318 – Lever, coucher de soleil en montagne

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.

Hiver, disque du soleil

Pointe un nez embrumé,

Au-dessus, des  pics, cols,

De  ses  sommets, enneigés.

Il éclaire  la chaine d’Aravis,

En dispensant sa timide clarté

Peu à peu il impose sa lumière,

Ouatée, devenant crue, projetée.

.

Il trace le demi-cercle,

Non zénithal, diagonal,

Inonde le  fond  du salon,

Entrée, chambre à coucher.

Son rayon caresse vos joues,

Pour vous réveiller en douceur,

Il est temps de chausser ses skis,

Sur son versant, ensoleillé, royal.

.

Le voici il-lu-mi-nant

Et jusqu’au fond des vallées,

Vainqueur de tous nuages noirs.

C’est sans parler des épais brouillards.

Au point d’éblouir l’œil par réverbérations

Obligeant son regard à se plisser par des fentes,

Pour pouvoir percer blancs de neige les plus variés.

.

Contraste fort la froidure de l’air, en dessous de zéro,

Je me  déshabille, rhabille selon l’ombre,  l’exposition,

Midi, il s’est fixé sur la pointe  du Mont Blanc, là-haut,

Le versant nord est, déjà la victime de son inclinaison.

.

En milieu  d’après-midi, il joue avec les monts, les cols,

Il crée des ilots de lumière et, des forteresses d’ombres,

Plus l’heure passe, et plus son faisceau devient sombre,

Bientôt, il ne sera plus qu’une tache aplatie sur les sols.

.

Il s’éloigne en descendant vers l’ouest plein de mépris,

Derrière les collines, cachées, il fera déjà presque nuit,

Ce soir, du fond des vallées montent encore des lueurs

Avant qu’elles ne se transforment en ciels de couleurs.

.

Il n’y aura pas de rayon vert ni bleu, qui s’en détache,

En montagne le soleil ne s’enfonce pas dans des eaux

Autres que celles de sources mares, lacs…ruisseaux :

On ne le voit de la journée quand, frileux il se cache.

.

Ses jeux d’ombres et de lumières, lueurs et couleurs,

Je les garde intacts, dans mes yeux, tout en dévalant

La pente tantôt obsurcissante  et tantôt éblouissante

Sans les lunettes de protection de ce soleil flambeur.

.

Il se fait tard, les formes géantes

D’un mont étouffent paysage devant

Chalet marron : lumière éclaire le village.

Soleil se couche sur une nuit, d’hiver éternel.

.

.

Extensions

.

Il est tard,

Les formes géantes,

Ramassées, d’un mont,

Étouffent son paysage devant

De notre chalet couleur marron.

.

Des lumières éclairent les villages

Des sapins de Noel et des lampes

Le soleil se couche sur une belle

Nuit d’hiver, éternel.

.

En montagne, au ski,

Le soleil n’est pas toujours

Fidèle heures de rendez-vous

Et pas souvent aussi facétieux,

Il y a aussi la pluie, la neige,

La brume qui vous cache

La piste et paysage.

.

Le soleil ne se lève, ni ne se couche et, pour autant,

Est-ce un abus, une erreur ou une faute de langage,

Apparence tient lieu de réalité en sachant contraire,

C’est toute la beauté, et la poésie, de ces événements

Qui l’emporte sur la vraie réalité, et, pour cela aussi,

Soleil mérite bien de se lever, comme de se coucher,

Et l’on aura jamais fini de les admirer, de les aimer.

.

Le soleil s e lèvera  assez tard,

Se couchera tôt en montagne

Et non pas qu’il soit fainéant

Pas plus qu’il ne soit fatigué

Mais masqué par hauteurs,

Qu’il doit franchir le matin

Par lesquels, caché le soir.

.

Des journées assez courtes,

Où il faut se donner à fond,

Compensées  nuits longues,

Où la fête battra…son plein,

Parfois, jusqu’au petit matin

En somnambules infatigables,

Dont je ne suis, merci : de rien.

.

.

318 – Calligramme   

 .

Hiver, disque du soleil

Pointe un nez embrumé,

Au-dessus, des  pics, cols,

De  ses  sommets, enneigés.

Il éclaire  la chaine d’Aravis,

En dispensant sa timide clarté

Peu à peu il impose sa lumière,

Ouatée, devenant crue, projetée.

.

Il trace le demi-cercle,

Non zénithal, diagonal,

Inonde le  fond  du salon,

Entrée, chambre à coucher.

Son rayon caresse vos joues,

Pour vous réveiller en douceur,

Il est temps de chausser ses skis,

Sur son versant, ensoleillé, royal.

.

Le voici   L     il-lu-mi-nant

Et jusqu’au  E   fond des vallées,

Vainqueur de  V    tous nuages noirs.

C’est sans parler   E  des épais brouillards.

Au point d’éblouir   R  l’œil par réverbérations

Obligeant son regard   * à se plisser par des fentes,

Pour pouvoir percer bla  C ncs de neige les plus variés.

O

Contraste fort la froidure   U   de l’air en dessous de zéro,

Je me  déshabille, rhabille   C    selon l’ombre,  l’exposition,

Midi, il s’est fixé sur la poi   H   nte  du Mont Blanc, là-haut,

Le versant nord est, déjà      E   la victime de son inclinaison.

R

En milieu  d’après-midi, il    *     joue avec les monts, les cols,

Il crée des ilots de lumière    S    et, des forteresses d’ombres,

Plus l’heure passe, et plus     O  son faisceau devient sombre,

Bientôt, il ne sera plus qu’      L une tache aplatie sur les sols.

E

Il s’éloigne en descendant       I  vers l’ouest plein de mépris,

Derrière collines cachées,        L        il fera déjà presque nuit,

Ce soir, du fond des vallées     *    montent encore des lueurs

Avant qu’elles ne se transfor    E    ment en ciels de couleurs.

     N

Il n’y aura pas de rayon vert      *     ni bleu, qui s’en détache,

En montagne le soleil ne s’en   M      fonce pas dans des eaux

Autres que celles de sources      O      mares, lacs…ruisseaux :

On ne le voit de la journée          N  quand, frileux il se cache.

         T

Ses jeux d’ombres et de lumiè   A      res, lueurs et couleurs,

Je les garde intacts, dans mes    G      yeux, tout en dévalant

La pente tantôt obsurcissante    N     et tantôt éblouissante

Sans les lunettes de protection  E   de ce soleil flambeur.

.

Il se fait tard, les formes géantes

D’un mont étouffent paysage devant

Chalet marron : lumière éclaire le village.

Soleil se couche sur une nuit, d’hiver éternel.

.

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation  

.

318 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Pas facile d’y voir sa forme précise

Nous dirons une lampe tempête !

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

.

Symbolique

.

La lampe-tempête

Est à pétrole et transportable,

Dont la flamme est protégée du vent.

Il en existe deux modèles, et  améliorés,

Au cours du xxe siècle, à recyclage d’air,

Type ancien,  à recirculation d’air chaud,

Aujourd’hui l e »plus souvent abandonné,

Modèle actuel, à recirculation d’air froid

Et qui s’avèrera nettement plus efficace.

Les deux modèles seront à mèche plate,

Et avec un verre plus ou moins bombé.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

318 – Lever, coucher de soleil, montagne   

Alignement central  /  Titre oblique  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

.

Évocation 

.

318 6

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

 .

 Symbolique 

 .

Les frontières demeurent très  indécises

Entre lumière symbole, lumière métaphore.

La lumière est mise en relation avec l’obscurité.

La lumière succède aux ténèbres. Si la lumière

Solaire meurt chaque soir, elle renaît chaque

Matin, assimilant  le destin de l’homme à

Sa pérennité et sa puissance.

.

Les psychologues, analystes

Ont observé qu’à l’ascension

Sont liées des images lumineuses,

Accompagnées d’un sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente, images sombres,

À davantage de sentiments de crainte.

 . 

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Entre le lever et le coucher du soleil,

La lampe-tempête ne vous sert à rien !

Même entre chien et loup, comme on dit,

La luminosité reste suffisante pour guider

Vos pas et vous faire profiter des couleurs

D’un soleil moribond qui se couche vite,

Et se lève, parfois tard, entre monts :

Il est déjà ou encore là, mais caché

L’on ne voit que son reflet flouté.

 .

.

Lever ou coucher de soleil ?

.

Scénario

.

Le lever de soleil est spectaculaire pas ses ombres, couleurs portées,

jusqu’à ce qu’il inonde, de lumière, vallée profonde, toute entière,

lorsqu’il se couchera, son reflet procurer une ambiance feutrée.

.

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1093 – La douceur d’un rayon de soleil

Visuels et textuels  >>

.

Le soleil est une valeur sûre

Le soleil est une valeur pure

Chaleur gratuite, non fortuite

Lumière, éclatante, reposante

Lors on a dit cela on a tout dit

Que non, Dieu Soleil nous ravit

Autant esprit, âme, que le corps

Lors il s’en va, on lui dit : encore.

.

Idylle avec La lune nous réfléchit

La nôtre, compagne, compagnon,

À qui l’on ne sait jamais dire  non

Ou ombre, aussitôt, nous envahit

La douceur d’un rayon… de soleil

Caresse ma peau … toute en éveil,

.

Comme si plumes d’un bel oiseau

Chatouillaient pores de mon dos,

Sensations, montant au cerveau,

Déclenchent comme  avalanches

D’impressions, de ce pays, beau,

Où l’on se rapproche  des anges.

.

Entièrement gratuit… pain béni,

Tant soleil appartient  à chacun,

Et  à tout le monde, en bon ami,

Qui ne prend parti, pour les uns,

Oubliant les autres,  sans merci :

Sa lumière, elle-même, obscurcit

Toute pensée, qui ne se raffermit,

Que quand un sexe  s’est endormi.

.

Le soleil en aurait fait … divaguer

Plus d’un et plus d’une, en plage,

En dune, en  terrasse, pré-carré,

Avant d’être voilé, par un nuage

Apportant autre douceur suave,

Contre feu  de chaleur, sauvage,

.

Qui vous donne instant de répit

Après des pleines sueurs, au lit,

La douceur produit la rougeur,

Qui au sang, transmet l’ardeur,

Vous procure, comme vapeurs,

Et chasse toutes  peines, peurs.

.

Dès lors … l’ensemble du corps

Ne peut plus faire aucun effort,

Pour résister à cette… tentation

De remettre l’amour, en action,

Amour du bien-être… solitaire,

Avec le soleil,  pour partenaire,

.

Fini de penser et fini de braire,

Lui seul est là pour…satisfaire,

Moindre de vos désirs,  subtils,

Moindre de vos désirs, intimes,

D’instants précieux qui défilent,

Tant qu’ils se gardent en estime.

.

.

Extensions

 .

Douceur d’un rayon de soleil sur la peau nue,

Ressemble à une caresse tendre et bien venue.

Le soleil s’évertue, qu’on soit homme ou femme

À nous réchauffer et le corps et le cœur et l’âme,

Mais  attention, trop point n’en faut, expositions,

Il a son côté sombre et qui n’est pas dans l’ombre.

Un coup de soleil par ici, ou une insolation par-là,

Et, à force répétitions, provoque cancer de la peau,

Ami qui vous veut du bien, qui peut vous faire mal !

.

Un fin rayon de soleil dans une pièce sombre

Est comme un faisceau  lumineux en l’ombre

Comme un coup de projecteur sur la surface,

Où tout le reste autour s’estompe ou s’efface.

.

On appelle cela en théâtre et communication

Sortir de l’ombre pour être en pleine lumière

On est plus dans sa chambre on est sur scène

Moindre mouvement est capté comme signe.

.

Le premier rayon est tout naturel : du soleil !

Le second est complétement artificiel … irréel

Si j’adore le premier, le second, me fera peur :

Je ne me sens pas prêt à soutenir telles lueurs.

.

.

1093 – Calligramme

 .

                              LA DOUCEUR D’UN

Le soleil est une valeur sûre…………………………………………………..

Le soleil est une valeur pure,………………………………………………

Chaleur gratuite, non fortuite,………………………………….………

Lumière, éclatante, reposante :……………………………………

Lors on a dit cela on a tout dit…………………………………

Que non, Dieu Soleil nous ravit,……………………………

Autant l’esprit, l’âme que le corps…………………….

Lors il s’en va, on lui dit : encore !………………

Idylle, avec La lune, nous  réfléchit……….

 La nôtre, compagne et compagnon, ….

À qui l’on ne sait jamais dire  non…

Ou ombre aussitôt nous envahit….

  La douceur d’un rayon … de soleil

    Caresse ma peau … toute en éveil,

      Comme si plumes d’un bel oiseau

         Chatouillaient pores de mon dos.

            Sensations, montant au cerveau,

              Déclenchent comme  avalanches

                 D’impressions, de ce pays, beau,

                   Où l’on se rapproche  des anges.

                       Entièrement gratuit… pain béni,

                          Tant soleil appartient  à chacun,

                            Et  à tout le monde, en bon ami,

                               Qui ne prend parti, pour les uns,

                                  Oubliant les autres,  sans merci :

                                     Sa lumière, elle-même, obscurcit

                                         Toute pensée, qui ne se raffermit,

                                             Que quand un sexe  s’est endormi.

                                               Le soleil en aurait fait … divaguer

                                               Plus d’un et plus d’une, en plage,

                                                 En dune, en  terrasse, pré-carré,

                                                   Avant d’être voilé, par un nuage

                                                     Apportant autre douceur suave,

                                                       Contre feu  de chaleur, sauvage,

                                                         Qui vous donne instant de répit

                                                           Après des pleines sueurs, au lit.

                                                             La douceur produit la rougeur,

                                                                Qui au sang, transmet l’ardeur,

                                                                   Vous procure, comme vapeurs,

                                                                      Et chasse toutes  peines, peurs.

                                                                       Dès lors … l’ensemble du corps

                                                                           Ne peut plus faire aucun effort,

                                                                              Pour résister à cette… tentation

                                                                                De remettre l’amour, en action.

                                                                                  Amour du bien-être… solitaire,

                                                                                   Avec le soleil,  pour partenaire,

                                                                                      Fini de penser et fini de braire,

                                                                                       Lui seul est là pour…satisfaire.

                                                                                          Moindre de vos désirs,  subtils,

                                                                                             Moindre de vos désirs, intimes,

                                                                                                 D’instants précieux qui défilent,

                                                                                                    Tant qu’ils se gardent en estime.

                                                                                      R A Y O N  D E  S O L E I L 

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1093 4

.

Un rayon de soleil

Qui se réfracte en angle

En verre, dit «cathédrale»

Produit lumière diaphane.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Un rayon de soleil forme un faisceau,

Lumineux et intense :

S’il se réfracte, en l’eau ou autre surface,

Lumière devient oblique.

.

Symbolique 

 .

Souvent, le Soleil

Représente le pouvoir.

Cet astre donne la vie

Lors si le Soleil venait

À disparaître, même

Si  ses  rayons  ne

Nous parvenaient plus,

La vie s’éteindrait sur Terre,

D’où le symbole : donneur de vie.

.

En alchimie, le symbole  du Soleil  est

L’or est un cercle avec un point au centre.

Évoque intérieur, avec ce qui gravite autour.

.

Astronomie et astrologie, le symbole est le même.

Soleil est aussi employé par métaphore en poésie

Pour « jour, journée » et par analogie aux

Sens de « plein jour », de « vie publique »

Et de « grand homme » (Roi Soleil).

Source : rts.ch/découverte/sciences-et-

environnement/terre-et-espace/le-soleil

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Un rayon de soleil forme un faisceau,

Lumineux et intense :

S’il se réfracte, en l’eau ou autre surface,

Lumière devient oblique.

Symbolique

 

La lumière traverse l’air

En suivant une certaine direction

Et alors se propageant en ligne droite.

Puis, au moment où elle entre en contact

Avec l’objet transparent, conserve trajectoire

En ligne droite, change brusquement de direction.

.

Enfin, un nouveau changement de direction intervient

Lorsque la lumière quitte l’objet transparent pour retourner

Dans l’air et lorsqu’elle se trouverait  dans un  milieu  homogène,

La lumière se propage en ligne droite. Lorsqu’elle change de milieu,

Ou bien lorsque le milieu n’est plus homogène, elle est alors déviée,

C’est le phénomène courant dénommé de réfraction.

superprof.fr/ressources/scolaire/dictionnaire/

action-de-devier-un-faisceau-lumineux.

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le rayon de soleil ne peut être qu’un bienfait,

En terme figuré, il représentera une embellie

Simple rayon de soleil, en chambre obscure,

Suffirait  à  représenter  le  monde extérieur,

.Comme favorable pendant toute une journée.

.

Il apporte avec lui énergie, lumière, douceur

Qui comme chacun sait, fait du bien au cœur

Et nous met dans des états seconds de rêverie

Que certains ont appelé du nom  hypnagogie

Semi conscience qui accompagne notre réveil

Et, parfois, conditionne tous nos états d’éveil.

 .

.

Un bain de soleil en amoureux

.

Scénario

.

Vue, pratiquée, appréciée par un homme,

vue, pratiquée et appréciée  par une femme,

et par deux copines, dormant durant bronzette.

 .

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285 – Ode au coucher de soleil sur mon île

Visuels et textuels  >>

.

Coucher contrastes

Des plus incroyables

J’y ai vu  mon  ombre,

S’en allant,  se profilant

Sous  une  pluie  battante

Et j’appelle cela un miracle

Tant n’ai pas cru  mes yeux :

En tous les cas, hallucinant !

.

J’aime être  en pleine nature,

Lorsque j’observe les nuages,

Le paysage du soleil couchant

Lors assis au bord d’une plage

J’en demeure fort souvent coi,

Comme quoi  la nature et moi

Se rejoignent en pleins émois.

.

Non mais, cette fois je suis devenu lyrique,

Flirtant avec un rien de quasi fantastique,

Le tout, en couleurs et même en musique,

Serait-ce de la poésie lors je la pratique !

 .

Ode au coucher, en île, est bien trempée,

Est ode à la mer, montant avec la marée,

Est ode à la terre d’une couleur, éclairée,

Est ode au soleil, pour son feu éternisé.

.

Le clapotis des eaux me tient en arrêt,

Et le moelleux du sable, me tient haut,

Et la couleur d’un feu, me tient  chaud

Et le souffle de son vent me tient  frais.

.

Ça va, ça va comme ça, j’arrête, les frais,

Vous êtes perplexes, déçus, et moi aussi,

J’ai cru écrire un poème,  n’ai pas réussi,

Jetez-le en poubelle, écrivez-moi un vrai.

.

De quel genre : ah oui …  je me  souviens,

Du mois d’avril, et, lors d’un beau matin :

Après la pluie noyant un chagrin, soudain

Et qui m’aura fait autant de mal que bien

Sous le soleil, je n’ai plus peur … de rien !

.

Et voilà bien des rimes en … ien et en… in

Pourquoi pas  des rimes  en ienne, en ine,

Pour une poésie limpide,  sans sourdine :

Oubliez-moi, tout : passez votre chemin !

.

Extensions

.

Couchers de soleil sont tous

Les mêmes et, à la fois, différents,

En montagne, plus précoces, rapides,

À la mer, ils sont plus tardifs  et  plus lents,

Colorations du jaune au rouge au violet au gris.

.

Le temps n’est plus au travail, plus à l’action,

Le temps est au repos, et à la distraction :

Moment à faire le bilan de la journée

Et de se retourner un peu vers soi

Afin de mieux se recharger :

Croire que propre énergie,

Croissante et décroissante,

Serait lié au soleil, luminosité !

.

Que fait-on alors les jours de pluie

Où l’on ne voit pas un seul bout de ciel bleu

Tant les paysages sont bouchés  par du gris.

Lors de passer  une demi-heure   à regarder

Un coucher de soleil est-il du temps perdu ?

.

Pour bénéficier de beau coucher de soleil : faut de rendre

Du côté du port Saint Sauveur de l’Île-Grande selon l’heure.

Si tous se ressemblent, plus ou moins, chacun restera unique

En ses yeux, en son cœur, en sa mémoire, en souvenir radieux,

Il n’y a pas  que les nuages de cieux qui,  de rouge, s’embrasent

Il y a aussi les neurones du cerveau  qui s’imprègnent, brassent

Impressions qui se déclenchent, se superposent feux d’artifices

Où le rayon vert constituera un point d’orgue scintillant final,

Relayé par un phare qui allume son feu, son faisceau, fanal.

.

Couchers du soleil ne se ressemblent

Jours de pluies, tempêtes, brouillard,

Ce dernier est absent ou bien blafard.

.

Lors certains sont si beaux, émouvants

Qu’ils compensent des jours de grisaille,

Où le soleil n’aura pas daigné apparaître.

.

Disparu à l’œil, le soleil est encore présent,

Nous renvoyant sa lumière  sous les nuages,

Et plus tard, en pleine nuit, son reflet lunaire.

.

Le coucher de soleil d’été n’est pas celui d’hiver,

Il est comme nous, il joue les soirées prolongées,

Sa lumière est plus intense et merveilleuse, l’été.

.

.

.

Épilogue

.

J’imagine,  j’en suis même certain,

Qu’il y a milliards de photographies,

De couchers de soleil des plus divins !

***

Divin, pourquoi : que soleil disparait,

Que ciel rougeoie de feu d’apocalypse,

Ou que mon cerveau le voit magique !

***

Ce serait, un peu de tout cela, à la fois,

Probablement, reliquat de préhistoire,

Où humains croient qu’il ne reviendra.

***

Prélude à la nuit  ou  postlude du jour :

Sa symphonie de lumière, s’estompant,

Nous  rappelle : tantôt mort  et  vivant !

***

Les phares des Triagoz  et des Sept-Iles,

S’allument, point lumineux contrepoint

Leur rayon ne suffit  à éclairer l’horizon.

***

Partout,  feux   scintillent : pointillistes :

La vie se poursuit, que la fée  électricité,

Nous aide à vivre le noir en artificialité.

***

Et puis il y a des jours où chance sourit

Chance d’apercevoir un joli rayon vert

Qui s’en irait mourir dans son éclair.

.

.

285 – Calligramme

.

Coucher contrastes

Et des plus incroyables

J’y ai vu mon  O     ombre,

S’en allant se    D   profilant.

Sous une pluie   E      battante.

Et j’appelle cela   *      un miracle

Tant n’ai pas cru A         mes yeux,

En tous les cas     U      hallucinant.

   *

J’aime être en     C    pleine nature,

Lorsque obser    O     ve les nuages,

Les paysages       U  soleil couchant

Assis au bord      C       d’une plage,

J’en demeure      H       souvent coi,

Comme quoi       E     nature et moi

Se rejoignent      R         plein émoi.

*

Non mais, cette fois          D     je suis devenu lyrique,

Flirtant avec un rien          E        de quasi fantastique,

Le tout, en couleurs           *           même en musique :

Serait-ce de la poésie         S          lors je la pratique !

     O

Ode au coucher, en île          L          est bien trempée,

Est ode à la mer, montant    E             avec la marée,

Est ode à la terre d’une cou    I           leur, éclairée,

Est ode au soleil, pour son       L        feu éternisé.

.

Le clapotis des eaux me tient en  S    arrêt,

Et le moelleux du sable me tient U   haut,

Et la couleur d’un feu, me tient  R  chaud

Et le souffle de son vent me tient *  frais.

.

Ça va, ça va comme ça, j’arrête, les frais,

Vous êtes perplexes, déçus, et moi aussi,

J’ai cru écrire un poème,  n’ai pas réussi,

Jetez-le en poubelle, écrivez-moi un vrai.

.

De quel genre : ah oui …  je me  souviens,

Du mois d’avril, et, lors d’un beau matin :

Après la pluie noyant un chagrin, soudain

Et qui m’aura fait autant de mal que bien

Sous le soleil, je n’ai plus peur … de rien !

.

Et voilà bien des rimes en … ien et en… in

Pourquoi pas  des rimes  en ienne, en ine,

Pour une poésie limpide,  sans sourdine :

Oubliez-moi, tout : passez votre chemin !

M  O  N      I  L  E

.

.

Forme

Réduction

.

Évocation 

.

285 4

.

En bas, grande tour,

Au milieu, plateforme,

En haut d’un tel phare 

Son faisceau rayon soleil.

.

Ce phare s’allumera

Dès qu’intensité du soleil deviendra

Insuffisante pour

Distinguer rochers de bord de côtes.

.

Symbolique 

 .

Un phare est un

Dispositif de signalisation

Maritime employé pour assurer

La sécurité des navires s’approchant

De la côte  ou  bien d’un écueil proche.

Pour  éclairer, les   premiers   phares,

Les gardiens utilisent le feu de bois,

Et ensuite, des lanternes à huile

Aidées par de grands miroirs

Arrondis qui réfléchissent

La lumière très loin,

Puis des lampes

Qui fonctionnent

Au gaz  et  au pétrole

Et aujourd’hui, l’électricité.

Augustin Fresnel (1788-1827)

Invente au 19e siècle un système

Qui porte aujourd’hui son nom.

augredesbalades.canalbolg.com

.

Descriptif

.

285 – Ode au coucher de soleil sur mon île !

  Alignement central  / Titre serpente / Thème  paysage

Forme droite   / Rimes égales   / Fond approché de forme

Symbole de forme : phare  / Symbole de fond : soleil couchant

.

.

Fond

.

Évocation 

.

285 6

.

Ce phare s’allumera

Dès qu’intensité du soleil deviendra

Insuffisante pour

Distinguer rochers de bord de côtes.

.

Symbolique

 .

Le soleil couchant

Derrière la ligne d’horizon,

Fait se rencontrer le ciel et la terre.

En s’éclipsant au-delà de notre perception,

Nous emporte en monde souterrain d’imagination.

.

Soleil couchant : comme braises d’un feu mourant,

Paisiblement, serait la répétition de la mort

Et de la renaissance, comme la course

Journalière d’astre solaire serait

Déclinaison vie individuelle.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un coucher de soleil près d’un phare

Second relayant l’autre, partiellement,

Quoi de plus efficace, d’utile, romantique,

Que feu de l’homme jouant le feu des astres

Le terme coucher veut dire se mettre au lit,

Tout autant que de se mettre à l’horizontal.

.

Bretons Moyen Âge dormaient assis au lit

C’’est mort qu’ils s’allongeaient sur dos !

Mais le soleil, lui, ne se couche jamais,

Lors c’est nous qui donnions un sens,

Car il nous échappait, Terre plate.

.

Le soleil tombait dans un néant,

Ressuscitait  dès le lendemain 

Magie  couchant-mourant,

Magie mourant-levant !

.

.

Coucher écran cinémascope

.

Scénario

.

Beau début d’un coucher de soleil  sur la plage de galets d’Ile Grande,

puis  sur abords  du Port Saint Sauveur, étant parvenu marée haute,

puis sur Tourelle Port Saint Sauveur en fin même coucher de soleil.

 .

Visuels et textuels  >>

284 – Ode au lever de soleil sur mon île

 Visuels et textuels  >> 

.

Dès pointe du jour

Entre la nuit et l’aurore

Astre  Soleil,  nom : Amour,

Pointe sur moi son disque d’or.

    .

N’importe  quoi : grandiloquent,

Poésie, pour  un  être  évanescent,

Tout est là, ça va bien  et  pourtant,

Quelque chose d’es-sen-ciel d’absent.

    .

Cela ne se verrait point   avec les  yeux,

Ni, ne s’entendra guère, avec les oreilles,

Cela se terre dans un  esprit en merveille,

Tant ce paysage semble à nul autre pareil.

  .

Tableau indescriptible le devient à ce point,

Que pour bien sentir, il faudrait être dedans,

Et  marcher, pieds nus,  sur le sable mouvant

Et jusqu’à ce que mer et ciel se soient joints.

.

Et  de dire, point et joint : vrai que ça rime,

Dedans,  c’est mouvant : vrai que ça frime,

Et cela vous fera bien : deux rimes en ime,

Deviendrais-je poète, une fois en l’abime.

.

Vrai  que  de  voir,  sur le bord  de la plage,

Un tel beau soleil levant percer les nuages

En annonçant les couleurs du printemps,

Mets le cœur en fête  et pour  longtemps.

.

Cela dit, de loin, mais le plus  surprenant,

Reste de contempler arc-en-ciel complet,

Faire  la roue au soleil,  comme un paon,

Avec la pluie sur moi   et le soleil devant.

     .

Pouet, pouet : ça y est, je suis excellent,

Et pour un peu je m’en irais,  chantant,

Que je deviens l’ombre d’un vrai poète,

Je sens les critiques me faire… ma fête.

.

.

Extensions

.

Il est vrai qu’une ode est un chant

Un peu  lyrique, presque  bucolique,

Le lever du soleil est moment magique

Où la lumière viendra à bout des ténèbres

Différent du coucher qui est plus rougeoyant.

.

Le pont de rosée atteint la nuit laisse place ici

À quelques irisations magnifiant les paysages

Et quand la mer est calme, eaux tranquilles,

Son miroitement ajoute sa transparence

Lacustre évoque silence zone inhabitée.

.

L’énergie point comme une promesse :

« L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt »,

Dit un proverbe : si ce n’est pas entièrement vrai,

Début de journée en meilleures conditions possibles.

.

Le chant des oiseaux qui accompagne le lever du soleil,

Ajoute féerie, chorale éclectique des plus sympathiques.

Le lever du soleil est un symbole d’espoir  et  de lumière,

Tandis que son coucher l’est de mélancolie et de couleur.

.

Les levers de soleil sont moins photographiés que les couchers,

Allez savoir pourquoi  les photographes  ne sont pas matinaux !

Les romantiques, écrivains, les poètes, le seront-ils  davantage ?

J’en doute, et pourtant : quel spectacle éblouissant, et touchant,

Que ce ciel  qui rougit, jaunit, éclaircit, irradie,  paysage noircit,

Et apporte la promesse de l’aube  d’un nouveau jour de chaleur,

Procuré par cet astre qui illumine de joie : corps, esprit, cœur.

Aurore est une musique des ondes célestes mais non funestes

Qui vous remplit de ses harmonies tout au long de votre vie.

.

Une lumière qui peu à peu s’allume,

Et prend sa densité  et sa luminosité

Évoquera l’espoir et la connaissance,

Et une lumière qui peu à peu s’éteint

Et qui se perd dans l’obscurité totale,

Évoquera le désespoir, la perte du feu.

.

S’il y a des jours où le soleil est blanc,

Il y en a d’autres où il rougeoie le ciel,

Couleur qu’on attribuera au couchant,

Couleur sang  attribuée aux mourants,

Alors même qu’il semblerait ressuscité,

Nous apportant message la vie est belle.

.

.

Épilogue

.

On parle, on admire, on photographie

Plus les couchers  que levers de soleils :

Y a de quoi se poser question pourquoi ?

***

Est-ce qu’on est pas réveillé, on est pas levé,

La lumière du soleil  n’est pas aussi magique,

On a pas de temps à consacrer pour l’admirer.

***

Par chance, ma fenêtre  de ma chambre,  à l’Est,

M’invite chaque jour, passant devant, à regarder,

C’est celui avec brume légère que le plus je préfère.

***

Le ciel s’irise et se floute, en tableau impressionniste,

Parfois, le soleil peinera à percer  et à illuminer le ciel,

Lors je reste un moment à attendre ce moment éthéré !

***

Autant un coucher de soleil donnera espoir de belle nuit,

Autant, un lever de rideau de brume, d’une belle journée.

Quand il n’aura ni l’in ni l’autre, le jour sera plus morose.

***

À peine j’aperçois les phares des Triagoz et des Sept Iles,

Que ces derniers s’éteignent face à sa grande luminosité,

C’est ainsi que ma nuit se termine : place au grand jour.

***

L’été, lever soleil est matinal, plus chaud, énergétique,

L’hiver, il est plus tardif, plus froid … plus autistique,

Au printemps, en automne, est le plus romantique !

.

.

284 – Calligramme  

 .

Dès pointe du jour

Entre la nuit et l’aurore

Astre  Soleil,  nom : Amour,

Pointe sur moi son disque d’or.

     O

N’importe quoi   D grandiloquent,

Poésie, pour un    E  être évanescent,

Tout est là, ça va    *  bien et pourtant,

Quelque chose d’es  A sen  ciel d’absent.

        U

Cela ne se verra point   *      avec les  yeux,

Ni, ne s’entendra guère, L   avec les oreilles,

Cela se terre dans un      E esprit en merveille

Tant ce paysage semble  V   à nul autre pareil.

    E

Tableau indescriptible….  R ….. le devient à ce point,

Que pour bien sentir, il…    *   …. faudrait être dedans,

Et marcher, pieds nus, sur…    D    ..….le sable mouvant

Et jusqu’à ce que mer et ciel…    U     …..se soient joints.

Et de dire, point et joint, vrai……   *      …..que ça rime ;

Dedans, c’est mouvant, vrai que…..   S    ……… ça frime

Et cela vous fera bien deux rimes……  O     .……en ime.

Deviendrais-je poète, une fois en l’…   L    …… abime.

                                          E

Vrai que  de voir,  sur le bord de     I     la plage,

 Un tel beau soleil levant, percer    L    les nuages

En annonçant les couleurs du     *   printemps,

Mets le cœur en fête et pour     S    longtemps.

                          U

Cela dit, de loin, et le plus     R      surprenant,

Reste de contempler arc     *   en ciel complet,

Faire la roue au soleil,     M   comme un paon,

Avec la pluie sur moi      O    et le soleil devant.

       N

Pouet, pouet, ça y est    *          je suis excellent,

Et pour un peu je     S     m’en irais,  chantant,

Que je deviens      U     l’ombre d’un vrai poète

Et je sens les     R    critiques me faire ma fête.

M  O  N       I  L  E

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

284 4

.

En bas, grande tour,

Au milieu,  plateforme,

En haut d’un tel phare 

Son faisceau de lumière.

.

Ce phare s’éteindra, dès qu’intensité

Du soleil augmentera,

 Au point d’être à même le remplacer,

Toute proportion gardée.

.

Symbolique de forme

Comme on le voit,

Un phare n’est pas

Qu’une  construction

Qui s’élève au-dessus

 Du niveau  de  la mer.

C’est une construction

Qui porte  une lumière

Émettant  des  signaux

Faisceau, connaissance

Lumière, pour  informer

Ensemble de navigateurs

De la présence des dangers

Notamment aux abords de côte.

Ainsi, par métonymie, le mot phare

Désigne source lumineuse elle-même.

Ce point de vue, retirer la lumière

D’un phare ce serait l’amputer

D’élément …   constitutif

De sa vraie nature.

Source : abp.bzh

.

Descriptif

 .

284 – Ode au lever de soleil sur mon île !  

  Alignement central  / Titre serpente / Thème  paysage

Forme droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : phare  / Symbole de fond : lumière

.

Fond

.

.

Évocation 

.

284 6

.

Ce phare s’éteindra, dès qu’intensité

Du soleil augmentera,

 Au point d’être à même le remplacer,

Toute proportion gardée.

.

Symbolique 

 .

Symbolisme du soleil

Est polysémique que réalité

Solaire est riche de contradictions.

S’il n’est pas dieu lui-même,  il en est la

Manifestation comme fils du dieu suprême

Et frère  de l’arc-en-ciel : le soleil, immortel,

Se lève chaque matin puis il descend chaque

Nuit  au royaume, que l’on dit des morts.

Le soleil  est  la source de la lumière,

De la chaleur  même  de la vie.

Lors ses rayons figurent

 Influence céleste

 .


.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le phare et le soleil

Le soleil comme phare

Ou phare  comme soleil !

.

Le soleil est  l’astre au centre

De notre  galaxie, et  notre  Terre

Tourne autour de lui,  alors que phare

Est une construction artificielle en hauteur

Pour éclairer une petite zone d’une faible lueur.

.

C’est au petit matin,  juste au moment de se lever,

Que le soleil perçant ressemblera le plus  à un phare,

Non pas de mer, mais de nulle part, comme d’’une étoile.

 .

.

Lever de soleil sur mon ile

.

Scénario

.

La nuit et l’ombre tranchent encore avec la lumière qui apparaît,

et qui s’établit en superbes contre-jours en des vues imprenables,

suivi par lever de l’astre, coté terre, bien installé, bien lumineux !

 .

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