740 – Trop haut, trop bas, trop vite, trop lent !

Visuels t textuels >>

.

Trop haut, trop bas,

Trop vite, trop lent ;

Trop loin, trop près,

Trop ceci, trop  cela !

Pourquoi  si difficile,

Et pourquoi si délicat

De  devoir  s’accorder,

Durant  toute une vie !

.

Que l’on aime, aime pas

Qu’on soit mari, amant,

Lors, leurs beaux corps,

S’accorderont sur le  la,

Et sur le même tempo

Jusqu’à  jouer  un air,

Un bien joli morceau.

.

L’on entendra vibrer

Les sons  à l’unisson,

Mais quelques ratés,

Les feront s’arrêter :

Tout recommencer !

.

Est-ce  leur chanson,

Trop mal interprétée

Ou manque ces halos

Qui la font…résonner

D’harmoniques,  sons

Légèrement…décalés.

C’est  avec  les  cœurs,

Qu’on joue   en chœur,

Autant que par la voix,

Et les mains  qui voient

Exécuter des partitions,

Leur intime  suggestion,

De ne faire qu’un … cor.

.

Sortie, de  ses  entrailles

Lors  notre  voix  déraille,

Elle ne vaut rien qui vaille :

Lors nos violons ferraillent,

Lors nos écarts se font jour :

On n’entendrait plus qu’eux,

Finis, sont finis nos amours,

Chacun joue son propre jeu.

.

.

Extensions

 .

La tonalité et le tempo, d’un air, d’une chanson

Sont des fondamentaux de l’harmonie et du rythme.

Une mauvaise clé, une mauvaise cadence, et, les corps

S’accordent mal, ne s’accordent plus, il en est de même

Pour faire l’amour : certains sont si pressés de conclure,

Que l’autre n’a pas fini  d’accorder son violon, c’est fini,

Et d’autres retardent, ralentissent la montée suprême

Au point de la faire capoter : c’est un pic, d’un côté,

À escalader, c’est une grotte de l’autre, à explorer.

.

Le lapin magique d’Alice au pays des merveilles,

Tient l’horloge, compte les temps, sonne la fin

Des festivités : un soupir par ci, un autre par là,

Un dernier cri pour finir, langoureux point d’orgue.

Et puis un jour, voilà les instruments se désaccordent,

Grincements, cacophonies, couacs, canards et compagnie.

.

La musique s’en va, les chœurs se taisent, cors s’essoufflent,

Il faudra revoir ses partitions, réaccorder ses instruments,

Sur une note et une fréquence commune, or, cela prendra

Du temps, énergie, retrouvailles du plaisir sont à ce prix.

.

Et puis quand l’enchantement renait, la magie des sons

Crée nouvelle caisse de résonnance où amour se refait

En harmonie et en cadence, tant et si bien qu’on ne

Souhaite que rejouer la partition jusqu’à ce qu’il

Faudra changer d’air, de chanson, partenaire !

.

 «Trop, c’est trop» de toute façon, et en toutes situations,

Et «du pareil au même» quand ce n’est pas «pas assez»

Quant à être trop bas, trop haut, faire  vite ou trop lent,

Quand on est en avance, trop tôt et en retard, trop tard.

.

De quoi s’agirait-il, ici, au juste :

D’un parfait accord de deux corps

Ou au contraire : parfait désaccord !

.

Ressentir intensément l’instant présent

Et décupler une sensation de jouissance :

En bref, de  ressentir l’autre  en soi-même.

.

Mais la fusion  des deux corps, qui s’aiment,

Ne se résumerait pas en rapport à l’orgasme :

Sexe, corps, cœur, esprit, âme forment un tout.

.

La beauté d’un rapport se trouverait … avant tout,

Dans l’émotion, dans le partage dans l’écoute de soi,

De l’autre et non la finalité d’une fusion la plus totale.

.

.

Épilogue

.

De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l’Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.

***

Cette strophe écrite par Paul Verlaine

Parlant de mots, de rimes en fredaines

S’applique autant aux ébats amoureux,

Tantôt fortissimo et tantôt langoureux !

***

Personne ne vous apprend à faire l’amour

Cela s’avère une expérience au long cours,

Or avec autant de reculs que … d’avancées,

Patiemment, on finira toujours par arriver.

***

Certains pensent qu’il s’agit de performance

En tout, en longueurs, postures, endurances

Alors qu’il  n’en est rien, rien  de mécanique,

L’amour est autant psychique  que physique.

***

Trop haut … trop bas … trop vite …  trop lent :

On dit quelqu’un : viser dans le mille, voulant,

Et puis s’acharnant… le bon rythme, à trouver,

Ce qui ne rime à rien, il suffit de tout partager.

.

.

740 – Calligramme  

 .

TROP HAUT,

Trop haut, trop bas,

Trop vite, trop lent ;

Trop loin, trop près,

Trop ceci, trop cela !

Pourquoi  si difficile,

Et pourquoi si délicat

De  devoir  s’accorder,

Durant  toute une vie !

.

TROP BAS

Que l’on aime, aime pas

Qu’on soit mari, amant,

Lors, leurs beaux corps

S’accorderont sur le la

Et sur le même tempo

Jusqu’à  jouer  un air,

Un bien joli morceau.

L’on entendra vibrer

Les sons  à l’unisson,

Mais quelques ratés,

Les feront s’arrêter :

Tout recommencer !

.

TROP VITE,

Est-ce  leur chanson,

Trop mal interprétée

Ou manque ces halos

Qui la font…résonner

D’harmoniques,  sons

Légèrement…décalés.

C’est  avec  les  cœurs,

Qu’on joue   en chœur,

Autant que par la voix,

Et les mains  qui voient

Exécuter des partitions,

Leur intime suggestion,

De ne faire qu’un … cor.

.

TROP LENT 

Sortie, de ses entrailles

Lors notre voix déraille,

Elle ne vaut rien qui vaille :

Lors nos violons … ferraillent

Quand nos écarts se feront jour :

On n’entend guère plus qu’eux

Finis sont finis nos amours

Chacun joue son jeu.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

740 4

.

Un capteur quelconque,

Pour le niveau d’émotion

Pour variation d’humeur

Ou pour la température.

.

L’amour sexuel, chacun le sait

fait grimper toute température

celle des corps, en premier lieu,

sensations environnement après

Tant qu’on est en vert, on s’accorde ;

Dans jaune, on discorde :

Mais parvenu température rouge,

Vaudra mieux la réguler

.

Symbolique

 .

Selon la culture,

La température

Chaleur d’environnement,

D’un habitat,  de vêtements,

D’objets voire de la nourriture

Évoquerait différentes choses et

Favorise comportements sociaux.

.

Les mots «chaleureux» ou «froid»

Entre en des expressions telles que

«À mains froides   …    cœur chaud »

Montrent l’importance sous-jacente

De chaleur en interactions humaines.

.

Descriptif

 .

740 – Trop haut, trop bas, trop vite, trop lent !

  Alignement central   /  Titre  analogue  /   Thème  tempo

Forme courbe  /  Rimes égales    / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : température / Symbole de fond : anthropo

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

740 6

.

Tant qu’on est en vert, on s’accorde ;

Dans jaune, on discorde :

Mais parvenu température rouge,

Vaudra mieux la réguler

.

Symbolique

 .

Être frileux, ou avoir chaud, ou avoir de la fièvre.

Que signifie la notion de chaleur pour le corps ?

Régulation de la  température dite ressentie

De sensation de chaleur ou encore frilosité

Pointe, souvent, un conflit  de séparation,

Et voire de manque de chaleur humaine.

.

Si on estime  qu’on mérite  cette chaleur,

On la produira  nous-même, et, à l’excès.

Si au contraire, on ne s’en sent pas digne,

On ne produit chaleur manquante, on a froid.

santenatureetcie.com/temperature-du-corps-symbolique

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Notre température intérieure se maintient

À 37 degrés par mécanisme de régulation :

Chaleur excessive sera évacuée par sudation

Mais quand il s’agit d’assouvir désir sensuel,

Le désir élève le corps  en température haute.

.

Lors  on utilise, d’ailleurs, l’adjectif : « chaud »,

Pour désigner quelqu’un d’addict quant au sexe.

L’acte sexuel requiert un certain nombre d’efforts

Procure chaleur peau contre peau, sexe contre sexe

Jusqu’au plateau commun atteint lors de l’orgasme.

 .

.

Idem le temps avant et après

.

Scénario

.

Pour bien s’accorder, il faut déjà trouver le lieu d’un trésor caché,

et pénétrer ensuite l’entrée secrète qui conduit à un Graal d’Amour,

le lapin d’Alice nous fait savoir  que vous êtes en retard … trop tard !

 .

Visuels t textuels >>

728 – Amour est bien plus que pénétrations !

Visuels et textuels  >> 

.

Pénétration : le mot est lâché

À propos d’acte sexuel consenti

Mais qui pénètre l’autre, en réalité,

L’un, par corps et l’autre, par cœur.

Elle suppose un tel abandon de soi

Que sa fusion perd notion d’entre

Soi et l’autre, quel qu’il soit !

.

Quel regard pénétrant,

Dites-vous, à votre amant

Qui vous déshabille et autant

Le corps, le cœur, l’âme, esprit

Par  son  envahissement d’aimé.

 .

Imagine que tu sois loin de moi,

Qu’on se parlerait

De tout, et de …  n’importe quoi,

Ça nous distrairait :

Imagine, tu t’approches, de moi,

Et que je t’écouterais

À raconter tes peines et tes joies,

Ça nous rapprocherait.

 .

Après, un long  silence  viendrait

En gestes esquissés

Nos «si», et «rais», caresseraient,

En  fonds  inespérés

Et silence charnel, nous toucherait

En jeux très érotisés

Fermant nos yeux bouche mordrait

Nos  chairs  attisées.

 .

Il ne s’agirait pas tant, de conclure,

Que d’être à l’unisson

Lors, hussarde pénétration ne dure,

Le temps d’un son,

Il ne s’agirait pas tant, que j’y entre,

En cœur au ventre

Que de trouver l’énergie pour fendre

En corps si tendre.

 .

Puisqu’en jouir seul, serait te prendre,

Faut le comprendre,

Ton âme n’étant ni à violer ni à vendre,

A te gagner diantre,

Que jouir de toi,  ne serait pas que dire,

Entre deux soupirs,

Que tu es «bonne» et cela va sans dire,

Jusqu’à en mourir.

S’il fallait trouver fin de chanson,

Amour n’est pas

Simple pénétration :

Engagement

À vie.

.

.

Extensions

 .

La pénétration n’a rien d’une fin en soi,

Elle n’est qu’un moyen, un geste, un dialogue

Pour prouver à quelqu’un qu’on l’aime à ce point.

Enfin, c’est la théorie car en pratique, on peut

Pour  sûr, dissocier le sexe et le sentiment

Lors c’est à chacun de voir et d’assumer

Ses attentes et ses comportements.

.

On compare amour à une cigarette :

D’accord, les deux partent en … fumée,

D’accord les deux sont limités dans le temps,

D’accord les deux sujets dépendance, répétition,

Mais il n’existe rien d’autre  de si vulgaire

Et de si sublime pour un même acte.

.

Ce ne serait donc pas l’acte, en lui-même

Qu’il faut observer mais plutôt son intention.

La pénétration n’est pas exclusive à la femme :

Pour autant, y a-t-il amour : à vous d’en juger !

.

Un seul geste, un seul acte, un seul coït,

Ne peut ni combler, ni résumer, l’amour :

Si certains s’en prévalent, comme preuves,

C’est qu’ils n’auront pas assez de profondeur

Pour qu’ils en en estiment toute la grandeur !

Et en disant cela je ne dis pas qu’il ne faut pas,

De pénétration, simplement qu’elle ne suffit pas.

.

Faire l’amour… sans pénétrations,

Est-ce déjà, voire encore de l’amour

Faut-il consulter communauté LGBT,

Pour espérer avoir fin mot de l’histoire

.

On peut parler de pénétration des yeux

Tout autant que d’un esprit pénétrant,

Pénétration serait un mot embêtant :

Mot valise, où on met ce qu’on veut.

.

Sinon voire ce qu’on peut, mais là,

On dérive, on délire, on fantasme,

Cent façons d’atteindre orgasme,

Ce sera… sans façon… pour moi.

.

.

728 – Calligramme    

.

AMOUR SEXUEL

Pénétration : le mot est lâché

À propos d’acte sexuel consenti

Mais qui pénètre l’autre, en réalité,

L’un, par corps et l’autre, par cœur.

Elle suppose un tel abandon de soi

Que sa fusion perd notion d’entre

Soi et l’autre, quel qu’il soit !

N’EST PAS QUE

Quel regard pénétrant,

Dites-vous, à votre amant

Qui vous déshabille et autant

Le corps, le cœur, l’âme, esprit

Par  son  envahissement d’aimé.

PÉNÉTRATION

Imagine que tu sois loin de moi,

Qu’on se parlerait

De tout, et de …  n’importe quoi,

Ça nous distrairait.

Imagine, tu t’approches, de moi,

Et que je t’écouterais

À raconter tes peines et tes joies,

Ça nous rapprocherait.

Après, un long  silence  viendrait

En gestes esquissés

Nos «si», et «rais», caresseraient,

En  fonds  inespérés

Et silence charnel, nous toucherait

En jeux très érotisés

Fermant nos yeux bouche mordrait

Nos  chairs  attisées.

Il ne s’agirait pas tant, de conclure,

Que d’être à l’unisson

Lors, hussarde pénétration ne dure,

Le temps d’un son,

Il ne s’agirait pas tant, que j’y entre,

En cœur au ventre

Que de trouver l’énergie pour fendre

En corps si tendre.

Puisqu’en jouir seul, serait te prendre,

Faut le comprendre,

Ton âme n’étant ni à violer ni à vendre,

A te gagner diantre,

Que jouir de toi,  ne serait pas que dire,

Entre deux soupirs,

Que tu es «bonne» et cela va sans dire,

Jusqu’à en mourir.

S’il fallait trouver fin de chanson,

Amour n’est pas

Simple pénétration :

Engagement

À vie.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

728 4

.

La vis à l’infini est faite

Pour faciliter profondément

Toutes sortes de pénétrations,

Y compris consentantes, résistantes.

.

Qu’est-ce qui évoque plus une pénétration

Qu’une vis sans fin :

Or celle-ci ne peut jamais être une fin en soi,

Elle n’est qu’un moyen !

.

Symbolique

 .

Si l’on regarde, analyse

L’œuvre de Marcel Proust,

Il s’agirait là, d’une sexualité

Essentiellement masturbatoire,

Dont il semble et en cela tous les

Commentateurs  se  rejoignent :

Pénétration active ou passive,

Ait   été, radicalement, écartée..

.

Si l’on s’en tient à la définition

Psychiatrique, Marcel Proust

Fut un impuissant primaire,

«Jamais   parvenu   au    coït,

Ni avec une femme ni avec

Aucun partenaire sexuel.»

www.cairn.info/revue-francaise-

de-psychanalyse-2012-1-page-27

.

 

Descriptif

 .

728 – Amour sexuel n’est pas que pénétration    

  Alignement central    / Titre intercalé   Thème sexe

Forme spirale  / Rimes égales /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : pénétration / Symbole de fond : l’infini

.

Fond

Évocation 

.

728 6

.

Qu’est-ce qui évoque plus une pénétration

Qu’une vis à l’infini :

Or celle-ci ne peut jamais être une fin en soi,

Elle n’est qu’un moyen !

 .

Symbolique 

 .

Le signe de l’infini

Est un dessin représenté

Par un 8 allongé, légèrement

Étiré de chaque côté, ressemblant

Comme ouroboros à forme de serpent.

Le symbole proviendrait de la déformation

Progressive de la lettre grecque Omega

Utilisé symboliser l’extrémité sans fin.

Son aspect géométrique rappelle

Une courbe composée d’une ligne

Continue qui se croise au milieu.

Sur le plan étymologique,

Le mot Infini vient du mot latin

«Infinitus» ou  «sans limites ».

Pour immortel, quelque chose

Qui est fait pour durer toute la vie,

Quelque chose qui a commencé et ne peut se finir.

chakras-shop.com/spiritualite/signe-infini-significations-spiritualite

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Pénétration est, par définition,

Un mot fort, un mot  percutant,

Qui va jusqu’au fond,  en forme,

À la fois mouvant et émouvant !

.

Entre son fantasme et sa réalité

Il y a le  fameux passage  à l’acte

Comme de la coupe aux … lèvres

Comme du foret en bois ou fer !

.

Amour serait tout autre chose

Même s’il inclut pénétration

Uniquement pour le sexe

Non corps esprit, âme.

 .

.

Caresses sont plaisirs

.

Scénario

.

Les préliminaires sont des sources d’émotions,

pour toutes sortes de positions de pénétrations,

c’est après, qu’amour s’instaure, durable ou non.

 .

Visuels et textuels  >>

719 – L’un dans l’autre, amants ne s’entendent

Visuels et textuels >>

.

L’un dans l’autre, et, réciproquement,

Amants ne s’entendent pas toujours baisant

Quand l’un parle sexe et l’autre  parle sentiment

Comment savoir, lequel, des deux, aime vraiment !

Corps d’athlète, et rempli d’épithètes, d’un homme,

En pleine virilité,

Laisse augurer, pour la femme, le vrai plaisir d’être

Pour l’aimer.

Vrai que, lors la femme dira  connaître un homme,

En  largeur,

Cela voudra dire qu’elle aura testé   son sentiment,

Et s’est confiée

À lui, pour être sûre de son authenticité toujours

Meilleure défense  

Est de dire « non » à ses avances contre et pour,
Diktats d’amours.

Les yeux, la bouche,  l’extérieur,  d’une femme,

Son   apparence,

Laisse augurer chez l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand l’homme dit connaître  une femme,

Hors   hauteur,

Ça signifie qu’il a pratiqué son intimité,

En profondeur.

Pour éteindre tous désirs en flammes

A l’intérieur,

Leur corps devient seul oriflamme

Du bonheur. 

L’un en l’autre, réciproquement,

Belle redondance,

S’il en est, mais  bien  inutile,

Et bien cependant,

Pas souvent facile à utiliser

Profondeur de l’un

Qui n’atteindrait, jamais,

Intensité de l’autre.

Tant l’un  dans   l’autre,

Et réciproquement,

 Amants ne s’entendent,

Ou bien   se distendent,

Lors de trouble étrange

Qui jetterait un doute,

Sur l’accord parfait

Qui sans cesse

Renaitrait,

Ou faux

Vrai

V

.

.

Extensions

 .

L’un dans l’autre,

Et réciproquement,

Amants se cherchent,

Amants     se trouvent,

Amants s’entrouvrent,

Amants s’éprouvent,

Se quittent et se

Retrouvent,

Ne projettent

Que bénéfice du sexe

Et lorsqu’il s’étiole font

Un complexe de vide,

Et voire    de néant.

Perte du contact,

Perte du désir :

Substitutions

Des plaisirs !

.

L’amour d’un couple d’amants a donné lieu à nombre de tableaux,

Tous expressifs, voire interprétatifs, dans nombre des plus beaux

Et que ce soit dans l’adoration de la chair de l’amante au repos

Ou dans l’aveuglement d’un baiser …  des plus fantomatiques

Ou dans l’abandon d’un corps dénudé en nature bucolique.

L’amour ne souffre pas d’être traité de manière vulgaire,

Ne se contente pas davantage du sentiment de plaire,

Il se veut être : le sujet, et l’objet, de tous les soins,

Transpire d’un tableau comme un pur parfum.

.

Les amants par ci, les amants par-là,

Amants font ceci … amants font cela,

Mais que veut dire amants, en ce cas,

Sont-ils autant spirituels  que sexuels

Durent-ils le temps qu’une hirondelle

Que se passe-t-il, après lui, après elle.

.

Il y aurait comme une faille ou fêlure

Pour que jamais toute la vie ne dure,

Tel bel élan ayant fait, d’eux, amants,

Or, sur des socles inconnus, baisant.

.

Lentement, insidieusement, le doute

S’instaure sur intention, projection,

De l’un sur l’autre, réciproquement,

Jusqu’à ce que, plutôt brutalement,

.

La vérité éclate, faute d’authenticité

Je croyais que … tu m’avais dit que,

Et voilà que… l’on se serait trompé.

.

.

719 – Calligramme

.

L’UN DANS L’AUTRE

L’un dans l’autre, et, réciproquement,

Amants ne s’entendent pas toujours baisant

Quand l’un parle sexe et l’autre  parle sentiment.

Comment savoir, lequel, des deux, aime vraiment !

AMANTS NE

Corps d’athlète, et rempli d’épithètes, d’un homme,

En pleine virilité,

Laisse augurer, pour la femme, le vrai plaisir d’être

Pour l’aimer.

Vrai que, lors la femme dira  connaître un homme,

En  largeur,

Cela voudra dire qu’elle aura testé   son sentiment,

Et s’est confiée

À lui, pour être sûre de son authenticité toujours

Meilleure défense  

Est de dire « non » à ses avances contre et pour,
Diktats d’amours.

Les yeux, la bouche,  l’extérieur,  d’une femme,

Son   apparence,

Laisse augurer chez l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand l’homme dit connaître  une femme,

Hors   hauteur,

Ça signifie qu’il a pratiqué son intimité,

En profondeur.

Pour éteindre tous désirs en flammes

A l’intérieur,

Leur corps devient seul oriflamme

Du bonheur. 

L’un en l’autre, réciproquement,

Belle redondance,

S’il en est, mais  bien  inutile,

Et bien cependant,

Pas souvent facile à utiliser

Profondeur de l’un

Qui n’atteindrait, jamais,

Intensité de l’autre.

Tant l’un  dans   l’autre,

Et réciproquement,

S’ENTENDENT

 Amants ne s’entendent,

Ou bien   se distendent,

Lors de trouble étrange

Qui jetterait un doute,

Sur l’accord parfait

Qui sans cesse

Renaitrait,

Ou faux

Vrai.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

719 4

.

Plume de stylo encre

Probablement,

Pour composer une écriture

 Assurément !

.

Le pouvoir de pénétration d’une plume

Peut être direct et  fort :

Je parle de l’esprit et du cœur mais cela

Transpire dans cette écriture !

 .

 Symbolique 

.

La plume, le stylo,

Symboles du pouvoir ?

Les chefs d’État font-ils

Partie d’un club

Qui vise le contrôle

Du monde par le stylo ?

Y aurait-il dans le stylo

Un pouvoir  puissant

Que  le   peuple   ne

Soupçonne pas ?

Serait-ce-ce un

Objet de culte,

Un accessoire

Un peu Sexuel

Représentation

Du plein pouvoir ?

slate.fr/tribune/38883

/stylo-symbolique

.

Descriptif

.

719 – L’un dans l’autre, amants ne s’entendent

  Alignement central   /     Titre externe    Thème  sexe

Forme  pointe / Rimes variées  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : plume  / Symbole de fond : écriture

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

719 6

.

Le pouvoir de pénétration d’une plume

Peut être direct et  fort :

Je parle de l’esprit et du cœur mais cela

Transpire dans cette écriture.

 .

Symbolique 

.

On considère qu’une simple écriture

Peut  évoquer  un sens  complètement

Différent selon la  manière présentée.

.

Toute connotation  ferait appel à des

Références culturelles, une émotion,

Voire même une histoire commune.

.

Par exemple, il est aisé d’apporter

Une connotation asiatique à une

Typographie  faisant  des tracés

À la fois plus vifs plus courbés.

.

De la même manière, on peut

Sentir l’orient  en observant

De la  calligraphie  arabe.

.

Mais alors  comment  créer

Ce caractère et cette connotation

Pour une typographie numérique ?

graphiste.com/blog/signification-typographie

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

L’écriture ne manque jamais de caractères,

S’assemblant à bon escient formant des mots

Qui eux-mêmes constituent des paragraphes

Avec un sens propre, figuré, métaphorique,

Dans un style littéraire, et voire poétique.

Hors de toute typographie systématisée

L’écriture se fait dessin en calligraphie

Il y en a ainsi pour tous les amants.

 .

.

Tremper sa plume dans l’encrier

.

Scénario

.

Interprétation d’un amour romantique, passionnel.

Interprétation d’un amour, fantasmé, et lors, irréel.

Interprétation d’un amour bucolique : plus naturel.

.

Visuels et textuels >>

718 – Nous nous sommes croisés, de très près

Visuels et textuels >> 

.

Nous  nous  sommes  croisés,

Un  bref  instant … ignorés,

Et  puis, enfin  reconnus,

Temps, pour souvenirs,

De mieux se rétablir.

C’est  fou  ce  qu’en

Un simple éclair,

Flots d’images

Reviennent 

À l’esprit.

 

Émotions 

En surnagent

Mais  l’on ne sait

Trop  quoi  se   dire,

Pour bien  s’entretenir

Ou balbutier des mots,

Comme regret en trop,

Bien connus de près

Ne parle exprès.

 

Nous  sommes  croisés,

De très près, à nous frôler :

J’ai senti le soyeux de ta peau

Me donner frissons dans le dos.

Tes yeux hagards   m’ont scruté,

Ton regard, s’est porté vers moi :

J’étais un pur inconnu… pour toi,

Toutefois tu t’es mise à me parler.

 

Alors … quand  je me suis retourné,

Comme te sentant  je me suis arrêté,

Je ne saurais dire ce  qui s’est passé,

Mais un éclair, en nos yeux, a zébré,

Et tu t’es sortie, de ton rêve éveillé,

Je suis venu vers toi  l’air étonné

Que  tu  ne  m’aies  reconnu,

Souvenir de moi, perdu.

 

Et, ta vue m’a rappelé,

Que je t’avais aimé,

Parfum   soudain

Regard  divin,

Tes     yeux

Ébahis

Is.

.

.

Extensions

Riant de ce que nous avions fait ensemble

Hurlants comme fous, grands adolescents,

Pour qui le Monde n’existe  que  passant :

Pour qui l’instant vécu est encore grand.

.

Grand  comme un trou béant, aspirant

Tous nos élans, tous  nos  tourments,

Tous nos néants, de ne pas être fixés

Encore, d’avoir aimé en chaque port.

.

Port où  nous  nous  retrouvions  seuls,

Secrètement pour nous livrer sauvagement,

Sans souci des conséquences, sans précaution,

Sans même raison, pour maximiser l’émotion.

.

Émotion de faire nos premières armes sur un

Chemin qui nous mène à d’autres rencontres

Où niais, et niaises,  nous ne le serions plus :

Bien au contraire, étions tout à notre baise !

.

Baise : première, premier, ne s’oublient  pas,

Tant l’empreinte est forte  et durable, surtout

Quand elle est adorable et porte à poursuivre,

Ni dégouté ni trompé, jusqu’à en être saturé.

.

Saturés, c’est en commun accord avons mis

Fin à nos ébats et que nous nous sommes

Jurés de ne jamais nous revoir. Oui

Mais  le hasard, un tel contrat,

Jamais il ne l’honorera !

 

Combien de personnes se croisent de très près, par hasard

 Et, sans savoir  pourquoi, en le faisant, s‘adresse  un regard :

Fugitif, éphémère mais curieux, intéressé, chargé de mystère

Qui sait si, pendant une seconde, ils n’ont partagé une sphère,

En laquelle, ils avaient mis  les mêmes parfums d’atmosphère,

Inconnus, certes mais tellement proches à tous points de vue,

Qu’on se reconnaisse parmi mille si on se croisait à nouveau.

.

L’indifférence ne tient pas devant

Souvenir de la preuve, du constat

Que l’on s’est aimé et puis séparé

Quand brutalement l’inconscient

Vous remet en selle, une intimité

Que l’on croyait, à jamais, oublié.

.

Cela marche beaucoup moins lors

Il n’aura été question que de sexe

Mais quand on y a mis son corps,

Son cœur, son esprit et son âme :

L’empreinte en devient indélébile

Ce d’autant qu’elle a été juvénile.

.

.

Épilogue

*

Se croiser au hasard des rues,

N’est pas rencontre convenue,

Même si l’on s’est bien connu,

Comme souvenir on est perdu.

 

**

Quelqu’un autre, cela peut être

Mais elle croit  me reconnaitre,

Elle s’est retournée : elle, facile.

De se tromper, à deux, difficile !

 

***

 

Son sourire,  de  ses  yeux  doux,

M’a  fait  revivre  passé  heureux,

Qui  m’avait  rendu  presque fou,

Lors aujourd’hui un peu nerveux

 

****

 

J’y ai cru, qu’elle  allait  s’arrêter,

Mais   après  qu’elle  ait …  hésité,

Elle a détourné  regard  et  visage

Et s’est remise  sur  son passage !

 

*****

 

Ce fut, pour moi, comme un éclair

Souvenir remonte  en fond de l’air,

Son parfum  me revient, c’est clair,

Demeure, en moi, comme mystère.

 

******

 

Son prénom, son nom…son adresse,

Sont restés, longtemps,  en mémoire,

Je n’ai pas saisi l’occasion de la revoir,

S’étant évanouie en vitesse, délicatesse.

 

*******

 

Je ne me rappelle  quand on s’est distanciés,

Est-ce mieux ainsi, elle ne m’était pas destinée

C’est l’histoire d’un rêveur, d’un idéaliste obstiné

Qui, une fois de plus, a pris son désir, pour réalité..

.

 

.

718 – Calligramme 

.

Nous  nous  sommes  croisés,

Un  bref  instant … ignorés,

Et  puis, enfin  reconnus,

Temps, pour souvenirs,

De mieux se rétablir.

C’est  fou  ce  qu’en

Un simple éclair,

Flots d’images

Reviennent 

À l’esprit.

.

É-mo-ti-ons 

Surna     S        gent

Mais l’on    O         ne sait

Trop quoi      M          se  dire,

Pour bien        M      s’entretenir

Ou balbutier   E          des mots,

Comme reg   S     ret en trop,

Bien connus    de près

Ne parle   exprès.

.

Nous  sommes  croisés,

De très près, à nous   C   frôler :

J’ai senti le soyeux      R      de ta peau

Me donner frisson       O         dans le dos.

Tes yeux hagards        I          m’ont scruté,

Ton regard, s’est       S        porté vers moi :

J’étais un pur         É     inconnu… pour toi,

Toutefois tu          S   t’es mise à me parler.

.

Alors … quand      D     je me suis retourné,

Comme te sentant    E     je me suis arrêté,

Je ne saurais dire ce    *    qui s’est passé,

Mais un éclair en nos   P   yeux a zébré,

Tu t’es sortie, de ton   R  rêve éveillé :

Je suis venu vers toi  È l’air étonné

Que tu ne m’aies     S   reconnu,

Souvenir de moi est perdu.

.

Et, ta vue m’a rappelé,

Que je t’avais aimé,

Parfum   soudain

Regard  divin,

Tes     yeux

Ébahis

Is.

 

.

.

Forme

Réduction.

.

.

Évocation 

.

718 4

.

Ca ressemblerait assez

À un beau pendentif

Avec une belle attache

Pour  sa mise en cœur.

.

Un pendentif et un cœur se conjuguent

exerçant parfois mouvement balancier

en vue de procurer encore plus d’éclats

d’existence tant à la forme qu’on fond.

.

Tes yeux, aussi verts, étincelants et profonds,

Que ce pendentif:

Ont soudain fait resurgir en moi tout le passé

De notre cœur !

.

Symbolique

 .

Les tendances et les modes

Sont parfois vite oubliés, remplacées.

Pourtant il y a nombre de bijoux qui durent,

Des petites choses qui resteront comme un

Pendentif, avec une émeraude verte.

Leur symbolique nous permettrait

De nous retrouver et tant dans

Notre personnalité que dans

Notre manière de vivre

Que d’être et de

Méditer

VV

hernandizjose.coma-

symbolique-des-bijoux

.

Descriptif

.

718 – Nous nous sommes croisés de près 

  Alignement central   /  Titre serpente  Thème  rencontre

Forme  en ovale  /   Rimes égales   /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : pendentif  / Symbole de fond : cœur

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

718 6

.

Tes yeux, aussi verts, étincelants et profonds,

Que ce pendentif:

Ont soudain fait resurgir en moi tout le passé

De notre cœur !

.

Symbolique 

.

Le cœur, ou “viscère rouge en forme de cône

Renversé, situé dans le médiastin, constitué

D’un muscle (le myocarde) doublé de deux

Tuniques (la péricarde, et l’endocarde) …”

.

Selon sa définition médicale, a, toujours,

Été l’objet de mythe, avant même d’être

Associé à l’amour lors le cœur humain

Symboliserait, du fait  de sa position

Supposée  dans  un corps  humain,

Le siège  de  tout  son organisme.

Lorsqu’une   médecine  se   fera

Science  du cœur,  expression

Consacrée  trouvera  sens :

Le  cœur bat la chamade

À la vue de l’être aimé

Ou se brise lors de

Grand chagrin

Amoureux

Regret

V.

franceculture.fr/histoire/

le-coeur-organe-de-lamour

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Se croiser du regard entraine parfois

Mouvements, ébranlements,  du cœur.

La surprise déclenche certaine émotion

Que l’on n’est pas à même de contrôler

Et qui bien que sans paroles ni gestes

Échangés, continuera à nous titiller

Comme si fenêtre ne s’était fermée

Ou voire un parfum, évaporé !

 .

.

Croisés de bien près

.

Scénario

.

Nous étions seuls et dans un même espace, mais dos à dos

je t’ai retrouvé ensuite, toujours seule, au quai du métro

le soir, en boite, tu t’es retourné,  vers moi … surprise !

 .

Visuels et textuels >> 

717 – Matin, au réveil, je pense à toi, merveille

Visuels et textuels  >>

.

Le matin au moment du réveil

Je me  tourne  vers toi, absente !

Dans un premier temps : frustré,

Puis, dans un second,   émerveillé.

.

Émerveillé de penser déjà bien  à toi

Tu sois l’objet  de mon  premier désir,

Tout comme de mon dernier…soupir,

Avant de m’endormir  dans tes bras.

.

Suis-je victime de mon imaginaire,

Lors qu’en réciprocité, rien à faire,

Je ne peux empêcher l’inconscient

Penser à toi matin, tout le temps.

.

Dès le matin … dès mon réveil,

Je pense  à toi,  oh  merveille,

Et  mon corps,  hypertendu,

Se jette   en tes  bras… nue.

Lors m’y glisse, en pensée

Afin de mieux   m’enivrer

De torpeur qui m’envahit

À ne pouvoir sortir du lit.

.

J’y suis, et j’y reste encore

Et, mon cœur bat plus fort,

Quand tes jambes s’écartent

Sang, en tes joues, s’écarlate.

.

Ce n’est plus tant ton … corps

Que je pénètre, que ton esprit,

Que je fenêtre et qui me réjouis

Par tes yeux en parfaits accords

Cette nuit, noire  sous  tes voiles,

Au creux  de  ta claire… obscurité

Tes yeux brillent comme les étoiles,

En reflets de ton âme…  intériorisée.

.

Je communie avec toi,   toute en éveil,

De tous tes sens   de  toutes tes pensées,

Nos imaginaires auparavant bien séparés

Deviennent superposés à nuls autres pareils

Ce n’est pas  que toi,  en femme,  à mes côtés.

.

C’est tout un monde ou  univers tout un cahier,

Que j’explore et à loisir  et en cette belle matinée

Tout, de fond en comble,  et de la cave au grenier,

Et, avec la douceur  de ton corps, des plus apaisés,

Sans parler parfum de ta peau finement pigmentée.

.

Avec toutes les lueurs de tes regards, des plus étonnés,

Qui m’accompagnent, dans mes délires, durant éternité,

Eternité de cet instant rêvé, où je pense à toi réveil sonné

Remerciant le ciel que tu sois là entre mes bras bien serrée

À tenir ma main pour qu’en tous points, l’on se sente bien !

.

.

Extensions

 .

Seule, dans mon grand lit douillet aux draps bien blancs

Je me réveille après une bonne nuit de sommeil en rêvant

Que tu es là, à mes côtés comme mon merveilleux amant,

Voilà que mon espoir s’évanouit : fausse réalité troublante

Et je me retrouve, en état de blues complet en m’habillant.

.

Le matin, après une bonne nuit de sommeil,

De quelques rêves, émaillée

Je me réveille, te sens, te touche à mon coté

Et je me dis « merveille »

.

Il y a, dans l’air, comme parfum d’érotisme,

Et je me blottis contre toi

Te désirer fort ne serait pas un euphémisme

Tant mon désir me festoie

.

Tu bouges un peu, tu tressailles et tu bailles

Tu n’ouvres pas les yeux

Que les bras pour m’accueillir sans bataille

En ton corps, en creux !

.

Je me pince afin de savoir si je ne rêve pas

Sensations sont bonnes

La journée à deux débute sans un faux pas

Si plaisir, on s’adonne.

.

.

717 – Calligramme   

 .

Le matin au       M        moment du  réveil

Je me  tourne       A       vers toi, absente !

Dans un premier      T      temps : frustré,

Puis, dans un second,     I        émerveillé.

Émerveillé de penser déjà  N    bien  à toi

Tu sois l’objet  de mon    * premier désir,

Tout comme de mon R    dernier soupir,

Avant de m’endormir   É  dans tes bras.

Suis-je victime de mon  V  imaginaire,

Lors qu’en réciprocité    E rien à faire,

Je ne peux empêcher   I  l’inconscient

Penser à toi, matin  L  tout le temps.

.

*******************************

.

Dès le matin       J      dès mon réveil,

Je pense à toi,      oh  merveille,

Et  mon corps     *     hypertendu,

Se jette  en tes        bras, nue.

Je  m’y glisse,      E   en  pensée

Afin de mieux     N   m’enivrer

De torpeur qui     S  m’envahit

À ne pouvoir sor   E   tir du lit.

.

J’y suis, et j’y reste  À     encore

Et, mon cœur bat   *   plus fort,

Quand tes jambes   T  s’écartent

Sang en tes joues,  O  s’écarlate.

Ce n’est plus tant   I  ton … corps

Que je pénètre,    *  que ton esprit,

Que je fenêtre    M   qui me réjouis

Par tes yeux en   E   parfait accord !

Cette nuit noire  R      sous tes voiles,

Au creux  de  ta   V      claire obscurité

Tes yeux brillent  E  comme les étoiles,

En reflets de ton     âme  intériorisée !

Je communie avec  L  toi,   toute en éveil,

De tous tes sens   de  L   toutes tes pensées,

Nos imaginaires aupa E ravant bien séparés

Deviennent superposés * à nuls autres pareils

Ce n’est pas  que toi,    en femme,  à mes côtés,

C’est tout un monde ou   univers tout un cahier,

Que j’explore et à loisir   et en cette belle matinée

Tout, de fond en comble,  et de la cave au grenier,

Et, avec la douceur  de  ton corps, des  plus apaisés,

Sans parler parfum de ta peau, finement pigmentée.

.

Avec toutes les lueurs  de tes regards, des plus étonnés,

Qui m’accompagnent, dans mes délires, durant éternité,

Éternité  de cet instant rêvé, où je pense à toi réveil sonné

Remerciant le ciel que tu sois là entre mes bras bien serrée

À tenir ma main pour qu’en tous points,  l’on se sente bien !

.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

717 4

.

Un vase, forme conique

Avec un bouquet de fleurs

Ou cheminée … surmontée

De fumée hallucinogène.

.

Qu’y aurait-il de commun

Entre une femme et un tel vase :

Rien, en apparence, sauf si on la voit

Dans une sorte de fumée hallucinogène

.

Symbolique 

 .

Par sa forme,

La grâce de ses courbes

Et sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin.

Son creux évoque celui de l’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides vitaux.

.

Dans l’art et les rites funéraires, le vase

Apparaît emblème de la vie éternelle.

Celui de  la coupe  est lié à deux

Connotations    opposées :

.

Positive,   elle  est  signe

D’un destin favorable

Dont  elle  préfigure

Les agapes, donc la

Joie et le plaisir.

heraldie.blogspot.

com/2014/08/le-vase

.

Descriptif

.

717 – Le matin, réveil, je pense à toi, merveille 

  Alignement central   /  Titre serpente  Thème  pensée

Forme  conique  /   Rimes égales   /   Fond éloigné de forme

Symbole de forme : vase    /   Symbole de fond : hallucinogène

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

717 6

.

Qu’y aurait-il de commun

Entre une femme et un tel vase :

Rien, en apparence, sauf si on la voit

Dans une sorte de fumée hallucinogène

.

Symbolique 

.

Un hallucinogène est

Substance chimique psychotrope

Qui induirait des hallucinations,

Des altérations des perceptions,

De la cohérence de la pensée et

De la régularité de l’humeur,

Et sans causer de confusion

Mentale persistante ou de

Troubles de la mémoire.

.

Cet état, appelé état modifié de conscience

Par certains usagers, peut être atteint par

La démarche spirituelle, méditation ou art.

Fr.wikipedia.org/wiki/Hallucinogene

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

On n’en finirait donc jamais de rapprocher

Le vase de la femme tant en courbe, en creux

Ou, qu’en contenu, qu’il reçoit et qui fermente.

À vrai dire, après libération, ce symbole, éculé,

Aurait, pour beaucoup d’humains, fait  long feu !

.

Nombre d’entre elles sont encore  en sa tourmente,

C’est à croire que leur feu qui dormait sous la cendre

Se sera soudain réveillé pour un long combat d’égalité.

.

Mais si l’on fait référence au même poème, numéro 694

On voit que c’est la lampe qui l’emporte sur le vase passif.

Comme quoi avec même texte ou presque, on peut changer

De forme, de symbole, de vision globale de la femme actuelle

Tout est une question d’éducation, de culture, d’interprétation.

 .

.

Penser amour quelqu’un

.

Scénario

.

Lumière blanche, draps blancs, pensée qui me branche,

une pensée si forte, si hallucinante, que je te crois à côté,

et au final, je me retrouve à m’habiller, seule et frustrée !

.

Visuels et textuels  >>

716 – Quand je pense à toi : téléportée, je te vois

Visuels et textuels  >>

.

À chaque  fois,  je pense à toi

Comme téléportée, je te  vois.

Ça rime, assez  bien,   ma  foi,

Avec un grand cœur  qui   bat

.

Pour toi, de  te voir   présente,

Même  si  pour de vrai absente

De cette  image  je me contente,

Tant elle est pour moi, éloquente.

.

Mon cerveau, seul, se représentera

Le fruit de nos rencontres   intimes

Et  je me  dis, lors  tu m’es présente,

Notre  plaisir  sera des plus  ultimes.

.

Quand je pense à toi,

Téléportée,  je te vois

En pensée,  en corps,

Tu ne me croiras pas.

.

Émotions remontent,

Sensations  abondent

Et  je baise  tes lèvres,

Et ta bouche en fièvre.

.

Plus je descends et plus

Tu t’abandonnes et au vu

De mes caresses, données

Sur tes seins … encapsulés

.

Par mes mains qui dansent,

Et sur ton ventre en cadence

Oserai-je  plus loin, plus bas :

Rideau : l’on n’en parlera pas !

.

Tant ton image en moi reste pure

Même si écornée par temps durs,

Lors même, partagée entre jours,

Elle restera la première toujours.

.

.

Extensions

 .

Voir une image virtuelle qui bouge

Devant soi, serait-ce vraiment voir

Ou seulement tromper son cerveau,

Projeter imaginaire en fausse réalité !

.

À vrai dire, la frontière est ténue entre

Ces deux faces d’une seule et même réalité,

La partie virtuelle n’est qu’autre interprétation

Du réel parmi tous les possibles : l’esprit humain

À ceci de particulier sur celui des autres animaux

Sa capacité à se projeter images qu’il fabrique

En son cerveau et qui n’ont aucun support

Physique, aucune substantialité.

.

Peut-être est-ce là l’explication des apparitions

Des fantômes et autres objets en environnement :

Ce ne serait que simple et banal artefact du cerveau.

De toute façon, il me faut bien créer  une telle  image

Intériorisée pour reconnaitre quelqu’un de familier :

Ce que n’ont plus les malades atteints d’Alzheimer

Qui ne reconnaissent plus leurs proches.

.

On peut jouer à transformer cette image

Comme un peintre, un dessinateur, un caricaturiste

Mais il en restera toujours l’esprit, caractère, identité,

Le minimum pour la reconnaitre parmi des milliers.

..

Quand l’on entre dans un virtuel

Que certains nomment métavers

Service en ligne,  donnant accès à

Simulation espaces 3D temps réel,

Restant partagées  et  persistantes,

Pour vivre expériences immersives.

.

Bien, bien,  on est bluffé … d’accord,

Mais ce n’est pas de la téléportation.

Moi je me sens davantage transporté,

Fermant les yeux : je te sens, je te vois,

Devant moi, c’est  comme si tu étais là !

Il n’y aurait rien de magique, là-dedans,

Rien que la force de ma pensée intérieure

Parce que je te connais, me projette en toi.

.

.

716 – Calligramme  

 .

J

À  chaque  fois,      E         je pense à toi

Comme télépor        *         tée, je te  vois.

Ça rime, assez           P         bien,   ma  foi,

Avec un grand           E         cœur  qui   bat

Pour toi, de  te           N         voir   présente,

Même  si  pour            S          de vrai absente

De  cette  image,         E          je me contente,

Tant elle est pour         *          moi,  éloquente.

Mon cerveau seul,       À          se  représentera

Le fruit de nos ren       *          contres   intimes

Et  je me  dis, lors         T         tu m’es présente,

Notre  plaisir  sera       O        des plus  ultimes.

 I

.

********************

********************

.

Quand je pense à toi,

Téléportée, je te vois

En pensée, en corps,

Tu ne me croiras pas.

.

Émotions   T remontent,

Sensations  É   * abondent.

Et je baise     L       T tes lèvres,

En ta bouche    É             E   en fièvre,

Plus je descends  P                *           et plus,

Tu t’abandonnes   O                V            et au vu

De mes caresses   R              O          données

Sur tes seins        T            I      encapsulés

Par mes mains    É      S   qui dansent

Et sur ton ventre  E  *   en cadence

Oserai-je plus loin  *   plus bas.

Rideau, on n’en parlera pas,

.

Tant ton image en moi reste pure

Même si écornée par temps durs,

Lors même, partagée entre jours,

Elle restera la première toujours.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

716 4

.

Un voile pudique, en haut,

Sur usage d’encrier, en bas.

Ou encore une lampe à pétrole

Ou un sas de téléportation.

.

Aucun lien direct entre encrier, téléporté

l’on peut tremper son doigt dans l’encrier

pour écrire nom sur papier, pas son corps

la forme ne correspondra pas avec le fond.

.

Encrier n’a pas d’intention ;

C’est juste support pour écrire

Mais lors écrivant à quelqu’un

On se téléporte : un peu vrai !

.

Symbolique 

 .

Un encrier est

Un récipient permettant

De contenir de l’encre dans

Un endroit pratique pour la

Personne qui écrit avec

Une plume ou un stylo-.

.

Les encriers sont sans doute

Devenus répandus dès la diffusion

De l’écriture à l’encre, manifestant

Une grande diversité de formes et

De tailles  tout  en  partageant

Comme point commun une

Ouverture réduite pour

Limiter l’évaporation.

wikipedia.org/wiki/Encrier

.

Descriptif

 .

715 – Retrouve ta peau, retrouve tes formes

  Alignement central   /  Titre droit  Thème  perception

Forme  losange  /   Rimes égales   /   Fond éloigné de forme

Symbole de forme : encrier    /   Symbole de fond : téléportation

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

 .

Encrier n’a pas d’intention ;

C’est juste support pour écrire

Mais lors écrivant à quelqu’un, 

On se téléporte : un peu vrai !

.

Symbolique 

.

  On nomme téléportation

Le  transfert  d’un corps  dans

L’espace sans parcours physique

Points intermédiaires départ  arrivée.

Le thème a été traité tant en science-fiction

Ainsi qu’en physique ou en parapsychologie.

.

Nous n’avons aucune raison de croire que

La téléportation de tout  être humain

Préserverait  la continuité  de  la

Conscience en nouveau corps.

Wikipédia : téléportation

 .

 .

Corrélations

 .

Liens fond/forme 

On peut se téléporter par télécommunication,

Ses paroles, ses écrits ses images, ses vidéos,

Pas son corps, même si  on peut  le figurer,

Par image 3D projections holographique.

Et si certains  prétendent communiquer,

Par télépathie, transmission de pensées

Ce ne sera que par ondes, non matière

L’esprit en est bien capable d’émettre,

Encore faudra-t-il un bon récepteur.

 .

 .

La téléportation ?

.

Scénario

.

Un moyen simple de se téléporter en espace de réalité virtuelle,

nul besoin de cabine téléportation telle qu’utilisée dans une série,

où il y a les hologrammes comme ersatz numérique de soi-même !

.

Visuels et textuels  >>

715 – Retrouvailles de ta peau et de tes formes

Visuels et textuels  >>

.

Ma main accompagne ma vue,

Tes courbes, tes mouvements

Le sucre de ta peau laiteuse,

En la bouche, sa saveur bue.

.

Ma main se souvient du grain

De ses ronds … et, de ses creux,

Et rien que de te toucher des yeux,

Apaise en moi tout ce qui est chagrin.

.

Retrouvailles de ta peau et de tes formes,

Quelques heures avant  ’angoisse, l’horreur,

Peur, peut-être, de ne pas être  à  la  hauteur,

Prédicteur peut-être d’un manque de chaleur.

.

Premier contact  de ta peau fraiche, de pèche,

Une mèche  de  sensation  m’enflamme, lèche,

La mienne, un  peu  plus  rêche, plus  revêche.

.

Ma main colle  à ta peau, comme  à ton  âme,

Douce  chaleur  l’atteint  comme  en flammes,

Et  comme  pour épouser  plus qu’une femme.

.

Point besoin  de lumière  pour  me réassurer,

Entre mille, à ton parfum,  je te reconnaitrai,

Je sais que c’est toi, je te  couche,  à t’aimer.

.

Tes formes s’épanouissent sous ma caresse,

Prennent  poses, intimant mes tendresses,

En massages érotiques qui   te   déstresse.

.

Entre mes jambes, les tiennes   s’ouvrent,

Tandis que, de mille baisers, je te couvre

Parlant d’amour que tu me prou  S  ves

Et c’est là, qu’enfin, que je te trouve.

.

.

.

Extensions

 .

En un

Beau lieu

Quelque part,

Des   musiques,

Des  voix  célestes,

Nous  berceraient  de

Leurs accents bienveillants

Et l’on décolle pour un voyage

Aux confins de notre imaginaire

Sans même faire un seul pas

Pour quitter un tel lieu :

Ta peau, tes formes

Dansent devant

Mes …  yeux,

Pénètrent

 En eux.

.

La forme et les formes, les courbes et les creux,

Tous les endroits, tous les touchers, désireux :

Une danse des mains pour l’un, et pour deux,

Et qui en feront des corps et cœurs heureux

Et qui les mèneront, peu à peu, aux cieux.

.

Achèvement

#

Un homme, une femme,

Qui perdrait ses formes,

N’attirera plus le regard,

Sauf pour les ostraciser !

.

Les formes sont soumises

À des modèles récurrents,

Dont on n‘est pas conscient

Notre émotion envahissant !

.

Ainsi feront les lignes courbes,

Attirant bien des regards fourbes

Si elles se mettent en mouvements

Jusqu’à jouir de ses contentements.

.

Mais dans l’ombre de ta clarté lunaire

Ta peau, tes formes, paraissent extraire

Comme un parfum léger, extraordinaire,

Dont corps et âme, ne peux s’y soustraire.

.

.

715 – Calligramme

 .

Ma main accompagne ma vue,

Tes courbes, tes mouvements

Le sucre de ta peau laiteuse,

En la bouche, sa saveur bue.

Ma main se souvient du grain

De ses ronds … et, de ses creux,

Et rien que de te toucher des yeux,

Apaise en moi tout ce qui est chagrin.

                                                            R

Retrouvailles de ta peau et de tes for  E   mes,

Quelques heures  avant  l’angoisse   T   l’horreur,

Peur, peut-être, de ne pas être      R   à la  hauteur,

Prédicteur peut-être d’un man    O     que de chaleur.

Premier contact de ta peau       U        fraiche de pèche

Une mèche de sensations         V        m’enflamme, lèche

La mienne, un peu plus           E         rêche, plus revêche.

Ma main colle à ta peau         *           comme  à  ton  âme,

Douce chaleur l’atteint,          P           comme en flammes,

Et comme pour épouser         E            plus qu’une femme.

Point besoin de lumière         A            pour me réassurer,

Entre mille, à ton parfum      U            je te reconnaitrai,

Je sais que c’est toi, je te         *          couche à t’aimer.

Tes formes s’épanouissent       F        sous ma caresse

 Prennent poses qui intiment   O     mes tendresses,

   En massages érotiques qui       R     te    déstresse.

Entre mes jambes, les tiennes   M    s’ouvrent,

Tandis que, de mille baisers, te  E    couvre

Parlant d’amour que tu me prou  S  ves

Et c’est là, qu’enfin, que je te trouve.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

715 4

.

Un vase,  à n’en pas  douter,

 Formes et dimensions parfaites

Selon les canons de la céramique,

Et tout  comme celle des femmes !

.

Vase prendra la forme qu’on lui donne :

parfois plus féminines que … masculines

souvent très éloignées, symboliques autres

mais toujours, forme peut évoquer femme.

.

Un vase, à n’en pas douter

Et dont on aimerait disposer,

Mais comparaison avec femme

S’arrête là : sujet n’est pas objet !

.

Symbolique 

.

Par sa forme, la grâce de ses courbes

Sa fonction de réceptacle, le vase

Est un symbole féminin.

.

Son creux évoque celui de l’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides vitaux.

Dans l’art et les rites funéraires, le vase

Apparaît parfois comme l’emblème de

La vie éternelle : los celui de la coupe

Est lié à des connotations opposées

Positive, elle est signe d’un destin

Favorable dont elle préfigure les

Agapes, donc la joie et le plaisir.

heraldie.blogspot.com/2014/08/le-vase

.

Descriptif

 .

715 – Retrouve ta peau, retrouve tes formes

  Alignement central   /  Titre courbé /  Thème  émotion

Forme  ovale  /   Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : vase    /   Symbole de fond : femme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

715 6

.

Un vase, à n’en pas douter

Et dont on aimerait disposer,

Mais comparaison avec femme

S’arrête là : sujet n’est pas objet !

.

Symbolique

.

Il est difficile de décrire

La beauté d’une femme.

Chacun aura ses critères.

.

Une belle  femme  peut  ne

Pas plaire à tout le monde.

Malgré  tout, au-delà  de  la

Beauté physique, une femme

A beauté intérieure sur laquelle

Il y a plus régulièrement consensus.

.

Une femme belle serait à mes yeux

Cette femme qui mélange avec

Harmonie grâce, intellect,

Présence et charme.

C’est cette femme chez laquelle

L’on se perdra en sa nudité.

fr.answers.yahoo.com/question

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le vase est un contenant

La peau est une enveloppe,

Alors, quelque part, les deux

Se rejoignent, se ressemblent.

Derrière, et je veux dire, dans,

Le vase, il  y aurait la matière

Et dans la peau, sorte d’âme

Qu’elle a ou qu’on lui prête.

Peau d’une femme aimée,

Qu’on caresse, exprime

Ame à fleur de peau !

Mais il s’agit bien là

D’une métaphore.

 .

.

Formes belles, peau douce

.

Scénario

.

Une forme, toute féminine, gracieuse et plastique, s’il en est,

qui ne demande qu’à se faire … désirer, embrasser, étreinte,

après, dormante, il me reste toute la nuit pour la re-désirer.

 .

Visuels et textuels  >>

714 – Ton âme, effarouchée, cœur, tout effrayé

Visuels et textuels  >>

.

Ton âme,  défrayée ;

Ton cœur,   effrayé ;

En ton sexe,   frayé :

Et ça y est,   j’y suis :

Et j’y reste,  le temps

Qu’il faut   pour saut

De plein  soubresaut,

En ventre  et sur dos

Et au fond d’un puits,

Des plus satisfaisants

.

Ton âme, effarouchée,

Ton cœur tout effrayé,

Marguerite  effeuillée,

Peau,  toute  effleurée,

Ta taille,    efflanquée,

Tes ridules,   effacées,

Tes jambes,    effilées,

Ton corps,   efféminé.

 .

Je respire tes essences,

Touffes  efflorescences,

Je bois tes indécences,

Sources effervescentes

De tes désirs  effrénés,

De résistance  effritée,

Quand te gagne  effroi

D’intrusion effrontée !

 .

Tes derniers endroits,

De postures effondrées

Lors de belles effractions

De ton bassin vite franchi,

Et jusqu’à ses effacements

Par membre fort effarant,

Amours sont insatiables

Amour est effraction.

.

.

Extensions

 .

Les derniers endroits, de postures effondrées

Lors des effractions de ton bassin vite franchi,

Jusqu’à ses effacements par membre effarant :

Amours sont insatiables et amour est effraction.

.

L’émotion se rend  à  son  comble, il n’y aura plus

La moindre résistance, le moindre effarouchement,

Sauf peut-être pour l’âme qui ne peut être pénétrée.

.

La pudeur reste  un sentiment  et  un  comportement

Essentiellement féminin, du fait qu’intimité d’homme

Se situe davantage à l’extérieur que celle d’une femme,

Se dévoiler pour une femme, c’est se mettre en danger.

.

Celui d’être conquise et prise pour ce qu’elle n’est pas

Et ne souhaite pas : être un objet plus qu’un sujet,

Être un hochet avant de devenir rejet du fait

Qu’on la jette comme un mouchoir taché.

.

La pudeur est un mécanisme de défense

Naturelle qui fait partie de loi proxémique

À quelques centimètres car pouvant être perçu

Comme un viol de son intimité  par qui que ce soit.

.

La pudeur de l’âme est différente de l’intimité physique

Qui pour les femmes, n’engage à rien ou parfois à tout.

Livrer son âme est fendre l’armure et ne plus avoir

Aucun recours possible pour sa défense.

On comprend que dans ce cas une confiance

En l’autre requise sinon exploitation, trahison !

.

Effarouchée, effrayée, effroi et froid :

Avoir peur de quoi, vouloir cacher quoi :

Son corps, son cœur, son esprit,  son âme.

Peut-être bien l’ensemble, le tout,  à la fois,

Quand les regards d’un autre me damnent

Ou que, en dépit de tout,  me condamnent

À n’être qu’objet plaisir entre ses mains.

.

De quoi s’agirait-il ici, de pudeur,

De perdre sa vertu ou son honneur

L’on me taxerait de pudibonderie :

Lors, une fois  nue : de moi, l’on rit.

Là où il y a de la gêne, pas de plaisir

Dit un dicton, appuyant tous  désirs,

Il y a femmes nues,   sans complexes,

Et autres semi dénudées,  qu’on vexe.

Ce n’est pas nudité qui pose problème

C’est l’œil qui la regarde,  en lubricité,

Quand l’âme se dissout dans un corps,

Il ne reste plus qu’un objet, fantasmé.

.

.

Épilogue

.

On parle souvent de colliers, pendentifs

De bagues, d’anneaux, boucles d’oreilles

Moins de bracelets fantaisie  ou montre,

Mais que signifiera derniers, pour elles !

***

Bracelet serait  devenu un « mot valise»

Polysémique  pour les poignets et pieds,

Jusqu’à mettre en valeur, montre chère,

Si ce n’est en cuir, en différents métaux.

***

Lors, si elles t’embrassent : en bracelets,

Polysémique aussi, manière phonétique :

Un peu moins drôle bracelet électronique

Mais c’est mieux que collier de prisonnier

***

Le bracelet offert serait un témoin d’amitié,

Lors d’un voyage, séjour pour bien marquer

Le souvenir d’attachement affectif commun,

C’est pour cela qu’elles en portent  plus d’un.

***

Il fut un temps, où, communautés primitives

S’échangeaient des colliers avec des bracelets

Aux époques où l’individuation, n’était actée :

Certains ne pouvaient même plus être enlevés.

.

.

714 – Calligramme 

.

TON ÂME,

Ton âme,  défrayée ;

Ton cœur,     effrayé ;

En ton sexe,      frayé :

Et ça y est,       j’y suis :

Et j’y reste,       le temps

Qu’il faut       pour saut,

De plein      soubresaut,

En ventre     et sur dos

Et au fond  d’un puits,

Des plus satisfaisants

EFFAROUCHÉE,

Ton âme, effarouchée,

Ton cœur  tout effrayé,

Mar    guerite effeuillée,

Peau,      toute effleurée,

Ta taille,        efflanquée,

Tes ridules,       effacées,

Tes jambes,       effilées,

Ton corps,   efféminé.

TON CŒUR,

Je respire tes essences,

Touffes    efflorescences,

Je bois     tes indécences,

Sources      effervescentes

De tes désirs       effrénés,

De résistance      effritée,

Quand te gagne    effroi

D’intrusion effrontée !

EFFRAYÉ !

Tes derniers endroits,

De postures  effondrées

Lors de belles effractions

De ton bassin vite franchi,

Et jusqu’à ses effacements

Par membre fort effarant,

Amours sont insatiables

Amour est effraction.

 

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation 

.

714 4

.

Bracelet de montre

Probablement,

Bracelet de montre

 Certainement !

.

Rien de commun entre bracelet et une âme

je n’aurai de bracelet même si je me damne :

bracelet montre pour que temps me condamne

la forme de bracelet ne convient en rien au fond

.

Qu’y a-t-il de commun entre un bracelet

Et une émotion particulière :

Rien, en apparence, sauf si variété bracelets

Vous importe beaucoup !

.

Symbolique

.

Un bracelet

Forme tête-de-mort

Exprimera la rébellion,

L’insoumission aux règles.

.

Un shamballa  tête-de-mort,

Une  critique  de la société  de

Consommation et de ses excès.

.

Un  shamballa   de  méditation

A une signification  spirituelle.

Un  bracelet   brésilien  est   un

Symbole  d’amitié,  prospérité.

S’il s’agit de bracelet de  force,

Il évoquera puissance, virilité.

Source bijoux4men.com/blogs/info/

bijoux-homme-que-symbolisent-ils

.

Descriptif

.

714 – Ton âme effarouchée, ton cœur tout effrayé 

  Alignement central   /  Titre intercalé /  Thème  humeur

Forme  droite  /   Rimes égales  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bracelet    /   Symbole de fond : bracelet

.

Fond

 .

Évocation 

.

714 6

.

Qu’y a-t-il de commun entre un bracelet

Et une émotion particulière :

Rien, en apparence, sauf si variété bracelets

Vous importe beaucoup !

.

Symbolique 

.

Un bracelet est un cercle,

Une chaîne ou un ornement

Porté au bras ou au poignet

Mais  bon  nombre  des  gens

Ne sont pas conscients de sa

Signification symbolique

Et n’y ont pas réfléchi.

.

Comme tout autre bijou,

Bracelet a  un symbolisme

Et une signification différente

Selon  le  type  de  bracelet  donné

Diverses  sociétés  culturelles  utilisent

Le bracelet pour signifier des symboles liés

À leur société, voire à leur histoire particulière,

Et elles peuvent jouer un rôle énorme dans leur vie.

rochesens.fr/porter-un-bracelet/quelle-signification-offrir-un-bracelet

 

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Il existe des centaines de bracelets

Ce depuis l’antiquité, la préhistoire

Aujourd’hui on  parlera de bracelet

Électronique posé sur … la cheville !

.

On parlera aussi  de montre-bracelet

Quand ce dernier  est en métal, acier !

Fut un temps où l’on mettait le bracelet

Aux avant-bras, surtout  pour hommes !

.

Bref, imaginons : bracelet pouvait parler,

Ils nous raconteraient des histoires variées

Bracelets pour embellir, bracelet pour punir

Ou bracelets branchés pour des informations,

Bracelets pour le rythme cardiaque ou diabète,

Et j’en passe … bracelets pour discothèques, etc.

 .

.

Proxémique sociale, privée, publique

.

Scénario

.

Me mettre nue, me mettre à nu, vous êtes fou, n’y pensez pas,

là, maintenant… que j’y suis … mais que vous … n’y êtes pas,

je me dis que c’est mon âme que seule je ne vous cache pas !

 .

Visuels et textuels  >>

713 – Un, deux, trois, nous irons au bois !

Visuels et textuels  >>

.

Cette comptine

Pour … les enfants,

Qui  ne  la  connait  pas,

Pour  apprendre  à  compter

Et pour apprendre à raconter,

En  deux niveaux  de lecture,

Enfant, et puis, adolescent,

Innocent puis amoureux,

Imaginaire et puis jeu.

.

Un, deux, trois, nous irons au bois,

Comptine pour apprendre à compter,

Pour apprendre à chanter sur les doigts,

Un vrai début de conte de sorcière ou fée.

.

Quatre,  cinq,  six,  cueillir des  …  cerises,

Un beau dimanche en grimpant bien vêtus,

Toi, d’une robe, moi, de pantalon, chemise,

Et ensemble, dans l’arbre  du  fruit défendu !

.

Sept, huit neuf … dans  mon panier …  neuf,

Pour  gouter  le  nectar  d’une  chair   désirée,

De queue, jusqu’à noyau, plein  comme  œuf :

N’en descendre qu’après  une pleine  ventrée.

.

Dix, onze, douze, elles seront toutes …rouges

Et nous verts d’en avoir, sans retenue, profité,

On ne vit qu’une fois et si jamais on ne bouge,

On ne vivra jamais paradis sur Terre retrouvé.

.

Comptine en forme de chansonnette revisitée,

S’adressant à nombre d’amoureux d’autrefois,

Au bois, sans cerises … ou cerises,  sans bois

Chimie, aujourd’hui, remplacera l’alchimie.

.

Chimie qu’une chair, un noyau ou queue,

Des cerises croquées, avec plaisir, à loisir

Belle  alchimie  des  saveurs  et des désirs

 Qui  en ferait, ainsi,  des fruits savoureux,

.

Auréolé d’un certain  parfum ….  mystère

Qui en ferait comme un péché sur…Terre

Tant  cerises  sont    accouplées  par deux

Et font, pour nous     pendentifs, curieux.

.

Un, deux, et trois,      retournons au bois

Voir si l’amour y est encore ou n’y est pas

Grimper ensemble   arbres, risques, périls

Resterait grand moment d’activité fébrile.

.

.

Extensions

 

La cerise évoque le printemps, forcément

Mais tout autant le gâteau, comme supplément.

Le bonheur en sus du plaisir, n’est-ce pas là l’apogée

Du désir, celle qui ne se produit que de temps en temps

Et qui demeure comme un soleil rouge dans un ciel sans nuage,

S’en allant couchant.

.

Le bois évoque la cachette sous les arbres,

La protection de la nature, la communion avec elle,

Le lit de feuillages et la lumière tamisée : un univers

En demi-teinte e semi obscurité ou seuls

La lumière de l’amour parvient à jaillir

Des amants en pleine étreinte

Et pleine sérénité.

.

1, 2, 3
Nous irons au bois
4, 5, 6
Cueillir des cerises ;
7, 8, 9
Dans mon panier neuf

10, 11, 12
Elles seront toutes rouges !

.

.

713 – Calligramme  

 .

Cette comptine

Pour … les enfants,

Qui  ne  la  connait  pas,

Pour  apprendre  à  compter

Et pour apprendre à raconter,

En  deux niveaux  de lecture,

Enfant, et puis, adolescent,

Innocent puis amoureux,

Imaginaire et puis jeu.

.

Un, deux, trois, nous irons au bois,

Comptine pour apprendre à compter,

Pour apprendre à chanter sur les doigts,

Un vrai début de conte de sorcière ou fée.

.

Quatre,  cinq,  six,  cueillir  des  …  cerises,

Un beau dimanche en grimpant bien vêtus,

Toi, d’une robe ; moi, de pantalon, chemise,

Et ensemble, dans l’arbre du fruit défendu !

.

Sept, huit neuf … dans mon panier …  neuf,

Pour gouter  le nectar  d’une  chair  désirée,

De queue, jusqu’à noyau, plein comme œuf :

N’en descendre qu’après une pleine ventrée.

.

Dix, onze, douze, elles seront toutes … rouges

Et nous verts d’en avoir, sans retenue, profité,

On ne vit qu’une fois et, si jamais on ne bouge,

On ne vivra jamais, paradis sur Terre retrouvé.

.

Comptine  en forme de   chansonnette, revisitée,

S’adressant à nombre      d’amoureux d’autrefois,

Au bois sans cerises  U        I   ou cerises sans bois

Chimie, aujourd’hui  N        R   remplace alchimie.

Chimie qu’une chair  *         O  un noyau ou queue,

Des cerises croquées D        N   avec plaisir à loisir

Belle  alchimie  des   E         S    saveurs  des désirs

 Qui  en ferait ainsi    U        *     un fruit savoureux,

Auréolé de certain     X        A     parfum…. mystère

Qui en fait comme     *        U   un  péché sur Terre

Tant  cerises  sont     T         *  accouplées par deux

Et font, pour nous     R        B   pendentifs curieux.

Un, deux, et trois,     O       O   retournons au bois

Voir si l’amour y est  I        I  encore ou n’y est pas

Grimper ensemble    S       S  arbres risques périls

Restera   grand  mo  *        * ment activité fébrile.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

713 4

.

Une silhouette d’homme

Parvenu à la maturité,

Mais vu ici,  de dos :

De sexe ambigu

.

Enfant devenu homme

Ses jeux auront changé :

Aller au bois, c’est pour 

 Goûter au sexe préféré !

.

Symbolique 

 .

Les symboles de

La masculinité évoluent

Avec le temps et selon l’endroit

Du globe où l’on se trouve.

.

Ainsi, on retrouve des symboles

Phalliques aux temps les plus

Reculés  de   notre  histoire.

Ces symboles représentent

À la fois la virilité et la

Fécondité de l’homme.

.

Et en Europe, lors de  la

Christianisation, ils   ont

Peu à peu disparu, car ils

Étaient associés à l’acte sexuel.

over-blog.com/Quel_est_le_symbole_de_lhomme_

.

Descriptif

.

713 – Un, deux, trois, nous irons au bois 

  Alignement central  /  Titre analogue / Thème  sexualité

Forme anthropo / Rimes variées / Fond approché à  forme

Symbole de forme : homme    /   Symbole de fond : sexe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Enfant devenu homme

Ses jeux auront changé :

Aller au bois, c’est pour 

 Goûter au sexe préféré 

.

Symbolique

.

Il vous arrive de devoir réfléchir pour

Savoir quel signe correspond à quel sexe ?

Petit truc  pour ne plus jamais vous tromper !

Le symbole féminin est en fait, dans la mythologie,

Miroir de déesse Vénus au pied en forme de croix.

Et le symbole masculin est celui du Dieu Mars

Un bouclier et une flèche prête à être tirée.

Source : jeretiens.net/masculin-ou-feminin

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Qui ne connait la chanson pour compter

Les chiffres qu’on énumère comme série,

Pour les apprendre  aux jeunes  enfants,

De manière ludique,  mnémotechnique !

.

Il  existerait des centaines d’illustrations

Comme celle-ci notamment pour le sexe

Le miroir à pied en croix pour la femme

Le bouclier avec la flèche pour l’homme.

.

Et pour les lacs de l’Amérique du Nord :

Sherlock Holmes : la série, le détective :

Huron, Ontario, St Laurent, Michigan,

Erie, Supérieur, rien d’autre à ajouter.

 .

.

Ensuite, cerise sur le gâteau…

.

Scénario

.

Un deux, trois : nous irons au bois en nous tenant par la main,

quatre, cinq, six, cueillir des cerises bien que cerisier soit en fleur,

un rouge cerise s’est imprimé sur sa jupe en descendant cerisier.

 .

Visuels et textuels  >>

712 – Pour trouver la paire, choisir chaussure

Visuels et textuels  >>

        .

Paire de chausse

Trouver la chaussure

À son pied très exactement

Trouver un pied, à chaussure,

Les  deux  prennent  leur temps,

.

Sans  compter  une  énergie  folle,

Pour être sûr de ne pas se tromper

Tant, du talon, à la pointe des pieds,

Certaines sont dures,  autres molles,

Il y en a même  qui vous  déchausse.

 .

Pour trouver paire choisir chaussure,

Mais pas d’impair sinon meurtrissure

Je me mets en tête,  et mets en quête..

D’un de ces gars  qui conte fleurette….

M’aime-t-il que pour ma devanture….

Quant au reste, mauvaise pointure,…..

.

Poule caquette mais pas galipettes……

Baiser est non  poudre escampette……

Ai-je eu affaire  à une grosse enflure….

Qui se satisferait,  mon enfourchure,…

Comme soubrette, comme coquette,…

Ne m’aimerait que  pour  trinquettes.

Un refus brutal – une intime blessure,

Un coup  de  canif – une éclaboussure,

Et tu te répètes – tu es bien trop bête :

Tu t’es mis  trop tôt – le cœur, en fête.

.

Eh,  toi, là,  Ducon – en  déconfiture :

T’as sorti ton jeu, hors température :

Remets  ta liquette, ferme baguette,

Ne m’appelle pas Suzette : Juliette.

.

.

Extensions

 .

La chaussure, comme chacun sait,

Est un symbole de sexualité, sans doute

Parce qu’on y glisse un pied dans l’intérieur

Et que l’on doit s’y sentir bien au point de vouloir

Y rester et de partir et voire même de se marier avec !

.

Comme il y en a de tous les genres, de toutes les pointures

Et pour toutes les bourses, et pour tous les goûts, le choix est

Des plus larges et des plus éclectiques, et voire excentriques.

La chaussure peut être : lourde ou légère, haute ou basse,

Sèche ou fourrée, en matière n’écorchant pas les pieds.

.

Les chaussures ont un rapport évident au couple,

Du fait même qu’elles marchent par paires

Mais aussi un rapport à soi-même,

En particulier pour les femmes.

.

Un produit de compensation

Du mal-être, symptomatique de

Celle qui achètera des chaussures

Qu’elle ne portera pas par la suite !

.

Dix magasins pour une paire de chaussures

La vie des femmes, sur pieds, est plutôt dure :

Il y a tellement de choix que toutes, et pas une,

Ne conviennent  parfaitement, sont communes.

Ah oui, le prix, j’oubliais, deux pour prix d’une,

Une chaussure qui leur coûterait une fortune,

Elles se sentiraient mal de…  marcher avec.

Ce ne sont pas les pieds qui choisissent :

Rien que la tête, rien qu’à leur tête !

.

Pas question ici de mettre les deux pieds

Dans la même chaussure, le même  sabot,

On passerait et vite, pour un double idiot,

On ne peut enfourner  avec chausse-pied !

.

Quand on dit que : les deux  font la paire :

S’agit surtout ne pas commettre d’impair,

Lors n’importe qui ne pourra faire l’affaire

Il faut trouver un conjoint extraordinaire !

.

Vous voyez si je suis bien en une chaussure,

Et pas l’autre : je marcherai lors en boitant.

L’un dans l’autre, et ajustés…  parfaitement

On durera longtemps, avec même baisure !

.

.

Épilogue

.

En quoi une chaussure serait-elle symbole

Union accordée entre deux êtres accouplés,

Par ce qu’on y enfonce le pied, côté féminin,

Parce qu’elles marchent par paire, masculin !

***

Est-ce pour cette raison que  les femmes auront

Dix paires de chaussures, lors, l’homme, moins :

L’érotisme du pied féminin ne se limiterait point

À ses pieds nus : à ses bottes,  à ses hauts talons !

***

Chaussure deviendra aussi multiple, sophistiquée

Au fur et à mesure femmes se seront émancipées :

Bien plus elle ne s’accordera pas qu’avec leur teint

Avec leur parure pour approcher ensemble divin !

***

C’est un peu le monde à l’envers, que les femmes

En essayeront une dizaine, pour en trouver une,

Tandis que les hommes feraient pareilles mais

Avec les femmes, pas pour leurs chaussures.

***

Je m’égare, des chaussures, il y en a mille,

Je cherche celle que Cendrillon a perdue,

C’est juste histoire d’essayer plus d’une

Et quand je la trouve enfin : fortune.

.

.

712 – Calligramme 

 .

 Paire de chausse

   Trouver la chaussure

   À son pied très exactement

  Trouver un pied, à chaussure,

  Les  deux  prennent  leur temps,

 Sans  compter  une  énergie  folle,

Pour être sûr de ne pas se tromper

 Tant, du talon, à la pointe des pieds,

Certaines sont dures,  autres molles,

Il y en a même  qui vous  déchausse.

.

P O U R  T R O U V E R  P A I R E,

Pour trouver paire choisir chaussure,

Mais pas d’impair sinon meurtrissure

Je me mets en tête,  et mets en quête..

D’un de ces gars  qui conte fleurette….

M’aime-t-il que pour ma devanture….

Quant au reste, mauvaise pointure,…..

Poule caquette mais pas galipettes……

Baiser est non  poudre escampette……

Ai-je eu affaire  à une grosse enflure….

Qui se satisferait,  mon enfourchure,…

Comme soubrette, comme coquette,…

Ne m’aimerait que  pour  trinquettes.

.

C H O I S I R     C H A U S S U R E

Un refus brutal – une intime blessure,

Un coup  de  canif – une éclaboussure,

Et tu te répètes – tu es bien trop bête :

Tu t’es mis  trop tôt – le cœur, en fête.

Eh,  toi, là,  Ducon – en  déconfiture :

T’as sorti ton jeu, hors température :

Remets  ta liquette, ferme baguette,

Ne m’appelle pas Suzette : Juliette.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

712 4

.

Cela ressemble autant

À une grosse chaussette

Qu’à   une  chaussure 

Qu’il faudra trouver

 .

Trouver chaussure à son pied :

voilà bien  expression consacrée,

si ce n’est pas pied pour chaussure

comme dans Cendrillon, autre conte.

.

Chaussure seule est comme

 Égarée, perdue, est veuve :

On peut en essayer des dizaines

Avant de trouver la bonne.

.

Symbolique 

 .

Pendant très longtemps,

Chaussure plus que toute

Autre  partie  du   vêtement,

A présenté  et  a été  chargée,

De symboles très importants :

Symbole  de  richesse,  symbole

De puissance, symbole  magique,

Et religieux, de  cultes   et   de  rites.

.

Une coutume venue de la nuit des temps

A fait considérer  l’offrande de la chaussure,

Comme la ratification sans appel de la conclusion

Soit d’un mariage ou un marché, chez les Romains,

Les règles élémentaires du savoir–vivre exigeaient

Qu’on ôta ses chaussures en arrivant chez un hôte.

fanny-chaussures.com/symboles-dans-l-histoire-de-la-chaussure

.

Descriptif

.

712 – Pour trouver paire, choisir chaussure

  Alignement central  /  Titre analogue / Thème  choix

Forme courbe  /  Rimes égales   /   Fond accordé à  forme

Symbole de forme : chaussure    /   Symbole de fond : trouver

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

712 6

.

Chaussure seule est comme

 Égarée, perdue, est veuve :

On peut en essayer des dizaines

Avant de trouver la bonne.

.

Symbolique de fond

.

Freud a identifié la chaussure

Comme un vrai symbole sexuel,

Pied comme symbole phallique.

Or il se glisse dans la chaussure.

.

On en déduira que la chaussure

Est un symbole du sexe féminin.

«Trouver  chaussure à son pied»

Prendra  dès lors  tout son sens.

.

Chaussures servent  à marcher.

Être bien chaussé est le meilleur

Moyen d’avancer sans douleur,

Sur tous  les chemins  de la vie.

Se sentir bien dans ses baskets

Est  présage positif en rêves.

heraldie.blogspot.com/2014/10/

psychanalyse-de-la-chaussure

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Chaussure et pied vont ensemble, certes

Et chaussure et partenaire pour le sexe

Si ce n’est pied pour couple en mariage

Qui avance sur deux, ou quatre pieds.

.

Si on a trouvé chaussure à son pied,

Qui dit qu’il n’y a pas d’équivalent

Meilleure chaussure, inconnue !

Certains ne les enlèveront pas

Pour  prendre  leurs pieds :

Trop fétichistes, peut-être.

 .

.

Sandales, pas de scandales !

.

Scénario

.

Au départ, dix paires de chaussures me paraissent mettables,

au milieu, mon choix se porte sur un modèle en deux couleurs,

au final, autre modèle : la coutume  l’a emporté sur mon idéal !

 .

Visuels et textuels  >>

711 – Les pieds, faut savoir les rimer, conter

Visuels et textuels  >>

.

Les pieds peuvent être droits

Les pieds peuvent être croisés

Les pieds  peuvent être ouverts

ABAB     ou  ABBA      ou AABB.

.

Les rimes peuvent être… suivies,

Les rimes peuvent être… croisées,

Les rimes peuvent être embrassées

ABAB  ou bien ABBA   ou bien AABB.

.

Cela rime à quoi de comparer les pieds,

Qui n’ont pas, du tout, la même fonction

Les uns chaque jour  nous  supportent,

Même si les  autres nous importent.

.

Les pieds, il faut savoir les rimer,

Les pieds,  il faut savoir  les conter,

Et les pieds, faut savoir  les allumer,

Et les pieds,  faut savoir  les allonger !

Mais au fait de quels pieds s’agirait-il

De ceux des poètes, ceux  d’amoureux,

Mais s’ils se confortent  tous les deux,

Lesquels  seront  les  plus   versatiles !

.

Y a aucune  hésitation, c’est le second

Amoureux  enfonce  le pied  en creux

Des touffes en vrais  poils  visqueux,

Pour séries de va-et-vient hors non

Mais avant  cela,  pas de  panique,

Ce n’est pas tant le temps : nique,

Qui compte même si  la musique

La rendrait si forte, fantastique.

.

Ce sera plutôt, explorant canons

Beauté de son corps en abandon

Qu’on entend, le mieux, les sons

Des cœurs en mêmes pulsations.

L’un puis l’autre,  puis les deux,

Puits de caresses, lance de feux,

Danse à deux dos, à pourfendre,

En soupirs, agréables à entendre.

.

Mais avant de la pénétrer et fendre

Faut la mouiller  et bien la détendre,

Et cela l’un dans l’autre  à la demande,

En rythmes ils se calquent et se tendent,

Les yeux, tantôt  ouverts, et tantôt fermés,

La belle chevauchée peut, lors, commencer,

Au plus loin des galops effrénés d’un poète,

S’il est vrai, que, aujourd’hui, c’est sa fête.

.

Et que dire de la suite, sinon  l’absence

De retenues, l’absence  des réticences

Les secouant aux fonds  en leurs sens

En corps se réjouissant très intenses,

En vos cerveaux, vos corps et peaux.

.

.

Extensions

 .

Quels pieds faut-il croiser,

Quels pieds faut-il embrasser,

Quels pieds faut-il chausser,

Quels pieds faut-il ouvrir,

Quels pieds  faut-il suivre,

Quels pieds faut-il rythmer !

.

Des questions métaphysiques

À se poser avant d’entreprendre

La moindre, écriture ou  poésie,

Sans parler moindre acrobatie

Lors quels liens  entre elles :

Si partez du mauvais pied,

Vous le verrez de suite ;

Si vous partez du bon

Vous le sentirez !

.

Entre pieds de vers et …  verres à pieds,

Sans compter les pieds qui nous portent,

Il y a de quoi se les prendre dans le tapis

Surtout, si,  excès de vins vous emportent.

Les pieds de vers sont en portées musicales

Qui rythmeront un texte, en plus des rimes,

Faut savoir les manier pour bien les conter.

.

Peu de gens s’intéressent  aux pieds :

Sauf pour marcher, sauf pour baiser !

Pour le prendre, parfois, le surprendre

Mais attention à ne pas se méprendre.

.

Voilà bien une strophe rimée en AABB

Aux rimes faibles et tronquées par AA,

Aux rimes  égales et plus riches en BB :

C’est un peu  le b à ba de toute poésie !

.

Remarquez  qu’on l’écrit aussi : béaba

Parfois même : b-à-ba, et voire, baba.

On peut s’amuser de nombre de mots,

En y ajoutant des préfixes ou suffixes.

.

.

711 – Calligramme 

 .

Les pieds peuvent être droits

Les pieds peuvent être croisés

Les pieds  peuvent être ouverts

ABAB     ou  ABBA       ou AABB.

Les rimes peuvent être… suivies,

Les rimes peuvent être… croisées,

Les rimes peuvent être embrassées

ABAB  ou bien ABBA   ou bien AABB

Cela rime à quoi de comparer les pieds,

Qui n’ont pas, du tout, la même fonction

Les uns chaque jour  nous  supportent,

Même si les  autres nous importent.

.

******************************

.

Les pieds, il faut savoir les rimer,

Les pieds,    L faut savoir  S   les conter,

Et les pieds,  E   faut savoir  A   les allumer,

Et les pieds,   *    faut savoir     V   les allonger !

Mais au fait   P      quels pieds     O  s’agiraient-il,

De ceux des   I       poètes  ceux      I     d’amoureux

Mais s’ils     E       se  confortent     R tous les deux

Lesquels      D      seront   les plus    *     versatiles !

Y a aucune  *      hésitation, c’est     L   le second :

Amoureux   F      enfonce  le pied     E     en creux

Des touffes  A       en  vrais  poils      *   visqueux,

Pour séries   U      de va-et-vient    R    hors non

Mais avant   D      cela,  pas de     I    panique,

Ce n’est pas   R    tant temps   M     la nique

Qui compte   A   même si    E  la musique

La rendrait    *  si  fort   R  fantastique.

C’est  plutôt,   explorant   les canons

Beauté de son corps   en abandon

Qu’on entend   le mieux les sons

Des cœurs en même pulsation.

L’un puis l’autre, puis les deux,

Puits de caresses, lance de feux

Danse à deux dos, à pourfendre,

En soupirs, agréables  à entendre.

Mais avant de la pénétrer et fendre

Faut la mouiller   *  bien la détendre,

Et l’un dans l’autre     *   à la demande,

En rythmes se calquent,   L    se tendent,

Les yeux, tantôt  ouverts,    E      et fermés,

La chevauchée pourra         *     commencer,

Au plus loin du galop          C          d’un poète,

Vrai, que aujourd’hui        O          c’est sa fête.

Que dire de la suite,          N        sinon absence

De retenues, absence       T         des réticences

Les secouant aux fonds    E        en leurs sens

En corps se réjouissant     R  très intenses,

En vos cerveaux, vos corps  vos peaux.

.

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation 

.

711 4

.

En haut, liste pieds, métrique,

En bas, un pied, asymétrique

Qu’il soit raccourci,  rallongé,

Pied bot ne sera beau-pied !

.

Prendre son pied, au propre,

N’est pas pareil qu’au … figuré :

Si, parfois, les deux ne riment à rien,

Cela peut être autant le contraire !

.

Symbolique 

.

Pensez-vous qu’il soit normal

Que je ne puisse jamais vraiment

Regarder la plante de mes pieds

Lorsque je me tiens debout ?

.

Le  pied  est  ce qui  me relie

À la Terre Mère : grâce à lui,

Je prends contact avec la réalité.

Si   mon corps  est  un  arbre, alors

Il est ce qui me permet de m’ancrer

Sans pied, je suis à plat …  déraciné.

.

Mon  pied  peut contenir  mon corps.

Réflexologie plantaire : je m’aperçois

Que les énergies d’une partie de mon

Corps peuvent se retrouver,  relier

Quelque part  dans mon pied.

toulouseosteopathe.com/pied-symbolique

.

Descriptif

.

711 – Le pied : faudra savoir le rimer, conter 

  Alignement central  /  Titre analogue / Thème  sexualité

Forme courbe  /  Rimes égales   /   Fond accordé à  forme

Symbole de forme : pieds    /   Symbole de fond : pieds

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

711 6

..

Prendre son pied, au propre,

N’est pas pareil qu’au … figuré :

Si, parfois, les deux ne riment à rien,

Cela peut être autant le contraire !

 .

Symbolique 

 .

Le pied pour se déplacer.

C’est lui qui porte le corps.

Il symbolise le mouvement,

 L’impulsion  et  la  liberté.

  Le pied  provoquera  une

    Impulsion pour avancer

     Pour bloquer  ses appuis

       Camper sur ses positions.

       Il symbolise nos  attitudes

        Tout  autant  nos  positions.

     Le pied devient  également

    Représentation symbolique

  Des appuis relationnels, et

Donc rapport au monde.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-pied

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

ABAB  ou ABBA  ou AABB,

A le pied gauche, B, le pied droit

A, première rime, B, seconde rime ;

A, unité syllabique première, B, seconde

Y a de quoi y perdre son latin ou son grec,

Dont ils seraient issus  et pour tout mesurer.

Le rythme et la sonorité comptent tout autant

que les rimes qui peuvent être fixes ou libres

ainsi que le compte qui nous conte histoire

que nous découvrons, nous interprétons

comme une musique qui nous séduit

et qui dans notre âme, s’éblouit.

 .

.

Scénario

.

Quatre pieds entremêlés, entre… lacés, entre tout ce que vous voulez,

en rimes et en rythmes : a, b, c, d, e, le compte est bon, le conte est bon,

même musique en notes colorées, lancinantes, trottent en même tête.

.

Visuels et textuels  >>

709 – Pour le sexe, on dit, même fort bien établi

Visuels et textuels  >>

.

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et, l’âge venant,

Mâle est moins performant.

.

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

.

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour,  faiblit,

Compétence,  l’on dit,

Jour après jour grandit.

.

Or l’amour dans  son lit,

N’est pas tout,  en sa vie,

Une fois, effusions  finies,

Le désir du sexe est parti.

.

Dialogue à quatre   mains,

Réclame temps  et entrain,

Pour que l’accord soit plein

Ressenti toucher, soit divin

Aussi pénétrant et opportun

Qu’un sexe qui  va  qui vient

Son impression, son parfum

Vous faisant un  grand bien.

Notes s’égrènent, sur la peau

Comme  touches    d’un piano

Dans la multitude   des échos,

Qu’on ne saurait  le plus beau.

Le sexe  laisse   peu  de temps,

À vraie montée   du sentiment,

Faut conclure au  bon moment,

Ressentiment après, en dépend.

Faut garder, en soi,  ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

.

Extensions

 

Pour certains, le sexe, est tout :

C’est le vrai but à atteindre, lors

Le reste ne serait que de surcroit.

Oui mais que donnera-t-on  de soi

Dans un acte sexuel : un  désir  qui

Se promène ou corps qui se démène

Pour finir, un orgasme qui entraine,

Toujours et encore à recommencer.

.

On en vient  à penser  que : l’amour

C’est  comme  une  cigarette  tandis

Qu’est  rencontre  entre  deux êtres

Pour échanger plus profond d’eux

Et en toute confiance, et  non que

De se donner du plaisir, mutuel.

.

Discours sur le sexe y en aurait

Des centaines et dont certains

Le prônent  comme  trophée.

Une  séparation  du  sexe  et

Du  sentiment  n’aurait plus

Rien d’humain, elle se réduit

À une  gymnastique  qui vise  à

Performance plus qu’à compétence.

Le sentiment sans sexe ne vaut guère mieux :

Les amours platoniques se transforment vite en amitiés.

.

Sensibilité, sensualité, sexualité, sexe alité, sexué,

Cette  gamme de mots vient à l’esprit, et en bouche,

Pour vivre l’amour  comme sous une chaude douche,

Où le plaisir l’emportera sur toute autre considération

Et qui fera monter et descendre toutes fébriles tensions.

.

Les troubles de dysfonction sexuelle

Ou de la déficience sont, pour la majorité :

 Troubles du désir sexuel, troubles de l’excitation

Troubles de l’orgasme, troubles sexuels avec douleur.

.

Autrement dit, en langage commun,  voire vulgaire :

On n’en a pas envie, et voire on n’y pense même pas,

On arrive pas ou plus à s’exciter pas même à bander

On ne parvient à l’orgasme ou alors il est très faible.

.

Douleur au lieu de plaisir, le dernier est particulier,

C’est le moins qu’on puisse dire, il faudra consulter.

La panne passagère,  y aurait rien de spécial à faire,

Nombre hommes l’ont connu sans raison, ordinaire.

.

.

709 – Calligramme

 .

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et l’âge venant

Mâle est moins performant

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe.

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

********************************

*********************************

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour  S    faiblit,

Compétence,     E   l’on dit,

Jour après jour,   X  grandit.

Or l’amour dans     E    son lit,

N’est pas tout en      *     sa vie,

Une fois, effusions,    M     finies,

Le désir du sexe est     Ê       parti.

Dialogue à quatre       M       mains,

Réclame temps et      E      entrains,

Pour  qu’accord        *         soit plein

Ressenti toucher     F           soit divin

Aussi pénétrant     O        et opportun

Qu’un sexe qui      R         va qui vient

Son impression     T        son parfum,

Vous faisant un      *        grand bien.

Notes s’égrènent    É        sur la peau

Comme touche        T       d’un piano

Dans multitude       A        des échos

Qu’on ne sait le      B        plus beau.

Le sexe  laisse       L  peu de temps,

À vraie montée   I   du sentiment :

Faut conclure au *   bon moment,

Ressentiment, après,  en dépend.

Faut garder,  en soi,   ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

709 4

.

Un verre à pied en haut,

 Une chope de bière en bas,

Qui trinquent entre eux,

Pour le sexe appeal !

 .

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour dépend du sex-appeal

 .

Symbolique 

 .

Le verre, la coupe,

Le gobelet, la tasse,

Ne seront, en réalité,

Qu’un   seul  et   même

Objet  à variantes près.

Comme  tout  réceptacle,

C’est un symbole féminin,

C’est pourquoi, le verre vu

En songe, peut figurer  une

Femme  qui   joue   un   rôle

Déterminant  dans  sa  vie.

Compte tenu transparence

Prévient éclaircissements

Permet une clarification

Des affaires obscures.

wikireve.fr/dir/211-verre

.

Descriptif

 .

709 -Le sexe, l’on dit : même fort établi !

  Alignement central  / Titre serpente / Thème  sexualité

Forme conique  / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : verre    /   Symbole de fond : verre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

709 6

.

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour : trop ou pas assez.

 .

Symbolique 

 .

Une chope signifie «grand verre à bière»

Est un récipient, un gobelet cylindrique,

Muni d’une anse où on boit de la bière.

Elle peut être en bois, en terre cuite,

Grès, métal, porcelaine, ou émail,

Et on la trouve souvent en verre

Chope un type de verre à bière.

source : wikipedia.org/wiki/Chope.

.

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Rien à voir entre un sexe masculin et un verre,

Cela va sans dire même si le verre sert d’étalon

Croyance que plus il est grand plus il est fort,

N’a aucun fondement empirique, statistique.

.

La performance n’est pas une compétence

Pour satisfaire toutes les femmes au lit

Demandez-leur  si  un plus long sexe,

Leur procure un plus long orgasme

C’est en dialogue que ça se passe !

 .

.

Enlacés pour l’éternité

.

Scénario

.

Je suis fière, je suis maitresse de ma sensualité,

et moi, je suis maître, je suis fier de ma sexualité :

notre jouissance commune est preuve de leur réalité.

 .

Visuels et textuels  >>

708 – Imaginez-vous amant excité, sexe devant

Visuels et textuels >>

.

Partie majeure de toutes les postures

Liées à toutes sortes accouplements

Entres les humains, positionnent

Souvent l’homme au-dessus

Comme  membre actif

Alors que la femme,

Serait réceptacle,

Plus passive :

.

Est-ce  en  la

Nature des choses

Voire dans les gènes

Ou appris, culturel,

Qui peut le dire !

.

Toujours est-il,

Que   l’homme,

S’en  satisferait

En croyant en sa

Mâle… domination

Lors, pour la femme,

Il n’en  est rien, certain.

.

Imaginez-vous amant excité

Sexe devant, cuisses écartées :

N’a qu’à se dépêcher  d’y entrer,

Comme fier bateau entrant au port,

Quand la retenue d’elle se met au vert

Lors cet abri, bien douillet, lui est offert.

.

Il ne sait faire demi-tour en courants forts

Lors  il se coule en elle … elle roucoule de lui.

On peut imaginer une femme dans chaque port

Qui vous attend pour calmer la tempête…qui sort

De son bas ventre et de sa tête, embrumée d’alcool.

.

Voilà bien image machiste, qui a fait long feu, école.

La plupart du temps, l’amant fait l’amour…à la même

Débarrassée de toutes pudeurs, et voire, de sentiments,

Sa porte, serrure, est un porche, que l’on ouvre, souvent,

Grâce à cette clef qui la pénètre  et jusqu’aux … extrêmes.

.

Toute femme, avec son corps, représente  dix, cent … mille,

Chaque fois que marin  pense à une autre, vise dans le mille,

C’est ainsi, qu’aucun sexe, porte secrète, n’en existe vraiment.

Après dépucelage, défloraison, demeure ouverte, ouvertement.

.

Vouloir la refermer soi-même est courir en vain jusqu’à sa perte

Il n’est plus doux désir  que rester songer longtemps à sa fenêtre.

Il y a aura un après, si, l’avant est le fruit d’une belle …  conquête.

Elle se renouvelle à chaque fois, en plaisirs et en joies, lors de fête.

.

La dernière porte secrète et qui demeurera impénétrable est l’âme.

Faut y être invité, autorisé tant, en aucun cas impossible à forcer.

Impossible de la manipuler,  la rendre esclave, indigne, infâme :

Sa clef, personne ne l’a et des lors, il ne pourra ni l’ouvrir ni fermer.

.

.

Extensions

 .

Porte,  fenêtre, pour la métaphore,

Soupirail, trappe, vasistas, lucarne

Ouvertures  évoquent   emboitures

En mur, en dur, aveugle  à lumière

Extérieure, du soleil, ou  d’ailleurs.

.

Une fois  son seuil franchi, la porte

Peut rester ouverte  et voire offerte

Et elle pourra se refermer sur vous,

Pour vous transformer  prisonnier.

.

Pour vous jeter dehors et se fermer

Pour vous, et, jusqu’à  double tour.

La pousser n’a donc  rien d’un acte

Gratuit  ni d’innocent  ni de futile !

.

Renversés, couchés au sol, imbriqués l’une dans l’autre

Toutes attitudes et postures en deviennent renversantes.

Le fait accompli, le repos mérité  comme de bons apôtres,

Les postures  se  transformeront  en « statues dormantes »

C’est ainsi que cela, se profile, et se passe, quand  on tente

Le diable, le tirant par la queue, assouvissant son plaisir.

.

L’homme actif, la femme passive,

Vieux cliché qui n’a jamais existé,

Dans le secret d’alcôves d’intimité,

La force de désir de femme est vive

.

Et dieu merci la libération sexuelle

Est passée par la et elle aura libéré

La parole de la femme … éternelle,

Qui est pour l’homme…  à égalité.

.

Je ne saurais en dire plus pour

Ne pas m’attirer les foudres

Des uns  ou   des autres

Ne pensant pas cela.

.

.

708 – Calligramme 

.

Une   partie   majeure    de   toutes   les   postures

Liées  à    toutes  sortes   d’accouplements

Entres les humains,     positionnent

Souvent l’homme au-dessus

Comme  membre actif

Alors que femme,

Réceptacle,

Passive.

Est-ce en la

Nature des choses

Voire dans les gènes

Ou appris, culturel,

Qui peut le dire !

Toujours est-il,

Que l’homme,

S’en satisferait

En croyant en sa

Mâle… domination

Lors, pour la femme,

Il n’en  est rien, certain.

IMAGINEZ-VOUS :

Imaginez-vous amant excité

Sexe devant, cuisses écartées :

N’a qu’à se dépêcher  d’y entrer,

Comme fier bateau entrant au port.

AMANT EXCITÉ,

Quand la retenue d’elle se met au vert

Lors cet abri, bien douillet, lui est offert.

Il ne sait faire demi-tour en courants forts

Lors  il se coule en elle … elle roucoule de lui.

SEXE DEVANT 

On peut imaginer une femme dans chaque port

Qui vous attend pour calmer la tempête…qui sort

De son bas ventre et de sa tête, embrumée d’alcool.

.

Voilà bien image machiste, qui a fait long feu, école.

La plupart du temps, l’amant fait l’amour…à la même

Débarrassée de toutes pudeurs, et voire, de sentiments,

Sa porte, serrure, est un porche, que l’on ouvre, souvent,

Grâce à cette clef qui la pénètre  et jusqu’aux … extrêmes.

.

***************************

****************************

.

Toute femme, avec son corps, représente  dix, cent … mille,

Chaque fois que marin  pense à une autre, vise dans le mille,

C’est ainsi, qu’aucun sexe, porte secrète, n’en existe vraiment.

Après dépucelage, défloraison, demeure ouverte, ouvertement.

Vouloir la refermer soi-même est courir en vain jusqu’à sa perte

Il n’est plus doux désir  que rester songer longtemps à sa fenêtre.

Il y a aura un après, si, l’avant est le fruit d’une belle …  conquête.

Elle se renouvelle à chaque fois, en plaisirs et en joies, lors de fête.

La dernière porte secrète et qui demeurera impénétrable est l’âme.

Faut y être invité, autorisé tant, en aucun cas : impossible à forcer !

Impossible  de  la manipuler, de la rendre esclave, indigne, infâme :

Sa clef, personne ne l’a et des lors, il ne pourra ni l’ouvrir ni fermer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

708 4

.

Flacon de parfum

Avec bouchon

Ou un verre à pied

Renversé après trinqué.

.

L’amour, c’est le temps de boire un bon verre à pied,

Le renverser après avoir trinqué, affirment certains 

Et puis pour s’en remettre, de fumer bonne cigarette,

Prétendent d’autres, encore dans les vapeurs !

  .

Symbolique 

 .

Parmi les synonymes,

Expressions  équivalentes

De   « renverser  un  verre »,

On trouve : faire tomber,   répandre un liquide,

Mettre le haut en bas et le bas en haut,   inverser,

Incliner en arrière, au sens figuré ou pour corps

Plonger dans l’étonnement, démolir, saper

Se renverser    s’incliner en arrière,

Tomber, chavirer,  voire verser.

Pas besoin de faire un dessin

Pour imaginer à quoi tout

Ça peut bien s’appliquer.

.

Descriptif

 .

708 – Imaginez-vous, amant excité, sexe devant 

  Alignement central     /  Titre intercalé    / Thème  sexualité

Forme conique   / Rimes variées  / Fond approché de forme

Symbole de forme : renverser    /   Symbole de fond : trinquer

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

708 6

.

L’amour, c’est le temps de boire un bon verre à pied,

Le renverser après avoir trinqué, affirment certains 

Et puis pour s’en remettre, de fumer bonne cigarette,

Prétendent d’autres, encore dans les vapeurs !

.

Symbolique 

.

Des sources font remonter

La pratique de trinquer

Son verre  à l’antiquité

La  coutume  de boire

À la santé  des vivants

Provient probablement

Du rite antique de boire

En l’honneur  des dieux et

Des morts : Europe, trinque

Avec un verre à pied  d’alcool

De bière, vin, cidre, vodka, etc.,

Mais on pourrait le faire avec un

Verre non alcoolisé, lors avec qui,

Quoi et pourquoi trinquez-vous ?

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un calligramme est un poème

Dont la disposition graphique,

Sur la page formera un dessin,

Souvent en rapport avec le sujet du texte,

Mais il arrive parfois que la forme apporte

Un sens qui s’oppose au texte. Cela permet

D’allier l’imagination visuelle

 À celle portée  par les mots. 

Il s’agit parfois  d’une dérive

Parfois bifurcation complète,

Ouvrant  vers d‘autre univers,

On pourrait ainsi, par rebonds,

Aboutir à des liens très éloignés.

 .

Robot, amant du futur !

.

Scénario

.

Flirt sensuel, c’est oui, tant pourquoi y résister,

Puis  les avances sexuelles, pourquoi  les retarder,

Le tout serait de bien savoir ce qu’on veut en tirer !

.

Visuels et textuels >>

707 – En écrin de lumière mon vaisseau avancé

Visuels et textuels  >> 

.

Belle

Métaphore,

Que      l’écrin

De lu        mière,

Pour          imager

Creux          profond    

Du vrai         mystère

Qu’est              l’amour

Partagé              à deux,

En une              posture,

Sur nue                litière.

Une autre           et belle

Métaphore          en est

Serait  le      vaisseau

Qui le       parcourt

Même       espace

.

Pour re chercher

Un  tré sor  jugé

In-esti-ma-ble :

Mais  que, seule,

Une vraie lumière,

Viendrait lui révéler !

.

En un bel écrin de lumière

Mon vaisseau s’est avancé,

En avant  puis  en  arrière,

À  l’explorer,  et à  volonté.

.

En des  mouvements  lents,

Où chacun prend son temps

De s’accrocher  à ces parois,

De cette caverne  d’Ali-baba.

.

Pour emporter  …  son trésor,

Par le dedans,   par  le  dehors,

Attendant : sésame    ouvre-toi,

Que la porte  se  fende,  sous soi,

.

En  vaisseau, de  pleine  tempête,

Qu’il  trouve  refuge, sur  la crête,

Sur  le  fond  d’une  longue  quête,

Partagée  entre l’ange … et la bête.

.

Cette  belle symbolique des fluides,

Mécanise de mouvement plein/vide

Mais l’intention,  énergie en retour,

Sont généralement signe d’amour !

.

.

Extensions

 .

Branché sur l’être tout entier

Qui produit sa lumière en toute intimité :

On imagine comme aura entourant les amants,

Les protégeant de distraction de leur environnement.

Il ne s’agit pas, pour autant, d’une totale fusion mais

De la recherche d’une parfaite connexion des corps,

Des cœurs, des esprits, qui sait, parfois, des âmes.

Ce n’est pas pour autant de l’amour sublimé,

Mais c’est souvent de l’amour consommé.

.

Dans le sexe pour le sexe, il y a comme

Une dimension comique ; dans le sexe

Pour l’amour, une dimension cosmique.

Ce « s » que l’on rajoute, fait la différence.

De la fusion physique à communion Nature,

Le même acte, en apparence, change de valeur

L’un procure le plaisir, mais l’autre, le bonheur.

.

Cela dit, chacun fait l’amour     comme il l’entend

Et comme il le sent et le sentiment qu’il en ressent

Souvent, et impressions qu’il en retire, demeurent,

Pour  une large partie, des moins  intransmissibles.

Ce qui est plus certain serait qu’ayant connu le vrai,

Le parfait bonheur qu’engendre le véritable l’amour.

.

Le retour à une simple et banale jouissance physique

En devient vite frustrant et lors on peut comprendre

Que l’on ira chercher auprès de quelqu’un d’autre,

Ce même état vécu et désormais paradis perdu.

Pour ceux ou celles qui ne l’ont pas connu,

Ça ne leur manque pas, c’est déjà ça !

.

La femme est-elle un écrin : oui, non… ça craint :

Ne serait-elle pas bien plutôt le bijou qu’il contient

Certains y voient comme une lumière, très attirante,

Lors d’autres comme un piège quand elle vous tente

Vous réclame un bijou pour montrer ses attentes.

.

Un trou  de serrure  mais pour  quelle clef !

Clef mystérieuse, pour porte  aventureuse,

De femme assoiffée de sexe ou amoureuse

Ce n’est souvent qu’après qu’on sera fixé !

Quant à traiter sexe masculin de vaisseau,

Ça dépendra pour qui : affectueux ou sot :

Pour ce dernier, image ne vaut pas ce mot,

On fait l’amour aussi avec un beau cerveau.

Ceci dit la femme ne sera pas qu’un bel écrin

À qui il manquerait un bijou pour la combler

Elle serait  aussi active, réflexive, que le marié,

Qui lui passe la bague au doigt, un beau matin !

.

.

707 – Calligramme

 .

Belle

Métaphore,

Que  É       E  l’écrin

De lu   C              S    mière,

Pour    R                      Q   imager

Creux    I                           U   profond    

Du vrai  N                               I    mystère

Qu’est      *                                  F    l’amour

Partagé  L                                     *     à deux,

En une    U                                   A    posture,

Sur nue    M                                V       litière.

Une autre  I                              A       et belle

Métaphore È                         N   s’il en est

Serait  le   R                     C   vaisseau

Qui le       E                 É  parcourt

Même           *            espace

Pour re      *     chercher

Un  tré    *   sor  jugé

Inesti     *   mable :

Mais   que,   seule,

Une vraie    lumière,

Viendrait  lui  révéler !

.

En un bel écrin de lumière

Mon vaisseau s’est avancé,

En avant  puis  en  arrière,

À  l’explorer,  et à  volonté.

En des  mouvements  lents,

Où chacun prend son temps

De s’accrocher  à ces parois,

De cette caverne  d’Ali-baba.

Pour emporter  …  son trésor,

Par le dedans,   par  le  dehors,

Attendant : sésame    ouvre-toi,

Que la porte  se  fende,  sous soi,

En  vaisseau, de  pleine  tempête,

Qu’il  trouve  refuge, sur  la crête,

Sur  le  fond  d’une  longue  quête,

Partagée  entre l’ange … et la bête.

Cette  belle symbolique des fluides,

Mécanise de mouvement plein/vide

Mais l’intention,  énergie en retour,

Sont généralement signe d’amour !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

707 4

.

Piédestal avec un trophée,

Ou ses deux mains jointes,

Ou alors un écrin ouvert,

Mais sans un sexe dedans.

.

Ecrin et sexe vont bien ensemble

même si des fois, direct et craint,

on peut y mettre bijou ou caillou,

et ainsi la forme comblera le fond.

.

Un écrin est quelque chose

Qui absorbe et qui protège :

L’allusion sexe femme parait

Évidente et parfois brillante !

.

Symbolique

 .

Définition  mot  écrin

Petit coffret          ou  étui où

L’on met                    des bagues,

Des pier                                 reries et

Des objets                                précieux.

Ensemble                              des joyaux

Contenus                      dans ce coffret.

L’écrin de la            reine : poétique

Contenant, en     tourage, d’une

Chose précieuse, jolie.

.

Descriptif

 .

707 – En écrin de lumière, un esquif avancé

  Alignement central     /  Titre ovale    / Thème  sexualité

Forme en ovale / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : doigt    /   Symbole de fond : sexe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

707 6

.

Un écrin est quelque chose

Qui absorbe et qui protège :

L’allusion sexe femme parait

Évidente et parfois brillante !

.

Symbolique 

.

De nos jours, nous employons couramment

Le signe formé de croix surmontée d’un cercle

Pour désigner le sexe  ou encore  le  genre féminin.

À  l’origine, ce symbole est associé à la déesse romaine

De l’amour et de la beauté : Vénus. Il représenterait plus

Particulièrement le miroir à un pied en forme de croix

Que Zeus lui aura offert comme cadeau de mariage.

.

Celui-ci aurait renfermé « les grâces, les attraits,

Le sourire  engageant, le doux  parler, le soupir

Persuasif, silence expressif, éloquence des yeux ».

Ce symbole représente également la planète Vénus

Et revient, fréquemment, dans d’autres cultures

Avec connotation de féminité, fertilité, ou de vie.

sillonbelge.be/4166/article/2019-05-05/

le-symbole-feminin-dou-ca-vient

 .

 .

Corrélations

Fond/forme

Pour visualiser le sexe féminin,

Certains parleront d’une lumière

Et le sexe masculin : d’une torche,

Lors d’autres  parlent  d’un porche.

Avouons que ça fait une différence :

Difficile de faire la lumière sur objets,

Qui ne seront que purs sujets de désirs,

Qui ne demanderont qu’à … s’assouvir !

 .

.

Vaisseau, ciel, soleil, lumière

.

Scénario

.

Cette lumière procure une atmosphère d’intimité,

celle-ci, d’une émotion  très colorée, incontrôlée,

et celle–là, d’un plaisir, comme étant décuplé !

 .

Visuels et textuels  >>

706 – En un gant huilé, mon doigt s’est enfoncé.

Visuels et textuels >>

.

Une     belle

Mé-ta-phore

S’il  en  est,

Que ce gant,

Bien trempé

Pour   cavité,

Fort avide de

Mouvements,

Pour l’activer,

Jusqu’au  fond

Des    entrailles.

.

En une autre belle

Et pure métaphore

S’il en était, en est,

Que ce    long doigt,

Adroitement dressé,

.

S’il vient  et parvient

En    ces    va-et-vient,

D’humeurs  bien roses

Jusqu’à une apothéose,

Amour, qu’on dit sexuel,

Ou bien encore…charnel.

.

En un gant, fort bien huilé,

Mon doigt  se sera  enfoncé

Et  le caressant,   à le frotter,

Jusqu’à en devenir contracté.

.

Coups  de  piston   s’explosant

En cette chambre d’admission,

La tension  grimpe, au plafond.

.

Deux temps,  trois  mouvements,

Affolement  général,  et, physique,

Descente rapide, et, piston bloqué,

Les freins viennent juste  de lâcher.

.

Impossible, de se sauver : panique :

Le gant se tord et sous une crampe,

Pressé/tiré voire pompé sans façon

Le doigt lui remplira  tout le fond,

L’enduit, l’enfume, et, le  trempe.

.

Cette belle mécanique des fluides,

Symbolise mouvement, plein, vide,

Mais l’intention, énergie sans retour

Seront, rarement, des signes d’amour.

.

.

Extensions

.

L’amour, il convient de le faire, plus qu’en parler.

Soit ! Mais nous  ne sommes pas  des animaux,

Nous avons la parole, une parole faut l’utiliser.

Celle-ci nous procure maintes représentations,

De ce qu’est l’acte sexuel, symbolique associée.

.

Un acte sexuel totalement étranger au langage

Entre des inconnus peut-il avoir un autre sens

Que de se procurer du plaisir et mutuellement.

L’acte sexuel reste un langage différent de celui

De la parole, une autre manière de dire à l’autre

À quel point on l’aime, tant, dans le cas contraire,

On risque l’interchangeabilité corps, insatiabilité !

.

L’aspect gestuel, mécanique des pratiques sexuelles

Est le même pour tous : ce n’est que sens qui varie.

En ce sens la pornographie singera l’amour alors

Que l’amour n’a rien en lui de pornographique.

Apprendre le sexe, ce n’est pas apprendre

L’amour : il y a un abime entre eux

Qu’il faut combler avec bien plus

Qu’un membre à agiter.

.

On distingue  il y a le doigt, et il y a les doigts :

Le doigt d’une main, les doigts des deux mains,

À faire attention  où  on met le doigt, les doigts,

Pour avoir  mauvaise réaction  comme il se doit.

Le doigt levé d’aujourd’hui  n’est pas de demain ! 

 .

Toute bonne littérature érotique,  regorgera

D’allusions au sexe autant que descriptions,

Portée qu’elle est  entre séduction et action,

Met son doigt pour nous toucher…du doigt.

.

Poésie, littérature  érotique, pornographie :

Ou trois états, visions d’un même acte, fini.

Première vue il peut s’agir de même chose :

C’est selon qu’on l’évoque, le décrit ou l’ose.

.

Une œuvre érotique  peut être  …  poétique,

L’inverse aussi, jamais image pornographie

En la dernière, n’existe pas de sémantiques,

De passer vite à l’action reste son seul souci.

.

.

Épilogue

 .

N’allez pas croire, ici, ce que je ne dis pas

Votre imagination vous jouerait des tours,

Il ne s’agit que d’un doigt comme il se doit

Qui compte autant que sexe, dans l’amour.

***

Un doigt s’enfile en gant, presque tout seul,

Et bien mieux encore quand on a du doigté,

Il s’agira moins d’enfoncer que de caresser,

Un gant ne ressemble jamais à une gueule.

***

Une loi animale, sous la pression du désir

Ouvre en grand l’entrée du doigt du gant

Et il se produira ce qui doit se produire

Remplissage, et tapissage du dedans !

***

Orgasme ne tient qu’à un doigt près

Le plaisir se donne, à pleine mains,

Se rassasiera en un fond de vagin,

Comme deux doigts coupe-faim.

***

Arrive qu’on soit mal à doigts,

Agisse à l’envers, pas endroit,

Et le gant se fige,  se rétracte

Et  impossible  d’y pénétrer.

***

Érotisme est art consommé,

On  ne le dira, jamais, assez,

Celui qui est trop maladroit,

Ne le fera, la prochaine fois !

.

.

706 – Calligramme

 .

Une   *     belle

Méta      phore

S’il     A   en  est

Que     N   ce gant

Bien     T   trempé

Pour     *      cavité

Fort     H  avide de

Mou     U  vements

Pour      I  l’activer,

Jusqu’   L   au fond

Des ent  É     railles.

.

En  une    autre, belle

Et  pure   métaphore,

S’il  en   D    était, est,

Que ce    O   long doigt

 Adroite    I  ment dressé

S’il vient  G   et parvient

En  ces      T  va-et-vient,

D’une hu   *     meur rose

Jusqu’à     E   l’apothéose

D’amour    N    dit  sexuel

Ou  bien     F    dit charnel

En un gant O     bien huilé,

Mon doigt   N  s’est enfoncé

Caressant,    C     à le frotter,

Gant s’est     É   décontracté.

.

Coups  de piston   s’explosant

En cette chambre d’admission

La tension  grimpe, au plafond.

Deux temps,  trois  mouvements,

Affolement  général, et, physique,

Descente rapide, et, piston bloqué,

Les freins viennent juste  de lâcher.

Impossible,  de se sauver, panique :

Le gant se tord et sous une crampe,

Pressé/tiré voire pompé sans façon

Le doigt lui remplira  tout le fond,

L’enduit, l’enfume, et, le  trempe.

Cette belle mécanique des fluides

Symbolise mouvement plein, vide

Mais intention, énergie sans retour

Seront rarement des signes d’amour.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

706 4

.

Ça  ressemble à un doigt,

Probablement,

Ça  ressemble à un désir

Certainement.

.

Qu’un doigt désigne un désir,

Désir se satisfasse par un doigt

Cela est normal comme il se doit

Et ainsi la forme atteint le fond !

.

L’allusion acte sexuel provoquée

Par  ce  doigt est, ici,  tangible :

On  n’y verra  alors  qu’un désir,

De force, plaisir, soumission. 

  .

Symbolique

.

Le doigt est le symbole

De la précision dans les mouvements,

Il représente les détails du moment présent.

Ce peut  être  également parce que l’on ressent

Du regret, remords, on se mord les doigts

Et on culpabilise pour une situation,

Un comportement que l’on a eu.

.

Lever l’index est le symbole

De la force de caractère,

Décisions, l’autorité.

psycho2rue.fr/doigt

.

Descriptif

 .

706 – En un gant huilé, mon doigt s’est enfoncé

  Alignement central     /  Titre droit    / Thème  sexualité

Forme pointue / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : doigt    /   Symbole de fond : désir

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

706 6

.

L’allusion acte sexuel provoquée

Par  ce  doigt  est, ici,  tangible :

On n’y verra  alors qu’un désir

De force, plaisir, soumission. 

.

Symbolique

 .

Il faut     différencier

Le besoin  …    du désir :

Le besoin est issu de pulsions

D’autoconservation, il est associé

À la survie de par ses besoins vitaux

Tels que : manger, boire …  dormir,  etc.

.

Le désir a, pour seul et unique but, le plaisir :

On peut se passer d’un désir mais pas d’un besoin.

Le besoin nécessite un objet réel pour être assouvis,

Le désir peut se contenter d’un objet fantasmatique.

L’objet n’est cependant pas la cause du désir

Mais son moyen d’accomplissement.

philippeblazquezpsychanalyste.com/desirs

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Le doigt du désir peut être myope

Et ne désigner, voir que sexe offert

Ou plus lointain, en visant l’amour,

Sinon,  après lui  … court toujours !

.

Faut-il prendre des gants en amour

Très certainement plus…qu’en sexe

Ou un simple  préservatif suffira

À garantir bonne lubrification

En sus de bonne protection.

 .

.

La main, le gant, le doigt, doigté

.

Scénario

.

Un gant, réalisé pour un seul doigt, mais pour quel doigt !

Ça peut être tout et n’importe quoi, à chacun ma petite idée.

Retirer un gant, en le renversant, n’est pas toujours si facile.

 .

Visuels et textuels >>

705 – Consentir sensuellement au profit du sexe

Visuels et textuels >>

.

Le sexe n’est pas que … physique,

Le sexe n’est pas que mécanique,

Le sexe  n’est pas  qu’hystérique,

Le sexe n’est pas que  pratique,

Le sexe n’est pas que la nique,

Le sexe n’est pas  que piques.

.

Il peut être métaphysique,

Il peut être  romantique,

Il peut être    mystique,

Il peut être   poétique,

Il peut être  onirique.

.

Il peut être magique,

Il peut être consenti

Au profit des sexes,

Sans être amants :

Jeux   complexes !

.

Regards   partagés,

Regards   échangés,

Regards transpercés.

Regards   énamourés.

.

Amour suffit, une fois,

Amour se rempli de soi,

S’il faut le faire deux fois

C’est qu’il vous       déçoit.

.

Rien de tout cela  en sexe,

C’est   le corps    convexe,

C’est  le même  concave,

On remplit de sa lave.

.

Profonds  sentiments,

La fusion de  nos amants,

Leurs amours,  partageant,

Leur don de soi,  pratiquant.

.

Le désir devient un prologue,

Lors le sexe, un monologue,

Le sentiment,  analogue

L’amour : dialogue.

.


.

Extensions

 .

Consentir et sexe sont les deux mots clés

Servant de sésame pour ouvrir les portes

De deux corps enamourés.

Le consentement mutuel  reste une notion

D’acceptation  de contrat  afin que chacun

En tire bénéfice équivalent.

Le consentement forcé est proche d’un viol,

Même si, après, partenaire

S’en trouve finalement, réjoui et le remercie

Entre  volontaire  et  forcé,

Le curseur  se déplace, allant de l’acceptation

Complète  et  bien souhaitée

Au refus total à ce  point de s’en sentir … mal.

Acceptation pour avoir paix,

Est commune  dans les couples, consentement

De réparation avant de passer

À autre chose ou revenir à l’état d’auparavant.

Et c’est parfois pour l’homme,

L’occasion de tester  son pouvoir  de séduction

Ou d’asseoir, une fois de plus,

Son pouvoir de domination : l’enjeu consentir

À l’acte sexuel n’est pas toujours

Identique pour les deux partenaires sans pour

Autant que l’autre le sache, suppose.

 .

Consentir : un mot clé qui ouvre une porte

Consentement mutuel : mots qui emportent

L’espoir d’une jouissance partagée, du moins,

Sur le plan sexuel et plus, si affinité spirituelle.

La femme peut dire non et alors «non c’est non»

Mais l’homme tout autant, s’esquiver, ou refuser.

Comme dit  Gainsbourg« je t’aime, moi non plus »

.

Le sexe n’est pas ceci, cela,

Le sexe peut être : aime cela,

Qui peut prétendre le qualifier

Qui peut prétendre, l’embrasser.

Au-delà plaisir chair, cher plaisir,

Il y aura la finesse et force du corps

Qui prendra le cœur, l’esprit et l’âme,

Comme en tout en sa vision holistique.

.

Consentir au sexe : le maitre mot, lâché,

Dont on ne sait ni le centre ni les contours,

Chacun se croit en son périmètre sémantique

Jusqu’à interpréter un «non» comme un «oui».

Elle a consenti après du seul fait qu’elle aura joui.

Ce qu’on appelle : mettre la charrue avant les bœufs

À moins que ce ne soit prendre ses désirs pour réalité

.

.

Épilogue

.

Qu’est-ce donner son consentement :

Son accord, assentiment, permission.

Il est curieux, qu’en matière  sexuelle,

On ne parlera pas  de lui : que d’elles !

***

Permission n’inclurait pas soumission,

Soumission ne permettrait  perversion :

Ne faudrait pas verser dans l’exagération

En pleine fouge, sans moindre discussion.

***

Il ne saurait y avoir  de plaisir, forcé, violenté

D’un partenaire ou de l’autre, pas que de genre

Mais cela, il est vrai, on ne le dirait jamais assez,

L’amour à la hussarde est comme lance enfoncée.

***

Elle préfèrera un pendentif qui se balance, un peu

Beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout :

Prenant son temps  et son rythme  jusqu’au bout,

Où tout n’est que plaisir,  où tout n’est que jeux.

***

Pour la femme, non dira non et pas peut-être

Un non qui veut dire oui, n’existent chez elle

Cela deviendra une interprétation abusive,

Qui se rapproche d’un viol non consenti.

***

Or, parfois, en amour, femme varie

Elle a dit oui, et au milieu du gué

Elle vous dit non, c’en est assez,

Le partenaire devra accepter.

.

.

705 – Calligramme

 .

$

Le sexe n’est pas        S            que physique,

Le sexe n’est pas       E       que mécanique,

Le sexe n’est pas      N        qu’hystérique,

Le sexe n’est pas     S       que  pratique,

Le sexe n’est pas   U       que la nique,

Le sexe n’est pas  E        que piques.

Il peut être mé    L      taphysique,

Il peut être ro    L       mantique,

Il peut être       E      mystique,

Il peut être     M     poétique,

Il peut être    E    onirique,

Il peut être   N  magique,

Il peut être  T   consenti

.

Au profit    du sexe

Sans être  amants

Jeux complexes.

.

Regards partagés,

Regards    *   échangés,

Regards   C      trans      A   percés.

Regards   O         énam         U     ourés,

Amour     N             suffit           *  une fois,

Amour se  S            remplit           P      de soi,

S’il faut le  E              faire               L   deux fois

C’est qu’il  N             vous              A       déçoit.

Rien        T            de cela          I    en sexe,

C’est      I         le corps     S   convexe,

C’est     R    même    I   concave,

Remplit      R    ses laves.

.

Profonds  sentiments,

La fusion de  nos amants,

Leur amour  S     partageant,

Don de soi,    E      pratiquant.

Le désir est   X   un prologue,

Lors le sexe  E   monologue,

Le sentiment,  analogue

L’amour,  dialogue.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

705 4

.

Une décoration d’un ordre

 Militaire,  civil,  ou privé,

Ou encore un pendentif

D’amour par soi-même.

.

Pendentif et amour, pendentif d’amour,

l’un ne va pas sans l’autre pour médaillon

lors, si la forme ne ressemble pas au fond,

elle l’évoque tout de même plus qu’un peu.

.

De l’amour, très probablement,

Du sexe, très certainement :

Les deux se mêlent en pendentif  

Parfois difficile à séparer.

Symbolique de forme

 .

Symbolique 

 .

Courant utilisé depuis l’Antiquité

Pour représenter le centre : organe

Du cœur de l’activité … émotionnelle,

Spirituelle, morale voire intellectuelle.

.

Un cœur rouge sera… principalement

Utilisé comme symbole de l’amour

Il est, parfois, traversé  de  flèche,

Illustrant l’intervention d’Éros,

Ou bien brisé, représentant

Alors une  déconvenue

 Amoureuse.

.

Descriptif

 .

704 – Tout va bien, est bien, en va-et-vient     

  Alignement central / Titre droit cercle / Thème  sexualité

Forme  ronde  / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : pendentif    /  Symbole de fond : amour

.

.

Fond

 .

Évocation

.

705 6

.

De l’amour, très probablement,

Du sexe, très certainement :

Les deux se mêlent en pendentif  

Parfois difficile à séparer.

.

Symbolique

 .

Les pendentifs peuvent

Avoir  diverses  utilités  au-delà

La fonction strictement ornementale.

Le rôle esthétique est aujourd’hui l’une

Des motivations du port de pendentifs.

.

Le rôle identitaire serait également une

Raison fréquente du port de pendentifs.

Ceux-ci peuvent être d’origine religieuse

Tels  croix, étoile, talisman mais aussi

À connotation sexuelle, ou, en signe

De soutien à certaines mouvances

Comme les tendances punk.

Modifié, source : Wikipédia

 

 

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amour sous forme de pendentif

Qu’on porte au cou et sur le cœur,

Voilà l’objet symbole d’un bonheur

Si tant est qu’elle reflète sentiment,

Il peut représenter tout autre chose

Tout comme tatouage noir ou rose,

Tout comme appartenance à secte

Ou à l’écologie comme les insectes

Le cœur reste d’amour, étendard

 .

.

Comme ça au moins c’est clair

.

Scénario

.

Consentir sera souvent le privilège de la femme

comme si celui de l’homme  serait acquis d’avance

avec toutes les femmes  qui s’offriraient à leurs yeux !

 .

Visuels et textuels >>

1085 – Sexe, amour et poésie font un même chant !

Visuels et textuels  >>

.

Le sexe et l’amour

Font bon ménage,

On le sait : merci !

Amour  et poésie :

On le sait autant,

Par conséquent :

Sexe  et  poésie,

Même … chant.

L’amour penche

D’un côté, autre,

Ou alors des deux

Et simultanément !

.

Pas de poésie sans sexe,

Mais sexe existe sans poésie

Ce sera bien là, toute la différence

Entre orgasme bestial  et romance.

Sexe, amour, poésie, ne  sont  qu’un

Seul et même chant  pour un… divin

Moment passé  en bonne compagnie.

.

On ne peut  s’enfoncer, dans l’absolu,

On ne peut que pénétrer en un corps

Plus ou moins habillé, si ce n’est, nu,

On y trouve sa jouissance, délivrance

Au-delà de vices, en deçà  de vertus.

.

Un être qui ne jouit, jamais, s’ennuie,

Non pas des autres, mais bien de lui :

Comme le bon vin,  amour se partage,

Et, si dieu nous l’a  donné en héritage,

C’est pour nous osciller entre fou/sage

.

Au-delà des  gestes,  au-delà des mots,

Il n’y a qu’amour, en panne, ou galop,

Extase n’est pas  l’orgasme, sarcasme,

Il dure et dure encore, comme baume

Au cœur qui vous chante son bonheur

J’ai oui de vous que vous me désiriez !

.

J’ai jouis de vous et votre corps entier.

Je me réjouis avec vous d’un tel péché,

Je me ré-enfouis sous votre aile aimée,

Et je m’épanouis en votre plaisir inouï.

.

Que ce soit, la couleur la forme,  le son,

Et je n’exclue ni les gouts  ni les odeurs,

Tout en vous m’attire, et soutire soupir,

Jusqu’à  extrême  pointe de mes désirs,

Qui n’en finiront jamais de m’assouvir.

.

On parle de bulle : néant c’est un océan

De douceurs, de vapeurs et de chaleurs,

Qui inonde nos âmes et jusqu’à l’infini,

Qu’on croit avoir rêvé,  avoir bien joui,

Alors qu’on a passé la nuit, seul, au lit.

.

.

Extensions

 .

Entre vie courte et sexe long,

Entre sexe bon  et vie longue,

Entre sexe court  mais canon,

Il faut choisir avant de partir,

Tant, au moment de mourir,

Le corps disparait, enterré

Ou brulé, ne connaitrait

Plus de désir, plaisir.

Votre âme éthérée,

Et bien qu’épurée

Ne pourra guère

Le faire revenir !

Sexe, amour, poésie,

Font un même champ,

De plaisirs renouvelés.

.

Sexe ou  poésie, les deux extrêmes en amour :

Le premier consommant, second, sublimant

Le sexe, le chantant et puis le débandant,

La poésie divinisant  l’amour, l’amant

Mais si l’un n’empêche pas l’autre

Poésie est fulgurance d’esprit

Sexe est décharge produit.

.

Achèvement

#

Sexe, amour et poésie, avez-vous dit :

C’est boire du vin, manger du pain béni

Et ce jusqu’à son saoul et jusqu’à satiété :

Bulle parenthèse dans notre monde étriqué.

.

Le vent de l’histoire nous pousse vers le haut

Autant que vers le bas, à en avoir le vertige.

Impossible qu’un état d’équilibre se fige :

Il n’y a que le spectaculaire qui prévaut.

.

Peut-on dire  autant  de poésie et sexe :

Poésie nous élève lors sexe nous abaisse.

Je vais vous dire une chose, je le confesse :

J’ai trouvé beaucoup de poésie dans le sexe.

.

.

1085 – Calligramme

.

Le sexe et l’amour

Font bon ménage,

 On le sait : merci !

Amour et poésie :

On le sait autant,

 Par conséquent :

Sexe  et  poésie,

Même … chant.

L’amour penche

D’un côté, autre,

Ou alors des deux

Et simultanément !

.

Pas de poésie sans sexe,

Mais sexe existe sans poésie

Ce sera bien  S   là, toute la différence

Entre orgasme     E    bestial et romance.

Sexe, amour, poésie,     X     ne sont qu’un

Seul et même chant pour     E     un… divin

Moment passé en bonne     *    compagnie.

On ne peut s’enfoncer,    A     dans l’absolu,

On ne peut que péné     M  trer en un corps

Plus ou moins habil     O  lé, si ce n’est, nu,

On y trouve sa jouis    U  sance, délivrance

Au-delà de vices, en   R      deçà  de vertus.

     *

Un être qui ne jouit,   P   jamais, s’ennuie,

Non pas des autres,   O   mais bien de lui :

Comme le bon vin,    É   amour se partage,

Et, si dieu nous l’a   S    donné en héritage,

C’est pour nous    I  osciller entre fou, sage

Au-delà des     E  gestes, au-delà des mots,

Il n’y a      * qu’amour, en panne, ou galop,

Extase    F   n’est pas  l’orgasme, sarcasme,

Il dure    O    et dure encore comme baume

Au cœur  N   qui vous chante son bonheur.

J’ai oui de  T    vous que vous me désiriez !

* …………………….

J’ai jouis de  U   vous et votre corps entier !

Je me réjouis   N   avec vous d’un tel péché,

Je me ré-enfouis  *     sous votre aile aimée,

Et je m’épanouis en  M   votre plaisir inouï.

Que ce soit, la couleur    Ê  la forme,  le son,

Et je n’exclue ni les gouts   M  ni les odeurs,

Tout en vous m’attire, me sou E  tire soupir

Jusqu’à  l’extrême  pointe de  *  mes désirs,

Qui n’en finiront jamais de    *   m’assouvir.

                         C

On parle de bulle,  néant    H  c’est un océan

De douceurs, de vapeurs A   et de  chaleurs,

Qui inonde nos âmes    N   et jusqu’à l’infini

Que l’on croit avoir  T rêvé, avoir bien joui,

Alors que  l’on a passé  sa nuit, seul, au lit !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1085 4

.

Forme bouteille,

Probablement,

De  bouteille

D’amour !

 .

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

La bouteille évoque les sexes :

 Goulot, masculin ; corps, femme 

Et de même,  pour ses contenus :

 Amour, élixir et poésie, ivresse !

.

Symbolique

 .

Il y a peu de temps encore,

Le vin tenait de l’appétence

De  la seule gente masculine.

Si les femmes pouvaient boire

Et apprécier le vin, il semblait

En effet contraire aux usages

Qu’elles  le manipulent,  en

Débouchant la bouteille

Ou en le servant à table.

.

Origine de cet interdit ?

Pourquoi  reproche-t-on

Aux  femmes, indisposées

De faire « tourner » le vin ?

Pourquoi dit-on qu’il fait plus

«Tourner la tête» … des femmes ?

journals.openedition.org/lhomme/23718

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1085 6

.

La bouteille évoque les sexes :

 Goulot, masculin ; corps, femme 

Et de même,  pour ses contenus :

 Amour, élixir et poésie, ivresse !

 .

Symbolique 

 .

L’amour relève de la symbolique

De l’union des opposés.

Il est pulsion fondamentale de l’être,

La libido qui pousse chacun

À se réaliser  dans  l’action.

.

Ce passage à l’acte ne se produit que

Par le contact avec l’autre,

Par  une  suite   d’échanges

Et matériels et sensibles et spirituels

Qui sont autant de chocs.

.

L’amour tend à surmonter

Tous ces antagonismes, à assimiler

Des choses différentes,

À les intégrer dans une même unité.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amour du vin et le vin de l’amour

Rejoignent, tous deux, sorte poésie

Qui émoustille les papilles et esprit

Et lors se clôturant, parfois, au lit,

Sauf évidement, s’il y a un interdit

À la différence du vin, si on en boit

Trop, on finira par devenir saoul,

Lors le sexe se limite de lui-même,

Par une perte d’énergie soudaine.

 .

.

Do mi sur sol est fa si la ré … ver

.

Scénario

.

Sexe

amour,

et poésie.

.

Visuels et textuels  >>

658 – Comme un volcan, qui, soudain explose

Visuels et textuels  >>

.

De se retenir posséder

Femme qui  n’en peut,

Mais  veut  tendresses,

Plus que  jeu de fesses.

Lors, son attrait cesse :

Elle ne sera  plus dispo,

Un très cher ami servira

Un moment  de tampon,

Elle n’est pas  qu’un trou,

À ta disposition, eh Ducon.

.

Ce week-end,  je serai absent

Calme-toi avec autre et de bon,

C’est pas qu’elle le rejette, déteste,

Elle aime ça aussi de temps en temps

Mais c’est qu’elle n’ait pas son mot à dire

Qui lui déplait  alors que  lui, s’y complait !

.

Comme un vieux volcan qui, de nouveau, explose

Un jour, suite à nombre de ses détonations et qui ose

Venir dénier ses vraies, réelles capacités à se réaliser

Comme un être entier, comme être bien membré.

Comme le jaillissement d’une volonté  de survie,

Depuis fort longtemps et, qui sourdait, à l’envi,

Propulsant son geyser de feu, sinon de braise.

.

Qui se révolterait contre une telle  fournaise !

Amoureuse, le voyant cracher langue et dent

Est partie, ailleurs, chercher amour, amant,

Attendant une nuit et un jour  en se disant

Qu’il va calmer, son sens mâle, autrement.

Mais la nuit est dévastatrice et à souhait

En tous cas bien  plus qu’il  n’y  parait :

Amoureuse est intervenue…trop tard :

Il ne sait plus que faire, de son dard.

.

La leçon  de cette histoire est nulle

Si sa belle n’est pas là lors il brule,

C’est qu’il n’existe plus, pour elle,

Qu’elle peut reprendre ses ailes.

Si du couple, cette métaphore,

En vaut bien d’autres, encore

Elle illustre, bien, la cassure

Qui révèle profonde fêlure,

Fêlure, de quelle nature !

.

Allez savoir, d’inculture

Est l’amour, sans sexe

À en faire  complexe,

De cratère où jaillit

Des mots,  vérités

Laissant penser

Tout est fini.

S’aimer,

Plus

V

.

.

Extensions

 .

Comme

Un volcan qui,

Soudain … explose,

L’amour, coup de foudre,

En fait  de même  et il suppose

Que l’énergie qui s’en dégage durera

Longtemps éructant ses laves et fumées

Durant des jours, mois et voire des années.

Sauvage serait l’amour quand il vous secoue ;

Sauvage est l’amour,  quand  il vous fait  le coup

De pénétrer dans vos entrailles, et fendre l’armure

Qui vous défend d’une intrusion violente en intimité.

.

Du rouge, sang, du rouge, feu, du rouge lave …  partout,

Dès qu’il s’agit d’irruption d’amour, d’éruption de volcan

Tant quelque chose, à l’intérieur des entrailles, s’explose,

Sous la poussée de trop fortes émotions, réarrange tout,

Et font qu’il y aura désormais un profond changement

Mais qui peut s’amoindrir, s’amincir, avec le temps

Dès que l’un des deux, se refroidir plus vite, ose

Et l’on quitte alors vertiges des apothéoses.

.

Le sexe, dans l’amour, serait  comme  explosion,

Que certains  nomment désir ; d’autres, pulsion.

Toujours est-il qu’il est, en l’instant, consommé,

Ne saurait être ni retardé, ni différé, ni annulé.

.

Si on parle d’explosion on parle aussi orgasme,

Si possible en montée progressive et simultané,

Qui culmine pour l’homme quand il va éjaculer

Pour la femme, corps en soubresauts, spasmes.

.

Ici, les choses se seront précipitées, mélangées,

Il fallait, pour la femme, un exutoire à son envie

Si fait qu’elle se sera trompée entre mari et ami,

Chose qui, avouez-le, serait une sorte d’infidélité.

.

.

658 – Calligramme

.

De se retenir     C           posséder

Femme qui      O        n’en peut,

Mais  veut       M     tendresses,

Plus que         M     jeux fesses

Lors, son at   E   trait cesse :

Elle  ne sera  *     plus dispo.

Un très cher  V   ami servira

Un moment   O  de tampon,

Elle n’est pas  L   qu’un trou,

À sa dispositi  on eh Ducon,

Ce week-end,    A  je serai absent

Calme-toi avec    N  autre et de bon

C’est pas qu’elle le, *    rejette,  déteste,

Elle aime ça aussi  Q   de temps en temps

Mais c’est qu’elle   U  n’ait pas son mot à dire

Qui lui déplait       I    alors que lui, s’y complait !

Comme vieux vol   *    can qui, de nouveau, explose

Un jour, suite à nom   S  bre de ses détonations et qui ose

Venir dénier ses vraies  O   ou réelles capacités à se réaliser,

Comme un être entier       U         comme être bien membré.

Comme le jaillissement      D        d’une volonté  de survie,

Depuis fort longtemps        A     et, qui sourdait, à l’envi,

Propulsant son geyser         I     de feu sinon de braise.

Qui se révolterait contre     N     une telle  fournaise !

Amoureuse, le voyant cra     *     cher langue et dent

Est partie ailleurs chercher  E          amour amant,

Attendant une nuit et un    X    jour  en se disant

Qu’il va calmer, son sens   P    mâle, autrement.

Mais la nuit est dévasta  L    trice et à souhait

En tous cas bien  plus  O   qu’il  n’y  parait :

Amoureuse est inter  S  venue…trop tard :

Il ne sait plus que  E  faire, de son dard.

La leçon  de cette *   histoire est nulle

Si sa belle n’est    pas là lors il brule,

C’est qu’il n’existe  plus, pour elle,

Qu’elle peut reprendre ses ailes.

Si du couple, cette métaphore,

En vaut bien d’autres, encore

Elle illustre, bien, la cassure

Qui révèle profonde fêlure,

Fêlure, de quelle nature !

Allez savoir, d’inculture

Est l’amour, sans sexe

À en faire complexe,

De cratère où jaillit

Des mots, vérités

Laissant penser

Tout est fini.

S’aimer,

Plus

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

658 4

.

Pointe de lance

Ou apparenté,

C’est certain,

Sinon cratère ?

 .

Pointe de terre et de volcan cratère

vont avec possible explosion de laves,

si ce n’est de fumées dans l’atmosphère,

tant et si bien que la forme évoque le fond.

.

Volcan ne pointe vers le bas :

Le plus souvent ….  Vers le haut,

Mais sa cheminée et son cratère,

Sont toujours évasés, non évasifs !

.

Symbolique 

 .

Les

Éruptions

Volcaniques

Sont particulièrement

Commentées en mythologie,

En religion, puis en littérature.

Phénomène spectaculaire terrifiant,

Il n’a cessé de pointer des  curiosités,

Voire des  légendes  et  des superstitions.

Associées à l’extraordinaire et à la figure

Du monstre, les colères de la terre ont été

À l’origine des histoires …  les plus folles !

lepoint.fr/culture/les-volcans-machines-a-mythes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

658 6

.

Volcan ne pointe vers le bas :

Le plus souvent ….  Vers le haut,

Mais sa cheminée et son cratère,

Sont toujours évasés, non évasifs !

  .

Symbolique

 .

Un cratère

Volcanique …..  est

Une dépression circulaire

Elliptique se trouvant au sommet

Ou parfois sur flancs d’un volcan formé

Par l’explosion ou l’effondrement du volcan.

Il peut avoir des tailles variables allant de quelques

Mètres à plusieurs dizaines de kilomètres de diamètre.

Les cratères peuvent se remplir d’eau et former des lacs.

Wikipédia : cratère

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Nombre de gens  pointent  du doigt

La comparaison sinon la métaphore,

Entre l’amour passion et une éruption

Volcanique, puissante, emportant  tout

Sur son passage  et parfois destructrice

De vies humaines tout comme à Pompéi,

Quand on ne l’associe pas à colère divine

Qui vient punir les humains, d’une faute !

 .

Amour volcanique

.

Scénario

.

Explosion, c’en est une, volcanique, grandeur phénoménale.

Qu’est-ce c’est ? C’est chaud bouillant, et même, explosif.

Une main froide donne un doigt à une main chaude !

 .

Visuels et textuels  >>

640 – Faire l’amour avec sa tête ou avec son pied !

Visuels et textuels >>

.

Avec tête et pied, l’amour

Jeu de mot bien accordé

À l’humeur   l’humour,

Partenaire et associé

Prendre   son  pied,

Est  une  expression

Pour dire  que sa tête,

Pleinement … satisfaite.

.

Évidemment, on entretient

La confusion des extrémités

Étant peu faits pour se parler

Mais  les deux restent reliés.

.

Un qui pense un qui baise,

Un qui pense  qu’à baiser

Un qui baise à penser,

De la tête au pied :

Autant postures

Que montures.

.

Faire l’amour avec sa tête, ou son pied,

L’important n’est-il qu’ils… s’accordent

Qu’en cela et en tout, tiennent la corde,

Pour mieux ressentir bonheur premier !

.

Dans la réalité, son pied se prend la tête,

En voulant jouer le cavalier, seul, en fête.

Si, l’important est d’atteindre l’orgasme :

On fécondera, en tête, délire et fantasme.

.

J’ai un ami qui pense, un autre qui baise :

Faut pas rêver, sans baiser, je ne suis rien,

D’autre que  simple esprit fort mal à l’aise,

De ne pas sentir plaisir de chair jouir bien.

.

Vous comprenez  alors que, dans un couple,

Si l’un baise avec sa tête et l’autre, son pied,

La situation reste  frustrante : ne peut durer

Si l’autre le lui reproche, même étant souple.

.

Si fait, cela se reproduit, et devient supérieur,

L’un ou l’autre décidera de rompre triste état,

Et cette fois, c’est, de l’intérieur… qu’il s’en ira

Pour chercher, ailleurs, une posture meilleure.

.

.

Extension

 .

Notre cerveau est reconnu

Comme étant organe humain

Le plus aphrodisiaque de tous.

Il  secrète  toutes les substances

Et, les hormones qu’il faut, pour

Faire l’amour avec le partenaire.

.

Point  n’est besoin  d’en  rajouter

Pour  prendre son pied,  à moins

Que  l’anxiété  de  ne pas réussir

Ne pas parvenez pas à contenir,

Vous coupera  tous vos moyens.

.

On se contente  alors  de séduire

Et de se faire aider pour le reste,

Les choses  se font, normalement,

Et naturellement quand on s’aime.

.

Il n’y a guère qu’en absence d’amour

Que l’on doit faire face à un problème.

Mais l’inverse sera vrai, aussi, parfois,

L’amour vient entacher  la perfection

Du geste par un surcroit d’émotions.

.

Faire l’amour, pour prendre son pied,

Faire du pied pour prendre l’amour,

Pourquoi le pied est-il en amour :

Et la tête alors, on en fait quoi

On la laisserait à ses pieds !

.

Faire l’amour, c’est prendre son pied

Une expression populaire, s’il en est !

Faire l’amour n’est pas  prise de tête :

Autre expression populaire, s’il en est !

Alors faire l’amour  de la tête aux pieds,

Est mienne sans qu’elle soit kamasoutra.

.

Le pied, il est vrai est le plus loin qui soit

De la tête : pour autant, se s’ignorent pas,

Bien au contraire, ils sentent, collaborent,

Pour établir cet équilibre,  cette harmonie

Entre ce qu’on pense, qu’on dit, qu’on fait :

Qui nous laisse sans mouvement, sans voix ?

.

.

640 – Calligramme

 .

Avec tête et     F   pied, l’amour

Jeu de mot   A  bien accordé

À l’humeur   I      l’humour,

Partenaire  R    et associé

Prendre     E     son pied

Est  une     *   expression

Pour dire        L     que sa tête,

Pleinement        ‘            satisfaite.

Évidemment        A        on entretient

La confusion         M      des extrémités

Étant peu faits     O      pour se parler

Mais  les deux     U      restent reliés.

Un qui pense     R     un qui baise,

Un qui pense    *      qu’à baiser

Un qui baise  A     à penser,

De la tête   V     au pied :

Autant E     postures

Que  C montures.

.

*****************

**********************

SA TÊTE

Faire l’amour avec sa tête, ou son pied,

L’important n’est-il qu’ils… s’accordent

Qu’en cela et en tout, tiennent la corde,

 Pour mieux ressentir bonheur premier !

 .

                      Dans la réalité, son pied se prend la tête,

                     En voulant jouer le cavalier seul en fête.

                        Si, l’important est d’atteindre l’orgasme :

                       On fécondera, en tête, délire et fantasme.

 .

J’ai un ami qui pense, un autre qui baise :

Faut pas rêver, sans baiser, je ne suis rien,

D’autre que  simple esprit fort mal à l’aise,

 De ne pas sentir plaisir de chair jouir bien.

 .

                        Vous comprenez alors que, dans un couple,

                        Si l’un baise avec sa tête et l’autre son pied,

                         La situation reste frustrante : ne peut durer

                          Si l’autre le lui reproche, même étant souple.

 .

Si fait, cela se reproduit, et devient supérieur,

L’un ou l’autre décidera de rompre triste état,

Et cette fois, c’est, de l’intérieur… qu’il s’en ira

Pour chercher, ailleurs, une posture meilleure.

OU SON PIED ?

.

.

Forme

.

.

Évocation

.

640 4

.

En haut, sorte de jarre,

Et en bas, une pile de livres

Mais ce ne seront pas les objets

Qui comptent, c’est la personne.

 .

Une jarre n’a rien à faire avec l’amour

Même si elle peut évoquer un utérus

Comme tout autre récipient creux :

La forme se distingue donc du fond

 .

On peut croire qu’il s’agit d’utérus

Lors c’est une jarre :

Quoiqu’il en soit, ce n’est pas l’objet

Qui compte : la personne.

 .

Symbolique 

 .

En mythologie grecque,

La jarre est associée

 À Pandore.

Contenant les

Maux de l’humanité.

Mais  Pandore, malgré

L’interdiction très formelle

De Zeus,    n’a pas   pu  résister

À la curiosité de découvrir ce qu’il

Y avait dans cette jarre l’ouvrit

Tous les maux s’échappèrent,

Sauf l’espérance, qui resta

Au fond du récipient.

Elle   symbolise

Abondance.

1001symboles.net/

ymbole/sens-de-jarre

.

Descriptif

.

640 – Faire l’amour avec sa tête ou son pied ?

Alignement central / Titre serpente / Thème  sexualité

Forme en ovale / Rimes variées  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : jarre  / Symbole de fond : personne

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

On pourrait croire qu’il s’agit d’utérus

Lors c’est une jarre :

Quoiqu’il en soit, ce n’est pas l’objet

Qui compte : la personne.

 .

Symbolique 

 .

Le symbolisme est une partie

Essentielle d’un récit pour déployer

Une myriade d’émotions chez le lecteur,

Moyen de réveiller des intuitions ou des

Représentations bien choisies et étudiées.

.

Si moi je trouve le symbolisme fascinant,

C’est parce que cela me permet de lier

Des scènes entre elles, d’approfondir

Relations personnes personnages

Sans avoir à les dire explicitement,

Mais simplement avec un jeu de symboles.

leahendersen-auteur.fr/les-symboles-dans-la-fiction

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Se prendre la tête

Pour prendre …  son pied

N’est pas idéal, n’est pas conseiller.

.

Faire l’amour est un chose  si naturelle

Qu’il n’est nul besoin de se faire des nœuds

Dans le cerveau ni de se mélanger les pieds

Comme on le fait en tableau, des pinceaux !

.

En fait on fait l’amour de la tête aux pieds

Sans réfléchir, sans s’évader, se parler,

C’est bien mieux ainsi pour s’écouter,

Se mettre en phase pour orgasmer.

 .

.

Une jarre, un utérus !

.

Scénario

.

Entre certitude féminine et interrogation masculine : tête ou pied.

Expressions  suivre traces de pieds, prendre son pied, perdre pied.

À première vue, c’est bien écrit : il s’agit là que de pendre son pied.

 .

Visuels et textuels >>

1027 – Des gens disent, c’en est assez, finissons-en !

Visuels et textuels  >>

.

Quand on ne sait pas aimer,

On n’y parviendrait pas bien.

C’est à l’autre de tout accepter,

Et, de son côté, l’on ne fera rien.

Au bout de plusieurs négociations

Au bout de plusieurs changements,

On finit par se faire  bonne raison :

La vie en couple est un châtiment.

Rester seul plutôt que de souffrir,

À deux, reprocher mutuellement

Un désaccord de tempérament,

Plutôt partir, plutôt mourir.

.

Bien des gens, et parfois bien jeunes,

Disent que  c’en est assez, finissons-en,

J’ai tant souffert d’amour déçu…perdu,

Que désormais, rideau je n’en peux plus.

Ce sont, des passionnés, amoureux fous,

Qui vivent  l’amour exclusif,  pour la vie,

Si ce n’est  celui-ci, personne  ne pourra

Le remplacer, être son égal ou sa moitié.

.

Ce terrible aveu,  si  l’en est,  sans appel,

Je l’ai connu aussi, et, je m’en  rappelle :

Ma joie a fini par l’emporter sur la peine,

Souffrance et je me suis à nouveau marié.

Car, vouloir aimer sans jamais en souffrir,

Est comme  de vouloir voler, sans ses ailes,

L’amour n’est pas printemps… d’hirondelle,

Il puise ses racines en une source profonde.

.

Cette source  se remplit  de joie, et se tarira

Dès que l’aimé  s’en va, et s’il ne revient pas,

Assoiffé, l’on devient, en un désert de… mort

Où tout a disparu, où tout n’est  que désastre.

Désarmé, déprimé, dépressionné, tous les dés

Sont jetés avec trois fois rien  à  se raccrocher,

Qui s’appelle  l’espoir de voir  briller en le noir,

Cœur qui bat pour vous,  prêt  à vous consoler !

.

Consolation  n’est pas raison, n’est pas passion :

Il arrive qu’elle fasse effet, et prenne  le dessus :

Les bleus en cicatrices et blessures se referment,

De paralysées, vos jambes se mettent à marcher.

Marcher vers  un nouvel amour, nouvelle liberté,

Qui ajoutera ses joies, souffrances aux premiers,

.

Jusqu’à ce que mort, définitivement vous sépare

D’amants successifs  dont vous en aviez … marre

Je ne veux  plus aimer, je ne veux plus … souffrir.

Comment rester fermer, comment ne pas s’ouvrir

Quand la vie  n’a de sens  que dans l’élan d’autrui

À faire de vous, un ange réjoui, démon  de minuit

La souffrance d’aimer mérite en soi, récompense,

Son énergie vous pousse plus haut qu’on y pense.

.

.

Extensions

 .

C’en est assez, finissons-en :

Le  rideau tombe, la pièce

De théâtre est terminée,

On passe à autre chose,

On en écrira une autre,

Très bientôt en tenant

Compte  des   erreurs

Toutes  précédentes ;

Erreurs de  casting,

Et même histoires,

Ou mise en scène !

.

Comment peut-on finir avec le sexe, quel que soit l’âge

Surtout s’il englobe en lui, la sensualité  et la tendresse.

Toute pratique du sexe : oui ; toute pensée : j’en doute !

Les sexes, pris pour eux-mêmes,  sont interchangeables,

C’est le reste : corps, cœur, esprit, âme, qui ne l’est pas

Abstinence complète : faire vœu de chasteté  supposée,

Car qu’en est-il au juste, dans les faits, dans la réalité ?

 .

Il ne faut pas confondre nous dit Sigmund Freud,

Le sexe et la sexualité qui est bien plus englobante

.

L’on ne pourrait guère échapper à cette dernière,

Du fait qu’elle est plus dans notre tête que corps.

.

Sa sensualité et libido sont représentations de soi

Et à la fois énergie vitale pour vivre avec d’autres.

.

Lors même en refusant tout plaisir d’ordre sexuel,

Si le désir n’est pas sublimé on en est prisonnier !

.

Il peut en découler  désordres de comportements,

Que la loi réprime, comprime, et voire supprime !

.

.

1027 – calligramme

.

G  E  N  S    D   I  S  A N T :

 Quand on ne sait pas aimer,

    On n’y parviendrait pas bien.

         C’est à l’autre de tout accepter,

            Et de son côté, l’on ne fera rien.

                  Au bout de plusieurs négociations

                     Au bout de plusieurs changements,

                      On finit par se faire  bonne raison :

                      La vie en couple est un châtiment.

                      Rester seul plutôt que de souffrir,

                     À deux, reprocher mutuellement

                   Un désaccord de tempérament,

               Plutôt partir, plutôt mourir.

                    J’ E  N     A   I     A  S  S  E  Z,

                               Bien des gens, et parfois bien jeunes,

                                 Disent que  c’en est assez, finissons-en,

                                 J’ai tant souffert d’amour déçu…perdu,

                                   Que désormais, rideau je n’en peux plus.

                                   Ce sont, des passionnés, amoureux, fous,

                                  Qui vivent  l’amour exclusif,  pour la vie,

                                 Si ce n’est  celui-ci, personne  ne pourra

                                  Le remplacer, être son égal ou sa moitié.

                                Ce terrible aveu,  si  l’en est,  sans appel,

                                Je l’ai connu aussi, et, je m’en  rappelle :

                                 Ma joie a fini par l’emporter sur la peine,

                                Souffrance et je me suis à nouveau marié.

                                Car, vouloir aimer sans jamais en souffrir,

                                Est comme  de vouloir voler, sans ses ailes,

                                L’amour n’est pas printemps… d’hirondelle,

                               Il puise ses racines en une source profonde.

                            Cette source se remplit de joie, et se tarira

                              Dès que l’aimé  s’en va, et s’il ne revient pas,

                             Assoiffé, l’on devient, en un désert de… mort

                             Où tout a disparu, où tout n’est que désastre.

                            Désarmé, déprimé, dépressionné, tous les dés

                          Sont jetés avec trois fois rien à se raccrocher,

                          Qui s’appelle  l’espoir de voir  briller en le noir,

                         Cœur qui bat pour vous,  prêt  à vous consoler !

                        Consolation  n’est pas raison, n’est pas passion :

                    Il arrive qu’elle fasse effet, et prenne  le dessus :

                   Les bleus en cicatrices et blessures se referment,

                 De paralysées, vos jambes se mettent à marcher.

                A  L  O  R  S   O U I   F I N I S S O N S – E N !

             Marcher vers  un nouvel amour, nouvelle liberté,

            Qui ajoutera ses joies, souffrances aux premiers,…

          Jusqu’à ce que mort, définitivement vous sépare,…

       D’amants successifs  dont vous en aviez … marre…..

       Je ne veux plus aimer, je ne veux plus … souffrir,…….

      Comment rester fermer, comment ne pas s’ouvrir……….

    Quand la vie  n’a de sens  que dans l’élan d’autrui,………..

  À faire de vous, un ange réjoui, démon  de minuit…………..

La souffrance d’aimer mérite en soi, récompense,……………..

Son énergie vous pousse plus haut qu’on y pense………………..

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1027 4

.

Homme, ou femme,

Tous deux la tête altière,

Sexe en bandoulière :

Allez, du balai !

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Du balai, du balai, allez oust,

C’est fini, désormais, dehors, du vent :

Le couple, le sexe, c’est fini, pourtant

J’aurai tout essayé mais en vain.

 .

Symbolique 

 .

Je sens que j’ai besoin

D’un ménage personnel,

D’un bon coup de balai

Comme on dit parfois.

.

Un ménage en mes émotions,

Un ménage dans ma profession

Mes relations, et mes actions, etc.

Je sens que j’ai besoin d’un balai

Pour chasser  les éléments qui

Encombrent  mes  émotions,

Mes pensées et  mes gestes,

Et voire même mes rêves.

.

Mes  mains  seront-elles

Assez fortes rudes pour

Faire un tel nettoyage.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1027 6

.

Du balai, du balai, allez oust,

C’est fini, désormais, dehors, du vent :

Le couple, le sexe, c’est fini, pourtant

J’aurai tout essayé mais en vain.

 .

Symbolique 

 .

La déchirure d’amour,

Au-delà de la souffrance,

Douleur  d’amour,  comporte

Souvent comme corollaire la haine.

Après l’amour, pourquoi tant de haine ?

Les blessés de l’amour souffrent d’un mal

Lié à leur objet d’amour. Sans l’objet,

Ils se sentent seuls abandonnés,

Délaissés,  voire désespérés,

Ou simplement déprimés.

Le sujet est ainsi en crise

Dans  une   blessure  du

Souvenir  et  mémoire.

Les destins de l’amour

Divergent entraînant

Retentissements fini.

Cairn.info/revue-cliniques-

mediterraneennes-2004-2-page-147

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Ça ressemble fort à faire le vide en soi,

Trier ce qu’on garde et jette à la poubelle.

La mode est au recyclage : si rien n’est bon

Pourquoi  vider  son grenier  dans sa cave,

Si ce n’est  après tout ça, réciproquement !

Faire table rase du passé est un vœu pieu,

On ne bâtira nouvelle histoire que sur lui.

 .

.

Nombre pensent que ça l’est

.

Scénario

.

Finissons-en avec le sexe par abstinence totale, par sécurité,

je ne suis pas seul, des femmes auront choisi  la même voie,

et choisir qui, pourquoi, comment les satisfaire longtemps. 

 .

Visuels et textuels  >>

1026 – Est-ce ma tête qui gouverne le sexe ou non !

Visuels et textuels >>

.

Est-ce tête qui gouverne le sexe

Ou contraire, qui peut le savoir, dire,

Qui peut le prétendre, ou, le contredire !

À quinze ans, sûr, c’est lui  qui commande.

.

L’assouvir requiert du temps, après qu’il ploie

Après qu’il plie, qu’il   se détend, qu’il se retend

Et à soixante-quinze ans, c’est la tête qui reprend

Le gouvernail et lors, vaille que vaille, abandonne

Nouvelle proie à d’autres chasseurs plus bandants.

.

Entre quinze et soixante-quinze, cela fait soixante,

Si le compte est bon, bien qu’à ce que l’on raconte

Que certains joueraient encore  les prolongations.

Et, contre mauvaise fortune, lors, dès cinquante,

Perdu en plein mitan du lit, femmes et hommes

Tempèreraient ardeurs  contre leur bon cœur.

.

Vrai que fougue de la jeunesse reste cadeau du ciel,

Comme une drogue dure, rendant dépendant sexe :

D’autant que premier sexe, ils perdront complexe.

La sagesse, de la vieillesse, est un cadeau de miel

Drogue douce rendant émouvant de tendresse,

Il est moins question  de concave ou convexe.

.

Substance aphrodisiaque peut parfois pallier

À une faiblesse d’un Priape  qui ne peut plus

Plus, à moitié se lever donc en sus de baiser,

Problème  il y a, si concentration, répétition

N’apportent plus aucune satisfaction totale.

.

Là où le sexe va se fourrer, il n’y a que col

Sans tête que col qui s’entête à réclamer

Son   dû   pour  jouir  de tout   superflu.

.

Le sexe n’est rien autre qu’un instrument,

Naturel pour procréer que Dieu en sa bonté,

A donné une carotte à ce bâton.

.

La jouissance de l’orgasme et pas seulement

Un mois, ou deux, dans l’année, mais douze,

Pour bien  multiplier l’humanité.

.

Ah mais vous n’y êtes pas, vous n’y êtes plus :

Que faites-vous des pédés, et puis des homos,

Lesbiennes, transsexuelles, curés.

.

Pardon au curé, abstinence, vœu de chasteté.

Aux autres, si religion ne les aura condamnés,

Ni  la Nature les aura rachetés.

.

Freud aurait dit que cet « obscur objet du désir »

N’est pas sexué comme on prétend, reste à définir.

Le sexe n’est pas le seul lieu du désir ni du plaisir :

J’ai oui dire qu’un chien peut satisfaire madame.

.

.

Extensions

 .

Une question

À la fois physique

Et … métaphysique,

Tant,   si   l’attraction

Du corps  ne se produit,

Ou  ne se reproduirait pas,

Sans cesse, sans se dégrader,

L’esprit, bien qu’étant toujours

Autant présent, transformera

L’amour charnel en amitié.

C’est bien souvent la tête

Qui gouverne le sexe,

Surtout limbique.

 .

Forcément mon cerveau y est pour quelque chose dans le sexe

C’est lui qui gouverne les tensions, postures, paroles et gestes !

Mais pas que … si j’ose parler ainsi, un flot d’autres sensations,

Tant internes qu’externes vient accompagner, nourrir, émotion

Qui grandit en moi, en nous, dans un acte ou dans le fantasme.

.

Le sexe serait soumis partiellement seulement

Aux phéromones et à quelque réflexe animal !

.

Pour le reste, ce sera l’étage supérieur, la tête

Qui en décide, qui le contrôle et qui l’assume.

.

On a parfois rapproché humains et bonobos :

Y a des points communs mais autres finalités

.

Tel celui de consommer  le sexe  pour le sexe :

Mais attention, un jour la tête décompensera.

.

.

1026 – Calligramme

.

Est-ce tête qui gouverne le sexe

Ou contraire, qui peut le savoir, dire,

Qui peut le prétendre, ou, le contredire !

À quinze ans, sûr, c’est lui qui commande :

L’assouvir requiert du temps, après qu’il ploie

Après qu’il plie, qu’il      se détend, qu’il se retend

Et à soixante-quinze ans,    c’est la tête qui reprend

Le gouvernail et lors, vaille    que vaille, abandonne

Nouvelle proie à d’autres  T chasseurs plus bandants.

Entre quinze et soixante    Ê  quinze, cela fait soixante,

Si le compte est bon, bien     T     qu’à ce que  l’on raconte :

Certains joueraient encore         E                les prolongations. —-

Contre mauvaise fortune,                 *              lors, dès cinquante, —–

Perdu en plein mitan du lit,               G            femmes et hommes ——-

      Tempèreraient leurs ardeurs         O        contre leur bon cœur. ——–

       Vrai que fougue de la jeunesse  U   reste un cadeau du ciel, ——–

         Comme une drogue dure, les   V   rendant dépendant sexe : ——–

       D’autant que premier sexe   E        ils perdront complexe. ——–

   La sagesse, de la vieillesse,  R      est un cadeau de miel ———

 Drogue douce rendant     N    émouvant de tendresse, ———

Il est moins question      E      de concave ou convexe. ———-

Substance aphrodisi       *     aque peut parfois pallier ———–

   À une faiblesse d’un       S         Priape qui ne peut plus ————-

     Plus ou à moitié se        E       lever en dépit de baiser. —————

            Problème  il y a si        X        concentration, répétition——————

            N’apportent plus         E     aucune satisfaction totale. —————–

Là où le sexe va se fourrer, il n’y a que col

Sans tête que col qui s’entête à réclamer

Son   dû    pour    jouir   d’un    superflu.

.

Le sexe n’est rien autre qu’un instrument,

Naturel pour procréer que Dieu en sa bonté,

A donné une carotte à ce bâton.

 .

La jouissance de l’orgasme et pas seulement

Un mois, ou deux, dans l’année, mais douze,

Pour bien  multiplier l’humanité.

 .

Ah mais vous n’y êtes pas, vous n’y êtes plus :

Que faites-vous des pédés, et puis des homos,

Lesbiennes, transsexuelles, curés.

 .

Pardon au curé, abstinence, vœu de chasteté.

Aux autres, si religion ne les aura condamnés,

Ni  la Nature les aura rachetés.

.

Freud aurait dit que cet « obscur objet du désir »

N’est pas sexué comme on prétend, reste à définir.

Le sexe n’est pas le seul lieu du désir ni du plaisir :

J’ai oui dire qu’un chien peut satisfaire madame.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1026 4

.

Certains y voient une tête ;

D’autres  y  voient  un  sexe ;

D’autres, diverses projections :

Chacun son fantasme après tout.

.

(forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

C’est un peu comme si ma main gauche

ignorait tout ce que fait ma main droite

la tête et le sexe restent reliés à ce point

que le sexe ferait parfois perdre la tête.

.

La tête  gouverne le sexe, chez l’humain,

Ne le remplit pas :

Pour distinguer on parle sexe au-dessus,

En dessous de ceinture.

 .

Symbolique 

 .

La tête est la partie qui

Domine le corps,  le siège de

La pensée  et de  la  communication.

Elle symboliserait : l’identité,  l’émotion,

L’intelligence, la communication, la volonté.

.

La tête est la partie du corps  la plus sensitive.

Elle concentre la vue, l’ouïe, l’odorat  et le goût.

.

C’est la partie du corps qui renferme le cerveau,

Le siège de la pensée et du contrôle de l’ensemble

Des comportements. La tête serait donc la partie

La plus importante, la plus complexe du corps.

.

Ainsi, la tête représente en quelque sorte

L’interface entre le monde extérieur

Et la réalité intérieure.

1001symboles.net/

symbole/sens-de-tete

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1026 6

.

La tête  gouverne le sexe, chez l’humain,

Ne le remplit pas :

Pour distinguer on parle sexe au-dessus,

En dessous de ceinture.

 .

Symbolique 

 .

Il est clair que les hommes

Sont des mammifères complexes.

L’excitation  sexuelle  n’est pas  que

Liée à des stimuli sensoriels du sexe,

Ne conduit pas toujours à l’acte sexuel

Sans aucune intervention  de  pensées

Ou des émotions, fort heureusement.

.

Fondements de l’excitation sexuelle

Chez la femme, tout reste à faire.

Mais l’on pariera aisément que

C’est, encore, plus compliqué.

Source : doctissimo.fr/html/sante

/mag_2000…/cerveau/sexe

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Le sexe est d’abord et avant tout un organe,

Fait pour la reproduction, fait pour le plaisir

Il est aussi une  preuve d’amour, attachement

 et une source d’énergie positive et destructrice,

Sa libido, pour Freud, est logée en son cerveau

S’il n’y a pas de fantasmes : pratique bestiale,

Le sexe pour le sexe, ne construit jamais rien.

On croit parfois le tromper avec stupéfiant

Mais s’il revient à la charge : déception !

 .

.

Ma tête dit oui ou non à mon sexe

.

Scénario

 .

On dirait que non tant tout contact intime avec elle suffit à m’exciter,

mon cerveau et ma main sont parfois en harmonie parfois en conflit,

 je me demande si ce n’est pas l’alcool qui stimule mon désir de sexe ?

 .

Visuels et textuels >>

1025 – Les fatigués et les déçus des plaisirs du sexe

Visuels et textuels  >>

.   

Comment peut-on être fatigué

Comment peut-on être déçu,

Des  plaisirs  liés  au  sexe !

Fatigué d’en user de trop,

Déchu d’être impuissant

Oui, cela  se comprend

Car cela s’est déjà vu,

Mais sinon, voyons,

Quand l’on s’aime

De s’en … priver

On est  frustré.

 D’accord  mais

Pas le temps :

Trop  exténué,

Pris d’activités

Envie  de dodo,

Besoin  de repos

Ou mille excuses,

Qui n’en sont pas !

.

Les fatigués ou déçus des plaisirs du sexe,

Sont souvent des gens, arrivés à certain âge,

Bien plus encore  ayant atteint un âge certain,

Qui ont décidé que ce n’était plus  leur priorité.

Ils dorment seuls bien que parfois même à deux

.

Sans jamais se toucher ni même en être désireux

Et l’orgasme n’est plus là au rendez-vous du tout,

Devient une sorte de souvenir,  non un plaisir fou,

Foin  des pénétrations ; même chose  des caresses,

Qui feront  le lit des amours, basés sur la tendresse.

.

Est-ce plus facile, naturel, pour la femme, l’homme,

Vivre ensemble  sans se toucher, indifférent comme :

Nécessités économiques et/ou liens  avec les enfants,

Font  arrangements de toutes natures  et sans heurts,

Lors chacun peut avoir  vraie vie, amoureuse, ailleurs,

S’il souhaite en sauvant la face d’un couple… s’aimant.

.

Vie  amoureuse, plénitude sexuelle, à quatre-vingt ans,

Est tout à fait possible, et plus fréquente qu’on ne croit

Certains jettent l’éponge, à cinquante, si ce n’est trente,

.

D’autres sont insatiables, à en devenir presque pervers.

Que des lois ou aucune dictent comportements sexuels,

Certains ont besoin d’être amoureux pour les pratiquer,

Et d’autres, surtout pas, par peur de trop… s’y attacher,

Quand amour, sexe, ne se conjuguent, c’est  compliqué.

.

Le sexe est comme argent, un moyen, et non fin, en soi

L’intimité est plus rapprochée, au plus profond  de soi,

C’est le cerveau  qui importe, et, plus encore, la pensée

Et là, aucun sexe, ne peut ni la recevoir ni la pénétrer.

.

Que  de  femmes  attendent, de l’homme, le sentiment

D’affection, et quand il demande  de passer à l’action,

Se retirent, s’éloignent en négociant une belle amitié,

Que l’homme prendra pour le refus de tout partager :

Pour ne pas perdre, certaines finissent par consentir.

.

.

Extensions

 .

À défaut d’orgasme commun,

On peut quand même grimper

Aux cieux pour peu que l’on soit

Toujours amoureux.

Mais, si l’on n’est pas présent,

Si l’on n’est pas puissant,

Si l’on n’est pas excitant,

Il ne faut s’attendre à ce que

L’autre vous satisfasse !

.

Il est certain que l’alcool potentialise le sexe à un certain degré

Mais comme pour la cigarette, quand c’est trop, c’est plus trop

L’excès de graisse favorise plus la digestion que l’e désir sexuel

En somme, il y a des causes naturelles à une perte de sa libido

Mais, il peut y avoir aussi une lassitude dans un vieux couple

Ou jeune et qui fait que la pulsion, comme la passion, faiblit

Et lors on se retrouve au lit avec un dos tourné qui ne veut.

.

Le sexe ne provoquera systématiquement

Un plaisir à renouveler sans faim … ni fin.

.

S’il y en a qui en usent, confortant l’amour,

D’autres en abusent pour leur propre plaisir

D’autres s’en abstiennent par trop déplaisirs,

Quoiqu’il en soit, fatigue se fait sentir un jour.

.

Alors que faire, d’autre, pour compenser perte

De désirs autant que de plaisirs, de fantasmer

Qu’une femme ou un homme soit à vos pieds.

.

.

1025 – Calligramme

 .

DES FATIGUÉS

Comment peut-on être fatigué

Comment peut-on être déçu,

Des  plaisirs  liés  au  sexe !

Fatigué d’en user de trop,

Déchu d’être impuissant

Oui, cela  se comprend

Car cela s’est déjà vu,

Mais sinon, voyons,

Quand l’on s’aime

De s’en … priver

On est  frustré.

 D’accord  mais

Pas le temps :

Trop  exténué,

Pris d’activités

Envie  de dodo,

Besoin  de repos

Ou mille excuses,

Qui n’en sont pas !

ET DES DÉÇUS DU SEXE  

Les fatigués ou déçus des plaisirs du sexe,

Sont souvent des gens, arrivés à certain âge,

Bien plus encore  ayant atteint un âge certain,

Qui ont décidé que ce n’était plus  leur priorité.

Ils dorment seuls bien que parfois même à deux

Sans jamais se toucher ni même en être désireux

Et l’orgasme n’est plus là au rendez-vous du tout,

Devient une sorte de souvenir,  non un plaisir fou.

Foin  des pénétrations ; même chose  des caresses,

Qui feront  le lit des amours, basés sur la tendresse.

Est-ce plus facile, naturel, pour la femme, l’homme,

Vivre ensemble  sans se toucher, indifférent comme.

Nécessités économiques et/ou liens  avec les enfants,

Font  arrangements de toutes natures  et sans heurts,

Lors chacun peut avoir  vraie vie, amoureuse, ailleurs,

S’il souhaite en sauvant la face d’un couple… s’aimant.

Vie  amoureuse, plénitude sexuelle, à quatre-vingt ans,

Est tout à fait possible, et plus fréquente qu’on ne croit

Certains jettent l’éponge, à cinquante, si ce n’est trente,

D’autres sont insatiables, à en devenir presque pervers.

Que des lois ou aucune dictent comportements sexuels,

Certains ont besoin d’être amoureux pour les pratiquer,

Et d’autres, surtout pas, par peur de trop… s’y attacher,

Quand amour, sexe, ne se conjuguent, c’est  compliqué.

Le sexe est comme argent, un moyen, et non fin, en soi

L’intimité est plus rapprochée, au plus profond  de soi,

C’est le cerveau  qui importe, et, plus encore, la pensée

Et là, aucun sexe, ne peut ni la recevoir ni la pénétrer.

Que  de  femmes  attendent, de l’homme, le sentiment

D’affection, et quand il demande  de passer à l’action,

Se retirent, s’éloignent en négociant une belle amitié,

Que l’homme prendra pour le refus de tout partager :

Pour ne pas perdre, certaines finissent par consentir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1025 4

.

Une pelle, un flacon,

Ou une brosse  à cheveux

Et pourquoi pas un balai 

Pour ramasser poussières ?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Le balai et le sexe, ont peu à faire ensemble,

même si on enfourche aussi bien ce dernier,

cela resterait une image reliée aux sorcières,

et si sa forme évoque elle n’époussette fond.

.

Du balai, plus besoin de cela à la maison :

 Bon débarras :

Du sexe, non ; de la propreté sur soi

Et sa conscience, oui.

 .

Symbolique

 .

Si le balai

Est associé au nettoyage,

Il est tout aussi  bien associé à la

Purification et à l’épuration spirituelles.

Un nettoyage spirituel… en quelque sorte,

Une purification de soi  et des lieux  sacrés.

.

En plus de servir à la purification des lieux,

Il peut tout aussi bien servir à les protéger !

Il est parfois associé à symbolique sexuelle

Dans nombres de textes et de légendes.

.

Plusieurs coutumes folkloriques

Comportant un balai peuvent

Se rattacher à un contexte sexuel

lailaseshat2.canalblog.com/archives/2008

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1025 6

.

Du balai, plus besoin de cela à la maison :

Bon débarras :

Du sexe, non ; de la propreté sur soi

Et sa conscience, oui.

 .

Symbolique de fond

 .

Il est clair que les hommes

Sont des mammifères complexes.

L’excitation sexuelle n’est pas

Uniquement liée à des stimuli

Sensoriels du sexe et ne

Conduit pas forcément

À l’acte sexuel sans

Intervention des pensées

Et des émotions (heureusement)…

.

Quant aux fondements de l’excitation

Sexuelle chez la femme, tout reste à faire.

Et l’on pariera aisément que

C’est encore plus compliqué…

doctissimo.fr/html/sante/mag_

2000…/cerveau/sexe

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Tout ce qui aura rapport au sexe, du balai.

Facile à dire, pour un temps, mais toujours :

Comment s’en priver sans perdre aussi amour,

Car si frigide, sans orgasme, le cœur n’y est plus

Il reste la tendresse, les caresses et câlins appuyés

Et la libido, comme chacun le sait, peut se sublimer,

En d’autres jeux, d’autres œuvres, passions nouvelles,

Et ainsi revenir vers de nouvelles dispositions sexuelles

Au lieu de s’affronter à une impuissance, s’en affranchir

En la contournant, en la réinventant, en la ré-energisant.

 .

.

.

Fatiguée, voire déçue du sexe

.

Scénario

.

Le sexe, ah non, pour moi, c’est fini, c’est bien trop décevant

en plus l’excès de cigarette, de graisse, d’alcool,  m’y empêche,

je préfère dormir, penser à autre chose, en bref : m’abstenir !

 .

Visuels et textuels  >>

1024 – Des hommes préoccupés par besoin du sexe

Visuels et textuels >>

.

Tandis que les hommes demeureraient préoccupés

En permanence, suite aux besoins de leurs sexes,

Leur montant, à la gorge,  tant que le désir agit,

Sur le feu, comme par un vrai soufflet de forge.

Les femmes y pensent aussi, mais en pointillé,

Elles le font même parfois entre parenthèses,

Tant qu’elles portent leur cœur, en filigrane,

Question de différence, voire, de sensibilité.

.

Côté sexe, cœur : mondes,  comportements,

Évoluent peu  même s’il arrive que les rôles

Sont, alternativement, égalitaires, inversés

«L’homme propose, et, la femme dispose »,

Dit le proverbe se traduisant pour certains

«L’homme s’impose, la femme prédispose»

Ou en se travestissant, pour les derniers.

«L’homme s’oppose, femme l’indispose».

.

À chacun de choisir formule consacrée.

On dit que le désir aurait  ceci de vrai

Qu’il se tarirait dès qu’il est satisfait,

Ou que son absence, nous  permet,

De penser ou de faire  autre chose,

Sinon serions pire … qu’animaux,

.

Tant le désir de partager son âme,

N’a pas toujours  à voir avec sexe

L’on n’est pas une femme, en soi,

On ne le devient qu’à chaque fois

Qu’un homme aimant vous honore

Avec l’espoir de le séduire  encore !

.

Il est à la fois sujet, cause  et prétexte,

Sujet, si l’on va jusqu’à  vivre ensemble,

Cause, si l’on en fait son perpétuel amant,

Prétexte si on le tient pour ami d’un jour !

Et c’est alors qu’on peut livrer son corps

À un vivant, soit un  amant, ami, partenaire,

Tout en gardant mais  virtuellement, son  âme,

Pour un mort, amour disparu, un mari décédé.

.

Pour l’homme il n’y a  pas de partage de l’âme

Sans celui du corps tant c’est « à corps perdu »,

Qu’il tente de l’atteindre  en chœur, en flammes.

Pour la femme, il n’y a  pas  de partage  du corps,

Sans celui de l’âme  c’est   «la mort dans l’âme»

Qu’elle fait mine se   livrer      en se réservant,

À  l’homme élu pour le reste de sa vie.

.

Mais voilà mari de tous les jours

Ne serait pas  l’ami  de  toujours

Connu ou  non  depuis  l’enfance,

Avec qui on fait amour en cachette

Lieux secrets, et temps : bien gardés.

.

.

Extensions

 .

Méandres, arabesques et circonvolutions,

Me direz-vous, et vous n’auriez pas tort.

Toutefois, si les hommes et les femmes

Étaient toujours même longueur d’onde

Lorsqu’ils feraient l’amour, cela se saurait,

Et cela se dirait et cela nous réconforterait !

Il n’en est rien, rarement, temporairement,

Dans cette fusion consubstantielle qui n’a

Rien à voir avec aucun ciel, même de lit.

Il faut donc se rendre à une évidence,

Certes discutable et disputable :

Nous ne sommes pas faits

Pour bien nous entendre,

Nous y sommes contraints

Pour l’équilibre de la Nature

Et son renouvellement et pour

Le bien de la société, l’humanité.

Cela dit, rien ne vous empêche de

Vivre seul, en égoïste …  heureux.

.

Le vin est lié au sexe, à la sensualité, la convivialité :

Il a ce pouvoir de libérer les peurs, appréhensions

Face à l’autre, partenaire potentiel en séduction

Oui mais attention à ne pas dépasser la dose

Parce qu’après, on n’est plus qui propose,

Mais qui trop ose, impose, ou suppose,

Et parfois même s’endort au lieu de…

.

Dieu merci les hommes d’aujourd’hui

Connaitra mieux le désir d’une femme,

Qu’au siècle dernier, siècles précédents

Et cela lui permet de mieux s’y ajuster.

.

C’en serait fini des unions à la hussarde

Où la femme ressent union  proche viol,

Tendresse, préliminaire, a droit de cité,

On attend l’autre, pour l’accompagner !

.

Sinon y a qu’aller de défouler au bordel,

Où aucun acte porno ne satisfait couple.

.

.

1024 – Calligramme

.

Tandis que les hommes demeureraient préoccupés

En permanence, suite aux besoins de leurs sexes,

Leur montant, à la gorge,  tant que le désir agit,

Sur le feu, comme par un vrai soufflet de forge.

Les femmes y pensent aussi, mais en pointillé,

Elles le font même parfois entre parenthèses,

Tant qu’elles portent leur cœur, en filigrane,

Question de différence, voire, de sensibilité.

Côté sexe, cœur : mondes,  comportements,

Évoluent peu  même s’il arrive que les rôles

Sont, alternativement, égalitaires, inversés

«L’homme propose, et, la femme dispose »,

Dit le proverbe se traduisant pour certains

«L’homme s’impose, la femme prédispose»

Ou en se travestissant, pour les derniers.

«L’homme s’oppose ; femme l’indispose».

À chacun de choisir formule  consacrée.

L’on dit que le désir aurait  ceci de vrai

Qu’il se tarirait dès qu’il est  D  satisfait,

Ou que son absence, nous      E   permet,

De penser ou de faire autre     S     chose,

Sinon serions pire…qu’ani        *    maux,

Tant le désir de partager son     H      âme,

N’a pas toujours à voir avec        O       sexe

L’on n’est pas une femme en        M        soi,

On ne le devient qu’à chaque       M         fois

Qu’un homme aimant vous          E     honore

Avec l’espoir de le séduire            S       encore !

Il est à la fois sujet, cause          *      et prétexte,

Sujet, si l’on va jusqu’à          P     vivre ensemble,

Cause, si l’on en fait son       R         perpétuel amant,

Prétexte si on le tient        É            pour ami d’un jour !

Et c’est alors qu’on           O                   peut livrer son corps

À un vivant, soit un           C                   amant, ami, partenaire,

Tout en gardant mais          C                       virtuellement, son  âme,

Pour un mort, amour           U                     disparu, un mari décédé.

Pour l’homme il n’y a             P                      pas de partage de l’âme

Sans celui du corps tant        É                     c’est « à corps perdu »,

Qu’il tente de l’atteindre         S                   en chœur, en flammes.

Pour la femme, il n’y a    Q    pas     L      de partage  du corps,

Sans celui de l’âme       U     c’est     E  «la mort dans l’âme»

Qu’elle fait mine se   E      livrer      *        en se réservant,

À  l’homme élu      *      pour le    S    reste de sa vie.

Oui mais voilà   P     mari de   E   tous les jours

Ne serait pas    A   l’ami de  X         toujours

Connu ou non  R  depuis  E      l’enfance,

Avec qui on fait l’amour en cachette

Lieu secret, temps : bien gardés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1024 4

.

Vase avec un col

Et une anse, servant

 Probablement pour le vin 

Appelée généralement carafe ?

.

(forme creuse, rimes libres,

le fond s’approche de forme)

.

un long col de cygne et un  réservoir

on croirait une matrice de la femme :

lors il s’agit là d’image approximative,

forme évoque le fond sans s’y confondre

.

Pour certains, il n’y aurait nul

Besoin d’une carafe pour baiser.

Le vin, comme chacun sait, excite 

Son esprit et voire sa bestialité.

.

Symbolique 

 .

La carafe est plus qu’une bouteille,

Car on a pris la peine d’y transvaser

L e liquide, un  précieux  liquide  qui

Méritait un contenant à sa hauteur.

Elle est symbole féminin qui promet

Fécondité, richesse à moyen terme.

Encore faut-il qu’elle soit pleine !

Elle annonce de la joie,

Des événements agréables

Qui rendent force et vigueur.

Expression «Rester en carafe»

Renvoie aussi  à l’interprétation

De la carafe vide,  aux abandons,

Frustrations, arrêts dus aux oublis,

Et autres désagréments.

wikireve.fr/dir/4446-carafe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1024 6

.

Pour certains, il n’y aurait nul

Besoin d’une carafe pour baiser.

Le vin, comme chacun sait, excite

Son esprit et voire sa bestialité.

.

Symbolique

..

Le vin est une boisson alcoolisée

Obtenue par la fermentation du raisin,

Symbolise : ivresse, plaisir, folie, convivialité.

Mythologie grecque : le vin est associé à Dionysos

L’équivalent de Bacchus dans la mythologie romaine,

Le vin fait partie des symboles  de la Culture française,

Au même titre que la baguette ou le béret ou le fromage.

Dans le monde, il représente l’art de vivre à la française.

Cela en fait symbole de l’identité nationale.

1001symboles.net/symbole/sens-de-vin

.

.

 Corrélations

.

Fond/forme 

 .

À confondre

L’amour du vin,

Et le vin de l’amour,

Trop saoul, l’on devient,

À en être dépendant des deux.

On peut se passer de l’un, l’autre,

Et même de deux, sobriété, chasteté,

Mais toute sublimation a ses limites

À quoi bon la vie si l’on en profite !

Vaut-il mieux finir toute carafe,

Que d’y rester prendre baffe :

Le sexe débande lors saoul,

Le vin, à terre, vous roule.

 .

.

Le sexe en avant toujours plus haut

.

Scénario 

.

Sexe, en dépendance physiologique, comme une autre drogue,

qui atteint son corps, le rendant esclave jusqu’au plus profond,

lorsque ce n’est pas son cœur, si ce n’est son esprit, voire âme !  

.

Visuels et textuels >>

632 – Un afflux de sang n’est jamais innocent

Visuels et textuels >>

.

Un afflux  de sang  et  qui  monte  aux joues

Les  faisant rosir,  ou  rougir, malgré  soi,

De honte, de gêne,  de désir,  de plaisir,

Parfois plaisant,  souvent  embêtant.

.

S’il est  de sang, n’est pas innocent

Dépend pourquoi, dépend de qui.

Entre femmes  juste  événement,

Avec homme,   c’est déclaration.

.

Afflux de sang augmente encore,

En proportion  d’un corps  à  corps,

Qu’emprunte, qu’affronte, qu’effronte

L’émotion vers la joie,  ou vers la honte,

Lors tel afflux de sang, atteint le cerveau,

Il  est trop tard pour espérer le contrôler.

.

Un afflux de sang n’est, jamais, innocent,

Qu’il soit aux joues  au  ventre ou partout,

Il  en résulte  la cause,  l’effet,  d’émotions,

Que l’on ne contrôlera  et  d’aucune  façon.

.

Celui-ci enflamme bien corps, fille, partout,

La mettant en embarras et cause son tracas,

Comme si, elle  s’avouait  en  être … touchée,

Choquée par ce que vous  avez  dit,  ou  fait !

.

Celui-ci monte aux lèvres, petites  et grandes

Les rosissent sans fards  ni rouges  artificiels,

Lui fait sentir quel qu’antichambre  d’un  ciel

Quand homme, en son sein, l’habite, la hante.

.

Il arrive que ce soit de peur ou voire de honte

Qu’il s’agisse de son front, subissant affronts,

Rougir d’avoir été insulté, parfois malmené

Quand en les yeux s’éteint sa pudeur salie.

.

Un afflux de sang n’est jamais innocent

Surtout pendant l’effort très important

Pour le contrôler, ne pas  s’épancher,

Avant qu’il soit tard pour l’éponger.

.

Allumer, en ses yeux, une  lumière

Qui scintille, sous un flux  de sang

Parvenant à illuminer en cerveau,

Cet arbre de noël   des plus beaux,

Affolant ses  nerfs, et ses  humeurs,

Tout autant sinon plus que son sang

Pour les retrouver comme innocents,

D’interdits partagés venant de tomber.

.

.

Extension

 .

Un afflux de sang ne serait jamais innocent,

En quel qu’endroit du corps qu’il arrive,

Rougir de plaisir après rugir de désir :

Nos sensations, des plus animales

Conditionnent à se sentir bien, mal,

Femelle, mâle, terne, original.

Est-ce mieux d’avoir sang chaud

Que d’avoir du sang-froid.

 .

Le sang chaud démarre

Au quart de tour quand

Le sang-froid demande un temps

À monter en température.

Le sang chaud se doit de garder

Son sang-froid pour ne pas

Partir avant  que l’autre  n’atteigne

Son plateau pour que tous deux

Montent encore ensemble au plus haut.

.

Vasodilatation et vasoconstriction ont racine commune avec vase

Par remplissage ou par gonflement  ou par  conjugaison les deux

Mais pour autant que le sang  afflue  aux joues, ne les gonfle pas,

Il indique seulement fort état émotionnel inconscient qui se voit

Et qui est le fruit d’une certaine timidité maladive, incontrôlée.

Le pire serait de le faire remarquer, provoquant honte ou gène

Et en contrepartie un rejet de celui qui l’a dit,  comme goujat !

.

Le sang étant rouge, dès lors que la peau

Sur les joues se teinte de la même couleur,

De façon innocente, inconsciente, incontrôlée

On peut parier apparition très fortes émotions

.

Il peut aussi bien s’agir  d’une joie très intense,

Que de timidité maladive sous effet de surprise

Ou encore conséquemment à une humiliation,

Culpabilité ou honte suite à une réprimande.

.

Bien qu’ici il s’agirait plutôt d’un amour

Que quelqu’une cherche à dissimuler

Afin de ne pas trahir ses émotions,

De se trouver en vulnérabilité.

.

Comme  quoi  un cœur

Pas  qu’un   muscle :

Est le modérateur

De flux sanguin

Amoureuse

Transie.

.

.

632 – Calligramme 

.

Un afflux  de sang  et  qui  monte  aux joues

Les  faisant rosir,  ou  rougir, malgré  soi,

De honte, de gêne,  de désir,  de plaisir,

Parfois plaisant,  souvent  embêtant.

 S’il est  de sang, n’est pas innocent

Dépend pourquoi, dépend de qui.

Entre femmes  juste  événement,

Avec homme,   c’est déclaration.

Afflux de sang augmente encore,

En proportion d’un corps à corps,

Qu’emprunte, qu’affronte, qu’effronte

L’émotion vers la joie,  ou vers la honte,

Lors tel afflux de sang, atteint le cerveau,

Il  est  trop  tard, pour  espérer  le  contrôler.

.

Un   afflux    de   sang  n’est,    jamais, innocent,

Qu’il soit aux joues      A         J   au ventre partout,

Il en résulte la cause   F                 A   l’effet d’émotions,

Que l’on ne contrôlera  F                       M  et d’aucune façon.

Celui-ci enflamme bien  L                            A  corps, fille, partout,

La mettant en embarras  U                               I   et cause son tracas,

Comme si, elle  s’avouait  X                                 S  en  être … touchée,

Choquée par ce que vous   *                                  *   avez  dit, ou  fait !

Celui-ci monte aux lèvres  D                                I   petites et grandes

Les rosissent sans fard ni  E                              N  rouges artificiels,

Lui fait sentir quel qu’anti *                           N chambre d’un ciel

Quand homme, en son sein S                       O l’habite,  la hante.

Il arrive que ce soit de peur A                 C ou voire de honte,

Qu’il s’agisse de son front    N             E subissant affront,

Rougir d’avoir été  insulté   G       N parfois malmené

Quand en les yeux s’éteint   *  T    sa pudeur salie.

.

Un afflux de sang n’est    jamais innocent

Surtout pendant l’effort très important

Pour le contrôler,  ne pas  s’épancher

Avant qu’il soit tard pour l’éponger

Allumer, en ses yeux, une  lumière

Qui scintille, sous un flux  de sang

Parvenant à illuminer en cerveau,

Cet arbre de noël   des plus beaux,

Affolant  ses  nerfs, et ses  humeurs,

Tout autant sinon plus que     son sang

Pour les retrouver comme         innocents,

D’interdits partagés venant             de tomber.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

632 4

.

Vase ancien, décoré

Peut-être période étrusque

Mais qui est de toute beauté

Avec comme cœur en corps !

 .

Vase ancien, avec ou sans anse

manipulé toujours avec aisance

se comporte comme cœur qui bat,

et évoquera dès lors afflux de sang.

.

Quel  rapport  entre un vase ancien

Et un afflux de sang :

Aucun, bien qu’il ressemblerait un peu

À un cœur qui bat !

  .

Symbolique 

 .

L’assimilation symbolique

Du cœur au vase ancien

Et à la coupe remonterait

Assez  loin  dans le  passé.

Déjà, en ancienne Égypte,

Il serait hiéroglyphe  cœur.

.

En druidisme, existait, aussi

Quelque chose de tel et la coupe

Présentée par la jeune fille à celui

Qu’elle avait choisi, lors du repas

De fiançailles, signifiait très

Clairement don du cœur.

.

Descriptif

 .

632 – Afflux de sang n’est jamais innocent 

Alignement central / Titre analogue / Thème  humeur

Forme courbe / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : vase ancien  / Symbole de fond : cœur

.

.

Fond

.

Évocation 

.

632 6

.

Quel  rapport  entre un vase ancien

Et un afflux de sang :

Aucun, bien qu’il ressemblerait un peu

À un cœur qui bat !

 .

Symbolique 

.

Dans les traditions modernes,

Le cœur  est devenu  le symbole

De  l’amour profane,  de la charité

De l’amour, amitié et de la droiture.

Cœur, l’organe central de l’individu,

Correspondra à la notion de centre.

L’occident en aura fait  le siège des

Sentiments  tandis  que  toutes les

Civilisations  viendront  ajouter

L’intelligence  puis    ’intuition

Tant culture traditionnelle,

Connaissance, n’excluent

Pas toutes  valeurs

Affectives.

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

.

Un vase en forme de cœur

Un cœur en forme de vase :

Il est plus fréquent d’évoquer

Un utérus  en  forme  de vase

Mais le cœur y sera autant,

Vase peut contenir sang 

Qui coule, se répand

Pour quelqu’un,

En vous

Oui

.

.

Guerrier victorieux

.

Scénario

.

Afflux de sang aux joues : signe d’un intérêt sentiment puissant

dont le smiley ne fait aucun doute, aucune cachotterie ni complexe

Ce qui n’est pas le cas de cette charmante femme, l’air un peu timide.

 .

Visuels et textuels >>

610 – Il ne m’est point besoin d’aller en eaux

Visuels et textuels  >> 

.

Amour charnel, n’est pas, au bas mot,

Qu’une pénétration …   loin s’en faut :

Toutes les périphéries égalent centre

Il n’y a pas que faux lit, d’un ventre,

Qui puisse satisfaire  belle passion,

Où tout se passe … en vibrations.

.

Caresser l’âme est métaphore,

Pour dire que l’on s’aime fort

Et l’orgasme  devient extase,

Prélude à toute  interphase.

.

Il ne m’est point besoin d’aller en eaux

Profondes ni d’assouvir quel qu’assaut,

Pour caresser ton âme,  à fleur de peau,

Offerte en cadeau, parmi les plus beaux.

.

Lors pensée monte en rebond

Tout plaisir de la chair se tasse,

Ou alors, elle plane en lévitation,

Jusqu’apogée même de sa passion.

 .

Te voir, te toucher, te humer, te palper,

Et surtout, toutes tes formes, les épouser,

Avec  mains  agiles, douces   pour  manier

La caresse et la tendresse et jusqu’à satiété.

.

Car il ne m’est point besoin en toi d’orgasme

Pour susciter,  multiplier   chairs,  fantasmes

Lors tes membres se mêlent fort aux miens,

Font partie de moi comme   lots très divins.

.

Dont j’hérite,  et je profite,  et dont j’invite

À communiquer tous pores, avec  ma peau,

Sur terrain charnel de jeux très rapprochés

À communier au plus près de nos intimités.

 .

Au bout d’un prélude,   plus ou moins long,

Sacrifice s’achève, sur un très bel abandon,

 Et, s’il n’est essentiel qu’ainsi,  nous aimons,

Nous aurons au moins franchi … le Rubicon.

.

.

Extension

 .

Aimer plaisir

Et le plaisir d’aimer

Seront complémentaires,

Second peut se passer d’union,

Et se satisferait du rapprochement

Corps, caresse substitue pénétration.

Rubicon est un interdit, danger de se

Bruler les ailes pour tomber en un

Précipice, sans issue, autre une

Solitude à deux, incomprise

De tous, y compris

De sa famille.

.

Tous les corps se ressemblent, plus ou moins

Toutes les âmes sont différentes et uniques

Les corps sont souvent interchangeables

Les âmes sont de nature authentique

Si vous préférer corps aquatique

Allongé, sur  plage  de sable,

Faites-vous vite à l’idée :

On peut le remplacer.

.

Préludes, ou préliminaires amoureux,

Peuvent parfois se suffirent en eux-mêmes

Pour satisfaire deux partenaires à l’extrême,

N’ayant besoin que de cela pour être heureux.

.

Du temps où on se faisait la cour avant baiser,

On appelait cela « un flirt » ou encore relations

Plus ou moins platoniques,  sans conséquences,

Pour assouvir une envie de sensualité passagère.

.

La tension d’aujourd’hui, entre le sexe et orgasme,

Fait que toute phase d’approche est plus raccourcie :

On va droit au but, droit au fait, droit à la pénétration

Ce n’est pas un jugement en soi, juste un fait de société.

.

Où tout doit aller vite, tout doit être efficace, mis en valeur

Prendre le temps est, à certains, un luxe ; autres, un gâchis

Or, sans fantasme, sans projection, sans attente, tout désir

S’émousse et faire l’amour ressemblera alors à un devoir.

.

.

610 – Calligramme 

 .

Amour charnel, n’est pas, au bas mot,

Qu’une pénétration …   loin s’en faut :

Toutes les périphéries égalent centre

Il n’y a pas que faux lit, d’un ventre,

Qui puisse satisfaire  belle passion,

Où tout se passe … en vibrations.

 .

Caresser l’âme est métaphore,

Pour dire que l’on s’aime fort

Et l’orgasme  devient extase,

Prélude à toute  interphase.

.

*************************

*************************

.

IL NE

Il ne m’est point besoin d’aller en eaux

Profondes ni d’assouvir quel qu’assaut,

Pour caresser ton âme,  à fleur de peau,

Offerte en cadeau, parmi les plus beaux.

.

Lors pensée monte en rebond

Tout plaisir de la chair se tasse,

Ou alors, elle plane en lévitation,

Jusqu’apogée même de sa passion.

M’EST

Te voir,   P   te toucher, te humer   A   te palper,

Et surtout,  O      toutes tes formes,  L   les épouser,

Avec mains    I        agiles, douces     L     pour manier

La caresse et   N       la tendresse,     E   jusqu’à satiété.

Car il ne m’est    T      point besoin    R  en toi d’orgasme

Pour susciter,      *      multiplier       *   chairs fantasmes

Lors tes membres   B     se mêlent    E     fort aux miens,

Font partie de moi   E     comme     N    lots très divins.

Dont j’hérite, et je     S    profite,     *     et dont j’invite

À communiquer tous  O   pores     E     avec  ma peau,

Sur terrain charnel de  I   jeux   A    très rapprochés

À communier au plus  N près  U  de nos intimités.

          X

Au bout d’un prélude, plus ou moins long,

Sacrifice s’achève, sur un très bel abandon,

 Et, s’il n’est essentiel qu’ainsi,  nous aimons,

Nous aurons au moins franchi … le Rubicon.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

610 4

.

Foyer extérieur avec cheminée,

Un réservoir, un verre, une mèche,

Une lampe à pétrole, c’est bien sûr

D’intensité lumineuse variable.

.

Parler d’eau et l’imager par le feu

une lampe et intensité lumineuse,

peut paraitre décalé ou incongru,

pour autant forme évoque le fond.

.

L’amour fonctionnerait  comme une

Flamme de lampe tempête 

Accroîtra son intensité lumineuse

Jusqu’à éblouir  bien avant  de s’éteindre

.

Symbolique 

.

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

À huile ou bien à pétrole,

Représente toujours lumière

Intérieure, avec une  énergie,

Des capacités, des talents  que

L’on maîtrise … parfaitement.

C’est  l’homme  qui    maîtrise

La lumière avec un certain

Pouvoir pour l’allumer

Et pour d’éteindre.

La lumière est le

Symbole  de  la

Connaissance

Vraie, pure.

.

Descriptif

.

610 – Il ne m’est point besoin d’aller en eaux 

Alignement central / Titre analogue / Thème sexualité

Forme variées / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe  / Symbole de fond : intensité

.

.

Fond

 .

Évocation

.

610 6

.

L’amour fonctionnerait  comme une

Flamme de lampe tempête 

Accroîtra son intensité lumineuse

Jusqu’à éblouir  bien avant  de s’éteindre

 .

Symbolique 

 .

L’intensité lumineuse

Est une grandeur qui exprime

La capacité à éclairer d’une source

Ponctuelle de lumière en une direction

Dans  un  environnement  plus  obscur,

La vision humaine ne distinguera plus

Les couleurs,  la sensibilité spectrale

Relative est décalée vers le bleu.

On parle de vision scotopique.

Entre les deux domaines de

Luminosité, on parle de

Vision mésopique.

Wiki intensité lumineuse

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Faut-il quelqu’un pour tenir la chandelle

Si l’on fait l’amour dans le noir complet !

Sûr que non, lumière est dans les esprits

Et qui brille dans les yeux d’il avec elle

Mais, paradoxalement, les amants

Ferment les yeux, lors de baiser.

 .

.

Sublimation des corps

.

Scénario

.

Main dans la main, en confiance, on peut faire du chemin ensemble,

et se jeter à l’eau pour être certain de nager dans le même bain,

pour remplir le cadre de la vie commune et voire mariage !

 .

Visuels et textuels  >> 

597 – Femme pudique, galante : après conquête !

Visuels et textuels  >> 

.

Pudique

Et galante

Semble  être

En opposition.

Or il n’en est rien

Tant  qu’elle avance

Ce  que, elle  soutient,

Que ce soit pour un mal,

Ou  pour se faire  du bien.

.

Femme pudique ou galante

Conquête   après   conquête,

Soyez généreuse ou soyez bête

En contentant un  prétendant.

.

Jusqu’au jour où lorsqu’amante,

Vous deviendrez par  lui, aimée,

Sinon celui cherché puis désiré,

Entre  vos doigts il  aura  glissé !

 .

Jusqu’à ce jour  où  il regrettera,

Que  sa belle  perle  se soit  tirée :

Elle surpassait toutes précédentes,

Lui faisant  renoncer aux suivantes.

 .

Le voici bien forcé pour s’en consoler

De reprendre son enfilage de dames.

Le, voilà  éternellement,  condamné,

À ne fendre  que des âmes  infâmes.

.

La vraie morale, pour cette histoire,

Chacun  s’efforce  de bien  la trouver.

L’homme propose,  la femme dispose,

Si ce n’est le contraire, si lors, elle ose.

.

Entre formule mariage et libertinage

Entre des principes valeurs d’usage

Diables  pervers  ou  anges  sages

Il y a manière  et manière voir.

.

De voir, ce qui nous convient,

De voir, ce qui nous retient,

De choisir et de surseoir

À l’élu(e)    d’espoir.

.

.

Extensions

 .

J’ai voulu jouer, me jouer d’elle,

Elle s’est jouée de moi, j’ai perdu :

Je ne peux gagner à tous les coups,

Surtout lorsque j’annonce que c’est

Juste comme ça, en passant, pour se

Faire plaisir, avant l’oubli, prestement.

.

Les paris font partie de ce jeu stupide

«Je vous parie  que je me la… tape

Après cela, eh bien  je m’en tape.»

Tel est pris qui croyait prendre,

Et voilà votre arroseur, arrosé.

.

La belle s’est moquée de vous,

Faisant croire, vous menez le bal.

Elle cherchait moment de plaisir

Avec vous et s’est tirée de votre lit

Pour aller l’annoncer à… vos amis.

.

C’est le jeu du chat et de la souris,

Où la souris se moque du chat épris.

Dans le concert de ces tromperies

Il y aura celles que l’on fomente

Et il y a celles que l’on subira.

.

Il n’y a aucune raison que ce soit

Toujours les mêmes qui en profitent

Ou bien les mêmes qui s’en…dépitent.

.

Femmes, galantes, libérées, bretonnes

D’hier, d’aujourd’hui, voire de demain,

Ont eu ont, auront les mêmes sentiments

Dans des habits complétements différents !

Mais si les rapports auront beaucoup changé

Ce n’est pas du fait des hommes, d’elles-mêmes.

.

L’homme propose, la femme dispose,

Si ce n’est le contraire …  aujourd’hui !

Fini les femmes qui faisaient tapisserie :

Chacun à tour de rôle, lors danse impose.

.

Qu’une femme pudique devienne galante,

Ce n’est pas un scoop,  ce n’est pas gigolo,

Elle ne cherchera qu’à plaire en élégante :

Rien ne dit qu’elle ne se marie au plus tôt.

.

On parle de complexes,  de pudibonderies,

D’un trésor caché qu’on ne saurait exposer

Or ce n’est pas que le sexe qui est concerné

C’est le corps, la cœur, l’esprit, l’âme aussi.

.

.

597 – Calligramme

.

Pudique

Et galante

Semble  être

En opposition.

Or il n’en est rien

Tant  qu’elle avance

Ce  que, elle  soutient,

Que ce soit pour un mal,

Ou pour se faire  F  du bien.

Femme pudique   E      galante,

Conquête après     M     conquête,

Soyez généreuse    M     soyez  bête

En contentant un   E      prétendant.

    *

Jusqu’au jour où     P     lorsqu’amante,

Vous deviendrez      U      par  lui, aimée,

Sinon celui cher       D      ché puis désiré,

Entre  vos doigts       I        il  aura  glissé !

  Q

Jusqu’à ce jour où      U              il regrettera,

Que  sa belle  perle       E              se soit  tirée :

Elle surpassait tou        *          tes précédentes,

Lui faisant  renon         G       cer aux suivantes.

  A

Le voici bien forcé         L      pour s’en consoler,

De reprendre son           A       enfilage de dames.

Le voilà  éternel             N      lement  condamné,

À ne fendre  que             T       des âmes  infâmes.

  E  

La vraie morale              :       pour cette histoire,

Chacun  s’efforce           C        de bien la trouver.

L’homme propose         O        la femme dispose,

Si ce n’est le cont          N        raire lors elle ose.

 Q

Entre formule  mari    U       age et libertinage

Entre des principes    Ê          valeurs d’usage

Diables pervers         T          et anges sages

Il y a manière         E         manière voir.

*

De voir, ce qui         nous convient,

De voir, ce qui      nous retient,

De choisir   et   de surseoir

À l’élu(e)    d’espoir.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

597 4

.

Un menhir de haute taille,

Une simple  pomme  de  pin,

Une belle fleur, forme conique

Qui s’habille en monochrome.

 .

Il existe des fleurs en épis, en chatons

des fleurs monochromes, multichromes

ayant toutes des formes pleines ou creuses

ainsi la forme correspond à femme pudique.

.

Femme ressemble fleur 

Et  comme chacun le  sait,

Se renferme  sur elle-même,

Et s’habille en monochrome.

 . 

Symbolique

 .

Si fleurs

Transmettent nos

Sentiments, bien mieux

Que des mots, c’est parce qu’elles

Accompagnent la vie des hommes

Depuis l’Antiquité, selon occasion,

Chacune aurait son mot à dire,

Influencée par son histoire,

Sa saisonnalité.

Interflora

.

Descriptif

 .

597 – Femme pudique, galante : conquête 

Alignement central / Titre droit / Thème  dialogue

Forme ovale  /  Rimes égales   /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : fleur / Symbole de fond : monochrome

 .

.

Fond

 .

Évocation

.

597 6

.

Femme ressemble fleur 

Et  comme chacun le  sait,

Se renferme  sur elle-même,

Et s’habille en monochrome.

 .

Symbolique 

 .

Les bases chromatiques

Photo  en  Noir et  Blanc

Et Mono Couleur, seront:

Une photo de vous, en noir et blanc

Sur un fond noir avec un objet symbolique

(Lunettes, crayon, livre, chapeau, une voiturette)

.

Monochromatique (une couleur) occupe entre

5 à 10% de l’image totale. Choisissez un objet

Qui symbolise (tel un pictogramme)

Votre métier et pour la couleur

Prenez davantage couleurs

Chaudes et lumineuses.

maphotoportrait.fr/styles-poses/94-

conseil-image-noir-et-blanc-linkedin.html

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Des fleurs monochromatiques,

Il en existe des centaines, milliers

Des polychromatiques, y en a moins,

Lors intérieurs semblent plus pudiques

Presque effacées, et voire  transparentes

Mais dès qu’elles s’ouvriront, elles seront

 De couleurs,  si chatoyantes,  si éclatantes,

Que vous aurez du mal à vous en détacher.

 .

.

Femme nue, pudique

.

Scénario 

.

Femmes galantes telles qu’on les imagine aux siècles romantiques.

Femmes libérées  n’ont plus peur  de s’habiller  d’une tenue frivole.

Femmes bretonnes, au temps jadis, étaient un peu plus farouches.

 .

Visuels et textuels  >>

596 – L’essentiel : lui parler d’elle et non de vous !

Visuels et textuels  >> 

.

De lui parler que d’elle

Sera compris : se contenter

De l’écoute avec une attention

Qu’elle mérite surtout de vous.

Si vous  ne parlez que  de vous,

À la fin  de tout : elle s’en fout !

.

Elle n’existe pas, elle est floue,

Alors que  vous … clair en tout.

Pour autant … ne pas la flatter,

Elle flairerait votre manœuvre

Pour la séduire… en sexualité

Consommée en hors d’œuvre.

 .

Juste un seul et unique conseil

Lui parler d’elle, et non de vous,

Pour faire apparaître, merveille,

Les qualités, qui feront, de vous,

Le meilleur, qui puisse paraître,

Pour dévoiler … ses frous-frous,

À vous exciter, comme un fou !

.

Jusqu’à tout faire disparaître

En  enlevant tous ses dessous,

Pour la sauter, nue, et entière,

Fleur ajoutée, à  boutonnière,

Puis, l’abandonner, tout fier,

Car demain, souvenir d’hier.

Si, s’attacher, serait l’Enfer !

 .

L’avoir pénétrée, de partout,

Jusque tréfonds d’un bestiaire

Fera, d’ange, un diable, de vous.

.

La vraie morale…de cette histoire,

À chacun  de la trouver, de la conter,

Telle histoire ne sera, jamais, terminée,

Tant qu’on prendra femme  pour sautoir !

.

Enfin, parler d’elle, c’est facile à dire, mais si

Elle vous interroge, s’intéresse à vous, de près :

Qu’allez-vous inventer pour vous mettre en valeur

Qui lui paraisse crédible et ne lui fasse pas peur

Avant que votre personnage se transforme

En fantôme et finisse en informe

Erreur de casting.

.

.

Extension

 .

Lui parler d’elle et non de vous,

Tant il serait plus important d’être

À l’écoute de l’autre que de se raconter.

Se raconter d’emblée est comme s’imposer

Aux yeux de l’autre comme quelqu’un

Se faisant croire plus qu’intéressant.

.

Mais c’est à l’autre d’en décider :

Il arrive un moment, en conversation

Où il, elle, s’inquiète de qui vous êtes.

Quant à mentir, se mettre  trop valeur,

Dire la vérité, privilégier l’authenticité,

C’est à chacun de voir et l’assumer.

.

Séduire est une chose ; satisfaire,

Une autre ; plaire sur le long terme,

Une troisième ; construire un couple.

Quoiqu’il en soit : parler de soi,

Que de soi, est toujours délicat

Car c’est se mettre  trop en avant

S’exposer à se faire rejeter d’emblée.

.

Parler de l’autre, l’écouter est souvent

Déclencheur de complicité,

À condition que cela ne prennent pas

Le ton d’une inquisition ou en tous cas

Soit pris pour telle et rejetée.

.

Un blaireau est une brosse pour étaler la crème à raser,

Mais aussi une personne qui, par son attitude, est stupide

Ou se rend comme telle quand il veut séduire une femme !

Pour ne pas se présenter comme rasoir et barber l’élue

Il est préférable d’écouter l’autre plutôt que de parler

Tout le temps pour bien meubler la conversation

Pour se rendre plus intéressant que l’on est.

.

Il est reconnu que parler est moins fatigant

Qu’écouter, qui parait pourtant bien passif

Mais cela comprend  des efforts constants,

Pour bien entendre, interpréter, très actif.

.

Si parler de soi n’est pas parler de l’autre,

Ce n’est pas qu’il faudra le flatter d’autant,

Mais parler de soi, que de soi, est énervant

Vous n’êtes pas Jésus et l’autre pas apôtre !

.

Toutefois faut pas parler  pour ne rien dire,

Commettre des erreurs ou pire des impairs

Ou, par un interrogatoire,  la faire souffrir,

Pire encore, d’un grand niais en avoir l’air.

.

.

596 – Calligramme 

 .

De lui parler que d’elle

Sera compris : se contenter

De l’écoute avec une attention

Qu’elle mérite surtout de vous.

Si vous  ne parlez que  de vous,

À la fin  de tout : elle s’en fout !

Elle n’existe  pas, elle est  floue,

Alors que  vous … clair en tout.

Pour autant… ne pas la flatter,

Elle flairerait votre manœuvre

Pour la séduire… en sexualité

Consommée, hors d’œuvre.

L’ESSENTIEL : 

Juste un seul et unique conseil :

Lui parler d’elle, et non, de vous,

Pour faire  apparaître, merveille,

Les qualités, qui feront, de vous,

Le meilleur, qui puisse paraître,

Pour dévoiler … ses frous-frous,

À vous exciter, comme un fou !

PARLER D’ELLE,

Jusqu’à tout faire…disparaître

En  enlevant tous ses  dessous,

Pour la sauter nue, et entière,

Fleur ajoutée, à boutonnière,

Puis, l’abandonner, tout fier,

Car demain, souvenir d’hier.

Si, s’attacher, serait l’Enfer !

NON DE VOUS 

L’avoir pénétrée, de partout,

Jusque tréfonds d’un bestiaire

Fera, d’ange, un diable, de vous.

La vraie morale…de cette histoire,

À chacun  de la trouver, de la conter,

Telle histoire ne sera, jamais, terminée,

Tant qu’on prendra femme  pour sautoir !

Enfin, parler d’elle, c’est facile à dire, mais si

Elle vous interroge, s’intéresse à vous, de près :

Qu’allez-vous inventer pour vous mettre en valeur

Qui lui paraisse crédible et ne lui fasse pas peur

Avant que votre personnage se transforme

En fantôme et finisse en informe

Erreur de casting.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

596 4

.

Ça peut être une brosse à poudre

Tout aussi bien  pinceau peinture

Tout aussi bien qu’un blaireau 

Sinon voire une vieille barbe.

.

Blaireau et que ce soit brosse ou animal

n’a aucun lien avec n’importe quel dialogue

tant et si bien que la forme s’écarte du fond !

.

Vous passerez pour un blaireau

Ou pour une vieille barbe si vous

Ne parlerez d’autres  choses que

De vous en souhait amoureux.

 .

Symbolique 

 .

En Europe, un blaireau

Est  une personne stupide,

Ou  une brosse, pour étaler

Toute la crème de rasage.

Symbolisant le clergé,

Il n’a de cesse, par

Sa sagesse et ses

Conseils avisés,

Est prendre

La  défense

Du  renard.

Dans la bible,

Le blaireau est

Un pur symbole

D’une agressivité.

gaiachamanisme.over-

blog.com/article-le-blaireau

.

Descriptif

.

596 – L’essentiel : parler d’elle, non de vous 

Alignement central / Titre intercalé / Thème  dialogue

Forme courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : blaireau / Symbole de fond : barbe

.

.

Fond

.

Évocation 

.

596 6

.

Vous passerez pour un blaireau

Pour une vieille barbe si vous

Ne parlerez d’autres choses que

De vous en souhait amoureux.

 .

Symbolique 

 .

La barbe est le symbole

De la divinité, du savoir et de la virilité.

Cependant, elle peut aussi évoquer négligence.

En France mais plus largement en Europe,

La barbe a été adoptée au XVIe siècle,

Puis disparait au siècle suivant,

Pour réapparaître au XIXe siècle.

.

Après être passée de mode, pendant décennies,

Elle revient en force en ce début de XXIe

Siècle mais elle est davantage considérée

Comme un accessoire esthétique

Que comme un objet  symbolique.

1001symboles.net/symbole/sens-de-barbe.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La barbe est bien plus, de nos jours

Taillée par des rasoirs électriques,

Que mécaniques, et lors, la brosse

Ou blaireau avec le savon spécial

Sont un peu tombés en désuétude.

De toutes façons quand on se rase,

Il est rare d’entretenir un dialogue,

Avec qui que ce soit, surtout conquête

Tant il serait vite rasoir sinon barbant.

 .

.

Homme autosuffisant

.

Scénario

  .

De loin, sur long canapé, l’approche est délicate mais possible,

de plus près, tendrement à l’oreille, chaque mot est un espoir réel,

et voilà qu’elle vous avoue qu’elle sera seulement amie avec vous !

 .

Visuels et textuels  >> 

591 – Quand je te prends dans mes bras, je te parle

Visuels et textuels   >> 

.

Lors vient moment

De la tendresse intime

Tu t’isoles,  en te taisant,

Et lors  te parle  de sublime

Tu es, physiquement  bien  là,

Entre  mes   jambes, mes bras

Mais ton cœur, voire ton esprit,

Sont absents, comme étourdis.

Faire l’amour comme tu veux,

L’amour comme tu peux.

Ton silence puis

 Ton… abandon,

Sont pour moi,

Signe d’union.

 .

Quand je te prends dans mes bras,

Quand tu  te colles… sous mes draps,

Je te parle, mais, tu ne m’écoutes pas !

.

Quand je t’embrasse sur la bouche,

Quand,  sur  notre  lit … je te couche :

Je te parle, mais  tu prends la mouche !

.

Quand je caresse tes beaux seins

Et promène, partout… mes mains :

Je te parle, mais hélas tu ne dis rien !

.

Quand je tends tout mon désir,

Retarde jusqu’au fond le plaisir :

Je te parle, mais, tu veux  dormir !

.

Quand  je  pénètre  ton  ventre,

Je m’attends … à te surprendre :

Mais c’est pour ne rien entendre !

.

Quand je m’excite, et te secoue,

En toi, je viens, enfin… au bout :

T’as pas l’air d’y être pas du tout !

.

Quand je m’abstiens, me retire,

Je me crois, être  en plein délire :

Tu souffles comme énorme soupir !

.

Quand je m’affaisse, et  m’endors,

Que, je confonds le Sud et le Nord :

Tu me  réveilles  pour  dire : encore !

 .

Qu’importe, si tu m’aimes comme ça,

Penses, ou compenses, pourquoi pas :

Je te parle, quelque chose  ne  va pas !

Peut-être que,  c’est moi,  qui craquera,

Pas su  m’y prendre encore pour cette fois

Et, si on  en  parlait simplement, tout bas !

.

.

Extension

 .

Une fois en nudité la plus totale,

Parfois une femme s’abandonne

Et s’isole dans son jardin secret,

Où nulle parole   n’est conquise,

Nulle pénétration n’est requise.

Et manifestations ostentatoires

Du désir  se transforment  alors

En une sublimation  intérieure,

Où fantasme devient roi secret

Tandis que l’homme s’acharne

Pour lui procurer du plaisir,

Elle feint de ne rien sentir,

Simule à peine de l’écouter

Lorsqu’il lui  parlerait de  ses

Sensations, émotions, exacerbées

Par la tension de corps en harmonie.

Frigide, pensez-vous : elle  attendrait,

Elle souhaiterait  la fin, et, au plus tôt ;

Non, bien au contraire, elle se sent bien,

N’éprouve nul besoin de le clamer avec

Des mots ni même avec des gestes :

Simplement présence, évidence.

.

La nudité dans l’art, dans la chambre et dans la rue n’a rien à voir

Le premier est magnifié par une vision d’artiste,

Le second, consommé  par une vision  intimiste,

Le dernier est exposé, à tous lubriques regards !

La femme nue, une fois peinte peut multiplier un nombre de poses

Sans que modèle dont est issu tableau ne s’expose

À la honte, culpabilité ou autres aspects négatifs :

Pourquoi n’est-il pas de même dans notre société ?

Répondre à la question dépend d’éducation, expérience  de chacun.

.

Il n’y a rien de moins excitant que de faire l’amour

À une femme totalement passive qui n’en veux pas.

.

Si certains y trouveront leur compte, sexuellement,

C’est qu’ils ne penseront qu’à leurs propres plaisirs.

.

Rien à voir avec la frigidité, ni même l’anorgasmie,

Tout se passe dans la tête qui serait partie ailleurs.

.

Autant alors faire l’amour à une poupée gonflable,

On ne craint pas un refus ou absence : y en a pas !

.

Souvent, la femme voudrait qu’on parle avant tout,

L’homme pressé conclure ne fais pas, temps perdu.

.

À quoi sert de conquérir et voire posséder un corps

Si le cœur, l’esprit, l’âme, sont absents ou chosifiés.

.

.

Épilogue

.

Pas réveillée, pas concentrée, pas intéressée :

Beau trio anti désir, envie, pulsion sexualisée.

***

Moindre préliminaire provoque effet contraire

Tu es fatiguée, dérangée, tu n’es pas d’humeur.

***

Quand même un témoignage d’une telle chaleur

Devrait bien te faire changer d’avis, et te plaire !

Tu n’entends rien, tu ne dis rien, t’ensommeilles

À corps mort, comment puis-je  faire merveille !

***

Si je te parle, tout bas,  en mots doux,  à l’oreille,

Tu ronchonnes ou tu souffles mais ne frémit pas

***

Peut-être faut-il que je soupire  ou que je pleure,

Pour que tu me consoles, comme un enfant, las !

***

Quand soudain, peut-être sensible à mes assauts,

Tu me dis : fais-moi ce que tu veux ; moi, je dors.

***

Je m’applique de mon mieux, tu es toute passive,

Moi, je te vois, te sens comme étant toute lascive.

***

C’est alors que tu te réveilles et en plein orgasme,

Tu prends une grande bouffée d’air, et t’électrise.

***

Tandis que moi, je m’affaisse sur l’oreiller, épuisé,

Tu m’entreprends à ton tour et tu bondis sur moi.

.

.

591 – Calligramme

 .

QUAND JE

Lors vient moment

De la tendresse intime

Tu t’isoles,  en te taisant,

Et lors  te parle  de sublime

Tu es, physiquement  bien  là,

Entre  mes   jambes, mes bras

Mais ton cœur, voire ton esprit,

Sont absents, comme étourdis.

Faire l’amour comme tu veux,

L’amour comme tu peux.

Ton silence puis

 Ton… abandon,

Sont pour moi,

Signe d’union.

JE TE PRENDS

Quand je te prends dans mes bras,

Quand tu  te colles… sous mes draps,

Je te parle, mais, tu ne m’écoutes pas !

.

Quand je t’embrasse sur la bouche,

Quand,  sur  notre  lit … je te couche :

Je te parle, mais  tu prends la mouche !

.

Quand je caresse tes beaux seins

Et promène, partout… mes mains :

Je te parle, mais hélas tu ne dis rien !

.

Quand je tends tout mon désir,

Retarde jusqu’au fond le plaisir :

Je te parle, mais, tu veux  dormir !

.

Quand  je  pénètre  ton  ventre,

Je m’attends … à te surprendre :

Mais c’est pour ne rien entendre !

.

Quand je m’excite, et te secoue,

En toi, je viens, enfin… au bout :

T’as pas l’air d’y être pas du tout !

.

Quand je m’abstiens, me retire,

Je me crois, être  en plein délire :

Tu souffles comme énorme soupir !

.

Quand je m’affaisse, et  m’endors,

Que, je confonds le Sud et le Nord :

Tu me réveilles pour me dire, encore !

DANS MES BRAS

Qu’importe,  si tu m’     aimes comme ça,

Penses, ou  compen      ses, pourquoi pas :

Je te parle, quelque           chose  ne  va pas !

Peut-être que, c’est          moi,  qui   craquera,

Pas su  m’y prendre          encore pour cette fois

Et, si  on  en  parlait            simplement, tout bas !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

591 4

.

Un totem indien, ou autre,

Trophée, sport ou culturel,

Silhouette d’une femme nue

Air absente, pas concentrée.

 .

Dans mes bras mais tournant le dos,

regard un peu perdu, comme absente,

pas de doute, forme/fond se rejoignent.

.

Une femme nue, attendant qu’on

La prenne en bras, passive :

À moitié concentrée, en tous cas,

Insensible, voire insatisfaite.

 .

Symbolique 

 

Rêver de sa propre nudité

Est un rêve des plus fréquents.

Plus singulier, est la situation

Dans laquelle  est  le rêveur.

.

Qu’il soit nu dans une foule

Ou beau milieu du désert

Pas même signification :

Soit la nudité sera associée

À la honte ou la culpabilité,

Soit elle le sera à un besoin

D’innocence enfantine et

De déresponsabilisation.

doctissimo.fr dictionnaire-des-reves

.

Descriptif

 .

591 – Quand je te prends dans mes bras …

Alignement central / Titre intercalé / Thème sexualité

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : nudité / Symbole de fond : déconcentré

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

591 6

.

Une femme nue, attendant qu’on

La prenne en bras passive :

À moitié concentré, en tous cas,

Insensible, voire insatisfaite.

.

Symbolique 

 .

Difficulté à nous concentrer

Sur une tâche précise, surtout

Si celle-ci reste  peu motivante.

À la place, nous nous surprenons

Souvent à penser  à  des  choses  qui

N’ont rien à voir avec la tâche en cours :

Sont évènements passés, des choses

À faire  ou des idées  abstraites.

.

Cette tendance à se  détacher

De    notre    environnement

 Qui nous entoure s’appelle le

« Vagabondage     de      l’esprit »

Mais, il se peut aussi que notre

Esprit vagabonde vers le néant.

theconversation.com/absences-

esprit-qui-vagabonde

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Bien que nue et dans mes bras,

Si tu ne fais rien,  ne bouge pas,

Et qu’en plus ne me regarde pas,

Que puis-je  faire  pour  satisfaire

Le moindre de  tes désirs, intimes,

La moindre de tes attentes ultimes

Il y aurait de quoi se déconcentrer,

Voire d’abandonner, face passivité.

 .

.

Chaise, esprit, vide

.

Scénario

.

Dans mes bras, nue, tu es ailleurs, tu ne m’écoutes, ne me sens pas.

L’artiste a croqué impression pour le modèle femme d’être ailleurs.

Comble est lorsqu’elle s’abandonne sans vraiment jamais se donner.

.

Visuels et textuels   >> 

583 – J’aurais… tant aimé partager ton intimité.

Visuels et textuels  >>

.

J’aurais  tant voulu partager,

Tant voulu  décliner t’aimer,

Voulu m’enivrer tout entier,

De ta pure et belle intimité

Bras  et  sexes … emmêlés.

.

J’aurais pu ……  partager,

Cet ersatz ……. d’éternité

Qui aurait pu illuminer,

Ma vie d’espoir insensé.

.

Tu n’as voulu  t’engager

Tu m’as laissé tomber :

Alors,  en deux moitiés,

Mon cœur  … s’est brisé.

.

J’aurais tant, tant aimé

Partager    ton   intimité,

Mais cela n’a pas marché,

Tu es restée très distanciée.

.

Or j’aurais tant,  tant aimé

M’être, tout  de toi,  enivré

Or  au petit matin,  sonné,

Je  me  sens  seul … esseulé.

.

Mais j’aurais tant, tant aimé

Que tu me rendes bien entier

Or tu n’as pas été …ma moitié,

Même pas été un bas quartier.

.

Mais j’aurais tant et tant aimé

Nos imaginaires et sexes, mêlés,

Mais tu t’es isolée, t’es enfermée

Dans ta belle bulle bien protégée.

.

J’aurais tant aimé de partager

Avec toi, un instant… d’éternité,

Or  des jours, nuits, sont passés,

Tu m’as quitté, m’as abandonné.

.

J’aurais  tant  aimé  embrasser

Nouvelle vie d’espoirs, illuminé

De ta fraicheur, grâce et beauté,

Tu ne m’as, même pas, regardé.

.

J’aurais tant aimé m’engager

En la relation plus stabilisée,

Mais mon cœur tu l’as brisé

Et j’en ai perdu la moitié.

.

.

Extension

 .

L’intimité, qu’est-ce c’est !

Serait-ce une  même chose

Pour tout le monde, au moins

Pour les couples de partenaires :

Faire l’amour, échanger des caresses,

Des tendresses et s’abreuver des baisers.

Lors certains prennent soin d’ajouter

«Dans la plus stricte» à «intimité»,

Pour distinguer celle de l’âme

Et du corps, plus accessible.

Il y aurait une autre intimité

Et qui vous fusionne avec l’autre

Sans le toucher et d’aucune façon.

Ces écrits sont-ils intimes ?

Non, bien sûr, c’est l’évidence

Dès lors qu’ils sont publiés,

Ils échappent à son auteur.

Parlent-ils… d’intimité ?

Non plus : ils ne parlent

De personne en particulier.

Peut-on les interpréter comme

Un reflet de sa  propre  intimité ?

Oui, s’il s’accorde à ce que vous pensez

Sans oser le dire, prenant l’auteur, à témoin,

Que vous n’arriviez pas à formuler vous-même.

.

Pensée intime, regard intime, baiser intime, toilette intime

Dès qu’on s’approche  d’une zone privée

On frôle, obligatoirement, un espace ou une surface intime

Que l’autre souhaitera, ou non, partagée.

On peut violer l’intimité, pas la voler : on ne l’emporte pas,

Mais c’est tout comme : elle n’est plus là

Tant il est vrai qu’entre intime et ultime, il n’y a qu’un pas

Certains hésitent à franchir ; autres, pas.

 .

L’intimité commence d’abord par celle du corps

Par la nudité, visibilité des parties, dites intimes

Or ce n’est pas tant  le fait d’être nu, qui compte,

Que le regard de l’autre avec son propre ressenti.

.

L’intimité se poursuit  par passions, occupations,

Tout ce qui concerne famille, histoire personnelle,

Il nous aura livré quelque secret qu’on ne connait,

Il nous est si familier qu’on recherche sa présence

.

L’intimité s’achèvera quand on aura l’impression

De connaitre tout autre  comme si on l’avait fait :

On pense comme lui, à sa place,  on devine tout :

Parce que c’était lui, c’était moi, dit Montaigne.

.

.

Épilogue

.

Qu’on regarde l’autre dans les yeux

Et jusqu’au plus profond de son être,

On touche à l’intimité sans la toucher.

***

Certains mettent l’intimité en leur sexe,

D’autres dans trop de proximité spatiale,

Et d’autres, dans l’intrusion  de leur âme.

***

On parle de viol d’intimité  lors on dévoile

Tout, ou partie, de «journal intime»,  volé,

Jusqu’à le rendre publique voire monnayé.

***

Paparazzi sont experts en photos dénudées,

Non pas sur plages : au domicile, lieu privé,

Le vol n’est pas la nudité : non autorisation.

***

De partager l’intimité  d’une personne aimée,

N’est pas un crime : juste, désir secret, avoué,

À condition qu’elle ne devienne chasse gardée.

***

Il arrive que des personnes sentent plus intime

Avec un ou une amie, qu’avec leur femme, mari,

Faut croire que coucher avec, ne dévoile pas tout.

***

Pour ma part, je pense qu’intimité est dans l’esprit

Quand on devine la pensée d’un autre, rien à cacher

L’on appellera cela parfois fusion, parfois complicité.

.

.

583 – Calligramme

 .

J’aurais  tant voulu  …     partager,

Tant   voulu    décliner :    t’aimer,

Voulu m’enivrer    tout entier,

De ta pure et belle intimité

Bras  et  sexes … emmêlés,

J’aurais pu ……  partager,

Cet ersatz ……. d’éternité

Qui aurait pu illuminer,

Ma vie d’espoir insensé.

Tu n’as voulu  t’engager

Tu m’as laissé tomber :

Alors,  en deux moitiés,

Mon cœur  …   s’est brisé.

J’aurais tant,   *    tant aimé

Partager ton        *        *     intimité,

Et cela n’a pas     *  J           P  *     marché,

Tu es restée très   *  ‘                  A   * distanciée

Or j’aurais tant,   *   A                       R   *  tant aimé

M’être tout de toi  *   U                            T    *       enivré

Or au petit matin  *   R                              A    *      sonné,

Je  me  sens  seul  *   A                                G    *      esseulé

Mais j’aurais tant*    I                                 E   *    tant aimé

Que tu me rendes  *   S                                R   *   bien entier

Or tu n’as pas été  *    ¤                                ¤   *    ma moitié,

Même pas été un   *    T                               I    *   bas quartier

Mais j’aurais tant *    A                            N   *  et tant aimé

Nos imaginaires    *   N                           T    *  sexes mêlés,

Mais tu t’es isolée  *   T                         I    * t’es enfermée

Dans ta belle bulle  *   ¤                     M   * bien protégée

J’aurais tant aimé  *   A                 I    *  de partager

Avec toi, un instant *   I              T    *     d’éternité,

Or des jours, nuits,    *  M       É    *    sont passés

Tu m’as quitté, m’as  *     É       *  abandonné.

J’aurais  tant  aimé     *       *   embrasser

Nouvelle vie espoir          *         illuminé

De ta fraicheur, grâce     *   et beauté,

Tu ne m’as même pas    *     regardé.

J’aurais tant aimé    *   m’engager

En une relation    *   plus stabilisée

Mais mon      *  cœur tu  l’as brisé

Et j’en ********  ai perdu la moitié.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

583 4

.

Intimité : mot

Comportant trois « i »

Se terminant par un « é »

À la phonétique …  mystère

 .

L’intimité se trouve, ce cache à l’intérieur

mais on en parle plus souvent pour humain

que pour quel qu’objet, et y compris un vase,

en dépit de cela, la forme correspond au fond.

.

À l’extérieur pour lui suggérer son goût,

Sa valeur, son intimité !

L’intimité demeure cachée à l’intérieur

Elle est parfois évoquée

 .

Symbolique 

 .

La dévalorisation de l’intimité

Différentes mises en scènes de soi

De  la  pipolisation  des  politiques,

Aux  épanchements   de ses pensées

Et  sentiments  dans certains blogs,

Procède assez souvent  d’une même

Confusion  de l’intime  et  du  privé.

.

La relation amoureuse  est  connue

Pour être lieu suprême de l’intime

Où sujet amoureux s’abandonne

Peut se dessaisir de lui-même,

Pour renaître dans le désir

Dans l’amour d’un autre,

Au risque  de  s’y égarer.

Blessure  intime,  blessure

De la trahison amoureuse.

cairn.info/revue-etudes-2011-10

.

.

Descriptif

.

583 – J’aurais tant aimé partager intimité

Alignement central / Titre dédoublé / Thème  sexualité

Forme ovale  /    Rimes égales    / Fond accordé à forme

Symbole de forme : intimité / Symbole de fond : intimité

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

583 6

.

L’intimité demeure cachée à l’intérieur

Elle est parfois évoquée

À l’extérieur pour lui suggérer son goût,

Sa valeur, sa blessure !

 .

Symbolique 

 .

Interaction hommes/femmes

Match,  vous vous en doutiez,

Les hommes  et femmes  n’ont

Pas le même mode d’emploi !

.

Si tout le monde se retrouve

Autour  de  la  définition de

L’intimité   et  la   nécessité

De partager la vision du corps,

Elle restait le point de dissonance.

.

L’homme d’aujourd’hui sait parler,

Il  n’hésite plus   à partager  l’intime,

Il cherche, même, à vous comprendre.

L’homme en sait plus sur vous que vous

Ne l’imaginez  et  malgré vos préjugés,

L’intimité a moins de secret pour lui.

magicmaman.com/l-intimite-

feminine-vue-par-les-hommes,

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’intimité, bien que personnelle,

Et peut-être même à cause de cela

N’a pas grand-chose de symbolique,

Le devient dès qu’elle devient publique

 Soit par qu’elle en est affichée, voire volée

Comme c’est le cas en journaux, tribunaux.

.

Quoiqu’il en fût, quoiqu’il en soit …demeure

Un bien très précieux, qu’on ne peut confier

À n’importe qui sans porter à conséquence.

Écrire et publier  peut délivrer, à son insu,

Une part de son intimité réelle, supposée.

.

.

Fragilité intime coquelicot

.

Scénario

.

Je n’irai pas jusqu’à dire que c’est fait, mais c’est en bonne voie pour !

L’intimité, avec soi-même, n’est pas la même qu’intimité à l’autre.

L’intimité n’est pas un objet mais un sujet : comment la voler ?

.

Visuels et textuels  >>

573 – J’ai soupiré, j’ai espéré, mais, hélas en vain

Visuels et textuels  >>   

.

La chimie, l’alchimie

Des corps, sexes, cœurs,

Se conjuguent, se marient,

Où échappent  au bonheur.

Lors, attentes, sont fortes,

On ne forcera ses portes,

Soupirer, ne sert à rien,

Tous nos efforts, vains.

.

Vain de croire qu’on puisse

Satisfaire chacun entre cuisses,

Pénétrations, concaves, convexes

Ne feront que  renforcer complexes

Ah, il   resterait  l’étonnant  fantasme

De  changer  maitresse  en  pure  déesse

Laquelle n’est plus  concernée, orgasme,

En devenant sa muse sinon sa prêtresse.

.

J’ai  soupiré, j’ai espéré hélas … en vain

Te faire craquer,   te croquer … en pain

Je me suis perdu  morfondu…  en rien

Pour que tu signes consignes en main

En moi bien jointe conjointe au sexe

Qui te bute,  qui te culbute, convexe

En ton ventre, ton antre qui te gave

De tant soupirs tant plaisirs suaves

.

J’ai espéré, j’ai tenté en vain,

De t’exciter, ressusciter entrain

Et je m’y suis appliqué  … en reins

Pour synchroniser, syntoniser à plein,

Ton sexe, insensible, impassible, moi,

Là où je m’accule,  où j’éjacule, en toi

Si je ne me contiens, ne me retiens,

Je n’aurai pas soupiré … en vain.

 .

J’ai espéré,  ai imaginé  comme un chat,

Etre un amant  chevauchant  une belle souris

Féline, que  je  câline et encline  jusqu’en jouir

Jusqu’à sourciller à en vaciller en pleine ivresse.

.

J’ai espéré, ai désespéré comme une maitresse

Tu deviennes tu parviennes  à être déesse

Ce sera pour autre fois, si,  cela revient

Je me tiens,  contiens,  me retiens

N’aurai pas  soupiré … en vain

.

.

Extension

 .

Ah muse ment

Quand elle ne se rend

Pas conforme à ses attentes

En devenant objet de désir

Ordinaire et non sublime.

.

On attend d’elle qu’elle jouisse

Non seulement de sa pensée,

De sa présence mais de son acte

Et voici que ce dernier s’enfonce

Dans un vide de son plaisir,

Vacuité de son être tout entier.

.

Va cuiter ailleurs, vous dit-elle,

Ce sera toujours autant de gagner

Pour toi, comme pour moi

Et ainsi soit-il et ainsi soit-elle !

.

La chimie des corps ne suffit pas

Il faut un brin d’alchimie venu d’ailleurs,

D’on ne sait où, indétectable au microscope !

.

Alchimie pour une autre chimie,

Alchimie pour autre chose que la pure

Et simple chimie et qui nous échappe encore !

.

L’homme attend de la femme une attitude ouverte et non fermée,

Quand il en rencontre  avec une posture froide, il ne la comprend

Une femme qui n’entre pas en le modèle qu’il s’est fixé, surprend

Il n’empêche qu’air de musique secret peut égayer son intérieur

Si ce n’est un feu brumant que seul percevrait son futur amant.

.

Ce qui est vrai pour la femme,

L’est tout autant pour l’homme,

Bien qu’il cachera sa déception,

La traduira d’une autre manière.

.

Mais il y a déception transitoire

Entrainant la rupture passagère

Et déception si forte, inattendue

Qu’elle déclenche rupture totale.

.

Il y a aussi séparation dans l’air

Des deux côtés, et reste à savoir

Qui vient la déclarer en premier

Avec sentiment d’avoir dominé.

.

Et quand il n’ y aura que le sexe,

Qui est partagé sans cœur, âme,

Rupture ne provoque déchirure,

Juste blessure d’amour-propre.

.

.

573 – Calligramme

 .

La chimie, l’alchimie

Des corps,   sexes,  cœurs,

Se conjuguent,      se marient,

Où échappent         au bonheur.

Lors, attentes,      sont  fortes,

On ne forcera     ses portes,

Soupirer, ne sert à rien,

Tous nos efforts, vains.

.

Vain de croire qu’on puisse

 Satisfaire chacun entre cuisses,

   Pénétrations, concaves, convexes …

        Ne feront que  renforcer complexes ……….

            Ah, il  resterait  l’étonnant  fantasme …..….……..

            De  changer  maitresse  en  pure  déesse ………….……

                     Laquelle n’est plus    concernée, orgasme ……….…..…..…………

                   En devenant sa muse  A   sinon sa prêtresse ……….…….………………

             J’ai  soupiré, j’ai       I      espéré hélas en vain …….…….…………….

          Te faire craquer      *           te croquer en pain ..…….…………….

Je me suis perdu   E          morfondu, en rien ..…….….

      Pour que tu signes S        consignes en main ……………

En moi bien jointe P       conjointe au sexe ………

Qui te bute, qui te   É      culbute, convexe ….….

 En ton ventre et ton R   antre qui te gave ……..

De tant soupirs tant É      plaisirs suaves ……

A …………..….

J’ai espéré      I           j’ai tenté en vain,

De t’exciter       *       ressusciter entrain

Et je m’y suis        S        appliqué, en reins

Pour synchroniser    O      syntoniser à plein,

Ton sexe, insensible    U        impassible, moi,

Là où je m’accule où        P         j’éjacule en toi

Si je ne me contiens si         I          ne me retiens,

Je n’aurai pas soupiré             R                   en vain.

                       É

J’ai espéré,        A    ai imaginé       *    comme un chat,

Etre un amant   I      chevauchant      *     une belle souris

Féline, que  je    *      câline et encline     E     jusqu’en jouir

Jusqu’à sour     E       ciller à en vaciller      N     pleine ivresse.

J’ai espéré, ai   S           désespéré comme     *   une maitresse …

Tu deviennes    P            tu parviennes             V   à être déesse  ….

Ce sera pour     É                autre fois, si,             A      cela revient …..

Je me tiens,      R                   contiens,                  I       me retiens …….

N’aurai pas      É                    soupiré                    N         en vain ……….

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation  

.

573 4

.

Silhouette de femme solitaire

 Assise, immobile, imperturbable

Comme  en  prière, méditation,

Dans une position de repli.

.

Déception met parfois une femme à genoux

ici, c’est bien les cas, en repli, comme anéantie,

c’est ainsi que la forme recouvrirait bien le fond.

.

Silhouette de femme solitaire

Peu encline à bouger, à changer.

N’est pas une posture de repli 

Semblant murée voire statique,

 .

Symbolique 

 .

Faut faire la différence

Entre   un  repli   sur  soi,

Et  une femme  solitaire.

Le premier  fait référence à

 «Action de  s’isoler des autres».

Lors le second est tout simplement

Le désir de rester seul pour se ressourcer.

.

En réalité, choisir quelques fois de consacrer

Un peu de temps pour soi peut

Vous apporter divers avantages

Psychologiques, émotionnels, sociaux.

De privilégier votre propre compagnie

De temps à autre peut même vous aider

À renforcer toute  votre force… mentale.

Penser-et-agir.fr/repli-sur-soi

.

Descriptif

 .

573 – J’ai soupiré, j’ai espéré, mais en vain 

 Alignement central   /   Titre oblique     /   Thème  liberté

Forme anthropo  / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : femme seule  /  Symbole de fond : repli

.

.

Fond

 .

Évocation

.

573 6

.

Silhouette de femme solitaire

Peu encline à bouger, à changer

N’est pas une posture de repli 

Semblant murée voire statique,

 .

Symbolique 

 .

Si vous demandez aux hommes

Que vous connaissez  quel type de

Femme peut, le plus, les repousser,

Bon nombre d’entre eux répondront:

Celles  qui ne seraient  pas  avenantes,

Femmes en repli difficiles à séduire,

Soit parce qu’elles  font des manières,

Soit parce que  rien ne va jamais,

Soit parce qu’elles ne montrent

Pas assez leurs sentiments.

Si l’échange est compliqué

C’est parfois dû aux hommes

Ne sachant pas comment s’y prendre

Si ce n’est l’inverse, par trop de timidité.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Soupiré, attendu, espéré : tout cela, en vain.

Tu n’as rien vu,  rien compris,  n’est pas venu.

La déception est grande du fait que je t’aimais,

va falloir que je travaille sur mon renoncement.

Je me sens solitaire, je suis repliée sur moi-même,

je ne sais combien de temps, ma déprime va durer

toi seul pourrais me guérir … mais tu t’es évaporé !

.

.

Statue femme, Rodin

.

Scénario

 .

À l’intérieur des mains, une chaleur se concentre en creux divin,

tandis que soupir musical déclenche respiration  appelée buccale,

 avant que les feux n’embrasent les deux flambeaux dans leurs vases.

.

Visuels et textuels  >>