1194 – Douze suicidés sous trains : triste bilan !

Voir ce poème en prose

.

Le suicide est un acte extrême,

La mort étant la décision suprême,

Prise par les autres et en requiem,

Et bien plus rarement en soi-même.

.

Car on laisse son entourage sidéré

Par  une  incompréhension totale

Même pour certains culpabilisés

Par un manque  d’empathie fatale.

.

Ne parlons pas courage, lâcheté,

Le suicide est  en deçà des mots,

Le suicide est au-delà des maux,

En tous cas,  un geste désespéré.

.

Douze suicidés  sous  les  trains

Un triste bilan, d’un  week-end,

De la Pentecôte,  où des apôtres

Douze langues  de feu, sur têtes,

Viennent apporter Esprit Saint.

.

Langue  de  feu  est autre nature,

Que celle de rail qui tronçonnera,

En   deux, toute  belle  personne,

En plein  marasme «no futur»

.

Quelle cause à un tel acte,

Acte des plus désespérés !

 .

Nul ne le sait  nul vraiment

Hormis traces de cet impact

 .

Sur voyageurs tous retardés,

Sur employés émoti-on-nés,

 .

Et  sur médias  en  amplifiés,

Donnant grains forts, méditer

 .

Dix mille par an de   suicidés,

Une petite ville en éradiquée,

 .

Sans parler ceux qui se ratent,

Sans parler ceux qu’on rattrape.

.

 .

 Extension

 .

J’imagine mal, pour moi, ce scénario

Où je m’allongerais sur les rails et je verrais

Le train  approcher de moi  à toute vitesse, sans

Possibilité de freiner à temps sans pouvoir me relever,

M’éclipser, tant déjà mort je serais dans ma tête n’espérant

Que plus rien de bien ne peut m’arriver, qu’il faut donc en finir.

.

Peut-on parler, d’inconscience ou de courage ou au contraire

De lucidité ou lâcheté ? Ce n’est pas à moi de le déterminer

Mais si chacun dispose de son corps, de sa vie, son âme

Comme il l’entend, son suicide, mis en scène ainsi,

Déchiqueté, porte quelque part atteinte société

Et par là à son empathie et sa responsabilité.

.

Il y a plus discret, avec ou sans lettre

D’explication, d’excuse, voire de pardon,

Il y a plus spectaculaire comme l’immolation,

En Place publique, par le feu. Il existe des ouvrages

Qui montrent cent façons de mettre fin à ses jours.

.

Et idem il y a cent raisons et aucune de passer

À l’acte et le réussir tant nombre tentatives

«Appel au secours» ou «ratages» seront

Parait-il, dix fois plus nombreuses.

Encore faut-il intervenir à temps

Et avant qu’il ne soit trop tard.

.

Suicide sous un train : aucune chance se rater,

Chance de s’éparpiller déchiqueté en morceaux

Et ce ne sera guère mieux en voiture qu’à pied !

 Pourquoi  en arriver là, sans accident  imprévu :

Sans doute parce qu’une pression sur le cerveau

Donne à penser que, la vie, la sienne, est  foutue,

Le train et l’auto et le piéton déraillent ensemble.

En outre, une publicité de son suicide est assurée,

D’avantage  que  s’empoisonner  ou se défenestrer.

.

De mettre, soi-même, fin à ses jours,

Est  événement des plus dramatiques,

Sous un train : dimension médiatique,

Questionne courage, lâcheté, toujours !

.

Si vrai qu’un suicide, prenant du temps,

Peut être pire sur le plan psychologique,

L’absence de parole conduit à l’errement

D’en finir avec l’absence de voie oblique

.

Sans parler du trauma d’un conducteur

Voyant une forme humaine entre rails

Mais ne pouvant s’arrêter à temps,

Pour empêcher geste désespéré.

.

.

Épilogue

.

Tous  les suicides … sous des trains,

Sont comme des vies qui déraillent,

Ils ne savent plus où ils veulent aller

N’ont envie aller nulle part : en finir.

***

Mort atroce …. Parce que démembré,

Mort spectaculaire  …  bien en public,

Mort brutale… en un grand désespoir,

Mort retarde train, suspend le temps !

***

On imagine l’horreur que de voir un train

Arriver en pleine vitesse, ne pas vous rater,

Plus de corps entier pour célébrer son deuil,

Article dans les journaux : à quand le suivant.

***

Douze suicides dans le week-end de la Pentecôte :

Douze vies sous forme de renoncement à toute vie :

Quand d’autres se jettent d’une fenêtre ou d’un pont,

Est-ce bien le plus court chemin pour joindre paradis.

***

L’on aurait beaucoup parlé, écrit, scénarisé les suicides,

Or  tous ceux qui en ont été candidats, n’en ont eu  cure,

D’autres formes de suicides ratés sont appels au secours,

Mais il ne faut trop crier au loup, au risque de se louper !

.

.

1194 – Calligramme  

 .

D

Le suicide est       O  un acte extrême,

La mort étant la     U   décision suprême,

Prise par les aut       Z     res et en requiem,

Et bien plus rare       E    ment en soi-même.

Car on laisse son        *         entourage sidéré

Par  une   incom        S        préhension totale

Même pour cer          U        tains culpabilisés

Par un manque          I         d’empathie fatale

Ne parlons pas,          C          courage, lâcheté,

Le suicide est              I          en deçà des mots

Le suicide est             D         au-delà de maux,

En tous cas, un           É          geste  désespéré.

Douze suicidés            S            sous   les  trains

Un triste bilan,            *             d’un  week-end,

De la Pentecôte,          S             où  des  apôtres

Douze langues            U           de feu, sur têtes,

Viennent appor          R           ter Esprit Saint.

Langue  de  feu          *           est autre nature,

Que celle de rail         R         qui tronçonnera,

En   deux, toute         A          belle  personne,

En plein  maras        I           me «no futur»

L

****************************

****************************

.

Quelle cause .…. W…… à un tel acte,

Acte des plus …… E ..…. déses-pérés !

E

Nul ne le sait  …… E ..……nul vraiment

Hormis traces …… K ..…. de cet impact

 

Sur voyageurs ……. E …..… tous retardés,

Sur employés ……… N …….. émoti-on-nés,

D

Et sur médias ………. * ..……… en  amplifiés,

Donnant grains …….. B .………. forts, méditer

I

Dix mille par an …….. L …………. de    suicidés,

Une petite ville ………. A ….…..…. en éradiquée,

N

Sans parler ceux ….….. * ……..…… qui se ratent,

Sans parler ceux …………………..  qu’on rattrape.

.

 .

Forme

 .

 Réduction

.

.

Évocation

.

1194 4

.

Une forme de wagon

Roulant …rapidement,

Sur les rails d’un train,

Qui pourrait vous suicider

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

.

Les rails  et le train  vont  de pair

il n’y a que l’homme qui déraille

quand il  veut se jeter dessous

et ainsi fond écrase forme

.

Un train, des rails, danger de mort,

Quasi-certitude :

Qui en réchapperait, lors le corps est

Mutilé, démembré.

.

Symbolique

 .

Train a pris

Dans les dessins

Et les rêves d’enfant,

Tout  comme  des adultes,

Importance égale à celle cheval

Et de la diligence des siècles passés.

Dans l’expérience et l’analyse des rêves,

Le train s’inscrit parmi symboles d’évolution,

Le train des rêves est l’image de la vie collective,

Du destin qui nous emporte. Arriver en retard,

Manquer le train ou monter dans le train,

À la dernière seconde, autant de rêve

Qui indiquent que nous avons

Laissé passer l’occasion.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1194 6

.

Un train, des rails, danger de mort,

Quasi-certitude :

Qui en réchapperait, lors le corps est

Mutilé, démembré.

.

Symbolique

 .

Indissociables  du  symbolisme  des  trains,

Les rails représentent les chemins fixes de la vie.

Ces chemins sont toujours des chemins importants,

Des voies déjà dessinées, tracées ou établies que nous

Devons emprunter à un moment de notre vie. Lors on

Est sur les rails, il est très difficile de s’égarer, s’écarter

De sa route. Quand on s’engage  sur des rails, c’est une

Voie sûre que nous prenons, un schéma de vie qui doit

Nous amener à progresser, à avancer dans un sens.

Source : tristan-moir.fr/rails

 .

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Se jeter sur les rails pour se faire écraser,

Quelque chose déraille et c’est pas le train

Il s’arrête en serrant, et à mort, les freins

Et je ne vous dirai pas l’état du… suicidé !

Vous êtes bon pour deux heures de retard

Le temps que tout soit contrôlé et dégagé

On ne vous dit rien de cette victimation,

Dont personne ne connait varie raison,

Vous pensez qu’il y a d’autres endroits,

Pour venir finir votre vie, hors d’effroi

D’être  disloqué, broyé : chair  à pâté,

Avec reste corps difficile à identifier.

 .

.

Faire face au choix de son destin ?

 .

Scénario

  .

On se doute bien en regardant cette image, qu’il y a eu un drame,

là, un autre suicide, dans une station de Métro, et  en pleine ville,

là, c’est une voiture  qui s’est faite percutée au passage à niveau !

.

Voir ce poème en prose

310 – Voyage en train et avec entrain

Visuels et textuels >>  

.

Le train,

Nous mène,

D’un point de départ

À  un  autre : l’arrivée.

L’arrivée peut illustrer

Une fin de parcours,

Sinon  une étape,

Même de… rien.

.

La vie continue,

Sur son chemin,

Qui nous ballade

En tous les points

Pour notre  … mal,

Ou pour  notre bien.

.

Lors  parfois,  le train,

Reste un temps astreint,

En un lieu aussi contraint,

Où, l’on côtoie des voyageurs,

Débarquant autre gare…ailleurs.

.

On  bavarde, on lit,  on se … regarde,

On écrit et mange sans prendre garde

Aux temps,  aux  paysages  qui  passent

En  comptant  les arrêts  jusqu’au sien.

.

Le  train, comme  tous   les  transports,

Stimule  le   cerveau  et  l’imagination :

On  ne se déplacera  pas   sans   penser,

Au lieu  de départ  et  au lieu d’arrivée !

.

Et l’on se prend même, parfois, à rêver,

Que ce train brulera toutes les stations,

Et qu’il n’y aurait plus de destinations :

Pas plus, au sud, est, ou ouest, ou nord.

.

Qu’il en serait devenu …  extraterrestre,

Nous mènerait aux confins de l’Univers

Pour peu qu’il y en ait, comment savoir

Et que l’on puisse, vivant, les atteindre.

.

Le train … comme tous les transports,

Peut être sujet à variation d’horaires,

Partir à l’heure et arriver en retard,

Être à moitié vide  ou  archiplein,

Être face  à  un  suicide, panne,

Obligé à changer  une rame.

.

Le train-train, quotidien

Devient vie de chien

Cela dit on y dort

On  y  mange,

Et s’aime

Bien

V

.

.

Extensions

.

Voyager en train, certains aiment bien,

D’autres, moins, autre pas : cela dépend

Des expériences, des attentes de chacun.

Comme  en  tous transports  en commun.

.

On est un peu comme colis qu’on déplace

Et la place à l’intérieur, pour se déplacer

Est plus que limitée, plus que partagée.

.

«Train pour la vie» et «train de la vie»

«Train de vie», n’ont rien, en commun,

Si ce n’est des rails réels ou bien fictifs,

Sur lesquels on avance en sachant bien

Où l’on va ou bien l’on y va, malgré soi.

.

L’imaginaire relatif au train, est infini,

De même que  le nombre  de ses arrêts,

De ses destinations et de ses occupations.

.

Train de jour ou de nuit, wagons en sièges ou en couchettes,

Wagons restaurant, plateaux repas, à la place, casse-croutes.

Le voisinage est parfois plaisant, parfois ennuyeux, bruyant :

Les téléphones sonnent, consonnent, bavardages résonnent :

On somnole plus qu’on ne dort, et le contrôleur vous réveille

En plein rêve ou cauchemar : dieu, où ai-je mis mon billet :

Je ne le sais plus, ne le trouve plus et où sont mes bagages.

.

Prendre le train n’a plus rien à voir avec train-train quotidien

Qui rappelle le célèbre slogan de  manifs «métro, boulot, dodo».

Avant, la SNCF ne parlait que de transports, d’une gare à l’autre,

À présent, elle vous invite à un voyage agréable, et voire, lointain !

Il est vrai que le confort et la vitesse se sont grandement améliorés,

Et que l’on peut s’occuper, si ses voisins ne sont pas  trop bruyants.

Ce que je préfère c’est le train de nuit avec couchette pour dormir

Le bruit régulier du train, sur les rails, et l’exiguïté de la cabine,

Donnent impression d’intimité, de distance, puissance à rêver.

.

Le train n’est pas la panacée :

Il ne dessert pas tous les coins,

En Bretagne il ne fait que tour,

Pour la traversée, voir autobus.

.

J’ai connu des Michelines, diesel,

Lentes, polluantes, inconfortables :

60 kilomètres/heure : vrai escargot,

Le temps de dix belottes au bas mot.

.

Ou regardais par la fenêtre le paysage

Défiler avec parfois des vaches en près.

Aujourd’hui, elles ne lèvent plus la tête,

Tant ça pourrait faire leur lait, tourner.

.

.

Épilogue

.

Si vous voulez sortir de votre train-train quotidien,

Prenez donc le train, et cela de nuit comme de jour.

Telle expression, dont on ne connait l’origine exacte

Évoque la routine, l’allure toujours égale, répétition.

***

Qu’importe, passons : échange monotonie  et entrain,

Et là, l’on ne s’ennuierait pas, l’on ne s’ennuierait plus

Mais comment faire : il s’agit de bien dormir, en train,

Train-train, entrain, au train où vont les choses, perdu.

***

Il est vrai qu’une fois dedans, on est pris par la vitesse,

Question train-train, vous repasserez, bientôt arrivés :

À peine le temps de se reposer la tête sur son oreiller,

Le temps d’un rêve, en Train bleu ou Transsibérien.

***

Dans un train, on peut lire et peut s’occuper,

Êtes tranquille : personne pour … déranger,

Il bouge à peine, a des sièges confortables,

Des heures comme en une bulle, capable.

***

Avec entrain pour ceux qui préfère

À tout autre moyen de transport,

Ayant pour tous, un imaginaire

Qui en inconscient serait d’or.

.

.

310 – Calligramme   

 .

Le train,

Nous mène,

D’un point de départ

À  un  autre : l’arrivée.

L’arrivée peut illustrer

Une fin de parcours,

Sinon  une étape,

Même de… rien.

UN

La vie continue,

Sur son chemin,

Qui nous ballade

En tous les points

Pour notre  … mal,

Ou pour  notre bien.

VOYAGE

Lors  parfois,  le train,

Reste un temps astreint,

En un lieu aussi contraint,

Où, l’on côtoie des voyageurs,

Débarquant autre gare…ailleurs.

EN TRAIN

On  bavarde, on lit,  on se … regarde,

On écrit et mange sans prendre garde

Aux temps,  aux  paysages  qui  passent

En  comptant  les arrêts  jusqu’au sien.

Le  train, comme  tous   les  transports,

Stimule  le   cerveau  et  l’imagination :

On  ne se déplacera  pas   sans   penser,

Au lieu  de départ  et  au lieu d’arrivée !

AVEC UN BEL

Et l’on se prend même, parfois, à rêver,

Que ce train brulera toutes les stations,

Et qu’il n’y aurait plus de destinations :

Pas plus, au sud, est, ou ouest, ou nord.

Qu’il en serait devenu …  extraterrestre,

Nous mènerait aux confins de l’Univers

Pour peu qu’il y en ait, comment savoir

Et que l’on puisse, vivant, les atteindre.

ENTRAIN   

Le train … comme tous les transports,

Peut être sujet à variation d’horaires,

Partir à l’heure et arriver en retard,

Être à moitié vide  ou archiplein,

Être face à un suicide, panne,

Obligé à changer une rame,

Et train-train, quotidien

Devient vie de chien

Cela dit on y dort

On  y  mange,

Et s’aime

Bien

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

310 4

.

Ça ressemble plus

À  une  grande  fusée

Qu’à un long train actuel ;

Peut-être : un train du futur ?

.

Un jour, qui sait, des trains ressembleront

Peut-être à une fusée:

Mais en attendant de filer à 900 à l’heure :

300, c’est déjà pas si mal !

.

Symbolique

.

Le rêve de fusée

Est un symbole qu’on

Rencontre, souvent, dans

Des rêves d’enfant, de garçon.

Représente énergie permettant

De s’élever pour aller conquérir

Nouveaux espaces ou horizons.

C’est le  symbole  du  courage,

De la curiosité et de l’action,

La  rapidité, et  l’efficacité,

De l’ouverture d’esprit et

Du besoin découvrir

Vaste monde qui

Nous entoure.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/fusee

.

Descriptif

.

310 – Voyage en train avec un bel entrain   

Alignement central / Titre intercalé / Thème  transport

Forme en ovale   / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : fusée   /  Symbole de fond : train

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Un jour, qui sait, des trains ressembleront

Peut-être à une fusée:

Mais en attendant de filer à 900 à l’heure :

300, c’est déjà pas si mal !

.

Symbolique

 .

Le train a pris

Dans les dessins, rêves d’enfants,

Comme des adultes, importance égale

À celle du cheval, la diligence des siècles passés.

.

Dans l’expérience et l’analyse des rêves, le train s’inscrit

Parmi symboles de l’évolution, à la suite des serpents, dragons.

.

Le train des rêves est l’image de la vie collective, du destin

Qui nous emporte. Arriver en retard, manquer le train,

Monter dans le train à la dernière seconde,

Autant de rêve qui indiquent que nous

Avons laissé passer l’occasion.

 . 

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le train, le TGV, fonce 

Comme  une  vraie fusée,

Lors à trois cent à l’heure

Logeant l’autoroute on voit

Les automobiles, trainasser.

Cela change du train-train,

Que l’on appelle quotidien,

En promenant son chien.

Ici, tout va vite, sécurisé

À peine parti que déjà,

Bientôt parle arrivée

C’est bien ça, fusée

À ne pas rater !

 .

.

Train à vapeur, panache de fumée

.

 Scénario

.

 Nous voici attendant le train, avec bagage sur le quai de la gare,

Nous voilà assis dans le train, et sur de confortables fauteuils,

de nuit, en couchettes, avec une ambiance calme, garantie.

 .

Visuels et textuels >>  

.

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