.

Extensions

 .

Être seul n’osant pas être deux ;

Être seul si on n’a d’alter-ego ;

Être seul si on vous a quitté,

Sont variantes de solitude.

.

Le pire est rejet de l’autre, négation :

«Je ne t’aime pas, d’ailleurs, à vrai dire,

Je ne t’ai jamais aimé : qui pourrait

Bien aimer un être comme toi !»

Seul dans un couple où l’autre

Se dit seul aussi de son côté,

Font deux solitudes qui se

Côtoient sans rien communiquer.

.

L’autre est le miroir, de son isolement.

«Toi, t’es fait, t’es bon que pour vivre seul »,

Est comme le condamner à la prison à perpétuité,

L’enfermer en lui-même, le mettre au ban de la société.

L’écrivain est toujours seul quand il écrit, jamais seul

Quand on le lit comme l’amoureux est toujours seul

Quand il rêve, par définition, jamais lors il baise.

.

La solitude est sensation de mise à l’écart de tout le monde,

Vous êtes seul face à vous-même, et rien ne peut vous aider

La posture la plus visible et connue est celle, recroquevillée

Ou la main sur la vitre, pour dire qu’on n’atteint plus rien.

C’est sûr, c’est un état qui détruit de l’intérieur, l’humain,

Car si vous avez l’impression que personne ne vous aime

Vous êtes proche de haine de vous-même, du prochain.

.

Les causes et situations de solitude,

Seront très nombreuses et variées.

Déjà, si elle est choisie, ou subie,

Ensuite, si on est isolé ou pas,

Enfin, si y a pas de solution

L’on est seul… au monde !

.

Seul au monde, on ne peut

Dès que quelqu’un vous aime,

Que ce soit conjoint, parent, ami

Lorsque des fois, un seul être suffit,

Pour combler une solitude, immense,

Et, en société, re-rentrer dans la danse.

.

L’écriture est un grand moment de solitude,

C’est souvent ce que ressentent, disent auteurs

Mais ce ne serait qu’un simple isolement externe

Dès lors que l’esprit est peuplé d’une foule de gens

Dialoguant avec lui, quand ce n’est pas… entre eux :

Et ainsi l’on se créerait son propre théâtre… intime !

.

Fragments

.

Solitude est immense si on ne vous aime pas.

C’est vous qui le dites, c’est faux, c’est gratuit.

.

J’ai toujours été seul dans ma vie, orphelin né,

C’est seul que je me suis construit puis protégé.

.

Être aimé reste une option qu’on choisit ou subit,

Elle n’empêche pas de vivre et de faire des profits.

.

Le verre ne sera ni à moitié plein ni à moitié vide,

Il est tout simplement à l’envers, inremplissable !

.

Dire que cela peut agir sur l’humeur, je le conçois,

Même le concède tant amour me manque des fois.

Ah si j’avais connu, bénéficié d’amour d’une mère

Je ne dis pas, ma vie me paraitrait moins misère !

.

Ah si je pouvais aimer l’autre, femme ou homme :

Je me sentirais moins seul, abandonné, en somme

.

Ma solitude est immense et la combler me manque

Mais au moins je ne me gargarise point d’illusions.

.

Au final, j’envie ceux qui aiment leur famille, amis :

Mais qui suis-je et que puis-je à présent de changer.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

Solitude     S  en amour

Est prison    O  intérieure

Bien que pri   L    son à deux

Ne soit guère   I        meilleure.

D’être aimé, se      croire aimé

Qui revient par  U   fois au même

Aide à vivre, si    D  non à survivre.

Confiance, espé   E   rance, gardées

Le doute,  il est    *   vrai, s’instaure,

Si on lui donne    E  raison ou à tort

On  s’approche,   S    alors, de mort,

En s’enfonçant    T    dans solitude !

La solitude est    *       adoucie  par,

La sollicitude      I    qui nous évite,

La vicissitude    M   luttant contre

Habitude  de     M  se croire  seul.

S’il n’y a plus    E   de sollicitude

On vit à  tom   N  beau  ouvert,

Tout est futi   S le, et inutile :

On est état   E  Alzheimer.

.

*****************************

**********************************

.

Solitude est immense si on ne vous aime plus

Quand vous le découvrirez, brutalement,

Au détour de phrase, anodine en sus,

D’un geste ou d’un événement.

.

Vous cherchez depuis quand,

Depuis hier, un an,   S   plus longtemps,

Impossible de savoir   I   mais doute est là,

Et c’est lui qui en son     * temps vous cassera.

      O

Qu’ai-je donc fait, qu’ai-     N   je mal fait ou pas fait,

Que n’aurai-je dit, qu’ai-je   *   mal dit, n’ai-je pas dit.

Autant questions qui tom    N    beront, à plat : nenni !

Simplement, amour autre     E   parti, lors je suis refait.

      *

N’étant pas, au courant,         V      pouvoir, lutter contre,

Je ne suis nullement allé au   O     devant, à la rencontre,

De celui ou de celle qui com   U      mençait, à  m’ignorer,

M’enlevant jusqu’au désir      S         et force, de l’aimer !

       *

Lors si les jeux sont faits       A       sollicitude est futile,

Je n’ai qu’à me considérer    I      que comme imbécile

Me projeter en un ailleurs  M      qui m’est plus utile

Pour adoucir ma solitude  E       paraissant fragile.

.

Forme

.

.

Évocation  

.

Deux verres à l’envers,

Petit et grand, superposés,

De  formes, de tailles différentes 

Et aussi d’usage selon ses humeurs.

.

665 4

.

Toute solitude, c’est le Monde,

 Ou  c’est le verre, à  l’envers !

Le plein d’humeur morose est

En bas et le vide est en haut !

Verre et humeur vont parfois ensemble

Le verre à moitié plein ou à moitié vide,

Mais si vous le renverser,  plus d’espoir,

Tant et si bien que forme diffère du fond.

 .

Symbolique 

 .

Le verre                        est un des

Premiers                      matériaux

Mis au point, rêvé par l’homme,

Il est le symbole et  la fragilité,

La finesse et la transparence.

Par exemple, la pantoufle

De   verre   de  Cendrillon

  Conte  de Charles  Perrault

Dessin animé Walt Disney.

Il est    souvent     considéré

Que dans le conte original,

La pantoufle était de vair,

Perrault a écrit sa version

De  l’histoire  avec  une

Pantoufle de verre,

Le dessin animé

Reprendra

L’idée.

Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

665 6

.

Toute solitude, c’est le Monde,

Lors c’est le verre, à  l’envers,

Plein  d’humeur  morose  est

En bas et le vide est  en haut !

 .

Symbolique 

 .

L’humeur est un

État d’âme persistant.

Elle diffère de l’émotion

En ceci   qu’elle est moins

Spécifique,  moins intense,

Et moins influencée par des

Événements récents, même si

Des émotions telles que la peur

Et surprise, sont  des sentiments

Parfois sévères, et pouvant durer

Des heures même voire des jours.

L’humeur pourra bien avoir une

Connotation positive, négative.

En langage courant, on parle

De « bonne » humeur ou de

«Mauvaise » humeur.

Wikipédia : humeur

 .

.

Fond/forme 

 .

Le verre est un contenant,

Le verre est transparent :

L’humeur, elle, ne l’est pas,

On la voit, on la sent, boit,

La solitude est ainsi qu’elle

Ressemble à un verre vide

Vide de liquide, et de sens

Et qui plus est renversé

Et pas … renversant.

.

Textuels et illustrations  >>

664 – Je ne peux en vouloir à personne de ne pas

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Rester attrayant, vieillissant,

Est art consommé du paraitre,

Si  ce n’est  de l’être, d’intérieur

Seul à être vu par transparence !

.

Vieillissant, charme et tendresse,

Remplace force, sexe  et  adresse,

Impensable  de faire abstinence.
Vieillir, n’est pas une pénitence.

.

C’est le lot de tous, loi du genre

Et l’essentiel n’est pas de baiser

Comme une bête, mais d’aimer,

Avec cœur et tête, qu’on ébranle.

.

Comment en vouloir à quelqu’un,

De n’avoir pas vingt ans, vie durant,

Y a plus de consonnes que de voyelles,

Consonnes sont ans, voyelles, amours.

.

Je ne peux en vouloir, à personne,

De ne pas me trouver attrayant

Surtout quand… vieillissant,

Temps de déplaire sonne.

.

D’autres plaisirs, d’autres soupirs,

Remplacent du sexe, fou désir

Pour autant, non occultant,

Un plaisir doux, d’avant.

.

Si fait que charme, et, tendresse,

Compensent force et adresse

Quand essentiel redresse

Sa passagère paresse.

.

Je souhaite, bon temps, bon vent,

À celui qui se rendra abstinent,

Ame, esprit, cœur : contents,

Ne font pas de lui, amant.

.

Et pourtant, il aime, et il aimera,

Toujours mais plutôt de loin,

En prenant très grand soin

De ses anciennes amies.

.

Qu’amours  … charnels  … sensuels,

Se transformeront en ……. rappels,

N’a rien toutefois …..…. de virtuel,

Sont affections .….…. bien réelles.

.

Je ne peux en vouloir à personne

De ne pas utiliser de consonnes

Que voyelles laissent à désirer

Au lieu, contraire, les aimer.

.

Extensions

.

Comment en vouloir à quelqu’un

De vieillir dès lors que ce sera le lot

De chacun, en vie, qu’on y peut rien.

De vieillir prématurément, peut-être,

Suite à une maladie contractée auprès

.

D’un autre  ou d’un accident provoqué,

Ou encore de mauvaises  ou de pénibles

Conditions  de  travail, ou, de  mauvaise

Couverture  santé,  couverture  finances.

.

Sur le  fond, c’est une  norme  génétique,

Sur  la  forme, que  des  cas  particuliers.

De bien vieillir est tout comme demeurer

En bonne santé et en capacité psychique

.

Art consommé sans garantie confirmé :

Des buveurs et des fumeurs invétérés

Sont morts quasi centenaires,

Des macrobiotiques,

Cinquantenaires !

.

Expression courante «sourd comme un pot» concerne audition

Soit sous une forme de déficience de l’oreille et de malentendant,

Soit de volonté  de ne pas  entendre, combler demande  de  l’autre.

Parfois, il ne s’agit pas  de l’autre  mais   proprement, de soi-même,

Quand, arrivé  à  un certain âge, on se croit, encore, jeune, aguerri,

Ou quand des personnes ne comprennent pas  la portée de son art

Et comment pourrait-on à vouloir à quelqu’un de pas intéressé.

.

Je suis comme je suis, physiquement parlant

Si je dois en vouloir à quelqu’un : à mes parents

Par suite de leur hérédité, qu’ils ont acquis aussi.

Si parfois ça devient mieux, parfois, ça l’est moins.

.

Et puis il y aurait le soin  que l’on porte à soi-même :

On s’entretient  ou on se laisse aller, on abuse d’alcool,

On se retrouve à cinquante ans comme ayant soixante,

De qui voulez-vous que ce soit la faute hors vous-même

.

Et puis, sans être un séducteur né ou un vrai Don Juan

Y en a qui savant parler aux femmes et d’autres, non :

Sachant qu’inverse est vrai aussi : imaginer le couple

Cela ira bien au-delà d’une timidité, dite maladive.

.

Fragments

.

Je ne peux en vouloir à personne,

D’accord, mais de quoi :

D’être moi  ou de n’être que moi,

Faute à qui, ça résonne !

.

Si je dis : c’est dommage de vieillir,

Tout le monde répondra :

C’est le lot de tous, à n’en plus finir,

Personne ne l’empêchera.

.

On peut tout de même garder santé :

On n’est pas né tout pareil

Génétique, hygiène de vie, peut aider

On en ferait des merveilles.

.

Si esprit, comme couvercle qui interfère

Est en fer, corps en terre,

S’ils se combattent, font tout de travers

Pot de terre contre pot de fer.

.

Et si je ne plais plus, par mon apparence

Laisse autre en indifférence

Pour autant, ne peux en vouloir à aucun,

Mon temps est passé, destin !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

JE NE PEUX

Rester attrayant, vieillissant,

Est art consommé du paraitre,

Si  ce n’est  de l’être, d’intérieur

Seul à être vu par transparence !

Vieillissant, charme et tendresse,

Remplace force, sexe  et  adresse,

Impensable  de faire abstinence.
Vieillir, n’est pas une pénitence,

C’est le lot de tous, loi du genre

Et l’essentiel n’est pas de baiser

Comme une bête, mais d’aimer,

Avec cœur et tête, qu’on ébranle.

Comment en vouloir à quelqu’un,

De n’avoir pas vingt ans, vie durant,

Y a plus de consonnes que de voyelles :

Consommes sont les ans, voyelles, amours.

.

*****************************************

*****************************************

EN VOULOIR

Je ne peux en vouloir, à personne,

De ne pas me trouver attrayant

Surtout quand… vieillissant,

Temps de déplaire sonne.

.

D’autres plaisirs, d’autres soupirs,

Remplacent du sexe, fou désir

Pour autant, non occultant,

Un plaisir doux, d’avant.

.

Si fait que charme, et, tendresse,

Compensent force et adresse

Quand essentiel redresse

Sa passagère paresse.

.

Je souhaite, bon temps, bon vent,

À celui qui se rendra abstinent,

Ame, esprit, cœur : contents,

Ne font pas de lui, amant.

.

Et pourtant, il aime, et il aimera,

Toujours mais plutôt de loin,

En prenant très grand soin

De ses anciennes amies.

À PERSONNE

Qu’amours  … charnels  … sensuels,

Se transformeront en ……. rappels,

N’a rien toutefois …..…. de virtuel,

Sont affections .….…. bien réelles.

Je ne peux en vouloir à personne

De ne pas utiliser de consonnes

Que voyelles laissent à désirer

Au lieu, contraire, les aimer.

.

Forme

.

.

Six pots empilés

Éléments de colonne

Voire pots de terre et fer

Qui se casseront tous deux.

.

Évocation 

.

664 4

.

Voilà six pots empilés, des plus communs,

Et sans allure :

Ils ont tous été rangés après avoir été utile,

Leur vie durant !

.

Le pot est connu  pour se casser

Facilement surtout s’il est en terre

Aussi, plus curieux, pour sa surdité

Son premier sens converge au fond.

 .

Symbolique 

 .

Les  pots                            horticoles

Remontent                       aux origines

Du jardinage,                    néolithique

Ils  sont  fré               quents  dans les

Jardins  de               toute l’antiquité.

Pots de fleurs :         en terre cuite,

Mais existe aus            si plastique,

En bois, voire           même pierre.

Il en existe  de  toutes les tailles,

Du dé  à coudre   aux  énormes

Pots arboricoles  couramment

Utilisés pour       les agrumes.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

664 6

.

Un pot de terre ou un  pot de fer

Ou l’un contre l’autre :

Ils s’affronteront leur vie durant

Se casseront tous deux.

 .

Symbolique 

 .

 Pot, récipient qui se casse

À ouverture   large  sans  anse

 .

Initialement     destiné     à  contenir

Et  à  conserver      de la       nourriture.

 .

Aujourd’hui,                simple de               forme   type

De   poterie               tournée ou             un   récipient

En diverses           matières céra          miques, grès,

 .

Faïences métalliques  et destiné à recevoir

Liquide plus ou moins visqueux à chaud.

 .

La cruche est un symbole de stupidité.

Pot demi-plein est l’image du sot.

Source Wikipédia : pot

 .

 .

Fond/forme 

Un pot n’aurait, en lui-même, ni vertu ni vice

Ce ne sont que les gens  qui lui en trouveront :

En dehors de définition générique : contenant ;

.

On lui attribue aussi  contenu : pot de confiture,

De même que boisson, payer un pot à quelqu’un,

Ou plus positif encore, avoir du pot, de la chance

Plus négatif : s’asseoir sur le pot pour ses besoins.

.

En réalité le contenant peut avoir la même utilité

Sans, pour autant, avoir la même fragilité, durée

Un pot en terre cuite est fait pour être remplacé,

Un pot en fer ou acier, affronte toute adversité.

.

Textuels et illustrations  >>

651 – Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Je ne suis pas ceci,

Ni cela, loin s’en faut,

En bref, ne suis pas celui

Que pour un couple, te faut.

Je suis cheval  et pas taureau,

Je ne suis pas bon, pas salaud,

.

Ne suis qu’homme et pas loup,

Et cela fait un peu … beaucoup.

Étalons, et talons, étalons-nous,

Qualités, et défauts : déclinons.

Tu n’es pas, non plus… déesse :

Juste  enfant  mère,  promesse.

C’est là  surtout, où le bât blesse.

 .

Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Je ne suis pas  l’homme qui te vaut,

Je ne suis pas,  cet  homme … beau

Que  tu  souhaites   comme  cadeau

Bien que quelque chose me dira que

J’ai malgré tout, ma place près de toi,

Qu’elle soit : de fait, d’amour, de droit

Essentiel est que, nous deux, heureux.

.

Je ne suis pas l’homme  qu’il te faut !

Je suis : cheval, bouc  ou … taureau,

N’importe lequel,   de ces animaux,

Que tu aimes bien en ton hameau,

Mais quelque chose me dit que, si,

Si je me transforme… homme-loup,

Je pourrai t’approcher, pour le coup,

Pour mieux te dévorer de mes yeux.

 .

 Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Je ne suis pas assez bon, ou  salaud,

En restant entre, pas assez, et trop,

Je manque bons gestes, bons mots

Mais  quelque chose me dit que, si

Je deviens un homme imprévisible,

Je cache mon âme dans …l’invisible,

L’offre, cadeau nouveau, merveilleux.

 .

Si je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Je ne suis pas, déjà, j’espère, de  trop :

À pied, à cheval, au trot ou au galop,

Te conquérir, je ferai, ce qu’il faut,

Mais quelque chose me dit que si

Nous n’avons pas  épuisé le rêve

Qui  ferait, notre  vie, trop brève,

Tu ne   peux  perdre  l’amoureux.

 .

Ne suis pas l’homme qu’il te faut,

Ne suis pas l’homme qui : à mots

Couverts, t’aura promis berceaux,

Où nos enfants  seraient des faux,

Mais, quelque chose me dit que si

Leur réalité l’emporte, aujourd’hui.

.

Extensions

 .

Je ne suis pas l’homme qu’il te faut.

Combien de fois, me le suis-je répété,

L’ai-je, moi-même, vérifié, et pourtant,

Je persévère, et, pourtant, ne désespère,

Que ton choix ne bascule, en ma faveur

Et je profite des tiennes à toute heure.

Je ne suis pas homme, je suis faux.

Est-ce la même chose ou c’est

Parce  que  je  ne  te  vaux.

Je peux me poser mille

Et  une  fois  ces

Questions sans

Trouver   la

Réponse

Il faut.

.

L’homme qu’il faut : sur plus d’un milliard, y a ce qu’il faut

Eh bien, parfois, non, ce n’est pas qu’elle ne trouverait  pas,

Mais celui qui l’approche, qu’elle rencontre ne convient pas

Trop intériorisé, extériorisé, trop intellectuel ou exubérant

Problème de fond est qu’il n’existe pas pour elle autre que

Dans son fantasme, son illusion, son rêve, non en réalité

Qui est finalement régulateur de toute chose sur Terre.

De là à imaginer de manière obsessionnelle et le dire

Que son conjoint n’est pas le bon, qu’un pis-aller !

.

Qu’est-ce ça peut bien vouloir dire :

« Je ne suis pas  l’homme  qu’il te faut »

On dirait presque une erreur de casting,

On ne pourra pas tourner la scène prévue.

.

On peut modifier un tantinet la phrase

« Je ne suis pas  l’homme  qui  te  vaut »

Ça aura au moins le mérite d’être clair,

À chacun de juger si c’est vrai ou faux.

.

On peut même aller plus loin,  jugement

« Je ne suis pas  l’homme  sans   défaut»

Mais qui peut bien l’être, sauf être ange,

On touche à des commentaires abyssaux.

.

Fragments 

.

Je ne suis pas l’homme qu’il … te faut :

Je ne suis rien, ne vaut rien, au bas mot

Moindre intérêt pour moi, serait de trop,

Je peux rêver de t’aimer, ce serait bien sot.

.

Quel homme tu aimerais, je ne le sais trop :

Rien même que l’imaginer, j’aurais tout faux

En tous les cas, différent de moi, autre oiseau,

Un homme plus extraverti plus que moi, intro.

.

Tu es une cavalière,  aimant trop les … chevaux,

Je ne suis que poulain, pas étalon, pas au niveau,

Pour faire avec toi, des courses effrénées en sauts,

Franchissant tous les obstacles, même le plus haut.

.

À défaut  d’être l’homme  qu’il te faudrait, te faut,

Je me contenterais d’être ton chien ou … corbeau

En chien, je vivrais à tes pieds, et ce serait beau,

En corbeau,  je vivrais sur ta tête,  par  défaut.

.

Ne peux t’offrir que ce que je suis, pas héros,

Pour autant je suis loin d’être  comme zéro,

Je peux te faire des poèmes avec des mots

Qui te feraient vibrer plus qu’il n’en faut.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Je ne suis pas ceci,

 Ni cela, loin s’en faut,

   En bref, ne suis pas celui

      Que pour un couple, te faut.

          Je suis cheval  et pas taureau,

             Je ne suis pas bon, pas salaud,

                Ne suis qu’homme et pas loup,

                   Et cela fait un peu … beaucoup.

                     Étalons, et talons, étalons-nous,

                     Qualités, et défauts : déclinons.

                    Tu n’es pas, non plus… déesse :

                  Juste  enfant  mère,  promesse.

                 C’est là  surtout, où le bât blesse.

JE NE SUIS              

                Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

           Je ne suis pas  l’homme qui te vaut,

       Je ne suis pas,  cet  homme … beau

    Que  tu  souhaites   comme  cadeau

  Bien que quelque chose me dira que

J’ai malgré tout, ma place près de toi,

Qu’elle soit : de fait, d’amour, de droit

Essentiel est que, nous deux, heureux

 PAS L’HOMME          

Je ne suis pas l’homme  qu’il te faut !

 Je suis : cheval, bouc  ou … taureau,

    N’importe lequel,   de ces animaux,

       Que tu aimes bien en ton hameau,

            Mais quelque chose me dit que, si,

                 Si je me transforme… homme-loup,

                      Je pourrai t’approcher, pour le coup,

                        Pour mieux te dévorer de mes yeux.

            QU’IL TE FAUT ! 

                           Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

                            Je ne suis pas assez bon, ou  salaud,

                             En restant entre, pas assez, et trop,

                              Je manque bons gestes, bons mots

                                Mais  quelque chose  me dit que, si

                                 Je deviens un homme imprévisible,

                                Je cache mon âme dans …l’invisible,

                               L’offre, cadeau nouveau, merveilleux.

           .

                          Si je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

                        Je ne suis pas, déjà, j’espère, de  trop :

                    À pied, à cheval, au trot ou au galop,

                   Te conquérir, je ferai, ce qu’il faut,

                    Mais quelque chose me dit que si

                       Nous n’avons pas épuisé le rêve

                          Qui ferait, notre vie, trop brève,

                              Tu ne   peux  perdre  l’amoureux.

           .

                                Ne suis pas l’    homme qu’il te faut,

                                 Je ne suis pas l’    homme qui, à mots

                               Couverts, t’aura        promis berceaux,

                             Où nos enfants         seraient des faux,

                             Mais, quelque          chose me dit que si

                                 Leur réalité l’em              porte, aujourd’hui.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un  très bel animal

Se dressant debout :

 Un cheval, surement, 

Mais sans son cavalier !

.

651 4

.

En voilà bien un bel étalon,

Avec lequel on peut t’entendre.

 Je ne suis qu’un cheval de trait,

Je n’en ai pas d’un pur-sang.

 .

Symbolique

 .

Une croyance ancrée

En la mémoire des peuples

Associe l’origine du cheval

Aux  ténèbres  d’un  Monde,

Dont il surgit, en  galopant

Comme sang en les veines,

Des entrailles de la terre

Des abysses de la mer.

Comme fils de la nuit

Et   d’un   mystère,

Il  serait  porteur

À la fois de mort

Et de vie,

Destructeur

Et triomphateur.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

651 6

.

Je ne suis rien qu’un cavalier

Conscient le jour sur cheval aveugle

Aveugle la nuit, sur un cheval voyant

Selon interprétation psychanalyse.

 .

Symbolique 

 .

P

Psychanalyse du cheval et du cavalier :

En plein midi, entraîné par la puissance de sa course,

Le cheval galope à l’aveugle et le cavalier, les yeux grands ouverts,

Prévient ses paniques et le dirige vers le but qu’il s’est assigné.

La nuit, quand le cavalier devient à son tour aveugle,

Le cheval peut se faire  voyant, se faire  guide.

C’est lui alors                           qui commande,

Peut franchir                           impunément

Les  portes                              du mystère

Inaccessible                          à la raison.

 .

 .

Fond/forme 

 .

En vrai, il te faudrait un homme qui soit

Comme si, comme ci, et surtout pas comme ça !

Je suis comme ça, pas comme ci, cherchez l’erreur !

.

On peut transformer un poulain en cheval, en étalon,

Mais pas en chat ni en chien  et encore moins en lion.

Aucun déguisement ne suffit  pour la transformation

Ou proverbe : chassez le naturel, il revient au galop

Encore une histoire de cheval qui se cabre  et rue .

.

En fait, il faut rester comme on est et progresser

C’est une question d’histoire, non d’instantané.

Apprécier le potentiel, malléabilité de l’autre

Plutôt que condamner à n’être que ce qu’il est.

.

Textuels et illustrations   >>

649 – Je fais rarement ce qu’il faut !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Je fais

Rarement

Ce qu’il faut,

Quand il le faut,

Comme  il  le faut :

Erreurs  se  cumulant

En une seule, imparfait.

.

Imparfait, je suis et le reste

Quoiqu’on  dise  et conteste !

Faire efforts pour s’améliorer,

D’accord, mais se transformer,

En un  gentil  garçon, obéissant,

À l’autre, comme à  une maman,

Non quand même, ai passé l’âge.

.

Il est certain que je fais rarement

Tout ce  qu’il  faudrait, qu’il faut !

Et  quand bien même, je le  ferais,

Je le ferais pas bien comme il faut.

.

Ce, tant et si bien que, finalement,

Je n’aurais plus, d’envie, ni de vie,

Et qui pourrait pourtant convenir

À quelqu’un comme moi, pour qui

Tout devrait, et, un jour,  advenir,

Tout comme il aime et il le désire.

.

Je fais ce qui  me semble

Et l’essentiel,  à mes yeux :

Vois que je ne te ressemble,

Au point de rendre ennuyeux.

.

Nos contacts ou, nos rapports,

Qu’ils   soient dedans ou dehors

Bien que je me conduise en ange

Ne te poursuis  de ma revanche

Ni du mal que  je  t’aurais fait,

Sans le savoir ou bien exprès.

.

Fais des efforts encore, encore,

Lors, tu réponds : t’y es pas, garçon

J’y serai peut-être, lors je serai mort

Mais attendant être  qui t’ira très fort,

Ne suis par défaut homme qu’il te faut.

.

Extensions

 .

Le rejet de l’autre peut devenir tel qu’on ne voit le changement,

de l’autre et on l’enferme en un cadre rigide dont il ne sortira pas.

.

– «  Ton conjoint a bien changé ces temps-ci, il est plus présent,

plus prévenant, plus aimant… »

« Ah bon, tu trouves : c’est juste pour donner le change,

pour un moment, il (elle) reprendra bien vite ses habitudes »

.

– «  Si ça dure, s’il change vraiment, pour de bon, que feras-tu ? »

– « Alors je lui donnerai une seconde chance  mais je ne crois

pas au miracle, changer dans la durée demande de  l’énergie… »

.

– « Tu devrais changer un peu de ton côté, pour l’accompagner »

– « Merci, je vais bien, ce n’est pas moi le problème, c’est l’autre ! »

.

– « Mais enfin, tu sais bien que dans un couple… »

« Laisse tomber, je te vois venir avec ta psychologie

de couple, regardes plutôt le tien, ça pas fort non plus ! »

.

– « Ça va bien mieux maintenant qu’on s’est beaucoup parler.

« Tu pourrais lui dire qu’il s’améliore, rien que pour l’encourager. »

.

« On en reparlera dans trois mois, un feu de paille, je te jure »

– «C’est à désespérer, dans un an vous êtes divorcés. »

« Et vous dans trois, j’aurai juste pris un peu d’avance ! »

.

Le niveau d’exigence, de perfection de l’autre

N’a d’autre miroir que le cadrage de son miroir.

Certains, certaines, demanderaient, au  conjoint,

De satisfaire de suite le moindre de leurs caprices

Quand d‘autres de combler leurs propres défauts,

Par des qualités qu’ils ne leur reconnaissent pas,

Et ainsi, on tourne en rond, en frustrant l’autre

Sans qu’il ne soit de contrat, de projet, récit,

Autre que de dire «ça ne va toujours pas».

.

Les accroches, anicroches et reproches

De l’un sur l’autre, ou réciproquement,

Ne peuvent durer qu’un certain temps

Jusqu’à ce que l’un deux ne … craque

Lors, en colère, enverra tout en l’air.

.

On dit : il faut être souple, tolérant,

Pour vivre en couple, communauté

Il ne suffit donc pas d’être amants,

Pour que paix ménage, s’instaure !

.

S’instaure, cinq torts, qui a raison :

Les deux ou aucun ou à mi-chemin.

On dit que  qui reconnaitra son tort,

Reste ouvert au dialogue  constructif,

Pour  trouver  compromis … accords !

.

Fragments 

.

Tempéraments, attitudes, caractères,

S’accordent, se tolèrent, s’indisposent,

Ça peut être par des gestes, mots, actes

Frictions se produisent, rompent pacte !

.

Certains, certaines, prétendent  qu’amour

Change un homme, une femme, en mieux,

Au bout, sur quelques temps : vœux pieux,

Ils retombent en leurs travers de toujours !

.

Quant à moi, il se peut  qu’elle ne m’aies vu,

Avant de se marier,  comme j’étais,  tout nu,

Voire elle exagère, invente, pour me quitter,

Mais imparfaite, ne le serait-elle pas autant.

.

Lorsque je fais quelque chose, me met à parler

Elle me sonne les cloches comme en une église

Et en outre, ces dernières me semblent… fêlées

Tant sa voix m’écorchera les oreilles : non lisse.

.

J’aimerais tant qu’un bel accord, en symphonie

Nous chante les louanges d’un bel amour choisi

J’ai changé, parfois, j’ai fait nombre compromis.

Rien n’y a fait : faudrait-il que je la quitte, pardi !

.

Mais, je reste, je l’aime encore … comme elle est !

Je ne suis pas l’homme qu’il lui faut, peu s’en faut,

Comment faire pour qu’elle me veuille … je la vaux

En faire peu c’est mal ; assez, bien ; trop… parfait !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

 .

Je fais

Rarement

Ce qu’il faut,

Quand il le faut,

Comme  il  le faut :

Erreurs  se  cumulant

En une seule, imparfait.

.

Imparfait, je suis et le reste

Quoiqu’on  dise  et conteste !

Faire efforts pour s’améliorer,

D’accord, mais se transformer,

En un  gentil  garçon, obéissant,

À l’autre, comme à  une maman,

Non quand même, ai passé l’âge.

.

Il est certain que je fais rarement

Tout ce  qu’il  faudrait, qu’il faut !

Et  quand bien même, je le  ferais,

Je le ferais pas bien comme il faut

Ce, tant et si bien que, finalement,

Je n’aurais plus, d’envie, ni de vie,

Et qui pourrait pourtant convenir

À quelqu’un comme moi, pour qui

Tout devrait, et, un jour,  advenir,

Tout comme il aime et il le désire.

.

Je tente  de  faire    ce qui   me semble

L’essentiel,    F              C      à mes yeux :

Vois que je     A              E  ne te ressemble,

Au point de     I                *   rendre ennuyeux

Nos contacts    S               Q  ou, nos  rapports,

Qu’ils   soient    *                 U   dedans ou dehors

Bien que je me  R                    ‘    conduise en ange

Ne te poursuis   A                      I      de ma revanche

Ni du mal que     R                       L        je t’aurais fait,

Sans  le  savoir     E                         *       ou bien exprès.

Fais des efforts      M                         F       encore,  encore,

Lors, tu réponds     E                           A     t’y es pas, garçon

J’y serai peut-être    N                            U      lors je serai mort

Mais attendant être   T                                  qui t’ira très fort,

Ne suis que par défaut                                   homme qu’il te faut.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Obus, de la première guerre

Un des  monuments  aux morts,

Ou une tour ronde d’un clocher

D’église  avec  une  base  carrée ?

.

649 4

.

Ce n’est pas le bon fond, la bonne forme,

Ou le bon moment :

Il y a quelque chose qui cloche en église,

Ou qui résonne mal.

Autant  un clocher   qu’une  église,

Ne convient pour faire ce qu’il faut,

On serait ici, entre le rond et le carré,

Sans parler de tout autre porte-à-faux.

 .

 Symbolique 

 

Pour l’église

Orthodoxe russe,

Cloches sont êtres animés

D’un  nom, d’un   corps  et de

Sentiments, par ailleurs la forme

Creuse  et   arrondie   de  la cloche 

L’assimilerait    au    corps  féminin,

Tandis que battant et  aussi manche,

Évoquent un  phallus  en  connotations

Sexuelles  contribuent    au  symbolisme

De la cloche, du dorje (un petit sceptre),

Souvent employés de manière simultanée

Dans nombre rituels

Bouddhistes,

 Tibétains.

grandrêve1234.blogspot.com

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

649 6

.

Ce n’est pas le bon fond, la bonne forme,

Ou le bon moment :

Il y a quelque chose qui cloche en église,

Ou qui résonne mal.

 .

Symbolique 

 .

Il y a  

Plusieurs façons

De visiter une église :

On peut se munir d’un guide

 .

Qui donnera tous les renseignements,

 Historiques et artistiques, nécessaires,

Ou simplement se promener dans le lieu

 .

Se  laisser  imprégner  par  l’atmosphère, encore

S’arrêter longuement, allumer cierge, pour prier 

Notre parcours débute   au   clocher, source   de la

Convocation du peuple par le nombre des cloches.

St-maurand-st-ame.cathocambrai.com/eglise-symboles

 .

 .

Fond/forme 

 .

Chacun sait qu’il y a des rites, codes, conventions

Des manières de faire, d’exister, de communiquer,

Propres à chaque lieu, tels que silence dans l’église,

Faire la queue à un guichet,  frapper avant d’entrer:

Dans un musée on ne s’approchera trop des tableaux

Et dans certains bars on paie à la commande ou pas !

.

Lors, de faire ce qu’il faut, comme il faut quand il faut

En permanence et quel que soit la situation et fatigue,

Requiert attention de tous les instants et énergie folle

Qui peut conduire à l’abattement voire au burn out.

L’intolérance à moindre imperfection de l’autre

Conduit droit au conflit, séparation, divorce.

Textuels et illustrations  >>

633 – Quand il manque corde à votre arc

Visuels et textuels  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

La corde, l’arc,  la flèche, cible,

L’énergie, précision, fait mouche,

Tout est dit dans cette  métaphore

De l’amour qui soudainement touche

Point sensible … jusqu’à lui succomber

Avant même d’avoir ouvert … la bouche.

.

Mais cela ne marche pas à tous les coups,

Ce serait trop simple et trop conditionné,

Où serait notre libre arbitre,  de décider,

Si la flèche nous atteint, passe par trou,

Si amour est parfois un gruyère éventé

Ou que Cupidon est bien trop pressé,

De nous toucher, se moque de nous

.

Et puis certains ont une carapace,

Fendre l’armure  n’est pas donné,

Aucune flèche ne pourra percer

Quelqu’un qui chasse  en  rapace.

.

Quand il vous manque une corde à votre arc,

Vous ne pouvez  le tendre, décochez  flèches :

Votre bois n’est pas assez souple,  il est rêche

Car vous ne serez pas sûr de prendre marque.

Pour vous introduire, en cœur même de cible,

.

Et y rester planté comme à demeure en place,

Si la cible parfois se tord, bouge… se déplace,

C’est  qu’elle a un cœur, trop fragile, sensible

Cupidon, que l’on sait, d’un amour sans nom,

Tire à bout pourtant à la moindre inclination,

.

Et, il rate, une fois sur deux : il est trop pressé,

S’il  s’occupe  du  suivant, qu’il vient  observer.

Certains ont un carquois, un arc, trois flèches

La nuit et le jour s’en servent comme mèches,

Pour allumer tout feu, là où il devient brûlant,

.

Pour qu’en partant, cible fasse de vous amant.

Mais  il existe de ces flèches, qui rebondissent

Et ne perforent jamais leur cible, les rejettent

Comme si, impénétrable à vos tirs trop précis,

Déjà vous disent adieu ni sans vous dire merci.

.

Extensions

 .

                    La corde, l’arc, flèche et cible, force, trajectoire :

                    Autant de mots accouplés et qui vont de pair

                    Avec un but à atteindre, la mort ou l’amour,

                    Tout comme deux côtés d’une même pièce

                    Sur laquelle l’amour sera au sens figuré.

                    La cible est vue passive, dans la mort :

                    Celui qui la reçoit ne la voit pas venir

                    Lors elle est vue active, dans l’amour :

                    Celui qui la reçoit, la fait rebondir vers

                    L’archer, pour signifier qu’il l’a acceptée.

                    Métaphore, pour sûr, que ce messager que

                    L’on ne peut plus fort, et, des flèches, comme

                    Celles-là, l’on en espère encore, et … en corps,

                    Jusqu’à la fin de ses jours, la fin de ses amours.

.

Arc, flèche, cible, archer, intention, centre, but, tension, décochage

Tout un vocabulaire, balistique, sportif, mais  souvent  guerrier

Accompagne la corde qui se tend et se détend brusquement

Si la flèche n’atteint pas son but c’est la faute à Zénon

Soutenant que l’évidence des sens est fallacieuse

Et donc que le mouvement est impossible

Ce qui a été résolu en mathématique

Par résultats sur suites infinies

Ceux portant sur l’analyse.

.

Une corde représentera ici, l’adresse au tir.

En tout, même en amour, il faut s’exercer,

Et ce d’autant qu’il n’existe pas de manuel

Expliquant comment toucher à tous coups.

.

Il n’y a que Cupidon, à qui l’on aura attribué,

Un tel talent, hélas… il ne se manifesterait guère

De nos jours où rien n’est plus aussi manipulatoire

Et lors s’adresser à lui n’est pas cibler, crier, victoire.

.

Il n’empêche  qu’on parle du coup de foudre amoureux

Comme de flèche qui vous  frappe, touche en plein cœur

Et qu’on ne pourrait retirer, sans mourir sur le champ

En finissant à bout de souffle et vidé de son sang !

.

Fragments

.

Quand il manque corde, à votre arc :

On peut fort bien rater cœur de cible.

.

De quel arc et de quelle corde s’agit-il :

Il s’agit ici d’un choix d’une métaphore

.

En l’occurrence, de qualité, compétence,

Signant l’arrêt d’un amour  ou d’alliance.

.

On le dit, le voit bien pour une profession,:

N’avez pas le bon profil,  bonne motivation.

.

En amour un petit détail peut vous écarter :

La taille,  poids,  visage,  manque de vivacité.

.

En amour, la cible est loin d’être fixe et stable :

Elle bouge, s’éloigne, se rapproche selon envies ;

.

Un arc, une flèche, une cible, une corde,  un archer,

Une intention, tension, un but, décochage, parcours.

.

Autant de paramètres  qui entrent en ligne de compte,

Comme autant de critères pour rencontrer son conjoint

.

Ce peut demander nombre d’essais-erreurs et du temps,

Comme, cas de coup de foudre, réussir du premier coup.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

La corde, l’arc,   M  la flèche, cible,

L’énergie, précisi  A   on, fait mouche,

Tout est dit dans    N   cette  métaphore

De l’amour qui sou   Q   dainement touche

Point sensible … jus  U   qu’à lui succomber

Avant même d’avoir   E   ouvert … la bouche.

.

Mais cela ne marche    C  pas à tous les coups,

Ce serait trop simple    O   et trop conditionné,

Où serait notre libre    R   arbitre,  de décider,

Si la flèche nous atte   D    int, passe par trou,

Si amour est parfois   E     un gruyère éventé,

Ou que Cupidon est    *       bien trop pressé,

De  nous  toucher     À   se moque de nous

  .

Et puis certains      A ont une carapace,

Fendre l’armure     R    n’est pas donné,

Aucune flèche ne    C        pourra percer

Quelqu’un qui chas  *         se  en  rapace.

.

Quand il vous manque une corde à votre arc,

                     Vous ne pouvez le tendre, décochez flèches :

                                            Votre bois n’est pas assez souple, il est rêche >

                       Car vous ne serez pas sûr de prendre marque.

 Pour vous introduire, en cœur même de cible,

.

Et y rester planté comme à demeure en place,

                       Si la cible parfois se tord, bouge… se déplace,

                                            C’est qu’elle a un cœur, trop fragile, sensible >

                       Cupidon, que l’on sait, d’un amour sans nom,

Tire à bout pourtant, à la moindre inclination,

.

Et, il rate, une fois sur deux : il est trop pressé,

                        S’il s’occupe du suivant, qu’il vient observer.

                                             Certains ont un carquois, un arc, trois flèches >

                          La nuit et le jour s’en servent comme mèches,

Pour allumer tout feu, là où il devient brûlant,

.

 Pour qu’en partant la cible fasse de vous amant.

                        Mais il existe de ces flèches, qui rebondissent

                                                 Et ne perforent jamais leur cible, les rejettent >

                             Comme si, impénétrable à vos tirs trop précis,

Déjà vous disent adieu ni sans vous dire merci !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En haut, un bel arc, tendu 

Et en bas, un lot de flèches

Disponibles à cible, tirer

Et jusqu’en plein cœur !

.

633 4

.

Sans corde, arc ne peut lancer de flèche,

Atteindre une cible 

Et on aura beau avoir plusieurs flèches :

Paradoxe de Zénon !

Un arc bien tendu avec quatre flèches

Ne manquera que choix cible à toucher,

Cible sans doute de quel qu’amoureuse,

Si fait que forme épouse bien le fond.

.

Symbolique 

 .

                              En tant qu’outil ou instrument,

                              Et non plus seulement en tant que signe,

                              La flèche, symbole pénétration,

                             .

                              La flèche symbolise aussi la pensée,

                              Qui introduit la lumière et l’organe créateur.

                              La flèche est l’objectivation, le choix,

                              .

                              Symbole aussi de la pointe acérée

                              Qui vole pour surprendre et tuer sa victime.

                              Symbolise la mort foudroyante.

.

                             G. Bachelard : vitesse et droiture.

                              Comme celles des dieux, les flèches de l’amour

                              Sont infaillibles, comme  un éclair.

.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

633 6

Changer l’image ici

.

Sans corde, arc ne peut lancer de flèche,

Atteindre une cible 

Et on aura beau avoir plusieurs flèches :

Paradoxe de Zénon !

.

Symbolique 

 .

L’arc symbolise l’adresse.

En effet, c’est       une  arme qui

Nécessite de la            concentration,

Mais  aussi  de                    la  force  pour

Atteindre cible                       en  plein cœur.

 

Dans  la mytho                         logie, les  flèches

Que   Cupidon                         tire avec son arc,

Sym-boli-sent                     le coup  de foudre.

 

D’ailleurs, la               foudre reste associée

Aux flèches de           l’arc chez les indiens.

En effet, pour      ces derniers la flèche

Envoyée par     l’arc est comparée à

Un éclair qui perce l’obscurité,

C’est-à-dire l’ignorance.

1001symboles.net/symbole/sens-de-arc.html

 .

.

Fond/forme 

 .

                           On dit parfois de quelqu’un

                           Ce n’est pas une flèche … celui-là >>>

                           Il ne termine pas vite projet.

                            Et ce qui est vrai au travail

                           L’est encore davantage en amour >>>

                           Remettre est perdre toujours.

                          Quatre éléments interviendront

                          Arc, flèche, cible, en tant qu’objets >>>

                          Le tireur et son adresse autant.

.

Visuels et textuels  >>

629 – Il y a de la rondeur et de la souplesse

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Rondeurs des courbes,

Souplesse du mouvement,

Douceur des élans  du cœur,

Chansons d’âme, de bonheurs,

Font que ta grâce, et ta légèreté,

Expriment pleinement féminité,

Dans  tes  sourires  accueillants,

En souci de mari et des enfants.

.

Ton écoute  console, plus  d’un,

Plus d’une qui, à toi, se confie,

La lumière, de ton âme, ravit

Celui qui t’aborde, chagrin.

.

J’aimerais avoir un caractère

Enjoué, disponible, comme toi,

Ronde, souple, ta manière d’être

Fait de toi meilleure amie qui soit

Il y a de la rondeur, de la souplesse,

En toi ton corps, ton esprit, caractère

En autant  de réservoirs de tendresses,

Remplis d’humeurs  de ton être, en air.

.

En  airs  de  sourire  à la vie  aux  amis,

Les consolant d’être,  parfois,  esseulés,

Par suite  de quelques-uns  fréquentés,

Ne m’apportant pas  une paix établie !

.

Il y a de la douceur et de la profondeur

Dans ta voix résonne comme un chœur

Pour celui qui écoute, qui la comprend

En mélodie secrète issue de ton chant.

.

Le chant de ton âme qui, cachée

Pour ceux  que  tu aimes, révélée

Transparente  lors  dans lumière,

En brillance en couleur primaire.

.

Une prière à tes enfants, heureux,

Une prière  à ton mari amoureux,

Une prière  à tes choix, chanceux,

Une prière à tes amis, affectueux.

.

Ta façon de bouger, ta silhouette,

Et de marcher, d’un pas très léger,

Expriment en toi grâce et légèreté,

Dynamisant le tréfonds de ton être.

.

Je m’étonne encore que ta féminité,

Suite à enfants nés, n’ait pas changé,

Bien qu’elle se voile, sous la mère,

Faisant, séduction, deuil sévère.

.

Extensions

Rondeur, douceur, profondeur :

C’est là tout ce que l’homme,

Carré, brutal, superficiel,

Attend d’une femme,

Pour l’équilibrer !

.

Une mère en quelque sorte,

Attentive, compréhensive, défensive.

Ce qui n’est pas étonnant si elle l’est déjà,

Mère de ses propres enfants et rayonne de joie,

À s’occuper d’eux, certains évoqueraient davantage,

Repos du guerrier allusion semblant être d’un autre âge

Où l’homme avait, sinon le beau rôle, bon droit pour lui.

«Autres temps, autres mœurs» comme dirait Cicéron

Rond comme longueur,   carré comme largeur,

Tant,  de mettre  un rond,  dans  un  carré

Ou de mettre un carré dans un rond,

Ne donne pas même effet visuel,

Sémantique, métaphorique

Allez savoir pourquoi !

 .

Rondeurs ne veut pas forcément dire «très bien en chair»

 Suggèrent des formes féminines harmonieuses, au contraire

Et une manière d’être, de bouger  et de se déplacer dans l’air

Qui lui donnera beaucoup de souplesse  et un peu de mystère.

Voilà qui est, qui me plait : en résumé, un peu  mais pas trop

Certains pourraient  y voir une image réductrice, voir sexiste

Mais je le répète cela n’engage que moi, chacun peut plaire.

.

Rondeurs riment avec chaleur du corps et du cœur

Autant que courbures, qu’équilibres, qu’harmonies !

Rondeurs rime avec ce que l’on dit, avec état d’esprit,

L’on agit avec prudence, respect de l’autre, diplomatie,

On prend fond tel qu’il est : on y met formes amorties,

Autant au salon qu’en cuisine, même y compris au lit

Et c’est ainsi qu’advient, le désir, le plaisir, bonheur.

.

La rondeur, la souplesse, sont comme deux sœurs :

L’une ne va pas sans l’autre : agissent de concert,

Pour que le carré ne l’absorbe comme … dessert,

En face de dure terre, elle réagit en douce mer,

Comme face au strict père, en aimante mère,

Pour ce qui est d’éducation d’enfant, colère,

Et ainsi, advient, le désir, plaisir, bonheur.

.

Fragments

.

De la rondeur et de la souplesse :

Rondeurs s’adressent aux formes,

Souplesse, mouvements du corps,

Évoquant des danses endiablées !

.

Tout autant que caresses tendres,

Des courbes agréables à regarder

Des postures pour vous attendre

 Pour s’y attarder et y musarder.

.

Vase, bouteille, flacon parfum,

Ont des formes  qui inspirent,

Des contenus, divers, à loisir,

Et qui en contente plus d’un !

.

Flacon, femme, comparables :

Certes non, ce serait misérable,

Forme femme est plus honorable,

Il y en aurait des plus incroyables !

.

Puits de la douceur et de la profondeur,

En corps vibrant comme cœur en chœur,

Et résonnance jusqu’au tréfonds de ton être

Et allant jusqu’ à créer un océan de bien-être.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Rondeurs des courbes,

Souplesse du mouvement,

Douceur  des élans  du cœur,

Chansons * d’âme, de bonheurs,

Font que ta  I  grâce, et ta légèreté,

Expriment plei L   nement  féminité,

Dans tes sourires    *      accueillants,

En souci de mari et  Y  des enfants.

Ton écoute  console,  *  plus  d’un,

Plus d’une qui, à toi  A se confie,

La lumière de ton âme  *  ravit

Celui qui t’aborde, chagrin.

.

J’aimerais avoir un caractère

Enjoué, disponible, comme toi,

Ronde, souple, ta manière d’être

Fait de toi meilleure amie qui soit

Il y a de la rondeur, de la souplesse,

En toi ton corps, ton esprit, caractère

En autant  de réservoirs  de tendresses,

Remplis des humeurs  de ton être, en air.

En airs de sourire     à la vie aux     *       amis,

Les consolant       d’être parfois      D     esseulés,

Par suite de        quelques-uns     E        fréquentés,

Ne m’ap            portant pas une   *           paix établie !

Il y a de             la douceur et      L       de la profondeur

Dans ta             voix résonne    A         comme un chœur

Pour celui         qui écoute     *             et qui la comprend

La mélodie        secrète     R                issue de ton chant.

Le chant de        ton       O          âme qui,       E    cachée

Pour ceux          que    N          tu aimes,       T     révélée

Transparente          D            lors dans        *     lumière,

En brillance         E          en couleur      S    primaire.

Une prière         U        à tes enfants   O      heureux,

Une prière       R       à ton mari     U     amoureux

Une prière             à tes choix     P      chanceux,

Une prière          à tes amis    L     affectueux.

Ta façon de bouger, ta        E      silhouette,

Et de marcher, d’un pas   S       très léger,

Expriment en toi grâce   S    et légèreté,

Dynamisant le tréfonds  E   de ton être

Je m’étonne encore  que * ta féminité,

Suite à enfants nés, n’ait pas changé,

Bien qu’elle se voile,      sous la mère,

Faisant, de séduction, le deuil sévère.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

La rondeur  autant

Qu’en  un vase  ou  en

Un flacon de parfum

Et si ce n’est, de femme.

.

629 4

.

L

Sur l’extérieur de ce flacon,

Une fille  toute en rondeur :

Ferait sentir à un garçon

Un parfum d’intérieur.

Un flacon de parfum n’est pas

Toujours rond, et loin s’en faut,

Mais le parfum l’est plus souvent

Ainsi le fond évoquerait la forme.

 .

 Symbolique 

 .

Le rond demeure

 Évocateur de douceur

D’unité, révèle tendresse

 Typiquement féminine,

Et a tendance  à rassembler

Les hommes  mais lorsqu’il sera

Associé à la femme, il incarnerait

Également         la               fécondité.

En ce sens, le cercle évoque le ventre

Rond d’une mère et donc de la vie.

Vous l’aurez compris, un flacon

À la silhouette arrondie aura

Tendance        à      connoter

Une image très positive.

tendance-parfums.com/parfum-

femme/choisir-un-parfum/flacon

 .

.

Fond

 .

Évocation

.629 6

.

Sur l’extérieur de ce flacon,

Une fille toute en rondeur :

Ferait sentir à un garçon

Un parfum d’intérieur.

 .

Symbolique 

 .

Les phéromones,

Sont des combinaisons

De molécules complexes

Provenant  de produits  de

Sécrétion glands spécialisée.

La  palme  d’or  des  parfums

Revient jusqu’ici au Chanel n° 5

Qui rend les femmes irrésistibles

Grâce à son musc naturel, allié à

Des essences subtiles, demeurées

Secrètes, aujourd’hui, ce parfum

Aurait perdu sa principale vertu

Car il  ne  serait  plus  composé

Comme autrefois de matières

Premières  naturelles mais

Molécules synthétiques.

sciences-et-magie.com

 .

.

Fond/forme 

 .

Il existe bien des flacons carrés

Mais la plupart  seront plutôt ronds

Le rond, comme on sait, est côté féminin,

Le rond, comme chacun sait, plait au masculin

Le rond  évoquera plus la souplesse que  le carré,

Ne dit-on pas, de quelqu’un de carré : qu’il est dur.

.

Textuels et illustrations  >>

613 – Dans l’ombre d’une belle clarté divine

Textuels et illustrations >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Ombre et clarté,

Et belle  et divine :

De quoi  s’en réjouir,

Rien qu’en parler, ouïr !

Claire est son vrai prénom :

Elle le porte au  plus haut degré

Dans ses yeux, un regard lumière

Dégageant sublime atmosphère

Moi, n’étant que  lumignon,

Obscur prétendant

De la fière ondine.

* …

Dans l’ombre d’une belle clarté

Divine,

J’ai vécu bien des jours entiers.

Devine,

Comment  elle  se  sera  révélée

Coquine, 

Parce que son champ de vision,

Rétine,

M’aura perçu comme trublion,

Voisine,

* …

Mais je n’aurai pu  approcher,

Câline,

Ombre ne pouvant se marier.

Féline,

Avec cette fée  en luminosité,

Lutine,

Comme je ne  puis me passer

M’obstine

À suivre comme un prisonnier

Encline,

Me voir, fré   É quenter, bavarder

Copine,

Je n’ai pu la garder en amitié

Héroïne,

De mon rêve bien avorté.

.

Extensions

 .

Que serait une lumière sans ombre

Mais tout autant réciproquement,

Nous sommes davantage attirés

Et intéressés par la première

Que par toutes les secondes.

Certains parlent de projecteurs allumés,

Ou de feux de la rampe, d’étoile filante

Et tout le reste est dans le brouillard,

Voire dans l’obscurité la plus totale.

Voisine,  féline, coquine …héroïne,

Autant de qualificatifs convenant

Bien à une clarté divine illuminant

Mon quotidien, et, même si je reste

En son ombre peut-être à tout jamais.

Et qui pourrait m’empêcher d’espérer

Nulle raison, même nulle personne,

Surtout quand  mon imagination

Débordante, toujours, me sonne

D’éclats d’existence en moi résonne,

Me lancer en cette quête en fait partie.

Fréquenter une clarté divine qui vous sort de l’ombre

Pour mieux vous y remettre est une expérience à tenter,

Magnifique à vivre et douloureuse ensuite à abandonner.

L’ombre peut s’approcher de la lumière, voire cohabiter

Avec elle, mais jamais s’y fondre, jamais s’y confondre.

.

Dans l’ombre d’une clarté divine,

Ombre augmentant son mystère.

J’ai bien tenté d’y voir plus clair,

Derrière  son voile, qui assassine

Les méchants, les piètres amants

Et, bien plus encore, les pédants,

Promettant, Lune, en plein jour,

Et, dont la prestation se termine

Par un pâle soleil… qui se meurt.

.

Quelle belle idylle que voilà, imbécile :

Tu aurais dû savoir : pas faite pour toi

Mais ce n’est pas qu’elle soit trop belle

C’est juste toi qui n’est pas au niveau !

.

L’on mariera les belles  avec les beaux,

Pour avoir enfant  qui leur ressemble :

Ombre et lumière bien qu’inséparables

Ne peuvent jamais fusionner ensemble.

.

 À force de vouloir  l’impossible, on finit

Par croire  à  des amours  improbables

Mais ce ne sont là que contes  maudits,

Finissant par nous rendre… détestables.

.

Fragments

.

Dans l’ombre d’une celle clarté :

Ne serait-ce pas là un oxymoron,

La clarté ne peut délivrer d’ombre

L’ombre est dépendant d’une clarté

.

Il faudra donc mettre, entre les deux,

Un objet, un personnage, une personne,

Qui brille par une clarté projetée, sur elle

Et être derrière, pour rester en son ombre.

.

La Sirène est une chimère convenant à l’idée

Moitié femme et moitié poisson,  amoureuse,

Du Prince qui voudrait bien mais ne peut pas,

Et ainsi leur union n’a pas été rendue possible.

.

On se demande, qui du Prince et de la Sirène,

Reste le plus dans l’ombre ou dans la lumière,

La légende penche  pour cette dernière, reine

Des eaux profondes, royaume de baleinières

.

Transposée dans le monde réel des vivants,

La légende s’est transformée  en rencontre

Entre une déesse et un romantique amant

Avec barrière invisible et infranchissable.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme  

 .

Ombre et clarté,

Et belle   E    et divine :

De quoi        N      s’en réjouir,

Rien qu’en      *        parler, ouïr !

Claire est son     O         vrai prénom :

Elle le porte au   M      plus haut degré

Dans ses yeux     B       regard lumière

Dégageant sub  R  lime atmosphère

Moi, n’étant  E que  lumignon,

Obscur prétendant

De la fière ondine.

* …

Dans l’ombre   B  d’une belle clarté

Divine,

J’ai vécu bien   E  des jours entiers.

Devine,

Comment elle    L        se sera révélée

Coquine, 

Parce que son     L    champ de vision,

Rétine,

M’aura perçu       E      comme trublion,

Voisine,

* …

Mais je n’aurai       C            pu approcher,

Câline,

Ombre ne pou          L            vant se marier.

Féline,

Avec cette fée           A             en luminosité,

Lutine,

Comme je ne          R         puis me passer

M’obstine

À suivre com      T    me un prisonnier

Encline,

Me voir, fré   É quenter, bavarder

Copine,

Je n’ai pu la garder en amitié

Héroïne,

De mon rêve bien avorté.

D   I   V   I   N   E

.

Forme

.

Évocation 

.

Un lampadaire sur un très haut pied,

Ça peut être un poisson  avec  arrêtes,

Mais moi j’y ai surtout vu une sirène

Déguisée en femme ou le contraire.

.

613 4

.

Une sirène, blonde, comme symbole

D’une femme, divine :

Elle attire bien dans  tous les cas par

Ses lumières et ses couleurs.

  .

Symbolique 

 .

Monstres de la mer,

Avec tête et poitrine de femme,

Le reste du corps poisson ou oiseau,

Selon légendes, les sirènes séduisaient

Navigateurs par beauté de leur visage

Et  par les mélodies  de leurs chants,

Puis, les entraînaient  dans la mer,

Pour  s’en  repaître.  (Cf.  Ulysse.)

Si on compare la vie à un voyage

Les sirènes  figurent  embûches,

Nées de nos désirs et passions.

Ce  seront  des   créations  

De notre    inconscient,

De rêves fascinants,

Voire  terrifiants :

Autodestruction

D’un  désir.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Une sirène, blonde, comme symbole

D’une femme, divine :

Elle attire bien dans  tous les cas par

Ses lumières et ses couleurs.

 .

Symbolique

 .

Prolongeant le rêve de pureté

Des romantiques, les symbolistes

Donnent à la femme, allure virginale.

La femme a une symbolique très riche

Qui a évolué au fil du temps.

.

Toutefois, elle a toujours évoqué

Fécondité, a pureté, et aussi le vice.

.

Bon nombre de mythologies antiques

Attribuaient généralement une valeur

Sexuelle aux déesses, qui incarnaient

Souvent le désir et plaisir charnel.

1001 symboles

 .

.

Fond/forme 

 .

Si reine est sirène du fond des mers,

Qu’en sera-t-il pour elle, sur la terre !

.

Mais ce problème ne s’est jamais posé

Une sirène ne peut quitter son océan.

.

Mais pourquoi alors cherche-t-elle

Un prince charmant impossible

À trouver, à séduire, marier.

.

C’est bien là le drame que

De vouloir poursuivre

Dans son erreur !

.

Textuels et illustrations >> 

606 – Je ne sais quoi vous dire, vous entretenir

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Je ne sais quoi vous dire

Propre à vous séduire

Jusqu’à vous servir

Et sans contredire

Moindre  désir,

À vous plaire,

.

Tout… entier,

Serai consacré,

Ce jusqu’à ce que

Vous cédiez … enfin,

A mes charmes humains

Qui m’auront rendu divin !

.

Je ne sais quoi vous dire

Pour vous …  entretenir,

D’un mot, ou  d’un rire,

Et qui vous ira, à ravir,

Et puis pour me servir,

À m’introduire

.

À vos côtés,

Non en coquin

Comme importun

Qui a l’air de flirter

Avec un air intéressé,

Alors qu’il est détaché.

.

Je ne sais quoi vous dire

Je ne suis qu’un soupir

Qui se dirait maudire

D’être un vampire

Pour vous  élire

.

En vie d’élixir,

Que l’on dit éternel,

Lors nos sangs, mélangés,

Font de lui, puis, font d’elle,

Créature expérience nouvelle

Où l’amour  s’annonce cruel,

Au point il devient mort-né.

.

Extensions

 .

Toute conversation n’engage à rien

Tout aussi bien qu’elle engager à tout !

C’est la première fois  que l’on s’est vu

Que je t’ai accosté,  que l’on s’est parlé

Ça peut faire début de roman, romance.

Le problème est que l’on se saura pas trop

Quoi dire et l’on ne débite que des banalités

Sur le temps qu’il fait, l’ambiance du moment,

Les occupations respectives : rien de bien excitant.

Tout est gestes, mimiques, expressions, intonations !

La conversation, c’est aussi se téléphoner, et là, il n’y a

Plus de gestes ni de mimiques affichables et décodables.

La conversation, c’est aussi s’écrire : plus d’intonations,

D’hésitations, de reprises, ni d’ajustements possibles :

Ce qui est écrit est écrit, et une fois pour toujours.

La séduction est subtile jusqu’au moment où

Une invitation à se partager un week-end,

Avec ou sans prétexte, lancée par l’un de deux.

Au fur et à mesure d’échanges, goûts de chacun

Se déclarent et puis s’affinent et puis se renforcent :

« Tiens l’autre jour, en écoutant un concert de jazz

En pleine rue, j’ai pensé à toi » et réciproquement.

.

Pour vous entretenir, vous dire, je ne sais quoi,

Vous tenir : avec moi, devant moi … contre soi :

L’un privilégie la parole, directe, utile, pratique,

L’autre, l’écrit, plus construit voire plus poétique

Le plus souvent, ce ne sera qu’un grand blah…bla

Qui en le réécoutant, ou relisant, me consternera.

La poésie a, au moins, ceci  pour elle : elle est plus

Grande que celui qui la déclame à l’autre ou l’écrit,

Elle jaillit de l’intérieur, comme un authentique cri.

.

En amour, tout est affaire de discours :

On ne prend pas l’autre de haut et court

Sinon toute conversation s’arrêterait là !

.

Aimer demande de bien parler, sans quoi

L’amoureux n’aime pas vraiment, ou mal,

Mais si tout ce que je dis, sera interprété,

C’est que confiance est faible, inexistante.

.

En amour, ce ne serait  plus … la logique,

Qui mènera le pas mais bien les émotions.

Tout discours trop cohérent, trop construit

Donnera impression de calcul, non passion.

.

Pour autant, est-il préférable : dire, se dédire,

Que d’avoir un discours trop cultivé intelligent,

Lors un discours trop confus ne saurait séduire

Encore une fois, faut être soi-même et se livrer.

.

Fragments 

.

Je ne vous apprendrai rien, vous disant

Que l’amour ne rendrait pas que

Sourd et même aveugle :

Muet d’émotion

.

Émotion est à ce point forte, déstabilisée

Que même si l’on s’est préparé,

Lorsqu’on est en entretien

On ne dit plus rien.

.

Rien d’autre que des banalités usuelles,

Et qui plus est dans une gestuelle

Difficile à capter, interpréter

Qui laissera à désirer.

.

Désirer serait-il comme se mettre à nu

Face quelqu’un (une) d’inconnu :

Porte entrée/sortie, venue,

 Les deux confondues.

.

Confondues en messages subliminaux

Qu’on devra lire entre les mots,

Mais qui ne se devineront

Si autre : en réception.

.

Réception d’attitudes à contre-emploi

Mais qui s’avèrent de bon aloi,

Pour suite, prochaine fois,

Si tant est qu’il y en a.

.

Il y en aura, mais parfois pour signifier

On en reste là mais on se rejoint :

On souhaite être amis, point,

Reste : faut pas y penser !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

 .

JE NE SAIS

Je ne sais quoi vous dire

Propre à vous séduire

Jusqu’à vous servir

Et sans contredire

Moindre  désir,

À vous plaire,

Tout… entier,

Serai consacré,

Ce jusqu’à ce que

Vous cédiez … enfin,

A mes charmes humains

Qui m’auront rendu divin !

 .

************************

QUOI DIRE POUR

Je ne sais quoi vous dire

Pour vous …  entretenir,

D’un mot, ou  d’un rire,

Et qui vous ira, à ravir,

Et puis pour me servir,

À m’introduire

.

À vos côtés,

Non en coquin

Comme importun

Qui a l’air de flirter

Avec un air intéressé,

Alors qu’il est détaché.

.

VOUS ENTRETENIR 

Je ne sais quoi vous dire

Je ne suis qu’un soupir

Qui se dirait maudire

D’être un vampire

Pour vous  élire

.

En vie d’élixir,

Que l’on dit éternel,

Lors nos sangs, mélangés,

Font de lui, puis, font d’elle,

Créature expérience nouvelle

Où l’amour  s’annonce cruel,

Au point il devient mort-né.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un piédestal support d’un objet d’art,

Un élément de colonne pour balustrade

Ou un simple pied de table et en bois,

Qui se différencie nettement de jambe

.606 4

.

Entre tenir la jambe… à quelqu’un

Et tenir un pied de table :

On pourra parfois confondre les deux

Y a une différence entre eux.

  .

Symbolique 

 .

La table est un symbole lié

Au partage  de la nourriture,

Et aux  échanges  intellectuels,

Et à la communion et aux lois.

Elle est symbole de stabilité.

 

C’est aussi la table des lois.

Ces lois régissent toutes

Les structures fortes,

Comme une  nation,

Ou une  communauté,

Ou une cellule familiale.

 

Elle évoquera la réunion

De nombreuses personnes

Conscientes et agissantes

Au sein du monde.

tristan-moir.fr/table

.

.

Fond

 

Évocation

.

Entre tenir la jambe… à quelqu’un

Et tenir un pied de table :

On pourra parfois confondre les deux

Y a une différence entre eux.

 .

Symbolique 

 .

Ce qui fait que nous sommes les mêmes :

Nous sommes tous des êtres humains.

Par conséquent, nous sommes tous

Constitués de la même façon.

.

Ce qui fait que nous sommes différents :

Nous n’avons pas les mêmes goûts,

Caractères, éducations, cultures.

.

Et nous avons des physiques différents :

Certains sont grands,

D’autres, maigres, gros.

.

Les yeux bleus, verts, marron, voire gris,

La peau noire, blanche,

Si fait, chacun est semblable et unique.

slate.fr/story/154076/pourquoi-divan-psy

 .

 .

Fond/forme 

 .

Tenir la jambe à quelqu’un est selon

L’expression qui lui est consacrée,

Lui imposant un flot de discours,

Jugés  plus ou moins  ennuyeux.

.

 Quant à la référence à la table :

Dire de quelqu’un qu’il s’y met,

Signifie choses intéressantes !

.

Les différents pieds, et tables

N’empêchent pas de mentir,

Pas plus avancer d’en finir,

Vaut mieux se taire, partir.

.

Textuels et illustrations  >> 

604 – Tu n’es ni pire ni meilleure qu’une autre

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

.

Tu n’es

Ni meilleure,

Ni  pire,  que les

Autres  …  femmes !

Enfin   …    presque,

Lors       je      t’aime

Lors    ta    taille,

Silhouette,

Je trouve

 Chouette.

.

Une femme très commune,

Femme comme il me faut

Pour monter plus haut

Plus haut que  tous

Deux en fortune.

.

Lors c’est pour ce que tu es,

Plus que pour ce que tu fais

Que je t’aime, pour de bon :

À t’en demander … pardon.

   .

Me lasser, me passer de toi,

N’y ai encore  jamais pensé.

C’est chose qui peut  arriver,

Épargne-moi  telle  destinée.

.

Tu n’es ni pire  ni   meilleure,

Qu’une autre mais à tout faire

C’est encore toi que  je préfère

Afin de réaliser mon  bonheur.

.

Tu n’es pas grande et pas petite,

Tu es dans la moyenne, en taille,

Tu n’as rien de mannequin, pépite

Mais l’important est que tout t’aille.

.

Ta silhouette, tu n’es ni grosse, mince,

Plutôt bien balancée, et, bien équilibrée,

Mais si d’autres te ressemblent et à égalité

Ce ne sera jamais que pour toi que j’en pince.

.

Girouette, tu ne l’es pas  et, ni  trop  ni moins,

Qu’une autre, jalouse du tout, tu ne l’es point

Sauf de mon temps, mon esprit libre,

Lors de jouir de ma passion, je vibre.

.

Chouette,   tu  l’es, lors  le  souhaites

Et ça fait  cent fois  que je te répète :

On aime pas un être pour ce qu’il fait,

On aime quelqu’un  pour  ce qu’il est !

.

Toi tu n’es rien et tu es tout, pour moi,

Et moi, de même, et, ce qui m’embête :

Est que je ne pourrai me passer…de toi

Même si, d’une autre me mets en quête.

.

Extensions

 .

Tu n’es ni pire ni meilleure qu’une autre

Mais tu es tout pour moi,

Qui t’ai choisie, légère vêtue, lors tu marches,

Sur tes talons hauts, dans la rue.

 .

Muette, tu l’es, quand je t’aborde,

Non par des mots communs,  par des sentiments

Et je sens pourtant comme une onde,

Troubler pensée, rien qu’à te regarder.

 .

Mouette rieuse, tu t’échappes comme une invitation

À te suivre ou une obligation à me fuir,

Je ne saurais le dire car ton pas en devient vacillant,

Couettes, tu n’en a plus depuis longtemps,

 .

Tu n’es plus une enfant : tu es une femme

Accomplie qui suscite  bon nombre  de fantasmes

Masculins, comme ce n’est pas permis.

Pour finir, serait-ce une simple fixation sur toi

 .

Qui m’ôte de la tête ce choix délibéré,

Presque raisonné, pour lequel je suis prêt

À tout sacrifier  en épreuve de vérité,

Pour tirer cela au clair une fois pour toutes.

.

 «Tu n’es ni pire ni meilleure qu’une autre»

Jugement fatidique et loin d’être idyllique,

Qui laissera un goût amer, après la passion,

Et dont on aura la volonté  de s’en satisfaire,

Au mieux et cela jusqu’à preuve du contraire.

.

«Tu n’es ni pire ni meilleure qu’une autre»

Qui voudrait entendre une chose pareille :

«Tu es bien meilleure en tout que les autres»

Voilà qui entre bien et fait chaud à l’oreille.

 .

Quant au pire, comme le dit Ann Williams

Et d’autres avec elle : l’enfer peut attendre :

Il est de toute façon en germe dans l’amour

Comme un beau virus dans tout corps sain.

 .

Peut-être y aurait-t-il des façons d’être pire

Pour la gent masculine et la gent féminine :

Lors la haine succède à l’amour, on se doute

Qu’il n’y a plus de limites pour s’affranchir !

.

Fragments

.

Difficile, de peindre, de dresser

À partir de silhouette un portrait

On le fait, abandonne, on le refait,

Le tout n’a rien de net, on le rejette.

.

Il se trouve que la tienne, je l’ai gardé,

J’ai affiné ses traits, ai mis de la lumière,

Touches de couleurs et un enfant, ai rajouté

Pour faire de toi, enfant, fille, femme et mère.

..

J’ai découvert nos différences… nos convergences,

Gommé traits trop saillants, couleurs trop seyantes,

Pour approcher, au delà de ton cops, l’âme aimante

Transparaissant dans tes yeux, émotions pétillantes.

.

Comment quelqu’une qui semblait des plus ordinaires

Peut-elle se transformer avec l’amour en vie commune,

Défiant les temps, les âges, la succession d’anniversaires

Pour devenir argent, or, diamant, une véritable fortune.

.

D’être, ou d’avoir été, ni meilleure ni pire qu’une autre,

Est loin d’être en soi un compliment mais si la balance

Du côté du meilleur, c’est qu’on aura fait le bon choix,

Reste à savoir si on y est pour quelque chose, ma foi !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Ni meilleure, pire

Que toute autre femme

Enfin                    presque,

Lors                           je t’aime

Lors        Ô    +    Ô      ta taille,

Lors, ta           +           silhouette,

La trouve        +             chouette,

Tournant « ==== » girouette

Une femme    très    commune,

Est femme comme il me faut

Pour monter plus haut

Plus haut que  tous

Deux en fortune.

.

¤¤¤¤¤¤  Lors c’est pour   T   ce que tu es, ¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤    Plus que pour    U   ce que tu fais    ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤     Que je t’aime,   *   pour de bon :    ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤     À t’en deman    N    der  pardon.     ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤      Me lasser, me   *   passer de toi,     ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤      N’y ai encore    E  jamais pensé.      ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤       C’est chose qui S   peut  arriver,       ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤       Épargne-moi    *   telle destinée.       ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤       Tu n’es ni pire  N   ni    meilleure,       ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤      Qu’une autre   I   mais à tout faire      ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤      C’est encore    *   toi que je préfère       ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤      Afin de réa     P   liser mon  bonheur.     ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤     Tu n’es pas      I    grande et pas petite,    ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤     Tu es dans la      R        moyenne, en taille,    ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤   Tu n’as rien de       E     mannequin, pépite    ¤¤¤¤

Mais l’important       *      est que tout t’aille !

Ta silhouette, tu n’es    M        . ni grosse, mince,

Plutôt bien balancée      E         et, bien équilibrée,

Mais si d’autres te            I   ressemblent et à égalité

Ce ne sera jamais que        L    pour toi que  j’en pince.

Girouette, tu ne l’es  pas       L              et, ni trop ni moins,

Qu’une autre, et jalouse         E         du tout, tu ne l’es point,

U

Sauf de mon temps  R      mon esprit libre,

Lors de jouir de ma  E       passion, je vibre.

Chouette,   tu  l’es,     *        lors  le souhaites

Et ça fait cent fois     Q       que je te répète :

On aime pas un être  U       pour ce qu’il fait,

On aime quelqu’un       ‘        pour ce qu’il est !

Toi tu n’es rien et tu    A       es tout, pour moi,

Et moi, de même, et,    U        ce qui m’embête :

Est que je ne pourrai             me passer…de toi

Même si, d’une autre     R       me mets en quête !

 E  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Personnage de roman, histoire

Une tête, une robe : une femme.

Belle silhouette  d’une  femme,

Bien  que paraissant  commune !

.

604 4

.

Silhouette d’une femme  parmi

Tant   d’autres,  toute ordinaire,

Et  pourtant choisie et adoptée

Ni pire ni meilleure qu’autres

Rien de plus, mais  rien  de moins

Que toute  personne, personnage,

Féminine, féminin, en silhouette :

Si fait que  forme rejoint le fond.

..

Symbolique 

.

On

Se projette

Sur silhouette

Femme qui nous plait,

Mais sans savoir

Pourquoi,

Son physique, sa démarche, sa posture,

Sa stature, son allure ; que sais-je encore

Et puis une fois marié, on se retrouve

Avec une toute autre silhouette,

Deux marmots, dans les bras :

Elle peut avoir grossi, ou maigri,

C’est la même mais simultanément

Une autre que l’on choisit à nouveau

Ou pas ou pour ce qu’elle est devenue

Et l’aventure continue ou s’arrête là…

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

604 6

.

Femme, avec enfant, parmi

Tant d’autres, toute ordinaire,

Mais, que l’on a choisi  d’aimer

 Avec ses qualités et ses défauts !

.

Symbolique 

 .

Les

Hommes

Et les femmes

Sont différents

Sur   de    nom

Breux points.

 .

Couples arrivent  à s’entendre,

S’unissent pour le meilleur et le pire.

Et au quotidien les femmes s’expriment

Par la parole, hommes par leurs silences.

 .

Les femmes ont plus      l’esprit de coopération,

Que     les   hommes       ayant esprit compétition.

Les femmes disent      «non» qui peut dire «oui»,

Hommes disent       «non» voulant  dire «non»

Les femmes           se projettent dans l’avenir,

Hommes                    vivent au jour le jour.

.

.

Fond/forme 

 .

Que peut bien vouloir dire, signifier

Un homme ou une femme ordinaire.

Il y a bien  là  de quoi   y mettre tout

Ce que l’on ne sait … et son contraire

Pour estimer quelqu’un il ne faut pas

Commencer par le juger comme tel :

Mieux vaut plutôt  donner sa chance

De se révéler à vous, extraordinaire,

Et puis après, agissez à votre guise.

.

Textuels et illustrations  >>

603 – En dépit de mes efforts pour t’atteindre

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

En dépit de tous mes efforts,

Pour, plus  vite, t’atteindre

Ton lit, pour te rejoindre,

Ne me serviraient à rien,

Si je ne te vois  poindre.

En dépit   de musiques,

En dépit  des  parfums,

Tu restes encore cachée

Prostrée, dans ton  coin,

Comme  une  amnésique.

.

Dire  que  je  t’aurai  débusquée

Et ce jusqu’au fond de ta pensée,

Elle  qui n’est  pas  loin  d’épouser

La mienne  lors  sans  la fusionner.

.

Or cela ne serait que  pur  fantasme

Alimentant mes désirs  …  d’une Ève,

Faisant amour,  avec moi,  sans trêve,

Pour  mettre fin  à profond  marasme.

.

En dépit de mes efforts pour t’atteindre,

Je n’aurai pas pu  te rejoindre, en ton lit

De fleurs ou de feuilles  afin d’étreindre

Ton corps si joli, en ton âme épanouie.

.

Parfum l’emporte en harmonique,

Musique l’emporte en mécanique,

Couleur  l’emporte  en hédonique

Caresse  l’emporte  en  érotique.

.

Toucher du doigt par la pensée,

Lieu où  secret  resterait caché,

Mais,  par doux regards, révélé,

Je ne sais où, de la  tête,  donner.

.

Si je perds à la suite mes  moyens,

Je ne penserai qu’à te faire du bien :

Arrive que tout, chez toi, me convient :

Tu ne te seras pas donné à moi pour rien.

.

Mais, tout cela n’est que  fantasme, que rêve,

Tant que  tu  ne  m’auras  pas, tout   cédé, Ève

Tout   faire  pour  voir, pour  essayer   d’asseoir,

Désir brillant  d’espoirs  de m’aimer  chaque soir.

.

Extensions

 .

En dépit de mes efforts pour t’atteindre,

Mont-Blanc m’est plus accessible que toi,

Que puis-je faire de plus extraordinaire

Pour attirer ton attention sur moi.

.

Faire ceci et faire cela, le faire

Comme ci et pas comme ça !

Cacherais-tu ton mode d’emploi,

Comme un secret que je ne trouverai pas.

Si, par tes mots, tu ne me guide, renie pas,

Un mystère plane sur un attrait pour toi.

.

Je me dis qu’un jour, demain, tu daigneras

Jeter un regard sur moi, me laisser la chance

Prouver que nous deux n’est pas que vœu pieu,

Jeux de mots ne seraient pas qu’inversions,

Ils s’interpénètreront et au plus profond

.

Si sémantique les transforme en musique

Procurant moult sensations, autant d’émotions.

Émotions qui s’accumulent, s’impriment en nous,

Consolant, soignant, compensant toute déprime,

Y compris celle que l’on dissimule, à soi-même.

.

Que l’on soit de même taille ou à peu près,

Que l’on soit de taille vraiment très différente

Les amoureux finiront, toujours, par se joindre,

D’une manière ou d’une autre dans leurs étreintes,

Placées au centre de leurs corps, non aux extrémités.

.

Ce n’est pas en déployant une tonne d’efforts,

Que l’on parvient à conquérir cœur de femme :

Il suffit juste d’être soi, disponible, attentionné.

Si le physique joue il est vrai première approche

Il n’est pas dit qu’au final, ce sera bien suffisant.

.

Pour  communiquer  avec  autrui, les apparences

Sont de mises, on est des acteurs dans un théâtre,

Mais pour séduire au delà, il faudra se mettre à nu

Sinon on tombera dans un arrangement de mariage

Et qui serait tout l’inverse d’une passion  amoureuse.

.

Fragments

.

Atteindre quelque chose

Ou atteindre quelqu’un

Atteindre quelqu’une

Requiert des efforts,

.

 Surtout, si l’on ignore

Le chemin  qui  va bien,

Et s’il nous conduira loin,

Et si l’on ira jusqu’au bout.

.

De temps en temps, une balise

Nous indique que tout ira bien,

Il faut croire  en sa bonne étoile,

Pour voir son feu, briller en nuit.

.

Certains lieux seront plus propices

À rencontres fortuites, hasardeuses,

La rue, le village est minimum visuel,

Réseaux Internet, le summum virtuel.

.

Plus son réseau est grand ; panel, large,

On n’a ni l’énergie, temps  pour partage,

La rencontre en face à face, décisionnelle

Tout autant que fortuite… occasionnelle !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

.

Mes

Efforts,

 Atteindre

Ton lit    E pour te rejoindre,

Ne me    N  serviront  à rien

Si je ne   *    te vois poindre.

En dépit D          de musique

En dépit É        des parfums,

Tu restes P      encore cachée

Prostrée  I       dans ton coin,

Comme   T    une amnésique.

.

Dire que je t’aurai pourtant débusquée

Et, ce jusqu’au fond de ta pensée,

Elle qui n’est  pas  loin d’épouser

La mienne  lors  sans la fusionner

Or cela ne serait que pur fantasme

Alimentant mes désirs… d’une Ève,

Faisant amour avec moi, sans trêve,

Pour mettre fin à profond marasme

En dépit mes efforts pour t’atteindre,

Je n’aurai pas pu te rejoindre en ton lit

De fleurs ou de feuilles afin d’étreindre,

Ton corps, si joli, en ton âme, épanouie !

.

Parfum      D       l’emporte       P     en harmonique,

Musique     E        l’emporte       O       en mécanique,

Couleur       *         l’emporte        U        en hédonique

Caresse        M        l’emporte         R         en érotique.

Toucher       E        du doigt par       *            la pensée,

Lieu où         S         secret  reste       T            ra caché,

Mais, par      *         doux regards        ‘                révélé,

Je ne sais      E         où, de la  tête,      A            donner.

Si je perds     F         à la suite mes       T          moyens,

Je ne pense    F         rai qu’à te faire     T         du bien

Arrive que      O       tout chez toi me      E       convient,

Tu ne te seras  R       pas donné à moi     I     pour rien !

     T                                       N

Mais, tout cela   S   n’est que fantasme    D       que rêve,

Tant que tu  ne    *     m’auras pas, tout   R       cédé, Ève

Tout faire pour    *    voir, pour essayer    E       d’asseoir,

Ton désir brillant  * d’espoirs de m’aimer *   chaque soir.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une lampe à pétrole de type tempête,

Voire une douille d’ampoule électrique.

Signalé par une balise tourelle en mer.

Votons pour lieu assez difficile d’accès.

.

603 4

.

Elle se cache en haut  lieu

D’une tour d’ivoire : balise

Le  fait  d’être  en pleine mer

Comme être en plein désert !

 .

Symbolique 

 .

De

Manière

Générique

Balise définie comme

Un objet flottant ou fixé

Au fond de l’eau, à terre,

Permettant de  faciliter

Toutes  les   navigations

Ou de signaler un danger

Il peut s’agir d’une bouée,

D’une tourelle  ou  perche.

.

La signification de la balise

Est fournie par la couleur du corps,

La forme, la couleur du voyant

Et dans certains cas la forme du corps.

La nuit le feu, visible généralement

Sur plusieurs milles, permet d’identifier

La balise par son rythme, sa couleur.

Modifié, source : Wikipédia/balisage

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

603 6

.

Elle se cache en haut lieu  

D’une tour d’ivoire en balise

Le  fait  d’être  en pleine mer

Comme être en plein désert !

 .

Symbolique 

.

Les lieux  

De rencontre

Ont été classés en

Trois       catégories :

Lieux publics (fête publique, bal,

Rue, café, centre commercial, etc..),

 

Lieux réservés (association, lieu d’études

Ou de travail, salle de concert…)

Lieux privés (réunions de famille ou amis).

 

Par exemple, 16 % des grands agriculteurs

Ont rencontré leur conjoint

Dans  un  lieu  bien privé,

18 % dans un lieu réservé

66 % dans un lieu public.

tout-savoir-population/graphiques-cartes/

graphiques-interpretes/triangle-lieux-rencontres

 .

 .

Fond/forme 

.

Une balise est une marque qui avertit

Qu’il y a danger ou que l’on peut passer,

Amour elle s’allume pour mêmes raisons

Comme par une attraction ou répulsion !

.

Mais pas partout, pas avec n’importe qui

Les lieux et les personnes convergeront

Ou non, pour faciliter les rencontres.

.

Sur sites de rencontres spécialisés,

Les lieux se transforment virtuels

Les gens le deviennent autant.

.

Textuels et illustrations  >>

987 – Il est bien difficile de plaire à tout le monde !

 Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Plaire peut être vécu,

Plaire peut  être  perçu,

Comme   une  obligation,

Pour exister  en séduction.

Cela voudrait-il dire que : si

Je ne plais pas je n’existe pas

Point, mais qu’on préférera,

Celui qui a le look réussi.

.

Bien difficile il est, parait-il,

De plaire … à tout le monde…

Et fou serait  d’être  individuel

Autant  sage,   d’être   universel.

.

Mais moi, je ne plais à personne

Et sommes pourtant des millions,

À tourner sans cesse ainsi en rond,

Jusqu’à  ce  que  l’on  nous somme

.

D’aller  tenter  sa chance … ailleurs,

Les places  sont prises, pour l’heure,

Lors moi, si  je connaissais le lecteur,

J’écrirais pour lui avec grand bonheur.

.

Plaire à tout le monde,  ne serait-ce pas

Vendre son âme au diable qui n’en a pas

Et se cantonner au diapason des plus bas,

Pour obtenir, les mêmes échos  ici,  que là !

.

En devenant une célébrité passagère mortelle,

Un inconnu,  devenu connu,  redevenu inconnu

Serait-ce rançon du succès, qui me rendrait  tel :

Etre célèbre lors vivant mais en cimetière inaperçu.

.

«Ci-gît, qui, à tout le monde, s’est efforcé de plaire.

Mort, personne ne le considère plus comme un frère».

La belle épitaphe restant à inscrire sur mon cénotaphe

Et qui pourra inspirer, je l’espère, un bon hagiographe.

.

Extensions

.

Il est bien difficile de plaire à tout le monde

Et plus inutile, encore, lors on est plus de ce monde.

Vanité se croire incontournable, indétrônable, indispensable :

Un jour ou l’autre, on lasse, on passe, jusqu’à ce qu’on trépasse.

Trépasse : passer de l’autre côté, pour ne plus, jamais, revenir

Dans le monde des vivants ni même communiquer avec lui.

Sans son corps, son enveloppe charnelle, son esprit affuté,

Son caractère rebelle, plus besoin de plaire : qu’en faire !

Qu’enfer nous attend avec antichambre de notre Terre

Nourricière dévoré et qui nous dévorerait à son tour

Jusqu’à ce que le Soleil brûle tout en nuage de feu,

Apocalypse d’un passé révolu, un passé qui n’est plus.

Se plaire à soi-même est déjà  très important, beaucoup

Plus qu’on ne le pense  et, c’est la première étape à franchir,

Avant de plaire à tout autre, lors on ne se plait plus, on est mort.

.

Il nous est impossible de plaire à tout le monde,

Même si l’on tente de le faire, la plupart du temps,

Ne serait-ce que pour être aimé et pour être apprécié

Pour appartenir à un, à plusieurs, voire tous les groupes

Essayer de plaire aux autres  se ferait au détriment de qui

L’on est et de ce que l’on pense : on y perdrait vraie identité.

Nous serons plus heureux à plaire aux gens que l’on apprécie.

 .

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Plaire peut être vécu,

Plaire peut  être  perçu,

Comme   une  obligation,

Pour exister  en séduction.

Cela voudrait-il dire que : si

Je ne plais pas je n’existe pas

Point, mais qu’on préférera,

Celui qui a le look réussi.

.

IL EST DIFFICILE  DE

Bien difficile il est, parait-il,

De plaire… à tout le monde…

Et fou serait  d’être  individuel

Autant  sage,   d’être   universel.

.

Mais moi, je ne plais  P  à personne

Et sommes pourtant   L  des millions,

À tourner sans cesse   A  ainsi en rond,

Jusqu’à ce qu’on         I       nous somme

D’aller tenter sa       R     chance ailleurs,

Les places sont      E   prises pour l’heure,

Lors moi, si je        *  connaissais le lecteur

J’écrirais pour lui     À  avec grand bonheur.

  *

Plaire à tout le monde       T      ne serait-ce pas

Vendre son âme au diable      O      qui n’en a pas

Et se cantonner au diapason       U     des plus bas,

Pour obtenir, les mêmes échos        T      ici que là !

En devenant une célébrité passagère    *     mortelle,

Un inconnu,  devenu connu,  redevenu     L   inconnu

Serait-ce rançon du succès qui me rendrait E        tel :

Etre célèbre lors vivant mais en cimetière   *  inaperçu.

                                                       M

 «Ci-gît, qui, à tout le monde, s’est efforcé    O      de plaire.

Mort, personne ne le considère plus  com  N  me un frère».

La belle épitaphe restant à inscrire sur   D   mon cénotaphe

Et qui pourra inspirer, je l’espère, un    E  bon hagiographe.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une belle  femme certainement

Robe de mariée peut-être

Sinon robe de soirée,

Rien d’autre ?

.

987 4

.

La plus belle femme du monde

Ne peut donner  que  ce  qu’elle a,

Ne plaire qu’à certainsmaxime 

Valant pour toutes les époques !

 . 

Symbolique

 .

Des  planètes  ont

Reçu   des   symboles

Étant liés à la femme,

Et  c’est  le cas  de Vénus,

Planète du système solaire

Nommée,  d’après  la   déesse

Romaine de l’amour, astre fictif

Nommé Lune noire  associé à Lilith,

Potentielle  première  femme  d’Adam.

 .

Démon de la nuit : nombreuses statuettes

 Féminines, nommées    Vénus,   auraient été

Retrouvées en Europe     et au Proche-Orient

Étant datées du Paléo         lithique supérieur.

 .

Ces statuettes            présentent    généralement

Des proportions         exagérées           du ventre,

Des fesses, des          seins  et de           la  vulve.

fr.wikipedia.org/wiki/Femme#Symbolisme

 .

.

Fond

.

Évocation

.

987 6

.

La plus belle femme du monde

Ne peut donner  que  ce  qu’elle a,

Ne plaire qu’à certainsmaxime 

Valant pour toutes les époques !

 .

Symbolique

 .

Parait

 Que la        plus

 Belle fille du monde

Ne pourra  donner

 Que  ce qu’elle  a :

Si fait  qu’elle

 .

 Ne peut plaire  à tous, on ne

 Peut donner que ce qu’on possède.

Maximes pensées de Nicolas Chamfort

« La plus belle femme du monde ne peut donner

Que ce qu’elle a » j’ajouterais «et rien d’autre»

Modifié, source : expressions-francaises.fr/expressions

 .

.

Fond/forme 

 .

Rien d’autre, une expression qui en dit long

Parce qu’elle est ambiguë, voire ambivalente

Surtout sortie de son contexte  d’énonciation :

.

 Rien d’autre  signifiant : rien d’autre que vous ;

Rien d’autre pour je suis satisfait de ce que j’ai ;

Ou  rien  d’autre : que ce que j’ai dit, à signaler ;

Rien d’autre que tel vêtement ne me conviendra

C’est faire son choix, c’est cela ou rien d’autre !

.

On parle plus de femmes, à propos de plaire,

mais il en serait de même pour les hommes

qui séduisent certaines, déplaisent autres

le bellâtre parfait est dans l’imaginaire

quand il ne sera pas dans son type,

ou purement, projection acteur.

.

 Textuels et illustrations   >>

597 – Femme pudique, galante : après conquête !

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Pudique

Et galante

Semble  être

En opposition.

Or il n’en est rien

Tant  qu’elle avance

Ce  que, elle  soutient,

Que ce soit pour un mal,

Ou  pour se faire  du bien.

.

Femme pudique ou galante

Conquête   après   conquête,

Soyez généreuse ou soyez bête

En contentant un  prétendant.

.

Jusqu’au jour où lorsqu’amante,

Vous deviendrez par  lui, aimée,

Sinon celui cherché puis désiré,

Entre  vos doigts il  aura  glissé !

 .

Jusqu’à ce jour  où  il regrettera,

Que  sa belle  perle  se soit  tirée :

Elle surpassait toutes précédentes,

Lui faisant  renoncer aux suivantes.

 .

Le voici bien forcé pour s’en consoler

De reprendre son enfilage de dames.

Le, voilà  éternellement,  condamné,

À ne fendre  que des âmes  infâmes.

.

La vraie morale, pour cette histoire,

Chacun  s’efforce  de bien  la trouver.

L’homme propose,  la femme dispose,

Si ce n’est le contraire, si lors, elle ose.

.

Entre formule mariage et libertinage

Entre des principes valeurs d’usage

Diables  pervers  ou  anges  sages

Il y a manière  et manière voir.

.

De voir, ce qui nous convient,

De voir, ce qui nous retient,

De choisir et de surseoir

À l’élu(e)    d’espoir.

.

Extensions

 .

J’ai voulu jouer, me jouer d’elle,

Elle s’est jouée de moi, j’ai perdu :

Je ne peux gagner à tous les coups,

Surtout lorsque j’annonce que c’est

Juste comme ça, en passant, pour se

Faire plaisir, avant l’oubli, prestement.

.

Les paris font partie de ce jeu stupide

«Je vous parie  que je me la… tape

Après cela, eh bien  je m’en tape.»

Tel est pris qui croyait prendre,

Et voilà votre arroseur, arrosé.

.

La belle s’est moquée de vous,

Faisant croire, vous menez le bal.

Elle cherchait moment de plaisir

Avec vous et s’est tirée de votre lit

Pour aller l’annoncer à… vos amis.

.

C’est le jeu du chat et de la souris,

Où la souris se moque du chat épris.

Dans le concert de ces tromperies

Il y aura celles que l’on fomente

Et il y a celles que l’on subira.

.

Il n’y a aucune raison que ce soit

Toujours les mêmes qui en profitent

Ou bien les mêmes qui s’en…dépitent.

.

Femmes, galantes, libérées, bretonnes

D’hier, d’aujourd’hui, voire de demain,

Ont eu ont, auront les mêmes sentiments

Dans des habits complétements différents !

Mais si les rapports auront beaucoup changé

Ce n’est pas du fait des hommes, d’elles-mêmes.

.

L’homme propose, la femme dispose,

Si ce n’est le contraire …  aujourd’hui !

Fini les femmes qui faisaient tapisserie :

Chacun à tour de rôle, lors danse impose.

.

Qu’une femme pudique devienne galante,

Ce n’est pas un scoop,  ce n’est pas gigolo,

Elle ne cherchera qu’à plaire en élégante :

Rien ne dit qu’elle ne se marie au plus tôt.

.

On parle de complexes,  de pudibonderies,

D’un trésor caché qu’on ne saurait exposer

Or ce n’est pas que le sexe qui est concerné

C’est le corps, la cœur, l’esprit, l’âme aussi.

.

Fragments

.

Parmi les figures, modèles  ou portraits de femmes

Il y aura celles qu’on encense et celles, sans décence :

Les femmes galantes sont traitées de demi-mondaines

Les femmes pudiques, de coincées, fausses vertueuses !

.

Pour les hommes, c’est guère mieux : coureur de jupon,

Quand ce n’est pas en don juan, en prédateur, en fripon !

.

Toutefois, femme galante sera considérée  fleur en couleur,

Tandis que femme pudique comme une rose couleur noire.

.

Femme galante exprimera ses intentions en femme fatale,

Elle témoignera d’un comportement approchant l’animal.

.

Femme pudique n’exprimera qu’un soupçon de mystère,

Qu’elle cache à l’intérieur,  et ne demandant qu’à plaire.

.

En bref, une est plus extravertie, autre plus introvertie,

Mais méfiez nous de l’eau qui dort et qui peut bouillir.

.

Pour finir, rien ne les empêche être tantôt l’un, autre,

Jouant sur les deux tableaux : personne, personnage,

La chimie de l’une se mêlerait à l’alchimie de l’autre,

Pour ne pas s’ennuyer d’elle, et en dépit de leur âge.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Pudique

Et galante

Semble  être

En opposition.

Or il n’en est rien

Tant  qu’elle avance

Ce  que, elle  soutient,

Que ce soit pour un mal,

Ou pour se faire  F  du bien.

Femme pudique   E      galante,

Conquête après     M     conquête,

Soyez généreuse    M     soyez  bête

En contentant un   E      prétendant.

    *

Jusqu’au jour où     P     lorsqu’amante,

Vous deviendrez      U      par  lui, aimée,

Sinon celui cher       D      ché puis désiré,

Entre  vos doigts       I        il  aura  glissé !

  Q

Jusqu’à ce jour où      U              il regrettera,

Que  sa belle  perle       E              se soit  tirée :

Elle surpassait tou        *          tes précédentes,

Lui faisant  renon         G       cer aux suivantes.

  A

Le voici bien forcé         L      pour s’en consoler,

De reprendre son           A       enfilage de dames.

Le voilà  éternel             N      lement  condamné,

À ne fendre  que             T       des âmes  infâmes.

  E  

La vraie morale              :       pour cette histoire,

Chacun  s’efforce           C        de bien la trouver.

L’homme propose         O        la femme dispose,

Si ce n’est le cont          N        raire lors elle ose.

 Q

Entre formule  mari    U       age et libertinage

Entre des principes    Ê          valeurs d’usage

Diables pervers         T          et anges sages

Il y a manière         E         manière voir.

*

De voir, ce qui         nous convient,

De voir, ce qui      nous retient,

De choisir   et   de surseoir

À l’élu(e)    d’espoir.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un menhir de haute taille,

Une simple  pomme  de  pin,

Une belle fleur, forme conique

Qui s’habille  en  monochrome.

.

597 4

.

Femme ressemble fleur 

Et  comme chacun le  sait,

Se renferme  sur elle-même,

Et s’habille en monochrome.

 

Il existe des fleurs en épis, en chatons,

Des fleurs  monochromes, multichromes

Ayant toutes des formes pleines ou creuses

Ainsi la forme correspond à femme pudique.

 . 

Symbolique

 .

Si fleurs

Transmettent nos

Sentiments, bien mieux

Que des mots, c’est parce qu’elles

Accompagnent la vie des hommes

Depuis l’Antiquité, selon occasion,

Chacune aurait son mot à dire,

Influencée par son histoire,

Sa saisonnalité.

Interflora

.

.

Fond

 .

Évocation

.

597 6

.

Femme ressemble fleur 

Et  comme chacun le  sait,

Se renferme  sur elle-même,

Et s’habille en monochrome.

 .

Symbolique 

 .

Les bases chromatiques

Photo  en  Noir et  Blanc

Et Mono Couleur, seront:

Une photo de vous, en noir et blanc

Sur un fond noir avec un objet symbolique

(Lunettes, crayon, livre, chapeau, une voiturette)

.

Monochromatique (une couleur) occupe entre

5 à 10% de l’image totale. Choisissez un objet

Qui symbolise (tel un pictogramme)

Votre métier et pour la couleur

Prenez davantage couleurs

Chaudes et lumineuses.

maphotoportrait.fr/styles-poses/94-

conseil-image-noir-et-blanc-linkedin.html

 .

 .

Fond/forme 

 .

Des fleurs monochromatiques,

Il en existe des centaines, milliers

Des polychromatiques, y en a moins,

Lors intérieurs semblent plus pudiques

Presque effacées, et voire  transparentes

Mais dès qu’elles s’ouvriront, elles seront

 De couleurs,  si chatoyantes,  si éclatantes,

Que vous aurez du mal à vous en détacher.

.

Textuels et illustrations   >> 

596 – L’essentiel : lui parler d’elle et non de vous !

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De lui parler que d’elle

Sera compris : se contenter

De l’écoute avec une attention

Qu’elle mérite surtout de vous.

Si vous  ne parlez que  de vous,

À la fin  de tout : elle s’en fout !

.

Elle n’existe pas, elle est floue,

Alors que  vous … clair en tout.

Pour autant … ne pas la flatter,

Elle flairerait votre manœuvre

Pour la séduire… en sexualité

Consommée en hors d’œuvre.

 .

Juste un seul et unique conseil

Lui parler d’elle, et non de vous,

Pour faire apparaître, merveille,

Les qualités, qui feront, de vous,

Le meilleur, qui puisse paraître,

Pour dévoiler … ses frous-frous,

À vous exciter, comme un fou !

.

Jusqu’à tout faire disparaître

En  enlevant tous ses dessous,

Pour la sauter, nue, et entière,

Fleur ajoutée, à  boutonnière,

Puis, l’abandonner, tout fier,

Car demain, souvenir d’hier.

Si, s’attacher, serait l’Enfer !

 .

L’avoir pénétrée, de partout,

Jusque tréfonds d’un bestiaire

Fera, d’ange, un diable, de vous.

.

La vraie morale…de cette histoire,

À chacun  de la trouver, de la conter,

Telle histoire ne sera, jamais, terminée,

Tant qu’on prendra femme  pour sautoir !

.

Enfin, parler d’elle, c’est facile à dire, mais si

Elle vous interroge, s’intéresse à vous, de près :

Qu’allez-vous inventer pour vous mettre en valeur

Qui lui paraisse crédible et ne lui fasse pas peur

Avant que votre personnage se transforme

En fantôme et finisse en informe

Erreur de casting.

.

Extensions

 .

Lui parler d’elle et non de vous,

Tant il serait plus important d’être

À l’écoute de l’autre que de se raconter.

Se raconter d’emblée est comme s’imposer

Aux yeux de l’autre comme quelqu’un

Se faisant croire plus qu’intéressant.

.

Mais c’est à l’autre d’en décider :

Il arrive un moment, en conversation

Où il, elle, s’inquiète de qui vous êtes.

Quant à mentir, se mettre  trop valeur,

Dire la vérité, privilégier l’authenticité,

C’est à chacun de voir et l’assumer.

.

Séduire est une chose ; satisfaire,

Une autre ; plaire sur le long terme,

Une troisième ; construire un couple.

Quoiqu’il en soit : parler de soi,

Que de soi, est toujours délicat

Car c’est se mettre  trop en avant

S’exposer à se faire rejeter d’emblée.

.

Parler de l’autre, l’écouter est souvent

Déclencheur de complicité,

À condition que cela ne prennent pas

Le ton d’une inquisition ou en tous cas

Soit pris pour telle et rejetée.

.

Un blaireau est une brosse pour étaler la crème à raser,

Mais aussi une personne qui, par son attitude, est stupide

Ou se rend comme telle quand il veut séduire une femme !

Pour ne pas se présenter comme rasoir et barber l’élue

Il est préférable d’écouter l’autre plutôt que de parler

Tout le temps pour bien meubler la conversation

Pour se rendre plus intéressant que l’on est.

.

Il est reconnu que parler est moins fatigant

Qu’écouter, qui parait pourtant bien passif

Mais cela comprend  des efforts constants,

Pour bien entendre, interpréter, très actif.

.

Si parler de soi n’est pas parler de l’autre,

Ce n’est pas qu’il faudra le flatter d’autant,

Mais parler de soi, que de soi, est énervant

Vous n’êtes pas Jésus et l’autre pas apôtre !

.

Toutefois faut pas parler  pour ne rien dire,

Commettre des erreurs ou pire des impairs

Ou, par un interrogatoire,  la faire souffrir,

Pire encore, d’un grand niais en avoir l’air.

.

Fragments

.

Quelqu’un qui parlerait toujours

Pour ne rien dire ou presque,

Deviendrait vite … barbant

Passera pour un blaireau.

Bavard est aussi rasoir,

Ne  parler  que  de vous,

Vous ferait passer pour :

Alors  bonjour… bonsoir !

.

Traiter quelqu’un de vieille barbe,

Est encore pire, il n’y a plus d’espoir,

Votre stratégie en totalement à revoir,

Si vous insistez : risquez que ça barde !

.

Parlez d’elle ou de lui mais non de vous,

Sans que ça ressemble à portrait factice

Lors vous en tirerez  nombre bénéfices,

Qui engendrera sympathie pour vous.

.

Coach  en amour, donne des recettes,

Parfois, ça suffit, une fois, pas deux :

Si vous êtes démasqué : devenez bête,

Aucun stratagème ne rendra heureux.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

 .

De lui parler que d’elle

Sera compris : se contenter

De l’écoute avec une attention

Qu’elle mérite surtout de vous.

Si vous  ne parlez que  de vous,

À la fin  de tout : elle s’en fout !

Elle n’existe  pas, elle est  floue,

Alors que  vous … clair en tout.

Pour autant… ne pas la flatter,

Elle flairerait votre manœuvre

Pour la séduire… en sexualité

Consommée, hors d’œuvre.

L’ESSENTIEL : 

Juste un seul et unique conseil :

Lui parler d’elle, et non, de vous,

Pour faire  apparaître, merveille,

Les qualités, qui feront, de vous,

Le meilleur, qui puisse paraître,

Pour dévoiler … ses frous-frous,

À vous exciter, comme un fou !

PARLER D’ELLE,

Jusqu’à tout faire…disparaître

En  enlevant tous ses  dessous,

Pour la sauter nue, et entière,

Fleur ajoutée, à boutonnière,

Puis, l’abandonner, tout fier,

Car demain, souvenir d’hier.

Si, s’attacher, serait l’Enfer !

NON DE VOUS 

L’avoir pénétrée, de partout,

Jusque tréfonds d’un bestiaire

Fera, d’ange, un diable, de vous.

La vraie morale…de cette histoire,

À chacun  de la trouver, de la conter,

Telle histoire ne sera, jamais, terminée,

Tant qu’on prendra femme  pour sautoir !

Enfin, parler d’elle, c’est facile à dire, mais si

Elle vous interroge, s’intéresse à vous, de près :

Qu’allez-vous inventer pour vous mettre en valeur

Qui lui paraisse crédible et ne lui fasse pas peur

Avant que votre personnage se transforme

En fantôme et finisse en informe

Erreur de casting.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Ça peut être une brosse à poudre

Tout aussi bien  pinceau peinture

Tout aussi bien qu’un blaireau 

Sinon voire une vieille barbe.

.

596 4

.

Vous passerez pour un blaireau

Ou pour une vieille barbe, si vous

Ne parlerez d’autres  choses que

De vous en souhait amoureux.

Blaireau et que ce soit brosse ou animal

N’a aucun lien avec n’importe quel dialogue

Tant et si bien que la forme s’écarte du fond !

.

Symbolique 

 .

En Europe, un blaireau

Est  une personne stupide,

Ou  une brosse, pour étaler

Toute la crème de rasage.

Symbolisant le clergé,

Il n’a de cesse, par

Sa sagesse et ses

Conseils avisés,

Est prendre

La  défense

Du  renard.

Dans la bible,

Le blaireau est

Un pur symbole

D’une agressivité.

gaiachamanisme.over-

blog.com/article-le-blaireau

.

.

Fond

.

Évocation 

.

596 6

.

Vous passerez pour un blaireau

Pour une vieille barbe si vous

Ne parlerez d’autres choses que

De vous en souhait amoureux.

 .

Symbolique 

 .

La barbe est le symbole

De la divinité, du savoir et de la virilité.

Cependant, elle peut aussi évoquer négligence.

En France mais plus largement en Europe,

La barbe a été adoptée au XVIe siècle,

Puis disparait   au    siècle     suivant,

Pour réapparaître au XIXe siècle.

 

Après être passée de mode,

Pendant  des   décennies,

Revient en début de XXIe

Et  davantage  considérée

Comme accessoire esthétique

Que comme objet  symbolique.

1001symboles.net/symbole/sens-de-barbe.

.

.

Fond/forme 

 .

La barbe est bien plus, de nos jours

Taillée par des rasoirs électriques,

Que mécaniques, et lors, la brosse

Ou blaireau avec le savon spécial

Sont un peu tombés en désuétude.

De toutes façons quand on se rase,

Il est rare d’entretenir un dialogue,

Avec qui que ce soit, surtout conquête

Tant il serait vite rasoir sinon barbant.

.

Textuels et illustrations  >> 

591 – Quand je te prends dans mes bras, je te parle

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Lors vient moment

De la tendresse intime

Tu t’isoles,  en te taisant,

Et lors  te parle  de sublime

Tu es, physiquement  bien  là,

Entre  mes   jambes, mes bras

Mais ton cœur, voire ton esprit,

Sont absents, comme étourdis.

Faire l’amour comme tu veux,

L’amour comme tu peux.

Ton silence puis

 Ton… abandon,

Sont pour moi,

Signe d’union.

 .

Quand je te prends dans mes bras,

Quand tu  te colles… sous mes draps,

Je te parle, mais, tu ne m’écoutes pas !

.

Quand je t’embrasse sur la bouche,

Quand,  sur  notre  lit … je te couche :

Je te parle, mais  tu prends la mouche !

.

Quand je caresse tes beaux seins

Et promène, partout… mes mains :

Je te parle, mais hélas tu ne dis rien !

.

Quand je tends tout mon désir,

Retarde jusqu’au fond le plaisir :

Je te parle, mais, tu veux  dormir !

.

Quand  je  pénètre  ton  ventre,

Je m’attends … à te surprendre :

Mais c’est pour ne rien entendre !

.

Quand je m’excite, et te secoue,

En toi, je viens, enfin… au bout :

T’as pas l’air d’y être pas du tout !

.

Quand je m’abstiens, me retire,

Je me crois, être  en plein délire :

Tu souffles comme énorme soupir !

.

Quand je m’affaisse, et  m’endors,

Que, je confonds le Sud et le Nord :

Tu me  réveilles  pour  dire : encore !

 .

Qu’importe, si tu m’aimes comme ça,

Penses, ou compenses, pourquoi pas :

Je te parle, quelque chose  ne  va pas !

Peut-être que,  c’est moi,  qui craquera,

Pas su  m’y prendre encore pour cette fois

Et, si on  en  parlait simplement, tout bas !

.

Extensions 

 .

Une fois en nudité la plus totale,

Parfois une femme s’abandonne

Et s’isole dans son jardin secret,

Où nulle parole   n’est conquise,

Nulle pénétration n’est requise.

Et manifestations ostentatoires

Du désir  se transforment  alors

En une sublimation  intérieure,

Où fantasme devient roi secret

Tandis que l’homme s’acharne

Pour lui procurer du plaisir,

Elle feint de ne rien sentir,

Simule à peine de l’écouter

Lorsqu’il lui  parlerait de  ses

Sensations, émotions, exacerbées

Par la tension de corps en harmonie.

Frigide, pensez-vous : elle  attendrait,

Elle souhaiterait  la fin, et, au plus tôt ;

Non, bien au contraire, elle se sent bien,

N’éprouve nul besoin de le clamer avec

Des mots ni même avec des gestes :

Simplement présence, évidence.

.

La nudité dans l’art, dans la chambre et dans la rue n’a rien à voir

Le premier est magnifié par une vision d’artiste,

Le second, consommé  par une vision  intimiste,

Le dernier est exposé, à tous lubriques regards !

La femme nue, une fois peinte peut multiplier un nombre de poses

Sans que modèle dont est issu tableau ne s’expose

À la honte, culpabilité ou autres aspects négatifs :

Pourquoi n’est-il pas de même dans notre société ?

Répondre à la question dépend d’éducation, expérience  de chacun.

.

Il n’y a rien de moins excitant que de faire l’amour

À une femme totalement passive qui n’en veux pas.

.

Si certains y trouveront leur compte, sexuellement,

C’est qu’ils ne penseront qu’à leurs propres plaisirs.

.

Rien à voir avec la frigidité, ni même l’anorgasmie,

Tout se passe dans la tête qui serait partie ailleurs.

.

Autant alors faire l’amour à une poupée gonflable,

On ne craint pas un refus ou absence : y en a pas !

.

Souvent, la femme voudrait qu’on parle avant tout,

L’homme pressé conclure ne fais pas, temps perdu.

.

À quoi sert de conquérir et voire posséder un corps

Si le cœur, l’esprit, l’âme, sont absents ou chosifiés.

.

Fragments 

.

Pas réveillée, pas concentrée, pas intéressée :

Beau trio anti désir, envie, pulsion sexualisée.

.

Moindre préliminaire provoque effet contraire

Tu es fatiguée, dérangée, tu n’es pas d’humeur.

.

Quand même un témoignage d’une telle chaleur

Devrait bien te faire changer d’avis, et te plaire !

.

Tu n’entends rien, tu ne dis rien, t’ensommeilles

À corps mort, comment puis-je  faire merveille !

.

Si je te parle, tout bas,  en mots doux,  à l’oreille,

Tu ronchonnes ou tu souffles mais ne frémit pas

.

Peut-être faut-il que je soupire  ou que je pleure,

Pour que tu me consoles, comme un enfant, las !

.

Quand soudain, peut-être sensible à mes assauts,

Tu me dis : fais-moi ce que tu veux ; moi, je dors.

.

Je m’applique de mon mieux, tu es toute passive,

Moi, je te vois, te sens comme étant toute lascive.

.

C’est alors que tu te réveilles et en plein orgasme,

Tu prends une grande bouffée d’air, et t’électrise.

.

Tandis que moi, je m’affaisse sur l’oreiller, épuisé,

Tu m’entreprends à ton tour et tu bondis sur moi.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

QUAND JE

Lors vient moment

De la tendresse intime

Tu t’isoles,  en te taisant,

Et lors  te parle  de sublime

Tu es, physiquement  bien  là,

Entre  mes   jambes, mes bras

Mais ton cœur, voire ton esprit,

Sont absents, comme étourdis.

Faire l’amour comme tu veux,

L’amour comme tu peux.

Ton silence puis

 Ton… abandon,

Sont pour moi,

Signe d’union.

JE TE PRENDS

Quand je te prends dans mes bras,

Quand tu  te colles… sous mes draps,

Je te parle, mais, tu ne m’écoutes pas !

.

Quand je t’embrasse sur la bouche,

Quand,  sur  notre  lit … je te couche :

Je te parle, mais  tu prends la mouche !

.

Quand je caresse tes beaux seins

Et promène, partout… mes mains :

Je te parle, mais hélas tu ne dis rien !

.

Quand je tends tout mon désir,

Retarde jusqu’au fond le plaisir :

Je te parle, mais, tu veux  dormir !

.

Quand  je  pénètre  ton  ventre,

Je m’attends … à te surprendre :

Mais c’est pour ne rien entendre !

.

Quand je m’excite, et te secoue,

En toi, je viens, enfin… au bout :

T’as pas l’air d’y être pas du tout !

.

Quand je m’abstiens, me retire,

Je me crois, être  en plein délire :

Tu souffles comme énorme soupir !

.

Quand je m’affaisse, et  m’endors,

Que, je confonds le Sud et le Nord :

Tu me réveilles pour me dire, encore !

DANS MES BRAS

Qu’importe,  si tu m’     aimes comme ça,

Penses, ou  compen      ses, pourquoi pas :

Je te parle, quelque           chose  ne  va pas !

Peut-être que, c’est          moi,  qui   craquera,

Pas su  m’y prendre          encore pour cette fois

Et, si  on  en  parlait            simplement, tout bas !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un totem indien, ou autre,

Trophée, sport  ou  culturel,

Silhouette d’une femme nue

L’air absente  ou déconcentrée

.

591 4

.

Une femme nue acceptant qu’on

La prenne en bras, étant passive

Ou déconcentrée, en tous cas,

Insensible, voire insatisfaite.

Dans mes bras mais tournant le dos,

Regard un peu perdu, comme absente,

Pas de doute, forme/fond se rejoignent.

 .

Symbolique 

 

Rêver

 De   sa   propre

Nudité est rêve

Des     plus

Fréquents.

Plus singulier, est la situation

Dans  laquelle  est  le rêveur.

Qu’il soit nu dans une foule

Ou  beau  milieu du  désert

Pas  même  signification :

Soit la nudité sera associée

À la honte ou la culpabilité,

Soit elle le sera à un besoin

D’innocence enfantine et

De déresponsabilisation.

doctissimo.fr dictionnaire-des-reves

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

591 6

.

Une femme nue, attendant qu’on

La prenne en bras passive :

À moitié concentré, en tous cas,

Insensible, voire insatisfaite.

.

Symbolique 

 .

Difficulté

 À se concentrer

Sur   une       tâche

 Précise,     surtout

Si celle-ci est  

Ennuyeuse

 

À la place, nous nous surprenons

Souvent à penser  à  des  choses  qui

N’ont rien à voir avec la tâche en cours,

Sont évènements passés, des choses

À faire  ou des idées  abstraites.

 .

Cette tendance à se  détacher

De    notre    environnement

 Qui nous entoure s’appelle le

« Vagabondage     de      l’esprit »

Mais, il se peut aussi que notre

Esprit vagabonde vers le néant.

theconversation.com/absences-

esprit-qui-vagabonde

.

.

Fond/forme 

.

Bien que nue et dans mes bras,

Si tu ne fais rien,  ne bouge pas,

Et qu’en plus ne me regarde pas,

Que puis-je  faire  pour  satisfaire

Le moindre de  tes désirs, intimes,

La moindre de tes attentes ultimes

Il y aurait de quoi se déconcentrer,

Voire d’abandonner, face passivité.

.

Textuels et illustrations   >> 

587 – Maitresse en séduction, déesse en adoration

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Maitresse, déesse

Prêtresse …… poétesse,

Ou que  sais-je  …  encore :

La femme aurait mille visages

Capables des meilleures choses,

Et tout autant  des pires ravages.

Je parle des cœurs, d’honneurs !

.

Se détend, s’étend, et se défend

Manque respect de son rang

Chiffonne, et le renferme,

Met à amour un terme,

Avouant s’être trompée

N’acceptant l’avoir été !

.

Pure maitresse, en séduction,

Ou vraie déesse en adoration,

La femme se laissera vénérer,

Mais plus rarement posséder.

.

La  noble créature de l’homme

Modelée, pour lui … en somme,

Est pour se reproduire entre eux,

Se console d’’être que demi-dieu.

Femme  prend  mari  pour la vie,

Homme veut épouser  … hors lit.

.

D’où vient  terrible  malentendu,

D’une  telle illusion  entretenue :

Entre la quête  des soirs, câlins,

Et la réalité morne  des matins,

Un fossé, peu à peu, s’instaure :

Personne n’admettant ses torts.

.

Le couple séparé ne s’écoute plus,

La faute au  premier qui  a rompu :

Personne n’épouse un idéal inconnu,

Femme n’en est pas un en sa féminité,

L’homme n’en est pas un, en sa virilité,

Rien qu’un être humain, qui vous a plu.

.

Se jalousent  et se  haïssent  et  s’aident.

Lors le jeune se fait vieux, la belle, laide,

Amour devient une source d’ambigüités,

Dès qu’il se veut exclusif  et  voire entier,

Pour passer de sa passion, à son amitié,

L’essentiel est de  bien  communiquer,

Toute passion ne  dure   qu’un temps

Même si on peut parfois renouveler.

.

.

Extensions 

Pure maitresse en séduction,

Femme peut devenir pure prêtresse

En manipulation pour nous faire croire

Que tous les torts nous sont attribués

Alors qu’en couple, en vraie union,

Ne peuvent être que partagés.

.

Pur stratège en machination,

L’homme machiste en domination

Au point que conjoint n’a plus espace

Ni de temps ni de liberté pour respirer,

Pour faire ce qui lui tient le plus à cœur,

Au point d’être obligée de lui soumettre

Auparavant ses actions et de lui

Demander toutes ses permissions.

.

L’erreur est de croire qu’on a trompé

Sa femme, ou son mari, absent, si après,

Les pleurs, les larmes versées,  vite séchées,

Tout amant ne serait plus vu, ni même entrevu !

Pendant un certain temps, qui peut dire prétendre

« Fontaine, je ne boirai plus, jamais, de ton eau »,

Sans parfois, en reprendre, à s’y méprendre.

.

La séduction ne date pas d’hier et n’est pas propre aux humains

Mais  chez les animaux, elle  est saisonnière ; chez nous, entière,

C’est-à-dire, tout au long de l’année, et y compris en plein hiver,

Et elle marche dans les deux sens aujourd’hui et à deux mains.

L’adoration serait comme le dépassent même de la séduction

Une sorte  de sublimation  de l’autre, au-delà  de sa réalité

Attention à ne pas bruler ses ailes pour ne pas tomber.

La chute est plus mortelle lors elle vient de plus haut

Trop belle pour moi ; pour être vrai, trop beau !

.

Séduction et adoration tiennent les deux bouts

D’une échelle entre sexe seul et projection seule.

.

Entre les deux, le curseur varie, selon fantasmes,

Tantôt on percevra l’autre avec respect et dignité

Tantôt on souhaitera qu’elle joue… femme fatale.

.

Ma main gauche ignore ce que fait main droite,

Nous n’avons pas qu’une vision d’une personne,

Notre inconscient intervient  en  perturbateur.

.

Fragments

 .

«Pardonnez-moi mon Père

Parce que j’ai péché

En  paroles  et  en  actions,

Et autant en pensées»

.

Telle formule s’adresse à Dieu,

À travers confesseur

Elle introduira  sa culpabilité,

Au prêtre, innocenter.

.

Oui mais les fantasmes, affirme

Psychiatre, psychologue

Émaneront de notre inconscient

Qu’en aucun cas maitrisé.

.

Et puis comment les bonnes, trier

Et les mauvaises pensées

Si penser à déesse est merveilleux

Désirer son sexe, hideux.

.

Si déesse, est par nature, inaccessible

Bien que des plus désirables

Si maitresse est par culture, interdite

À nous en rendre coupables

Que reste-t-il à  sublimer, consommer,

On se condamnerait, et à vie

À ne plus aimer aucune femme du tout

.

Si une déesse peut devenir  une maitresse,

L’inverse serait bien plus rare

Si tous fantasmes sexuels ne se réaliseront ;

Dans un lit ni même à son pied,

Ils sont utiles à se construire ou à conserver,

Son désir du manque à se réjouir

D’une rencontre qui ne peut que nous réussir.

.

L’on ne sait si c’est une déesse ou maitresse

Ni si elle est antique, classique ou moderne

Tant nombre fantasmes sont aussi culturels

Et lors la forme convergera ici vers le fond.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

.

Maitresse, déesse

Prêtresse …… poétesse,

Ou   que   sais-je   …  encore :

La femme Ô aurait Ô mille visages

Capables meil    //    leures Ô choses,

Et tout autant //     des pires ravages.

Je parle des //  cœurs, d’honneurs !

Se détend  ==== étend, défend

Manque respect de son rang

Chiffonne, et le renferme,

Met à amour un terme,

Avouant s’être trompée

N’acceptant l’avoir été !

.

Pure maitresse    *     en séduction,

Ou vraie déesse  M     S   en adoration,

La femme      A  se laisse    É        vénérer,

Mais, plus     I   rarement      D      posséder.

La noble      T       créature        U  de l’homme

Modelée     R        pour lui          C   en somme,

Est pour     E     se reproduire   T  entre deux,

Se console S     de n’être que   I  demi-dieu.

 Femme    S     prend mari  O pour la vie

Homme  E  veut épouse N  hors lit.

.

D’où vient   terrible    malentendu,

D’une   telle illusion  entretenue.

Entre la quête  des soirs, câlins,

Et la réalité morne  des matins,

Un fossé, peu à peu, s’instaure :

Personne n’admettant ses torts.

Le couple séparé  ne s’écoute plus,

La faute  au  premier  qui  a rompu :

Personne  *   n’épouse un idéal  *  inconnu,

Femme   D   n’en est pas un en sa   A   féminité,

L’homme   É    n’en est pas un, en    D   sa virilité,

Rien qu’un    E    être humain, qui   O    vous a plu.

Se jalousent   S      et se  haïssent    R    et  s’aident.

Lors le jeune    S     se fait vieux     A  la belle, laide.

Amour devient  E      la source      T   d’ambigüités,

Dès qu’il se veut   *      exclusif     I       voire entier,

Pour passer de sa  E   passion  O     à son amitié,

L’essentiel est de   N   bien   N  communiquer,

Toute passion ne   *  dure   *      qu’un temps

Même si l’on peut, parfois,  la renouveler.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Belle tête  sur un corps féminin :

Habillée d’une robe ample et fluide

Comme une déesse grecque,  drapée

Dans sa sensualité  ou  autre fantasme.

.

587 4

.

Très difficile pour une maitresse d’endosser

Son rôle de déesse

N’étant ni l’une ni l’autre : qu’une femme

Tout n’est que fantasme.

 .

Symbolique 

 .

Une

« Déesse »

Hantait l’esprit

Des  chasseurs

Préhistoire.

Déesse à la féminité marquée

Dont  la  silhouette  ou  les  traits

Caractéristiques seins, fesses, pubis,  

Grands yeux, se  retrouvent partout

En Europe, peints, gravés sur parois

Des cavernes, sculptés  sur la pierre,

L’os ou le bois. Des  milliers d’années

 Plus  tard,  subjuguait   les   paysans

Du néolithique. Partout  en Europe,

On la découvre  peinte  céramiques

Gravée  sur les objets quotidiens

Pendant près de 25 000 ans,

Les   premiers    Européens

Auraient ainsi voué un

 Culte à cette déesse.

cairn.info/magazine-sciences-humaines-deesse

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Difficile pour une maitresse d’endosser

Son rôle de déesse

N’étant ni l’une ni l’autre : qu’une femme

Tout n’est que fantasme.

 .

Symbolique 

.

Fantasmes sexuels

Sont presque universels,

Signalés en de nombreuses

Sociétés  à  travers  le  Monde.

En raison de la nature de certains,

La mise en pratique de ceux-ci restera

Moins courante, en raison de contraintes

Culturelles, sociales, morales et religieuses.

Dans certains cas, une simple évocation

De fantasmes sexuels est soumise à des

Tabous sociaux et à des inhibitions.

Wikipédia : fantasme

 .

 .

Fond/forme 

.

Nos fantasmes suscitent autant d’images

Sur des déesses que sur des maitresses :

Maman et putain se donnent la main, 

Désir et fantasme créent des plaisirs.

.

Une déesse peut devenir maitresse,

Rarement l’inverse,  socialement !

Aujourd’hui c’est ni l’un ni l’autre

Amante  les confond  tous deux

Parfois, les réunit en trouple,

Dans le même lit de couple.

.

Textuels et illustrations  >>

578 – Sauvage, sauvageonne, tu te reconnaîtras

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Sauvage, sauvageonne, qualificatifs qui résonnent,

Si approche n’est pas bonne te traitant de conne,

Loin de moi pensée bien que tu m’aies rejetée

Tu restes ma préférée pour, en bras, me jeter.

Je persiste à croire c’est que partie remise,

Tu n’es conquise, soumise, à mes jeux !

Mais comment provoquer l’étincelle

Si, en toi, mon bois, ne brûle pas !

Dois-je faire nouvelle ritournelle

Pour attirer attention sur moi.

.

 Sauvage, sauvageonne,

Tu te reconnaitras,

Avant que tu m’abandonnes,

Amour te surprendra.

Indépendant, je le suis aussi,

Bien que pas indifférent,

Une chose enfin, j’ai compris,

Ne serai jamais ton amant.

.

Rejet massif, qu’en conclure :

Définitif, déconfiture !

Comment le savoir et prévoir,

Quand remis plus tard.

Comment réveiller, l’étincelle,

Jaillie en plein œil,

Comment séduire jouvencelle,

Face à un tel écueil.

.

Amour, sans retour, ritournelle,

Est cancer qui hante,

À conquérir,  cocci ….. coccinelle,

Refusant être amante.

Des fois, l’aventure, mal  engagée,

Finit pourtant en beauté,

Il suffit que chacun mette du sien,

Se fixe un but  commun.

.

Qui, ma sauvage …..  sauvageonne,

Cherches-tu à tromper :

Je crois que, c’est toi, en personne,

L’amour t’aura snobé !

Il est tapi sous un cœur en cendre,

Pour la nouvelle année

Et, elle refera surface en décembre

Pour peu tu l’aies espéré.

.

Une bien brève mais forte étincelle

Suffit à allumer le feu,

À métamorphoser une vraie rebelle

En papillon des cieux.

Car c’est le plus cher de mes vœux

Avec toi, être heureux,

Mais pour cela, il faut être deux,

Et se sentir amoureux.

.

Extensions

 .

Inclassable

Indomptable,

Et pourtant docile,

Et lascive, par moment,

Quand elle prend l’initiative

Ou  la suggère, délicieusement,

L’important étant : que ce soit elle

Qui décide lâcher prise complétement :

.

Les deux extrêmes en quelque sorte !

Voilà qui caractérise  la sauvage,

Sauvageonne qui fait pourtant

Tout ce qui est en son pouvoir

Pour  échapper  à  tel  genre,

Néfaste  en  elle,  catégorisé.

.

Il faut dire qu’on s’y attache,

Et que le mérite vous revient

De la dompter et l’on en voit

En films d’aventures, cliché.

.

Aventurière, flamboyante, romantique,

Sauvageonne n’en reste pas moins une,

Qui, de sa liberté, aura fait son combat

En acceptant qu’on t’approche ou pas

Oui mais voilà quand on s’y attache

On perd les siennes et à tout va !

Il n’y a pas de demi-mesures

Avec toi : tout est entier.

.

Sauvage n’est pas ici compris

Dans le sens grossier, mal élevé,

Mais dans le sens timide, réservé,

N’osant en aucun cas prendre parti.

.

Souvent, bouillonne une vie intérieure

Parce qu’étant curieuse de tout et chacun

Mais  elle ne transparaitra pas, à l’extérieur,

Juste pour te protéger de déception d’humains

.

Tu te perçois, à la fois vaillante et transparente :

Il suffirait d’un rien pour que ton sourire rayonne

Il suffirait peut-être qu’un jour quelqu’un te sonne

Mais je ne peux qu’espérer une amitié occurrente.

.

Fragments

.

Sauvage, sauvageonne, va, je te pardonne,

Il n’y a rien que tu me prennes, ni donnes !

.

Je m’en veux d’avoir espéré, tu t’abandonnes,

Mais tu es restée femme ignorant un homme.

.

Notre amitié n’en a guère pâtie, juste un peu,

Pour moi, c’était sérieux, pour toi, non enjeu.

.

Je t’aurai pris pour une déesse, je le confesse,

Tant on était loin de simple histoire de fesses.

.

Je n’en peux qu’en rire, pour le moins, sourire,

Si tu avais accepté, ma vie aurait-elle été pire !

.

Ce n’est peut-être que partie remise entre nous,

Parfois chance se remet de votre côté, c’est fou.

.

Dans ton projet de vie, tu tenais à être prospère

D’abord en temps épouse et après comme mère.

.

Des années plus tard, rien n’aura guère changé :

La famille surtout et avant tout et voire partout.

.

Sauvage, même sauvageonne, tu te reconnaitras,

Mais il y en s des milliers qui sont dans ce cas-là.

.

Peut-être qu’un indice, t’éclairerais, tu voudrais :

Pour l’obtenir, faudrait prouver que tu m’aimais.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

      .

                                              Sauvage, sauvageonne, qualificatifs qui résonnent,

                                       Si approche n’est pas bonne te traitant de conne,

                               Loin de moi pensée bien que tu m’aies rejetée

                            Tu restes ma préférée pour, en bras, me jeter.

                      Je persiste à croire c’est que partie remise,

               Tu n’es conquise, soumise, à mes jeux !

         Mais comment provoquer l’étincelle

       Si, en toi, mon bois, ne brûle pas !

     Dois-je faire nouvelle ritournelle

     Pour attirer attention sur moi.

SAUVAGE

 Sauvage, sauvageonne,

Tu te reconnaitras,

Avant que tu m’abandonnes,

Amour te surprendra.

Indépendant, je le suis aussi,

Bien que pas indifférent,

Une chose enfin, j’ai compris,

Ne serai jamais ton amant.

SAUVAGEONNE,

Rejet massif, qu’en conclure :

Définitif, déconfiture !

Comment le savoir et prévoir,

Quand remis plus tard.

Comment réveiller, l’étincelle,

Jaillie en plein œil,

Comment séduire jouvencelle,

Face à un tel écueil.

.

Amour, sans retour, ritournelle,

Est cancer qui hante,

À conquérir,  cocci ….. coccinelle,

Refusant être amante.

Des fois, l’aventure, mal  engagée,

Finit pourtant en beauté,

Il suffit que chacun mette du sien,

Se fixe un but  commun.

TU TE RECONNAÎTRAS

Qui, ma sauvage …..  sauvageonne,

Cherches-tu à tromper :

Je crois que, c’est toi, en personne,

L’amour t’aura snobé !

Il est tapi sous un cœur en cendre,

Pour la nouvelle année

Et, elle refera surface en décembre

Pour peu tu l’aies espéré.

.

Une bien brève mais forte étincelle

Suffit à allumer le feu,

 À métamorphoser une vraie rebelle

En papillon des cieux.

Car c’est le plus cher de mes vœux

Avec toi, être heureux,

Mais pour cela, il faut être deux,

Et se sentir amoureux.

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Forme

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Évocation 

.

Silhouette de femme, tête haute,

Et bien  penchée    vers  l’arrière,

Chevelure flottante  dans  le vent

En déesse, cherchant son dieu !

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Belle femme,  tête en arrière,

Avec son visage levé vers le ciel :

Indifférente  à tout ce qui se passe

Déesse rêveuse cherchant son dieu !

 .

Symbolique 

 .

Symbolique    

L’enjeu

Auquel font

Face les femmes

Désirant être,

Pleinement,

 Femme

Est immense  tant il  demande  un

Investissement personnel d’ordre

Du don de soi avec une réflexion

Pour comprendre l’articulation

Entre dignité lui étant propre

Et   sa  relation   au   Monde.

La Woman Attitude cherche

À  rassembler  les femmes  qui

«Comprennent que  l’homme  est

Le résultat de ce qu’est la femme

Et elles en tirent une conscience de

Leurs  immenses  responsabilités » :

À chaque femme revient de s’épanouir,

Et de manière unique en tant que femme !

womanattitude.com/ca-veut-dire-quoi-etre-femme

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Fond

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Évocation 

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Belle femme,  tête en arrière,

Avec son visage levé vers le ciel :

Indifférente  à tout ce qui se passe :

Déesse rêveuse cherchant son dieu !

 .

Symbolique 

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Une déesse

Hantait    l’esprit

Des     chasseurs

De préhistoire.

Une déesse

À la féminité marquée

Dont la silhouette ou les traits caractéristiques

 Seins,   fesses,  pubis,  grands  yeux   se  retrouvent

Partout en Europe, peints ou  gravés sur les parois

Des cavernes, sculptées sur la pierre, l’os ou le bois.

 .

Des  milliers d’années  plus  tard,  elle  subjuguait

Les paysans du néolithique. Partout en Europe,

 .

On la découvre  peinte  sur  des céramiques ou

Gravée  sur les objets  quotidiens et  pendant

Près de 25 000 ans, les premiers Européens

Auraient ainsi voué un culte à cette déesse,

Symbole de nature, source de vie faisant

Naître les enfants, pousser les plantes !

cairn.info/magazine-sciences-humaines-deesse

 .

 .

Fond/forme 

 .

 Femme, sauvage, sauvageonne :

Une apparence que tu te donnes,

Tandis  qu’au fond  de ton cœur,

Il n’y a que de la bonne humeur

Mais comment la faire ressortir

Quand tu as peur  de t’engager !

.

Temps pour gagner ta confiance

Faudra  beaucoup, énormément,

Et une fois acquise, plus de limite

Il n’y aura que don et que pardon.

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Textuels et illustrations  >>