333 – A la voile et à pied et à ski et en vélo !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Autant de sports,

Autant de bonheurs

Du sud jusqu’au nord,

Autant bonne humeur !

.

En voiles, l’on  s’emporte,

Et en skis,  l’on se déporte,

Par les pieds, l’on se porte,

En vélo,  l’on se  téléporte !

.

Quatre moyens de voyager,

Lentement mais  surement

D’un  point, à l’autre, fixé,

Prenant bien  son  temps

.

Mieux  vaut être  deux,

Trois   pour  partager,

Instants … heureux,

À  se   mémoriser,

Sensations fortes

Qui ressortent,

De paysages,

En images.

.

Amours

De nature

Avec culture

Avec humour :

En mer, en terre,

On se perd souvent

En ses commentaires

En l’air  ou dans le vent.

.

La marche  garde  mystère

Des origines de … l’humanité

Mais naviguer, en hautes mers,

Nous force à mieux nous guider.

.

Extensions

.

Ces poèmes ne sont de trop pour évoquer ces iles,

Terres rassemblées, mis en forme pour communiquer.

Il existe quantité de sports tous aussi attrayants autres

À partir du moment où l’on s’en déclaré un passionné.

Moi, ce sont les quatre sports que je préfère, de loin.

.

On ne parle bien que de ce que l’on connait le mieux.

Sports collectifs, je ne les pratique pas, mais cela ne

N’empêche nullement de les aimer ou les admirer.

Il se trouve que ces quatre sports se pratiquent

Tous en plein air la pleine mer, pleine nature,

La voile, c’est pour mes bras, et  la rando,

C’est pour mes pieds, le vélo, mollets,

Le ski … c’est pour mes … genoux.

.

Mettre sport et nature, en poèmes,

Consomme aussi beaucoup d’énergie,

Pour la bonne cause, oui… cause toujours !

La poésie comme le sport, n’exclut pas l’humour

La tête y participe beaucoup plus qu’on ne le pense ;

La tête et les jambes direz-vous : j’ai entendu cela

Quelque part mais je ne sais plus très bien où !

.

Quel que soit le sport qu’on pratique, préfère, compète,

Il y a toujours un prix, une médaille, un trophée à gagner,

En dépit du fait qu’esprit olympique de Pierre de Coubertin,

Consisterait d’avantage à bien  participer qu’à vouloir gagner

Ce sont les champions qui entraînent autres vers leur sport :

Tous se valent à partir du moment où l’on atteint sommet

Chacun peut, toutefois, à son niveau espérer un trophée.

.

On peut difficilement comparer les sports :

À chacun ses difficultés, plaisirs, méformes,

On peut, en tant qu’individu en pleine forme

Les enchainer comme on le fait au décathlon.

.

Courses de vitesse ne sont pas courses de fond,

À chacun son défi, selon ses passions, capacités.

Moi qui ai pratiqué, la voile, marche, le ski, vélo,

Je ne saurais dire lequel sera resté  mon préféré !

.

Il m’est impossible d’expérimenter tous les sports

Ni même de m’y intéresser, à part, par curiosité :

Ce sont les engagements et plaisirs que j’assume

Qui me font les partager sous forme poétique.

.

Fragments 

.

À pied, à cheval, en voiture,

En vélo, en skis…en bateau :

Six  transports  à rajouter  à :

En bus, en train … en voilure,

Trottinette, mobylette, moto :

Pas un moyen qui manquera.

.

On dit qu’à pied,  on peut aller

Partout, en partie  vrai et faux,

Sur la neige : skis ou raquettes.

On ne traverse pas mer, océan :

Pas de pont : avion  ou  bateau :

Je ne me vois pas nager, si loin.

.

Tour du monde, à pied … à vélo,

Voire en bateau, mérite trophée,

Certains l’on fait, autres le feront

Et moi, je leur tire mon chapeau,

Un tour de la France ou traversée

Ça fait déjà une trotte sacré nom !

.

Quoiqu’il en soit, il en fût, en sera,

Bouger et voyager, est destination,

Pour les uns, pour autres, destinée.

On peut en faire et loisir et passion,

Je suis de ceux ayant devise : utiliser

Moyen nécessaire, là  où  il le faudra.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

 .

Autant de  V   sports,

Autant     O  de bonheurs

Du sud    I   jusqu’au nord,

Autant    L   bonne humeur !

E ………..

En voiles,    *     l’on  s’emporte,

Et en skis,      P   l’on se déporte,

Par les pieds,    I     l’on se porte,

En vélo,  l’on se    E    téléporte !

            D

Quatre moyens de  S     voyager,

Lentement mais    *    surement

D‘un  point, à     S  l’autre, fixé,

Prenant bien    K    son temps

    I

Mieux  vaut  *    être   deux,

Trois pour   V    partager,

Instants    E     heureux,

À se       L  mémoriser,

Sensa O tions fortes

Qui  * ressortent,

De   paysages,

En images.

.

Amours

De nature

Avec culture

Avec humour :

En mer, en terre,

On se perd souvent

En ses commentaires

En l’air  ou dans le vent.

La marche  garde  mystère

Des origines de … l’humanité

Mais naviguer, en hautes mers,

Nous force à mieux nous guider.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un trophée sportif,

Oui, très probablement,

Oui d’accord mais lequel 

De voile, ski, marche, vélo ?

.

333 4

.

Impossible de déterminer,

De quel trophée, il peut s’agir :

Il n’y a, pour le moment,

Aucune inscription, aucun signe !

Trophée par ci, ou trophée par-là :

Chaque sport a les siens, individuels

Ou collectifs, tant et si bien que : tous

S’accordent que fond justifie la forme !

.

Symbolique 

 .

Conception, réalisation d’un trophée

Peut être confié  à un sculpteur célèbre,

C’est en général une forme sur un socle :

Une allégorie de victoire ou d’honneur,

Empruntée   à    la     mythologie ;

La représentation d’un objet

Ou   d’une   attitude  de

Discipline concernée

Ou encore une

 Forme abstraite.

wikipedia.org/wiki/ Trophée-dans-sport

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Impossible de déterminer,

De quel trophée, il peut s’agir :

Mais si voyons, de cinéma

Une création de César

.

Symbolique 

.

Le trophée  est  remis

Au vainqueur  et  des titres

Symboliques pour ses seconds

Lors d’une  cérémonie  officielle

Par un  ou des membres éminents

De la discipline  ou de son instance.

 .

Cela dit, l’objet  du trophée  peut être

Symbolique : une coupe, une médaille

Financier : un bon d’achat,  un  chèque,

Ou un contrat : d’édition ou distribution.

 .

La cérémonie est assez souvent enjolivée

D’un discours, d’une remise  de  bouquet

Ou d’une couronne, voire d’une montée

Des couleurs, drapeau,  de l’exécution

D’un  hymne spécifique ou national.

Wikipédia : trophée

.

.

Fond/forme

 .

J’en aurai trop fait, ou trophée,

Quel vilain jeu de mots, s’il en est.

Quand je pense trophée, pas sport,

Mais bien plutôt littérature, rature.

.

Prendre les voiles, est ce que j’ai fait

Le plus, durant presque trente années

Et pour les autres, plutôt en pointillés.

.

Je me retrouve avec un sport cérébral

Qui a pour nom : Éclats d’existences,

Qui ressemble fort à un marathon.

.

Textuels et illustrations  >>

318 – Lever, coucher de soleil en montagne

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Hiver, disque du soleil

Pointe un nez embrumé,

Au-dessus, des  pics, cols,

De  ses  sommets, enneigés.

Il éclaire  la chaine d’Aravis,

En dispensant sa timide clarté

Peu à peu il impose sa lumière,

Ouatée, devenant crue, projetée.

.

Il trace le demi-cercle,

Non zénithal, diagonal,

Inonde le  fond  du salon,

Entrée, chambre à coucher.

Son rayon caresse vos joues,

Pour vous réveiller en douceur,

Il est temps de chausser ses skis,

Sur son versant, ensoleillé, royal.

.

Le voici il-lu-mi-nant

Et jusqu’au fond des vallées,

Vainqueur de tous nuages noirs.

C’est sans parler des épais brouillards.

Au point d’éblouir l’œil par réverbérations

Obligeant son regard à se plisser par des fentes,

Pour pouvoir percer blancs de neige les plus variés.

.

Contraste fort la froidure de l’air, en dessous de zéro,

Je me  déshabille, rhabille selon l’ombre,  l’exposition,

Midi, il s’est fixé sur la pointe  du Mont Blanc, là-haut,

Le versant nord est, déjà la victime de son inclinaison.

.

En milieu  d’après-midi, il joue avec les monts, les cols,

Il crée des ilots de lumière et, des forteresses d’ombres,

Plus l’heure passe, et plus son faisceau devient sombre,

Bientôt, il ne sera plus qu’une tache aplatie sur les sols.

.

Il s’éloigne en descendant vers l’ouest plein de mépris,

Derrière les collines, cachées, il fera déjà presque nuit,

Ce soir, du fond des vallées montent encore des lueurs

Avant qu’elles ne se transforment en ciels de couleurs.

.

Il n’y aura pas de rayon vert ni bleu, qui s’en détache,

En montagne le soleil ne s’enfonce pas dans des eaux

Autres que celles de sources mares, lacs…ruisseaux :

On ne le voit de la journée quand, frileux il se cache.

.

Ses jeux d’ombres et de lumières, lueurs et couleurs,

Je les garde intacts, dans mes yeux, tout en dévalant

La pente tantôt obsurcissante  et tantôt éblouissante

Sans les lunettes de protection de ce soleil flambeur.

.

Il se fait tard, les formes géantes

D’un mont étouffent paysage devant

Chalet marron : lumière éclaire le village.

Soleil se couche sur une nuit, d’hiver éternel.

.

Extensions

.

Il est tard,

Les formes géantes,

Ramassées, d’un mont,

Étouffent son paysage devant

De notre chalet couleur marron.

.

Des lumières éclairent les villages

Des sapins de Noel et des lampes

Le soleil se couche sur une belle

Nuit d’hiver, éternel.

.

En montagne, au ski,

Le soleil n’est pas toujours

Fidèle heures de rendez-vous

Et pas souvent aussi facétieux,

Il y a aussi la pluie, la neige,

La brume qui vous cache

La piste et paysage.

.

Le soleil ne se lève, ni ne se couche et, pour autant,

Est-ce un abus, une erreur ou une faute de langage,

Apparence tient lieu de réalité en sachant contraire,

C’est toute la beauté, et la poésie, de ces événements

Qui l’emporte sur la vraie réalité, et, pour cela aussi,

Soleil mérite bien de se lever, comme de se coucher,

Et l’on aura jamais fini de les admirer, de les aimer.

.

Le soleil s e lèvera  assez tard,

Se couchera tôt en montagne

Et non pas qu’il soit fainéant

Pas plus qu’il ne soit fatigué

Mais masqué par hauteurs,

Qu’il doit franchir le matin

Par lesquels, caché le soir.

.

Des journées assez courtes,

Où il faut se donner à fond,

Compensées  nuits longues,

Où la fête battra…son plein,

Parfois, jusqu’au petit matin

En somnambules infatigables,

Dont je ne suis, merci : de rien.

.

Fragments

.

Le soleil se lèvera et se couchera

Plus haut en montagne qu’en mer

Car les monts, les arrêtes et les pics

Masquent son éclairement  zénithal.

.

Pour autant, au travers de ses trouées

Il parvient par sa lumière, à tout éblouir

Se reflétant sur neige blanche immaculée,

Par ses rayons scintillants de toute beauté.

.

Lunettes filtrant les UV sont recommandées

Tout comme en mer, pour sa réverbération

Parfois la brume l’empêche d’apparaitre

Si ce n’est le voile comme en un nuage.

.

Comme les jours sont courts en hiver

Le temps pour faire du ski est limité

Voilà qui écourte grasse matinée

Voilà qui rallonge belle soirée.

.

Soleil apparait, sur un mont,

Avant disparaitre sur un autre

Sa lumière forte, évapore la nuit,

Et laisse comme ombre derrière lui.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Hiver, disque du soleil

Pointe un nez embrumé,

Au-dessus, des  pics, cols,

De  ses  sommets, enneigés.

Il éclaire  la chaine d’Aravis,

En dispensant sa timide clarté

Peu à peu il impose sa lumière,

Ouatée, devenant crue, projetée.

.

Il trace le demi-cercle,

Non zénithal, diagonal,

Inonde le  fond  du salon,

Entrée, chambre à coucher.

Son rayon caresse vos joues,

Pour vous réveiller en douceur,

Il est temps de chausser ses skis,

Sur son versant, ensoleillé, royal.

.

Le voici   L     il-lu-mi-nant

Et jusqu’au  E   fond des vallées,

Vainqueur de  V    tous nuages noirs.

C’est sans parler   E  des épais brouillards.

Au point d’éblouir   R  l’œil par réverbérations

Obligeant son regard   * à se plisser par des fentes,

Pour pouvoir percer bla  C ncs de neige les plus variés.

O

Contraste fort la froidure   U   de l’air en dessous de zéro,

Je me  déshabille, rhabille   C    selon l’ombre,  l’exposition,

Midi, il s’est fixé sur la poi   H   nte  du Mont Blanc, là-haut,

Le versant nord est, déjà      E   la victime de son inclinaison.

R

En milieu  d’après-midi, il    *     joue avec les monts, les cols,

Il crée des ilots de lumière    S    et, des forteresses d’ombres,

Plus l’heure passe, et plus     O  son faisceau devient sombre,

Bientôt, il ne sera plus qu’      L une tache aplatie sur les sols.

E

Il s’éloigne en descendant       I  vers l’ouest plein de mépris,

Derrière collines cachées,        L        il fera déjà presque nuit,

Ce soir, du fond des vallées     *    montent encore des lueurs

Avant qu’elles ne se transfor    E    ment en ciels de couleurs.

     N

Il n’y aura pas de rayon vert      *     ni bleu, qui s’en détache,

En montagne le soleil ne s’en   M      fonce pas dans des eaux

Autres que celles de sources      O      mares, lacs…ruisseaux :

On ne le voit de la journée          N  quand, frileux il se cache.

         T

Ses jeux d’ombres et de lumiè   A      res, lueurs et couleurs,

Je les garde intacts, dans mes    G      yeux, tout en dévalant

La pente tantôt obsurcissante    N     et tantôt éblouissante

Sans les lunettes de protection  E   de ce soleil flambeur.

.

Il se fait tard, les formes géantes

D’un mont étouffent paysage devant

Chalet marron : lumière éclaire le village.

Soleil se couche sur une nuit, d’hiver éternel.

.

Forme

.

.

Évocation  

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Nous dirons une lampe tempête 

Qui  éclaire  de  sa  chaude lumière.

.

318 4

.

Quoi, plus courant,  lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle

Coupure de courant

Lampe tempête   garde  sa lumière,

Qu’il vente   qu’il pleuve  qu’il neige,

Elle est symbole même du guidage,

Tant sa forme inspire tant son fond.

.

Symbolique

.

La lampe-

Tem-pête

Est à pétrole

Et transportable,

Dont la flamme est protégée du vent.

Il en existe deux modèles, et  améliorés

Au cours du xxe siècle, à recyclage d’air,

Type ancien,  à recirculation d’air chaud,

Aujourd’hui l e »plus souvent abandonné,

Modèle actuel, à recirculation d’air froid

Et qui s’avèrera nettement plus efficace.

Les deux modèles seront à mèche plate,

Avec un verre plus

Ou   moins   bombé.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

318 6

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

 .

 Symbolique 

 .

Les frontières demeurent très  indécises

Entre lumière symbole, lumière métaphore.

La lumière est mise en relation avec l’obscurité.

La lumière succède aux ténèbres. Si la lumière

Solaire meurt chaque soir, elle renaît chaque

Matin, assimilant  le destin de l’homme à

Sa pérennité et sa puissance.

Les psychologues, analystes

Ont observé qu’à l’ascension

Sont liées des images lumineuses,

Accompagnées d’un sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente, images sombres,

À davantage de sentiments de crainte.

 . 

.

Fond/forme 

 .

Entre le lever et le coucher du soleil,

La lampe-tempête ne vous sert à rien !

Même entre chien et loup, comme on dit,

La luminosité reste suffisante pour guider

Vos pas et vous faire profiter des couleurs

D’un soleil moribond qui se couche vite,

Et se lève, parfois tard, entre monts :

Il est déjà ou encore là, mais caché

L’on ne voit que son reflet flouté.

.

Textuels et illustrations  >>  

317 – Notre beau chalet, sur le mont Aravis

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Un chalet n’a rien à voir

Avec un bateau mis sur l’eau,

Un chalet se trouve, se construit,

A flanc de montagne ou de coteau.

.

Hiver il a toit de neige

En forme de chapeau

En montagne, perdu,

Sur un haut plateau !

.

Les bois blonds y abondent,

Beaucoup provenant d’un sapin

Qui perdant ses pommes et sève,

Est transformé en planche à pin.

.

Il a, en nom de baptême :

«Chalet traditionnel alpin»

À l’intérieur,  c’est chaud,

Et l’on s’y sent … très bien.

.

En salle commune avec son poêle,

Ou à l’ancienne, grande cheminée,

Chauffe avec rondins de bois fendu

Entassés extérieur pour alimenter.

.

Sa vue plongeante sur les combes

Et une vallée, de son pignon vitré,

Nous offre espace au soleil de midi

Brillant à même de nous émerveiller. 

.

On l’investit seul, en groupe, en famille…entre amis,

On l’aime bien au pied des pistes vierges… enneigées,

On  voit  le village, la ville, loin, en dessous, illuminés,

On se sent ailleurs, nulle part, à mille lieues, de Paris.

.

Loin des mille et un soucis  d’un  quotidien, stressant,

Ici, on goute la vie et montagne, ici, on prend le temps

D’être en phase avec soi-même, les autres, et la nature

Jusque milieu de nuit, clair de lune éclaire neige pure.

Le repas s’éternisant et le bon vin chaud, ragaillardant

Chacun y va de son couplet, de son refrain…déconnant.

.

Un chalet n’est pas un bateau mais on le trouve… beau,

Un chalet est comme un ilot, nous immergeant là-haut.

Parfois, pendant, après, une  tempête, très avalanchée :

On s’y retrouve, soudain, reclus, perdus, isolés, de tout,

Mais le bois, qui craque, flambe, fume  de la cheminée,

Est signe  qu’un refuge intérieur  nous rassure, en tout.

.

Dans certains, des animaux occupent  rez-de chaussée,

Moutons, veaux, vaches en hibernation, avec le berger,

Dans d’autres, une ferme auberge, a élu droit de servir,

Randonneurs, skieurs et visiteurs,  pour les rafraichir !

.

En  montagne illuminée

Par la présence de lumières,

On se sent tous bien, tous à l’abri

Des froideurs, et rigueurs de l’hiver.

.

Extensions

.

Que dire de plus

Sinon que tout contraste

Jouera, très  fort, ici,

Entre jour et nuit,

Entre chaleur et froideur,

Entre activité et repos,

Entre sortie et repas

Et facilite des rencontres

Aventureuses et qui

Fabriqueront des

Souvenirs impérissables.

.

Des chalets en montagne, il y en aura de toutes sortes

Des petits, des grands, des immenses même des barres.

Les plus authentiques en rajoutent question ambiances,

On se croirait au siècle dernier, s’il n’y avait l’électricité !

Cela dit, au moins tel dépaysement serait plus que total !

Les exotismes marins des iles  peuvent aller se rhabiller

Le feu dans la cheminée, le pin qui craque de partout,

Sans parler ambiance fantôme ours en la chambrée

Pour un peu on resterait siester toute la journée.

.

Chalet en bois doré et feu de cheminée

Table de monastère, chaise basculante

Des chambres avec des lits superposés

Ou grands, séparés avec peaux de bête

Je crois qu’on a fixé comme un cliché,

En réalité on y trouve l’IKEA mobilier.

.

La perte de charme due à la modernité,

N’a de gain que l’argent que vous verser

Vieux et pur chalet vous coutera un bras

Isolé en forêt et facile d’accès : les deux !

Mais le nôtre était très bien à mi-chemin

Entre traditions et commodités … super !

.

Fragments

.

Un chalet perdu dans les Alpes

Ou l’on peut séjourner un temps,

N’est pas une cabane… au Canada,

Au bord d’un de ses milliers de lacs.

.

L’aspect, l’ambiance s’en rapprochent :

C’est le même vécu, la même philosophie

L’envie d’être au plus proche de la Nature

Pour en faire partie sans confort des villes.

.

Nous sommes dans un village station de ski,

Ou tous les chalets, ou presque, sont en bois :

Procurant un certain charme, charme certain

Qui nous dépayse de tous les paysages urbains

.

Dans un chalet-refuge en très haute montagne

Pas d’eau chaude, de douche, pas d’électricité,

Des lampes à pétrole, en cas de grosse tempête

Suffisantes pour bien éclairer tout l’intérieur.

.

On a bien sûr, nos téléphones, parfois réseau

Disposant de torches, en secours seulement,

Marcher dans le noir la nuit est un danger,

On ne sait où est ravin ou on peut tomber.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Un chalet n’a rien à voir

Avec un bateau mis sur l’eau,

Un chalet se trouve, se construit,

A flanc de montagne ou de coteau.

UN BEAU

Hiver il a toit de neige

En forme de chapeau

En montagne, perdu,

Sur un haut plateau !

CHALET,

Les bois blonds y abondent,

Beaucoup provenant d’un sapin

Qui perdant ses pommes et sève,

Est transformé en planche à pin.

SUR LE

Il a, en nom de baptême :

«Chalet traditionnel alpin»

À l’intérieur,  c’est chaud,

Et l’on s’y sent … très bien.

MONT

En salle commune avec son poêle,

Ou à l’ancienne, grande cheminée,

Chauffe avec rondins de bois fendu

Entassés extérieur pour alimenter.

ARAVIS

Sa vue plongeante sur les combes

Et une vallée, de son pignon vitré,

Nous offre espace au soleil de midi

Brillant à même de nous émerveiller. 

.

On l’investit seul, en groupe, en famille…entre amis,

On l’aime bien au pied des pistes vierges… enneigées,

On  voit  le village, la ville, loin, en dessous, illuminés,

On se sent ailleurs, nulle part, à mille lieues, de Paris.

.

Loin des mille et un soucis  d’un  quotidien, stressant,

Ici, on goute la vie et montagne, ici, on prend le temps

D’être en phase avec soi-même, les autres, et la nature

Jusque milieu de nuit, clair de lune éclaire neige pure :

Le repas s’éternisant et le bon vin chaud, ragaillardant

Chacun y va de son couplet, de son refrain…déconnant.

.

Un chalet n’est pas un bateau mais on le trouve… beau,

Un chalet est comme un ilot, nous immergeant là-haut.

Parfois, pendant, après, une  tempête, très avalanchée :

On s’y retrouve, soudain, reclus, perdus, isolés, de tout,

Mais le bois, qui craque, flambe, fume  de la cheminée,

Est signe  qu’un refuge intérieur  nous rassure, en tout.

.

Dans certains, des animaux occupent  rez-de chaussée,

Moutons, veaux, vaches en hibernation, avec le berger,

Dans d’autres, une ferme auberge, a élu droit de servir,

Randonneurs, skieurs et visiteurs,  pour les rafraichir !

.

En  montagne illuminée

Par la présence de lumières,

On se sent tous bien, tous à l’abri

Des froideurs, et rigueurs de l’hiver.

.

Forme 

.

.

Évocation 

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Nous dirons une lampe tempête 

Qui  éclaire, de sa chaude lumière.

.

317 4

.

 

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

Lampe tempête  garde  sa lumière,

Qu’il vente, qu’il pleuve  qu’il neige,

Elle est symbole même du guidage,

Tant sa forme inspire bien son fond

 .

Symbolique 

.

La lampe-

Tem-pête

Est à pétrole

Et transportable,

Dont la flamme est protégée du vent.

Il en existe deux modèles, et  améliorés

Au cours du xxe siècle, à recyclage d’air,

Type ancien,  à recirculation d’air chaud,

Aujourd’hui l e »plus souvent abandonné,

Modèle actuel, à recirculation d’air froid

Et qui s’avèrera nettement plus efficace.

Les deux modèles seront à mèche plate,

Avec un verre plus

Ou   moins   bombé.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.317 6

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

 .

Symbolique

 .

L’intensité

 De la lumière

Est   une grandeur 

Exprime capacité à éclairer

D’une   source   très   ponctuelle

De lumière en une direction donnée.

 .

Dans   un   environnement  plus  obscur,  la

La vision humaine ne distingue plus les couleurs,

La sensibilité spectrale relative se décale vers le bleu.

On parlera de vision scotopique  dès lors entre les deux

Domaines de luminosité, on parlera  de vision  mésopique.

Wiki intensité lumineuse

 .

.

Fond/forme 

 .

Rien à voir entre la lampe tempête et chalet

Encore que, il faut un temps, le seul éclairage

Possible  quand le vent  se mettait de la partie,

Pour marcher la nuit et bien que  clair de Lune.

.

En montagne si on ne voit pas bien, n’y voit rien

On pourra tomber dans un trou ou dans un ravin

La vue du moindre  chalet, ou  de refuge de berger,

Est, de suite rassurante et bienvenue, en protection.

.

Qu’ils soient rudimentaires spartiates ne gêne guère

On se contente de peu  quand on est en pleine galère.

Mais on en trouve aussi des cosys comme des cocons

Où l’on se sent confortable et à l’abri et pour de bon.

.

Textuels et illustrations  >>

316 – Notre descente en skis du mont Aravis

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le ski

Est sport

Est un loisir

Est un marché

Descente  à  pied

Suppose   remontée

Mécanique tire-fesses

Ou en œufs  en cabines.

La descente est pratique,

Qui  ne s’improvise guère,

Ça glissera et ça tournera,

Du côté de la pente, raide

Ou  douce  selon  terrain.

Jambe  cassée, entorse,

Genou tordu sur bosse

Sont au rendez vous

Pour débutant

L’imprudent.

Le ski         |      simple

c’est facile      |     je te montre

hop je chausse     |    et skis je presse.

hop je mets gants   |    lunettes et bonnet

hop, au  télésiège    |   enserre  tire-fesses

hop, suis  en haut   |    pousse  et on y est,

me  voici  fin prêt    |   première  descente

attention à bosses   |    plaques  sur pente,

je  plonge,  je  vire   |    et  je  recommence

au-dessus    skieur   |   tout schuss,   pense

à m’éviter à droite    |   me fonçant  dessus

si tombe suis mort   |   frappé,  transpercé,

planchiste   affolée   |   dérape  à moi salut

émotions  intenses   |   descentes  répétées

la neige poudreuse   |     ici devient verglas,

le domaine  Aravis    |    grand, ne finit pas

la  rouge  me  tend    |    en kilomètre glisse

ne  m’arrêtera  pas    |    jusqu’en bas, hisse

temps n’a pas prise   |     bien que un degré,

au-dessous  de zéro   |    les plateaux  gelés,

y a plus  qu’espérer    |   que manteau blanc

en   neige  éternelle    |   fonde  Mont-Blanc

la marche  pataude    |   chaussures  plomb

les  skis   les bâtons   |   claquent sur béton

ma tête  est  encore   |  sous un grand soleil

dans une sensation   |   nulle autre pareille

va-t’en, dégage vite   |  de passage  danger

petit ou plus grand   |   droit, parabolique

tous savent glisser  |   tourner et freiner

même planche    |     guère flanche

et bosse          |       cabosse.

.

Extensions

.

On peut apprendre

À skier à tous les âges

En faire jusqu’au plus grand âge,

À condition de respecter les consignes

À la fois  de prudence, et de sécurité,

Et  de ne pas  chercher  à  dépasser

Son niveau et vitesse de croisière.

.

Il m’est arrivé  de perdre un ski,

Qui s’est enfoncé sous la neige

Lors d’un grand vol plané.

.

Il a fallu sonder la neige

Avec le bâton pour au bout

D’une demi-heure le retrouver

Plus en amont que je ne le croyais.

.

Un ski, cela  demeure  quand même

Plus grand qu’une paire de lunettes

Ou un gant et en plus, il était noir,

L’aurais-je retrouvé… si blanc !

.

De la pente, de la pente… encore et toujours de la pente.

Surtout ne pas oublier de tourner  et chasser, en rythme.

Le schuss, tout droit, n’est permis  qu’à certains endroits.

Hormis les compétitions, le chrono n’est pas de la partie :

Faire mieux que la dernière fois, après tout, pourquoi pas

Vite un caillou je glisse, mais le ski n’est pas sur roulettes

Si caillou pourra le faire dévier, pas empêcher de glisser

Dieu merci le ski est souple, il encaisse certains coups,

Sinon je ne vous dis que ça, gare à torsion du genou.

.

Je ne suis pas un champion de descente

Cela va sans dire… c’est un sujet glissant.

C’est pas naturel de se pencher en pente,

Je le fais sinon sur fesse ou dos tombant.

.

Prendre de la vitesse est, certes, grisant,

Mais trop, cela devient, vite, angoissant

Si on ne doit pas descendre vitesse lente

Il vaut mieux s’arrêter…  skis en attente !

.

Il m’est arrivé, des fois, dans le brouillard,

De descendre «tout schuss» sans savoir où.

Aveugle n’aura pas fait mieux d’éviter ravin,

Il y a seconde vue, chez skieurs inconscients !

.

Fragments 

.

Casse ta gueule en skis : merci  pour lui.

Non ce n’est pas mon nom, de personne

Mais cela peut arriver, à n’importe qui !

.

Moi le premier qui n’est qu’un amateur,

Mal équipé, mal habillé …  mal entrainé,

Sur plaque de neige  glacée, en hauteur !

.

Descente sur noire ne me ferait pas peur

Mais  c’est  certain : pas à cent à l’heure :

Je tiens trop  à rester  en vie, par ailleurs

Je suis accompagné  par famille, entière.

.

Voilà-t-il pas qu’un imprévu me déporte,

Après trois méchantes bosses … un trou :

Un de mes skis se fait la malle,  il percute

Un mont de neige poudreuse et disparait

.

Plat ventre, nez dans la neige, contrebas :

 Je me relève groggy, je me tâte de partout,

Rien de cassé mais … je n’ai plus qu’un ski

C’est grâce à la suite que je le retrouverai.

.

Car, un moment, j’ai cru qu’il avait glissé,

Jusqu’en bas … vous me voyez sur un seul,

L’air d’un homme, avec une jambe de bois,

Moralité, en ski, faites-vous accompagner !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

U N E

Le pur ski

Est  D  sport

Est un  E    loisir

Est un       S  marché

Descente      C      à pied

Suppose la     E   remontée

Mécanique     N     tire-fesses

Ou en œufs     T      en cabines.

La descente    E       est pratique,

Qui ne s’im      *      provise guère,

Ça glissera      E     et ça tournera,

Du côté de       N    la pente raide

Ou douce se      *      lon terrain.

Jambe cassée    S     entorses,

Genou tordu      K     bosses

Sont au rendez  I   -vous

Pour débu    S  tant

L’imprudent.

D  U     M  O  N  T

Le ski                       simple

c’est facile       |     je te montre

 hop je chausse     |     et skis je presse.

hop je mets gants   |    lunettes et bonnet

hop, au  télésiège    |   enserre  tire-fesses

hop, suis  en haut   |    pousse et on y est,

me  voici  fin prêt    |   première  descente

attention à bosses   |   plaques  sur pente,

je  plonge,  je  vire   |  et  je  recommence,

au-dessus    skieur   |   tout schuss,   pense

à m’éviter à droite   |   me fonçant  dessus

si tombe suis mort  |  frappé,  transpercé,

planchiste   affolée   |   dérape  à moi salut

émotions  intenses   |   descentes  répétées

la neige poudreuse   |    ici devient verglas,

le domaine  Aravis   |    grand, ne finit pas

la  rouge  me  tend   |    en kilomètre glisse

ne  m’arrêtera  pas   |    jusqu’en bas, hisse

temps n’a pas prise  |    bien que un degré,

au-dessous  de zéro  |    les plateaux  gelés,

 y a plus  qu’espérer   |    que manteau blanc

en    neige  éternelle  |    fonde  Mont-Blanc

la marche  pataude   |    chaussures  plomb

les  skis   les bâtons  |   claquent sur béton

 ma tête  est  encore  |  sous un grand soleil

dans une sensation   |   nulle autre pareille

va-t’en, dégage vite  |  de passage  danger

petit ou plus grand  |   droit, parabolique

tous savent glisser   |    tourner et freiner

même planche    |     guère flanche

et bosse                cabosse.

A   R   A   V   I    S  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une paire de skis,

Avec un skieur dessus

Et en mode  de plongée

Vers le bas, tout schuss.

.

316 4

.

Ce seraient-là, et, visiblement,

Des skis simples, pour débutants

On fait beaucoup mieux en gamme :

Faut savoir s’en servir comme skieur.

Ski chausse et s’accorde au skieur

Encore qu’il y aura skis et skieurs :

Un bon skieur  avec  de mauvais skis

Fera mieux qu’inverse forme égal fond.

.

Symbolique 

 .

Adaptés aux natures enneigées,

Les skis  permettent  d’y évoluer

Avec aisance, vélocité  et plaisir !

La neige représentant les énergies

D’amours gelées : on peut  déduire

Que le  skieur  aura  été  confronté à

Cette difficulté relationnelle affective,

Dans l’enfance, ou une relation actuelle.

Ce peut être rejouance aussi, dans le couple,

Comme tous les accessoires qui vont par paire,

Le ski représente un comportement lié au couple.

Si le ressenti du déplacement en ski, reste agréable,

Le rêveur prendra du plaisir actuellement et avancera

Facilement, même dans un couple froid ; il sait s’adapter.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Ski

.

.

Fond

.

Évocation 

.

316 6

.

Ce seraient-là, et, visiblement,

Des skis simples, pour débutants

On fait beaucoup mieux en gamme :

Faut savoir s’en servir comme skieur.

.

Symbolique 

 .

La descente 

Est la discipline

La  plus    rapide

Et ses parcours

Sont les plus longs  des épreuves

De ski alpin, appelées des géants.

 .

Descente combine maîtrise technique,

Vitesse à l’état pur et un grand courage.

 .

Ski hors-piste : skier ou surfer hors-piste

Consiste à arpenter  pentes  non balisées,

Non surveillées et bien sûr non damées.

 .

Cette pratique procurera davantage

De sensations que le ski sur piste,

Mais elle restera également

Des plus dangereuses.

skiset.com/lexique/

disciplines-ski-glisse

.

.

Fond/forme 

 .

Une fois monté là-haut au sommet des pistes

Il n’y a d’autre solution que descendre à skis.

 .

À pied ce sera une telle galère  et telle fatigue,

Qu’on n’aura plus jamais envie recommencer.

 .

Faut dire que dix minutes pour monter, et deux

Pour descendre, c’est cher payé, en temps perdu,

 .

Mais essayez donc de monter avec des skis fartés,

Ça prendrait une heure… sinon deux, et voire plus.

 .

Textuels et illustrations  >>  

315 – La balade avec raquettes en La Clusaz

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Raquette

N’est pas racket

Pratique, et pas cher,

Pour marcher toute neige

Facile chausser  déchausser

Indispensable, en forte  pente,

Et plus encore rapide, descente.

.

On peut aller partout hors-piste,

Des randonnées, y en a des listes,

Et on ne risque  pas de  se blesser,

En plus, on  aura temps  d’admirer

Des monts, paysages, tout  enneigé.

.

On aura tort de vouloir s’en priver

Et puis il y a chalets, restaurants,

Où on peut se reposer et manger

Avant entamer descente station

Rendre ses raquettes, garder

Au choix, si le plaisir y est.

Balade

Neige et soleil,

Marcher avec raquettes,

Six adultes montent tout là-haut

À La Clusaz, au plateau Beauregard,

Ce nom ne lui pas été donné par hasard,

.

Quand on le voit, et on y marche … c’est beau

Comme les traces de nos douze raquettes rondes,

Qu’on laisse, derrière soi, sont larges, non profondes,

Elles nous chatouillent les oreilles de leurs craquements

Quand on est bien équipé, l’on se sent, pleinement, vivant.

.

Chalet par ici, chalet par-là, une demi-douzaine disséminés

Sur ce plateau pour les alpages d’été  et ses fromages laitiers,

Reblochons, tartiflettes, que l’on mange le soir, jusqu’à satiété

Avec saucissons, avec  lardons, avec  vins  apremonts, du  pays.

.

Ce n’est pas encore ici qu’on va mourir de faim, je crois, merci.

Émerveillés,  nous finissons la pause-déjeuner, ce midi en  assis

À une table, à la terrasse d’un chalet, qui nous tendait  les bras !

Fini le repos : en route, belle troupe, et, attention aux faux pas !

.

Miracle … On dirait que c’est le Mont Blanc qui émerge là-bas !

Il se trouve à  environ quatorze lieues d’ici, enfin à vol d’oiseau.

Dieu qu’il est grand … Dieu qu’il est près… Dieu qu’il est beau.

Le jour viendra où l’on grimpera peut-être là-haut sur le dos.

.

La descente se fait par un long chemin, à travers les sapins.

Le paysage change à chaque dénivellation, chaque virage

Au bout d’un temps, rejoignons déchaussés, le village,

Fatigués, charmés, impatients de prendre un bain.

.

Fouler la neige est  un  des plaisirs  enfantins,

Qui même après bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé

De blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

.

Extensions

.

Au bout d’un temps,

Nous rejoignons, déchaussés,

Le village, assez fatigués, charmés,

Et très impatients de prendre un bain.

Fouler la neige est un des plaisirs enfantin,

Qui même  après  bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé par

Blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

Sans commentaire

Sauf à en tomber

De ses raquettes !

Dans  des  endroits

Avec un mètre de neige

On ne pourrait s’en passer.

.

Il y a eu un temps où il y avait peu différence

Entre raquette de tennis, et raquette à neige !

Qui s’imagine randonner sur raquette tennis :

Aujourd’hui et bien pire encore pour  l’inverse.

S’enfoncer jusqu’au genou  dans la neige molle,

C’est drôle, enfantin, mais, au bout d’un temps,

Ça lasse, ça fatigue beaucoup, et cela, pour rien,

Tant la petite surface, avec trous sous ses pieds,

Vous maintient au-dessus du manteau neigeux.

.

Des raquettes, mais enfin c’est pour les vieux

Ça n’a rien de sportif, c’est en canard pataud,

Attendez donc d’en faire en neige poudreuse !

.

De toute façon vous n’aurez guère autre choix,

J’ai tenté de faire cent mètres, flanc de colline :

L’effort pour soulever une jambe est trop grand.

.

Tandis qu’avec des raquettes les doigts dans le nez

Disons, pas de pieds s’enfonçant jusqu’aux cuisses.

Enfin quand même, les dix kilomètres… ça fatigue !

.

Fragments

.

En station de ski,

Partout en montagne,

L’on peut bien raquetter,

Pour une belle randonnée,

Qui nous offre un paysage

Pour le moins diversifié

Sans trop  se fatiguer,

Sans aucun danger.

.

C’est une alternative

Au ski appelé nordique,

Nécessitant pentes douces

En descente comme montée

Et pour qui pratique le fond,

C’est plus rapide, plus sportif

Que raquettes  tous terrains,

Qu’on déchausse en un rien,

On prend le temps,  batifole,

On s’enfonce en neige molle

On ne rencontre personne,

Que du plaisir qui sonne.

.

C’est mieux de le faire

En famille ou avec amis,

On bavarde ou on rigole,

Si l’on tente une course

On chute, en plein vol,

Le nez en poudreuse.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

Raquette

N’est pas  B  racket

Pratique, et  A  pas cher,

Pour marcher  L  toute neige

Facile chausser   A     déchausser

Indispensable, en D     forte  pente,

Et plus encore rap E    ide, descente.

On peut aller par      *   tout hors-piste,

Des randonnées,       R   y en a des listes,

Et on ne risque pas   A        de  se blesser,

En plus, on  aura      Q  temps  d’admirer

Des monts, paysa     U    ges, tout enneigé

On aura tort de       E  vouloir s’en priver

Et puis il y a cha    T    lets, restaurants,

Où on peut se re  T   poser et manger

Avant entamer  E  descente station

Rendre ses ra  S  quettes, garder

Au choix, si le plaisir y est.

Balade

Neige et soleil,

Marcher avec raquettes,

Six adultes montent tout là-haut

À La Clusaz, au plateau Beauregard,

Ce nom ne lui pas été donné par hasard,

Quand on le voit, et on y marche … C’est beau

Comme les traces de nos douze raquettes rondes,

Qu’on laisse, derrière soi, sont larges, non profondes,

Elles nous chatouillent les oreilles de leurs craquements

Quand on est bien équipé, l’on se sent, pleinement, vivant.

Chalet par ici, chalet par-là, une demi-douzaine disséminés

Sur ce plateau pour les alpages d’été  et ses fromages laitiers,

Reblochons, tartiflettes, que l’on mange le soir, jusqu’à satiété

Avec saucissons, avec  lardons, avec  vins  apremonts, du  pays,

Ce n’est pas encore ici qu’on va mourir de faim, je crois, merci.

Émerveillés,  nous finissons la pause-déjeuner, ce midi en  assis

À une table, à la terrasse d’un chalet, qui nous tendait  les bras !

Fini le repos : en route, belle troupe, et, attention aux faux pas !

Miracle … On dirait que c’est le Mont Blanc qui émerge là-bas !

Il se trouve à  environ quatorze lieues d’ici, enfin à vol d’oiseau.

Dieu qu’il est grand … Dieu qu’il est près… Dieu qu’il est beau.

Le jour viendra où l’on grimpera peut-être là-haut sur le dos.

La descente se fait par un long chemin, à travers les sapins.

Le paysage change à chaque dénivellation, chaque virage

Au bout d’un temps, rejoignons déchaussés, le village,

Fatigués, charmés, impatients de prendre un bain.

Fouler la neige est  un  des plaisirs  enfantins,

Qui même après bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé

De blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une poêle à frire ou flacon,

Deux formes  de raquettes,

À neige, une ancienne, en haut

Actuelle, en  bas,   à randonner.

.

315 4

.

Raquettes  vous  évitent  de vous

Enfoncer, dans  la  neige, épaisse,

On pourra randonner partout avec

Mais attention … aux fortes pentes !

.

Symbolique 

.

Pratiquer

La raquette à neige

Dans  les  plus beaux  décors

Hivernaux procure un bien-être

Immense  pour le corps et l’esprit.

Sa simplicité en fait  le sport d’hiver

Le plus facile    parmi   tous les autres

Dès lors,      si  vous   pouvez    marcher,

Vous pouvez tout aussi bien «raquetter».

 

Des inventions  pour se mouvoir  en neige,

Aucune n’est à la fois aussi simple, efficace.

Probablement pourquoi il a fallu attendre

8 000 ans avant que s’opère révolution

Technologique considérable, la venue,

Dans les années 1980 de raquettes

En aluminium et composites

Munies de crampons.

gvsnowshoes.com/fr/

histoire-de-la-raquette

.

.

Fond

.

Évocation 

.

315 6

.

Raquettes vous évitent de vous

Enfoncer, dans  la  neige, épaisse,

On pourra randonner partout avec

Mais attention … aux fortes … pentes !

.

Symbolique 

.

Station

En plein hiver

Bien des amoureux

De nature et randonnée

Aiment partir à la conquête

Des petits sommets enneigés,

Loin des remontées mécaniques

Et skieurs qui dévalent les pentes,

Lors d’autres feront du ski de rando.

.

Les marcheurs,  quant à eux, opteront

Pour la randonnée avec des raquettes

Vous offrant large surface sous les pieds

Afin de votre poids sur la neige et ainsi

Vous évitez de s’enfoncer à chaque pas

En épaisses couches   de  neige molle.

Modifié, source : auvieuxcampeur.fr/

guide-de-choix-raquettes-neige

.

.

Fond/forme 

 .

Il n’y a de lien commun entre raquettes

De neige et de tennis que : mains et pieds

Et je ne me verrais, point, jouer au tennis,

Avec une raquette de neige, et inversement.

.

Cela dit, il paraitrait difficile  de s’en passer,

Pour plaine de neige   d’un mètre de hauteur,

Sans compter descendre et monter assez à pic

Mais pour bien courir avec,  c’est un vrai défi !

.

Textuels et illustrations  >>  

314 – Arrivée en voiture au Grand Bornand

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

On dit : meilleur moment

Des vacances, c’est la veille

Et, le second, le jour même,

Tant c’est d’abord en sa tête

Que l’on se fait  son cinéma,

Tant  l’on attend  un retour,

À hauteur  de ses dépenses,

Un temps  ensoleillé  prévu,

Pour durer  bonne semaine

Avec la neige,  de la fraiche,

Bien poudreuse, bien saine !

.

Faisons route d’Annecy montant fort lacet

Vers les stations, les pistes de ski et sommets

Saint Jean de Sixt, La Clusaz,  Grand Bornand

Arrivons aux portes d’un Chinaillon…tout blanc.

Déchargeons bagages, investissons l’appartement.

.

En façade sud, manteau neigeux, lumineux devant,

Au couple, sa chambre, lits superposés, pour enfants,

Que déjà, dans nos têtes des descentes, à fond, skiant.

.

Certains, pressés  d’en découdre, dès le premier matin,

Autres préfèrent s’acclimater d’abord au paysage alpin,

On glisse, en skis, tout schuss et, juste après la dameuse,

On marche avec des raquettes dans une neige poudreuse.

.

Tant, le soleil et la neige, se sont donnés, ici, rendez-vous,

Et Chinaillon grouille, de par tout, de fourmis, et de fous,

Sur des pistes bleues ou rouges, et, parfois, même noires,

Attention à l’accident casse-gueule, en skis, très notoire.

.

Le temps s’étire lors il s’écoule, comme dans des bulles,

Les bus circulent, cloches des vaches  tintinnabulent :

Toutes ces blancheurs, éblouissantes  et  immaculées

De neige lavent,  reposent nos cerveaux, embrumés.

Quand vient déjà le soir : fatigués froissés, affamés,

Tout le monde, à table, frémit se jette sur son diner,

Riant, s’amusant, le vin aidant pire que des enfants

Ou pur sortilège des neiges, rêve à pic en dormant.

.

Tout comme l’océan,

Neige est dépaysement,

Elle amuse, et elle réjouit,

Autant les petits que grands.

.

Quand les petits s’en donnent

À cœur joie, à fond la descente,

Les grands les encouragent

Pour leurs exploits.

.

Sommes  en bonne

Conditions  de   ski :

Enfants, jusque la fin

De toute  après-midi !

.

Extensions

.

Ski et fête vont de pair,

Tout comme neige et tartiflette,

Ou comme poudreuse et raquettes.

À chacun son rythme et son plaisir :

Il y a une vie,  en pleine journée, et

Une autre  qui commence le soir,

Lors jusque minuit bien frappé,

On tient rythme, une semaine,

Sans se casser ni s’enrhumer.

.

Ski, trois lettres pour désigner toute glisse

Sur la neige, sur l’eau aussi, et  voire l’herbe,

Question d’angles, vers le bas, et  de postures,

Parallélismes, stopper  net, freiner  sur carres,

Sinon ,accident en chute, si l’on y prend gare !

C’est tout un équipement  et  un habillement

Sans compter les remontées et les tire-fesses,

Et comme supplément, beaucoup d’adresse.

.

Le Grand-Bornand est en Haute-Savoie,

Région  Auvergne-Rhône-Alpes, à 1300 m,

Entre massif des Bornes, chaîne des Aravis.

.

Un millier de kilomètres le sépare de Lannion

Bien douze heures de routes, pour l’atteindre :

Si tout va bien, conditions circulation, météo !

.

Faut vouloir skier pour le faire, mais Dieu merci

C’est aussi pour rencontrer deux couples d’amis :

Nous serons une dizaine au réveillon jour de l’an !

.

Fragments

.

La pratique du ski,   fait rêver,

La pratique du ski, fait glisser,

La pratique du ski, fait chuter,

Pratique du ski, fait… s’amuser

.

Mais déjà faut traverser le pays,

De Lannion à au Grand Bornant,

Avec  un long détour  par Annecy,

Suite à route en verglas abondant.

.

Après le télésiège en courte attente

L’on se voit, déjà, dévaler les pentes,

Les uns derrière les autres, ensemble

 Concentrés  sur  notre belle descente !

.

Comme océan, neige est dépaysement,

L’on est ailleurs, dans un autre univers

Qui ne dure que peu de temps, l’hiver :

Il faut en profiter un max, pleinement.

.

Pour ma part, je suis un skieur moyen :

Mes enfants, amis s’en donnent à plein,

Tracer les pistes sous un ciel souverain,

Est un plaisir des plus purs et sereins.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

 .

On dit : meilleur moment…………….

Des vacances, c’est la veille………..

Et, le second, le jour même…….

Tant c’est d’abord en sa tête…

Que l’on se fait son cinéma…

Tant l’on attend  un retour,

À hauteur de ses dépenses,

Un temps ensoleillé prévu,

Pour durer bonne semaine

Avec la neige, de la fraiche,

Bien poudreuse, bien saine !

A     …………………..

Nous faisons route|   R  ­ d’Annecy montant fort lacet

Vers les stations,  |      R  | les pistes de ski et sommets

Saint Jean de Sixt,    |   I   |    La Clusaz, Grand Bornand

Arrivons aux portes     |   V  |  d’un Chinaillon…tout blanc.

Déchargeons bagages,   |    E   |   investissons l’appartement.

En façade sud, manteau    |  E   |    neigeux, lumineux devant,

Au couple, sa chambre,    |    *  |   lits superposés, pour enfants,

Que déjà dans nos têtes   |     S    |    des descentes, à fond, skiant.

Certains, pressés     |     K    |      d’en découdre, dès premier matin,

Autres préfèrent    |    I   |     s’acclimater d’abord au paysage alpin,

On glisse en skis     |     *   |    tout schuss et, juste après la dameuse,

On marche avec des     |   G   |   raquettes dans une neige poudreuse.

Car le soleil et la neige se     |   R    |      sont donnés, ici, rendez-vous,

Et Chinaillon grouille, de par    |  A  |      tout, de fourmis, et de fous,

Sur des pistes bleues ou rouges,      |  N  |      et parfois même noires,

Attention à l’accident casse-gueule,     |  D  |     en skis, très  notoire.

Le temps s’étire lors il s’écoule, comme    |  *    |     dans des bulles,

Les bus circulent, cloches des vaches     |  B  |       tintinnabulent :

Toutes ces blancheurs, éblouissantes    |  O  |        et immaculées

De neige lavent,  reposent nos cer-    |   R   |  veaux embrumés.

Quand vient déjà le soir : fatigués   |  N  |    froissés, affamés,

Tout le monde, à table, frémit |  A   | se jette sur son diner,

Riant, s’amusant, le vin aidant|  N  |pire que des enfants,

Ou pur sortilège des neiges|   D |rêve à pic en dormant.

Tout comme l’océan,

Neige est dépaysement,

Elle amuse, et elle réjouit,

Autant les petits que grands.

Quand les petits s’en donnent

À cœur joie, à fond la descente,

Les grands les encouragent

Pour leurs exploits.

Sommes  en bonne

Conditions  de  ski :

Enfants, jusque la fin

De toute  après-midi !

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Forme

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Évocation 

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Une lampe de chevet abat-jour

Un tourniquet… pour des jeux

Un skieur en pleine descente  

Avec les risques d’accidents.

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Une station d’hiver en haute montagne

Évoque toujours skieurs.

Facile et ludique a priori, mais faut pas

Avoir d’accident avec eux !

 .

Symbolique 

 .

Dans l’alpinisme,

      L’essentiel est ascension,

               Dans le ski, c’est, la descente.

 

                             Le  motif  dominant  de  l’alpinisme

                                          Est la conquête, une fois la cime atteinte,

                                          Au-delà de laquelle on ne peut pas aller

                                           Plus haut, prend fin,  pour  l’alpiniste,

                                           Pour celui qui escalade des rochers

                                       Ou des parois de glace, la phase

                                   Est    vraiment    intéressante.

 

                           Mais, dans    le    cas   du   ski,

                   C’est le contraire   qui se vérifie,

           Si  l’on monte, ce sera,  avant tout,

       Pour descendre, au plus vite, ensuite.

        la-dissidence.org/julius-evola-

psychanalyse-du-ski

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Fond

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Évocation 

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Une station d’hiver en haute montagne

Évoque toujours skieurs.

Facile et ludique a priori, mais faut pas

Avoir d’accident avec eux !

Symbolique

 

Un accident

Est un évènement

Non prévu qui entraîne

Des dommages à soi-même,

Aux personnes, aux biens,

À l’environnement, etc.

 .

Il est aussi causé par de la négligence

Ou de l’irresponsabilité consciente ou inconsciente.

 .

Pour comprendre la signification symbolique de l’accident,

Il faut savoir que nous créons situation que nous vivons,

Et ce, même si nous ne sommes pas responsables

Aux yeux de la loi terrestre.

ucm.center/fr/symbole-accident

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Fond/forme 

Des piquets, si ce n’est des  filets, délimitent

Chacune des pistes, pour ne pas s’aventurer

Sur pentes plus que glissantes, dangereuses,

.

Sauf à choisir de faire carrément hors-piste

À ses risques et périls, craintes d’accidents !

Mais le plaisir  n’est pas que dans la glisse,

Il est autant  en admiration du panorama,

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Le soir, dans les cafés, dancings, cinémas :

Dépaysement est tel qu’une seule semaine,

Suffit à se ressourcer, à oublier ses peines,

Fatigue physique repose fatigue nerveuse

Ne penser à rien rend skieuse… heureuse.

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