458 – L’un dans l’autre et réciproquement !

 Textuels et illustrations    >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Quand ils ne sont pas, parfois, illustrés,

On trouve  différence entre plaisir et sentiment.

L’homme voit en la femme, obscur objet  du plaisir

Femme voit en l’homme, un  obscur  objet de désir.

.

Lors homme  femme, disent se connaitre  en cœur

Ils ne parlent que rarement des mêmes  choses :

Pénétration de sexe, n’inclurait pas de cœur.

.

Elle ne l’exclut pas  pour  autant

Que l’un ou l’autre sinon les deux

Y mette leur âme en baisant

Les bouches et pieds

Et tout le reste

Jusqu’au sexe.

.

L’un dans l’autre, l’on dit, c’est réciproquement,

Mais deux amants ne s’entendront pas souvent :

Quand l’un parle de sexe, l’autre parle sentiment

Comment savoir le quel parle authentiquement ?

.

Les yeux, la bouche et l’extérieur, d’une femme,

Son apparence,

Laissent augurer pour l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand homme prétend  connaître une femme,

En profondeur,

Cela signifie qu’il aura pratiqué son intimité

Sans déshonneur.

Bien  que d’éteindre  son désir, en  flammes,

Et de l’intérieur,

Constituera son dernier assaut de pompier,

Avec  l’ardeur.

Corps d’athlète,  plein épithètes,  d’homme

Bonne  virilité,

Laisse augurer pour la femme plaisir être

De lui,  aimer.

Quand femme dit  connaître un homme,

En profondeur,

Ça signifie qu’elle a testé un sentiment

A sa juste valeur

Pour le conquérir, et au fil des jours,

En subterfuge,

Elle doit dire «non» à ses avances,
Diktats d’amours.

.

Extensions

.

En lui laissant espérer tout prendre,

S’il persiste, aurait-il eu gain de cause.

Le premier  commence  par  plaire  et  agir ;

La seconde, par plaider vertu ou retarder plaisir.

L’un dans l’autre ne suffit pas pour s’accorder en tout

Même s’ils le disent, et le font, d’un commun accord.

Le plaisir du sentiment et le sentiment du plaisir

Sont loin d’être équivalents, ni réciproques :

Il y a de nombreuses fois où quand pour

L’un, le plaisir commençait à peine,

L’autre a déjà fini et se détache,

Pensera à tout autre chose,

Ou à la prochaine fois.

Ou à être ailleurs.

.

On dit parfois de la situation, pas besoin d’en faire un dessin,

Quiconque l’aura pratiqué sait de suite à quoi l’on fait allusion

Enlacés, entrelacés, puis délacés  en constituent les trois temps.

Dans la réalité, ce qui se voit est contact étroit entre deux corps,

Mais, le plus important demeure le contact visuel et  fusionnel !

Que dire alors de ceux qui feront l’amour dans le  noir complet

Sinon qu’ils se perçoivent en pensées tout comme en réalités.

.

Les images d’unions sexuelles

Donnent lieu à de fantasmes

Et multitudes de sensations

Sinon voire des projections

.

Allant de la  pornographie,

À la fusion la plus mystique

À toucher le fond d’un corps

Ou caresser intimité d’âme.

.

Tout est, de fait, en l’intention

Alors qu’on pense pénétration

Le sexe n’est qu’un instrument,

Aux multiples usages, actions !

.

L’un dans l’autre, réciproquement

N’entraine pas toujours une fusion

En cas de viol, c’est une exaction :

Un seul qui profite égoïstement.

.

Fragments

.

Des images sexuelles fleurissent un peu partout

À tel point qu’elles en sont perçues en banalités.

.

 Acte sexuel que l’on qualifiait auparavant comme

Intime, fondateur, sacré, devient non-événement.

.

Rapprochement entre tire-bouchon et copulation

Est à prendre en sens figuré et non, sens propre :

.

Celui qui se sert de ses deux bras comme leviers,

Possède un intérêt particulier, en vue d’extraire

Le bouchon après l’avoir bien pénétré et à fond

Il évoque le va-et-vient d’une pompe pour eau.

.

L’un dans l’autre il s’agira autant d’extraction

Que de pénétration, mais extraction de quoi :

D’un plaisir pour soi, dans une courte union,

Et d’un soupir de l’autre, lors d’éjaculations.

.

Entrer, perforer, pénétrer, glisser, étreindre

Être comme visser en l’autre, ne faire qu’un

Et, à force des va et vient,  le faire geindre,

Avant de s’en extirper et boire le bon vin.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Quand     L   ils ne sont pas, parfois,   E    illustrés,

On trouve   ‘     différence entre plaisir et  T  sentiment.

L’homme  U  voit en la femme, obscur objet  *  du plaisir

Femme voit  N  en l’homme, un  obscur  objet  R   de désir.

Lors homme  *    femme, disent se connaitre   É   en cœur

Ils ne parlent  D  que rarement des mêmes  C   choses :

Pénétration   A   de sexe, n’inclurait pas   I  de cœur.

Elle ne  ô   N   l’exclut pas  ô  pour  P  autant

Que l’un    S   ou l’autre sinon les  R    deux

Y mette  *     leur âme en    O  baisant

Les   L bouches et   Q  pieds

Et  ‘     tout le      U  reste

Jus  A       qu’au   sexe.

*                    * ..

L’un dans l’autre, on  U  dit que    M  c’est réciproquement,

Mais deux amants   T  ne s’enten    dront pas souvent :

Quand l’un parle de R     sexe, l’au N  tre parle sentiment

Comment savoir le   quel parle  T  authentiquement ?

Les yeux, la bouche et l’extérieur, d’une femme,

Son apparence,

Laissent augurer pour l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand homme prétend  connaître une femme,

En profondeur,

Cela signifie qu’il aura pratiqué son intimité

Sans déshonneur.

Bien  que d’éteindre  son désir, en  flammes,

Et de l’intérieur,

Constituera son dernier assaut de pompier,

Avec  l’ardeur.

Corps d’athlète,  plein épithètes,  d’homme

Bonne  virilité,

Laisse augurer pour la femme plaisir être

De lui,  aimer.

Quand femme dit  connaître un homme,

En profondeur,

Ça signifie qu’elle a testé un sentiment

A sa juste valeur

Pour le conquérir, et au fil des jours,

En subterfuge,

Elle doit dire «non» à ses avances,

Diktats d’amours.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un tire-bouchon

Tête buste martien,

Et voire son squelette

Comme un fantôme ?

.

458 4

.

Des tire-bouchons, il y en a de toutes

Les formes et techniques :

Beaucoup ont une hélice pour pénétrer

 Tous corps enveloppants !

Rapport entre l’un en l’autre et tire-bouchon

L’analogie est plus que tirée par les cheveux,

Il n’est pas question d’extraire mais fournir.

 .

Symbolique  

 .

Le tire-bouchon

Viendrait du verbe « tirer »

Issu du nom « bouchon » qui

En latin ancien,

Donne   « bucco ».

En quelque sorte,

 Outil qui sert à sortir

De son logement,  parcelle de matière,

Faite,     généralement,  de liège     qui,

D’un        côté vient au contact    liquide

Et            de l’autre côté de la per      sonne

Qui          fait l’action de tirer, tour      ner.

L’in       vention   du      tire-bou       chon 

Est    parfois attribué à observa   tion

D’animaux     du    genre   porc,

Qui de par leur partie caudale,

Évoquent spirale que nous

Connaissons.

Source :

Ledifice.

Net

 .

.

Fond

.

Évocation 

458 6

.

Des martiens il y en a de toutes

Les formes et fantasmes:

Beaucoup ont une très grosse tête

Et un petit corps vert !

 .

Symbolique 

.

Si H. G. Wells a popularisé menace

Venue de la planète Mars, la  figure  du

Martien en  science-fiction, littéraire

Ou cinématographique, est

Devenue  le symbole

Très ambivalent

De l’extraterrestre.

Les «petits hommes verts»

1912,     Edgar Rice Burroughs,

Auteur      du futur Tarzan,     projette

Le  héros      de   son   Cycle  de           Mars,

John             Carter  combattant            éternel,

Dans            le passé  de la planète               Mars,

Croise           différentes   races  de           Martiens,

Dont            humanoïdes verts qua           tre bras,

Fondant     ainsi   une    imagerie        populaire

De l’extraterrestre             martien qui devient

Un autre nous-mê      mes aux mille visages.

historia.fr/les-metamorphoses-du-martien

.

.

Fond/forme 

Tire-bouchon en forme d’Alien, extra-terrestre

Difficile à dire si le vin dans la bouteille sera bon

Quoiqu’il en soit, quoiqu’il en fut, toujours le fond

Donnera la forme dès qu’il rimera avec l’ivresse

Au point d’en avoir hallucination tire-bouchon !

.

Tourner pour perforer, pénétrer

Puis tirer pour extirper,  sortir

L’analogie de bouteille et sexe,

Aura quelque chose de valide

Autre forme … fond… élixir.

.

 Textuels et illustrations    >> 

457 – Musique harmonie, symphonie résonne

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De la musique avant toutes choses !

Et,  pour cela, ne pas faire  d’impair,

Qui ferait que couple va de travers.

Cloches et  orgues  et à l’unisson,

Nous, en leur mélodie de sons,

Avons célébrer notre union !

Cloche s’est fêlée lors battant

A cogné trop fort, en la tapant,

Le noir et grisa remplacé le rose.

.

Avant, musique, pleine harmoniques

Pendant, les deux cœurs, émus, battants ;

Après, quelque chose, a cloché, en ciel de lit !

Tantôt ici ou là, orgasme simultané s’est décalé,

Tantôt ici, ou  là, l’orgasme de l’un, s’est enterré !

Frigidité ou impuissance provoquent cacophonies

Et leurs orgues à l’unisson ne soufflent que délits.

.

Musique harmonisant

Symphonie  résonnante,

L’un se voit être le battant,

De l’autre, sonnette vibrante.

Cloches, résonnent, célébrant

Bonheur, vécu maritalement

Sur deux tons en harmonie

D’un couple d’amants,  lit.

.

Faux pas  ou  fausses notes,

Et soudain l’un deux toussote,

Et son regard se détourne,  fuit

Lors commence pointer l’ennui.

.

La  cloche  aura subi  une fêlure

Qui entraine  en  sa  déconfiture,

C’en est fini de leurs  harmonise,

On ne les verrait plus qu’hors lit.

.

Harmonie, deux tons si l’on dit

N’a qu’un temps  lors   sonnant

Harmonie à deux clés… on dit

Se joue avec des instruments.

 .

La mesure, rendue pleine,

Timbres font cacophonies,

À l’autre l’on sonne minuit

La récré est finie : déveine.

.

Extensions

.

Si une cloche et un battant font la paire,

À l’unisson, dès la moindre craquelure, fêlure,

Les sons produits se désaccordent et se discordent.

Ils passent, soudain, de l’harmonie à la cacophonie.

Cela se fait généralement lors intention du battant

Est de se taper la cloche, mais, cette dernière,

Quand elle s’en aperçoit, ou s’en est aperçu

Après coup, change de ton, et de gamme.

Elle introduirait une dissonance cognitive

Là où le battant frappe consonance sensitive.

Il ne s’agit pas de filer la métaphore : taper fort

Pour avoir le dernier mot dehors lorsque le dedans

Ne résonne plus que des sons, à moitié étouffés par

La perte du désir de l’un ou de l’autre sinon des deux.

Il y a en a qui ont clochette, d’autres qui ont bourdon,

Question de taille, de volume, de marteau et caisson.

On n’arrête pas le progrès en les électrifiant et là,

Plus question de tirer sur la corde … sensible !

En tous les cas, deux cloches, mal accordés,

Ne feront jamais, plus jamais, harmonie.

.

Le mot cloche, comme instrument de musique a deux sens :

Sens harmonie quand elle s’accorde avec son battant ;

Sens cacophonie quand une fêlure la désaccorde

Ou que son battant la cogne en tous sens.

Déjà, mettre son couple, sous cloche,

Ne présage pas harmonie durable

Tant toute prison sonnera faux

Dès lors que jalousie signera

Un attachement non libre.

.

L’expression : « il y a quelque chose qui cloche »

Résonne en nous par son timbre qui accroche

Nos tympans par vibrations désaccordées,

Qui, de mauvais accord, laisse à penser.

.

Le battant l’aurait-il frappé trop fort,

Et, à coups redoublés, l’aurait sonné

Toujours est-il qu’elle se sera fêlée,

À force de subir et de protester !

.

On peut voir un autre son de cloche

Elle se serait désaccordée toute seule

Pour qu’il la délaisse ou qu’il la trompe

Et lors le résultat sera le même : divorce !

.

Que la cloche évoquerait l’oreille ou le sexe,

Ne changera rien à la question de l’harmonie,

Lors d’une union elles sonnent toutes à l’unisson

Suivi par des accords … accords … d’accordéon !

.

Fragments

.

Art de combiner des sons d’après des règles

Qui sont variables selon les lieux et les époques,

D’organiser une durée avec des éléments sonores

Et productions de cet art, en sons et en œuvres.

.

Suite, ensemble de sons rappelant la musique.

Tel que bruit, harmonie, mélodie, murmure.

Derrière cet art, il y a aussi une science.

.

Les notions  et  les  signes :

Relatifs à la durée des sons ;

Relatifs à l’intensité des sons.

Relatifs à la hauteur  des sons.

.

Poésie : de la musique avant toute chose

Dit Mallarmé, et pour cela, préfère l’impair !

 

 « Les pythagoriciens considéraient la musique comme une harmonie des nombres et du cosmos, lui-même réductible à des nombres sonores.

Le recours à la  musique, avec ses timbres, ses tonalités, ses rythmes, ses instruments divers, est un des moyens de s’associer à la plénitude de la vie cosmique. » La musique traditionnelle celtique se joue à la harpe et non avec des instruments à vent qui sont réservés à la guerre ou la récréation.

Tout harpiste était capable de jouer selon trois modes : sommeil, sourire,  lamentation. La musique du rêve est teintée de joie et d’harmonie, accord parfait entre le corps et l’esprit comme dans une danse.

Image de l’unité dans la diversité. La musique peut être l’expression d’émotions ou de sentiments que nous ressentons pour une personne chère avec laquelle nous avons atteint une rare harmonie ou l’accord profond que nous éprouvons entre les différentes instances de notre personnalité.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

De la musique avant toutes choses !

Et,  pour cela, ne pas faire  d’impair,

Qui ferait que couple va de travers.

Cloches et  orgues  et à l’unisson,

Nous, en leur mélodie de sons,

Avons célébrer notre union !

Cloche s’est fêlée lors battant

A cogné trop fort, en la tapant,

Le noir et grisa remplacé le rose.

.

Avant, musique, pleine harmoniques

Pendant, les deux cœurs, émus, battants ;

Après, quelque chose, a cloché, en ciel de lit !

Tantôt ici ou là, orgasme simultané s’est décalé,

Tantôt ici, ou  là, l’orgasme de l’un, s’est enterré !

Frigidité ou impuissance provoquent cacophonies

Et leurs orgues à l’unisson ne soufflent que délits.

.

Musique harmonisant

Symphonie  résonnante,

L’un se voit être le battant,

De l’autre,  sonnette  vibrante.

Cloches, réson    M S     nent, célébrant,

Bonheur, vécu        U Y            maritalement

Sur deux tons           S M              en harmonie,

D‘un couple                 I  P                d’amants,  lit.

Faux pas ou                 Q H                fausses notes,

Et soudain l’un             U O               deux toussote,

Et son regard se            E N               détourne,  fuit

Lors commence             *   I             pointer l’ennui.

La  cloche  aura            H E            subi  une fêlure

Qui entraine en             A   *           sa  déconfiture,

C‘en est fini de              R R           leur  harmonie,

On ne les verrait           M É           plus qu’hors lit.

Harmonie, deux            O  S             tons  si l’on dit

N‘a qu’un temps             N O               lors   sonnant

Harmonie à deux             I  N                 clés…l’on dit,

Se joue avec                        E N                   instruments.

    * E

La mesure, rendue pleine,

Et timbres font cacophonies,

A l’autre l’on sonne minuit

Lors la récré est

Finie, déveine.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

En bas, cloche, avec son battant,

En haut, mouton pour l’accrocher :

Il n’y aurait plus qu’à bien la sonner !

.

457 4

.

Une cloche participe d’harmonie musicale

Mais il se peut qu’elle devienne fêlé et alors

Ce n’est plus du tout le même son de cloche.

Il n’y a rien qui cloche, entre eux : 

Elle, carillon et lui battant :

Cela les ferait résonner sur la même

 Note harmonieuse, timbrée.

 .

 Symbolique

 .

Pour l’Église orthodoxe russe,

Les cloches sont des êtres  animés

D’un  nom, d’un corps et de sentiments.

 .

Par ailleurs, la forme creuse et arrondie

De la cloche l’assimile  au corps féminin,

Tandis que le battant et aussi le manche

Évoquent comme une sorte de phallus.

 .

Ces   connotations   de  nature  sexuelles

Contribueront,  vivement,  au symbolisme

De la cloche dorje     qu’on  dit  petit   sceptre,

Étant    souvent   employés, et,   simultanément,

Dans   les  rituels  bouddhistes  et  voire  tibétains.

Forme et son se rejoignent.

Modifié,       source :

grandêve1234.

blogspot.com

.

.

Fond

.

Évocation 

.

457 6

.

Il y a visiblement quelque chose qui cloche

Entre le battant et la bélière

Comme entre homme et femme en un couple

Et qui vibre ou résonne faux.

 .

Symbolique 

Une cloche

Est un objet simple

Destiné à l’émission d’un son.

Sa forme est un tambour ouvert

 

Évidé de seule pièce qui résonne

Après avoir été frappé, la partie qui

 .

Frappe le  corps   de    la cloche    sera

Soit un battant  ou une sorte de langue

 .

Étant suspendue   dans la cloche, soit une

Petite sphère  libre,   comprise   dans le corps

 .

De   la   cloche,  soit  un   maillet   ou  un  battant

Tronc de bois suspendu par des cordes et qui frappe

La cloche depuis son enveloppe se trouvant à l’extérieur.

Modifié              Source 

Wikipédia 

Cloche

 . 

.

Fond/forme

 .

La forme de l’objet correspond bien au texte

Mais s’il rimera plutôt bien avec le son son,

Y a quelque chose qui cloche en ce dernier

Comme désaccordé, désharmonisé, fêlé.

Et, du coup, le face à face est troublé.

.

Textuels et illustrations   >>

456 – Sommes pas amants : copains seulement

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Je voudrais

Être l’amant.

Tu me préfères

Comme   copain

Or,  c’est bien là,

L’éternel  refrain,

Séparant son sexe

 De ses sentiments !

.

Amant/mari/copain

Y a tant  de  contacts,   

Où le sexe   est absent :

Du moins, dans les faits,

En dépit de contentement.

On change amant, pas copain,

Sexe est parfois volage, incertain.

.

Amitié n’entre pas corps de femme :

Elle ne pénètre qu’en son esprit/âme.

Mais nous ne sommes pas des amants,

Sommes  de  bons  copains, seulement,

Lors chacun  clamera  ses  divergences

Comme  ses suppléments d’existences,

Mêmes si elles s’avèrent être non-sens

Voire, l’un pour l’autre, vrai faux-sens.

.

Les contraires  s’attirent, c’est normal,

C’est la loi du genre, une loi animale

Que ce ne soit pas physique mais moral,

Est bien plus qu’un détail en  cette spirale.

Spirale d’amour  nous  aspire à contre-sens,

Quand l’un veut,  l’autre  plus  ou  inversement.

.

À moins qu’un pur miracle nous rende en chanceux,

N’aurons  pas de précieux  rendez-vous  d’amoureux :

Entre vrai  désir  et une  fausse crainte,  cœur balance

Si ce n’est le contraire  en bien, deux  cas, en distance

Afin que  tout ce qui a été construit, dure  entre nous

Plutôt que se lancer à corps perdu en histoire de fou.

.

Lors même livrer son corps à l’un et son âme à l’autre

Fait un vrai dieu du premier et d’autre simple apôtre,

«Attends des amants : je pourrais en changer souvent,

Toi tu serais comme témoin  frère de sentiment 

 En copain j’aurai pour toi  un statut privilégié

 Forçant à me penser en bien aimée.»

.

Amant, ami, copain, collègue, relation

Amours différents, amours déclinaisons,

Qui instaurent règles de conduite, raisons :

L’un veut devenir l’amant, mais l’autre, pas,

Par sa peur de le perdre, au premier faux-pas

Se disant, qu’il, ou elle, ne s’en remettrait pas,

Un amant se dévoilera, sans filet, et, tout nu,

Copain est celui à qui on raconte, aura su,

Ne fait pas l’affaire : confident, exclu.

.

Extensions

.

 «Nous ne sommes pas amants,

Copains seulement»

«Nous ne sommes pas copains,

Amants  seulement !»

Ces deux aveux sont-ils en tout

Équivalents, réversibles ?

.

Copain pour camarade de classe, de travail, de jeu, de loisirs

Pas touche aux fantasmes, désirs liés au corps, liés aux sexes

On lui confiera son âme et son esprit mais moins son cœur !

Le problème se pose quand l’un est copain, l’autre amante

Ou réciproquement, ou que le sexe ferait partie d’un jeu

Tandis que l’autre croit qu’il s’agit d’un … amoureux.

Comment passer de l’un à l’autre sans déception !

.

Je vous présente mon mari, compagnon, copain,

On connait tous la chanson, couplets et refrains :

Il arrive que l’un puisse se transformer en l’autre

Mais il ne faudra pas confondre mari et apôtre !

.

Le copain, ce serait souvent tout, hormis le sexe

De quoi donner, à certains,  bien des complexes,

Lors un amant aurait comme posture, contraire,

Il n’y a que polyamoureux qui vous feront braire.

.

En attendant j’aimerais passer de copain à amant

Mais, tu me dis, qu’on a le temps, pas le moment.

Au fil des  jours, mois, années, c’est  désespérant :

Ne cesse de me demander pourquoi je t’aime tant.

.

Fragments

.

Être copains est une bien noble relation

Basée sur la confiance et la réciprocité,

Cela veut dire que des gens s’entendent

Bien, étant de même sexes  ou opposés.

.

Être amis est communiquer confidence,

Il est plus question de fidélité, confiance

Généralement, on en a peu, on les garde,

Nous paraissent  parfois inconditionnels.

.

Être amant consiste à posséder quelqu’un,

Un moment plus ou moins long et fréquent

Avant de le perdre mais sans conséquences

Sur le plan de la légalité, voire de la liberté.

.

Conjoint qualifie relations extra-conjugales

De tromperies, s’il ne le sait ou ne n’admet,

Ou réussit un accord, compromis, pardon,

Au final, tous sont perdants ou gagnants.

.

Fait que ce soit le sexe et non l’intimité,

De nature psychique plus que physique

Est barrière invisible, infranchissable,

Fait débat dans les sociétés, couples !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

.

Je      voudrais

Être   l’amant.

Tu me préfères

Comme  copain

Or, c’est bien là,

L’éternel refrain,

Séparant son sexe

 De ses sentiments !

Amant/mari/copain

Y a  tant  de  contacts   

Où le sexe   est absent :

Du moins, dans les faits,

En dépit de contentement.

On change amant, pas copain,

Sexe est parfois volage, incertain.

Amitié n’entre pas corps de femme :

Elle ne pénètre qu’en son esprit/âme.

Mais nous ne sommes pas des amants,

Sommes  de  bons  copains, seulement,

Lors chacun  clamera  ses  divergences

Comme  ses suppléments d’existences,

Mêmes si elles s’avèrent être non-sens

Voire, l’un pour l’autre, vrai faux-sens.

Les contraires  S  s’attirent  C  c’est normal,

C’est la loi    O   du genre, une  O    loi animale

Que ce ne   M  soit pas physique   P   mais moral,

Est bien    M    plus qu’un détail en    A  cette spirale.

Spirale     E     d’amour  nous  aspire à     I  contre-sens,

Quand      S      l’un veut,  l’autre  plus  ou     N   inversement.

À moins    *      qu’un pur miracle nous rende    S   en chanceux,

N’aurons   P     pas de précieux  *  rendez-vous     *    d’amoureux :

Entre vrai   A    désir et une  *     * fausse crainte      S    cœur balance

Si ce n’est    S     le contraire  *        * en bien deux     E   cas en distance

Afin … que   *      tout ce qui a *       * été construit    U   dure  entre nous

Plutôt que    A       se lancer  à    *    corps  perdu      L  en histoire de fou.

Lors même   M     livrer  son     *   corps à l’un      E et son âme à l’autre

Fait un vrai    A    dieu   du  premier  et  d’      M autre simple apôtre

«Attends des   N    amants : je  pourrais      E   en changer  souvent,

Toi tu serais    T    comme    témoin      N    frère de sentiment 

  En copain     S    j’aurai pour toi   T    un statut privilégié

 Forçant      *    à me penser     *    en bien aimée.»

Amant, ami, copain, collègue, relation

Amours différents, amours déclinaisons,

Qui instaurent règles de conduite, raisons :

L’un veut devenir l’amant, mais l’autre, pas,

Par sa peur de le perdre, au premier faux-pas

Se disant, qu’il, ou elle, ne s’en remettrait pas,

Un amant se dévoilera, sans filet, et, tout nu,

Copain est celui à qui on raconte, aura su,

Ne fait pas l’affaire : confident, exclu.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Une  mèche   et  un  verre,

Une réserve de carburant :

C’est une  lampe à  pétrole.

.

456 4

.

Nos lampes ont des lumières différentes,

Amants n’en ont qu’une,

Et qu’ils puisent dans un seul et même

Réservoir, pour leur flamme.

 . 

Symbolique

La lampe,

Électrique,

À huile ou

À   pétrole,

Représente une

Lumière   intérieure,

Une énergie, des capacités,

Des talents que nous maîtrisons.

.

C’est l’homme qui maîtrise la lumière

Avec un certain pouvoir d’allumer

Et d’éteindre. La lumière est le

Symbole de la connaissance.

.

On apprend de jour

En jour à mieux se connaître,

On évolue grâce à ces

Informations et ce savoir.

.

.

Fond

Évocation 

.

456 6

.

Amitié entre homme et femme est chose rare

Et donc d’autant précieuse

Elle est fondée par des échanges de tous types

Sauf de nature amoureuse.

 

Symbolique    

Alors      que   

    Les        femmes

Auront tendance  à vouloir

Entretenir  une saine  amitié

Homme-femme,  en dépit de la

Distance et autres  changements,

Les hommes eux font moins l’effort.

Une étude dévoilera que les hommes

Ont tendance à         bâtir leurs amitiés

Sur le principe              du sens pratique.

Autrement dit                         : la proximité

Ou voire, la                                  disponibilité.

Ce qui ne                                                  veut pas

Pour au                                                            tant dire

Que  leur                                                                        amitié

Est moins                                                                                   sincère.

Modifié : Auféminin.com

 .

.

Fond/forme    

 

Entre copains et amis, il y a une différence

Plus grande encore entre copains et amants.

S’il n’est pas rare copains deviennent amants,

L’inverse est plus difficile si …non réciproque.

 

La frontière est très nette : on ne couche pas,

Et si certains l’accepteront …. d’autres pas,

En l’amitié les choses sont compliquées,

Mais le lien est constant en la durée

Le sexe ne serait pas négociable !

 

Forme poème correspond un peu à l’objet

Dont lumière, ambiance,  évoquent  amitié.

Mais les amis ne seront pas comme amants,

En recherche de fusion  mais considération,

Qui rime très bien avec raison, pas passion

Un face à face se posera, entre deux amis

Imposant grande réserve pour  fidélité.

.

Textuels et illustrations  >> 

 

455 – Nos différences : notre meilleur atout !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Des différences,

Heureusement il y en a,

Sinon se regarder en un miroir

Ou alors d’être jumelles ou jumeaux,

Qu’importent qu’elles vraies ou fausses.

Bon nombre  différences  s’estompent,

Quand nous deviendrons amoureux

Resurgissent, devenons fâcheux.

.

Un doute

S’ins-tau-re,

Amplifie distances

C’est ainsi que, notre meilleur atout,

Qui est la somme des différences,

Nous rapproche, malgré tout,

Ne divisent plus existences.

.

Il n’y a qu’incompatibilité

De caractères ou de valeurs,

Qui pourrait séparer un couple

Qui, sur plan sexe, semblait coller.

.

Notre différence : notre meilleur atout,

Joue-t-elle vraiment, un rôle entre nous,

Bien que la tienne m’ait souvent intrigué,

M’ait paru, parfois, quelque peu déjantée.

.

Dès lors, l’approfondir  me fut plaisant,

Tant esprit et le cœur,  rendus contents :

Complicité si belle  nous aura rapprochés

Lors même nous a permis de  nous aimer.

.

Mais ton  charme,  ton attrait, ont changé,

Ils  m’ont  fait  douter   de  ton  authenticité

Lors en  distance ou lors en non réciprocité,

Au point que,  de   toi …  je  me  suis éloigné.

.

Voilà  comment, insomniaque,  nuitamment,

Je suis  devenu un être  des plus  clairvoyants,

En faux semblant, complément de différences,

D’amour empoisonnant essence mon existence.

 .                                                 

Nos différences s’ajoutent si elles se complètent,

S’annulent quand elles ne sont plus en quête

Se heurtent si elles se bagarrent en fait

Autant force, incompatibilité, de fait.

.

Différences, c’est sûr, c’est évident,

Mais lesquelles naturelles et jusqu’où ?

 L’un, sur un trône  et l’autre, à ses genoux.

.

Début, c’est richesse  découverte même atout,

  Peu à peu, distance  défiance,  s’insinuent partout

  Yeux se décillent, différences  deviennent défauts.

   Voilà comment insomniaque nuitamment souvent,

Je suis devenu un être des plus clairvoyants,

Différences pour réguler  nos différents.

.

Extensions

.

Notre différence est notre meilleur atout entre nous,

On ne le dira jamais assez, on ne le dit déjà pas beaucoup.

C’est ce qui nous perd, qui nous sauve, paradoxalement.

.

«Cherche partenaire pour partager même passion

Pour ceci ou pour cela, et plus, si affinités »,

Pourrait être le canevas d’une crédible

Annonce sur un site de rencontres.

.

Risquer  de  vivre, avec  une

Personne toute contraire

Serait-il aller droit à l’échec.

.

Rien ne le prouve ni ne l’a prouvé

Jusqu’ici : en des films d’amour,

C’est ainsi que tout commence…

.

L’égalité entre sexes ne consiste pas à gommer les différences,

L’un dominant l’autre, en toutes occasions, et, en tous temps.

Dire d’une femme, d’allure masculine, qu’elle me ressemble,

N’a aucun sens, cela reste autant valable réciproquement

Nos différences se situent le long d’un curseur continu

Non d’une frontière, sexe, manière d’être et penser

Les deux sexes  peuvent penser pareil au travail.

.

À vouloir se ressembler en tout et à tout prix

On finit  en jumeaux, à  en oublier qui est qui.

Un miroir réfléchit certes, mais, ne pense pas :

Sans une différence, un couple ne marche pas !

.

Rassurez vous, rassurez moi, dès mon jeune âge

Je ne ressemblais à personne : qu’à moi-même !

Pour autant, n’ai pas épousé compagne extrême,

Aucune folle ne m’aurait pas fait  redevenir sage.

.

Lors nous sommes, en bien des points, différents

Mais pas en tout, pas sur les valeurs, l’essentiel :

Différence s’est transformée en plus… égalitaire,

Ce qui fait qu’on s’est rendus complémentaires.

.

Fragments

.

Je ne parlerai pas vrais jumeaux : cas particuliers,

Je ne vous parlerai pas d’âmes sœurs : cas uniques,

Je vous parle ici de tout un chacun qui vit en couple,

Dont les uns sont très proches et autres, très opposés.

.

Déjà que par nature, physiologie, éducation, profession,

Nous subissons, acceptons, cultivons nombre différences

Que l’on peut gommer, rapprocher seulement pour partie

Vouloir être l’autre sexe et tout le contraire s’équivaudrait

.

Je suis un homme certes, mais aussi, un peu, une femme,

Je veux dire, par le cœur par l’esprit et surtout par l’âme,

Tout est une question de dominante et non d’exclusivité :

Parfois j’écris poèmes emprunts d’une certaine féminité.

.

Les différences avec ma femme font partie de mes atouts,

Certaines la complètent et d’autres, ne supportent du tout

L’important n’est-il pas que défaut respectif s’harmonise,

Arrive parfois, on n’a le même et après tout, on s’en fout.

.

C’est dire si mêmes différences créeront des divergences

Chez l’un et convergences chez l’autre, rejets ou attraits

De toute façon passion folle, rend aveugle, efface tout

Et on ne découvre incompatibilités qu’après-coup.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Des différences,

Heureusement il y en a,

Sinon se regarder en un miroir

Ou alors d’être jumelles ou jumeaux,

Qu’importent qu’elles vraies ou fausses.

Bon nombre  différences  s’estompent,

Quand nous deviendrons amoureux

Resurgissent, devenons fâcheux.

.

*********************

***************

.

Un doute

S’ins-tau-re,

Amplifie distances

C’est ainsi que, notre meilleur atout,

Qui est la somme des différences,

Nous rapproche, malgré tout,

Ne divisent plus existences.

Il n’y a qu’incompatibilité

De caractères ou de valeurs,

Qui pourrait séparer un couple

Qui, sur plan sexe, semblait coller.

.

Notre différence : notre meilleur atout,

Joue-t-elle vraiment, un rôle entre nous,

Bien que la tienne m’ait souvent intrigué,

M’ait paru, parfois, quelque peu déjantée.

                                                                      M

Dès lors l’ *  approfondir me fut   E  plaisant,

Tant esprit  D   et le cœur rendus   I  contents :

Complicité  I     si belle  nous aura    L  rapproché

Lors même F       nous a permis de      L  nous aimer.

Mais ton     F      charme,  ton attrait     E    ont changé,

Ils  m’ont   É       fait  douter   de  ton     U    authenticité

Lors en      R        distance ou lors non     R       réciprocité,

Au point   E        que,  de   toi …  je  me     *     suis éloigné.

Voilà        N     comment, insomniaque    A   nuitamment,

Je suis     C     devenu un être des plus    T     clairvoyants,

En faux    E  semblant, complément    O   de différences

D’amour  *  empoisonnant essence  U mon existence.

                                                       T   

Nos différences s’ajoutent si elles se complètent,

S’annulent quand elles ne sont plus en quête

Se heurtent si elles se bagarrent en fait

Autant force, incompatibilité, de fait.

Différences  *   c’est sûr,  *  c’est évident,

Mais lesquelles   *    naturelles  *   et jusqu’où ?

 L’un sur un trône      *   et l’autre     *  à ses genoux.

Début, c’est richesse    *   découverte  *      même atout,

  Peu à peu, distance      *   défiance     * s’insinuent partout

  Yeux se décillent     *    différences    *   deviennent défauts.

   Voilà comment    *      insomniaque   *    nuitamment souvent,

Je suis devenu   *           un être des    *            plus clairvoyants,

Différences      *              pour réguler  *                  nos différents.

.

Forme

.

.

Évocation

 

Un socle, un foyer, une cheminée

Un réservoir, une mèche, un verre 

Lampe tempête couleur  très vive.

.

455 4

.

Voilà donc lampe tempête avec

Différence de couleur des autres.

Lampe de la couleur de la colère

Aveuglant séparation de couple.

Toutes les lampes tempêtes, au pétrole,

Se ressemblent et pourtant chacune a

Une particularité  qui  la distingue !

 .

Symbolique 

 .

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez Grimm la lumière seule chasse

L’amant caché de l’héroïne.

La lumière, dans tous les

Contextes mythologiques,

Symbolise la conscience.

La lumière d’une lampe

Représente particulièrement

Le conscient qui est entre les mains

Et sous le contrôle de l’être humain,

Par contraste avec la lumière du soleil,

De nature divine et cosmique.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

455 6

.

La différence et la ressemblance

se conjugue  en positif ou négatif,

on recherche la complémentarité,

là où nous avons  besoin, manque.

.

Symbolique 

 .

Aujourd’hui, si                      l’on tient compte

Du féminisme, du              racisme ou handicap,

 .

Il devient impossible         de parler de différence

Sans que des inter           prétations y raccrochent

 .

Un  jugement  de       valeur, un ostracisme

Par   rapport     à la norme établie

 .

Par le plus     grand nombre,

De  discri   minations qui

 .

Remettraient alors en

Cause l’égalité sociale.

Source : Wikipédia

.

.

Fond/forme 

Il y a parfois des différences entre formes

Certaines, mineures, d’autres, importantes.

Une différence de couleur entre des humains

Sera mineure, majeure, selon les civilisations

Mais ici, la seule différence  avec les lampes,

Est qu’elle est rouge, libre d’interprétation.

.

Toute différence n’induit pas une discrimination,

La première étant vue positive ; seconde négative

La première, enrichissante ; seconde, décevante.

.

Si différence trop petite : pas prise en compte ;

Si trop grande, crée un point d’éloignement,

L’idéal est que différences se complètent

Au lieu de s’annuler, se contrarier.

.

 Textuels et illustrations  >>

454 – Une, deux, dix femmes : différences !

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

La

Question du

Combien est- elle importante ?

On voit une femme en homme aimant,

Un homme, en femme, lors  maternant.

Il faut plusieurs, avant d’en faire le tour,

Afin de trouver celle  qui nous convienne.

Mais, le nombre ne garantira pas qualité,

Il n’apporterait que semblant nouveauté !

L’on ne ferait, jamais, le tour des femmes

Il faudrait déjà faire le tour de la sienne !

 .

Combien d’hommes

Prêts à changer d’air,

Et, pour retrouver la

Même ou contraire !

Et l’homme  serait-il

Si simple à connaitre

Qu’un   seul   suffirait

Pour se faire une idée.

Une, deux, dix, centaine :

Importance et différence,

Vivre avec une seule, deux,

À la suite ou simultanément.

.

Pour connaître l’autre, faut vivre

Avec lui, un certain temps,

Pour aimer l’autre, il faut survivre

À la naissance des enfants.

.

Certains disent qu’il faut plusieurs,

Pour faire le tour de la femme,

Et d’autres qu’il leur suffit de la leur,

Pour s’y perdre…corps et âme.

.

Combien d’hommes changeront d’air

Pour retrouver le contraire,

Les instables disent aucune ne les aime,

Femme est être à problème.

.

L’homme serait-il plus simple, plus facile

À décoder, à comprendre,

On prétend que oui, et pourtant peu docile

Pas plus  à l’entendre !

.

Humainement, les différences sont minimes

Hors leurs positions intimes,

S’il y a une différence de sexe, certainement,

De cerveau, non, ou rarement.

.

Extensions

.

Le plus souvent, plan

Du raisonnement et de l’entendement,

Ils seront en pure égalité.

Ce n’est pas tant la quantité qui compte

Que la qualité, mais la qualité,

Comment la connaitre sans la quantité.

.

Jusqu’où les femmes peuvent-elles être différentes au point que

L’on croit qu’il s’agit d’une toute autre, ou d’une toute nouvelle ?

Qui peut et qui veut bien répondre à une telle question, délicate !

Les femmes peuvent-elles  en dire autant au sujet  des  hommes ?

Dans les deux cas, s’agit-il de personnes, modèles … stéréotypes ?

Certains en auraient connu six ou sept mais … toujours la même.

Si on s’en tient à la Loi normale, il y a les moyennes et extrêmes.

Le plus simple, courant est de voir toute les femmes en la sienne

Tout en se disant qu’on a choisi la meilleure, du moins pour soi.

.

Chacun sait bien qu’en matière de femmes,

Ce n’est pas la quantité qui compte : la qualité

Elles sont différentes, parfois, interchangeables,

Mais l’une seule peut, pour vous, cumuler toutes.

.

Non pas physiquement : c’est ridicule, impossible,

Non pas psychiquement, d’intelligence, caractère

Simplement d’harmonie, en plus de compromis.

«Sois belle et tais-toi» n’aura plus aucun avenir !

.

Il n’est pas  interdit, d’essayer, de se tromper,

L’expérience mérite  d’être, exquise, acquise,

Mais on ne peut y passer le restant de sa vie,

Arrive un moment où l’on se noie d’espérer.

.

Où l’on ne sait qui choisir, se faire choisir,

Et la misogynie guette si ce n’est la haine,

L’on se retrouve perdu,  en cinquantaine,

Pas certain de fêter des noces en famille.

.

Fragments

.

L’amour dure trois ans, selon des statistiques

Qui ne seraient basées que sur des déclaratifs

.

Est-ce raison pour laquelle, certains changent,

En s’appuyant sur ces données comme fatalité.

.

Entretient-on confusion entre amour et passion,

 Il y aurait souvent un meilleur accorde en idéal !

.

Chacun sait qu’idéal n’existe pas, en cas contraire,

Au bout d’un temps, on finirait bien par s’en lasser.

.

De toute façon, il faut être riche à divorcer sept fois

Surtout avec enfants de chacune, faut un sexe en or.

.

J’imagine qu’il faut faire une différence entre tous cas

Des célibataires s’ignorent et soudain se redécouvrent.

.

La peur, que dis-je l’angoisse, l’impuissance à s’engager

Sur le long terme, créent toujours déceptions et drames

.

Je ne dis pas qu’il faille choisir à seize ou à dix-huit ans

Rester fidèles quel que soit cours événement, sentiment

.

Aujourd’hui où sa liberté de choix sera devenu la règle,

Personne ne pourrait plus se plaindre d’avoir été forcé,

.

Et, malgré cela, les divorces vont bon train, de moitié,

Sans qu’on sache si c’est un mal pour un bien ou folie.

.

S’essayer à la séduction et à l’amour est bien humain,

passer sans cesse d’un conjoint à l’autre est enfantin !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

  La

Question du

  Com   D  bien est- elle impor  D  tante ?

On voit   I   une femme en homme  I  aimant,

Un hom  X   me en femme, lors ma    F  ternant.

Il faut     *   plusieurs, avant d’en faire  F  le tour,

Afin de   F   trouver celle  qui nous con  É  vienne.

Mais le  E    nombre  ne  garantira pas   R  qualité.

Il n’ap  M    porte que semblant nouve   E     auté !

L’on    M   ne ferait jamais le tour des  N femmes

Il fau  E drait déjà faire le tour de la  C  sienne !

S                                               E …

.

Combien…….. d’hommes

Prêts à changer d’air,

Et, pour …….retrouver la

Même ou contraire !

Et l’hom….….me serait-il

Si simple à connaitre

Qu’un seul…….…suffirait

Pour se faire une idée.

Une, deux, dix, centaine :

Importance et différence,

Vivre avec une seule, deux,

À la suite ou simultanément.

.

Pour connaître l’autre, faut vivre

Avec lui, un certain temps,

Pour aimer l’autre, il faut survivre

À la naissance des enfants.

.

Certains disent qu’il faut plusieurs,

Pour faire le tour de la femme,

Et d’autres qu’il leur suffit de la leur,

Pour s’y perdre…corps et âme.

.

Combien d’hommes changeront… d’air

Pour retrouver le contraire,

Les instables disent aucune ne les aime,

Femme est être à problème.

.

L’homme serait-il plus simple, plus facile

À décoder, à comprendre,

On prétend que oui, et pourtant peu docile

Pas plus … à l’entendre !

.

Humainement, les différences sont minimes

Hors leurs positions intimes,

S’il y a une différence de sexe, certainement,

De cerveau, non, ou rarement.

.

Forme

.

.

Évocation

Un château d’eau pour ville,

Un moulin à poivre   ou à sel,

Ou  encore   un    tire-bouchon.

.

454 4

.

On ne va pas vous tirer les vers du nez, pour savoir :

Combien de femmes vous avez connu, avant et après !

Une femme ne sera pas une bouteille d’alcool, d’élixir,

Ni l’homme un tire-bouchon pour l’ouvrir à l’envie.

.

.Symbolique 

 .

Au XVIIe siècle,

Apparait le tire-bouchon.

Contemporain de l’invention

De la bouteille dite « moderne ».

Déboucher un une bouteille

A vite nécessité l’invention

D’un outil  plus spécifique :

Le tire-bouchon est né !

Devenu objet précieux,

Et voire… aristocratique

À l’origine, le tire-bouchon

Est vite devenu  un symbole

De bien-vivre et  de partage,

En Angleterre puis en France.

Tout d’abord,  pour se  démocratiser

Progressivement et devenir universel,

Devenant du même coup, magnifique

Objet de collection pour hélixophile !

club-francais-

du-tire-

bouchon

.

.

Fond

.

Évocation 

.

454 6

.

Rapport entre femme et tire-bouchon

Serait, un peu « tirer par les cheveux »

Mais celui de la bouteille et du vin, oui.

Alors on fait comment pour le bouchon.

 .

Symbolique 

 .

En prolongeant

Leur  rêve  de  pureté

Les    tous   premiers

Ro-man-tiques,

Symbolistes

Donnent

À la femme

 .

Une allure pure, virginale.

Henri Le Sidaner peint ce groupe

 .

De jeunes filles étant vêtues de blanc.

La femme a une symbolique très riche

 .

et qui aura évolué tout au fil du temps.

Toutefois, elle aura toujours évoqué  la

 .

Fécondité,  pureté, mais  aussi  le vice.

Bon  nombre de  mythologies antiques

 .

Attribuaient généralement une valeur

Sexuelle aux déesses, qui incarnaient

 .

Souvent le désir et plaisir charnel.

Modifié : poetes.com et  1001 symboles

 .

.

Fond/forme 

 .

Pour bien connaitre la femme, il faut

En avoir pratiqué plusieurs : combien !

C’est là le dilemme car en essayant tout

On ne sait plus ce qui est bon  pour soi,

Par élimination, cela prend du temps

Et parfois c’est un comble, il s’agira

De plusieurs fois la même forme,

A une différence de fond près

Qu’on prend pour l’idéal.

.

Textuels et illustrations   >>

453 – Pas que sexe : amour en la vie !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Sexe peut se justifier

Pour lui-même, certes,

Mais  il finit  par lasser,

Quoi pour le remplacer :

Une multitude d’activités

Avec des charmes   avérés.

Et déjà s’occuper d’enfants

Si ce n’est des fois, parents,

Il y a les amis, les relations,

Qui font objets  de passions,

Il  y  a  l’amour du prochain,

Compense  manque d’amour

Ou de conjoint, amant du jour,

L’humanitaire attire  les soins,

Lors nous avons tout, eux rien

Y compris affection des leurs :

Sexe devient prison et leurre.

.

Il n’y  a pas  que  le sexe,

Amour autant, en la vie,

Lors travail, et, enfants,

Nous occupent… aussi,

Souvent et longtemps,

Sans aucun complexe.

Et même que, le sexe,

On peut s’en passer ;

On peut  s’en lasser,

Ce, jusqu’à  le  nier.

.

Autres formes amours,

Parviennent à le dériver,

Durant nombre de jours,

Que l’on  ne peut calculer.

Quand  il n’est  plus désiré,

Il sort  des  simples réalités.

Ma conscience, humanitaire,

Qui n’a plus rien d’arbitraire,

N’avancera pas le  contraire,

Je suis privilégié, mon frère,

D’argent,  temps,   amours,

Au point de devenir sourd.

.

Il n’y a pas que  le sexe :

Amour autant dans la vie

Pauvres   et   comme nus,

Face à des gens … cossus,

Ont faim,   sont miséreux,

De leur sexe très honteux,

Qu’ils   ne peuvent bander

Faute de femmes  à rêver,

Faute de pains à manger,

Faute d’humanité en eux.

.

Amour sans sexe,

Sexe sans amour,

N’ont rien de vases communicants.

Le sexe, s’en passer, ou s’en lasser,

Lors amour point et sans se renier

Sans se couper de… toute altérité.

.

Extensions

.

Le sexe, est omniprésent,

On peut le trouver partout,

L’acheter comme un … objet,

Le pratiquer comme un contrat

Tandis que l’amour, il faudra le

Chercher au bout d’une quête

Quête qui nous construit

Ou bien qui nous détruit.

.

Le sexe remplit des corps,

L’amour remplit des vies !

Le sexe apporte du plaisir,

L’amour apporte bonheur.

Lors le sexe crée un creux

L’amour créera un plein.

.

On ne peut passer sa vie à deux à se regarder dans le blanc des yeux !

Au bout d’un temps, il n’y aurait plus rien à voir : l’ennui, du noir

Qui nous mènerait tout droit en enfer, tout droit au désespoir.

Il faut varier les plaisirs, les découvertes, les occupations,

Sinon, au final, l’amour ne serait qu’égoïsme à deux

L’on n’est pas seul au monde, et l’on fonctionne,

En réseaux qui s’ordonnent, se coordonnent

En fonction de nos besoins, de notre âge

Y compris à l’autre bout du Monde !

.

Le sexe de la femme est comme amphore

Vase fragile craignant frottements durs

Et cela tant à l’intérieur qu’en dehors

Vase que l’on dit tantôt pur, impur

.

La religion n’est pas une science,

Chacun fait selon sa conscience :

Le sexe n’est pas le sens de sa vie

Il n’est que va-et vient éphémère

.

Dieu merci, il y a chose à creuser

Demandant amour, engagements

Construisant longue vie de couple,

À laquelle, deux êtres s’accouplent.

.

Quand le sexe ne va plus… rien ne va ;

A ce compte là, tout le monde divorcera

Il ne faut pas confondre sexe et sexualité,

Notre libido aura  cent façons de s’éclater !

.

Fragments

.

Le sexe n’est pas une fin en soi

Sexe dans la vie n’est pas…  roi,

On pourrait  s’en passer, ma foi,

Sinon, on est des singes bonobo :

En être obsédé, n’est pas humain,

Pas plus hier, aujourd’hui, demain.

.

Mais s’il est vrai que, le sexe féminin,

Est fait pour recevoir celui de l’homme

Qu’il procure plaisir partagé, simultané,

Ce ne sont que  brefs instants d’intimité,

Pouvant diminuer, disparaitre, avec l’âge.

.

Parmi les formes de vases qu’on évoquera,

Pour évoquer un vagin et un organe utérin

Partageant fonction avec tous mammifères

L’amphore le fait, quel que soit son époque.

.

Amphore  est  comme creuset alchimique,

Qui prédise  à nombre  de métamorphoses

Et non  une outre  dans lequel l’on éjacule !

.

Les hommes, qui sont tous nés d’une mère,

Devraient s’en souvenir, non que s’en servir.

.

Et puis il y a tant de raisons, sujets d’amour.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Sexe peut se justifier

Pour lui-même, certes,

Mais  il finit    par lasser,

Quoi pour le  A  remplacer :

 Une multitu    M  de d’activités

 Avec des char    O   mes     avérés.

Et déjà, s’occu     U    per  d’enfants

Si ce n’est, des      R      fois, parents,

Il y a les amis,       *        les relations,

Qui font objets       A         de passions,

Il  y  a  l’amour     U       du prochain,

Compense man    S       que d’amour

   Ou de conjoint,    S      amant du jour

  L’humanitaire    I   attire les soins,

Lors  nous avons  tout, eux rien

Y compris affection des leurs :

Sexe devient prison et leurre.

.

****************************************

.

Il n’y  a pas  que  le sexe,

Amour autant, en la vie,

Lors travail, et, enfants,

Nous occupent… aussi,

Souvent et longtemps,

Sans aucun complexe.

Et même que, le sexe,

On peut s’en passer ;

On peut  s’en lasser,

Ce, jusqu’à  le  nier.

Autres formes  P d’amours,

Parviennent   A      à le dériver,

Durant        S       nombre de jours,

Que l’on        *                 ne peut calculer.

Quand il          Q                   n’est plus désiré,

Et il sort des       U                 simples réalités.

Ma conscience,      E                  humanitaire,

Qui n’a plus rien       *               d’arbitraire,

N‘avancera pas le       S               contraire,

Je suis privilégié,        E           mon frère,

D‘argent, de temps,    X          d’amours,

Au point de devenir   E               sourd.

Il n’y a pas que          *            le sexe :

Amour autant         E             en la vie

Pauvres et           N      comme nus,

Face à des       *         gens cossus,

Ont faim     L      sont miséreux,

De leur   A  sexe très honteux,

Qu’ils  *   ne peuvent bander

Faute  V femme pour rêver,

Faute   I    pains  à manger,

  Faute   E humanité en eux.

Amour sans sexe,

Sexe sans amour,

N’ont rien de vases communicants.

Le sexe, s’en passer, ou s’en lasser,

Lors amour point et sans se renier

Sans se couper de… toute altérité.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Bouteille en poterie ancienne

Une lampe  à pétrole, surmontée

D’un verre ou alors une amphore

De style plutôt moderne ou art déco ?

.

453 4

.

L’amphore est symbole

De l’organe génital féminin :

Pour autant  il est aussi le siège

De  nombre  d’émotions  d’amour 

On peut y voir un sexe féminin en bas

Surmonté d’un sexe masculin en haut

Mais personne ne possède les deux.

 .

Symbolique  

 .

La  symbolique de l’amphore

Est connectée avec origine de la vie

Est indubitablement liée à la femme

Et  à sa qualité  génératrice  de vie.

.

La  métaphore est, toujours, celle

De la femme, comme conteneur

Comme dispensatrice de la vie.

.

Et de même que le Graal  est

Lui-même pur conteneur

Possède aussi l’image

Du vase comme symbole

De la création divine.

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

453 6

.

 Poterie en céramique figurative

D’une mère portant un objet

Tout  comme un enfant

Qu’elle a adopté !

 .

Symbolique

 .

La poterie

À usage domestique

Est un travail  réservé

Aux femmes avec argile

Avec  différentes  couleurs

Selon les  divers gisements.

.

Signes utilisés en décoration

Remontent, pour  certains,

À la Préhistoire, origines

De l’alphabet tifinagh.

.

La coloration  à base

De kaolin ou d’oxyde

Ferro-manganique,

Permet d’obtenir

Des teintes vives.

djazairess.com/fr/lemidi/1006091902

 .

.

Fond/forme 

 .

L’amphore est ancêtre bouteille

Avec base solide et un col long effilé.

L’amphore rime bien, ici, avec  femme,

Évoquant tant sa forme que son… fond.

Il ne faudra pas s’y tromper sur son sexe

Tant il ne sera qu’une petite partie d’elle !

.

Son corps, son cœur, son esprit,  son âme,

Présideront à toutes ses relations d’amour

Le sexe n’étant que moyen très privilégié.

.

La femme réduite  à l’état  d’objet sexuel

Est contenue au niveau  des animaux.

Ce n’est autre  qu’un  déni d’altérité,

Qui n’honore en rien celui le tient

Et qui se croit être un humain.

.

Textuels et illustrations  >>

 

452 – Faire sans homme à tes cotés

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Sans homme la femme est-elle encore une femme :

Si l’on  prétend cela, c’est qu’elle est  dépendante.

Elle ne l’est pas, en tous cas de moins en moins

Alors la question ne se pose plus à moins que

Elle ne puisse  s’en passer, comme mentor,

Ne supportant qu’il soit  toujours dehors

Lors il rentre … vouloir être considérée

Comme une fille … perdue… sans lui,

Son argent, ses caresses, prouesses

La maintenant en vraie détresse.

Et basta, pourquoi un homme

Serait  présent, à mes côtés,

S’il est  homme,  pensant

Rien qu’à me dominer,

Lors suis une femme

Célibataire libérée,

Homme est lors

Com-pa-gnon

Non patron

Pardon,

Non

V

« Comment faire sans un homme à tes côtés ! »

« Je t’ai zappé : tu ne m’es plus indispensable »

« Comment, c’est inouï, c’est invraisemblable ! »

« Non, je suis femme célibataire femme libérée ».

.

Ce que l’on est,  pour l’autre,  très  exactement,

Qui peut le dire, lors mariage  n’est pas preuve,

Sentiment  que pour lui on nourrit est épreuve

Que chaque  jour,  une  impatience  sous-tend.

.

Compagnon  jour passé,  présent,  jour à venir

Ne seront pas  la  même  chose  il faut le dire

Si la belle  est seule  … trouvez  un moment,

Poser lui la question : pourquoi comment !

.

Ainsi vont les choses et ainsi vont les temps,

Les femmes  se libèrent du poids  d’un père 

Choisissent un amant, et avec lui, un temps,

Avant de s’engager lors contrats partenaires.

.

Partenaire est bien un terme qui rassemble,

Ceux qui font un bout de route … ensemble

À  plusieurs, ou qu’un seul, c’est leur choix,

Qui, parfois, surprend, vous laisse  pantois.

.

Pourquoi toujours un homme  à mon côté,

Un homme qui ne pense  qu’à me dominer

Je suis une femme, célibataire … et libérée

Assumant choix d’autonomie : non forcée !  

.

Extensions

.

L’autonomie, l’indépendance ne seraient

Pas antinomiques de l’amour, attachement :

Chacun tient à garder intacte sa personnalité,

Chacun se lâche pour  partager des moments

De complicité et d’intimité.

L’égalité et respect mutuel

Entre un homme et une femme

Nécessite un équilibre à renouveler.

.

L’humain est avant tout un animal social, et autonome,

 Mais ne peut se reproduire seul comme tous les animaux.

Il a eu besoin des deux parents pour grandir, être éduqué.

Il a  besoin de compagnon, compagne de vie pour sexualité,

Affectivité, solidarité, sécurité, complémentarité, pour exister

Pleinement : fonder une famille, l’ancre dans la société et la vie.

.

Les  épaules ont pour mission de soutenir,

La femme les veut larges chez son homme,

Pour n’avoir pas à se battre, à se défendre :

Larges épaules sonnent  comme protecteur,

Mais les agressions auront changé la donne :

Nombre de femmes s’assument sans homme,

 Pour ça comme pour le reste, égalité avant tout

Voilà qui oblige à tout revoir et mieux négocier !

.

Fragments

.

Pourquoi dire sans homme, pas conjoint,

À une époque où le genre compte moins :

Ce qui compte est de compter sur l’autre,

Qu’il ait ou non bras long, larges épaules.

.

Le problème est de trouver les ou les bons

C’est une quête qui peut durer vie entière

Dépendance de femme à l’homme, époux,

Au cours du temps, est devenue obsolète.

.

Si des hommes le regrettent voire femmes

L’égalité qui était  impensable, bien avant,

Est devenue réalité, suite combat femmes,

Ce qu’elle a gagnée, homme l’a-t-il perdu !

.

Comment ferais-tu sans homme à tes côtés,

Peu de femmes se poseraient cette question

Et elles la trouveraient même… paternaliste,

L’époux remplaçant le père : le tour est joué.

.

Loi de discrimination, dans le travail ou foyer

À voir les violences conjugales divorces forcés

L’homme est loup pour l’homme, femme aussi

Je suis heureux que ma femme soit mon égale.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme 

.

Sans homme la femme est-elle encore une femme :

Si l’on  prétend cela, c’est qu’elle est  dépendante.

Elle ne l’est pas, en tous cas de moins en moins

Alors la question ne se pose plus à moins que

Elle ne puisse  s’en passer, comme mentor,

Ne supportant qu’il soit  toujours dehors

Lors il rentre … vouloir être considérée

Comme une fille … perdue… sans lui,

Son argent, ses caresses, prouesses

La maintenant en vraie détresse.

Et basta, pourquoi un homme

Serait  présent, à mes côtés,

S’il est  homme,  pensant

Rien qu’à me dominer,

Lors suis une femme

Célibataire libérée,

Homme est lors

Com-pa-gnon

Non patron

Pardon,

Non

V

.

*********************

*************************

.

« Comment faire sans un homme à tes côtés ! »

« Je t’ai zappé C   tu ne m’es plus S   indispensable »

« Comment,   O        c’est inouï et in    A  vraisemblable ! »

« Non, je suis  M         femme célibataire    N   femme libérée ».

Ce que l’on    M         est,  pour l’autre,  très      S    exactement,

Qui peut le    E          dire, lors mariage n’est        *     pas preuve

Sentiment    N           que pour lui on nourrit        H   est épreuve

Que chaque  T            jour,  une  impatience          O      sous-tend

Compagnon *            jours passés,  présent          M jours à venir

Ne seront     F           pas  la  même  chose          M il faut le dire

Si la belle    A           est seule  … trouvez          *  un moment

Poser lui      I        question pourquoi        C    comment !

Ainsi vont   R   les choses ainsi vont   O    les temps,

Les femmes  E  se libèrent poids  T     d’un père 

Choisissent un amant,        É  avec lui, temps,

Avant de s’engager lors contrats partenaires.

Partenaire est bien un terme qui rassemble,

Ceux qui font un bout de route … ensemble

À  plusieurs, ou qu’un seul, c’est leur choix,

Qui, parfois, surprend, vous laisse  pantois.

Pourquoi toujours un homme  à mon côté,

Un homme qui ne pense  qu’à me dominer

Je suis une femme, célibataire … et libérée

Assumant choix d’autonomie : non forcée !  

.

 

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Un  entonnoir,  en haut,

  Un vase  à l’envers, en bas,

Plutôt  un buste  d’homme

Et avec de larges épaules !

.

452 4

.

Un homme, sans doute, pas n’importe lequel,

C’est celui qui me convient

Tant  sa forme, son apparence, constitution,

Larges épaules me va bien.

 .

Symbolique    

 .

Siège   de   la  

Force   physique,

Et  symbole   d’une    puissance

Et  de   force   de   réali     sation,

Les        épaules   sont      pouvoir

De          faire,   d’agir,         opérer,

Avec       une capacité  de        porter

Et  de       supporter  des     charges,

Qui doi     vent rester à sa    mesure.

On les    relie au but  de l’in  dividu,

Elles   évoquent le degré de   force

Pour   porter  leurs   far   deaux,

Du  sens  des  responsabilités,

De   la  volonté  d’un support

Personnel, appui   d’autres.

Axes conceptuels profonds de sa

Capacité volonté d’action, maîtrise.

Capacité d’agir, préjugés, intentions,

Désir d’agir, degré de facilité à agir,

Degré de liberté dans toute action.

claudessentiel.com/symbolique-epaule

 

.

Fond

..

Évocation 

.

4526

.

Un homme, sans doute, pas n’importe lequel,

C’est celui qui me convient

Tant  sa forme, son apparence, constitution,

Larges épaules me va bien.

 .

Symbolique 

 .

Si  l’homme se dis        tingue des animaux,

Selon Cassirer, ce         ne sera pas en vertu

 

D’un  atout  subs           tantiel que les bêtes

Ne    par-ta-gera           ient  pas,  avec   lui,

 

Par  exemple   dit           «Âme immortelle»,

Mais, par la fonc            tion de  son  esprit,

 

C’est qu’il vit dans        une autre dimension

   De   la réalité : une       dimension symbolique.

Modifié, source : fredericbaylot ernst_cassirer  

  .

.

Fond/forme 

 .

Un homme et une femme, couple dit «normal»,

Se fondant sur les lois de reproduction de la nature

Mais aussi sur des besoins sociaux, familiaux, sexuels.

.

Voilà que des femmes choisissent délibérément le célibat

S’assume toute seule et adopte un enfant ou font un PMA.

.

Ce constat de réalité ne change rien au niveau symbolique

De l’entente entre un homme et une femme et vie de couple

Il ne fait qu’établir un nouvel équilibre dans l’autonomie

Et la décision, la dépendance partagée et la sexualité !

.

Une forme d’homme, assurément

Mais avec une épée de Damoclès

En lieu et en place de sa … tête,

Pour rôle près d’une femme !

Si homme et femme riment

Parfois se tournent le dos

Si ce n’est pas la face,

Lors rien ne va plus

Lors tout ira bien.

 .

 Textuels et illustrations  >>