458 – L’un dans l’autre et réciproquement !

Visuels et textuels   >> 

.

Quand ils ne sont pas, parfois, illustrés,

On trouve  différence entre plaisir et sentiment.

L’homme voit en la femme, obscur objet  du plaisir

Femme voit en l’homme, un  obscur  objet de désir.

.

Lors homme  femme, disent se connaitre  en cœur

Ils ne parlent que rarement des mêmes  choses :

Pénétration de sexe, n’inclurait pas de cœur.

.

Elle ne l’exclut pas  pour  autant

Que l’un ou l’autre sinon les deux

Y mette leur âme en baisant

Les bouches et pieds

Et tout le reste

Jusqu’au sexe.

.

L’un dans l’autre, l’on dit, c’est réciproquement,

Mais deux amants ne s’entendront pas souvent :

Quand l’un parle de sexe, l’autre parle sentiment

Comment savoir le quel parle authentiquement ?

.

Les yeux, la bouche et l’extérieur, d’une femme,

Son apparence,

Laissent augurer pour l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand homme prétend  connaître une femme,

En profondeur,

Cela signifie qu’il aura pratiqué son intimité

Sans déshonneur.

Bien  que d’éteindre  son désir, en  flammes,

Et de l’intérieur,

Constituera son dernier assaut de pompier,

Avec  l’ardeur.

Corps d’athlète,  plein épithètes,  d’homme

Bonne  virilité,

Laisse augurer pour la femme plaisir être

De lui,  aimer.

Quand femme dit  connaître un homme,

En profondeur,

Ça signifie qu’elle a testé un sentiment

A sa juste valeur

Pour le conquérir, et au fil des jours,

En subterfuge,

Elle doit dire «non» à ses avances,
Diktats d’amours.

.

.

Extensions

.

En lui laissant espérer tout prendre,

S’il persiste, aurait-il eu gain de cause.

Le premier  commence  par  plaire  et  agir ;

La seconde, par plaider vertu ou retarder plaisir.

L’un dans l’autre ne suffit pas pour s’accorder en tout

Même s’ils le disent, et le font, d’un commun accord.

Le plaisir du sentiment et le sentiment du plaisir

Sont loin d’être équivalents, ni réciproques :

Il y a de nombreuses fois où quand pour

L’un, le plaisir commençait à peine,

L’autre a déjà fini et se détache,

Pensera à tout autre chose,

Ou à la prochaine fois.

Ou à être ailleurs.

.

On dit parfois de la situation, pas besoin d’en faire un dessin,

Quiconque l’aura pratiqué sait de suite à quoi l’on fait allusion

Enlacés, entrelacés, puis délacés  en constituent les trois temps.

Dans la réalité, ce qui se voit est contact étroit entre deux corps,

Mais, le plus important demeure le contact visuel et  fusionnel !

Que dire alors de ceux qui feront l’amour dans le  noir complet

Sinon qu’ils se perçoivent en pensées tout comme en réalités.

.

Les images d’unions sexuelles

Donnent lieu à de fantasmes

Et multitudes de sensations

Sinon voire des projections

.

Allant de la  pornographie,

À la fusion la plus mystique

À toucher le fond d’un corps

Ou caresser intimité d’âme.

.

Tout est, de fait, en l’intention

Alors qu’on pense pénétration

Le sexe n’est qu’un instrument,

Aux multiples usages, actions !

.

L’un dans l’autre, réciproquement

N’entraine pas toujours une fusion

En cas de viol, c’est une exaction :

Un seul qui profite égoïstement.

.

.

458 – Calligramme

.

Quand     L   ils ne sont pas, parfois,   E    illustrés,

On trouve   ‘     différence entre plaisir et  T  sentiment.

L’homme  U  voit en la femme, obscur objet  *  du plaisir

Femme voit  N  en l’homme, un  obscur  objet  R   de désir.

Lors homme  *    femme, disent se connaitre   É   en cœur

Ils ne parlent  D  que rarement des mêmes  C   choses :

Pénétration   A   de sexe, n’inclurait pas   I  de cœur.

Elle ne  ô   N   l’exclut pas  ô  pour  P  autant

Que l’un    S   ou l’autre sinon les  R    deux

Y mette  *     leur âme en    O  baisant

Les   L bouches et   Q  pieds

Et  ‘     tout le      U  reste

Jus  A       qu’au   sexe.

*                    * ..

L’un dans l’autre, on  U  dit que    M  c’est réciproquement,

Mais deux amants   T  ne s’enten    dront pas souvent :

Quand l’un parle de R     sexe, l’au N  tre parle sentiment

Comment savoir le   quel parle  T  authentiquement ?

Les yeux, la bouche et l’extérieur, d’une femme,

Son apparence,

Laissent augurer pour l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand homme prétend  connaître une femme,

En profondeur,

Cela signifie qu’il aura pratiqué son intimité

Sans déshonneur.

Bien  que d’éteindre  son désir, en  flammes,

Et de l’intérieur,

Constituera son dernier assaut de pompier,

Avec  l’ardeur.

Corps d’athlète,  plein épithètes,  d’homme

Bonne  virilité,

Laisse augurer pour la femme plaisir être

De lui,  aimer.

Quand femme dit  connaître un homme,

En profondeur,

Ça signifie qu’elle a testé un sentiment

A sa juste valeur

Pour le conquérir, et au fil des jours,

En subterfuge,

Elle doit dire «non» à ses avances,

Diktats d’amours.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

458 4

.

Évocation

 .

Un tire-bouchon

Tête buste martien,

Et voire son squelette

Comme un fantôme ?

 .

Rapport entre l’un en l’autre et tire-bouchon

L’analogie est plus que tirée par les cheveux,

Il n’est pas question d’extraire mais fournir.

 .

Des tire-bouchons, il y en a de toutes

Les formes et techniques :

Beaucoup ont une hélice pour pénétrer

 Tous corps enveloppants !

 .

Symbolique  

 .

Le tire-bouchon viendrait du verbe « tirer »

Nom « bouchon » qui, en latin, donne « bucco ».

.

En quelque sorte, outil qui sert à sortir

De son logement,  parcelle de matière,

Faite, généralement, de liège qui,

D’un côté vient au contact du liquide,

Et de l’autre côté de la personne

Qui fait l’action de tirer, ou tourner.

.

L’invention du tire-bouchon 

Est parfois attribué à observation

D’animaux, du genre porc,

Qui de par leur partie caudale,

Évoquent spirale que

Nous connaissons.

Source : ledifice.net

 .

Descriptif

 .

458 L’un dans l’autre et réciproquement !

Alignement central / Titre analogue / Thème  sexualité

Forme courbe  droit / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : martien

.

.

.

.

Fond

.

Évocation 

458 6

.

Des martiens il y en a de toutes

Les formes et fantasmes:

Beaucoup ont une très grosse tête

Et un petit corps vert !

 .

Symbolique 

Si H. G. Wells a

Popularisé la menace

Venue de la planète Mars,

La figure du Martien

Dans la science-fiction, littéraire

Ou cinématographique, est

Devenue le symbole ambivalent

De l’extraterrestre.

Les « petits hommes verts »

.

En 1912, Edgar Rice Burroughs,

Auteur du futur Tarzan, projette

Le héros de son Cycle de Mars,

John Carter, un combattant immortel,

Dans le passé de la planète Mars,

Il croise différentes races de Martiens,

Dont des humanoïdes verts à quatre bras,

Fondant ainsi une imagerie populaire

De l’extraterrestre martien qui devient

Un autre nous-mêmes aux mille visages  …

historia.fr/les-metamorphoses-du-martien

.

.

Corrélations

Fond/forme 

Tire-bouchon en forme d’Alien, extra-terrestre

Difficile à dire si le vin dans la bouteille sera bon

Quoiqu’il en soit, quoiqu’il en fut, toujours le fond

Donnera la forme dès qu’il rimera avec l’ivresse

Au point d’en avoir hallucination tire-bouchon !

.

Tourner pour perforer, pénétrer

Puis tirer pour extirper,  sortir

L’analogie de bouteille et sexe,

Aura quelque chose de valide

Autre forme … fond… élixir.

 .

Visuel   

.

.

L’amour sexuel tient du puzzle

.

Visuels et textuels   >> 

457 – Musique harmonie, symphonie résonne

Visuels et textuels >>

.

De la musique avant toutes choses !

Et,  pour cela, ne pas faire  d’impair,

Qui ferait que couple va de travers.

Cloches et  orgues  et à l’unisson,

Nous, en leur mélodie de sons,

Avons célébrer notre union !

Cloche s’est fêlée lors battant

A cogné trop fort, en la tapant,

Le noir et grisa remplacé le rose.

.

Avant, musique, pleine harmoniques

Pendant, les deux cœurs, émus, battants ;

Après, quelque chose, a cloché, en ciel de lit !

Tantôt ici ou là, orgasme simultané s’est décalé,

Tantôt ici, ou  là, l’orgasme de l’un, s’est enterré !

Frigidité ou impuissance provoquent cacophonies

Et leurs orgues à l’unisson ne soufflent que délits.

.

Musique harmonisant

Symphonie  résonnante,

L’un se voit être le battant,

De l’autre, sonnette vibrante.

Cloches, résonnent, célébrant

Bonheur, vécu maritalement

Sur deux tons en harmonie

D’un couple d’amants,  lit.

.

Faux pas  ou  fausses notes,

Et soudain l’un deux toussote,

Et son regard se détourne,  fuit

Lors commence pointer l’ennui.

.

La  cloche  aura subi  une fêlure

Qui entraine  en  sa  déconfiture,

C’en est fini de leurs  harmonise,

On ne les verrait plus qu’hors lit.

.

Harmonie, deux tons si l’on dit

N’a qu’un temps  lors   sonnant

Harmonie à deux clés… on dit

Se joue avec des instruments.

 .

La mesure, rendue pleine,

Timbres font cacophonies,

À l’autre l’on sonne minuit

La récré est finie : déveine.

.

.

Extension

.

Si une cloche et un battant font la paire,

À l’unisson, dès la moindre craquelure, fêlure,

Les sons produits se désaccordent et se discordent.

Ils passent, soudain, de l’harmonie à la cacophonie.

Cela se fait généralement lors intention du battant

Est de se taper la cloche, mais, cette dernière,

Quand elle s’en aperçoit, ou s’en est aperçu

Après coup, change de ton, et de gamme.

Elle introduirait une dissonance cognitive

Là où le battant frappe consonance sensitive.

Il ne s’agit pas de filer la métaphore : taper fort

Pour avoir le dernier mot dehors lorsque le dedans

Ne résonne plus que des sons, à moitié étouffés par

La perte du désir de l’un ou de l’autre sinon des deux.

Il y a en a qui ont clochette, d’autres qui ont bourdon,

Question de taille, de volume, de marteau et caisson.

On n’arrête pas le progrès en les électrifiant et là,

Plus question de tirer sur la corde … sensible !

En tous les cas, deux cloches, mal accordés,

Ne feront jamais, plus jamais, harmonie.

.

Le mot cloche, comme instrument de musique a deux sens :

Sens harmonie quand elle s’accorde avec son battant ;

Sens cacophonie quand une fêlure la désaccorde

Ou que son battant la cogne en tous sens.

Déjà, mettre son couple, sous cloche,

Ne présage pas harmonie durable

Tant toute prison sonnera faux

Dès lors que jalousie signera

Un attachement non libre.

.

L’expression : « il y a quelque chose qui cloche »

Résonne en nous par son timbre qui accroche

Nos tympans par vibrations désaccordées,

Qui, de mauvais accord, laisse à penser.

.

Le battant l’aurait-il frappé trop fort,

Et, à coups redoublés, l’aurait sonné

Toujours est-il qu’elle se sera fêlée,

À force de subir et de protester !

.

On peut voir un autre son de cloche

Elle se serait désaccordée toute seule

Pour qu’il la délaisse ou qu’il la trompe

Et lors le résultat sera le même : divorce !

.

Que la cloche évoquerait l’oreille ou le sexe,

Ne changera rien à la question de l’harmonie,

Lors d’une union elles sonnent toutes à l’unisson

Suivi par des accords … accords … d’accordéon !

.

.

457 – Calligramme

.

De la musique avant toutes choses !

Et,  pour cela, ne pas faire  d’impair,

Qui ferait que couple va de travers.

Cloches et  orgues  et à l’unisson,

Nous, en leur mélodie de sons,

Avons célébrer notre union !

Cloche s’est fêlée lors battant

A cogné trop fort, en la tapant,

Le noir et grisa remplacé le rose.

.

Avant, musique, pleine harmoniques

Pendant, les deux cœurs, émus, battants ;

Après, quelque chose, a cloché, en ciel de lit !

Tantôt ici ou là, orgasme simultané s’est décalé,

Tantôt ici, ou  là, l’orgasme de l’un, s’est enterré !

Frigidité ou impuissance provoquent cacophonies

Et leurs orgues à l’unisson ne soufflent que délits.

.

Musique harmonisant

Symphonie  résonnante,

L’un se voit être le battant,

De l’autre,  sonnette  vibrante.

Cloches, réson    M S     nent, célébrant,

Bonheur, vécu        U Y            maritalement

Sur deux tons           S M              en harmonie,

D‘un couple                 I  P                d’amants,  lit.

Faux pas ou                 Q H                fausses notes,

Et soudain l’un             U O               deux toussote,

Et son regard se            E N               détourne,  fuit

Lors commence             *   I             pointer l’ennui.

La  cloche  aura            H E            subi  une fêlure

Qui entraine en             A   *           sa  déconfiture,

C‘en est fini de              R R           leur  harmonie,

On ne les verrait           M É           plus qu’hors lit.

Harmonie, deux            O  S             tons  si l’on dit

N‘a qu’un temps             N O               lors   sonnant

Harmonie à deux             I  N                 clés…l’on dit,

Se joue avec                        E N                   instruments.

    * E

La mesure, rendue pleine,

Et timbres font cacophonies,

A l’autre l’on sonne minuit

Lors la récré est

Finie, déveine.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

457 4

.

Évocation

 .

En bas, cloche, avec son battant,

En haut, mouton pour l’accrocher :

Il n’y aurait plus qu’à bien la sonner !

.

Une cloche participe d’harmonie musicale

Mais il se peut qu’elle devienne fêlé et alors

Ce n’est plus du tout le même son de cloche.

.

Il n’y a rien qui cloche, entre eux : 

Elle, carillon et lui battant :

Cela les ferait résonner sur la même

 Note harmonieuse, timbrée.

 .

 Symbolique

 .

Pour l’Église orthodoxe russe,

Les cloches sont des êtres  animés

D’un  nom, d’un corps et de sentiments.

.

Par ailleurs, la forme creuse et arrondie

De la cloche l’assimile au corps féminin,

Tandis que le battant et le manche

Évoquent comme un phallus.

.

Ces connotations sexuelles

Contribuent au symbolisme

De la cloche dorje petit sceptre,

Souvent employés simultanément

Dans les rituels bouddhistes tibétains.

Source : grandrêve1234.blogspot.com

.

Descriptif

 .

457Musique harmonie : symphonie résonne

Alignement central / Titre analogue / Thème  musique

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : cloche / Symbole de fond : cloche

.

.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

457 6

.

Il y a visiblement quelque chose qui cloche

Entre le battant et la bélière

Comme entre homme et femme en un couple

Et qui vibre ou résonne faux.

 .

Symbolique 

Une cloche

Est un objet simple

Destiné à l’émission d’un son.

Sa forme est un tambour ouvert

Et évidé d’une seule pièce qui résonne

Après avoir été frappé : la partie qui

Frappe  le  corps  de  la cloche  est

Soit un battant, sorte de langue

Suspendue dans la cloche, soit

Petite sphère libre comprise

Dans le corps de la cloche,

Soit un maillet ou un battant

tronc de bois suspendu par cordes

Qui frappe la cloche depuis l’extérieur.

Wikipédia : cloche

 . 

.

Corrélations

Fond/forme

 .

La forme de l’objet correspond bien au texte

Mais s’il rimera plutôt bien avec le son son,

Y a quelque chose qui cloche en ce dernier

Comme désaccordé, désharmonisé, fêlé.

Et, du coup, le face à face est troublé.

 .

Visuel 

.

.

Cloche d’harmonies amoureuses

.

Visuels et textuels >>

456 – Sommes pas amants : copains seulement

Visuels et textuels >> 

.

Je voudrais

Être l’amant.

Tu me préfères

Comme   copain

Or,  c’est bien là,

L’éternel  refrain,

Séparant son sexe

 De ses sentiments !

.

Amant/mari/copain

Y a tant  de  contacts,   

Où le sexe   est absent :

Du moins, dans les faits,

En dépit de contentement.

On change amant, pas copain,

Sexe est parfois volage, incertain.

.

Amitié n’entre pas corps de femme :

Elle ne pénètre qu’en son esprit/âme.

Mais nous ne sommes pas des amants,

Sommes  de  bons  copains, seulement,

Lors chacun  clamera  ses  divergences

Comme  ses suppléments d’existences,

Mêmes si elles s’avèrent être non-sens

Voire, l’un pour l’autre, vrai faux-sens.

.

Les contraires  s’attirent, c’est normal,

C’est la loi du genre, une loi animale

Que ce ne soit pas physique mais moral,

Est bien plus qu’un détail en  cette spirale.

Spirale d’amour  nous  aspire à contre-sens,

Quand l’un veut,  l’autre  plus  ou  inversement.

.

À moins qu’un pur miracle nous rende en chanceux,

N’aurons  pas de précieux  rendez-vous  d’amoureux :

Entre vrai  désir  et une  fausse crainte,  cœur balance

Si ce n’est le contraire  en bien, deux  cas, en distance

Afin que  tout ce qui a été construit, dure  entre nous

Plutôt que se lancer à corps perdu en histoire de fou.

.

Lors même livrer son corps à l’un et son âme à l’autre

Fait un vrai dieu du premier et d’autre simple apôtre,

«Attends des amants : je pourrais en changer souvent,

Toi tu serais comme témoin  frère de sentiment 

 En copain j’aurai pour toi  un statut privilégié

 Forçant à me penser en bien aimée.»

.

Amant, ami, copain, collègue, relation

Amours différents, amours déclinaisons,

Qui instaurent règles de conduite, raisons :

L’un veut devenir l’amant, mais l’autre, pas,

Par sa peur de le perdre, au premier faux-pas

Se disant, qu’il, ou elle, ne s’en remettrait pas,

Un amant se dévoilera, sans filet, et, tout nu,

Copain est celui à qui on raconte, aura su,

Ne fait pas l’affaire : confident, exclu.

.

.

Extension

.

 «Nous ne sommes pas amants,

Copains seulement»

«Nous ne sommes pas copains,

Amants  seulement !»

Ces deux aveux sont-ils en tout

Équivalents, réversibles ?

.

Copain pour camarade de classe, de travail, de jeu, de loisirs

Pas touche aux fantasmes, désirs liés au corps, liés aux sexes

On lui confiera son âme et son esprit mais moins son cœur !

Le problème se pose quand l’un est copain, l’autre amante

Ou réciproquement, ou que le sexe ferait partie d’un jeu

Tandis que l’autre croit qu’il s’agit d’un … amoureux.

Comment passer de l’un à l’autre sans déception !

.

Je vous présente mon mari, compagnon, copain,

On connait tous la chanson, couplets et refrains :

Il arrive que l’un puisse se transformer en l’autre

Mais il ne faudra pas confondre mari et apôtre !

.

Le copain, ce serait souvent tout, hormis le sexe

De quoi donner, à certains,  bien des complexes,

Lors un amant aurait comme posture, contraire,

Il n’y a que polyamoureux qui vous feront braire.

.

En attendant j’aimerais passer de copain à amant

Mais, tu me dis, qu’on a le temps, pas le moment.

Au fil des  jours, mois, années, c’est  désespérant :

Ne cesse de me demander pourquoi je t’aime tant.

.

.

456 – Calligramme 

.

Je      voudrais

Être   l’amant.

Tu me préfères

Comme  copain

Or, c’est bien là,

L’éternel refrain,

Séparant son sexe

 De ses sentiments !

Amant/mari/copain

Y a  tant  de  contacts   

Où le sexe   est absent :

Du moins, dans les faits,

En dépit de contentement.

On change amant, pas copain,

Sexe est parfois volage, incertain.

Amitié n’entre pas corps de femme :

Elle ne pénètre qu’en son esprit/âme.

Mais nous ne sommes pas des amants,

Sommes  de  bons  copains, seulement,

Lors chacun  clamera  ses  divergences

Comme  ses suppléments d’existences,

Mêmes si elles s’avèrent être non-sens

Voire, l’un pour l’autre, vrai faux-sens.

Les contraires  S  s’attirent  C  c’est normal,

C’est la loi    O   du genre, une  O    loi animale

Que ce ne   M  soit pas physique   P   mais moral,

Est bien    M    plus qu’un détail en    A  cette spirale.

Spirale     E     d’amour  nous  aspire à     I  contre-sens,

Quand      S      l’un veut,  l’autre  plus  ou     N   inversement.

À moins    *      qu’un pur miracle nous rende    S   en chanceux,

N’aurons   P     pas de précieux  *  rendez-vous     *    d’amoureux :

Entre vrai   A    désir et une  *     * fausse crainte      S    cœur balance

Si ce n’est    S     le contraire  *        * en bien deux     E   cas en distance

Afin … que   *      tout ce qui a *       * été construit    U   dure  entre nous

Plutôt que    A       se lancer  à    *    corps  perdu      L  en histoire de fou.

Lors même   M     livrer  son     *   corps à l’un      E et son âme à l’autre

Fait un vrai    A    dieu   du  premier  et  d’      M autre simple apôtre

«Attends des   N    amants : je  pourrais      E   en changer  souvent,

Toi tu serais    T    comme    témoin      N    frère de sentiment 

  En copain     S    j’aurai pour toi   T    un statut privilégié

 Forçant      *    à me penser     *    en bien aimée.»

Amant, ami, copain, collègue, relation

Amours différents, amours déclinaisons,

Qui instaurent règles de conduite, raisons :

L’un veut devenir l’amant, mais l’autre, pas,

Par sa peur de le perdre, au premier faux-pas

Se disant, qu’il, ou elle, ne s’en remettrait pas,

Un amant se dévoilera, sans filet, et, tout nu,

Copain est celui à qui on raconte, aura su,

Ne fait pas l’affaire : confident, exclu.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

456 4

.

Évocation

 .

Une  mèche   et  un  verre,

Une réserve de carburant :

C’est une  lampe à  pétrole.

 .

 Nos lampes ont des lumières différentes,

Amants n’en ont qu’une,

Et qu’ils puisent dans un seul et même

Réservoir, pour leur flamme.

 . 

Symbolique

La lampe,

Électrique,

À huile ou

À   pétrole,

Représente une

Lumière   intérieure,

Une énergie, des capacités,

Des talents que nous maîtrisons.

.

C’est l’homme qui maîtrise la lumière

Avec un certain pouvoir d’allumer

Et d’éteindre. La lumière est le

Symbole de la connaissance.

.

On apprend de jour

En jour à mieux se connaître,

On évolue grâce à ces

Informations et ce savoir.

.

 

Descriptif

 .

456Ne sommes pas amants, copains seulement   

Alignement central / Titre analogue / Thème  amitié

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : amis

.

.

Fond

Évocation 

.

456 6

.

Amitié entre homme et femme est chose rare

Et donc d’autant précieuse

Elle est fondée par des échanges de tous types

Sauf de nature amoureuse.

 

Symbolique    

 

Alors que les femmes

Auront tendance à vouloir

Entretenir une saine amitié

Homme-femme,  en dépit de la

Distance  et autres changements,

Les hommes eux font moins l’effort.

 

Une étude dévoilera que les hommes

Ont tendance à bâtir leurs amitiés

Sur le principe du sens pratique.

Autrement dit : la proximité

Ou voire, la disponibilité.

 

Ce qui ne veut pas

Pour autant dire

Que  leur  amitié

Est moins sincère.

Modifié :  Auféminin.com

 

Corrélations

Fond/forme    

 

Entre copains et amis, il y a une différence

Plus grande encore entre copains et amants.

S’il n’est pas rare copains deviennent amants,

L’inverse est plus difficile si …non réciproque.

 

La frontière est très nette : on ne couche pas,

Et si certains l’accepteront …. d’autres pas,

En l’amitié les choses sont compliquées,

Mais le lien est constant en la durée

Le sexe ne serait pas négociable !

 

Forme poème correspond un peu à l’objet

Dont lumière, ambiance,  évoquent  amitié.

Mais les amis ne seront pas comme amants,

En recherche de fusion  mais considération,

Qui rime très bien avec raison, pas passion

Un face à face se posera, entre deux amis

Imposant grande réserve pour  fidélité.

.

Visuel

.

Visuels et textuels >> 

 

455 – Nos différences : notre meilleur atout !

Visuels et textuels  >>

.

Des différences,

Heureusement il y en a,

Sinon se regarder en un miroir

Ou alors d’être jumelles ou jumeaux,

Qu’importent qu’elles vraies ou fausses.

Bon nombre  différences  s’estompent,

Quand nous deviendrons amoureux

Resurgissent, devenons fâcheux.

.

Un doute

S’ins-tau-re,

Amplifie distances

C’est ainsi que, notre meilleur atout,

Qui est la somme des différences,

Nous rapproche, malgré tout,

Ne divisent plus existences.

.

Il n’y a qu’incompatibilité

De caractères ou de valeurs,

Qui pourrait séparer un couple

Qui, sur plan sexe, semblait coller.

.

Notre différence : notre meilleur atout,

Joue-t-elle vraiment, un rôle entre nous,

Bien que la tienne m’ait souvent intrigué,

M’ait paru, parfois, quelque peu déjantée.

.

Dès lors, l’approfondir  me fut plaisant,

Tant esprit et le cœur,  rendus contents :

Complicité si belle  nous aura rapprochés

Lors même nous a permis de  nous aimer.

.

Mais ton  charme,  ton attrait, ont changé,

Ils  m’ont  fait  douter   de  ton  authenticité

Lors en  distance ou lors en non réciprocité,

Au point que,  de   toi …  je  me  suis éloigné.

.

Voilà  comment, insomniaque,  nuitamment,

Je suis  devenu un être  des plus  clairvoyants,

En faux semblant, complément de différences,

D’amour empoisonnant essence mon existence.

 .                                                 

Nos différences s’ajoutent si elles se complètent,

S’annulent quand elles ne sont plus en quête

Se heurtent si elles se bagarrent en fait

Autant force, incompatibilité, de fait.

.

Différences, c’est sûr, c’est évident,

Mais lesquelles naturelles et jusqu’où ?

 L’un, sur un trône  et l’autre, à ses genoux.

.

Début, c’est richesse  découverte même atout,

  Peu à peu, distance  défiance,  s’insinuent partout

  Yeux se décillent, différences  deviennent défauts.

   Voilà comment insomniaque nuitamment souvent,

Je suis devenu un être des plus clairvoyants,

Différences pour réguler  nos différents.

.

.

Extension

.

Notre différence est notre meilleur atout entre nous,

On ne le dira jamais assez, on ne le dit déjà pas beaucoup.

C’est ce qui nous perd, qui nous sauve, paradoxalement.

.

«Cherche partenaire pour partager même passion

Pour ceci ou pour cela, et plus, si affinités »,

Pourrait être le canevas d’une crédible

Annonce sur un site de rencontres.

.

Risquer  de  vivre, avec  une

Personne toute contraire

Serait-il aller droit à l’échec.

.

Rien ne le prouve ni ne l’a prouvé

Jusqu’ici : en des films d’amour,

C’est ainsi que tout commence…

.

L’égalité entre sexes ne consiste pas à gommer les différences,

L’un dominant l’autre, en toutes occasions, et, en tous temps.

Dire d’une femme, d’allure masculine, qu’elle me ressemble,

N’a aucun sens, cela reste autant valable réciproquement

Nos différences se situent le long d’un curseur continu

Non d’une frontière, sexe, manière d’être et penser

Les deux sexes  peuvent penser pareil au travail.

.

À vouloir se ressembler en tout et à tout prix

On finit  en jumeaux, à  en oublier qui est qui.

Un miroir réfléchit certes, mais, ne pense pas :

Sans une différence, un couple ne marche pas !

.

Rassurez vous, rassurez moi, dès mon jeune âge

Je ne ressemblais à personne : qu’à moi-même !

Pour autant, n’ai pas épousé compagne extrême,

Aucune folle ne m’aurait pas fait  redevenir sage.

.

Lors nous sommes, en bien des points, différents

Mais pas en tout, pas sur les valeurs, l’essentiel :

Différence s’est transformée en plus… égalitaire,

Ce qui fait qu’on s’est rendus complémentaires.

.

.

455 – Calligramme

.

Des différences,

Heureusement il y en a,

Sinon se regarder en un miroir

Ou alors d’être jumelles ou jumeaux,

Qu’importent qu’elles vraies ou fausses.

Bon nombre  différences  s’estompent,

Quand nous deviendrons amoureux

Resurgissent, devenons fâcheux.

.

*********************

***************

.

Un doute

S’ins-tau-re,

Amplifie distances

C’est ainsi que, notre meilleur atout,

Qui est la somme des différences,

Nous rapproche, malgré tout,

Ne divisent plus existences.

Il n’y a qu’incompatibilité

De caractères ou de valeurs,

Qui pourrait séparer un couple

Qui, sur plan sexe, semblait coller.

.

Notre différence : notre meilleur atout,

Joue-t-elle vraiment, un rôle entre nous,

Bien que la tienne m’ait souvent intrigué,

M’ait paru, parfois, quelque peu déjantée.

                                                                      M

Dès lors l’ *  approfondir me fut   E  plaisant,

Tant esprit  D   et le cœur rendus   I  contents :

Complicité  I     si belle  nous aura    L  rapproché

Lors même F       nous a permis de      L  nous aimer.

Mais ton     F      charme,  ton attrait     E    ont changé,

Ils  m’ont   É       fait  douter   de  ton     U    authenticité

Lors en      R        distance ou lors non     R       réciprocité,

Au point   E        que,  de   toi …  je  me     *     suis éloigné.

Voilà        N     comment, insomniaque    A   nuitamment,

Je suis     C     devenu un être des plus    T     clairvoyants,

En faux    E  semblant, complément    O   de différences

D’amour  *  empoisonnant essence  U mon existence.

                                                       T   

Nos différences s’ajoutent si elles se complètent,

S’annulent quand elles ne sont plus en quête

Se heurtent si elles se bagarrent en fait

Autant force, incompatibilité, de fait.

Différences  *   c’est sûr,  *  c’est évident,

Mais lesquelles   *    naturelles  *   et jusqu’où ?

 L’un sur un trône      *   et l’autre     *  à ses genoux.

Début, c’est richesse    *   découverte  *      même atout,

  Peu à peu, distance      *   défiance     * s’insinuent partout

  Yeux se décillent     *    différences    *   deviennent défauts.

   Voilà comment    *      insomniaque   *    nuitamment souvent,

Je suis devenu   *           un être des    *            plus clairvoyants,

Différences      *              pour réguler  *                  nos différents.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

455 4

.

Évocation

 .

Un socle, un foyer, une cheminée

Un réservoir, une mèche, un verre :

Lampe tempête couleur  très vive 

 .

Toutes les lampes tempêtes, au pétrole,

Se ressemblent et pourtant chacune a

Une particularité  qui  la distingue !

 .

Voilà donc lampe tempête avec

Différence de couleur des autres.

Lampe de la couleur de la colère

Aveuglant séparation de couple.

 .

Symbolique 

 .

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez Grimm la lumière seule chasse

L’amant caché de l’héroïne.

.

La lumière, dans tous les

Contextes mythologiques,

Symbolise la conscience.

La lumière d’une lampe

Représente particulièrement

Le conscient qui est entre les mains

Et sous le contrôle de l’être humain,

Par contraste avec la lumière du soleil,

De nature divine et cosmique.

.

Descriptif

 .

455Notre différence : notre meilleur atout

Alignement central / Titre dédoublé / Thème sexualité

Forme courbe / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : différence

.

.

Fond

.

Évocation 

.

455 6

.

La différence et la ressemblance

se conjugue  en positif ou négatif,

on recherche la complémentarité,

là où nous avons  besoin, manque.

.

Symbolique 

 .

Aujourd’hui, si l’on tient compte

Du féminisme, du racisme ou handicap,

Il devient impossible de parler de différence

Sans que des interprétations y raccrochent

Un jugement de valeur, un ostracisme

Par rapport à la norme établie

Par le plus grand nombre,

Des discriminations qui

Remettraient alors en

Cause l’égalité sociale.

Source : Wikipédia

.

.

Corrélations

Fond/forme 

Il y a parfois des différences entre formes

Certaines, mineures, d’autres, importantes.

Une différence de couleur entre des humains

Sera mineure, majeure, selon les civilisations

Mais ici, la seule différence  avec les lampes,

Est qu’elle est rouge, libre d’interprétation.

.

Toute différence n’induit pas une discrimination,

La première étant vue positive ; seconde négative

La première, enrichissante ; seconde, décevante.

.

Si différence trop petite : pas prise en compte ;

Si trop grande, crée un point d’éloignement,

L’idéal est que différences se complètent

Au lieu de s’annuler, se contrarier.

 .

Visuel

.

 .

Comme dessin, trouvez sept différences

.

Visuels et textuels  >>

454 – Une, deux, dix femmes : différences !

Visuels et textuels  >>

.

La

Question du

Combien est- elle importante ?

On voit une femme en homme aimant,

Un homme, en femme, lors  maternant.

Il faut plusieurs, avant d’en faire le tour,

Afin de trouver celle  qui nous convienne.

Mais, le nombre ne garantira pas qualité,

Il n’apporterait que semblant nouveauté !

L’on ne ferait, jamais, le tour des femmes

Il faudrait déjà faire le tour de la sienne !

 .

Combien d’hommes

Prêts à changer d’air,

Et, pour retrouver la

Même ou contraire !

Et l’homme  serait-il

Si simple à connaitre

Qu’un   seul   suffirait

Pour se faire une idée.

Une, deux, dix, centaine :

Importance et différence,

Vivre avec une seule, deux,

À la suite ou simultanément.

.

Pour connaître l’autre, faut vivre

Avec lui, un certain temps,

Pour aimer l’autre, il faut survivre

À la naissance des enfants.

.

Certains disent qu’il faut plusieurs,

Pour faire le tour de la femme,

Et d’autres qu’il leur suffit de la leur,

Pour s’y perdre…corps et âme.

.

Combien d’hommes changeront d’air

Pour retrouver le contraire,

Les instables disent aucune ne les aime,

Femme est être à problème.

.

L’homme serait-il plus simple, plus facile

À décoder, à comprendre,

On prétend que oui, et pourtant peu docile

Pas plus  à l’entendre !

.

Humainement, les différences sont minimes

Hors leurs positions intimes,

S’il y a une différence de sexe, certainement,

De cerveau, non, ou rarement.

.

.

Extension

.

Le plus souvent, plan

Du raisonnement et de l’entendement,

Ils seront en pure égalité.

Ce n’est pas tant la quantité qui compte

Que la qualité, mais la qualité,

Comment la connaitre sans la quantité.

.

Jusqu’où les femmes peuvent-elles être différentes au point que

L’on croit qu’il s’agit d’une toute autre, ou d’une toute nouvelle ?

Qui peut et qui veut bien répondre à une telle question, délicate !

Les femmes peuvent-elles  en dire autant au sujet  des  hommes ?

Dans les deux cas, s’agit-il de personnes, modèles … stéréotypes ?

Certains en auraient connu six ou sept mais … toujours la même.

Si on s’en tient à la Loi normale, il y a les moyennes et extrêmes.

Le plus simple, courant est de voir toute les femmes en la sienne

Tout en se disant qu’on a choisi la meilleure, du moins pour soi.

.

Chacun sait bien qu’en matière de femmes,

Ce n’est pas la quantité qui compte : la qualité

Elles sont différentes, parfois, interchangeables,

Mais l’une seule peut, pour vous, cumuler toutes.

.

Non pas physiquement : c’est ridicule, impossible,

Non pas psychiquement, d’intelligence, caractère

Simplement d’harmonie, en plus de compromis.

«Sois belle et tais-toi» n’aura plus aucun avenir !

.

Il n’est pas  interdit, d’essayer, de se tromper,

L’expérience mérite  d’être, exquise, acquise,

Mais on ne peut y passer le restant de sa vie,

Arrive un moment où l’on se noie d’espérer.

.

Où l’on ne sait qui choisir, se faire choisir,

Et la misogynie guette si ce n’est la haine,

L’on se retrouve perdu,  en cinquantaine,

Pas certain de fêter des noces en famille.

.

.

454 – Calligramme

.

  La

Question du

  Com   D  bien est- elle impor  D  tante ?

On voit   I   une femme en homme  I  aimant,

Un hom  X   me en femme, lors ma    F  ternant.

Il faut     *   plusieurs, avant d’en faire  F  le tour,

Afin de   F   trouver celle  qui nous con  É  vienne.

Mais le  E    nombre  ne  garantira pas   R  qualité.

Il n’ap  M    porte que semblant nouve   E     auté !

L’on    M   ne ferait jamais le tour des  N femmes

Il fau  E drait déjà faire le tour de la  C  sienne !

S                                               E …

.

Combien…….. d’hommes

Prêts à changer d’air,

Et, pour …….retrouver la

Même ou contraire !

Et l’hom….….me serait-il

Si simple à connaitre

Qu’un seul…….…suffirait

Pour se faire une idée.

Une, deux, dix, centaine :

Importance et différence,

Vivre avec une seule, deux,

À la suite ou simultanément.

.

Pour connaître l’autre, faut vivre

Avec lui, un certain temps,

Pour aimer l’autre, il faut survivre

À la naissance des enfants.

.

Certains disent qu’il faut plusieurs,

Pour faire le tour de la femme,

Et d’autres qu’il leur suffit de la leur,

Pour s’y perdre…corps et âme.

.

Combien d’hommes changeront… d’air

Pour retrouver le contraire,

Les instables disent aucune ne les aime,

Femme est être à problème.

.

L’homme serait-il plus simple, plus facile

À décoder, à comprendre,

On prétend que oui, et pourtant peu docile

Pas plus … à l’entendre !

.

Humainement, les différences sont minimes

Hors leurs positions intimes,

S’il y a une différence de sexe, certainement,

De cerveau, non, ou rarement.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

454 4

.

Évocation

 .

Un château d’eau pour ville,

Un moulin à poivre   ou à sel,

Ou  encore   un    tire-bouchon.

 .

On ne va pas vous tirer les vers du nez, pour savoir :

Combien de femmes vous avez connu, avant et après !

Une femme ne sera pas une bouteille d’alcool, d’élixir,

Ni l’homme un tire-bouchon pour l’ouvrir à l’envie.

.

.Symbolique 

 .

Au XVIIe siècle,

Apparait le tire-bouchon.

Contemporain de l’invention

De la bouteille dite « moderne ».

.

Déboucher un une bouteille

A vite nécessité l’invention

D’un outil  plus spécifique :

Le tire-bouchon est né !

.

Devenu objet précieux,

Et voire… aristocratique

À l’origine, le tire-bouchon

Est vite devenu un symbole

De bien-vivre et de partage,

En Angleterre puis en France.

.

Tout d’abord,   pour  se démocratiser

Progressivement et devenir universel,

Devenant du même coup, magnifique

Objet de collection pour hélixophile !

club-francais-du-tire-bouchon

.

Descriptif

 .

454 – Une, deux ou dix femmes : différences !

Alignement central / Titre analogue / Thème amour

Forme droite / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : femme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

454 6

.

Rapport entre femme et tire-bouchon

Serait, un peu « tirer par les cheveux »

Mais celui de la bouteille et du vin, oui.

Alors on fait comment pour le bouchon.

 .

Symbolique 

 .

Prolongeant le rêve de pureté

Premiers romantiques,

Symbolistes donnent à la femme

Une allure pure, virginale.

Henri Le Sidaner peint ce groupe

De jeunes filles vêtues de blanc.

.

La femme a une symbolique très riche

Qui a évolué au fil du temps,

Toutefois, elle aura toujours évoqué la

Fécondité, pureté, et aussi  le vice.

.

Bon  nombre de mythologies antiques

Attribuaient généralement une valeur

Sexuelle aux déesses, qui incarnaient

Souvent le désir et le plaisir charnel.

Source : poetes.com et  1001 symboles

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Pour bien connaitre la femme, il faut

En avoir pratiqué plusieurs : combien !

C’est là le dilemme car en essayant tout

On ne sait plus ce qui est bon  pour soi,

Par élimination, cela prend du temps

Et parfois c’est un comble, il s’agira

De plusieurs fois la même forme,

A une différence de fond près

Qu’on prend pour l’idéal.

 .

Visuel

.

J’ai choisi une femme à laquelle je me sentais très attaché

or me voilà entouré de six jolies femmes dans mon travail :

c’est bien mais c’est beaucoup trop, alors dix ou centaine…

.

 .

Femmes : toutes semblables, différentes

.

Visuels et textuels  >>

453 – Pas que sexe : amour en la vie !

Visuels et textuels >>

.

Sexe peut se justifier

Pour lui-même, certes,

Mais  il finit  par lasser,

Quoi pour le remplacer :

Une multitude d’activités

Avec des charmes   avérés.

Et déjà s’occuper d’enfants

Si ce n’est des fois, parents,

Il y a les amis, les relations,

Qui font objets  de passions,

Il  y  a  l’amour du prochain,

Compense  manque d’amour

Ou de conjoint, amant du jour,

L’humanitaire attire  les soins,

Lors nous avons tout, eux rien

Y compris affection des leurs :

Sexe devient prison et leurre.

.

Il n’y  a pas  que  le sexe,

Amour autant, en la vie,

Lors travail, et, enfants,

Nous occupent… aussi,

Souvent et longtemps,

Sans aucun complexe.

Et même que, le sexe,

On peut s’en passer ;

On peut  s’en lasser,

Ce, jusqu’à  le  nier.

.

Autres formes amours,

Parviennent à le dériver,

Durant nombre de jours,

Que l’on  ne peut calculer.

Quand  il n’est  plus désiré,

Il sort  des  simples réalités.

Ma conscience, humanitaire,

Qui n’a plus rien d’arbitraire,

N’avancera pas le  contraire,

Je suis privilégié, mon frère,

D’argent,  temps,   amours,

Au point de devenir sourd.

.

Il n’y a pas que  le sexe :

Amour autant dans la vie

Pauvres   et   comme nus,

Face à des gens … cossus,

Ont faim,   sont miséreux,

De leur sexe très honteux,

Qu’ils   ne peuvent bander

Faute de femmes  à rêver,

Faute de pains à manger,

Faute d’humanité en eux.

.

Amour sans sexe,

Sexe sans amour,

N’ont rien de vases communicants.

Le sexe, s’en passer, ou s’en lasser,

Lors amour point et sans se renier

Sans se couper de… toute altérité.

.

.

Extension

.

Le sexe, est omniprésent,

On peut le trouver partout,

L’acheter comme un … objet,

Le pratiquer comme un contrat

Tandis que l’amour, il faudra le

Chercher au bout d’une quête

Quête qui nous construit

Ou bien qui nous détruit.

.

Le sexe remplit des corps,

L’amour remplit des vies !

Le sexe apporte du plaisir,

L’amour apporte bonheur.

Lors le sexe crée un creux

L’amour créera un plein.

.

On ne peut passer sa vie à deux à se regarder dans le blanc des yeux !

Au bout d’un temps, il n’y aurait plus rien à voir : l’ennui, du noir

Qui nous mènerait tout droit en enfer, tout droit au désespoir.

Il faut varier les plaisirs, les découvertes, les occupations,

Sinon, au final, l’amour ne serait qu’égoïsme à deux

L’on n’est pas seul au monde, et l’on fonctionne,

En réseaux qui s’ordonnent, se coordonnent

En fonction de nos besoins, de notre âge

Y compris à l’autre bout du Monde !

.

Le sexe de la femme est comme amphore

Vase fragile craignant frottements durs

Et cela tant à l’intérieur qu’en dehors

Vase que l’on dit tantôt pur, impur

.

La religion n’est pas une science,

Chacun fait selon sa conscience :

Le sexe n’est pas le sens de sa vie

Il n’est que va-et vient éphémère

.

Dieu merci, il y a chose à creuser

Demandant amour, engagements

Construisant longue vie de couple,

À laquelle, deux êtres s’accouplent.

.

Quand le sexe ne va plus… rien ne va ;

A ce compte là, tout le monde divorcera

Il ne faut pas confondre sexe et sexualité,

Notre libido aura  cent façons de s’éclater !

.

.

453 – Calligramme

.

Sexe peut se justifier

Pour lui-même, certes,

Mais  il finit    par lasser,

Quoi pour le  A  remplacer :

 Une multitu    M  de d’activités

 Avec des char    O   mes     avérés.

Et déjà, s’occu     U    per  d’enfants

Si ce n’est, des      R      fois, parents,

Il y a les amis,       *        les relations,

Qui font objets       A         de passions,

Il  y  a  l’amour     U       du prochain,

Compense man    S       que d’amour

   Ou de conjoint,    S      amant du jour

  L’humanitaire    I   attire les soins,

Lors  nous avons  tout, eux rien

Y compris affection des leurs :

Sexe devient prison et leurre.

.

****************************************

.

Il n’y  a pas  que  le sexe,

Amour autant, en la vie,

Lors travail, et, enfants,

Nous occupent… aussi,

Souvent et longtemps,

Sans aucun complexe.

Et même que, le sexe,

On peut s’en passer ;

On peut  s’en lasser,

Ce, jusqu’à  le  nier.

Autres formes  P d’amours,

Parviennent   A      à le dériver,

Durant        S       nombre de jours,

Que l’on        *                 ne peut calculer.

Quand il          Q                   n’est plus désiré,

Et il sort des       U                 simples réalités.

Ma conscience,      E                  humanitaire,

Qui n’a plus rien       *               d’arbitraire,

N‘avancera pas le       S               contraire,

Je suis privilégié,        E           mon frère,

D‘argent, de temps,    X          d’amours,

Au point de devenir   E               sourd.

Il n’y a pas que          *            le sexe :

Amour autant         E             en la vie

Pauvres et           N      comme nus,

Face à des       *         gens cossus,

Ont faim     L      sont miséreux,

De leur   A  sexe très honteux,

Qu’ils  *   ne peuvent bander

Faute  V femme pour rêver,

Faute   I    pains  à manger,

  Faute   E humanité en eux.

Amour sans sexe,

Sexe sans amour,

N’ont rien de vases communicants.

Le sexe, s’en passer, ou s’en lasser,

Lors amour point et sans se renier

Sans se couper de… toute altérité.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

453 4

.

Évocation

.

Bouteille en poterie ancienne

Une lampe  à pétrole, surmontée

D’un verre ou alors une amphore

De style plutôt moderne ou art déco ?

 .

On peut y voir un sexe féminin en bas,

Surmonté d’un sexe masculin en haut

Mais personne ne possède les deux.

 .

L’amphore est symbole

De l’organe génital féminin :

Pour autant il est aussi le siège

De  nombre d’émotions d’amour !

 .

Symbolique  

 .

La  symbolique de l’amphore

Est connectée avec origine de la vie

Est indubitablement liée à la femme

Et  à sa qualité  génératrice  de vie.

.

La  métaphore est, toujours, celle

De la femme, comme conteneur

Comme dispensatrice de la vie.

.

Et de même que le Graal  est

Lui-même pur conteneur

Possède aussi l’image

Du vase comme symbole

De la création divine.

 .

Descriptif

 .

453 – Amour aussi : y a pas que sexe en la vie

Alignement central / Titre serpentin / Thème amour

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : amphore / Symbole de fond : poterie

.

.

Fond

.

Évocation 

.

453 6

.

 Poterie en céramique figurative

D’une mère portant un objet

Tout  comme un enfant

Qu’elle a adopté !

 .

Symbolique

 .

La poterie

À usage domestique

Est un travail  réservé

Aux femmes avec argile

Avec  différentes  couleurs

Selon les  divers gisements.

.

Signes utilisés en décoration

Remontent, pour  certains,

À la Préhistoire, origines

De l’alphabet tifinagh.

.

La coloration  à base

De kaolin ou d’oxyde

Ferro-manganique,

Permet d’obtenir

Des teintes vives.

djazairess.com/fr/lemidi/1006091902

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amphore est ancêtre bouteille

Avec base solide et un col long effilé.

L’amphore rime bien, ici, avec  femme,

Évoquant tant sa forme que son… fond.

Il ne faudra pas s’y tromper sur son sexe

Tant il ne sera qu’une petite partie d’elle !

.

Son corps, son cœur, son esprit,  son âme,

Présideront à toutes ses relations d’amour

Le sexe n’étant que moyen très privilégié.

.

La femme réduite  à l’état  d’objet sexuel

Est contenue au niveau  des animaux.

Ce n’est autre  qu’un  déni d’altérité,

Qui n’honore en rien celui le tient

Et qui se croit être un humain.

.

Visuels

.

.

Le sexe ou l’amour…

.

Visuels et textuels >> 

 

452 – Faire sans homme à tes cotés

Visuels et textuels  >> 

.

Sans homme la femme est-elle encore une femme :

Si l’on  prétend cela, c’est qu’elle est  dépendante.

Elle ne l’est pas, en tous cas de moins en moins

Alors la question ne se pose plus à moins que

Elle ne puisse  s’en passer, comme mentor,

Ne supportant qu’il soit  toujours dehors

Lors il rentre … vouloir être considérée

Comme une fille … perdue… sans lui,

Son argent, ses caresses, prouesses

La maintenant en vraie détresse.

Et basta, pourquoi un homme

Serait  présent, à mes côtés,

S’il est  homme,  pensant

Rien qu’à me dominer,

Lors suis une femme

Célibataire libérée,

Homme est lors

Com-pa-gnon

Non patron

Pardon,

Non

V

« Comment faire sans un homme à tes côtés ! »

« Je t’ai zappé : tu ne m’es plus indispensable »

« Comment, c’est inouï, c’est invraisemblable ! »

« Non, je suis femme célibataire femme libérée ».

.

Ce que l’on est,  pour l’autre,  très  exactement,

Qui peut le dire, lors mariage  n’est pas preuve,

Sentiment  que pour lui on nourrit est épreuve

Que chaque  jour,  une  impatience  sous-tend.

.

Compagnon  jour passé,  présent,  jour à venir

Ne seront pas  la  même  chose  il faut le dire

Si la belle  est seule  … trouvez  un moment,

Poser lui la question : pourquoi comment !

.

Ainsi vont les choses et ainsi vont les temps,

Les femmes  se libèrent du poids  d’un père 

Choisissent un amant, et avec lui, un temps,

Avant de s’engager lors contrats partenaires.

.

Partenaire est bien un terme qui rassemble,

Ceux qui font un bout de route … ensemble

À  plusieurs, ou qu’un seul, c’est leur choix,

Qui, parfois, surprend, vous laisse  pantois.

.

Pourquoi toujours un homme  à mon côté,

Un homme qui ne pense  qu’à me dominer

Je suis une femme, célibataire … et libérée

Assumant choix d’autonomie : non forcée !  

.

.

Extension

.

L’autonomie, l’indépendance ne seraient

Pas antinomiques de l’amour, attachement :

Chacun tient à garder intacte sa personnalité,

Chacun se lâche pour  partager des moments

De complicité et d’intimité.

L’égalité et respect mutuel

Entre un homme et une femme

Nécessite un équilibre à renouveler.

.

L’humain est avant tout un animal social, et autonome,

 Mais ne peut se reproduire seul comme tous les animaux.

Il a eu besoin des deux parents pour grandir, être éduqué.

Il a  besoin de compagnon, compagne de vie pour sexualité,

Affectivité, solidarité, sécurité, complémentarité, pour exister

Pleinement : fonder une famille, l’ancre dans la société et la vie.

.

Les  épaules ont pour mission de soutenir,

La femme les veut larges chez son homme,

Pour n’avoir pas à se battre, à se défendre :

Larges épaules sonnent  comme protecteur,

Mais les agressions auront changé la donne :

Nombre de femmes s’assument sans homme,

 Pour ça comme pour le reste, égalité avant tout

Voilà qui oblige à tout revoir et mieux négocier !

.

.

452 – Calligramme 

.

Sans homme la femme est-elle encore une femme :

Si l’on  prétend cela, c’est qu’elle est  dépendante.

Elle ne l’est pas, en tous cas de moins en moins

Alors la question ne se pose plus à moins que

Elle ne puisse  s’en passer, comme mentor,

Ne supportant qu’il soit  toujours dehors

Lors il rentre … vouloir être considérée

Comme une fille … perdue… sans lui,

Son argent, ses caresses, prouesses

La maintenant en vraie détresse.

Et basta, pourquoi un homme

Serait  présent, à mes côtés,

S’il est  homme,  pensant

Rien qu’à me dominer,

Lors suis une femme

Célibataire libérée,

Homme est lors

Com-pa-gnon

Non patron

Pardon,

Non

V

.

*********************

*************************

.

« Comment faire sans un homme à tes côtés ! »

« Je t’ai zappé C   tu ne m’es plus S   indispensable »

« Comment,   O        c’est inouï et in    A  vraisemblable ! »

« Non, je suis  M         femme célibataire    N   femme libérée ».

Ce que l’on    M         est,  pour l’autre,  très      S    exactement,

Qui peut le    E          dire, lors mariage n’est        *     pas preuve

Sentiment    N           que pour lui on nourrit        H   est épreuve

Que chaque  T            jour,  une  impatience          O      sous-tend

Compagnon *            jours passés,  présent          M jours à venir

Ne seront     F           pas  la  même  chose          M il faut le dire

Si la belle    A           est seule  … trouvez          *  un moment

Poser lui      I        question pourquoi        C    comment !

Ainsi vont   R   les choses ainsi vont   O    les temps,

Les femmes  E  se libèrent poids  T     d’un père 

Choisissent un amant,        É  avec lui, temps,

Avant de s’engager lors contrats partenaires.

Partenaire est bien un terme qui rassemble,

Ceux qui font un bout de route … ensemble

À  plusieurs, ou qu’un seul, c’est leur choix,

Qui, parfois, surprend, vous laisse  pantois.

Pourquoi toujours un homme  à mon côté,

Un homme qui ne pense  qu’à me dominer

Je suis une femme, célibataire … et libérée

Assumant choix d’autonomie : non forcée !  

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

452 4

.

Évocation

 .

Un  entonnoir,  en haut,

Un vase  à l’envers, en bas,

Plutôt  un buste  d’homme

Et avec de larges épaules !

 .

Un homme, sans doute, pas n’importe lequel,

C’est celui qui me convient

Tant  sa forme, son apparence, constitution,

Larges épaules me va bien.

 .

Symbolique    

 .

Siège de force physique,

Symbole d’une puissance

Et de force de réalisation,

Les épaules sont pouvoir

De faire,  d’agir,   d’opérer,

Avec une capacité  de porter

Et  de supporter  des charges,

Qui doivent rester à sa mesure.

 .

On les relie au but  de l’individu,

Elles évoquent le degré de force

Pour porter  leurs   fardeaux,

Du sens des responsabilités,

De la volonté d’un support

Personnel, appui d’autres.

 .

Axes conceptuels profonds de sa

Capacité volonté d’action, maîtrise.

Capacité d’agir, préjugés, intentions,

Désir d’agir, degré de facilité à agir,

Degré de liberté dans l’action.

claudessentiel.com/symbolique-epaule

 

Descriptif

 .

452Comment faire sans homme à mes côtés

Alignement central / Titre en un cercle / Thème couple

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : épaules / Symbole de fond : homme

.

.

Fond

..

Évocation 

.

4526

.

Un homme, sans doute, pas n’importe lequel,

C’est celui qui me convient

Tant  sa forme, son apparence, constitution,

Larges épaules me va bien.

 .

Symbolique 

 .

Si l’homme se distingue des animaux,

Selon Cassirer, ce n’est pas en vertu

D’un atout substantiel que les bêtes

Ne  partageraient  pas, avec  lui,

Par exemple «âme immortelle»,

Mais par la fonction de son esprit

C’est qu’il vit dans une autre dimension

De la réalité : une dimension symbolique.

Source : fredericbaylot ernst_cassirer  

  .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un homme et une femme, couple dit «normal»,

Se fondant sur les lois de reproduction de la nature

Mais aussi sur des besoins sociaux, familiaux, sexuels.

.

Voilà que des femmes choisissent délibérément le célibat

S’assume toute seule et adopte un enfant ou font un PMA.

.

Ce constat de réalité ne change rien au niveau symbolique

De l’entente entre un homme et une femme et vie de couple

Il ne fait qu’établir un nouvel équilibre dans l’autonomie

Et la décision, la dépendance partagée et la sexualité !

.

Une forme d’homme, assurément

Mais avec une épée de Damoclès

En lieu et en place de sa … tête,

Pour rôle près d’une femme !

Si homme et femme riment

Parfois se tournent le dos

Si ce n’est pas la face,

Lors rien ne va plus

Lors tout ira bien.

 .

Visuel      

.

.

Coup de main, lien permanent

.

Visuels et textuels  >>