451 – Bras et jambes de la femme

Visuels et textuels  >>

.

Bras et jambes, extrémités

Sont membres pour enserrer

Un corps  pour   le   frissonner !

Bras et  jambes  s’animent à danser

Donnant, au corps, posture à épouser,

Séductrice et  jusqu’à la pointe des pieds.

Il faut aussi des bras très forts pour porter

Un enfant, sinon  deux, contre sa poitrine,

S’ils sont fatigués  ou d’humeurs chagrines.

Jambes bien galbées, longues, longilignes,

Laisseront entrevoir des dessous dignes

De se pencher dessus, explorer

Promesses de s’y attacher

Et cela … jusqu’aux pieds.

.

Femme est, avoir, en l’air,

Des bras,  jambes,  de race,

Que, premiers,  embrassent,

Quand,  secondes,  enserrent.

.

Quand leurs bras se détachent

De si fines mains, s’y attachent,

Qu’elles attirent l’homme perdu,

Cachant enfant, quand dépourvu.

.

Dépourvu de finesse et sensibilité,

Que femme exprime bien à danser,

Quand ses bras s’envolent dans l’air,

Ou se concentrent,  tout au contraire.

.

Il faut aussi des bras forts  pour porter

Un enfant sinon deux contre sa poitrine

S’ils sont fatigués  ou d’humeur chagrine,

Deux ne sont pas de trop pour les entourer.

.

Jambes galbées cachent ses genoux et cuisses

Lors, il n’y a que mains du mari qui s’y glissent

Ou prend son petit pied pour faire mille baisers

Et ses jambes, écartelées le soir fatiguées parfois,

Lui font prendre, donner tout ce qu’elle aime entier

Penchées dans cette pose résumant d’être passionné.

.

Il faut que  le courage soit grand pour ses bras fragile

Et ses jambes  s’accrochent à  tous pics  de  montagnes,

Tant elle grimpe avec mains,  jambes au mât de cocagne.

.

Ses bras embrassent  toutes activités, musclées, graciles,

Et ses jambes la supportent sans arrêt, plantées,  galbées

Gestes attitudes par milliers autant de langages, poétisés,

Quand elle décide les utiliser  pour la peinture et musique,

Sans parler écriture de ballets de composition et magique.

.

.

Extensions

.

Les bras et les jambes sont membres

Soumis aussi  aux critères  de beauté,

En harmonie avec ensemble du corps.

Les nains les ont  comme raccourcis,

Et les géants, comme …  démesurés,

Les grosses, comme   plantureuses,

Les anorexiques comme osseuses :

Est-ce bien même plaisir d’aimer.

.

Qu’en dire de plus, vite en vitesse, à s’enfuir et à toutes jambes,

Sinon, rester sur place, croiser les bras, attendre que ça passe.

Bras et jambes en danse forment comme une langue corporelle

Que les cultures, inventent, diffusent, et renouvellent, à l’infini !

Viens dans mes bras entre mes jambes est étreinte de tendresse.

.

Nos bras et jambes constituent nos membres,

Nos bras pour travailler, embrasser, étreindre,

Nos jambes pour nous déplacer, courir, danser.

.

Sans bras, jambes nous serions quadriplégiques,

En fauteuil roulant lors entièrement dépendants,

Se mouvoir devient un corolaire  de s’émouvoir !

.

Jambes de femmes  sont un atout de séduction,

Lors elles sont loin de nous laisser indifférents,

Tant elles sont les seules à les montrer… nues.

.

Parfois, elles les habillent de bas ou collants,

Ou de manchons, longs gants, pour les bras,

Entre leurs jambes on se sent bien souvent.

.

.

.

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451 – Calligramme

.

Bras et jambes, extrémités

Sont membres     *       pour enserrer

Un corps pour     **********       le   frissonner !

Bras et          *      jambes     s’animent      *    à   danser

Donnant          B         au corps         posture           J     à épouser,

Séductrice      R            jusqu’à          la pointe            A      des pieds.

Il faut aussi      A             des bras        très forts              M     pour porter

Un enfant,         S              sinon  deux,        contre               B       sa poitrine,

S’ils sont            *                fatigués   ou  d’humeurs               E         chagrines.

Jambes          E                bien galbées, longues, lon               S        gilignes,

Laisse           T                ront entrevoir des dessous               *          dignes

De            *                se pencher dessus, explo                   *           rer

Promesses de s’y attacher

Et cela … jusqu’aux pieds.

Femme est, avoir, en l’air,

Des bras,  jambes,  de race,

Que, premiers,  embrassent,

Quand,  secondes,  enserrent.

Quand leurs bras se détachent

De si fines mains, s’y attachent,

Qu’elles attirent l’homme perdu,

Cachant enfant, quand dépourvu.

Dépourvu de finesse et sensibilité,

Que femme exprime bien à danser,

Quand ses bras s’envolent dans l’air,

Ou se concentrent,  tout au contraire.

Il faut aussi des bras forts  pour porter

Un enfant sinon deux contre sa poitrine

S’ils sont fatigués,  d’humeurs chagrines,

Deux ne sont pas trop  *   pour les entourer.

Jambes galbées cachent  *   ses genoux et cuisses

Lors, il n’y a que mains    *  du mari qui s’y glissent

Ou prend son petit pied    D    pour faire mille baisers

Et ses jambes, écartelées    E      le soir fatiguées parfois,

Lui font prendre, donner     *      tout ce qu’elle aime entier

  Penchées dans cette pose      L      résumant un être passionné

  Il faut que  le courage soit      A         grand pour ses bras fragile

 Et ses jambes s’accrochent      *         à  tous pics  de  montagnes,

     Tant elle grimpe avec mains     F        jambes aux mats de cocagne…

 Ses bras embrassent toutes       E        activités, musclées, graciles,

 Et ses jambes la supportent       M       sans arrêt, plantées,  galbées

  Gestes attitudes par milliers       M       autant  de langages, poétisés,

Quand elle décide les utiliser       E      pour la peinture et musique,

 Sans parler écriture de ballets     *      de composition, et  magique.

.

.

Forme

.

Réduction

.

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451 4

.

Évocation

 .

Un géant ayant perdu la tête,

Les deux bras en croix, en haut,

 Les deux jambes de femme, en bas

 .

Etre, dans ses bras, enlacé ou être

Entre ses jambes, encastré,

Suscite un doux désir de tendresse,

Fort plaisir de pénétration.

.

Symbolique 

 .

Le bras est associé

À action,  communication

Et à l’amour : nous enlaçons,

Nous serrons    dans  nos bras

Les personnes   que  l’on  aime.

.

Un geste de marque d’affection.

C’est pourquoi les bras  évoquent

L’amour tendre, et la consolation.

.

Par ailleurs, cette notion d’amour

S’exprime de façon plus abstraite

Dans de belles expressions telles

Qu’embrasser la vie

Ou  embrasser  une carrière,

Qui évoquent le  fait  de  faire

Ce que l’on aime, s’engager

Avec plaisir.

.

Descriptif

 .

451 Les bras et les  jambes de la femme  

Alignement central / Titre analogue / Thème corps

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : bras / Symbole de fond : jambes

.

.

Fond

.

Évocation 

.

451 6

.

Les jambes sont aussi des membres essentiels

Non seulement pour se déplacer

Mais aussi servir de séduction dans l’amour

Qui ne manque pas d’entrejambe.

 .

Symbolique

 .

La jambe représente la capacité

D’avancer  tout au long de sa vie

Ainsi  que  celle  d’aller  de l’avant.

.

Les problèmes de membres inférieurs

Renvoient, d’une manière plus concrète,

À la problématique liée aux mouvements

Toutefois, de manière plus symbolique,

Aux directions à prendre dans sa vie.

.

Quant aux bras, ils sont associés

Directement à l’action

A la communication

Et à l’amour

Ils évoquent

L’amour tendre

Et la consolation,

Celle d’embrasser !

Les jambes sont aussi des membres essentiels

Non seulement pour se déplacer

Mais aussi servir de séduction dans l’amour

Qui ne manque pas d’entrejambe.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il y a bras, il y a jambes, de force ou adresse

Il y a ceux qu’on dresse, celles qu’on caresse.

Jeter beauté de femme par-dessus la jambe

Ne sera pas lui faire honneur, il me semble.

Si les bras entourent, les jambes enserrent

Trop fins, trop fines, et c’est…  l’anorexie,

Trop gros, trop gras et c’est la boulimie.

.

Deux bras, deux jambes, rime avec membres

Et s’ils ne se confondent pas avec tout le corps

Ils l’évoquent et bien mieux : ils s’y rattachent,

N’ont pas que fonction préhension, locomotion

Ils provoqueront, aussi, beaucoup d’émotions

Par la grâce  de leurs mouvements  dansants

Galbe et finesse de leurs formes  longilignes,

Qu’on a plaisir à voir en leur déhanchement

Quand leurs bras seront un refuge aimant !

.

Visuel

.

.

Bras sur la jambe

.

Visuels et textuels  >>

450 – Dos d’une femme, en violon

Visuels et textuels  >>

.

Nuque saillante

Et épaules tombantes

Dos femme peu de rond

Sauf courbe en encolure

Qui allonge cou gracile,

Sauf sa chute de reins,

Qui creuse sa colonne

Pour  faire  rebondir

Sa croupe   en désir.

De coccyx  à occiput.

Il suffirait de remonter,

Long doigt le long du dos

Jusque  caresser  sa   nuque.

Impression de monter escalier

Qui vous mènera de cave au grenier

Où des trésors sont enfouis bien gardés,

Seuls ceux qui ont la clé pourront profiter,

Clé de sol ou clé de fa  point, c’est clé du dos.

.

Cou gracile

Et nuque nubile !

Dos femme est bien au fond

Instrument de musique violoncelle

Aux formes galbées, longiligne, rond,

Aux creux s’épousant, en formes belles,

Des épaules aux fesses colonne vertébrale

Se torsade et se plie comme serpent de mer,

De mère quand elle soutient son petit animal,

Qui vit  en elle, qu’elle aura sur dos vie entière,

Creux des reins, marquant sa courbe, gracieux

Descend et monte en deux monts postérieurs,

S’écarte en antre vers les fuseaux inférieurs

Cache son marais aux yeux d’amoureux

Sur deux côtés, ses flancs amincies,

Laissent paraître  ses côtes, jolies,

.

Que d’archets savent faire vibrer

De leurs doigts mis en appétits,

Cette courbure, cette cambrure

Plient  et ploient … en tous sens

En des mouvements de balances

.

Et qui laissent entrevoir ses figures

Qu’elle exécute,  en roulant  sur le dos,

Lors ce n’est pas  sur le ventre, pour dorer

Au soleil où, cette après-midi, il se sera remis,

De ses danses en cadences et ronds, sur les sols,

De se pencher pour balayer, laver, cirer, ranger, là

Et entretenir intérieur auquel son dos s’emploie bas

Pour  qu’à la fin, il brille  plus  qu’elle, utilisant  la clé

De  sa  mélodie  dorsale : domicile à sol, facile à cirer,

Mais, son travail ne s’arrête pas là …  bien plus haut,

Elle assure bon dos pour tout ce qu’on lui demande

Jusqu’à ce que courbatures, en elle, elle ressente,

Qui la feront souffrir faisant la bête à deux dos

Dos d’une femme, champ de bataille fourbe

Où elle s’efforce de tenir bien debout

Jusque fatigue et dans la courbe.

.

.

Extension

.

Mais, avant tout, le dos est

Comme une page …..  blanche

Où l’on peut dessiner un tableau

Où l’on pourrait écrire un poème,

Où l’on peut  se faire  un massage,

Où l’on peut compter ses disques,

Où on les fait se tordre à volonté

Comme un serpent qui se love.

.

Douleurs dans le dos constituent  une maladie du monde moderne

Le dos de la femme est en courbe, avec une  belle taille au milieu,

Celui de l’homme est beaucoup plus droit et parfois même en V.

Le dos est avec les épaules, la chute de reins : parties invisibles

À part avec miroir à trois faces comme dans un reflet d’identité

En avoir plein le dos est une expression d’un  trop plein de stress,

Mais en cas de douleur, colonne, nerfs et muscles sont à distinguer.

.

L’homme est droit, carré, voire rectangle,

La femme conserve une ligne sinueuse

Qui la ferait la comparer à un violon,

Dont l’amant serait son parfait archet.

.

La courbe des hanches et le creux  du dos,

Sans parler de la chute des reins aux fesses,

Donnent à la femme, partie de sa silhouette

Quant à son charme  en son maintien beau.

.

On dit parfois de femme, qu’elle a bon dos,

Au sens figuré peut-être, pas sens propre

Tant elle ne se ménage en sa contrainte

De tenir son foyer, servir les enfants.

.

.

Épilogue

.

Le dos inclut les épaules, les côtes, en haut,

 Les hanches,  la croupe, les fesses, en bas,

Colonne vertébrale : centre qui les relie

On y inclura la taille, pour les femmes.

.

En deca, et  au-delà, de leur anatomie,

Le dos d’une femme évoquera un violon

Non pas pour la musique, pour sa forme

Surtout si elle s’assoit en posture tailleur.

.

Le dos d’une femme est soumis lors enfants

Pour  leur portage  et, s’ils ne s’en plaignent,

Cela peut avoir  des répercussions, plus tard,

Dans leur occupation de ménage domestique.

.

Le dos aura parfois des connotations sexuelles

Notamment au niveau du cou et des épaules,

Non seulement pour le maintien, la posture

Mais pour son mouvement et ses courbes

.

Les courbes de la croupe et des fesses

Attireront encore plus les hommes

Des femmes en ont conscience,

En jouent pour la séduction.

.

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450 – Calligramme

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D

Nuque     O  saillante

Et épaules    S    tombantes

Dos femme    *    peu de rond

Sauf courbe    D     en encolure

Qui allonge    E     cou gracile,

Sauf sa chu    *    te de reins,

Qui creuse    F    sa colonne

Pour faire    E    re-bondir

Sa croupe     M      en désir.

De coccyx       M        à occiput

Il suffirait de     E       re-mon-ter,

Un long doigt      *      le long du dos

Jusque  cares        V      ser  sa   nuque.

Impression  de         I        monter escalier

Qui vous mènera       O      de cave au grenier

Où des trésors sont     L    enfouis bien gardés,

Seuls ceux qui ont la   O   clé pourront profiter,

Clé de sol ou clé de fa  N  point, c’est clé du dos.

Cou gracile

Et nuque nubile !

Dos femme est bien au fond

Instrument de musique violoncelle

Aux formes galbées, longiligne, rond,

Aux creux s’épousant, en formes belles,

Des épaules aux fesses colonne vertébrale

Se torsade et se plie comme serpent de mer,

De mère quand elle soutient son petit animal,

Qui vit  en elle, qu’elle aura sur dos vie entière,

Creux des reins, marquant sa courbe, gracieux

Descend et monte en deux monts postérieurs,

S‘écarte en antre vers les fuseaux inférieurs

Cache son marais aux yeux d’amoureux

Sur deux côtés, ses flancs amincies,

Laissent paraître  ses côtes, jolies,

Que d’archets savent faire vibrer

De leurs doigts mis en appétits,

Cette courbure, cette cambrure

Plient  et ploient … en tous sens

En des mouvements de balances

Et qui laissent entrevoir ses figures

Qu’elle exécute,  en roulant  sur le dos,

Lors ce n’est pas  sur le ventre, pour dorer

Au soleil où, cette après-midi, il se sera remis,

De ses danses en cadences et ronds, sur les sols,

De se pencher pour balayer, laver, cirer, ranger, là

Et entretenir intérieur auquel son dos s’emploie bas

Pour  qu’à la fin, il brille  plus  qu’elle, utilisant  la clé

De  sa  mélodie  dorsale : domicile à sol, facile à cirer,

Mais, son travail ne s’arrête pas là …  bien plus haut,

Elle assure bon dos pour tout ce qu’on lui demande

Jusqu’à ce que courbatures, en elle, elle ressente,

Qui la feront souffrir faisant la bête à deux dos

Dos d’une femme, champ de bataille fourbe

Où elle s’efforce de tenir bien debout

Jusque fatigue et dans la courbe.

.

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Symboliques

.

Réduction

.

.

450 4

.

Évocation

 .

Un grand violon, pour sûr, en bas,

Et un plus petit, pour sûr, en haut 

Enfin c’est un violon vu de dos

Comme celui d’une femme ?

.

Aucun doute, en comparant le dos ‘une femme

À celui d’un violon, il y a beau rapprochement,

Cela ne vaut pas dire utiliser un même archet.

.

L’image du violon, métaphore du dos :

En  épaules, tailles, et hanches,

Mais dont les sons sont bien différents, 

Quoique les mêmes résonances.

 .

 Symbolique 

 .

 Le violon

Est le roi des

Instruments,

Celui dont la

Forme est issue

D’une longue élaboration,

La science de générations de luthier.

.

Aussi délicat d’en jouer que de le fabriquer,

Le caractère humain du violon est manifeste,

Comme sa pratique est réellement ardue, il est

Aussi  difficile que de devenir un être humain.

Il symbolisera donc un état de perfection

Et la difficulté, le long chemin qui

Mène à cette perfection.

tristan-moir.fr/violon

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Descriptif

.

450Dos de femme comme dos violon 

Alignement central / Titre droit / Thème corps

Forme anthropo / Rimes variées / Fond accordé à forme

Symbole de forme : violon / Symbole de fond : dos

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Fond

.

Évocation 

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450 6

.

Bien des femmes se plaindront d’avoir mal au dos

Sans de vraies causes physiologiques

Et pourtant le mal, ou  la douleur, ou la pénibilité

Sont bien présents et sont lancinants.

 .

Symbolique 

Ce qui se passe dans notre dos

Ne nous est pas visible, côté du corps

Tourné vers le non-visible, l’inconscient,

Ce qui échappe à la conscience habituelle,

Qui se passe derrière notre dos représente

Ce que nous ignorons de… nous-mêmes!

.

Ombre : tourner le dos à un problème,

C’est de dos refuser de le voir en face.

Un aspect du symbolisme du dos est

Celui qui associe l’arrière au passé

L’avant, à l’avenir qui progresse.

Source : lemondeduyoga.org

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le dos par définition est ce qu’il y a derrière

Mais le dos au mur n’est pas… le dos du mur.

On pourra coller : dessin, affiche, dans le dos,

Sans qu’on le sache comme un poisson d’avril.

.

Se tordre la colonne à tenter de voir le tableau

N’est pas recommandé, sauf à disposer miroir,

Je préfèrerais pour ma part y écrire ce poème

Me disant que ce serait un cadeau suprême

J’ai peur qu’elle dise «j’en ai plein le dos».

.

On dit parfois qu’une femme a bon dos

Pour dire qu’elle endure, sans rechigner,

Toutes corvées qu’on lui aura programmées

Vrai par certaines et pour autres c’est faux :

Dos rime avec  propos, allongé pour repos,

La forme du dos est plate comme un fond

De canapé, à s’y confondre en entier !

 .

Visuel

.

.

Dos nu de femme

.

Visuels et textuels >>

449 – Ventre de femme et nombril

Visuels et textuels  >> 

.

Un ventre qui grossit

Double ou triple en taille

En  l’espace   des neuf mois,

Pour abriter sorte de polichinelle

Nourrit par une bonne matrice d’elle.

Tête d’enfant ou de père se pose sur lui

En vue d’entendre de doux gargouillis

Père y entre, arrive enfant en sorte,

Élargissant passage bassin parfois.

.

Et si la mère retrouve ou non sa fine taille d’avant,

C’est sous rapport conformité, autant que de régime.

Ventre de femme devient pour et par nature légitime

Tandis que paternité peut être sujet à interrogation.

Caresser ventre femme peut déclencher spasme

Tant il se creuse, tord sans le moindre effort.

De quoi lui faire perdre le sud et le nord,

En suscitant un fort sensuel fantasme.

.

Ventre de femme est tout comme

Labyrinthe et matrice d’hormones,

Faisant, de nous, femmes, hommes,

Programmant  nos vies, en somme !

L’embrasser pour qu’elle nous cajole

En glissant jusqu’à son premier…  col

Marquet séparation ses deux versants.

En bas, son sexe, et en haut,  son rang.

.

Tout    homme   sera  né   d’une   femme,

En elles,  tentent de  retrouver une âme

Changent leur point de vue en flamme,

Et s’acharnent à consommer, en dame.

Un excellent oreiller à  rêver et dormir,

À poings fermés comme l’enfant, bébé,

Que l’on ait, sera, a précédemment été

Tandis que  caresse tresse un  sourire.

.

Il est petit et rond, sous son nombril,

Nous cache  une  forêt  de  symboles

Qui nous mènent grande farandole

À aimer  plus que soi, sein  fébrile,

Avoir vécu neuf         mois  …  en lui

On en garde des       souvenirs,  ravis

De bonheur, en       rien, comparable

À d’autre plaisir       rendu… coupable.

.

Caresser un ventre de femme, supplice

Lors, pénétrer ventre de femme : délice,

Pour peu qu’enserré fort  entre ses cuisses

Elle ne vous tienne,    tant qu’elle ne puisse.

Tant, en ventre de  femme  c’est tout à la fois,

Mont de Vénus      creux         au fond du bois :

Mont de Vénus      ruban       torse de Moebius

Et anneau qui se     fend          en un seul opus.

Bien que  nous  en soyons  ou sœur  ou frère,

Certains le tuent  lors d’autres, le vénèrent.

Ventre mou, ferme, plat, rond, débordant

L’enfant lui-même garde trace, nombril,

Qui formera un creux, en plein milieu,

Pour mieux nous rappeler nos aïeux.

.

.

Extensions

.

Ventre aussi pour se nourrir

Ou ventre   autant pour grossir

Sinon, un ventre      pour maigrir,

Ou ventre encore       pour   danser,

Ventre pour bron    zer bon soleil :

Lors tout serait permis avec lui,

Même en certaines   cultures

Danse du ventre séduction.

.

Un ventre de femme est moins gros, moins grand qu’homme

Et pourtant elle pourra y loger, un, deux et jusqu’à trois  bébés,

Et il suffira que son bassin soit assez large pour que le bébé passe

Un ventre n’est pas qu’un creux, c’est  aussi un vase  qui accueille,

Qui se remplit d’aliment, d’eau, de chair, de sang, voire d’enfant.

Et l’expression «y aller avec ses tripes» résumerait à elle seule

Un engagement total et sans retour de la personne motivée.

.

Comment passer d’un ventre plat ou grossesse

Et réciproquement ! La chair est très élastique

On le comprend mieux dans le sens de 9 mois,

Que en sens inverse, entre deux et trois mois,

Sauf pour celles qui pratiquent musculation.

.

Nous sommes sortis d’un ventre de femme,

On parle lors de reconnaissance du ventre,

Comme un retour à la source, à naissance,

Le point départe de toute notre existence,

Il y a différence lors on en sort  et y entre.

.

Entre  nous  soit dit, le ventre de la femme

Reste un coussin confortable  pour la tête :

Légèrement rond,  attrait supplémentaire ;

Bombé, reproduisant  des métamorphoses !

.

.

Épilogue

.

Le ventre de femme développe trois états :

Mince et musclé, gros et flasque, enceinte,

Mais ici on ne retiendra que la quatrième,

Objet, sujet d’attirance, séduction sexuelle.

.

On sait qu’aliment gras tombe sur hanches,

Plus que ventre de femme, d’où son régime,

Et que c’est l’inverse pour homme, non gêné,

Comme quoi, en cette matière …. Inégalités !

.

Ventre de femme serait un lieu de possessions

Dans de nombreux pays tout comme leur sexe,

Mais, Dieu merci, depuis la libération sexuelle,

Les femmes ont repris le pouvoir sur leur corps

.

Des frissons dans le ventre comme des papillons,

Nombre de femmes en font état lors de rencontre

Avec un homme qui les mettra en tous leurs états,

Le ventre serait un siège d’ émotions amoureuses !

.

Un point commun entre ventres femmes et hommes

Reste leur nombril, héritage de leurs accouchements

Et en même temps, le point qui les distingue le plus,

Le fait d’être enceinte, jalousé parfois par hommes.

.

Un ventre pourra être à vendre,  pour procréation

Non pas assistée mais pour contrat de grossesse,

L’on passerait là dans un domaine de l’éthique :

Est-ce à société commerce, justice, de statuer.

.

.

449 – Calligramme

.

Un ventre qui grossit

Double ou triple en taille,

En l’es  ô pace, neuf ô mois,

Pour abriter //sorte de polichinelle

Nourrit par    //    bonne matrice d’elle.

Tête d’enfant  // ou de père se pose sur lui

En vue d’entendre de biens doux gargouillis

Si père y entre ====  arrive enfant sorte

Élargissant bassin au passage parfois.

Et si la mère retrouve ou non sa fine taille d’avant,

C’est sous rapport conformité, autant que de régime.

Ventre de femme devient pour et par nature légitime

Tandis que paternité peut être sujet à interrogation.

Caresser ventre femme peut déclencher spasme

Tant il se creuse, tord sans le moindre effort.

De quoi lui faire perdre le sud et le nord,

En suscitant un fort sensuel fantasme.

Ventre de femme    V   est  tout comme

Labyrinthe, mat      E   rice   hormones,

Font de nous des     N  filles et hommes,

Programment nos    T   vies, en somme !

L’embrasser pour     R qu’elle nous cajole

En glissant jusqu’à    E   son premier…  col

Marquet séparation   *    ses  deux versants.

En bas, son sexe, et     F    en haut, son rang.

  Tout    homme   sera    E      né   d’une   femme,

En elles,  tentent de    M    retrouver une âme

Changent leur point   M    de vue en flamme,

Et s’acharnent à con   E    sommer, en dame.

Un excellent oreiller   *      à  rêver et dormir

À poing fermé  com    N    me l’enfant, bébé,

Que l’on ait, sera, a    O   précédemment été

Tandis que caresse    M   tresse un  sourire.

Il est petit et rond    B   sous son nombril,

Nous cache  une      R   forêt de symboles

Qui nous mènent   I   grande farandole

À aimer plus que  L   soi, sein  fébrile

Avoir vécu neuf         mois  …  en lui ……………..

On en garde des       souvenirs,  ravis ………………………………

De bonheur, en       rien, comparable  ………………………………………..

À d’autre plaisir       rendu… coupable.   ……………………………………………………

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Caresser un ventre de femme, supplice

Lors, pénétrer ventre de femme : délice,

Pour peu qu’enserré fort  entre ses cuisses

Elle ne vous tienne,    tant qu’elle ne puisse.

Tant, en ventre de  femme  c’est tout à la fois,

Mont de Vénus      creux        au fond du bois :

Mont de Vénus      ruban       torse de Moebius

Et anneau qui se     fend          en un seul opus.

Bien que  nous  en soyons  ou sœur  ou frère,

Certains le tuent  lors d’autres, le vénèrent.

Ventre mou, ferme, plat, rond, débordant

L’enfant lui-même garde trace, nombril,

Qui formera un creux, en plein milieu,

Pour mieux nous rappeler nos aïeux.  

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

449 4

.

Évocation

 .

Une tête, en haut, un torse, milieu

Mais un ventre de femme, en bas,

On peut voir un nombril : à chacun

De fantasmer pour lui ce qu’il voudra.

 .

C’est un nombril qui indique un ventre

Plus que tout le reste … s’il est bien plat,

Lors le bas de la forme approche le fond.

 .

Ventre de femme autour du nombril,

Entre bassin et poitrine :

Un ventre à la fois paradis et enfer

Et selon sa propre estime.

  .

 Symbolique

 .

Le ventre est notre cerveau émotionnel

Et nos intestins, lieu des émotions viscérales.

La taille représente  la capacité  d’engagement,

Et de décision face au monde en accord avec soi ;

Les hanches, mariage             famille et maternité ;

Les cuisses, la sécurité       o        plus bas la sexualité.

Quant au nombril, il est            singularité  du corps,

Qui inscrit en son centre la trace de sa naissance,

Coupure avec qui le précède : marque fabrique.

Modifié, source : chemindevie.net

.

Descriptif

 .

449Ventre de femme avec son nombril

Alignement central / Titre droit / Thème corps

Forme anthropo / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : ventre / Symbole de fond : nombril

.

.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

449 6

.

Au milieu du ventre, d’homme, femme, enfant

Une cicatrice du cordon ombilical

Qu’on a coutume de dénommé : le «nombril»

Faisant, parfois, référence à l’Ego.

 .

Symbolique 

 .

Concentré sur mon

Nombril : moi  jamais ?

Après tout, il est là,  existe bien

Bien qu’on l’ignore  le plus  souvent.

Et quand on le redécouvre, on peut être

Gêné de voir ce petit bout de chair qui

N’est ni vraiment trou, ni vraiment

Cicatrice, est-ce       mal   alors   de

Se regarder          o     le   nombril ?

Il est considéré          centre du corps.

Y faire attention, ce serait se concentrer

Sur soi au point d’en oublier les autres.

Alors on oublie le nombril, dénigré et rejeté.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La peur au  ventre, ou  l’estomac noué,

Intestins qui se sont bouchés, liquéfiés

Sert autre chose qu’à digérer aliment,

Émotions autant et régimes en yo-yo

L’on danserait aussi avec son ventre

Pour accentuer courbe des hanches,

Pour séduire au bal du … dimanche,

En montrant nombril, en tous lieux,

Prometteur de vous mener aux cieux !

.

Ventre-dieu voilà bien un coussin agréable

Pour y reposer sa tête sur son nombril !

Le ventre de femme est dit plat, en creux

Et lors attendant un bébé, il est bombé

Et il rime avec union et reproduction

En gonflant le fond, emplit la forme

Puis,  petit à petit elle se transforme

En autre chose, puis en autre forme,

Qui, a un destin de vie, mort, répond !

 .

Visuel

.

.

Un diamant pour nombril

.

Visuels et textuels  >> 

448 – Les seins de femme et téton

Visuels et textuels >>

 .

Ce

Sein,

Parmi les seins,

Ceux bien vénérés,

Ont la forme des fruits,

Pomme, poire, pèche, abricot

De toutes grosseurs : y en a lots ;

Allant du plus laid jusque plus beau !

Bon nombre s’en plaignent de le trouver

Trop gros trop  long, trop pointu, trop petit

Changent pour  des  faux : en silicone, garanti

En espérant que leur amant  n’y voit que du feu !

 Quand leurs tétons se dressent  sous leurs caresses,

 Vous n’êtes  plus très loin d’allumer le feu  aux fesses

Et lors vous  vous enfoncez  le nez, profond entre eux,

Méfiez-vous  qu’ils vous étouffent entre plein  et creux.

.

Souffle coupé, vous prévient

 Qu’en dévoilant leur douceur,

 En vos mains en soutiendrez.

Lors, ils se mettront   à deux,

 Pour  vous gonfler  leurs  yeux

   Pour assurer leur conversation.

    Petits ou gros, leurs dimensions

       Surprenantes pour l’appréhension

          De les tenir demain, dans vos mains,

               Se détachent d’une bien frêle silhouette,

                  La dessinant, la soutenant : très chouette !

                     Si, d’allure, ils vous pointent  leur maintien !

                        Tout près de vous, contre vous …  contre danse,

                            N’abusez pas d’attouchements, leurs tétons, anses,

                                Supporteraient mal les pressions qui les compriment.

                                    Pas question, pour une femme, qu’on les leur  supprime,

                                         De les voiler, les cacher, serait  volonté  qu’on   les  réprime.

                                     Laissez-les exprimer à leur guise, appétit qu’ils aiguisent,

                                Aiguisent à rendre fous les hommes d’humeur exquise

                           Par rondeurs qui se touchent, leur servent d’appât,

                      Y a rien pour eux de plus rond meilleur ici-bas.

                  Apprenez à bien les caressez… les englobant,

              En bouches que veux-tu, prenez le temps,

           Ces fruits d’amour d’enfant sont divins.

      Même s’il y en a et de toutes formes

  Vous ne trouverez aucun informe

 Car ces symboles sont humains.

Mais si cent mots les désignent

 Si cent soutiens les   soulignent

 C’est pour nous plaire, et bien !

.

.

Extensions

.

Chacun sait que les seins soutiennent

Ce qu’ils avancent avec une provocation

À leur simple vue ou leur simple évocation.

En tous cas il est sûr qu’en face de ce balcon,

On apprécierait souvent, en tant qu’homme,

Un plaisir de converser sans faux fuyant,

Pour peu qu’ils se penchent sur vous

Et bien plus encore s’ils expriment

Avoir un penchant pour vous.

.

 «Couvrez ce sein que je ne saurais voir» de Tartuffe, de Molière !

Pourquoi faire si c’est la nature qui l’a fait beau et pour allaiter.

Il y en a désormais des faux en silicone, opérations esthétiques

Et tant mieux si le mari, ou l’amant, les trouve sympathiques.

Les hommes en ont, en embryons et les gros avec hormones

Après, la manière de les soutenir, de les mettre en valeur

Dépend d’un tas de facteurs et de la vision qu’on en a.

Bonnets taille A, B, C, D, E,  F, coussinets, baleines

Il y en aura pour toutes et de toutes les formes.

.

Ne confondez pas le saint du matin

Porteur de prénom et le sein du soir,

Qui est porteur d’un tout autre espoir,

Pas seulement pour le bébé, qui a faim :

Un amant, bien qu’il en ait moins besoin.

.

On réalise aujourd’hui des opérations dites

Réparatrices,  substitutives, ou  esthétiques.

Comme pour  la chevelure, femme sans seins,

Se sent-elle complètement femme, elle-même :

Faut-il en passer en chirurgie pour être normale.

.

.

448 – Calligramme

.

.

Ce

Sein,

Parmi  les  seins,

Ceux  *  bien vé  *  nérés,

Ont la  S   forme des  F  fruits,

Pomme  E  poire, pèche, a  E   bricot

Toutes    I   grosseurs : y en a   M    lots ;

Allant       N  du plus laid au plus  M   beau !

Et celles    S     s’en  plaignant  de  le   E  trouver

Trop gros   *     trop  long, trop  pointu  :   ou petit

Changent    D     pour  des  faux : silicone   *   garanti

En espérant  ‘    que leur amant n’y voit que   F  du feu !

 Quand leurs U    tétons se dressent sous leurs   A  caresses,

 Vous n’êtes   N     plus très loin d’allumer le feu   C  aux fesses

Et lors vous   E      vous enfoncez  le nez, profond   E  entre eux,

Méfiez-vous   *     qu’ils vous étouffent entre plein   *     et creux.

.

P R O F I L

Souffle coupé, vous prévient

 Qu’en dévoilant leur douceur,

 En vos mains en soutiendrez.

Lors, ils se mettront   à deux,

 Pour  vous gonfler  leurs  yeux

   Pour assurer leur conversation.

    Petits ou gros, leurs dimensions

       Surprenantes pour l’appréhension

          De les tenir demain, dans vos mains,

               Se détachent d’une bien frêle silhouette,

                  La dessinant, la soutenant : très chouette !

                     Si, d’allure, ils vous pointent  leur maintien !

                        Tout près de vous, contre vous …  contre danse,

                            N‘abusez pas d’attouchements, leurs tétons, anses,

                                Supporteraient mal les pressions qui les compriment.

                                    Pas question, pour une femme, qu’on les leur  supprime,

                                         De les voiler, les cacher, serait  volonté  qu’on   les  réprime.

                                     Laissez-les exprimer à leur guise, appétit qu’ils aiguisent,

                                Aiguisent à rendre fous les hommes d’humeur exquise

                           Par rondeurs qui se touchent, leur servent d’appât,

                      Y a rien pour eux de plus rond meilleur ici-bas.

                  Apprenez à bien les caressez… les englobant,

              En bouches que veux-tu, prenez le temps,

           Ces fruits d’amour d’enfant sont divins.

      Même s’il y en a et de toutes formes

  Vous ne trouverez aucun informe

 Car ces symboles sont humains.

Mais si cent mots les désignent

 Si cent soutiens les   soulignent

 C‘est pour nous plaire, et bien !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

448 4

.

Évocation

 .

Un sein, à l’horizontal en haut ;

 La verticale, avec torse, en bas :

De quoi satisfaire tous regards,

Sans compter tous les appétits !

 .

Un sein vu de face, en haut et un autre

Vue de côté en bas, pour une plastique

Sans défaut d’un sein normal féminin.

 .

Des seins qui excitent tous les appétits

Pour vous mener vers d’autres paradis,

Affichant sa liberté sur avancée en pointe

Pour je ne sais de quel amant imaginaire !

 Symbolique 

 . 

Sein est l’organe contenant les glandes

        Mammaires de  femme, permet allaitement.

               Il est le symbole de la fécondité et de la féminité.

                    La mise en valeur des seins aurait, toujours, existé.

             Ainsi, les décolletés, les corsets, soutien-gorge,

Sont toujours un des moyens de mettre.

 La poitrine en valeur, plus attirante…….

Modifié,  source : 1001 symboles

 .

Descriptif

 .

448 – Sein d’une femme, face et profil 

Alignement central / Titre analogue / Thème sexualité

Forme en courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : seins / Symbole de fond : symbolique

.

.

Fond

..

Évocation

.

448 6

.

Des seins qui excitent tous les appétits

Pour vous mener vers d’autres paradis

Affichant sa liberté sur sa pièce monnaie

Dont je ne sais de quel pays imaginaire.

 .

Symbolique 

 .

Symbolique  de fond

.

Pièce symbolique

Un euro, un dollar, un franc

Est une petite valeur symbolique.

Donnée comme geste ou symbole, et non

Pour l’argent qu’il représente : ça permet que

La transaction  soit   véritablement  considérée

Comme un paiement, sans qu’il y ait, pourtant,

Véritable valeur associée tant la monnaie est

Le symbole de la richesse et de l’avarice,

De la communication et identité,.

Elle donnera du pouvoir à

Ceux qui la contrôle.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

« Couvrez-moi ce sein que je ne saurais voir !»

Cité dans Molière Le Tartuffe, III, 2 (v. 860-862)

Tel comportement attribué au dévot hypocrite

Résonne, encore, parfois, à nos oreilles, pour

Accabler la femme qui le montre en public

Lors il fait partie de la nature humaine

Et le voir ne nous met pas en peine !

Quant à les toucher, autre affaire :

Demandez d’abord propriétaire.

.

Un sein, deux seins, quoi de plus féminin

Quelque soient leur formes,  ils seront bien

Destinés à l’alimentation des bébés en tétées,

Qui riment l’un avec l’autre comme les mains,

Qui les caressent comme marque de tendresse

Lors les femmes les exhaussent en balconnet

Les hommes parlent de leur conversation

En les  reluquant  de toutes  les façons,

Ou les traitant comme gourmandise.

 .

Visuel

.

.

Corset pour cacher/remonter les seins

.

Visuels et textuels >> 

447 – Bouche de femme et sourire

Visuels et textuels   >>

.

La bouche, on y entre,

Comme en un antre,

En diable, diantre.

Et  l’on  y explore,

Sa cavité, tout or,

Et l’on en ressort

Riche d’humeurs

Coulant en saveurs,

D’amours … meilleurs.

Dents de blancheur nacrée

N’ont plus cette férocité,

Vous manger tout cru !

.

Elles croquent la vie

Comme  leurs envies

D’avaler  votre  émoi,

D’un sourire complice

Ou vous cracher dessus

Par un sourire narquois

Lors elle se colle à la vôtre,

Elle se fait langue… sangsue.

.

Lutines ou voire bien fines

Sinon  charnues,   sangsues,

Jusqu’à vous mettre à genoux.

.

Ou bien, avec une moue, pour dire

Son aversif dégoût, rictus à faire sentir,

Peur de rien du tout en autant  après tout

Un baiser dans le cou montrer amour fou

Bouche femme, antre explore où diantre

Il y a tous les désirs  et tous les plaisirs,

Qui vous soupirent qui vous respirent.

Bouche femme reste vrai pur cadeau

Qui ne manque de piquant, sel, eau,

Et reste ouverte à toute invitation,

À vous déclarer toute sa passion,

Dents sont  coupantes, acérées,

Sont prêtes à  mordre l’aimé.

.

Gardes toi de jouer sensations faussées :

L’un dans l’autre, bouches vôtres

Se collent ou se décollent.

.

.

Extensions

.

La langue, étant mobile, à souhait,

Vous délivre des paroles et des goûts

Qui vous mettent en joie ou en peine,

Selon l’humeur, voire selon la saveur,

Selon salives acides voire en douceurs.

En fente, en ovale, cercle, selon visage,

Peu d’organes humains qui changent

Autant de formes, et, d’expressions,

De manière réflexe, ou consciente.

L’air y entre, et le souffle en sort,

Comme la respiration profonde,

Venant des poumons ou ventre

Air de leur chanson font vibrer

Cordes vocales par résonance,

Sourire parfois énigmatique

Se dessine  sur leurs lèvres,

Ce dernier laisse entrevoir

Leurs pensées intimes, ou d’estimes, ou d’abîmes

De monde intérieur échappant au regard objectif.

La bouche est une porte d’entrée et de sortie :

D’entrée  pour se nourrir,

De sortie  pour se parler,

D’entrée pour un baiser,

De sortie  pour cracher,

D’entrée pour respirer,

De sortie  pour bailler.

.

Bouche, langue, dents, lèvres, palais, et, pour finir, sourire

Lors celui de La Joconde n’aura jamais fini de nous ébaubir.

Au goût de fraise en  haut, chocolat au milieu, piment en bas,

Chaque bouche  a son sourire : sucré,  acide, amer, voire salé !

Lors dix-sept muscles zygomatiques feront de la gymnastique

Pour nous faire sourire, il en faudra bien plus pour grimacer.

Notre bouche est donc autre chose qu’une simple ouverture.

Ferme les yeux, ouvre la bouche : signe de confiance totale

Et le baiser en « bouche à bouche », de fusion buccale !

.

Sourire naturel, amusé, complice, rieur, convenu,

Ou encore indescriptible, tel celui de La Joconde

La gamme des sourires est fournie, voire établie

Le sourire peut être positif, négatif, ou discret,

On parle d’un sourire moqueur voire de rejet.

Le sourire se lit et se renforce tout autant,

Dans les joues, les yeux, et voire le front,

Sourire franc et massif, on voit les trois

D’ailleurs ce que j’en dis me fait sourire.

Le sourire féminin est-il semblable au masculin ?

On est en droit de penser que non, il est plus subtil :

Les hommes prendraient-ils sourire pour soumission.

.

.

Épilogue

.

La bouche et le nez forme une unité

Qui communiquent pour leur entrée

Les yeux et les oreilles sont appairés,

Ils n’ont pas de lien direct entre eux,

Bouche débouche sur quatre univers.

.

Elle servira avant tout à se sustenter

Déchirer mastiquer, avaler aliments,

Elle est en lien avec finesse du palais,

Du gout du meilleur au plus mauvais.

.

Elle n’est pas nécessaire pour respirer

En cas d’un nez bouché,  elle y supplée

Entre la  glotte, épiglotte : air échangé,

Sauf si la gorge deviendrait trop enflée.
.

Elle est cavité de production de paroles

Avec les cordes vocales situées en gorge

Et aussi de sons musicaux et de chants,

Si ce n’est cris qui écorchent les oreilles.

.

Elle sera autant objet que sujet d’amour

Par le baiser d’amants qui s’aiment tant

Objet de séduction, surligné par un trait

Sublimant les sourires   comme jamais !

.

Des sourires, lèvres pincées,  et grimaces

Parlons-en : diversités,  intentionnalités !

Les messages des mimiques sont chargés,

Sont subliminaux si ce n’est inconscients.

.

Sourds-muets  lui accordent importances,

Sachant mieux que nous lire sur les lèvres.

Si nous, nous ajoutons le geste à la parole,

Ils substituent défaut de parole par geste.

.

.

447 – Calligramme

.

La bouche,   B    on y entre,

Comme en   O     un antre,

En diable   U     diantre.

Et l’on y    C   explore,

Sa cavité  H   tout or,

Et on en  E    ressort

Riche  d’   *   humeur

Coulant     F    saveurs,

D’amours     E    meilleurs.

Dents de blan  M  cheur nacrée

N’ont plus cet   M      te férocité,

Vous manger    E        tout cru !

*

Elles cro      L    quent la vie

Comme     O    leurs envies

D’avaler   R    votre  émoi,

D’un sou   S  rire complice

Ou vous cra  *   cher dessus

Par un sourire  S   narquois

Lors elle se colle  O  à la vôtre,

Elle se fait langue  U    sangsue.

             R

Lutines ou voire     I    bien fines

Sinon charnues     R     sangsues,

Jusqu’à vous met  E  tre à genoux.

.

*********************************

**********************************

.

Ou bien avec une moue pour dire

Son aversif dégoût ou rictus à faire sentir,

Peur de rien du tout ……..………. autant  après tout

Un baiser dans le cou ………….…………… montrer amour fou

Bouche femme, antre …………………………………… explore où diantre

Il y a tous les désirs  ……………….……….…..……………. et tous les plaisirs,

Qui vous soupirent ………………..……….……..…………….. qui vous respirent.

Bouche femme ……………..………..…..…………………. reste pur cadeau

Qui ne manque …………….….………………….. piquant, sel, eau

Reste ouverte  …………….………………. en invitations

À vous déclarer ……..…. toutes ses passions,

Ses dents sont coupantes  et  acérées,

Et sont prêtes à  mordre l’aimé.

.

*********************************

********************************

.

Gardes toi de jouer sensations faussées :

L’un dans l’autre, bouches vôtres

Se collent ou se décollent.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

.

Une bouche entrouverte en bas,

Surmontée  d’un  nez,  en  haut,

Et à l’intérieur …  une langue

Qui ne dit mot qui avale tout.

 .

Bon nombre de couches féminines sont

Ou plates ou gonflées, ovales ou rondes,

Ici, on fait figurer bouche, dents, langue,

Ce qui fait que la forme épousera le fond.

.

Une bouche humaine est orifice

En lequel, chose entre  et sort :

Il  y entre des aliments  et il en

Sort une langue, une parole !

 .

Symbolique    

 .

Bouche contient

La langue et les dents.

Faite de lèvres à l’extérieur.

De la bouche sortent sons, parole,

Elle permet de souffler, de s’alimenter,

De se désaltérer, parler, chanter, de rire,

De crier,  de hurler,  et même, de goûter :

À la naissance,  elle recevra son premier

Souffle d’air, le souffle  même  de la vie.

À la mort,  expulsera  dernier  souffle.

C’est le seul orifice de la tête qui soit

Unique. Les autres se regroupent

Toujours par deux, deux yeux,

Deux narines, et oreilles.

Dico des symboles

.

Descriptif

 .

447Bouche de femme lors un sourire

Alignement central / Titre serpentin / Thème sens

Forme en ovale / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : bouche / Symbole de fond : langue

.

.

Fond

.

Évocation

.

447 6

.

Une bouche humaine est orifice

En lequel, chose entre  et sort :

Il  y entre des aliments  et il en

Sort une langue, une parole !

 . 

Symbolique 

Qui ne s’est jamais amusé à se

Tirer sa langue devant la glace ?

Et pourtant, force est de constater

 Que cet attribut du corps humain,

Est  celui  qu’on dévoile le moins

Au public, symbolique :  langue

Serait comparée à une flamme

 Destructrice ou purificatrice,

Elle sera  l’organe  du goût,

Et elle sera, surtout, l’outil

Indispensable à la parole

Elle est dangereuse car

Permettra de parler,

 Dévoiler la pensée.

Source Wikireve

.

.

Corrélations

Fond/forme 

L’organe de la langue rime avec la fonction

De gustation, mastication et de phonation :

Trois fonctions pour une forme intangible :

Sans langue, rien ne va plus, on est muet

Quant à la tirer, perçu  répréhensible

Par la société, l’éducation, mœurs,

Bien qu’on dise prendre langue

Pour dire : dialoguer, parler

Ou encore pour négocier !

 .

Visuel

.

.

Bouche de femme amoureuse

.

.

.

Visuels et textuels   >>

446 – Yeux de femme et son regard

Visuels et textuels  >> 

.

Fut-il clair, ou sombre, ou noir :

Regard d’une femme,  sur vous,

Ne laissera jamais indifférent :

Les fenêtres de l’âme,  dit-on !

Portes du paradis  ou d’enfer,

Je vous en demande pardon :

Elles vous fouillent intérieur,

Ce qu’il y de mal  ou meilleur

Dans l’intention à leur égard.

.

Des diamants, comme joyaux,

Leurs yeux qui vous illuminent

Coupants comme des couteaux,

Leurs yeux qui vous assassinent.

Parfois insondables  ou facétieux,

Souvent rieurs, parfois  en pleurs,

Rarement, d’innocence, ou béance,

Entre la déception et le merveilleux.

.

Futiles, ces hommes qui prétendent que, leurs  yeux,

Sont, chez  les  femmes,  fenêtres   de   leurs  âmes.

Âmes en regards de femmes, parfois, facétieux,

Abusent aussi des regards  d’hommes infâmes.

Lors femmes, point, sont plutôt des diamants

Brillants si forts dans la nuit d’amours…fous.

Fous quand ils pénètrent et au fond de vous,

Vous déshabillent de leurs regards… béants.

Béants d’innocences  et  latences suprêmes,

Nul ne le sait … mais le sait-elle elle-même.

Même le blanc  de  leurs yeux,  tout  blême,

Contraste avec leur iris,  dilaté à l’extrême.

.

Extrême  regard, changeant, se modifiant

Fonction d’humeurs, ou lumières du jour.

Jour de leurs ébats, jour d’ébats d’amour :

Bien  qu’ils demeurent, le même, toujours.

Toujours même mystère, cherche à percer,

Vers où  elles  veulent me conduire  quand !

Lors elles s’activent à me séduire, me nuire :

Est-ce pour mon apparence, ma personnalité.

Personnalité est, en moi, difficile  à  entrevoir,

Mais elles prendront plaisir à la percer, le soir.

.

Soir contemplant mon âme en miroir sans tain

En féminin comme mienne fusionnant soudain.

Certains explorant jusqu’au fond de leur écrin :

Puits de lumière de ses yeux fermés, étincèlent.

Étincelle qui la distinguera d’autre merveilleux

Au pouvoir d’enchantement et au parfum divin.

Divin, ce regard intérieur qui épousera le mien,

Quand même, yeux fermés, on se voit aussi bien.

Bien que d’autres lumières nous soient plus utiles,

Celles de nos feux d’amour sont  loin d’être futiles !

.

.

Extension

.

Le regard peut être aussi,

Morne, vide, pour ne pas dire livide,

Autrement dit, sans aucune expression,

Sans intention, voire en tout cas difficile

Pour ne pas dire impossible à discerner.

On parle aussi de regards faux-fuyant,

Ou regards bas, dans les chaussettes.

.

Les yeux ne sont pas faits que pour voir

Ils sont là et tout autant, pour être vus.

C’est toute une vision de notre regard,

Qui se superpose à notre perception,

Comme signaux faibles, détectables

Par qui est attentionné et aimable

Les yeux parlent, ne mentent pas

Lors un sourire reste trompeur,

Et fermés, ne sont dormeurs !

.

Qu’y a-t-il donc  dans les regards des femmes

Pour certaines, un vide béant proche néant

Ou en tous cas indécelable, indécodable,

Pour d’autres, un reflet de soi-même

Qui renvoie une image déformée

Pour autres, profond mystère

Un trésor, jugé inestimable,

Énergie jugée inépuisable.

.

Jugé n’est pas  le bon mot,

Pour estimé, évalué, jaugé,

.

En gros on pourra le qualifier

De positif et voire  d’intéressé,

De bienveillant…compatissant,

De neutre, informatif, ou passif,

Quand il n’y aura pas d’accroche,

Abord interrogatif ou de méfiance,

Lors elle soupçonne une hypocrisie.

.

.

446 – Calligramme

.

Fut-il clair, ou sombre, ou noir :

Regard d’une femme,  sur vous,

Ne laissera jamais indifférent :

Les fenêtres de l’âme,  dit-on !

Portes du paradis  ou d’enfer,

Je vous en demande pardon :

Elles vous fouillent intérieur,

Ce qu’il y de mal  ou meilleur

Dans l’intention à leur égard.

.

Des diamants, comme joyaux,

Leurs yeux qui vous illuminent

Coupants comme des couteaux,

Leurs yeux qui vous assassinent.

Parfois insondables  ou facétieux,

Souvent rieurs, parfois  en pleurs,

Rarement, d’innocence, ou béance,

Entre la déception et le merveilleux.

.

Futiles,  ces   hommes   qui prétendent    que,  leurs  yeux,

Sont, chez  les  femmes,  Y   fenêtres   de   leurs  âmes.

Ames en regards de     E    femmes parfois facétieux,

Abusent aussi du     U    regard d’hommes infâmes.

Lors femmes       X     point, sont plutôt diamants

Brillants si forts  *   dans la nuit d’amours…fous.

Fous quand ils   D  pénètrent et au fond de vous

Vous déshabillent  E   de leurs regards…béants.

Béants d’innocences  *     et  latences suprêmes,

Nul ne le sait…mais le   F     sait-elle elle-même.

Même le blanc  de leurs  E     yeux,  tout blême,

Contraste avec leur iris,    M  dilaté à l’extrême.

Extrême regard changeant   M       se modifiant

Fonction d’humeurs, ou lumi   E     ères du jour.

Jour de leurs ébats, jour d’ébats   *      d’amour :

Bien qu’ils demeurent, le même,    E     toujours.

Toujours le même mystère cherche   N   à percer

Vers où elles veulent me conduire      *     quand !

Lors elles s’activent à me séduire    R  me nuire :

Est-ce pour mon apparence, ma  E  personnalité.

Personnalité est, en moi, diffi   G cile à entrevoir,

Mais elles prendront plaisir à  A  la percer, le soir.

Soir contemplant mon âme  R  en miroir sans tain

En féminin comme mienne D   fusionnant soudain

Certains, explorant  jusqu’au  * fond de leur écrin :

Puits de lumière de ses yeux   I   fermés, étincèlent.

Étincelle qui la distinguera d’ N   autre merveilleux

Au pouvoir  d’enchantement     T    au parfum divin.

Divin, ce regard intérieur qui     I   épousera le mien,

Quand même, yeux fermés on    M  se voit aussi bien.

Bien que d’autres lumières nous  E    soient plus utiles,

Celles de nos feux d’amour sont    *    loin d’être futiles !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

 .

Une tour escalier,

Une plateforme,

Une lanterne :

Yeux du phare !

Un phare pour sûr, n’a pas d’œil, d’yeux

Et pourtant, il éclaire, surveille, renseigne,

Fond et forme s’approchent de cette manière.

.

Les yeux d’une femme sont

Comme des phares qui rayonnent :

Parfois éteints, et parfois fixes,

Parfois secteurs, parfois tournants.

 .

 Symbolique 

 .

Le symbolisme

Du rêve de phare

Est très positif,

Représente la lumière

Qui guide les hommes :

Le phare indiquera  une

Direction, un sens sacré.

.

À l’instar  de toutes tours,

Il affirmera sa verticalité.

Cette construction possède

Cependant un sens opposé

Puisqu’elle reste faite pour

Être vue tandis que la tour

Est d’abord faite pour voir.

Phare est porteur de lumière.

tristan-moir.fr/phare

 .

Descriptif

.

446 Yeux de femme en regard intime

Alignement central / Titre serpentin / Thème sens

Forme droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : phare / Symbole de fond : yeux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Les yeux d’une femme sont

Comme des phares qui rayonnent :

Parfois éteints, et parfois fixes,

Parfois secteurs, parfois tournants.

 .

Symbolique 

 .

« Les yeux sont le miroir de l’âme »

Expression des plus métaphoriques, s’il en est.

Si, bien sûr, nos yeux nous permettent de voir

À l’extérieur, c’est aussi à travers eux

Que l’on perçoit, un tant soit peu,

Nos états intérieurs, émotions

Et sentiments, que nous vivons.

En outre, des yeux grands ouverts

Synonymes de curiosité et entrouverts,

De méfiance, ou de réserve ou de crainte.

.

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Ce que l’on voit ne dit rien à l’autre

De ce que l’on perçoit… entrevoit,

Lors si l’on projette ce qu’il voit,

Son regard, l’on interprétera,

Qu’y a-t-il de lui, et de nous,

Dans  de telles  additions,

Si ce n’est soustraction,

De vrai  et  d’erroné.

Et à lui imputer

Nul ne sait !

.

Rapprocher les yeux d’un phare, pourquoi pas

Surtout s’il peut contrôler à la fois, la direction

L’intensité et qui sait  l’intention d’un faisceau,

Lumineux comme celui des yeux, pour regard

Sur ce point regard et phare riment ensemble

Et leurs mobilités sont pareilles, il me semble.

Si la forme  du phare  n’épuise pas le regard,

Sa fonction le rapproche du fond au hasard.

.

Visuel

 .

.

Regard intime d’une femme 

.

Visuels et textuels  >> 

445 – Corps de femme, de tête au pied

Visuels et textuels >> 

.

Toucher l’autre,

De la tête aux pieds

Et chacun des membres

Chaque  endroit  ausculté,

Ayant sa propre  géographie.

Qui ne connait jeu du toucher

Parties de corps de femmes :

Reconnaitre la sienne.

.

Corps est poésie

Que l’on reconnait, ici,

Comme   unique, et  inscrit,

En creux de paume et voire de lit,

Futile, l’homme qui prétend qu’yeux

De femmes sont fenêtres de leur âme

Que penser d’yeux femmes, facétieux,

Qui abuseraient d’hommes infâmes.

.

La bouche est salée, ou sucrée,

Pour manger, pour avaler,

Ou, pour se sustenter,

Pour boire et sucer,

Pour se désaltérer,

Rire à pleine dents

Pour bien s’amuser

Sourires envoutants,

Pour … s’amouracher.

.

Quand  la  femme  soutient

Espoir des pleines rondeurs,

De deux seins à demi dénudés

Où souffle coupé vous prévient

Quand, dévoilant leur douceur

À pleines mains les caressez.

.

Les ventres de femme tout comme

Labyrinthes en matrice d’hormones

Font, de nous des filles, des hommes,

Elles programment les vies en somme.

.

Le dos d’une femme serait bien en fond

D’instrument de musique, violoncelle,

 En forme galbée et longiligne : rond,

  Creux épousant  des formes  belles.

.

Être femme, c’est avoir,  en l’air,

Des bras et des  jambes de race

Si premiers vous embrassent,

Les secondes vous enserrent.

Hommes regardent, d’abord,

Jambes, formes de tout corps,

Pour une démarche en accord,

Pour perdre pied dedans, dehors.

.

.

Extension

.

C’est souvent un petit détail

Qui les émeut et qui emportera

Leur choix préférentiel, séduction.

De la tête aux pieds, on peut détailler :

Au final c’est l’allure générale qui prévaut

Sinon il faut plusieurs pour en faire une idéale

Rassurez-vous, y a du choix pour tous les goûts

Malgré cela y en a qui ne trouvent rien du tout.

.

De la tête au pied  qu’on soit homme, femme,

Que de ressemblances, et que de différences !

Et ce qui nous distingue, par les apparences,

Formes du corps, muscle, sein, ventre, sexe,

Sert aussi à nous rapprocher et nous unir.

Si complémentarité des corps est visible

Et que celle des cœurs  est sensible,

Celle des esprits reste possible,

Celle des âmes est invisible.

.

Le comportement physique, voir physiologique

S’explique, se modélise, se réplique, s’anticipe,

Lors le comportement psychique se comprend,

On dit l’homme complexe, femme compliquée.

Allez vous y retrouver simplement en tout cela,

Médecins et psychologues ne convergent point.

.

Pour combler le manque de connaissance de soi

On a décrété que l’âme en était son supplément,

Sans savoir ce qu’elle contient ni ou elle se tient,

Mon bistouri n’a trouvé d’âme dit le chirurgien

Et pourtant j’ai tout ouvert et de la tête aux pieds

Tout religieux n’est pas d’accord, elle est invisible.

.

.

Épilogue  

.

Dix états sentimentaux, cordiaux, mentaux

En partant de nos cinq sens plus un sixième

Qu’on nomme  instinct ; septième, intuition,

Qui présume l’humain : simple ou complexe.

.

Un regard, une bouche, un nez, une chevelure,

Les mains, touchers, unions, le corps, l’énergie

Tout entre en la perception  d’amours d’autrui,

Sans qu’on en soit pour autant, bien conscient.

.

Le regard demeure  comme première accroche,

Bouches, dents et sourires : autant d’approches,

Le nez, front, joues, cheveux : beaux ou moches,

Corpulence, silhouette, allure, plaisent/clochent

***

Attendez, la bouche d’il/elle n’a pas encore parlé

Ce qu’il/elle dit  et sur quel ton, timbre, intensité

Peut parfois laissé  pantois, déçu, et voire, sidéré,

Tout comme émerveillé par sa profondeur d’âme

.

Si le flux étincelant des regards, n’a pas fusionné,

Simplement, des intérêts se seront ou non croisés

L’on n’a pas encore perçu les auras qui entourent

Ou non, deux êtres, en mal ou jouissance amour.

.

Un détail suffira parfois à attirer l’œil et l’esprit :

Des mains, attaches fines, un cou, nez, gracieux,

Augmenté, à l’inverse, par perception holistique

Qui évoque et provoque séductions réciproques.

***

Sens feront sensations, sensations font élections

Le sexe est dans le corps et l’âme à fleur de peau

Ils font passer du super  à l’hyper en pur poème,

Sans oublier leurs phéromones parfumant l’air.

.

La raison s’affole, déraille et finalement, se tait.

Son abandon laissera  sa place à belle intuition.

Bonne ou mauvaise, qu’importe,  elle est l’accès

À un impalpable, improbable, coupable amour.

.

Dès que je l’ai vu, j’ai su de suite que ce sera lui,

Coup de foudre et lors marié au premier regard,

Rien à détailler, rajouter : à prendre ou à laisser

Révélation, illumination, âme sœur … au choix !

.

.

445 – Calligramme

.

Toucher l’autre,

De la tête    aux pieds :

Chacun   Ô   des Ô  membres

Chaque endroit     //       ausculté,

Ayant sa propre   //     géographie.

Qui ne connait ce  jeu du toucher

Parts corps  ===   femmes,

Reconnaitre la sienne.

Corps est poésie

Qu’on reconnait ici

Comme  unique, et  inscrit,

En creux de paume et voire de lit.

Futiles, hommes prétendant qu’yeux

Des femmes : fenêtres de leurs âmes !

Que penser d’yeux femmes, facétieux,

Qui abuseraient d’hommes infâmes.

La bouche est salée, ou sucrée,

Pour manger, pour avaler,

Ou, pour se sustenter,

Pour boire et sucer,

Pour se désaltérer,

Rire à pleine dents

Pour   bien   s’amuser

Sourires  S  envoutants,

Pour … s’a  I  mouracher.

Quand la fem  X   me soutient

Espoirs de plei   *   nes rondeurs,

Ses deux seins à   P   demi dénudés,

Le souffle coupé    A       vous prévient

Quand dévoilant     R        leur douceur,

À  pleines  mains      T        les caresserez.

Les ventres de fem     I       me tout comme

Labyrinthes en ma      E       trice d’hormone

Font, de nous : des       S       filles,   hommes,

Elles programment      *       vies    en somme

Le dos d’une femme     D      serait bien fond,

Instrument    musi      E       que violoncelle,

 En formes galbées     *     longiligne, rond

  Creux épousant       T      formes    belles.

Être femme c’est  O    avoir  en l’air,

Des bras et des    N      jambes race

Les premiers       *     embrassent,

Lors  les secon   C  des enserrent.

Hommes regar  O  dent d’abord,

Jambes, formes   R     de ton corps,

Pour une démar    P    che en accord,

Pour perdre pied     S    dedans, dehors !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

445 4

.

Évocation

.

Un  pied de table tourné en bois,

Piédestal  pour  un pot de fleurs,

Silhouette  d’un  corps féminin,

Sinon voire d’un corps masculin

 .

Une forme toute en courbes et en rondeurs,

C’est celui d’une jeune femme, assurément,

Un corps masculin est plus carré, trapu.

.

Aimer de la tête aux pieds,

Le corps d’un être féminin

Quelles que soient  ses formes,

Qu’elles soient  fines ou grosses.

  .

Symbolique 

 .

«Le corps féminin»

N’existe pas plus que

«la femme».

.

Ce sont des corps pluriels

Qui changent avec l’âge,

Sujets et objets à la fois

Et trop souvent normés,

Avant même d’être subjectivés.

Étrange singulier corps féminin.

.

Il existe et surtout par la certitude

De son existence, et la certitude que

Ce corps reste montrable, utilisable,

Recouvrable, caressable, corvéable.

liberation.fr/debats/étrange-

singulier-du-corps-feminin

 .

Descriptif

.

445 – Six parties de ton corps de la tête aux pieds 

Alignement central / Titre droit / Thème corps

Forme anthropo / Rimes égales / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : féminin / Symbole de fond : masculin

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Aimer de la tête aux pieds,

Le corps  d’un être masculin

Et quelles que soient ses formes,

Qu’elles soient  fines ou grosses.

 .

Symbolique 

 .

Dans nombre de civilisations, le corps humain

Est perçu comme un modèle de l’Univers,

Et, voire même, d’un Dieu…  créateur.

Mais, il  existe,  en outre, une grande

Richesse symbolique qui concernent

Parties utilisées comme métaphores

Avoir du cœur,   avoir de l’estomac,

Avoir les épaules,  les reins solides :

Autant  à propos des tempéraments,

Des caractères ou attitudes humaines.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le corps est le lieu de toutes les projections,

De toutes les analogies, et les métaphores

Mais au moment du choix, ce n’est pas

Toujours l’ensemble qui prévaudra

Mais un détail, visage, mains, cou

Dos, courbes, jambes, chevilles, etc.

Et on ne sait pourquoi, l’emportera !

Parfois même c’est le teint, la rousseur

Si ce n’est des cheveux, noirceur, blondeur.

.

Le corps d’une femme est poème à lui tout seul

Rien d’étonnant dès lors qu’il rime avec  amour

De temps en temps il pèse trop sur les formes

Ça se ressent à pleines mains lors elle baise

Pour autant, ce n’est jamais tant la forme

Qui compte, que le fond et dans l’amour

Le face à face s’avère souvent gagnant

Sauf pour ceux qui ne s’élèveront pas

Au-dessus de la ceinture : rien en tête.

 .

Visuel

.

.

Homme de Vitruve De Vinci

.

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