368- De ci de là, de ville en ville, d’hôtel en hôtel

Visuels et textuels  >>  

.

Tout voyageur est routard

Quelque temps, quelque part,

Est chez lui partout, nulle part,

Dès son arrivée pense au départ.

.

Il effleure le cours du temps,

Il affleure le cours du vent

Il va, vient… il demeure

Semaine, jour, heure.

.

Rencontre tribune,

Quelqu’un, quelqu’une,

L’opportunité opportune,

C’est sa plus grande fortune.

.

De ci de là,

De ville en ville

D’hôtel  en hôtel.

D’un jour à l’autre,

De temps  en temps,

D’un point à un autre.

Cette litanie de, et d’un,

En fait sourire plus d’un :

Comme si faire mouvement

C’était vivre  à plein   temps.

Il y a  d’autres  transport, qui

Se font, sur place, de joies qui

Suffisent  à remplir  un temps

De ce qui comptera de vivant.

Autant en emportera le vent

À  tout perdre, finalement.

Voilà, parfois,  comment,

On s’en va,  par devant,

D’un point à un autre

De temps  en  temps

D’un jour à l’autre

D’hôtel en  hôtel,

De ville en ville

De ci   de là

Et  ainsi

Soitil

vvv

.

.

Extensions

.

L’errance consiste à se croire

Chez soi partout, et nulle part,

Et vouloir être toujours ailleurs

C’est la maladie de la nouveauté,

Fondé que la chance de rencontre

De bifurcation, de renouvellement.

.

Ne pas s’ancrer, pas laisser de traces

Derrière soi, rester comme neuf, ouvert,

Opportuniste or ailleurs c’est la même chose.

Ce n’est pas le décor qu’il faut changer, varier,

C’est soi-même et en plus, de fond en comble.

.

Et cela, si l’errance peut certes y contribuer,

Elle ne suffira pas pour se métamorphoser.

Le nomadisme est une culture et pratique

Qui ne s’improvise, faut des générations

Pour s’y plaire, voire s’y complaire.

.

L’errance est à la fois la recherche

D’aventures, d’émotions, d’adrénaline

Fuite en avant oubli problème existentiel

D’où l’expression populaire : il traine avec lui

Une valise de problèmes au point qu’on ne sait pas

Qui il est vraiment, qu’il vaut, attend de nous, de la vie.

.

Aller, c’est partir ; aller c’est revenir !

Avec, dans ses bagages, et, dans sa tête,

Le plein de souvenirs, et  de nouveautés :

Comme si on était  dans le cadre  de la télé,

Et non devant comme simple consommateur

De lieu en lieu, de ville en ville, de port en port

Que ce soit … vers le sud, l’ouest, l’est, ou le nord

Il y aura, toujours, quelque chose qui marque fort,

Bousculera son quotidien avec tout son train-train !

.

Si l’important n’est plus la finalité

Mais le chemin, se mettre en route

Devient comme sorte de pèlerinage,

Où on verra bien ce qu’il adviendra.

.

Or à vouloir voyager partout, on finit

Par n’arriver nulle part : pas de bout.

Il faut croire que pour rester debout,

De temps à autre, faut s’arrêter, fixer

.

Le voyage finit par devenir une fuite

Comme ces bourlingueurs des mers,

Une fois qu’ils ont posé pied, à terre,

Ne pensent qu’à reprendre… la mer.

.

.

Épilogue

.

Aller de ville en ville, hôtel,

Sans but, sans projet précis,

C’est vrai,   il n’y a rien de tel,

Pour  ne rien mettre  à  profit !

***

Ce n’est pas  que  toutes les villes

Se ressemblent : sont  différentes,

Ce serait comme d’aller d’ile en ile

Et de penser toujours à la suivante.

***

De temps à autre,  il faudrait se poser

Quelque part, pour ne pas  être  perdu

En dédales de tous souvenirs  amassés

Et se retrouver  comme pauvre  et  nu !

***

Pauvre  de  ses  sensations,  impressions,

Nu  de  ses trajets, distances  parcourues,

L’errance n’est pas  une fuite  en inconnu,

Souvenirs  ne tiendront  qu’avec passions.

***

Chaque voyage, chaque visite, chaque séjour

Doit être pareil que trouver un nouveau bijou

Même si l’on ne les porterait pas tous, au cou,

Ils nous rappelleront notre vie, certains jours !

.

.

368 – Calligramme

 .

Tout voyageur est routard

Quelque temps, quelque part,

Est chez lui partout, nulle part,

Dès son arrivée pense au départ.

 .

Il effleure le cours du temps,

Il affleure le cours du vent

Il va, vient… il demeure

Semaine, jour, heure.

 .

Rencontre tribune,

Quelqu’un, quelqu’une,

L’opportunité opportune,

C’est sa plus grande fortune.

.

De ci   D   de là,

De ville E en ville

D’hôtel    * en hôtel.

D’un jour  C   à l’autre,

De temps    I    en temps,

D’un point    *        à l’autre.

Cette litanie    D      de et d’un,

En fait sourire E      plus  d’un :

Comme si faire  *     mouvement,

C’était vivre à     L    plein   temps.

Il y a  d’autres     À    transport, qui

Se font sur pla     *    ce de joies qui

Suffisent à rem   V   plir  un temps

De ce qui comp   I   tera de vivant.

Autant en empo L   rtera le vent :

À tout perdre    L     finalement.

Voilà parfois    E      comment,

On s’en va       *    par devant

D’un point        à l’autre

De temps    N  en temps

D’un jour  *  à l’autre

D’hôtel   V     hôtel

De ville I     ville,

De ci   L  de là

Ain    L      si

Soit il !

vvv

HÔTEL

EN HÔTEL

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

368 4

.

Une pointe de quelque chose

De lance, de flèche, de couteau

Joyau, bijou avec une attache 

Et pourquoi pas une décoration ?

Que  ce  soit un joyau  ou un bijou,

Aucun lien avec : aller de ci, de là,

Ils  ne se  déplacent, juste suivent,

Si fait que forme  diffère du fond.

Un joyau par ci, un joyau par-là

Lors il y aura autant de bijoux

Que villes extra, exotiques,

À visiter dans le Monde

.

Symbolique 

.

Joyau et bijou viennent de Joie,

Substantif du verbe Jouir : par un affinement,

Il s’étend de l’appel des sens aux aspirations de l’esprit.

.

Ce n’est que par excès de moralité que l’on fait du bijou

Un symbole de la vanité des choses humaines et désirs.

Des légendes prétendent que les pierres précieuses

Naissent dans la tête, dent, salive des serpents

(Émeraude)  comme la perle de l’huître.

.

C’est aussi pierre travaillée, montée,

L’œuvre du joaillier et de l’orfèvre,

Ainsi que de la personne qui le

Commande ou qui le choisit.

.

Bijou finit par symboliser

Personne qui le porte

Et la société qui

L’apprécie.

.

Descriptif

 .

368 – De ci de là, ville en ville, hôtel en hôtel

Alignement central / Titre droit / Thème  voyage

Forme ovale / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : joyau / Symbole de fond : bijou

.

.

Fond

.

Évocation 

.

368 6

.

Un bijou par ci, un joyau par-là

Il y aurait  autant de bijoux

Que villes extra, exotiques,

À visiter dans le Monde.

.

Symbolique 

 .

Les bijoux traditionnels Africains

Peuvent présenter plusieurs formes

Même s’ils ont une essence commune.

.

Cette diversité dans la création des bijoux

Et dans leur présentation s’explique par

Le nombre important de peuple,

De village et de population

Qui constitue la nation africaine.

.

En effet, chaque village, chaque région

Possèderait une culture qui lui est propre

Et celle-ci se transmet dans la création

Des bijoux en question.

bijouexotique.com/les-bijoux-traditionnels-

africains-charges-de-symbolique-et-d-histoire

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il est considéré comme dangereux

Et voire suspect d’avoir des bijoux,

Sur soi à l’étranger ou ses bagages

Toutefois, au cas où, ils deviennent

Monnaie d’échange, pour survivre

Ou pour se rapatrier en son pays.

.

C’est, bien sûr, la dernière chose

Qu’on vend, nous appartenant.

Au cas contraire, on peut être

Considéré comme trafiquant.

 .

.

puis d’itinérance vers l’errance

.

Scénario 

.

  Aller de ci, de là…

Allez de ville en ville…

Aller d’hôtel en … hôtel…

Visuels et textuels  >>  

355 – Gérardmer serait-elle une ville prédestinée !

Visuels et textuels >> 

.

Station balnéaire

Et aussi  lingère,

Fréquentée  l’été

Comme en hiver.

.

Ville  Gérardmer,

Dans  son bel écrin

De verdure apprêtée

A comme un air divin

Près d’eau, sans marin,

Sans marée  et sans mer.

.

La ville respire   grand air,

Entourée  de forêts de sapins

Qui colorent ses monts de verts,

Comme tous les coteaux vosgiens :

On s’y rend, on s’y plait, on y revient

Gérardmer, ville dont on se souvient !

.

Je me souviens, d’y avoir été, en hiver,

Il y a déjà longtemps, pour faire du ski,

Mes enfants avaient alors dix, treize ans

Eux, ils préféraient glisser sur les pistes,

Que venir, avec moi, visiter Gérardmer !

.

Montagne  enneigée, autour de grand lac,

Ce dernier paraissait surgir  de nulle part.

Pour ce qui est, de mer,  il n’a que Gérard,

De marée, il n’a jamais connu, sac, ressac,

Quand bien gelé les patins glissent dessus.

.

Cet été, m’y revoici, une  autre fois, encore,

Avec un fils et ses deux petits-enfants en or

On en fait le tour pour chercher un endroit,

Où on peut pique-niquer au frais,  esseulés,

À l’ombre de grand pin, près d’un ruisseau.

.

Plus loin, une petite plage  sur un des côtés,

Voisine  avec des pelouses, pour s’allonger :

Une grande école de voile, pour les enfants,

Des barques électriques, pédalos, sur le lac,

Y a de quoi s’amuser sans jamais se lasser.

.

Pour les petits, c’est leurs naturels paradis,

Même les chiens, les chats, ici sont admis.

Pour les grands c’est un artificiel paradis

Avec casino pour des jeux, plus sérieux,

Et magasins d’étoffes, moins ruineux.

.

.

Extensions

.

Gérardmer est une grosse commune

D’environ huit mille cinq ans habitants.

Connue pour son lac et pour ses textiles.

On la surnomme : «La perle des Vosges».

.

C’est, en tous cas, l’avis  de  Victor Hugo,

Mais, pourquoi pas : il y en a bien d’autres

Ailleurs, l’Ile grande ne pourrait-elle pas être

« La perle  des Cotes  d’Armor  en  Bretagne! ».

.

On peut faire le tour du lac de Gérardmer en

Une après-midi ou y faire un tour en barque

À moteur ou bateau à voile : école de voile

Nous incitera à participer à sa régate.

.

En hiver, on y pratique le ski alpin

Et de fond sur ses pentes neigeuses

Tant sa capacité d’accueil demeure

Importante et de loisir, intéressante.

.

Comme en stations, sports et détente,

Elle a deux visages fortement contrastés,

Un d’été, très chaud et une d’hiver, très froid.

Je la préfère l’été, elle a plus de charme, d’attrait.

.

Gérardmer, pour quelqu’un se prénommant ainsi,

Je me sens déjà chez moi et pas le moindre à l’étroit !

La confusion avec  Gérard s’est effectuée fin  xvie siècle.

On trouve ce nom de Géraud dans Gérauvilliers (1338).

En dialecte, des hautes vallées : mô signifie « mer »,

Et moué signifie « maison avec champ cultivé ».

Ça casse le mythe pour moi, rétablit la vérité

Cela dit, c’est une ville agréable à vivre

Où textiles y sont toujours actifs.

.

Pour ne rien vous cacher, j’aime bien

Deux petites villes situées à l’Est et Nord

De la France, à savoir Gérardmer en Vosges

Du fait qu’elle commence  par  mon prénom

Et Poulainville au nord d’Amiens en Somme

Du fait qu’elle commence par mon…  nom

Je sais, que ça fait, un peu, nombriliste

Mais ne peux  m’empêcher  de penser

Réunissant les deux, même endroit

Je me sentirais comme chez moi.

.

.

355 – Calligramme

 .

Station balnéaire

Et aussi  lingère,

Fréquentée  l’été

Comme en hiver,

Ville  Gérardmer,

Dans  son bel écrin

De verdure apprêtée

A comme un air divin

Près d’eau, sans marin,

Sans marée  et sans mer,

La ville respire   grand air,

Entourée  de forêts de sapins

Qui colorent ses monts de verts,

Comme tous les coteaux vosgiens :

On s’y rend, on s’y plait, on y revient

Gérardmer, ville dont on se souvient !

GÉRARDMER :

Je me souviens, d’y avoir été, en hiver,

Il y a déjà longtemps, pour faire du ski,

Mes enfants avaient alors dix, treize ans

Eux, ils préféraient glisser sur les pistes,

Que venir, avec moi, visiter Gérardmer !

Montagne  enneigée, autour de grand lac,

Ce dernier paraissait surgir  de nulle part.

Pour ce qui est, de mer,  il n’a que Gérard,

De marée, il n’a jamais connu, sac, ressac,

Quand bien gelé les patins glissent dessus.

UNE VILLE

Cet été, m’y revoici, une  autre fois, encore,

Avec un fils et ses deux petits-enfants en or

On en fait le tour pour chercher un endroit,

Où on peut pique-niquer au frais,  esseulés,

À l’ombre de grand pin, près d’un ruisseau.

Plus loin, une petite plage  sur un des côtés,

Voisine  avec des pelouses, pour s’allonger :

Une grande école de voile, pour les enfants,

Des barques électriques, pédalos, sur le lac,

Y a de quoi s’amuser sans jamais se lasser.

PRÉDESTINÉE !  

Pour les petits, c’est leurs naturels paradis,

Même les chiens, les chats, ici sont admis.

Pour les grands c’est un artificiel paradis

Avec casino pour des jeux, plus sérieux,

Et magasins d’étoffes, moins ruineux.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

355 4

.

Une  simple  bouteille

 Sinon une gourde d’eau

Mais  toute  en plastique,

Pour minimum  de poids !

.

Que ce soit bouteille ou gourde,

bien qu’elles contiendraient de l’eau

aucune ne va avec ville, lac Gérardmer

si fait que la forme diffère ici du fond !

.

Pas goûté l’eau de ma bouteille,

Qui me tient lieu de vraie gourde.

Ce lac  reste  un lac et  qui est loin

Des proportions d’une vraie mer.

.

Symbolique 

 .

Moyen mnémotechnique

Permet  de  mémoriser  les

Tailles  de  bouteilles  dans

Ordre croissant de contenance

«Car de bon matin, je remarquais

Mal ..… sa banalité   .…   naturelle »

(Quart,     demi,     bouteille,   magnum,

Jéroboam,      réhoboam,    mathusalem,

Salmanazar, balthazar, nabuchodonosor.

Pour  autant, ce ne sera pas   la  grandeur

Du contenant  qui signifiera, à elle-seule,

La qualité  du contenu, de  même qu’une

Cloche fromage contient meilleur/pire.

.

Descriptif

 .

355 – Gérardmer : une ville prédestinée !  

Alignement central  /  Titre serpente  /  Thème  ville

Forme courbe  / Rimes égales  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bouteille    /  Symbole de fond : gourde

.

.

Fond

.

Évocation 

.

355 6

.

Pas goûté l’eau de ma bouteille,

Mais j’imagine  qu’elle reste pure.

Elle n’a rien à voir avec une gourde

étant issue d’une courge bien recyclée.

.

Symbolique

.

La gourde en Chine

Parfois surnommée gourde magique

Était réalisée à base d’une calebasse vidée, séchée,

Servant à transporter médicaments, vin ainsi qu’élixirs.

Ils la considèrent comme symbole de prospérité à cause

Du nombre important des graines que porte le fruit.

.

Et, dans certaines régions, une coutume voulait

D’ailleurs que les paysans aillent en arracher

Dans les champs voisins lors du Festival

De la Mi-automne, dans le but d’avoir

Nombreux enfants, nombreux  fils.

chine.in/guide/gourde_3691

 .

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Bouteille contiendra de 25 centilitres

Jusqu’à 16 litres …  soit 16 bouteilles,

Mais loin de millions de litres du lac

De Gérardmer,  ville  dans les Vosges.

.

Il faudrait être complétement gourde

Pour tenter la moindre comparaison.

.

Gérardmer reste une cite accueillante

Ou il fait bon randonner autour du lac,

Si ce n’est flâner dans le cœur de la ville.

 .

.

Reposant lac de Gérardmer

.

Scénario 

.

La ville et le lac de Gérardmer, situé dans les Vosges, vu de loin ;

le lac et les activités nautiques avec des petites embarcations ;

et la plage du lac, grouillante de baigneurs et de plongeurs !

 .

Visuels et textuels >>

348 – Dans le quartier populaire d’Amsterdam (IV)

Visuels et textuels  >> 

.

Pour nous en consoler … nous nous réfugions

Dans le café « Catala » … où nous commandons,

Chacun un verre  de genièvre,  spécialité de ce bar,

Typiquement flamand auparavant, devenu espagnol.

.

On consulte la carte de tapas nous tentant finalement

Alors l’on commande, accompagné verre de vin blanc,

Ou chope de bière glacée sortant du fût, à zéro degré.

.

En fin de soirée, nous repartons  de  l’appartement,

Pour aller prendre … l’adresse  d’un site internet,

Apposé à la vitrine d’une proche maroquinerie

Qui exposait un sac en cuir noir et orange,

Objet de convoitise pour les…dames.

.

Au retour, nous céderons au denier

Plaisir de prendre un ultime dessert,

Dans le bar attenant à l’appartement,

De bon accueil, et de bonne ambiance,

Dégustons mini-crêpes, des fruits frais,

.

Autour de bouteille  de blanc, allemand

De l’autre côté du Rhin, sans nul doute,

Au pied la Forêt Noire et face à l’Alsace

Eh bien, il avait du gout, et de la tenue,

Ce vin avec sa note fruitée et pétillante,

Comme fameux, vino verde, portugais.

.

Finalement, il n’y a plus  de frontières,

Pour déguster un bon vin … mais allez

Donc demander un vin …  hollandais :

Au mieux : vexé,  l’on  vous  ignorera,

Jusqu’au pire : on  vous rira  au nez !

.

C’est la fin de soirée  de notre séjour,

Et vrai que, c’est souvent en flânant,

Au détour d’une grande rue, avenue

D’une ruelle ou au coin d’une place,

Ou d’un carrefour que l’on déniche

La petite merveille d’architecture

Et qui ne figure sur aucun guide,

Et pas plus sur aucun parcours.

.

.

Extensions

.

Le lendemain était le jour pour notre départ :

Fallait se dépêcher d’emmagasiner le maximum

De sensations et impressions avec cette frustration

De n’avoir vu que peu de choses et le désir d’y revenir

Venise, Florence, Rome,  mais aussi, Séville et Lisbonne

Tout comme Prague et Berlin, ont donné les mêmes envies.

.

Amsterdam n’aura pas brillé de par ses talents … culinaires,

Au vu nombre de restaurants proposant des plats étrangers.

On ne peut espérer tout avoir en un seul et même endroit.

.

Paris fait figure d’exception sur ce plan- là : par contre

Nous avons eu la chance de déguster un vin qui avait

Goût et tenue bien que cultivé, élevé en Hollande.

Il faut d’attendre à tout, en matière de boisson.

.

Notre dernière soirée à Amsterdam s’achève comme en apothéose

Entre deux brasseries, mangeons une glace pour nous rafraichir

Avant d’’entamer quelques  tapas espagnols au bar du  Catala.

Minuit nous descendons demander un verre, de vin du pays

M’enfin Gaston, on a du germanique, mais ici, aucun vin !

Voilà comment le vin de la discorde nous aura fait sortir,

Pour revenir à l’appartement  pour préparer nos valises.

.

La plus longue est souvent la dernière soirée,

Pour maximiser notre temps et opportunités

Lors nous l’avons à la gastronomie, consacrée

Tant cafés, brasseries, ferment tard en soirée.

.

C’est un peu la fête et si nos souvenirs entrés

Par nos pieds, parfois aussi, par nos gosiers :

Tant vrai qu’à Amsterdam, bière coule à flot :

Quant à gouter son vin, bon courage matelot.

.

Allez un dernier verre avant d’aller se coucher,

Nous nous sommes rabattus sur vin allemand.

Difficile de s’arracher de quatre jours à visiter

Escapade à l’étranger est toujours bon temps.

.

.

348 – Calligramme (IV)

 .

Pour nous en consoler … nous nous réfugions

Dans le café « Catala » … où nous commandons,

Chacun un verre  de genièvre,  spécialité de ce bar,

Typiquement flamand auparavant, devenu espagnol.

On consulte la carte de tapas nous tentant finalement

Alors l’on commande, accompagné verre de vin blanc,

Ou chope de bière glacée sortant du fût, à zéro degré.

En fin de soirée, nous repartons  de  l’appartement,

Pour aller prendre … l’adresse  d’un site internet,

Apposé à la vitrine d’une proche maroquinerie

Qui exposait un sac en cuir noir et orange,

Objet de convoitise  pour les … dames.

Q U A R T I E R  P O P U L A I R E

Au retour, nous céderons  au  dernier

Plaisir de prendre  un ultime dessert,

Dans le bar attenant à l’appartement,

De bon accueil, et de bonne ambiance,

Dégustons mini-crêpes, des fruits frais,

Autour de bouteille  de blanc, allemand

De l’autre côté du Rhin, sans nul doute,

Au pied la Forêt Noire et face à l’Alsace

Eh bien, il avait du gout, et de la tenue,

Ce vin avec sa note fruitée et pétillante,

Comme fameux, vino verde, portugais.

D  ’  A  M  S  T  E  R  D  A  M

Finalement, il n’y a plus  de frontières,

Pour déguster un bon vin … mais allez

Donc demander un vin …  hollandais :

Au mieux : vexé,  l’on  vous  ignorera,

Jusqu’au pire : on  vous rira  au nez !

C’est la fin de soirée  de notre séjour,

Et vrai que c’est, souvent, en flânant,

Au détour  d’une grande rue, avenue

D’une ruelle  ou au coin d’une place,

Ou d’un carrefour que l’on déniche,

Une petite merveille d’architecture

Et qui ne figure sur aucun guide,

Et pas plus sur aucun parcours.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

348 4

.

Je ne suis certes pas une lumière

Mais je penche pour une torche 

Non pas ancienne faite matières

Mais électrique et à faisceau.

 .

Une torche électrique n’aurait rien à faire

avec quelque quartier populaire que ce soit

lors rien à voir non plus avec café et vin

si fait que la forme diffère du fond.

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière n’est pas aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

.

Symbolique de forme

.

Qu’il s’agisse

D’une lampe à huile,

À pétrole ou d’une lampe

Moderne ou électrique, elle

Symbolise toute l’énergie

Que  nous contrôlerons,

Que nous maîtrisons.

Lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Connaissance transmise

Par notre environnement,

Celle que  chacun  reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

Dans  certains  rêves  son

Symbolisme est proche

De celui de la bougie.

tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

.

345 – Quartier populaire Amsterdam (IV)  

Alignement central  / Titre absent  /  Thème  ville

Forme droite  / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : torche

.

Fond

.

Évocation 

.

348 6

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière  n’est pas  aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

 .

Symbolique

.

Torche

Est un bâton

Enflammé,

Qui sert à éclairer,

Symbolise la lumière et l’espoir.

Représente la lumière dans l’obscurité.

Symbolise le savoir et la connaissance,

La révélation qui émane des ténèbres.

.

Lumière que produit  feu de la torche

Est une lumière chaude, lumière

.

Qui réconforte et qui

Réchauffe le cœur.

Mais contrairement

À la lampe électrique,

La lumière de la torche

Est une lumière  plutôt

Vacillante, et  instable.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-torche.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Torche et lampe diffuse de la lumière

Mais qui seront loin d’être la même,

Ce sont presque les deux extrêmes :

Un feu brut et des plus domestiqués,

Des lampes qui diffusent ambiance,

On en trouvera dans bien des cafés

Ça pousserait à se confier, à boire

Et si cela est vrai : à votre santé !

 .

.

Retour de voyage à Amsterdam

.

Scénario

.

Ce ne sont pas les cafés qui manquent où la bière coule à flot.

Le café Catala nous propose des tapas avec des bières glacées.

Dernier verre avant de se coucher et décamper pour le retour.

.

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347 – Dans le quartier populaire d’Amsterdam (III)

Visuels et textuels  >> 

.

Nous prenons un repas complet par jour,

Et marchons en rue centre d’Amsterdam

Sans tomber dans l’état d’hypoglycémie !

Le décor est assez typique de l’Argentine,

L’ambiance musicale est plutôt plaisante

Il y a des salsas, des sambas, des rumbas

Même, pour finir, des airs connus tango.

.

Le Sud, eh quoi, là … et à fond, c’est  sûr.

Puis suivront  de nouvelles  découvertes :

Un cours et café du musée d’Amsterdam.

Avec tableau céramique sur mur d’entrée

Représentant vingtaine d’anciens métiers

En sortons par le hall, voûté en arc cercle.

.

Ça se passe en 1811, ça fait deux cents ans

Avant notre propre venue comme touriste.

Non loin, on découvre les : « béguinages »

Sorte de grande cour, avec jardin intérieur

Autour desquels,  l’on trouve  des maisons.

.

Près d’une cinquantaine, je crois,  au total,

Et occupées par femmes toutes célibataires

Et fortement croyantes, même pratiquantes

Mais n’ayant toutefois pas déclaré leurs vœux

De chasteté, comme on le fait,  en un couvent.

Une maison  accueillait  chapelle clandestine !

.

Car il fut un temps où, la religion catholique,

Était proscrite à Amsterdam, par protestants.

Nous quittons, au bout  d’un temps, ces lieux,

Vraiment charmant, et, tout autant reposants,

Que l’on aura abordé  par une porte ordinaire

Et un long  et étroit passage,  comme il se doit,

Pour rejoindre le quartier juif, n’étant pas loin.

.

Ce dernier nous aura surpris totalement rénové

Ce qui aura provoqué en nous quelque déception

Il ne restait, de lui, que le nom  et une synagogue :

Cela n’avait plus rien à voir avec d’autres quartiers

Tels ceux de Strasbourg ou de Venise ou d’ailleurs,

Que nous connaissons bien et que nous apprécions.

.

.

Extensions

.

Ce quartier abrite une manufacture

De diamants nommée « Diamond factory »

Construite au XIXème siècle par son fondateur

Et dont la statue trône dans le grand hall d’accueil.

On visite gratuitement, manière de les tailler de a à z.

.

Des bus, dans la cour, apportaient des flots d’asiatiques.

Il est trop tard pour la visiter, nous reviendrons peut-être

Lors d’un autre séjour car, demain, nous partons déjà.

Amsterdam est connu pour ses nombreux joaillers

Ils ont pignon sur rue ici et là en quartier juif.

.

La religion d’un côté et l’argent de l’autre,

On est en une terre bien protestante,

C’est normal et depuis des siècles.

Leurs temples en attestent.

 .

 «Béguinages» curiosité d’Amsterdam, aux temps des persécutions,

Réservés uniquement aux femmes, tenues et entretenues par elles !

Un endroit calme s’il en est et qui pousse à un certain recueillement.

La faim nous tire d’une rêverie romantique, pour chercher à manger.

Notre choix se porte sur un restaurant argentin, et son nom l’indique.

Après nous être sustenté et abreuvé copieusement, place à la digestion,

Et c’est là que nous avons fait connaissance avec la «Diamond Factory».

.

On creuse, toujours plus loin, dans l’histoire

D’Amsterdam jusque deux cent ans en arrière :

Parc romantique qui fait flamber un imaginaire,

Qui extirpera événements bien restés dans le noir.

.

De passer, d’une place à l’autre, sans transitions,

Mélangera, dans notre tête, moult impressions

Qui feraient moutures pour nos rêves, la nuit

Les inscriront dans notre mémoire, infinie.

.

Exemple a contrario  Diamond Factory

Ne l’ayant vu que du dehors et fermé

Nous laissera un souvenir imprécis

Et pourtant diamant bien taillé.

.

.

347 – Calligramme (III) 

 .

Nous prenons un repas complet par jour,

Et marchons en rue centre d’Amsterdam

Sans tomber dans l’état d’hypoglycémie !

Le décor est assez typique de l’Argentine,

L’ambiance musicale est plutôt plaisante

Il y a des salsas, des sambas, des rumbas

Même, pour finir, des airs connus tango.

Le Sud, eh quoi, là … et à fond, c’est  sûr.

Puis suivront  de nouvelles  découvertes :

Un cours et café du musée d’Amsterdam.

Avec tableau céramique sur mur d’entrée

Représentant vingtaine d’anciens métiers

En sortons par le hall, voûté en arc cercle.

Q  U  A  R  T  I  E  R

Ça se passe en 1811, ça fait deux cents ans

Avant notre propre venue comme touriste.

Non loin, on découvre les : « béguinages »

 Sorte de grande cour, avec jardin intérieur

Autour desquels,  l’on trouve  des maisons,

Près d’une cinquantaine, je crois,  au total,

Et occupées par femmes toutes célibataires

Et fortement croyantes, même pratiquantes

  Mais n’ayant toutefois pas déclaré leurs vœux

 De chasteté, comme on le fait,  en un couvent.

Une maison  accueillait  chapelle clandestine !

P  O  P  U  L  A  I  R  E

 Car il fut un   *    temps où, la religion catholique

 Était proscrite à    D   Amsterdam, par protestants.

Nous quittons au            bout d’un temps ces lieux,

Vraiment charmant, et,     A       tout autant reposants,

Que l’on aura abordé par         M        une porte ordinaire

Et un long et étroit passage,           S         comme il se doit,

Pour rejoindre le quartier juif,             T       n’étant pas loin.

Ce dernier nous aura surpris : totale        E          ment rénové

Ce qui aura provoqué en nous quelque      R             déception

Il ne restait, de lui, que le nom et une      D           synagogue :

Cela n’avait plus rien à voir avec           A    d’autres quartiers

Tels ceux de Strasbourg ou de        M       Venise ou d’ailleurs,

Que nous connaissons bien      *      et que nous apprécions.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

347 4

.

Je ne suis certes pas une lumière

Mais je penche pour une torche 

Non pas ancienne faite matières

Mais électrique et à faisceau.

.

Une torche électrique n’aurait rien à faire

avec quelque quartier populaire que ce soit

rien à voir avec un par cet une  fabrique

si fait que la forme diffère du fond.

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière n’est pas aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

.

Symbolique 

.

Qu’il s’agisse

D’une lampe à huile,

À pétrole ou d’une lampe

Moderne ou électrique, elle

Symbolise toute l’énergie

Que  nous contrôlerons,

Que nous maîtrisons.

Lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Connaissance transmise

Par notre environnement,

Celle que  chacun  reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

Dans  certains  rêves  son

Symbolisme est proche

De celui de la bougie.

tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

.

345 – Quartier populaire Amsterdam (III)  

Alignement central  / Titre absent  /  Thème  ville

Forme droite  / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : torche

.

.

Fond

.

Évocation

.

347 6

.

.

Évocation de fond

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière  n’est  pas aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

 .

Symbolique 

.

Torche

Est un bâton

Enflammé,

Qui sert à éclairer,

Symbolise la lumière et l’espoir,

Représente la lumière dans l’obscurité,

Symbolise le savoir et la connaissance,

La révélation qui émane des ténèbres.

.

Lumière que produit  feu de la torche

Est une lumière chaude, lumière

.

Qui réconforte et qui

Réchauffe le cœur.

Mais contrairement

À la lampe électrique,

La lumière de la torche

Est une lumière  plutôt

Vacillante, et  instable.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-torche.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Torche et lampe diffuse de la lumière

Mais qui seront loin d’être la même,

Ce sont presque les deux extrêmes :

Un feu brut et des plus domestiqués,

Y compris dans ce parc romantique,

Héritage des anciens «béguinages».

 

.

Diamants taillés Amsterdam

.

Scénario

.

Le parc intérieur  et romantique des « béguinages » d’Amsterdam.

Un restaurant argentin pour déguster une côte de bœuf de là-bas,

L’immeuble de la Diamond Factory construite au XIXème siècle.

.

Visuels et textuels  >> 

346 – Dans le quartier populaire d’Amsterdam (II)

Visuels et textuels  >>  

Nous avons assisté à un concert d’orgue

Donné non loin de la Maison Anne Frank,

Que nous avions visité,  notre premier jour.

.

Au programme de la demi-heure, annoncée,

Trois morceaux, liturgiques, de  César Frank,

Suivi de morceaux profanes  de Tom Leuwen,

Et, enfin, contemporains, de  Maurice Duruflé.

.

Orgue  de  belle facture, architecturale, sonore,

S’ouvre : panneaux, peints de motifs, de fleurs.

Sa sonorité limpide et claire, laisse prédominer

Les médiums, les aigus, tous, hauts en chœurs,

Sur les basses profondes et les basses appuyées

Comme certains orgues de factures françaises.

.

Du fait volume et de l’écho du temple,

Les timbres sont, bien étagés, distincts

En chacune des gammes  chromatiques,

Ce qui les rend agréables  à  notre oreille.

En résumé, davantage d’effet d’harmonie

Fluidité que de présence ou de puissance.

.

Le public est une centaine de personnes,

Assises  sur des chaises, et, plein centre,

Semble apprécier du fait que la moitié

D’entre eux gardent les yeux fermés,

Pour, se recueillir, et s’en délecter.

.

L’organiste, Matthias Havinga,

Accusant la quarantaine,  à peine,

Quitte son instrument  pour  descendre

De son perchoir et venir saluer les auditeurs

Qui l’applaudissent avec une vraie,  réelle ferveur.

.

Avant de quitter les lieux,  faisons un tour de l’église,

Pour comparer le dépouillement des temples protestants

Contrastant la magnificence ornements églises catholiques

Sa sobriété nous parait conforme  au message de l’Evangile,

Et elle porte au recueillement tout autant sinon davantage

Que les tableaux et statues de nos chapelles bretonnes.

.

.

Extensions

.

Pour déjeuner, avons le choix entre

Les indiens, les chinois ou les argentins

Tant les restaurants, de tradition hollandaise,

Ne courent pas  les rues, y compris  au centre-ville

Et nous n’en avons pas vu, jusqu’à présent, de français.

.

Rapport qualité/quantité, service/prix, ce sont les argentins

Qui l’emportent en équivalents de nos brasseries parisiennes.

Chez eux on peut avoir un travers de porc mariné ou une

Entrecôte grillée pour environs une dizaine d’euros.

.

Ailleurs, c’est bien plus cher : chez  un italien,

Nous avons payé le double pour des sandwiches

Dans une rue, super chic, mais quand même !

 .

Ah, une musique d’orgue baroque dans un temple qui l’est

Ça vous charme les oreilles, et vous fait vibrer tout le corps !

Déjà que ce bel instrument avec tuyaux en façade bien jaunes

Nous ravit la vue, comme un tableau de Jéricho, en  pleine fête.

Les morceaux choisis sont interprétés,  sans la moindre outrance

Au bout de l’heure j’en avais plein la tête, étant totalement ailleurs

Jésus que ma joie demeure, joué par Jean Sébastien Bach lui-même.

.

Il y a différents types, qualités d’orgues

Dans les églises, les temples, cathédrales,

Tout comme environnements acoustiques,

Sans parler des morceaux et des organistes

.

Nous avons été servis en tout par meilleurs :

Cela  se sent, s’entend, se voit : vrai bonheur.

J’en garde encore comme des frissons de joie

Procurant comme torrent d’émotions en moi.

.

Quoi de mieux, pour se remettre d’un chant,

Qui aura ébranlé cerveau, estomac et tripes,

Que de sustenter en un excellent restaurant

Avec bruit de fourchette comme musique.

 .

Gastronomie est un autre art culinaire,

Produisant émotions extraordinaires

Ne manque qu’oreille à son tableau,

Les quatre autres sens sont beaux.

.

.

346 – Calligramme (II)  

 .

Nous avons assisté à un concert d’orgue

Donné non loin de la Maison Anne Frank,

Que nous avions visité,  notre premier jour.

Au programme de la demi-heure, annoncée,

Trois morceaux, liturgiques, de  César Frank,

Suivi de morceaux profanes  de Tom Leuwen,

Et, enfin, contemporains, de  Maurice Duruflé.

Orgue  de  belle facture, architecturale, sonore,

S’ouvre : panneaux, peints de motifs, de fleurs.

Sa sonorité limpide et claire, laisse prédominer

Les médiums, les aigus, tous, hauts en chœurs,

Sur les basses profondes et les basses appuyées

Comme certains orgues de factures françaises.

Q  U  A  R  T  I  E  R

Du fait volume et de l’écho du temple,

Les timbres sont, bien étagés, distincts

En chacune des gammes  chromatiques,

Ce qui les rend agréables  à  notre oreille.

En résumé, davantage d’effet d’harmonie

 Fluidité que de présence ou de puissance.

P  O  P  U  L  A  I  R  E

Le public est une centaine de personnes,

Assises  sur des chaises, et, plein centre,

Semble apprécier du fait que la moitié

D’entre eux gardent les yeux fermés

Pour, se recueillir et s’en délecter.

D  ’ A  M  S  T  E  R  D  A  M

L’organiste, Matthias Havinga,

Accusant la quarantaine,  à peine,

Quitte son instrument  pour  descendre

De son perchoir et venir saluer les auditeurs

Qui l’applaudissent avec une vraie,  réelle ferveur.

Avant de quitter les lieux,  faisons un tour de l’église,

 Pour comparer le dépouillement des temples protestants

Contrastant la magnificence ornements églises catholiques

Sa sobriété nous parait conforme  au message de l’Évangile,

Et elle porte au recueillement tout autant sinon davantage

Que les tableaux et statues de nos chapelles bretonnes.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

346 4

.

Je ne suis certes pas une lumière

Mais je penche pour une torche 

Non pas ancienne faite matières

Mais électrique et à faisceau.

 .

Une torche électrique n’aurait rien à faire

avec quelque quartier populaire que ce soit

Rien à voir non plus avec église et orgue

si fait que la forme diffère du fond.

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière n’est pas aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

.

Symbolique 

.

Qu’il s’agisse

D’une lampe à huile,

À pétrole ou d’une lampe

Moderne ou électrique, elle

Symbolise toute l’énergie

Que  nous contrôlerons,

Que nous maîtrisons.

Lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Connaissance transmise

Par notre environnement,

Celle que  chacun  reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

Dans  certains  rêves  son

Symbolisme est proche

De celui de la bougie.

tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

.

345 – Quartier populaire Amsterdam (II)  

Alignement central  / Titre absent  /  Thème  ville

Forme droite  / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : torche

.

.

Fond

.

Évocation 

.

346 6

.

Petit à petit, la lampe électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière n’est pas aussi diffuse :

Elle est plus orientée, plus stable.

.

Symbolique 

 .

Torche

Est un bâton

Enflammé,

Qui sert à éclairer,

Symbolise la lumière et l’espoir.

Représente la lumière dans l’obscurité.

Symbolise le savoir et la connaissance,

La révélation qui émane des ténèbres.

.

Lumière que produit  feu de la torche

Est une lumière chaude, lumière

Qui réconforte et qui

Réchauffe le cœur.

.

Mais contrairement

À la lampe électrique,

La lumière de la torche

Est une lumière  plutôt

Vacillante, et  instable.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-torche.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Torche et lampe diffuse de la lumière

Mais qui seront loin d’être la même,

Ce sont presque les deux extrêmes :

Un feu brut et des plus domestiqués

Toujours est-il que dans une église,

L’éclairage demeure bien électrifié

Y compris orgue pour bien sonner

.

.

Restau argentin Amsterdam

.

Scénario

.

L’église protestante située tout près de la maison d’Anne Frank,

avec ancien orgue, de très belle facture, architecturale et sonore,

ses voûtes et arcades en pierres blanches, et des plus dépouillées !

 .

Visuels et textuels  >>  

345 – Dans le quartier populaire d’Amsterdam (I)

Visuels et textuels  >>  

.

Lors

D’une  longue  flânerie

En un  quartier qu’on dit populaire,

Et aux frontons   ornés  de blasons

Qui affichaient des  sujets divers,

.

J’ai observé que sur des façades

Le plus souvent dans  pignons,

Le noir, foncé,  s’en extrayait,

Malgré  l’étroitesse  pignons.

.

Les fenêtres sont très larges

Afin de capter le maximum

De la lumière et y compris

Jour de pluie jour d’hiver

L’on trouvera  des cours,

Et des jardins intérieurs

.

Avec  d’étroits  couloirs,

Pour pouvoir y accéder

Comme  si  l’on voulait

Les  tenir  très  secrets,

Aux yeux,   des curieux,

Et  même  des passants.

.

Il y a  peu  de  publicités,

Tapageuses  et  flashantes

Venant  percuter votre œil

Lorsqu’architecture rythme

Rue place, maison anonyme

S’alignant le long des canaux

.

Peu d’animaux,  chiens laissés

Errants entre chats faméliques

Bon nombre enfants en bas âge,

Se promènent,  avec les  parents :

Sur  leur vélo, ou  derrière  la selle,

Sinon  sur le guidon  ou  en caissons

Rattachés, par une barre, à  leur vélo :

Attelage spécialement aménagé pour eux.

.

Si les immeubles ont l’air de se ressembler,

Y regardant de près, ils sont tous particuliers,

En proportions, couleurs, ouvertures, matières.

.

Vélos sont dix fois  plus nombreux  que les autos,

Quasiment, tous, de  couleur noire. Noir et orange,

Sont bien deux couleurs, représentant  La Hollande.

.

Cela procure une atmosphère  de silence et de calme,

Ponctuée de sonnettes plus que de klaxon de voiture.

Cela fait contraste  avec villes du Sud de la France,

Où les couleurs rageuses et les bruits continuels

Font partie gènes, comportements culturels !

.

.

Extensions

.

Cela donne un air  de dernière guerre où

Le vélo était le seul moyen de se déplacer

Soixante ans en arrière ou en avant pour

Les généraliser  dans  les villes françaises.

Il y pleut moins souvent et la température

Y est plus clémente : pour nous désaltérer.

.

Nous prenons  café  et  gâteau aux pommes

Maison au café T’Smalle, avec pour sa façade

En encoignures ses vitraux, d’origine, de 1780,

Émaillés par des macarons ornés d’inscriptions.

.

L’intérieur est, tout en bois, d’époque, et  patiné

Par le temps, par les clients, lieu de rendez-vous,

Chargé d’histoire et d’art mais conservé en l’état

Là aussi, là, encore, un très étroit escalier en fer

En spirale permet d’accéder à l’étage restaurant.

Pas de place pour monter  les gros et les grosses.

.

Chambre d’hôte ressemble, souvent, à un grand couloir :

Toute en longueur et avec une grande ouverture en façade

Brasseries à l’ancienne ont gardé, leur cachet, atmosphère,

Et c’est vrai que l’on y aura bu de bonnes et  grandes bières

On a autant apprécié les pelouses vertes et bien entretenues

Mais le must dans notre visite, ce sont les cours intérieures,

Qui donnent une sorte d’intimité bien que communautaire.

.

Le café est une substance qui réveille nos neurones

Quand on en prend trop c’est le cœur qui s’emballe

Mais c’est autant, un rite, besoin, familial et social

En témoigne invitations, consommations en cafés.

Flânerie nous pousse à nous asseoir à une terrasse

Après avoir marché des heures, à visiter curiosités,

Le meilleur endroit pour observer gens qui passent,

Avant en chambre d’hôtel, appartement, de rentrer.

.

.

345 – Calligramme  (I)  

 .

Lors

D’une  longue  flânerie

En un  quartier qu’on dit populaire,

Et aux frontons   ornés  de blasons

Qui affichaient des  sujets divers,

Q  U  A  R  T  I  E  R

J’ai observé que sur des façades

Le plus souvent dans  pignons,

Le noir, foncé,  s’en extrayait,

Malgré  l’étroitesse  pignons.

Les fenêtres sont très larges

Afin de capter le maximum

De la lumière et y compris

Jour de pluie jour d’hiver

L’on trouvera  des cours,

Et des jardins intérieurs

Avec  d’étroits  couloirs,

Pour pouvoir y accéder

Comme  si  l’on voulait

Les  tenir  très  secrets,

Aux yeux,   des curieux,

Et  même  des passants.

P O P U L A I R E

Il y a  peu  de  publicités,

Tapageuses  et  flashantes

Venant  percuter votre œil

Lorsqu’architecture rythme

Rue place, maison anonyme

S’alignant le long des canaux

Peu d’animaux,  chiens laissés

Errants entre chats faméliques

Bon nombre enfants en bas âge,

Se promènent,  avec les  parents :

Sur  leur vélo, ou  derrière  la selle,

Sinon  sur le guidon  ou  en caissons

Rattachés, par une barre, à  leur vélo :

Attelage spécialement aménagé pour eux.

D ’ A M S T E R D A M

Si les immeubles ont l’air de se ressembler,

Y regardant de près, ils sont tous particuliers,

En proportions, couleurs, ouvertures, matières.

Vélos sont dix fois  plus nombreux  que les autos,

Quasiment, tous, de  couleur noire. Noir et orange,

Sont bien deux couleurs, représentant  La Hollande.

Cela procure une atmosphère  de silence et de calme,

Ponctuée de sonnettes plus que de klaxon de voiture.

Cela fait contraste  avec villes du Sud de la France,

Où les couleurs rageuses et les bruits continuels

Font partie gènes, comportements culturels !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

345 4

.

Ça ressemble assez

À une belle carafe,

Probablement pour  

Vin ou thé ou café !

.

On peut imaginer liquide possible

En  cette belle carafe, en verre :

Du vin bien sûr mais aussi de la

Bière, du café, du thé, de l’eau !

.

On peut imaginer liquide possible

En  cette belle carafe, en verre :

Du vin bien sûr mais aussi de la

Bière, du café, du thé, de l’eau !

.

Symbolique 

.

Carafe est

Plus que bouteille,

Car on a pris la peine

D’y transvaser le liquide,

Un précieux liquide méritant

Un contenant, à sa hauteur.

Elle est un symbole féminin,

Promet fécondité et richesse

À moyen  ou  à long  terme.

Faut-il  qu’elle  soit pleine !

Elle annoncerait de la joie,

Des événements agréables

Rendant force et vigueur.

Dire « Rester en carafe »

Renvoie à la carafe vide,

Abandons, frustrations,

Arrêts, dus  aux  oublis,

Autres désagréments.

Wikireve.fr/dir/4446-carafe

.

Descriptif

.

345 – Quartier populaire Amsterdam (I)  

Alignement central  / Titre courbe  /  Thème  ville

Forme courbe  / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : carafe  / Symbole de fond : café

.

.

Fond

.

Évocation 

.

345 6

.

On peut imaginer liquide possible

En  cette belle carafe, en verre :

Du vin bien sûr mais aussi de la

Bière, du café, du thé, de l’eau !

.

Symbolique

 .

Le café demeure d’abord

Un marqueur  relationnel,

Tout à la fois indice et rituel

Aidant à accueillir  un  client

En point de vente, agence, etc.

.

Ensuite, marqueur symbolique

D’une « lutte des classes » entre

Ceux qui ont en entreprise accès

À un café de qualité et les autres.

.

Cela dit, partant, pose la question

D’une  pure   «symétrie des tasses»

En préalable  indispensable à toute

Démarche de care : prendre soin de.

forbes.fr/management/quand-le-cafe-

marqueur-symbolique-experience-collaborateur

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Ne pas confondre la carafe pour le café

Avec la cafetière pour le préparer, faire

Pas plus que le verre pour boire de l’eau

Et la tasse à café spécialement pour café

Il  arrive  qu’une  carafe   soit  surmontée

D’un étage avec un filtre pour café et eau,

La version populaire de machine expresso

Qu’on trouve dans les cafés,  et  les hôtels.

Et on trouvera 20 modèles de cafetières.

 .

.

Café et gâteau aux pommes 

.

Scénario

.

Une chambre d’hôte, grande fenêtre en façade, au centre

Comptoir dans un café-brasserie à l’ancienne au centre

Petit côté anglais  avec pelouse au raz des immeubles.

 .

Visuels et textuels  >>  

344 – Pas de mouvement, pas de vie à Amsterdam

Visuels et textuels  >> 

.

Pas de

Mouvement

Lors pas de vie :

Choses et gens figés,

Rapidement s’ennuient,

Ainsi,  les hommes  vivent,

Transitent entre rues et rives.

.

En dépit, télés/mobile/internet,

Voyage serait ce qu’il y a de mieux,

À maintenir l’esprit, ouvert,  curieux :

Se faire à l’idée des réalités,  plus nettes.

.

Il est vrai que le soleil est moins fort au nord

Mais on devine riche vie intérieure du dehors

Lors un manteau, un parapluie un cœur en or,

Vous tend la main, aide à la cerner plus encore.

.

Ici et là, bon nombre de gens  vont, et, viennent,

Certains pour le travail, d’autres pour la gaieté,

Si ce n’est pour la famille quelques nécessités,

Affaire de tous besoins  quoiqu’il  advienne !

.

L’important est l’impression  qui demeure

Après un passage et l’envie d’y séjourner

Lors chez soi on est de nouveau, rentré,

Émus des souvenir  des belles heures.

.

Lors la vue, l’ouïe, l’odeur, le goût,

Sont tous aux abois,

Il ne faudrait, jamais, se contenter

De voir tout, de chez soi,

Tant est utile, d’aller, sur place,

Voir ce qui, de droit,

Différencie bien, les choses,

Autres, par devers soi.

.

.

Extensions

.

Pas de mouvements, lors pas de vie à Amsterdam :

Pour autant c’est loin d’être ville morte, inanimée.

Il est vrai qu’en les pays nordiques, l’hiver, la vie

Se passe en habitations ou en cours intérieures

Plus qu’en grandes rues, voire grandes places.

.

Il suffit d’aller dans les cafés  pour constater

Joie de vivre n’ayant à envier  gens du sud :

La bière y coule à flot, et la bonne humeur

Devient de rigueur pour tous les convives.

.

Les Hollandais ont  comme sens de la fête

Autant en famille, communauté, publique,

Ou lors des événements dits nationaux dont

La fête de la Reine, en constitue  le summum.

.

Nous sommes arrivés  le lendemain,  et les rues

Étaient, souvent, jonchées par canettes de bière,

Et autres boissons rafraichissantes ou alcoolisées.

.

Nul besoin, pour un étranger, ou un touriste,

De parler le néerlandais   tant les résidents

Sont familiers de l’anglais, de l’allemand.

Le français sera très apprécié aussi pour

Sa connotation de culture et de gastronomie

Il faut bien le reconnaître : peu de gens le parle.*

.

Les cafés où l’on vend et consomme librement

Du hachich nous auront autant interpellés

Que les box rouges des prostituées.

Autres lieux, autres mœurs :

Qui a tort, qui a raison !

.

La foule au dehors dans les quartiers les plus commerçants

N’empêche pas de s’arrêter en lieux plus, calmes, tranquilles,

Pour déguster une bonne bière, dans une taverne déjà bondée.

Et où cette dernière coule du robinet comme sans interruption !

Naturellement la première gorgée de bière, je ne vous dis pas plus

Fleuve Amstel, et bière Amstel, vont de pairs : ils coulent de source,

Jusqu’à ce que les gosiers et les ventres, n’en puissent plus d’écluser !

.

Le mouvement, comme chacun sait,

C’est la vie et, sans lui, un bel ennui.

L’animation, c’est ce qu’on cherche,

Dans une ville, sinon, elle est morte.

.

Le jour, c’est le travail, les courses ;

La nuit, c’est loisir, sport et culture

Car c’est ainsi que la vie, on endure

Sinon on passera vite pour un ours.

.

.

Épilogue

.

La vie, comme chacun sait, c’est le mouvement,

Cela se voit, on ne le dira jamais assez

Il arrive que les rues soient désertes, sans gens,

Ni magasins ouverts, passages de bus.

***

Durant la journée, en plein midi, pleine activité,

Vrai chassé-croisé, quasi permanent,

Et agitation, amplifiée par terrasses restaurants,

Emplissant trottoir, bord des places.

***

Nuit, lampadaires s’allument comme des éclairs,

Et diffusent leurs diverses lumières

Entremêlées avec celles cafés, salles de spectacles

Si ce n’est celles quartiers chauds.

***

Et parfois, cris de foule vous viennent aux oreilles,

Signe d’une fête populaire ou défilé

L’on y est attiré vers eux comme autant de curieux

Qui veulent en profiter, y participer.

***

Notre jour d’arrivée, lendemain de fête de la reine,

Il  avait des canettes, verres en papier

Dans les rues centrales loin d’être encore nettoyées

Spectacle ahurissant, non consternant.

.

.

344 – Calligramme

 .

Pas de

Mouvement

Lors pas de vie :

Choses et gens figés,

Rapidement s’ennuient,

Ainsi,  les hommes  vivent,

Transitent entre rues et rives.

En dépit, télés/mobile/internet,

Voyage serait ce qu’il y a de mieux,

À maintenir l’esprit, ouvert,  curieux :

Se faire à l’idée des réalités,  plus nettes.

 P A  S       D   E

Il est vrai que le soleil est moins fort  M    au nord

Mais on devine riche vie intérieu    O   re du dehors

Lors un manteau, un parapluie    U    un cœur en or,

Vous tend la main, aide à la cer  V     ner plus encore.

Ici et là, bon nombre de gens    E    vont, et, viennent,

Certains pour le travail d’au  M    tres pour la gaieté,

Si ce n’est pour la famille    E    quelques nécessités,

Affaire de tous besoins     N     quoiqu’il advienne !

L’important est l’imp    T    ression  qui demeure

Après un passage et     =    l’envie d’y séjourner

Lors chez soi on est   V    de nouveau, rentré,

Émus des souvenir   I      des belles heures.

 E

Lors la vue, l’ouïe, l’odeur, le goût,

Sont tous aux abois,

Il ne faudrait, jamais, se contenter

De voir tout, de chez soi,

Tant est utile, d’aller, sur place,

Voir ce qui, de droit,

Différencie bien, les choses,

Autres, par devers soi.

A M S T E R D A M

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.344 4

.

Un pendentif à l’envers

Vase, avec  un couvercle,

Mais, tout aussi  bien   que

Lanterne ou lampadaire.

.

Les lanternes, les lampadaires

ne créent pas d’agitation, bruit,

ils ne font qu’éclairer  des lieux,

ainsi la forme s’écarte du fond

.

Rien n’empêche d’avoir agitation sous une lanterne,

 En intérieurs 

S’il n’y en aucune sous les lampadaires, à l’extérieur,

 Dans les rues.

.

Symbolique

.

La lanterne est un

Symbole de connaissance

D’intelligence, celle qui éclaire

Le monde des hommes  et elle abrite

Le feu fragile, sacré, qu’il faut préserver.

.

La lanterne contient la lumière individuelle

Qui peut se transmettre. Elle nous guide

Et elle peut aussi guider les autres.

.

Si nous rêvons d’une lanterne,

Elle représente l’intelligence

D’une personne précise.

Sa pensée nous éclaire.

tristan-moir.fr/lanterne

.

Descriptif

 

344 – Pas de mouvement : de vie Amsterdam

Alignement central  / Titre courbe  /  Thème  ville

Forme ovale  /  Rimes libres    / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lanterne  / Symbole de fond : lampadaire

.

.

Fond

.

Évocation 

.

344 6

.

Rien n’empêche d’avoir agitation sous une lanterne,

 En intérieurs 

S’il n’y en aucune sous les lampadaires, à l’extérieur,

 Dans les rues.

.

Symbolique de fond

.

Quand on parle

D’éclairage public,

Deux termes reviennent :

Lampadaire et … réverbère.

D’un point de vue étymologique,

Le mot réverbère provient du latin

«Verbero» qui  voudrait dire frapper.

.

Et, en effet, à l’époque des premiers

Lampadaires, ceux-ci comportaient

Plusieurs miroirs qui  étaient frappés

Par  la lumière : celle-ci était  alors

Diffusée aux alentours éclairant

Partie de la rue et la chaussée.

.

Quant au mot «lampadaire»

Il se réfère  aux lampades,

Des nymphes issues de la

Mythologie grecque qui

Portaient des torches

Diffusant un halo

De lumière.

objets-de-legende.fr/histoire-

evolution-lampadaire.html

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Pas d’agitations, pas de bruits :

Par ce seul fait, pas d’ambiance

Je vous parle du milieu de nuit

Les réverbères ou lampadaires

Auront tous éteints leurs feux

Et les cafés auront tous cessé

 D’assurer les boissons, jeux.

 .

.

Centre-ville d’Amsterdam

.

Scénario

.

La foule circule devant les cafés, commerces,  centre d’Amsterdam,

nous nous arrêtons devant l’un d’eux, un peu au hasard, pour boire,

une bonne bière hollandaise en salle bien remplie, des plus animées.

 .

Visuels et textuels  >> 

343 – Amsterdam, ses habitants du centre-ville (II)

Visuels et textuels  >> 

.

Connaitre une ville, requiert du temps,

Autant de patience que de curiosité

Et il faut dépenser  de l’énergie,

Pour capter  l’âme des gens,

Sans parler de leur cité !

.

L’on peut se contenter

De surfer pour y croire,

Qu’on a été  à  l’essentiel,

Mais c’est toujours erroné.

.

Il y aura toute une éducation

Des gens, à faire, pour voyager,

Apprendre à observer sans juger.

.

Il y a l’éducation, gens  résidents,

Qui nous échappe, peu acculturé.

Et un dialogue de confrontations

Règles extérieures/intériorisées.

.

Et lors des lendemains de fête,

Nombre de bouteilles et détritus

Jonchent les trottoirs et chaussées

Ou, encore, les vélos, les trottinettes

Qui sont comme  norme  du transport

Chaos de leur rangement n’importe où.

.

On sait tous, pourtant, que les hollandais

Aiment beaucoup et l’ordre et la propreté.

Et ce sera donc  en fonction  d’un contexte,

Qu’il faudra relativiser  pour ne pas projeter

Tous les cadres de nos pensées  de référence,

Imprimés par son pays, sa propre éducation.

.

Finalement c’est un peu comme un carnaval,

Qu’il soit ici, soit aux Canaries, soit ailleurs .

Sauf qu’ici, ils mettent trois jours à nettoyer

Cela ne se produit qu’une fois dans l’année.

.

Gens du Nord sont moins démonstratifs

Que ceux du Sud, la majorité des fêtes

Se passent à l’intérieur des cours.

.

L’avantage d’avoir un vélo

Pour rentrer chez soi reste

Que tant qu’on tient l’équilibre

On peut pédaler sans avoir de crainte

De renverser quelqu’une, bien encore que…

.

.

Extensions

.

Fêtes sont de tous les pays,

Cultures, cités, ou quartiers,

Elles ne sont pas organisées,

Pas vécues, de la même façon

Selon chacune des traditions.

.

Lorsque dans les villes du sud,

C’est dans les rues et les places

Que tout se passe, tout s’amasse

À contrario, en les villes du nord,

Gens s’entassent en cafés et salles.

.

Il y a nul doute que la météo, y soit

Pour quelque chose, mais  pas  que…

Exubérances, retenues, ne se dérèglent

Pas de la même manière bien qu’au final,

Résultat soit souvent même, à voir les gens

Chanter, crier, tituber, ou rire, dans la rue !

.

Ici, à Amsterdam, ce sera la bière qui tient,

Naturellement en lumière, le haut du pavé,

Et quelques heures plus tard, et plus noir,

Le bas du trottoir si ce n’est du caniveau.

Nous, nous sommes  arrivés, trois jours

Trop tard pour profiter de l’événement

Annuel fête de la reine des Pays-Bas.

.

Aux Pays-Bas la couleur officielle des supporters de foot est orange.

Or elle ne figure pas sur leur drapeau, à bandes : rouge, blanc, bleu !

À l’origine, l’orange figurait aussi sur le drapeau, à la place du rouge :

La bande orange fut progressivement remplacée par une bande rouge,

Pour être plus visible en mer : orange est restée considéré par le peuple

Comme partie intégrante de la culture nationale et perdure aujourd’hui.

Oui mais alors pourquoi la couleur  fuchsia, me  direz-vous : les tulipes ?

.

.

343 – Calligramme (II)  

 .

Connaitre une ville, requiert du temps,

Autant de patience que de curiosité

Et il faut dépenser  de l’énergie,

Pour capter  l’âme des gens,

Sans parler de leur cité !

.

L’on peut se contenter

De surfer pour y croire,

Qu’on a été  à  l’essentiel,

Mais c’est toujours erroné.

Il y aura toute une éducation

Des gens, à faire, pour voyager,

Apprendre à observer sans juger.

.

Il y a l’éducation, gens  résidents,

Qui nous échappe, peu acculturé.

Et un dialogue de confrontations

Règles extérieures/intériorisées.

HABITANTS

Et lors des lendemains de fête,

Nombre de bouteilles et détritus

Jonchent les trottoirs et chaussées

Ou, encore, les vélos, les trottinettes

Qui sont comme  norme  du transport

Chaos de leur rangement n’importe où.

CENTRE-VILLE

On sait tous, pourtant, que les hollandais

Aiment beaucoup et l’ordre et la propreté.

Et ce sera donc  en fonction  d’un contexte,

Qu’il faudra relativiser  pour ne pas projeter

Tous les cadres de nos pensées  de référence,

Imprimés par son pays, sa propre éducation.

Finalement c’est un peu comme un carnaval,

Qu’il soit ici, soit aux Canaries, soit ailleurs !

Sauf qu’ici, ils mettent trois jours à nettoyer

Cela ne se produit qu’une fois dans l’année.

Gens du Nord sont moins démonstratifs

Que ceux du Sud, la majorité des fêtes

Se passent à l’intérieur des cours.

AMSTERDAM

L’avantage d’avoir un vélo

Pour rentrer chez soi reste

Que tant qu’on tient l’équilibre

On peut pédaler sans avoir de crainte

De renverser quelqu’une, bien encore que…

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

343 4

.

De quel objet s’agit-il,

Ici, peut-être verrier :

Je ne saurais trop le dire 

Ça ressemble à l’art déco ?

.

Objet d’art façonné peut-être

 Par  un artisan  ou  un  verrier :

Ça fait rétro, vintage, art déco,

Mais je me trompe certainement.

.

Symbolique 

.

L’Art déco est un mouvement artistique

Né au cours des années 1910

Et qui aura pris son plein épanouissement

Au cours des années 1920

Avant de décliner à partir des années 1930.

C’est le premier mouvement

Architecture-décoration  d’échelle mondiale,

Concerne l’architecture intérieure

Avec ses tapisseries, ses vitraux et peintures

Et ses sculptures ornementales,

Son ébénisterie, l’emploi de la céramique,

Sans compter de l’orfèvrerie.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

 

342 – Habitants centre-ville Amsterdam (II) 

Alignement central / Titre absent / Thème  habitat

Forme  courbe / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : art-déco  / Symbole de fond : verrier

.

.

Fond

.

Évocation 

.

343 6

.

Objet d’art façonné peut-être

 Par  un artisan  ou  un  verrier :

Ça fait rétro, vintage … art déco,

Mais je me trompe certainement.

.

Symbolique 

.

Le verrier est un métier d’art

Exercé par un artisan d’art ou un artiste,

Chargé de fabriquer, restaurer objets décoratifs

En  verre tels que vitrail, figurines et sculptures

Ou utilitaires tels que tous les arts de la table.

.

Il travaille sur base d’idées personnelles

Ou de modèles en utilisant des dessins.

Il sélectionne la matière et l’outillage,

Compte tenu des caractéristiques techniques

Matériaux : composition, point de fusion.

.

Il transforme ainsi la matière de base

Par le découpage, la mise en forme,

Le façonnage puis l’assemblage.

Modifié, source : Wikipedia /Verrier

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Canaux n’ont rien à voir avec verreries

Mis à part peut-être l’eau transparente

Voire, à  certains  endroits, translucide

Et les canaux ceinturent le centre-ville

En  autant  de parures et protections,

Qui en ont fait une ville magnifique 

À visiter à pied voire sinon en vélo

Et  prendre le temps  de s’arrêter

Ici ou là et comme pour flâner

Pour mieux  s’en  imprégner,

Par tous ses sens curiosités

En faire jardin souvenirs

 .

.

Orange, bleu du ciel et d’eau

.

Scénario

.

Foule bariolée avec de l’orange sur eux ou d’habillement : étonnant, non ?

quand il fait gris, ou qu’il pleut, les habitants s’habillent en plus sombre,

dès qu’il sont à la fête autour de l’eau, orange, fuchsia, refont surface.

 .

Visuels et textuels  >>

342 – Amsterdam, ses habitants du centre-ville (I)

Visuels et textuels  >>  

.

De parcourir le centre-ville,

Si grand, compliqué, soit-il :

En long, en large, en travers,

Finit par vous créer : système

Interne de repérage directions

De localisations, ou  situations.

.

« Ah, tiens … ça doit être par-là !

Tiens, on est déjà passé par ici !

Tiens, on se dirige vers le Nord !

Je n’avais pas vu la dernière fois !

On est en quartier près du centre !»

.

Tant il est vrai que les repères,

Physiques,   architecturaux,

Quand ils  sont  nombreux

Quand ils  sont  différents,

Bien connus et pertinents,

Seront d’égale importance

Aux  noms des rues, places

Qu’on peine à lire,  stocker.

.

Et puis il y a …..… les petites

Et les grandes … découvertes

Inscrites en aucun des guides,

Ou à peine signalées dans l’un

Pas dans l’autre  ou  qui ne font

Pas cas d’attentes ni préférences

De chacun mais de tout le monde.

.

Par exemple, sur  certaines  façades,

Pourtant exceptionnelles d’habitations

Sont pas signalées dans les guides, cartes,

Partant principe elles sont trop nombreuses

Qu’elles sont  du même style,  même époque,

Ou qu’on  les trouvera  en plusieurs  endroits.

.

Des guides vous signalent  la dizaine de bars,

Autant de restaurants,  et de clubs de loisirs,

Alors qu’il y en aura dix fois plus originaux,

Populaires, économiques et plus plaisants.

Vous amèneront aux meilleurs endroits,

Les plus chers mais pour consommer.

.

À suivre les indications d’un guide,

Yeux fermés, on finit par se faire

Toute la collection de photos

Qui seront autant de clichés

Que l’on trouve en imprimés

Touristiques pour la promotion.

.

Parcours obligé pour la même chose

Pour pouvoir en parler alors qu’il existe

Tant d’autres surprises même pas cachées.

.

.

Extensions

.

Il existe, dieu merci,

Maintes manières et façons

De parcourir et découvrir une ville

Que l’on ne connait pas et en particulier

Toutes les capitales de tous les pays étranger.

.

La meilleure étant bien sûr de résider chez l’habitant

Un long moment et se faire guider sinon conseiller par lui.

Chacun sait qu’il n’y a pas que l’extérieur des bâtiments

Qui soit intéressant, l’intérieur, côté jardin, se révèle

Parfois bien plus typique ou plus original,

En tous cas bien plus vivant.

.

Pour avoir visité un certain

Nombre de passages, cours,

Avec porte d’entrée discrète,

Je me suis fait à l’idée qu’il

Faut voir l’endroit, l’envers.

.

Le centre d’Amsterdam est en réalité petit par rapport à l’ensemble

Qui s’étend des deux côtés du fleuve Amstel et des réseaux de canaux.

Façades anciennes et nouvelles des maisons en pignons, sont typiques,

Et entièrement vitrées pour capter le maximum de lumière extérieure,

Sachant qu’elles sont bien allongées en profondeurs, tranches accolées

On trouve par d’endroits quelques fenêtres de toit ornées et sculptées

Dont certaines se réfléchissent en l’eau les jours de son plein miroir.

.

.

342 – Calligramme (I) 

 .

De parcourir le centre-ville,

Si grand, compliqué, soit-il :

En long, en large, en travers,

Finit par vous créer : système

Interne de repérage directions

De localisations, ou situations.

.

« Ah, tiens … ça doit être par-là !

Tiens, on est déjà passé par ici !

Tiens, on se dirige vers le Nord !

Je n’avais pas vu la dernière fois !

On est en quartier près du centre !»

HABITANTS 

Tant il est vrai que les repères,

Physiques,  architecturaux,

Quand ils sont nombreux

Quand ils sont différents,

Bien connus et pertinents,

Sont d’une égale importance

Aux noms des rues ou places

Qu’on peine à lire, à stocker.

  CENTRE-VILLE

Et puis il y a …..… les petites

Et les grandes … découvertes

Inscrites en aucun des guides,

Ou à peine signalées dans l’un

Pas dans l’autre ou qui ne font

Pas cas d’attentes ni préférences

De chacun mais de tout le monde.

  AMSTERDAM

Par exemple, sur certaines façades,

Pourtant exceptionnelles d’habitations

Sont pas signalées dans les guides, cartes,

Partant principe elles sont trop nombreuses

Qu’elles sont  du même style,  même époque,

Ou qu’on  les trouvera  en plusieurs  endroits.

Des guides vous signalent  la dizaine de bars,

Autant de restaurants,  et de clubs de loisirs,

Alors qu’il y en aura dix fois plus originaux,

Populaires, économiques et plus plaisants.

Vous amèneront aux meilleurs endroits,

Les plus chers mais pour consommer.

À suivre les indications d’un guide,

Yeux fermés, on finit par se faire

Toute la collection de photos

Qui seront autant de clichés

Que l’on trouve en imprimés

Touristiques pour la promotion.

.

Parcours obligé pour la même chose

Pour pouvoir en parler alors qu’il existe

Tant d’autres surprises même pas cachées.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

342 4

.

De quel objet s’agit-il,

Ici, peut-être verrier :

Je ne saurais trop le dire 

Ça ressemble à l’art déco ?

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Un objet d’art façonné peut-être

 Par  un artisan  ou un verrier :

Ça fait rétro, vintage,…art déco,

Mais je me trompe certainement.

.

Symbolique 

 .

L’Art déco est un mouvement artistique

Né au cours des années 1910

Et qui aura pris son plein épanouissement

Au cours des années 1920

Avant de décliner à partir des années 1930.

C’est le premier mouvement

Architecture-décoration  d’échelle mondiale,

Concerne l’architecture intérieure

Avec ses tapisseries, ses vitraux et peintures

Et ses sculptures ornementales,

Son ébénisterie, l’emploi de la céramique,

Sans compter de l’orfèvrerie.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

 

342 – Habitants centre-ville Amsterdam (I) 

Alignement central / Titre absent / Thème  habitat

Forme  courbe / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : art-déco  / Symbole de fond : verrier

.

.

Fond

.

Évocation 

.

342 6

.

Un objet d’art façonné peut-être

 Par  un artisan  ou un verrier :

Ça fait rétro, vintage,…art déco,

Mais je me trompe certainement.

.

Symbolique 

 .

La verrerie est l’art

De la fabrication du verre

Et désigne l’atelier du verrier.

Depuis l’Égypte ancienne,

Le verre fascine par

Ses propriétés étranges.

.

Translucide ou transparent,

Il  se  travaille, au  feu,

Un peu comme un métal.

Fragile, il est aussi très dur

Une fois figé  dans sa … forme.

.

On a commencé à fabriquer du verre

Il y a environ 5 000 ans, dans la région

Du Croissant fertile et la vallée du Nil.

Modifié, source : Wikipédia Verrerie

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Canaux n’ont rien à voir avec verreries

Mis à part peut-être l’eau transparente

Voire, à  certains  endroits, translucide

Et les canaux ceinturent le centre-ville

En  autant  de parures et protections,

Qui en ont fait une ville magnifique 

À visiter à pied voire sinon en vélo

Et  prendre le temps  de s’arrêter

Ici ou là et comme pour flâner

Pour mieux  s’en  imprégner,

Par tous ses sens curiosités

En faire jardin souvenirs

 .

.

Centre, à visiter à pied ou vélo 

.

Scénario

.

Immeuble d’architecture ancienne avec façades en pignon et sculptures.

Carte du centre touristique entouré en rouge  et environs de la banlieue.

Immeubles d’architecture moderne, dépouillée mais toujours très vitrée.

 .

Visuels et textuels  >> 

341 – Qui dit canal, voit les rives d’Amsterdam

Visuels et textuels >>  

.

Qui dit canaux, dit ponts

Aux reflets dans l’eau, ronds.

.

Qui dit canaux, dit embarcations

Ou barques ou péniches en action.

.

Qui dit canaux, dit oiseaux graciles,

Cygne, canard, oie, élisant domicile.

.

Qui  dit canaux, dit  larges  espaces,

Aménagés, pour respirer  en  places.

.

Qui dit canaux, dit : près de la mer,

Comme interpénétrations  de terre.

.

Qui  dit  canaux,  dit   arbrisseaux,

Ou rangée arbres, abris d’oiseaux.

.

Qui dit canaux,  dit  des  badauds

Qui se tirent portraits  et photos.

.

Qui dit canaux, dit  restaurants,

Pour abreuver la faim, chaland.

.

Qui dit canaux,  dit romances,

Qui  attire  flots  d’affluences.

   .

Qui dit canaux,  dit poésies,

Avec cœur las  ou  transis.

    .

Qui dit canaux, dit rives,

Et habitations captives.

     .

Qui dit canaux, dira,

Que ça naviguera.

.

Qui dit canaux,

Dit des eaux,

Stagnantes

Coulants

Filets.

.

.

Extensions

.

Un canal est un cours d’eau artificiel, créé,

Tout au moins, aménagé par les hommes.

Il y en a plus souvent en campagne pour

Relier deux rivières proches entre elles

Afin de permettre  les  transports de

Marchandises à l’aide de péniches.

.

Elles servent aussi et de plus en plus

Au tourisme fluvial avec  pénichettes.

On en trouve  dans des grandes villes :

À Venise, Amsterdam, Bruges et Paris.

.

Il y a un côté romantique dans les canaux

Chanté par les romanciers et certains poètes,

Pour leurs ponts, leurs vedettes et habitations.

Les canaux d’Amsterdam sont concentriques :

Ils font autour d’une centaine de kilomètres,

Et ils relient de nombreuses iles entre elles

Classé au Patrimoine mondial d’Unesco.

.

Des fleurs ornent leurs rives, leurs ponts,

Si ce ne sont, des arbustes, ou des arbres.

La vue des canaux procure une impression

De fraîcheur et de nature et leurs largeurs

Estompent bruits urbains, allant parfois

Jusqu’au silence comme dans un parc.

.

Qui dit canaux dit bateaux qui vont sur l’eau, forcément.

Et il y en a  de toutes tailles, formes, allures, et couleurs !

Certains sont comme des fusées, des cigares, des  flèches

D’autres, des barques, des tableaux de peintures à l’eau.

Je crois je préfère les seconds, je les trouve plus beaux.

Aurais-je pour autant envie d’en avoir un, pas certain

Mais m’en souviendrai, comme à Venise ou Bruges !

.

Canaux d’Amsterdam ne sont pas

Comme les anneaux de… Saturne :

Ils sont en arc de cercle, pas ronds,

Ils se longent, se croisent, par ponts

Et par petits canaux comme bretelles

Tant et si bien qu’ils font labyrinthes !

.

Or nous n’en aurons emprunté aucun

Faute de temps, faute d’opportunités !

Pour autant, n’avons rien  à regretter :

Rien que de les voir, donne cœur léger,

Et puis pour tout vous dire, rien cacher

Nous préférons notre mer à nous, en ile.

.

.

Épilogue

 

Bac, barge, barque, barquette,

Embarcation, bachot,  bateau,

Auront un point commun : ba

***

Tout bateau de taille modeste

À voile, à avirons ou à moteur

Sera appelé une embarcation.

***

La barquette est de Marseille,

Pointue, à l’avant et à l’arrière

Avec un petit mat et une voile.

***

 Bachot n’est pas  baccalauréat :

Petit bateau à fond plat ou quille,

Pour passer bras de rivière, mer !

***

Amsterdam, c’est plutôt péniches,

Qu’on trouvera au bord de canaux

Dont la plupart, habités à l’année.

***

Sûr, ce ne sont pas les gondoles,

À touristes de canaux de Venise,

Avec folklore depuis des siècles !

***

C’est presque aussi  romantique,

Que de sillonner nombre canaux

Pour circuler, ici, en tranquillité.

.

.

341 – Calligramme 

 .

Qui dit canaux   Q    dit ponts

Aux reflets dans  U   l’eau, ronds.

 I

Qui dit canaux   *  dit embarcations,

Ou barques ou  D  péniches en action.

I  ……

Qui dit canaux   T  dit oiseaux graciles,

Cygne, canard   *  oie, élisant domicile.

C  ….

Qui dit canaux    A     dit larges espaces,

Aménagés, pour  N   respirer  en places.

A  ….

Qui dit canaux    U  dit : près de la mer,

Comme interpé   X  nétrations de terre.

*  …

Qui dit canaux     D      dit arbrisseaux,

Ou rangée arbres  I      abris d’oiseaux.

T

Qui dit canaux     *   dit  des badauds

Qui se tirent por  R  traits et photos.

I

Qui dit canaux   V   dit restaurant,

Pour abreuver    E   faim, chaland.

  S

Qui dit canaux    *    dit romance,

Qui attire flots   D    d’affluences.

    ‘

Qui dit canaux   A     dit poésie,

Avec cœur las   M   ou transis.

      S

Qui dit canaux T      dit rive,

Et habitation  E     captive.

      R

Qui dit can  D  aux dira,

Que ça na  A  viguera.

 M

Qui dit     canaux

Dit   des eaux,

Stagnantes

Coulants

Filets.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

341 4

.

Une forme de barque propre

Aux canaux d’Amsterdam, 

Avec une proue pointue,

Et largeur très étroite.

 .

Une barque, un bateau, une péniche …

Une maison flottante :

Comme autant d’embarcations de rêve

Qui naviguent sur l’eau.

.

Symbolique de forme

.

Barque de rêve,

Le bateau navigue sur

Tous les flots de nos rêves.

Il est le véhicule des vivants,

De leur vie et de leur histoire.

Symbolise transport temporel

Et collectif  et il s’agit toujours

Histoire vécue avec personnes,

Histoire qui viendra s’inscrire

Dans la durée plus ou moins

Importante de la traversée.

En prendre un est prendre

Un départ, nouveau cap.

Modifié, source psychologies.com/Therapies/

Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Bateau

.

Descriptif

 

341 – Qui dit canaux dit rives d’Amsterdam

Alignement central / Titre droit / Thème découverte

Forme en pointe / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : barque  / Symbole de fond : embarcation

.

.

Fond

.

Évocation 

.

341 6

.

Une barque, un bateau, une péniche …

Une maison flottante :

Comme autant d’embarcations de rêve

Qui naviguent sur l’eau.

.

Symbolique

 .

Les embarcations

De manière générale,

Tous  véhicules  capables

De circuler sur et dans l’eau,

Représentent le potentiel affectif,

Et  la façon  d’avancer, se comporter

Sur le plan émotionnel, état du véhicule,

Sa taille, sa capacité, sa forme, sa couleur,

Son mode d’avancement ou de motorisation,

L’usage que l’on en fait, etc… seront autant

De facteurs à analyser afin de déterminer

L’état de conscience, niveau de stabilité

Émotionnelle des personnes qui

L’utilisent individuellement

Ou collectivement.

ucm.center/fr/symbole-bateau

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une promenade en barque sur les canaux

D’Amsterdam, on se croit à Bruges, à Venise

On ne risquera pas de se perdre en son tour,

Sachant qu’ils sont circulaires, non autour.

Il y a en fait toutes sortes d’embarcations

Même des péniches comme habitations :

On peut dire que canaux sont exploités

Au maximum comme cœur de la cité,

Que l’on garde plaisir à contempler.

  .

.

Canaux circulaires d’Amsterdam

.

Scénario

.

Canal intérieur, avec immeubles, verdure, barques à moteur.

Bifurcation entre deux ponts, le jour, comme un carrefour fluvial.

Même bifurcation, de nuit, avec reflets lumineux, ronds dans l’eau !

 .

Visuels et textuels >> 

339 – Petite semaine de visite à Amsterdam (III)

Visuels et textuels >>

.

Nous sommes sortis, de ce musée,

Abasourdis  par  cette  bien  triste  histoire,

Vraiment hors du commun, pour nous en remettre,

Nous décidons d’aller prendre un grand verre de bière

En un café du centre-ville, tant, comment ajouter

Le moindre commentaire qui soit pertinent,

Sur cette cruelle inhumaine illustration

D’injustice, à vrai dire, inégalée :

Nous n’avons qu’à compatir

Ou bien à  nous  taire

Ou  bien à prier

Un  dieu

V

.

En

Sortant

De ce beau café,

Nous retrouvons ville,

Avec ses nombreux canaux,

Et ses rues et ses places, ses vélos

Qui nous frôlent à gauche ou à droite.

Le centre-ville n’est pas des plus étendu,

Dès lors il est possible de le faire à pied

En une journée sinon voire en vélo,

Voire en bateau ou en bus.

.

Les maisons sont accolées,

Ne dépassent pas quatre étages,

Monuments, administrations, hôtels.

Elles présentent toutes, un pignon en façade

Qui permet  de mettre  d’avantage  de maisons

Dans la rue où place fait cruellement défaut

À tel point que bon nombre de résidences,

Se sont établies sur les bords des canaux

Dans des péniches,  maisons flottantes.

.

Les rues commerçantes et piétonnières

Ressemblent aux capitales européennes,

Que nous connaissons avec un certain chic

Pour l’habillement avec des prix plus élevés,

Il faut compter  un tiers de plus  qu’en France

Pour le même article, et nous le savions déjà,

Dommage  pour  l’économie  d’Amsterdam,

Tant nombre touristes ne manquent pas.

Il en est tout autrement, à la périphérie

Mais au centre, c’est le choix du luxe.

.

Nous atteignons le centre appelé le DAM

Où la fête foraine bat son plein avec attractions

En tous genres, notamment roues et accélérateurs

Vous procurant sensations vitesse, voltige, vertige.

Nous y avons mangé de hot dog repas du soir

Ce qui nous a fait une bonne moyenne

Avec le prix du restaurant du midi.

.

.

Extensions

.

Nous avons

Poursuivi notre chemin

Tant et si bien que de fil en aiguille,

Disons plutôt ici de places en canaux,

Et nous nous sommes retrouvés

Dans le quartier chaud

Avec sex-shops,

Théâtres vivants

Et vitrines d’exposition

Des prostituées à tous coins de rues,

Y compris derrière une grande église

Qui en abritait  bien une vingtaine,

Avec feu orange et  rideau rouge,

Si ce n’est  le contraire, ma vue

En était un peu troublée,

Et tout le reste aussi.

.

Aller un peu à gauche, un peu à droite, un peu partout au gré d’envie

Quitter les ponts pour les places et les places, pour de nouveaux ponts,

Pour finir, à la tombée  de la nuit, dans le quartier chaud, même rouge,

Où services de ses dames sont offerts par affichages de leur semi nudité.

Je n’en dirai pas plus, je n’y suis pas entré : même  pas envie d’y penser,

J’aime à croire qu’elles ne sont là, rien que pour faire joli, pour saliver.

Il s’agit d’un commerce comme les autres à côté des cafés à cannabis.

.

Il ne faudrait pas en faire une fixette

Sur un quartier chaud, cafés cannabis :

Ca reste anecdotique en rapport au reste

Ici au moins, on ne pratique l’hypocrisie !

.

C’est tout un plaisir de flâner, vagabonder,

De ci, delà, de rues en places, en quartiers

Et de découvrir des curiosités culturelles

Qu’on ne trouverait nulle part ailleurs.

.

Ce d’autant  que  n’avons  de guides

Ni en personne,  même en papiers,

Si ce n’est sur Internet, portable :

Seulement yeux grands ouverts.

.

339 – Calligramme (III)  

.

Nous sommes sortis, de ce musée,

Abasourdis  par  cette  bien  triste  histoire,

Vraiment hors du commun, pour nous en remettre,

Nous décidons d’aller prendre un grand verre de bière

En un café du centre-ville, tant, comment ajouter

Le moindre commentaire qui soit pertinent,

Sur cette cruelle inhumaine illustration

D’injustice, à vrai dire, inégalée :

Nous n’avons qu’à compatir

Ou bien à  nous  taire

Ou  bien à prier

Un  dieu

V

.

****

****

.

En

Sortant

De ce beau café,

Nous retrouvons ville,

Avec ses nombreux canaux,

Et ses rues et ses places, ses vélos

Qui nous frôlent à gauche ou à droite.

Le centre-ville n’est pas des plus étendu,

Dès lors il est possible de le faire à pied

En une journée sinon voire en vélo,

Voire en bateau ou en bus.

QUATRE JOURS

Les maisons sont accolées,

Ne dépassent pas quatre étages,

Monuments, administrations, hôtels.

Elles présentent toutes, un pignon en façade

Qui permet  de mettre  d’avantage  de maisons

Dans la rue où place fait cruellement défaut

À tel point que bon nombre de résidences,

Se sont établies sur les bords des canaux

Dans des péniches,  maisons flottantes.

DE VISITE

Les rues commerçantes et piétonnières

Ressemblent aux capitales européennes,

Que nous connaissons avec un certain chic

Pour l’habillement avec des prix plus élevés,

Il faut compter  un tiers de plus  qu’en France

Pour le même article, et nous le savions déjà,

Dommage  pour  l’économie  d’Amsterdam,

Tant nombre touristes ne manquent pas.

Il en est tout autrement, à la périphérie

Mais au centre, c’est le choix du luxe.

À AMSTERDAM 

Nous atteignons le centre appelé le DAM

Où la fête foraine bat son plein avec attractions

En tous genres, notamment roues et accélérateurs

Vous procurant sensations vitesse, voltige, vertige.

Nous y avons mangé de hot dog repas du soir

Ce qui nous a fait une bonne moyenne

Avec le prix du restaurant du midi.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Une pointe de diamant, en haut ;

Voire une  de ses fabriques, en bas ?

Et que dire de plus, pour ces bijoux

Sinon qu’il y a dix formes en une !

.

Diamant et formes vont ensemble

on imagine pas diamant informe

Amsterdam est un lieu pour eux,

aussi la forme épousera le fond.

.

Évocation 

.

339 4

.

Le diamant demeure bijou

D’extrême valeur marchande :

Amsterdam est l’un des joyaux

Des Pays-Bas, le plus grand.

 .

Symbolique 

 .

Symbolique diamant

Et son origine peut varier

Selon les cultures, et, les pays.

Et russes  prétendent qu’il favorise

La chasteté, en France, le diamant serait

Pierre de la réconciliation, écartant la colère.

On prétend aussi qu’il symbolise la… Constance.

Le diamant a donc inspiré toutes les cultures

De manières  différentes, mais, en restant

Dans les superlatifs les plus extrêmes.

Il est en gros considéré par tous

Comme un talisman, objet

Qui protège l’homme.

guideachat.portaildubijou.com/

pierres-metaux/diamant

.

.

Fond

.

Évocation 

.

339 6

.

Le diamant demeure bijou

D’extrême valeur marchande :

Amsterdam est l’un des joyaux

Des Pays-Bas, le plus grand.

.

Symbolique 

.

Un bijou … les sciences humaines et sociales ont connu

Depuis une vingtaine d’années un «tournant matériel»,

C’est-à-dire une attention nouvelle, portée à l’objet,

Pris dans sa réalité physique, envisagé support

Signification, facteur explicatif du monde

Économique, social et symbolique.

psl.eu/agenda/lobjet-en-question-

de-lusage-au-symbole

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

De passer d’une fabrique de diamants

Avec  des  prix  des plus  exorbitants

Aux ruelles remplies de sex-shops

En passant  par  les péniches,

En canal,  de toute beauté

Nous  aura fait comme

Montée   au  paradis

Descente  en  enfer.

Amsterdam ville

Pleine visages

Se dévoilant

Au regard

Étonné

Yes

V

 .

.

Amsterdam vit fort, la nuit

 . 

Scénario

.

Des vélos, en veux-tu, en voilà, cadenassés sur les ponts des canaux.

La place centrale, ou DAM, toujours  des plus animées,  et  visités.

Vitrines du quartier chaud, la nuit, se rendent fort attrayantes !

 .

Visuels et textuels >>

338 – Petite semaine de visite à Amsterdam (II)

Visuels et textuels  >>

.

Bien plus

D’é-tran-gers

Que d’hollandais :

Japonais, américains !

Pourquoi étrange histoire

Du journal …… d’Anne Frank,

Parlera, autant, à leurs mémoires

Individuelles, si  ce  n’est, collectives.

La Shoah, même chose, pour Américains,

Qu’explosion atomique, Hiroshima, Japonais.

Laquelle aurait le degré de barbarie, le plus  fort,

Peut-on juger  l’Histoire, seulement, par ses morts !

Aucun pays, et, pas plus de continent, selon l’Histoire,

N’aurait  de leçons  à donner  à personne  ni en recevoir

Tant les mêmes horreurs, mêmes  dévastation, guerres,

Demeurent  toutes  aussi cruelles  et  universelles.

Son histoire  aura  fait  le tour  de la  Terre,

Aura frappé  esprits  de toutes cultures,

Aura été perçue pire des victimes

Contre  le pire   des régimes

L’Allemagne des nazis.

.

Une victime qui dépassera

Le souvenir de son bourreau

Par l’esprit, enfant de treize ans,

Cette guerre absurde et sans nom

Est résumée en lieu tenu secret,

Abritant huit personnes avant

Une dénonciation anonyme.

On ne refait  pas  l’Histoire,

C’est l’histoire qui nous fait.

Ce musée de témoignage vaut

Bien d’autres musées de guerre,

On entrevoit les conditions de vie.

 .

Le journal commence le premier jour

De son enfermement volontaire pour fuir

Les rafles des juifs et le terminera deux mois

Avant la Libération, morte, avec sa sœur ainée,

D’épidémie de typhus en camp de concentration.

Des témoignages oraux ou écrits émanant de juifs,

Qui ont subi les affres des rafles et certains, la mort,

Il y en a eu des centaines, des milliers …  des millions

Aux Pays-Bas ; c’est le seul qui ait pris  telle ampleur,

À faire partie de la  Culture, de l’ADN  des hollandais.

C’est un symbole d’innocence, faisant face à barbarie,

Que de parvenir à écrire page de journal chaque jour

Pour ne pas sombrer ennui folie de l’enfermement,

Obligée de ne pas faire de bruit dans la journée

De travail de l’atelier, situé au-dessous.

L’humanité contre la bestialité !

.

.

Extensions

.

Des témoignages oraux ou écrits émanant

De juifs qui ont subi les affres des rafles,

Il y en a eu des centaines,  des milliers.

Aux Pays-Bas ; c’est le seul qui ait fait

Partie  de  la  culture  des  hollandais.

L’innocence faisant face à la barbarie

Prenant l’initiative d’écrire  une page

De journal,  chaque jour, pour ne pas

Sombrer ennui folie d’enfermement,

Obligée pas faire de bruit en journée

De  travail  de l’atelier  au-dessous.

L’humanité   contre  la bestialité :

Sous vernis de culture, pourriture

De la solution finale d’éradication

Génocide systématisée en science.

.

La journée consacrée à la visite de la maison d’Anne Frank

Rien de monumental, de capital, qu’émotion, et authenticité.

La visite se passe sans musique, sans guide, dans le décor réel.

On est chez elle et quelque part au rez-de-chaussée d’entreprise,

On sent l’ambiance, volontairement feutrée, pour se dissimuler

L’histoire a passé la main : demeure le témoignage humanité,

De son côté face à la barbarie de guerre sans nom de l’autre.

.

Il n’y a pas grand-chose à ajouter

À raconter d’elle, tant il faut le visiter

Pour être imprégné  d’une telle émotion

Qui vous colle à la peau, ne peut s’oublier.

.

C’est sans doute pour cela et son innocence

Et authenticité que la maison d’Anne Frank,

Est demeurée telle qu’elle, sans rien changer :

Les murs et le décor disent plus long que texte.

.

.

338 – Calligramme (II) 

 .

Bien plus

D’é-tran-gers

Que d’hollandais :

Japonais, américains !

Pourquoi étrange histoire

Du journal …… d’Anne Frank,

Parlera, autant, à leurs mémoires

Individuelles, si  ce  n’est, collectives.

La Shoah, même chose, pour Américains,

Qu’explosion atomique, Hiroshima, Japonais.

Laquelle aurait le degré de barbarie, le plus  fort,

Peut-on juger  l’Histoire, seulement, par ses morts !

Aucun pays, et, pas plus de continent, selon l’Histoire,

N’aurait  de leçons  à donner  à personne  ni en recevoir

Tant les mêmes horreurs, mêmes  dévastation, guerres,

Demeurent  toutes  aussi cruelles  et  universelles.

Son histoire  aura  fait  le tour  de la  Terre,

Aura frappé  esprits  de toutes cultures,

Aura été perçue pire des victimes

Contre  le pire   des régimes

L’Allemagne des nazis.

QUATRE JOURS

Une victime qui dépassera

Le souvenir de son bourreau

Par l’esprit, enfant de treize ans,

Cette guerre absurde et sans nom

Est résumée en lieu tenu secret,

Abritant huit personnes avant

Une dénonciation anonyme.

DE VISITE,

On ne refait  pas  l’Histoire,

C’est l’histoire qui nous fait.

Ce musée de témoignage vaut

Bien d’autres musées de guerre,

On entrevoit les conditions de vie.

 À  AMSTERDAM 

Le journal commence le premier jour

De son enfermement volontaire pour fuir

Les rafles des juifs et le terminera deux mois

Avant la Libération, morte, avec sa sœur ainée,

D’épidémie de typhus en camp de concentration.

Des témoignages oraux ou écrits émanant de juifs,

Qui ont subi les affres des rafles et certains, la mort,

Il y en a eu des centaines, des milliers …  des millions

Aux Pays-Bas ; c’est le seul qui ait pris  telle ampleur,

À faire partie de la  Culture, de l’ADN  des hollandais.

C’est un symbole d’innocence, faisant face à barbarie,

Que de parvenir à écrire page de journal chaque jour

Pour ne pas sombrer ennui folie de l’enfermement,

Obligée de ne pas faire de bruit dans la journée

De travail de l’atelier, situé au-dessous.

L’humanité contre la bestialité !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Evocation 

.

338 4

.

Une pointe de diamant, en haut ;

Voire une de ses fabriques, en bas ?

Que dire de plus, voire de pertinent

Sinon qu’il y a dix formes en une !

.

Diamant et formes vont ensemble

on imagine pas diamant informe

Amsterdam est un lieu pour eux

aussi la forme épousera le fond.

.

A l’endroit ou à l’envers, de tous côtés,

Le diamant étincelle :

Amsterdam brille autant de mille formes,

Et mille attractions.

.

Symbolique 

 .

Le diamant

Est peut-être la pierre

La plus symbolique, étant

Qualifiée de tous les superlatifs.

S’il est l’un des plus beaux gemmes

Qui existe, et on aime le comparer à la

Perfection,  la  pureté,  le  soleil …  la vie.

Les noces  de diamant  sont d’ailleurs

Celles qui  célèbrent  les soixante

Années de mariage, un must

Qui reste atteint par peu

De couples aujourd’hui.

.

C’est dire l’intensité de la valeur du diamant.

On retrouve, toujours, la joie, la protection,

La pureté et le positif lorsque les cultures

Antiques discutaient du diamant.

guideachat.portaildubijou.com/pierres-metaux/diamant

.

Descriptif

 .

337 – Quatre jours de visite à Amsterdam (II)  

Alignement central   / Titre absent   / Thème  guerre

Forme conique / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : diamant  / Symbole de fond : forme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

338 6

.

À l’endroit ou à l’envers, de tous côtés,

Le diamant étincelle :

Amsterdam brille autant de mille formes,

Et mille attractions.

 .

Symbolique 

Si vous regardez autour de vous,

Vous verrez bien que la majorité

Des objets qui nous entourent ont

Forme géométrique concrète;

Que ce soit un livre, un panneau

De signalisation, voire un dé…

C’est de cette manière  que les

Cubistes  voyaient  le monde.

Pour décrire une œuvre d’art,

Vous devez  connaître  les noms

De formes, figures géométriques.

bonjourdefrance.com/exercices/

contenu/les-formes-géométriques

.


.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

.

Anne Frank est un diamant, massacré,

Pour mauvaise raison,  mauvaise façon :

Est devenue un symbole innocence sacrifiée

.

Et à ce titre, elle mérite bien sa maison musée

Qui raconte sa tragique histoire plus délation

Dont elle  a laissé témoignage en son journal.

.

Ce qui est touchant, est l’état exact en lequel

Son appartement est conservé,  comme si

Elle y était, y vivait encore aujourd’hui

Et l’atelier en dessous comme avant.

.

Nous avons tous, besoin de lieux

Qui nous rappellent horreur

Et avons besoin de gens

Comme    testament

D’un    passé

Violent

V

.

.

Anne et sa famille

.

Scénario

.

La longue queue pour la visite du musée d’Anne Frank.

La façade du musée en laquelle est sa maison d’origine.

Anne Frank en train de rédiger le journal en un bureau.

 .

Visuels et textuels  >>

337 – Petite semaine de visite à Amsterdam (I)

Visuels et textuels >>

.

Juste une petite semaine de visite

En perspective pour visiter Amsterdam.

Y avons séjourné quatre jours quatre nuits

Tête pleine de souvenirs, envie d’y revenir.

Y a rien de trop,  mais,  c’est déjà assez,

Pour s’en faire première, petite idée.

C’est  la première fois  qu’on y va

Rien d’essentiel, on ne ratera.

Nous avons fait une étape

À Cambrai, en famille.

De là : trois bonnes

Heures de route

Et on y sera.

Y…sera,

Sera

V

.

Pas question de se garer au centre-ville,

Faute de place et bien qu’ayant réservé

Un appartement près de gare centrale.

.

Formule Park&Ride

Ceinture ville d’endroits

Pas chers et bien surveillés

Pour se garer au stade de foot !

.

Une fois parvenu sans encombre à la gare,  ensuite

Au terminus du métro : quantité bus, trams, taxis

Et, plus étonnant, le plus exotique, de vélos.

Ces derniers pullulent de toutes parts,

Pour la majorité, de couleur noire

Et d’aspect quelque peu rétro.

.

Impression qui domine d’abord,

Ils proviennent de même fabrique,

Puis, l’on observe, des détails visibles,

Mais ici, de toute façon … tout est plat :

L’on monte dessus  et  l’on pédale un coup,

Entretient la vitesse, l’effort, qui varient peu…

Nul besoin de musculatures, ni d’entrainements.

Malgré  un  plan  détaillé  pour  notre appartement,

L’on se trompe, deux fois, parmi les rues et les canaux,

On décide d’aller nous restaurer début en d’après-midi

Et nous tombons sur un restaurant typique, argentin,

Travers de porc salade ou entrecôte de bœuf, frites

Sur une place, très touristique, avec  belle église

Protestante, non loin du musée d’Anne Frank.

Ventre plein, on décide d’aller jeter un œil.

Chance nous sourit : on peut y entrer,

Après petite demi-heure d’attente.

.

.

Extensions

.

Flâner, errer, se perdre,

En Amsterdam, sans but,

Comme dans Paris ou dans

D’autres villes aussi chargées

De monuments et d’histoires,

Demeure, toujours, plaisant

Lors sujets  d’étonnement.

.

Pour nous le jeu en valait

La chandelle  et l’on peut

Saisir que pour certains

Ce n’est pas  rassurant :

Peur de passer à côté  de

Quelque chose  d’important,

Original, unique, les tenaillant.

 .

Visite par les transports en commun, et d’un arrêt à un autre,

Visite au gré de découverte, une fois à droite, une fois à gauche,

Vite en vélo, en accrochant ce dernier à la balustrade… d’un pont,

Le chic de se payer sortie sur un des nombreux bateaux sur canaux

De toute façon, avec sa voiture, c’est même pas la peine d’y penser

On passerait une heure à tourner avant de se trouver à se garer

Le taxi, c’est bien, pratique mais bien trop cher, à la journée.

.

Amsterdam est cité cosmopolite

Qui avoisine le million d’habitants

Est une ville les plus extraordinaires

Des plus romantiques et surprenantes :

Canaux, musées, mondialement célèbres ;

Multiples curiosités et richesses historiques,

Vous occuperont  une semaine, sinon un mois,

Lors pour la connaitre de fond en comble : 3 ans

.

.

337 – Calligramme (I) 

 .

Juste une petite semaine de visite

En perspective pour visiter Amsterdam.

Y avons séjourné quatre jours quatre nuits

Tête pleine de souvenirs, envie d’y revenir.

Y a rien de trop,  mais,  c’est déjà assez,

Pour s’en faire première, petite idée.

C’est  la première fois  qu’on y va

Rien d’essentiel, on ne ratera.

Nous avons fait une étape

À Cambrai, en famille.

De là : trois bonnes

Heures de route

Et on y sera.

Y…sera,

Sera

V

.

************************

*********************************

QUATRE JOURS

Pas question de se garer au centre-ville,

Faute de place et bien qu’ayant réservé

Un appartement près de gare centrale.

DE VISITE

Formule Park&Ride

Ceinture ville d’endroits

Pas chers et bien surveillés

Pour se garer au stade de foot !

À AMSTERDAM

 .

Une fois parvenu sans encombre à la gare,  ensuite

Au terminus du métro : quantité bus, trams, taxis

Et, plus étonnant, le plus exotique, de vélos.

Ces derniers pullulent de toutes parts,

Pour la majorité, de couleur noire

Et d’aspect quelque peu rétro.

 .

Impression qui domine d’abord,

Ils proviennent de même fabrique,

Puis, l’on observe, des détails visibles,

Mais ici, de toute façon … tout est plat :

L’on monte dessus  et  l’on pédale un coup,

Entretient la vitesse, l’effort, qui varient peu…

Nul besoin de musculatures, ni d’entrainements.

Malgré  un  plan  détaillé  pour  notre appartement,

L’on se trompe, deux fois, parmi les rues et les canaux,

On décide d’aller nous restaurer début en d’après-midi

Et nous tombons sur un restaurant typique, argentin,

Travers de porc salade ou entrecôte de bœuf, frites

Sur une place, très touristique, avec  belle église

Protestante, non loin du musée d’Anne Frank.

Ventre plein, on décide d’aller jeter un œil.

Chance nous sourit : on peut y entrer,

Après petite demi-heure d’attente.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

337 4

.

Une pointe de diamant, en haut ;

Voire une de ses fabriques, en bas ?

Que dire de plus, voire de pertinent

Sinon qu’il y a dix formes en une !

.

Diamant et formes vont ensemble

on imagine pas diamant informe

Amsterdam est un lieu pour eux

aussi la forme épousera le fond.

.

Amsterdam abrite une fabrique

 Pour retailler  un   tel diamant :

Amsterdam est-elle, comme  lui,

Paré de ses multiples alliances !

.

Symbolique 

.

Le diamant

Est une pierre précieuse

Incolore et extrêmement dure.

On lui attribue des vertus protectrices.

Cette pierre symbolisera : la pureté, l’amour,

Perfection, réconciliation, immortalité, constance.

Antiquité romaine, on utilisait le diamant en talisman.

Il était censé préserver des maladies, effets du poison.

Croyance populaire celui qui buvait un verre d’eau

Ou de vin contenant un diamant était protégé

De la goutte, l’apoplexie, la jaunisse.

Modifié, source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-diamant

.

Descriptif

 .

337 – Quatre jours de visite, à Amsterdam (I)  

Alignement central  / Titre absent   / Thème  bijou

Forme conique / Rimes libres  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : diamant  / Symbole de fond : diamant

.

.

Fond

.

Évocation 

.

337 6

.

Amsterdam abrite une fabrique

 Pour retailler  un  tel  diamant :

Amsterdam  est-elle, comme  lui,

Paré de ses multiples alliances !

 .

Symbolique 

.

Un diamant s’évalue

Selon couleur et pureté,

Son poids et selon sa taille.

Un grand  symbole  de pureté,

A réputation d’être très puissant :

Il accélérerait le travail des organes

Pour débarrasser toxines accumulées,

Et il stimulerait  le travail  du cerveau,

Le système musculaire  et immunitaire,

Régule hormones, et purifie nos pensées

Nous  protégerait  des énergies  néfastes.

Mais attention toutefois, celui ou celle qui

Prétend utiliser diamant en lithothérapie

Se doit  de posséder un cœur  pur, sous

Peine de voir les forces en présence

Se retourner contre lui !

alliancier.com/l-alliance-origines-histoires-et-symbole

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La visite d’Amsterdam ne se limitera pas

À la fabrique de diamants, bien évidemment

Il y a tant à voir, à découvrir, à expérimenter,

Qu’on pourrait y consacrer un bon mois entier.

.

On peut bien sûr s’informer, prendre un guide,

On peut tout autant flâner au hasard des rues

L’important est d’être ouvert, curieux de tout,

Je veux dire autant des monuments et gens.

.

Quand on est seul, ou à deux, opportunités

S’offrent à vous, de rencontres inédites,

Certaines personnes valent diamants

J’en rencontre assez fréquemment.

 .

S

.

Amsterdam,  un peu partout

.

cénario

.

On peut  utiliser les  nombreux transports en commun,

 sinon louer une bicyclette, rouge, pour bien la retrouver,

ou encore, cerise sur le gâteau, faire une visite en bateau.

 .

Visuels et textuels >>

336 – Où mieux déambuler qu’à Amsterdam !

Visuels  et textuels >> 

.

L’esprit des plus libres

Le corps bien reposé

Et, le  cœur, en fête,

Et l’estomac  repu :

Comment  circuler,

Centre Amsterdam

En ses places, rues.

Mais on se gardera

Toutefois des vélos,

Qui  vous  raseront,

Le ventre  ou  le dos,

Il vous manque juste,

Un  peu  plus  de soleil,

Pour faire, de la journée,

Une étape pleine merveille.

.

D’étonnantes maisons pignons,

Prolongent jusqu’au plus profond,

Leurs escaliers étroits en pente raide

Demandant pour les bagages de l’aide.

On ne peut, quatre à quatre, les monter,

Descendre, regarder où on met les pieds.

.

De vastes ouvertures  baignent de lumières

Des intérieurs dépouillés  mais très confort :

Ici, les hommes soignent leur : « home » fort,

Tant des diverses façades s’en disent très fiers.

.

Certains  vivent  dans des péniches  aménagées,

D’autres, sur des maisons flottantes plus carrées,

Pas d’étage, pas de jardin   mais un home-cocoon

Qui fait qu’on se déplace  comme en honey-moon.

  .

L’esprit libre, le corps reposé et le regard étonné,

On y découvre ses restaurants, ses cafés, musées,

La vie reprend  comme  un nouvel air  de gaieté,

Quand on est assez disponible pour en profiter.

.

C’est sans doute la réussite de ce court séjour,

Que de découvrir architectures, chaque jour,

Où canaux et ponts fleuris de vélos, partout,

Vous laissent parfums d’ailleurs et de tout.

.

Extensions

.

À Amsterdam, cœur de ville

Péniches et maisons flottantes

Sont légions  par rapport  à Paris

Ou à d’autres villes pourvues, aussi,

De nombreux canaux  pour accueillir.

.

Nous n’avons pas eu le loisir d’en visiter

Mais notre imagination  aura compensé

Ce manque en voyant, par leurs fenêtres

Ou hublots, des salons des plus feutrés.

Quels sont avantages et inconvénients,

Fallait le demander à leurs résidents.

Notre choix aura été  de privilégier

Monuments, musées de peintures

Et, naturellement, cafés typiques.

.

Nous avons loué un appartement

En plein centre qui nous a bien plu

Par son espace, par son agencement.

Nous étions trois : on aurait pu être six,

Sans aucun problème et la prochaine fois,

Nous louerons une péniche, ça nous changera !

Faut dire c’est pas donné de loger en plein centre,

À moins d’avoir des combines, voire des amis

Qui vous sous-louent, ou vous hébergent.

.

Tous les moyens sont bons pour déambuler dans Amsterdam :

À pied, à cheval, en bateau, en bicyclette, en trottinette, en moto,

Chaque moyen donne un point de vue et un angle différent à voir :

Le plus utilisé, bien sûr est le vélo et le moins, la calèche, le traîneau

Certaines places sont réservées qu’aux piétons et  là règne un calme !

Chacun sait que souvenirs les plus marquants rentrent par les pieds

Parce qu’ils libèrent la vue, donne plus de temps pour contempler.

 .

Le mieux, pour déambuler  en rues

d’Amsterdam  est encore … à pied,

Tant à faire attention aux dangers

En vélo, et plus encore  en voiture

En bus, on n’est pas dans le bain.

.

À pied, l’on s’arrête où  et quand

On veut, en auto, quand on peut !

À pied, l’on peut entrer en maison ;

En vélo, il faut l’attacher cadenasser ;

En voiture, mieux vaut laisser tomber.

.

Et nous avons choisi l’option pédestre ,

Laissant la voiture en un Park and Ride

Près  stade de foot d’Amsterdam Arena

Et pris vers le centre-ville, par le Tram.

.

.

336 -Calligramme

 .

L’esprit des plus libres

Le corps bien reposé

Et, le  cœur, en fête,

Et l’estomac  repu :

Comment  circuler,

Centre Amsterdam

En ses places, rues.

Mais on se gardera

Toutefois des vélos,

Qui  vous  raseront,

Le ventre  ou  le dos,

Il vous manque juste,

Un  peu  plus  de soleil,

Pour faire, de la journée,

Une étape pleine merveille.

C  O  M  M  E  N  T

D’étonnantes maisons pignons,

Prolongent jusqu’au plus profond,

Leurs escaliers étroits  en pente raide

Demandant pour les *   bagages de l’aide.

On ne peut, quatre à  D  quatre, les monter,

Descendre, regarder    É   où on met les pieds.

  A

De vastes ouvertures      M   baignent de lumières

Des intérieurs dépouil     B   lés  mais très confort :

Ici, les hommes soignent  U       leur : « home » fort,

Tant des diverses façades L       s’en disent très fiers.

  E

Certains vivent dans des   R      péniches  aménagées,

D’autres sur des maisons   *    flottantes, plus carrées,

Pas d’étage pas de jardin   À      mais un home-cocoon

Qui fait qu’on se déplace    *   comme en honey-moon.

   A

L’esprit libre, le corps re    M  posé et le regard étonné,

On y découvre ses restau    S   rants, ses cafés, musées,

La  vie reprend  comme     T  un nouvel air  de gaieté,

Quand on est assez dispo  E    nible pour en profiter.

  R

C’est sans doute la réus   D  site de ce court séjour,

Que de découvrir archi   A   tectures, chaque jour,

Où canaux et ponts fleu M   ris de vélos, partout,

Vous laissent parfums  *   d’ailleurs et de tout.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

336 4

.

Un vase ou plutôt une bouteille,

Peut-être même d’eau minérale !

Nul doute sur  la forme, au fond

Eau, lait, bière, vin : tout égal.

.

Parler de bouteille à Amsterdam

c’est évoquer, bien sûr leur bière

oui mais, pas plus là qu’ailleurs,

aussi la forme diffère du fond !

.

Une bouteille de liquides,

Tous aussi divers que variés,

Tout comme bouteilles trouvées 

En marchant dans Amsterdam.

.

Symbolique 

.

Le contenant, fait avec la matière :

Verre, plastique, transparent, opaque,

Usage : boisson, parfum, remède, poison,

Renseignent sur signification de bouteille.

.

On sait que le champagne est des plus festifs,

Que le parfum  est positif  dans le relationnel.

.

Le poison symbolise les mauvaises intentions

De ce fait là, ouvrir une bouteille, en rêve,

Symbolisera qu’on essaye de rassembler

Ses  ressources pour améliorer sa vie

Source : rosalie-dans-tous-ses-etats.com/

2015/10/que-signifie-votre-reve-bouteille.

.

Descriptif

 .

336 – Comment déambuler à Amsterdam ?

Alignement central  / Titre droit  / Thème  découverte

Forme courbe /Rimes égales  /Fond approché de forme

Symbole de forme : bouteille / Symbole de fond : bouteille

.

.

Fond

.

Évocation 

.

336 6

 .

Une bouteille de liquides,

Tous aussi divers que variés,

Tout comme bouteilles trouvées 

En marchant dans Amsterdam.

.

Symbolique

 .

Le contenant, la matière

Telle que verre, plastique,

Transparent ou opaque,

L’usage tel que boissons,

Parfum,  remède,  poison

Renseignent signification.

.

Le champagne est dit festif,

Lors le parfum est dit positif

Dans tout ce qui est relationnel.

.

Ouvrir une bouteille, en rêve, symbolise

Qu’on essaye de rassembler ses ressources

Pour améliorer sa vie, les choses, les deux.

rosalie-dans-tous-ses-etats.com/2015/

10/que-signifie-votre-reve-bouteille.

 .

.

Corrélations

Fond/forme

 .

.

 Rien ici

 .

 .

.

Marcher rythme de ses pas

.

Scénario

À vélo, en taxi ou en métro,

en barques, en bus, voire en calèches

ou encore, à pied dans ses grandes places.

.

Visuels  et textuels >> 

335 – La même chose partout, à Amsterdam !

Visuels et textuels  >> 

.

C’est toujours à peu près

La même chose, partout,

Des trains  et des métros,

Des bus,  des taxis,  autos,

Des rues, jardins et places,

Commerces  et  restaurants

Des hôtels, avec des clients,

Des touristes,  des résidents

Et pourtant,  il y a toujours,

Quelque chose de différent !

 .

Amsterdam n’est pas Venise

C’est vrai,  réciproquement,

En  dépit de  ses  multiples

Et ses circulaires canaux.

.

Elle  conserve des liens,

Avec la mer, d’autant,

Qu’eau, dans  sa ville,

N’est jamais de trop.

.

Et on goute  le plaisir

De chaque  découverte,

Œil aux aguets vous narre

Ce qu’on croit dû au hasard

Se transforme sous un regard.

.

Une troupe s’arrête pour photo,

En  un bus, un guide, avec  micro,

Raconte  ce qu’ils doivent entendre,

Sans se donner la peine de descendre.

.

Course, contre le temps, pour tout voir,

Ne donne, à l’émotion, que  peu d’espoirs

D’entrer en l’âme  du créateur, réalisateur,

On n’en garde qu’images, souvenirs, lueurs.

.

À pied, seul, à deux, trois, en petits groupes,

En arpentant les chaussées toute la journée,

L’œuvre apparait mieux dans son contexte.

.

L’argent et le temps ne sont plus prétextes,

À consommer modes rencontres, précitées.

Trois jours … trois … semaines, trois mois,

.

Ne vous procureront pa s mêmes  clichés.

C’est toute la différence entre voir une  fois,

Et revoir dix, cinquante, cent fois, un endroit

Où un nouveau détail frappera, à chaque fois.

.

À force de détours, de contours, et  de retours,

Vous  finirez, un jour, par  épuiser tous atours,

De certaines villes, que vous  connaissez déjà,

Qui se relivre, à vous, à chacun de vos pas.

.

Un musée, une exposition y font recettes,

Sa culture est le grand point attraction

Pour celui qui n’a d’autre occupation

Qu’être humain avec cœur en fête.

.

.

Extensions

.

À Amsterdam, comme dans d’autres capitales,

Temps est incompressible

Pour accéder  à toute architecture et culture.

De flâner, pour découvrir,

 .

Au coin d’une rue, voire au bout d’une place,

À  l’angle  d’un  carrefour,

Un grand trésor d’architectures sans savoir

De quoi il s’agit est un luxe

 .

Du visiteur qui errera sans plan ni guide

Lui donnant à voir ce à quoi

Il s’attend et qu’il connait un peu déjà

Par les informations fournies

 .

Soit sur le papier, soit par l’écran.

On peut rater des choses,

Mais pas toute ses émotions !

.

On dirait presque des photos d’art quand des immeubles

Se reflètent en l’eau d’un canal, en mode impressionniste :

Effet miroir sur le ciel étant de loin le plus impressionnant !

Il est vrai que l’eau est partout et en tous lieux à Amsterdam,

Et canaux  sont à même de surprendre, interpeller  le quidam !

Est-ce pour autant cité, que psycho qualifierait de narcissique :

Non, au vu de l’altruisme des résidents, expansion économique,

Simplement d’un quartier à l’autre, d’un demi-cercle à l’autre,

Les photos des cartes postales ont tendance à se ressembler !

.

Toutes les villes ou presque, d’importance

Comporteraient les mêmes équivalences,

Architecture, circulation, travail, loisir,

Qu’on peut apprécier selon ses désirs.

.

Ce qui distingue Amsterdam d’autres,

Sans aucun doute, canaux circulaires

Beau mixage  entre  terre, air et eau,

Qui rend d’autant, attrait plus beau.

.

Unité de style n’est pas pour déplaire

Avec ses façades qui se ressembleront

Ses ponts en arc de cercle, bien ronds,

Qui se reflètent  tant en eau  qu’en air !

.

.

335 – Calligramme   

 .

C’est toujours à peu près

La même chose, partout,

Des trains  et des métros,

Des bus,  des taxis,  autos,

Des rues, jardins et places,

Commerces  et  restaurants

Des hôtels, avec des clients,

Des touristes,  des résidents

Et pourtant,  il y a toujours,

Quelque chose de différent !

M Ê M E      C H O S  E

Amsterdam n’est pas Venise

C’est vrai,  réciproquement,

En  dépit de  ses  multiples

Et ses circulaires canaux.

Elle  conserve des liens,

Avec la mer, d’autant,

Qu’eau, dans  sa ville,

N’est jamais de trop.

P A R T O U  T

Et on goute  le plaisir

De chaque  découverte,

Œil aux aguets vous narre

Ce qu’on croit dû au hasard

Se transforme sous un regard.

Une troupe s’arrête pour photo,

En  un bus, un guide, avec  micro,

Raconte  ce qu’ils doivent entendre

Sans se donner peine de descendre.

À          A  M  S  T  E  R  D  A  M   

Course, contre le temps, pour tout voir,

Ne donne, à l’émotion, que peu d’espoirs

D’entrer en l’âme du créateur, réalisateur,

On n’en garde qu’images, souvenirs, lueurs.

.

À pied, seul, à deux, trois, en      petits groupes,

En arpentant les chaussées          toute la journée,

L’œuvre apparait mieux                 dans son contexte,

L’argent et le temps  ne                    sont plus prétextes,

À consommer modes                         rencontres, précitées.

Trois jours … trois …                             semaines, trois mois,

Ne vous procureront                               pas   mêmes   clichés.

C’est toute la différence                           entre : voir  une  fois,

Et revoir dix,  cinquante,                           cent fois, un endroit

Où un nouveau détail frap                        pera, à chaque fois.

À force de détours, de con                    tours, et  de retours,

Vous  finirez,  un jour, par                 épuiser tous atours,

De certaines villes, que vous              connaissez déjà,

Qui se re-livre, à vous, à chacun          de vos pas.

Un musée, une exposition y font       recettes,

Sa culture est le grand point attraction

Pour celui qui n’a d’autre occupation

Qu’être humain avec cœur en fête.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

335 4

.

Une quille dans un jeu, bowling

Bouteille,  flacon, ou pendentif :

De quel objet s’agit-il vraiment :

En art déco… d’un objet d’art.

.

Art déco et objets d’art vont ensemble

mais pas plus à Amsterdam qu’ailleurs

et même s’il existe un art bien flamand,

la forme ici, ne conviendra pas au fond.

 .

Un objet d’art façonné peut-être

 Par un artisan  ou  par un verrier,

Ça fait : rétro, vintage, art déco,

Cela dit, je me trompe peut-être.

.

Symbolique 

.

L’Art déco est un mouvement artistique

Né au cours des années 1910

Et qui aura pris son plein épanouissement

Au cours des années 1920

Avant de décliner à partir des années 1930.

C’est le premier mouvement

Architecture-décoration  d’échelle mondiale,

Concerne l’architecture intérieure

Avec ses tapisseries, ses vitraux et peintures

Et ses sculptures ornementales,

Son ébénisterie, l’emploi de la céramique,

Sans compter de l’orfèvrerie.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

335 – Même chose, partout, à Amsterdam   

Alignement central  / Titre intercalé / Thème  art

Forme courbe /Rimes égales  /Fond éloigné de forme

Symbole de forme : art déco / Symbole de fond : objet d’art

.

.

Fond

.

Évocation 

.

335 6

.

Un objet d’art façonné peut-être

 Par un artisan  ou  par un verrier,

Ça fait : rétro, vintage, art déco,

Cela dit, je me trompe peut-être.

.

Symbolique 

 .

L’objet

N’a pas fini de

Nous étonner par

Ses transformations ;

Par ses réutilisations,

Par ses affectations d’usages :

Il peut devenir un prétexte

Ou un support à notre imagination,

En y intégrant ou non un message

Concret ou abstrait au travers

De la réalisation d’un objet d’art.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un œil avisé, voire connaisseur,

Remarquera, vite, des différences,

Entre bâtiments qui, pour touristes,

Se ressemblent, en briques pareilles.

.

En réalité il y a une foule des détails,

Qui se fondent en harmonie couleurs

Fenêtres, portes, ou toits, etcetera.

.

Et il n’y a pas que l’architecture

Tant il y a aussi  l’urbanisme

Et tout ce qu’il y a autour,

Parc, jardin, cours d’eau

Qui forme comme l’écrin

D’un art et style de vie !

 .

S

.

Constellation canaux, immeubles

.

cénario 

.

On avouera qu’un certain romantisme y règne en maître,

et que l’eau est présente à peu près partout tout autour,

que le ciel nuageux se mire dans le canal d’Amsterdam.

 .

Visuels et textuels  >> 

334 – Le centre-ville circulaire d’Amsterdam

Visuels et textuels  >>

.

Amsterdam, un  nom  de  ville  et  d’ouverture,

De  voyages, de  découvertes, et, d’aventures,

Tout autant que de diamants, de peintures,

Et tout un héritage de traditions cultures.

.

Le centre-ville circulaire d’Amsterdam,

Héberge plusieurs milliers … d’âmes :

À pied, en vélo, en auto … en bateau

Ils circulent au ralenti  et non trot.

.

Les gens du Nord sont très dispos,

En art de vivre : autant de tempos.

Ici le commerce fleurit,  bat son plein,

Nouveaux touristes  affluent, au matin !

.

Rien de carré ni de droit ni rectiligne,

Tout est en courbe, et partout différent.

Tout vous attire l’œil et tout en est digne

En demi-cercle comme théâtralement !

 .

Ici règne une atmosphère de lendemain

De fête, suite à nuit libations sans fin :

Bien difficile d’en résumer l’Histoire,

Tant rue jonchée de canettes à boire.

.

Ici, nombre siècles se sont succédés,

Nombre habitants y sont enterrés,

Demeure cette ville trait d’union,

Entre le passé et la… modernité,

Mais, qui aura très peu modifié,

Architectures, canaux… maisons.

.

Mais qu’est-ce que l’âme d’une cité,

Sinon mélange de ceux qui l’ont habité,

Qui l’ont bien façonné année après année,

En une sorte de communion d’espace-temps

Qui ont forgé  des parcours de vies, étonnants,

Et, qui fascinent toujours autant, les étrangers !

.

Notre court séjour, intense, s’est bien … terminé,

Il ne nous aura pas livré, d’Amsterdam, ses clefs,

Elle nous aura laissé toutefois, son parfum, aura,

Image de son visage imprégné de notre passage.

.

.

Extensions

.

Le centre-ville n’est pas grand :

On en ferait le tour en une journée

À pied, en marchant bien, ou en vélo,

Ça ne fait pas défaut, faut se lever tôt.

.

Son architecture reste assez marquée

Par le dix-huit et dix-neuvième siècle,

Époque plus florissantes de son histoire,

Due à son commerce, devenant   mondial.

.

Quant à son âme : elle est accessible, certes,

Mais à deux niveaux : en surface et profondeur.

En surface par les splendeurs qu’elle donne à voir

En profondeur par l’humeur elle donne à entrevoir.

.

Son art de vivre est plus difficile à cerner que son art

De construire même s’ils ont un lien étroit entre eux.

.

Vrai que la présence des canaux, joue énormément

Sur  son ambiance  et  sur  la circulation  car l’eau

Est présente, partout, tant elle tourne, sans cesse,

Autour point central, port fluvial, gare centrale.

.

Une ville, finalement, à nulle autre pareille,

Et qui nous cache ou qui nous réveille

Maints cadeaux et merveilles.

.

Un centre-ville semi circulaire, ce n’est pas commun

Avec des canaux qui l’épousent, si ce n’est contraire.

Voilà ce qui nous a été donné à, découvrir, admirer,

Pendant les quatre jours où nous y avons séjourner

En plein début mai, juste après la Fête de la Reine,

Où l’on a l’occasion de manger  spécialités locales,

Et qui plus est, de boire à volonté tout son saoul !

.

Les canaux ont été construits pour fortifier la ville.

La ville s’est étendue et les canaux qui se trouvaient

Autrefois  à l’extérieur  de la ville, se sont retrouvés

Comme en  partie intégrante de la ville elle-même.

Leur fonction de protéger la ville, des intrusions,

A évoluée, sert au transport des marchandises

De lieux de résidence de péniches habitables

De circulation pour vedettes touristiques !

Et si les trois premiers sont d’origine,

Quatrième a été rajouté : fortifier.

.

.

334 – Calligramme

 .

Amsterdam, un  nom  de  ville  et  d’ouverture,

De  voyages, de  découvertes, et, d’aventures,

Tout autant que de diamants, de peintures,

Et tout un héritage de traditions cultures.

C E N T R E   –   V I L L E,

Le centre-ville circulaire d’Amsterdam,

Héberge plusieurs milliers … d’âmes :

À pied, en vélo, en auto … en bateau

Ils circulent au ralenti  et non trot.

C I R C U L A I R E

Les gens du Nord sont très dispos,

En art de vivre : autant de tempos.

 Ici le commerce fleurit,  bat son plein,

Nouveaux touristes  affluent, au matin !

.

Rien de carré ni       A     de droit ni rectiligne,

Tout est en courbe,         M         et partout différent.

Tout vous attire l’œil            S          et tout en est digne

En demi-cercle comme              T            théâtralement !

                      E

Ici règne une atmosphère de         R            lendemain

De fête, suite à nuit libations        D           sans fin :

Bien difficile d’en résumer l’        A        Histoire,

Tant rue jonchée de canettes    M       à boire.

.

Ici, nombre siècles se sont succédés,

Nombre habitants y sont enterrés,

Demeure cette ville trait d’union,

Entre le passé et la… modernité,

Mais, qui aura très peu modifié,

Architectures, canaux… maisons.

.

Mais qu’est-ce que l’âme d’une cité,

Sinon mélange de ceux qui l’ont habité,

Qui l’ont bien façonné année après année,

En une sorte de communion d’espace-temps

Qui ont forgé  des parcours de vies, étonnants,

Et, qui fascinent toujours autant, les étrangers !

.

Notre court séjour, intense, s’est bien … terminé,

Il ne nous aura pas livré, d’Amsterdam, ses clefs,

Elle nous aura laissé toutefois, son parfum, aura,

Image de son visage imprégné de notre passage.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

334 4

.

Un pilier d’église, ou monument,

Voire un objet purement décoratif

Lampe à pétrole, probablement,

Lumière pétrole …  certainement !

.

Lampe et lumière, ne sont spécifiques

à la ville d’Amsterdam ni à ses canaux

même si leur lumière apparaitra bien

en tableau, la forme diffère du fond.

.

Quoi de commun entre lampe à pétrole

 Et Amsterdam :

Rien, en apparence, mis à part nombreux

Peintres de la lumière !

.

Symbolique

 .

Lampe,

Électrique,

À huile, pétrole,

Représente toujours

Une  lumière intérieure,

Une énergie, des capacités,

Des talents que nous maîtrisons.

C’est l’homme qui maîtrise la lumière

Avec un  pouvoir d’allumer et d’éteindre.

La lumière est le symbole de la connaissance,

On apprend de jour en jour à mieux se connaître,

On évolue grâce à ces informations et ces savoirs !

.

Descriptif

 .

334 – Centre-ville, circulaire, Amsterdam  

Alignement central  / Titre courbe  / Thème  ville

Forme courbe /Rimes égales  /Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

.

Évocation 

.

334 6

.

Quoi de commun entre lampe à pétrole

 Et Amsterdam :

Rien, en apparence, mis à part nombreux

Peintres de la lumière !

.

Symbolique 

 .

L’intensité de la lumière

Est une grandeur  exprimant

Cette capacité à éclairer d’une

Source   ponctuelle  de  lumière

Dans  des  directions … données.

.

En un environnement plus obscur

La vision humaine ne distingue plus

Les couleurs, et la sensibilité spectrale

Relative sera alors décalée vers le bleu.

.

On parle pour cela de vision scotopique.

Entre les deux domaines de luminosité,

On parle de vision mésopique.

Wiki intensité lumineuse

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Que serait, de nos jours, une ville

Sans lampadaires, lumières, la nuit

Avec assez d’intensité en vue d’éclairer

Nombre de zones sombres, dangereuses

Et surtout avec de tels canaux, partout !

Aujourd’hui une lampe de poche à leds,

Suffit  pour s’éclairer : il fut un  temps

Où lampes à pétrole donnaient halo

Pour voir où on mettait les pieds.

 .

.

Amsterdam, centre Pays-Bas

.

Scénario

.

Centre-ville d’Amsterdam à la fois circulaire et concentré,

avec des péniches pour maison sur certains de ses canaux,

et tout partout, des rambardes, et tout partout, des vélos !

.

Visuels et textuels  >>

308 – Paris, ville lumière, avec sa Tour Eiffel

Visuels et textuels  >> 

.

Paris est

Paris, ville lumière,

Tant aujourd’hui qu’hier,

Tant d’ethnies, et de couleurs,

S’y côtoient, sans moindres peurs.

Bâtiments de toutes époques, styles

A perte de vue, rue, avenue, carrefour.

Autant de parcs, de monuments, tours,

Autant de parcours, de musées fertiles.

Et bien que Paris demeure    grouillant,

Et bien que Paris demeure    esseulant,

Et bien que Paris demeure     polluant,

Et bien que Paris demeure     bruyant,

Chacun y cherche refuge,  ou sa place

Lorsque les prix grimpent, se glacent

Tant plongés  en bouillon de culture,

Certains n’en sortent plus…nature !

.

Tour

Ei-ffel,

C’est  elle

Qui attire œil

Et les touristes,

Au milieu de Paris

316 mètres de haut,

Son  point culminant,

Depuis plus de cent ans

Et cela n’est pas  de trop.

On peut prendre ascenseur

Ou monter par son escalier.

Certains … par  sa charpente.

Interdit, mais   bien  tentante.

Ses pieds  s’enfoncent, en  sols,

Non loin  de  la Seine, qui coule,

Et des amoureux,  qui roucoulent

En chant musique : fa do ré mi sol.

Provinciaux,  et,  touristes,  profitent

De trésors  qu’il recèle, intermittents :

Parisiens s’en gorgent, mais  les évitent,

Trop pris par leur travail ou déplacement.

Aujourd’hui que revoici installé le printemps

Parisiens sortent, se promènent comme en été

Quand les oiseaux chantent et parcs sont bondés

Nature reprend ses droits ; Paris, ses mouvements.

D’habiter Paris, n’est-ce pas le rêve  de tout étranger !

D’habiter Paris est un rêve qui, pour moi, m’est étranger,

Au-delà du fait qu’il est une forêt d’immeubles et d’humains

Sa vie trépidante est remplie de tout mais ne me vibre en rien.

À part la Tour Eiffel, le Grand Palais, le Louvre, et Musée d’Orsay

Activités sont surtout marchandes, mettant en avant leur musique !

On s’y plait davantage à s’y promener et à y séjourner, qu’à y travailler.

Paris, ville des lumières, brille, tout autant, le jour que la nuit : lubrique.

J’y fais un saut chaque année, saison … aujourd’hui au début du printemps,

Pour pleinement profiter d’elle, cette ville vous demande beaucoup de temps.

C’est un phare qui éclaire bien l’Europe, et rassemble, en un lieu, le Sud et Nord

Une grande mégalopole qui attire beaucoup de sièges d’affaires, à raison ou à tort.

.

.

Extensions

.

Paris,

Un phare

Tour   Eiffel,

Lors forcément,

L’image   est   belle

Même  bienvenue  mais

Y vivre ne sera pas toujours

Une sinécure, sauf à bénéficier

D’une résidence, assez spacieuse,

Avec une grande terrasse paysagée.

.

La Tour Eiffel par ci, la Tour Eiffel, par là !

Comment ne pas la remarquer,  y échapper !

Dire qu’elle n’était que  provisoire, éphémère !

La voici devenue symbole  de cette ville lumière

Tant que tous souhaitent la toucher et y monter,

Ne serait-ce que pour beau panorama sur Paris,

Qui fait, de cet endroit, comme lieu magique.

J’y suis monté, dans ma douzième année,

Moi le breton, en pleine campagne, né.

.

La tour

 Eiffel  avec

Notre Dame :

Deux monuments,

Dans  la ville de Paris,

Les plus connus et courus

Pas que français : étrangers.

.

Y suis monté une fois à douze ans

Deuxième : quarante,  deux enfants.

Enfant : souvenir  de monstre  d’acier,

Adulte : un monument,  pleine  majesté.

.

C’est vrai qu’elle aura failli  être démontée,

S’il n’y avait pas eu cette TSF pour  l’utiliser.

Vrai qu’on la voit, de très loin, pointer son nez

Elle a tout du symbole, et rien d’un gratte-ciel !

.

.

Épilogue

.

La Tour Eiffel serait l’un des monuments

Les plus connus, dans le Monde, et visités :

Rencontre obligée ou presque pour étranger,

J’y suis moi-même monté à l’âge de douze ans.

***

Elle ne ressemble ni au Colysée,  à autre symbole,

Telle la porte de Brandebourg ou la Tower Bridge :

Elle est la seule à être entièrement construite en fer

Avec ses trois étages et tout en haut, phare lumière.

***

Paris  ne se résumera pas, non plus, à sa Tour Eiffel :

Des beaux monuments,  il y en a, à la pelle et partout,

Et il y a les magasins, musées et nombre d’attractions

Pour qui aurait  un peu d’argent, difficile s’y ennuyer !

***

Parfois elle s’illumine, de bas en haut,  parfois clignote,

De la voir dans son champ de vision rappelle où l’on est

Il existerait  de par le vaste monde, quelques imitations

Mais aucune n’a sa prestance, élégance de vieille dame.

***

Elle a connu drame, y a quelques années, en cathédrale,

Qui a brulé comme feu de paille et sauvée grâce à Dieu.

Paris, ville des lumières  et ville de toutes les festivités,

Vit, de nuit comme de jour, une activité débordante.

.

.

308 – Calligramme

.

 PARIS

Paris est

Paris, ville lumière,

Tant aujourd’hui qu’hier,

Tant d’ethnies, et de couleurs,

S’y côtoient, sans moindres peurs.

Bâtiments de toutes époques, styles

À perte de vue, rue, avenue, carrefour.

Autant de parcs, de monuments, tours,

Autant de parcours, de musées fertiles.

Et bien que Paris demeure    grouillant,

Et bien que Paris demeure    esseulant,

Et bien que Paris demeure     polluant,

Et bien que Paris demeure     bruyant,

Chacun y cherche refuge,  ou sa place

Lorsque les prix grimpent, se glacent

Tant plongés  en bouillon de culture,

Certains n’en sortent plus…nature !

VILLE LUMIÈRE

Tour

Ei-ffel,

C’est  elle

Qui attire œil

Et les touristes,

Au milieu de Paris

316 mètres de haut,

Son  point culminant,

Depuis plus de cent ans

Et cela n’est pas  de trop.

On peut prendre ascenseur

Ou monter par son escalier.

Certains … par  sa charpente.

Interdit, mais   bien  tentante.

Ses pieds  s’enfoncent, en  sols,

Non loin  de  la Seine, qui coule,

Et des amoureux,  qui roucoulent

En chant musique : fa do ré mi sol.

Provinciaux,  et,  touristes,  profitent

De trésors  qu’il recèle, intermittents :

Parisiens s’en gorgent, mais  les évitent,

Trop pris par leur travail ou déplacement.

Aujourd’hui que revoici installé le printemps

Parisiens sortent, se promènent comme en été

Quand les oiseaux chantent et parcs sont bondés

Nature reprend ses droits ; Paris, ses mouvements.

D’habiter Paris, n’est-ce pas le rêve  de tout étranger !

D’habiter Paris est un rêve qui, pour moi, m’est étranger,

Au-delà du fait qu’il est une forêt d’immeubles et d’humains

Sa vie trépidante est remplie de tout mais ne me vibre en rien.

À part la Tour Eiffel, le Grand Palais, le Louvre, et Musée d’Orsay

Activités sont surtout marchandes, mettant en avant leur musique !

On s’y plait davantage à s’y promener et à y séjourner, qu’à y travailler.

Paris, ville des lumières, brille, tout autant, le jour que la nuit : lubrique.

J’y fais un saut chaque année, saison … aujourd’hui au début du printemps,

Pour pleinement profiter d’elle, cette ville vous demande beaucoup de temps.

C’est un phare qui éclaire bien l’Europe, et rassemble, en un lieu, le Sud et Nord

Une grande mégalopole qui attire beaucoup de sièges d’affaires, à raison ou à tort.

A V E C         L A         T O U R       E I F F E L  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

308 4

.

En bas, clochette sonnette,

En haut,   sort e de  chapeau,

Haute tour, toute en triangle,

Surmontée de faisceau lumière.

.

Paris, avec sa Tour Eiffel emblématique

 Entourée de nombre  monuments,

Était destinée à être éphémère et devenue

Mondialement connue : lumières.

.

Symbolique 

 .

L’ex

Position

Universelle

Datant  1889

Attirera à Paris

50,8         millions

De visiteurs, grands

Scientifiques d’’époque

Nouveauté de matériaux

De la grande Tour Eiffel,

Sa hauteur impressionnante

Pour  le   XIX éme  siècle   et  la

Renommée de son jeune créateur

Nommé  Gustave  Eiffel,  contribue

À développer son image  d’un édifice

Exemplaire, considéré  ultramoderne.

Lors deux millions de visiteurs chiffrent

Première ouverture d’emblème français.

Modifié, source : type-tour-eiffel.e-monsite.

.


..

Fond

.

Évocation de fond

.

308 6

.

Paris, avec sa Tour Eiffel emblématique

 Entourée de nombre  monuments,

Était destinée à être éphémère et devenue

Mondialement connue : lumières.

.

Symbolique de fond

.

L’intensité de lumière

Est grandeur qui exprime

La capacité à éclairer d’une

Source ponctuelle de lumière,

Dans    une   direction   donnée.

En  environnement  plus  obscur,

La vision humaine ne distingue plus

Les couleurs, et la sensibilité spectrale

Relative est décalée vers le bleu profond.

On parle, en ce cas, de vision scotopique.

Entre les deux domaines de luminosité,

On parle de vision mésopique.

Wikipedia : intensité lumineuse

.


.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

 .

Que n’a-t-on dit, écrit ou tirer le portrait

De cette grande vieille Dame qui honorait

Une Exposition Universelle, dite éphémère,

Qui est devenue avec cathédrale Notre dame

Champs  Élysées, Arc de triomphe, Invalides,

Et tant d’autres monuments, places, et jardins

Emblème de la ville de Paris, à l’international.

Elle s’illumine elle-même de sa hauteur, renom.

 .

Scénarios à développer 

.

La Tour Eiffel est une vielle dame, inutile de la présenter davantage.

Son apparence et sa localisation en plein milieu de la ville de Paris.

Photo ancienne de la Tour Eiffel prise avec un beau soleil levant.

 .

.

Paris… la ville des lumières

.

Visuels et textuels  >> 

304 – Manoir de Baralle, ancienne abbaye

Visuels et textuels  >>

.

Successivement abbaye, hôpital, centre, manoir

Date de la Révolution, agrandi, restauré rénové

Il héberge pan d’histoire aujourd’hui enterrée

Jouxte une église au clocher pointu et sage

Servant de pigeonnier en écrin d’un parc

Où une troupe de chevaux  vont boire.

Sa grande grille  en  fer  ici forgée

Invite à entrer, sur allée  pavée,

Bordée  d’arbres  centenaires,

Menant à une cour entourée

De dépendances,  garages,

Ateliers, écuries, remises.

 

^

Oh Oui

C’est certain,

Une belle demeure,

Où balcon voisine haute

 Porte, en pignon, gigantesque,

Et sa terrasse avec belle balustrade

Habille parfaitement façade briquesque

Qui, plein sud, se prolonge sur une véranda.

.

À l’ouest, une cuisine, au nord, un salon de jardin,

C’est une ferme, à présent, abritant…quatre habitants,

Au lieu de vingtaine, au moins, il y a un siècle, assurément.

Son grand salon de cent mètres carrés, de quatre mètres élevé,

Reçoit une cinquantaine d’invités, à causer, à manger, à danser

En frôlant les fantômes d’antan, hantant ces lieux, non anodins.

.

À l’étage desservi par un  monumental escalier plein colimaçon,

Deux chambres, un bureau, une salle de bain, dans espace privé,

Deux  chambres  d’hôtes, un couloir, pour les clients, les invités.

Au grenier, des chambres de bonnes en train d’être aménagées,

Places et espaces difficiles à rénover, et, plus encore, à chauffer,

Deux caves voûtées, servent d’assises aux murs et aux plafonds.

Ce qui frappe, le plus est, sans nul doute, son calme, sa verdure.

.

Aucun bruit perturbant, ni habitation, rien que lapins, oiseaux,

Arbres de toutes essences y croissent, l’automne beau manteau.

Coins sauvages, herbages, se partagent sept hectares, d’un parc

Les chambres offrent paysage qui ne s’oublie pas, se remarque.

L’atmosphère se régénère à travers le temps, il dure et perdure.

Il y a tant à en dire et à décrire, que je me contente de rappeler

Qu’il faut une vie, pour transformer, agrémenter, la maisonnée.

.

À y perdre son âme à consacrer tout son temps, tout son argent

Pour léguer l’œuvre, héritée de siècles, où tout était évanescent.

Ses habitants s’y enracinent comme hêtres en leur jardin privé,

On y vient, on s’y sent bien, ne se soucie de rien, on est cocooné,

On se croirait, grande bourgeoisie, s’il n’y avait les propriétaires

Accueillants, cœur sur la main, faisant tout pour vous satisfaire.

.

.

Extensions

.

À y perdre son âme

D’y consacrer son temps,

Et son argent, et pour léguer

Une œuvre, héritée des siècles

Où tout demeurait évanescent.

.

Ses habitants s’y enracineront,

Comme hêtres en jardin privé.

On y vient et on s’y sent bien,

Et l’on ne se soucie de rien,

Tant l’on est vite cocooné.

.

On serait en bourgeoisie

Si on n’ y trouvait pas les

Propriétaires accueillants,

Cœur sur la main et faisant

Tout pour vous … satisfaire.

.

Baralle est une commune française de 482 habitants, située

En département du Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France :

Dix kilomètres de Cambrai, trente d’Arras, entre deux autoroutes.

Le manoir de Baralle constitue une étape vers les routes nord et sud,

Sans compter un lieu de résidence pour visiter les cimetières militaires

L’accueil est  sympathique, hébergement, couvert, des plus authentiques,

Et ses deux parcs vous mettent, d’emblée, dans une ambiance romantique.

.

Pas loin d’une sortie d’autoroute,

Hypermarché au coin du champ,

Et Cambrai, à douze Kilomètres,

Il est finalement  très bien placé,

Pour faire une halte, s’y reposer !

.

Sans compter il est isolé du bourg,

Bâti en un grand par  et silencieux,

En terrasse que demander de mieux

On y reste là comme dans du velours

Et on y revient sans cesse, et toujours.

.

Pour y avoir séjourné à maintes reprises

Je vous le conseille même les yeux fermés,

Pas que pour y dormir, autant pour manger

La cuisine vaut le détour et les cuisiniers aussi

On finirait par faire partie de la famille ou amis.

.

.

Épilogue

.

Le Clos Saint Georges est une construction

Datant de deux siècles voire plus, c’est dire

S’il a dû évoluer, s’adapter, aux contraintes

Aux exigences de chacune des modernités !

***

Aujourd’hui il abrite famille qui en a hérité,

Mais qui l’aura, de bout en bout, transformé

Pour en faire un «havre de paix et d’accueil»

Au cœur, et lui sert d’écrin, d’un parc arboré.

***

Une exploitation agricole à gérer toute l’année

Cinq chambres pour recevoir clients passagers,

Plus activités externes : il y a de quoi s’occuper,

Leurs retraites  s’annoncent  des plus gratinées.

***

Je parle là des deux propriétaires que je connais

Faisant partie de la famille par la sœur, épousée.

Si fait, j’y ai moi-même, plusieurs fois, séjourné,

Pour ce qui est d’accueillir, divin, je dois avouer.

***

Alors, si vous passez par-là, vous cherchez un lit,

Pour passer  une soirée enchantée, nuit paisible :

N’hésitez pas à écrire, ou à téléphoner, réserver :

La plupart reviennent souvent et moi le premier.

.

.

304 – Calligramme    

.

                M                                                A

Successivement  A   abbaye, hôpital, centre,     N manoir

Date de la Révo   N   lution, agrandi, restauré  C    rénové

Il héberge pan   O     d’histoire aujourd’hui   I  enterrée

Jouxte une ég    I   lise, clocher pointu      E    et sage,

Servant de pi   R   geonnier, en écrin   N d’un parc

Où une trou   *    pe de chevaux       * vont boire

Sa grande    B     grille  en  fer    H  ici forgée

Invite à en  A   trer sur allée   Ô       pavée,

Bordée       R d’arbres cen   P    tenaires

Menant à  A  une cour    I   entourée

De dépen  L  dances    T   garages,

Ateliers   L écuries A  remises.

E            L

^

Oh Oui

C’est certain,

Une belle demeure,

Où balcon voisine haute

 Porte, en pignon, gigantesque,

Et sa terrasse avec belle balustrade

Habille parfaitement façade briquesque

Qui, plein sud, se prolonge sur une véranda.

À l’ouest, une cuisine, au nord, un salon de jardin,

C’est une ferme, à présent, abritant…quatre habitants,

Au lieu de vingtaine, au moins, il y a un siècle, assurément.

Son grand salon de cent mètres carrés, de quatre mètres élevé,

Reçoit une cinquantaine d’invités, à causer, à manger, à danser

En frôlant les fantômes d’antan, hantant ces lieux, non anodins.

À l’étage desservi par un  monumental escalier plein colimaçon,

Deux chambres, un bureau, une salle de bain, dans espace privé,

Deux  chambres  d’hôtes, un couloir, pour les clients, les invités.

Au grenier, des chambres de bonnes en train d’être aménagées,

Places et espaces difficiles à rénover, et, plus encore, à chauffer,

Deux caves voûtées, servent d’assises aux murs et aux plafonds.

Ce qui frappe, le plus est, sans nul doute, son calme, sa verdure.

Aucun bruit perturbant, ni habitation, rien que lapins, oiseaux,

Arbres de toutes essences y croissent, l’automne beau manteau.

Coins sauvages, herbages, se partagent sept hectares, d’un parc

Les chambres offrent paysage qui ne s’oublie pas, se remarque.

L’atmosphère se régénère à travers le temps, il dure et perdure.

Il y a tant à en dire et à décrire, que je me contente de rappeler

Qu’il faut une vie, pour transformer, agrémenter, la maisonnée.

À y perdre son âme à consacrer tout son temps, tout son argent

Pour léguer l’œuvre, héritée de siècles, où tout était évanescent.

Ses habitants s’y enracinent comme hêtres en leur jardin privé,

On y vient, on s’y sent bien, ne se soucie de rien, on est cocooné,

On se croirait, grande bourgeoisie, s’il n’y avait les propriétaires

Accueillants, cœur sur la main, faisant tout pour vous satisfaire.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

304 4

.

En haut, une  large  cheminée,

En bas, pignon de haute maison

Un très grand manoir, s’il en est  

Élégant, accueillant voyageurs !

.

Manoir et voyageurs, lors il est transformé

en une maison d’hôtes, vont bien ensemble :

quand propriétaires charmants, accueillants

le forme et le fond s’accorderont à merveille.

.

Le manoir du «Clos Saint Georges »

De Baralle, est une battisse

Toute en briques rouge et il héberge

Jusqu’à dizaine de voyageurs

.

Symbolique

.

Un

Manoir

Avait généralement

L’aspect d’une maison forte

Ou à un château et constitué

Corps de logis, dépendances

Formant les ailes et entouré

De champs, voire de fermes,

Et  de pâturages  et  de bois.

Ce n’était, en aucun cas, un

Édifice à vocation militaire

Donc  pas un château fort,

Puisqu’il  était  interdit au

Vassal maître des lieux de

L’équiper de tour donjon.

manoir.community/node/18

.

Descriptif

.

304 – Manoir de Baralle, ancien hôpital   

Alignement central  / Titre analogue / Thème  habitat

Forme en rond / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : manoir / Symbole de fond : voyageur

.

Fond

.

Évocation de fond

.

304 6

.

Le manoir du «Clos Saint Georges »

De Baralle, est une battisse

Toute en briques rouge et il héberge

Jusqu’à dizaine de voyageurs

.

Symbolique

 .

Hormis le statut de voyageur

Et sur le plan urbain, le concept

De manger devant des inconnus,

Seul ou en famille, hors de son logis

Et en dehors des moments de fêtes,

Est pratiquement impensable

Avant les Temps modernes :

.

Ce point est fondamental

Sur le plan anthropologique,

Et pas seulement en Occident.

Lors ici nous sommes bien dans

Le cas de voyageurs de passage.

Wikipedia : voyageurs

  .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

On s’y sent, comme en un cocon,

Dans un écrin arboré de verdure,

On a envie d’y demeurer pour de bon,

Pour se remettre  d’un travail très dur.

On se perd en dédale de portes, couloirs,

Mais on n’y craint ni les fantômes, le noir.

Si  un jour, vous passez  par-là, par hasard,

Réservez chambre pour une nuit tôt ou tard !

 .

.

Parc du Clos Saint Georges

 .

Scénario

.

Le Clos Saint Georges, manoir au milieu de beau parc arboré.

Et quelques hôtes de passages devant la terrasse du manoir.

Et village et clocher de Baralle nichés en pleine campagne.

 .

Visuels et textuels  >>

303 – Cambrai, une petite cité paisible

Visuels et textuels  >>  

.

Cambrai, petite cité paisible,

Et somnolente de …  l’Artois,

Ses ruelles étroites   courent,

En dédales, autour de places,

Dont, la plus grande … abrite

Encore  énorme Hôtel de ville.

.

On y découvre,  portes rongées

Par quelques siècles d’Histoire,

Églises, dont l’une a vu prêcher,

Fénelon,  avec  clochers  pesants,

Au milieu d’un fouillis de pignons.

.

Et en plus, une large avenue  mène

À un grand jardin public entretenu,

Qu’orne  monument  à Louis Blériot,

Que  l’on considère  enfant  du pays :

Cité surnommée «des millionnaires»

.

Tant vrai, qu’avant

La Première Guerre,

On y comptait  encore

Près de quarante Crésus !

.

Cambrai, ville d’art et d’histoire

Avec sa cathédrale Notre-Dame de Grâce,

Avec son église de Saint-Géry, plus ancienne,

Sa citadelle,  démantelée, porte Royale, pont-levis.

.

Son beffroi clocher d’église Saint-Martin, était autrefois

Son hôtel de ville avec sa majestueuse façade de style grec,

Sa maison Espagnole, à pans de bois, pignons, style régional,

Son marché couvert avec ses halles animées les jours de marché

Quand on  s’y promène, le cœur  léger, son histoire… nous étonne.

.

Deux fois  détruite, reconstruite, son amalgame, parfois, détonne !

Elle m’apparaît, pavée de constructions, parfois, un peu vieillottes.

Je me suis perdu plusieurs fois, en son dédale de rues, et de ruelles.

Je ne me sens pas  chez moi : étranger, hors ma province bretonne

Ma femme y est née, a vécu, fait ses études : sa famille  y demeure.

.

Je l’ai retiré du froid et son ennui au Nord, pour une ile plus belle.

Moi, jamais, je n’ai songé  à y vivre, entre Bapaume et Cambrai,

Même  après avoir découvert cette ancienne abbaye de Baralle

Demeure merveilleuse de sœur,  beau-frère,  cousin-cousine.

.

Cette ville de Cambrai, petite cité  qui est réputée paisible,

Plantée plein sud du Nord ; n’est pas à un paradoxe près

N’attire pas l’œil par tapage  ni par ramage artificiel

On s’attache, prenant le temps de se perdre en elle.

.

Cambrai est une ville, attachante, finalement,

Elle demeure à dimension humaine

On apprend à la connaitre

Avec le temps.

.

.

Extensions

.

Cambrai,

Petite cité moyenne,

Réputée   paisible,

Plantée en plein

Sud du Nord,

N’est pas à un

Paradoxe près !

.

Elle n’attirera pas

L’œil par son tapage

Ni  par aucun ramage

Artificiel, on s’y attache

Si l’on prend le temps

De se perdre en elle.

.

Cambrai, cité paisible située au bas des Hauts de France,

Bien qu’ayant connu bien des histoires de guerre par le passé

Si elle n’a pas ni l’attrait, ni la richesse, de ses voisines proches,

Elle ne démérite pas, avec ses places, ses églises, ses monuments

Et on y passe de forts agréables moments, à la terrasse d’un café.

Cité de ma femme, elle ne renie pas ses origines, et en est fière,

Mais nos enfants se réclament plus de la Bretagne, y vivant.

.

Cambrai, cambrai … ça ne vous rappelle rien !

Bataille de Cambrai 1918 opposa des troupes

Canadiennes, britanniques, et américaines,

Utilisant  des chars, à l’Empire allemand.

Elle fut menée en un temps très court,

Et se conclut par un succès éclatant.

.

Voilà pour la très grande Histoire

Mais pour ce qui est de la petite

Je la connais lors je la pratique

Et j’aime y flâner, sur sa place

Ou sur son port de plaisance

En son grand jardin public.

.

.

303 – Calligramme

 .

Cambrai, petite cité paisible,

Et somnolente de …  l’Artois,

Ses ruelles étroites   courent,

En dédales, autour de places,

Dont, la plus grande … abrite

Encore  énorme Hôtel de ville.

On y découvre, portes rongées

Par quelques siècles d’Histoire,

Églises, dont l’une a vu prêcher,

Fénelon,  avec  clochers  pesants,

Au milieu d’un fouillis de pignons

Et en plus, une large avenue  mène

À un grand jardin public entretenu,

Qu’orne  monument  à Louis Blériot,

Que  l’on considère  enfant  du pays :

Cité surnommée «des millionnaires»

.

Tant vrai, qu’avant

La Première Guerre,

On y comptait encore

Près de quarante Crésus !

Cambrai, ville d’art  C  et d’histoire

Avec sa cathédrale  A   Notre-Dame de Grâce,

Avec son église  M   de Saint-Géry, plus ancienne,

Sa citadelle,    B   démantelée, porte Royale, pont-levis.

Son beffroi     R clocher d’église Saint-Martin, était autrefois

Son hôtel de  A     ville, avec sa majestueuse façade de style grec,

Sa maison     I     Espagnole, à pans de bois, pignons, style régional,

Son marché  *    couvert avec ses halles, animées, les jours de marché.

Quand on     *     s’y promène, le cœur léger, son histoire … nous étonne.

Deux fois    P      détruite, reconstruite, son amalgame, parfois, détonne !

Elle m’ap    E      paraît, pavée de constructions, parfois un peu vieillottes.

Je me suis   T       perdu plusieurs fois, en son dédale de rues, et de ruelles.

Je ne me       I       sens pas chez moi, étranger hors ma province bretonne

Ma femme y    T      est née, a vécu, fait ses études : sa famille y demeure.

Je l’ai retiré du  E     froid et son ennui au Nord, pour une ile plus belle.

Moi, jamais je     *     n’ai songé à y vivre, entre Bapaume et Cambrai,

Même après avoir   C     découvert cette ancienne abbaye de Baralle

Demeure merveilleuse  I     de sœur,  beau-frère,  cousin-cousine.

Cette ville de Cambrai,   T    petite cité qui est réputée paisible,

Plantée plein sud du Nord  É    n’est pas à un paradoxe près

N’attire pas l’œil par tapage  *    ni par ramage artificiel

On s’attache, prenant le temps de se perdre en elle.

Cambrai est une ville, attachante, finalement,

Elle demeure à dimension humaine

On apprend à la connaitre

Avec le temps.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

303 4

.

Un vase, une montre à gousset,

Ou encore un beau pendentif,

Avec des pierres précieuses

En remparts de sa citadelle.

.

Du bleu entouré d’une ceinture de jaune

Avec pierres précieuses :

Cambrai est une ville paisible et aussi

 Avec citadelle remparts

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme des pierres

Est la capacité à désigner, à signifier,

Exercer une influence en tant que symbole.

Elle a son symbolisme : la solidité, la durée,

Sachant que chaque pierre a son symbolisme

Cristal représente pureté : marbre, éternité.

.

Mais sous peine de délire ou d’arbitraire,

La symbolique de la pierre demeure

Dans le cadre du règne minéral.

.

Une « matière minérale solide

Qu’on rencontre en

Masses compactes

À la surface et à

L’intérieur du sol ».

wikipedia.org/wiki/

Symbolisme_des_pierres

 

.

Fond

.

Évocation 

.

303 6

.

Du bleu entouré d’une ceinture de jaune

Avec pierres précieuses :

Cambrai est une ville paisible et aussi

Avec citadelle remparts

.

Symbolique 

.

Malgré démantèlement au xixe siècle,

La citadelle de Charles Quint conserve

Galerie de contre-mine ensevelie,

La porte Royale et  on  pont-levis,

Classée à l’inventaire  des  monuments

Historiques  le 14 avril  1932,  flanquée

À l’arrière de deux corps de garde

Et un arsenal, daté  du xvie siècle.

.

Parmi les aménagements postérieurs,

Un magasin à poudre et des logements

Pour les officiers et une caserne

À l’épreuve de bombes xixe siècle

Sont également des plus remarquables.

fr.wikipedia.org/wiki/Cambrai#Vie_militaire

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Peut-être jamais, connu, je n’aurais,

Cambrai

Si ma femme n’y était née, comme fait

Exprès

Tant cette ville de province et paysanne,

N’évoquait

Pour moi, que des bêtises, pour friandises,

Dont je raffolais

Aujourd’hui, pour l’avoir souvent fréquenté,

Je la connais

Et tout compte fait, au fil des ans, plutôt bien,

Je m’y plais.

 .

.

Vieux plan, remparts Cambrai

.

Scénario

.

La Porte de Paris, principale entrée de Cambrai autrefois.

La place centrale avec la mairie, vue grande rue adjacente.

Et son monument aux morts de la guerre 14, près du parc.

 .

Visuels et textuels  >> 

302 – Arras et ses places baroques

Visuels et textuels >>

.

Arras, ses célèbres places,

Style baroque flamand

Avec l’Hôtel de Ville

Est construit en

Bien bel écrin.

.

C’était une

Au-then-tique

Cité prospère connue

En fabrication drapière

Avec sa  Citadelle  Vauban

Belle inutile, ou, belle estime.

.

L’architecture de places d’Arras

Demeure encore unique au Monde

Avec ses  belles façades  de maisons,

Que des styles  inimitables  inondent.

.

D’impressions,  remplies  d’harmonies,

Car renforcées par  des colonnes  de grès,

En plus d’originalités pignons de maisons,

D’hauteurs variables… comme si fait exprès.

.

On se promène, flânant sous arcades, tout près

De rues piétonnes, invitant à boire  une cervoise,

On rencontre foule tranquille, jeunesse  arrageoise,

L’histoire de siècles précédents susurrant son secret.

.

Ses souterrains appelés Boves, s’avèrent  surprenants

Camps de base, ralliement  pour des débarquement,s

Avec des puits d’extraction,  boyaux de déplacement,

Avec salles voûtées, escalier à vis, et même à redents.

.

Cathédrale, abbaye Saint-Vaast, édifices prodigieux,

Dix-huitième siècle Français, architectural, religieux

Sur centre place octogonale, Victor Hugo, obélisque,

Attire le regard, provoque notre admiration, épique.

.

J’ai fait mes emplettes en l’immense marché ouvert,

Ses andouillettes sont une vraie découverte culinaire.

Le chef-lieu du Département du Pas-de-Calais : Arras

Est cœur d’une haute Région qui jamais ne vous lasse,

Je suis allé, plusieurs fois, prendre le train pour Paris

J’ai hanté lieux légendaires faits de briques et verre.

.

Belle  ville  du  Nord,  accueillante  et  fort  colorée,

Lieu de séjour, pour dix jours,  pour breton exilé.

Quand on est Arras campagne, on est en plaine

L’on trouve que ce Nord a bien de la veine,

Cité tranquille, bien ancienne cité reine.

.

.

Extensions

.

Le beffroi d’Arras

Patrimoine   mondial

De l’Unesco témoigne de

Sa richesse architecturale

Et de son art de vivre.

.

Historiquement,

Sous ancien régime,

Capitale province d’Artois

Un grand centre de prières.

.

Arras ne fait pas souvent

Parler d’elle tant vrai

Qu’il n’est nul besoin

D’en faire la publicité

Pour avoir envie d’aller

La visiter, y passer quelques

Jours à flâner autour de ses places,

De ses monuments, musées et cafés.

.

Arras ville  et à rase campagne ou rat des villes et rat des champs.

Ce qui se remarque le plus, ce sont ses grandes places, avec arcades,

Leur donnant air de place du sud complètement transposée, au nord.

Là aussi, là encore, bel ensemble architectural, culturel et commercial

Dans lequel on se sent bien à se promener, d’un pas léger et découvrir

Un pan d’histoire au croisement de plusieurs influences civilisations,

Il y a comme quelque chose d’intemporel, qui persiste en parfum.

.

Ce qui frappe le plus dans le centre d’Arras

Est son architecture de style haut-flamand,

.

La Grand’Place et puis la Place des Héros,

Ne ressemblent à aucune autre, du Nord.

.

C’est un lieu de flâneries, intéressantes,

Où l’on prendra son temps, pour vivre !

.

Que de pavés, de pavés, encore de pavés,

Dont la majorité provient de l’Ile-Grande

.

Sa cathédrale et son beffroi en imposent

Autant que ses commerces et souterrain.

.

Acteur, témoin première guerre mondiale,

Carrière et musées regorgent de souvenirs !

.

.

302 – Calligramme   

Arras, ses célèbres places,

Style baroque flamand

Avec l’Hôtel de Ville

Est construit en

Bien bel écrin.

C’était une

Au-then-tique

 Cité prospère connue

En fabrication drapière

Avec sa  Citadelle  Vauban

Belle inutile, ou, belle estime.

.

L’architecture de places d’Arras

Demeure encore unique au Monde

Avec ses  belles façades  de maisons,

Que des styles  inimitables  inondent.

.

D’impressions,  remplies  d’harmonies,

Car renforcées par  des colonnes  de grès,

En plus d’originalités pignons de maisons,

D’hauteurs variables… comme si fait exprès.

On se promène, flânant sous arcades, tout près

De rues piétonnes, invitant à boire  une cervoise,

On rencontre foule tranquille, jeunesse  arrageoise,

L’histoire de siècles précédents susurrant son secret.

.

Ses souterrains appelés Boves, s’avèrent  sur A prenants

Camps de base, ralliement pour des débar   R    quements

Avec des puits d’extraction, boyaux de      R    déplacement,

Avec salles voûtées, escalier à vis, et       A    même à redents.

Cathédrale, abbaye Saint-Vaast,     *    S   édifices prodigieux,

Dix-huitième siècle Français,      *      *  architectural, religieux

Sur centre place octogonale,     *       E     Victor Hugo obélisque,

Attire le regard et provoque   *        T    notre admiration épique.

J’ai fait mes emplettes en      *        *     l’immense marché ouvert,

Ses andouillettes sont une     *        S   vraie découverte culinaire.

Le chef-lieu du Département  *       E     du Pas-de-Calais : Arras

Est cœur  d’une haute Région   *      S  qui jamais ne vous lasse.

Je suis allé plusieurs fois prendre *  *  le train direction Paris

J’ai hanté lieux légendaires faits   *  P    de briques et verre.

Belle ville du Nord, accueillante        L     et fort  colorée,

Lieu de séjour pour dix jours pour     A    breton exilé.

Quand on est Arras campagne, on est  C   en plaine,

L’on trouve que ce Nord a bien de la   E   veine,

Cité tranquille, bien ancienne cité reine. S …

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

302 4

.

Un vase, une bouteille,

Une montre à  gousset,

Ou un autre pendentif

Ou un bijou médaillon.

.

Pendentif et médaillon sont bijoux

qui peuvent se trouver n’importe où

et si aucun n’est deux ne figure Arras,

c’est que la forme  est différente du fond

 .

Un pendentif comme un bijou

Faisant comme enluminures dorées.

Deux tons, beaucoup plus de

Couleur jaune que de couleur bleue.

.

Symbolique 

.

La joaillerie

Est l’art de fabriquer

Joyaux,  plus largement

Des objets de parure comme

Des pendentifs mettant en valeur

Principalement les pierres précieuses,

Les pierres fines, les pierres ornementales

Les perles, en utilisant pour montures.

.

Les métaux précieux suivants :

L’or, l’argent, le platine.

Depuis quelques années,

Certaines des pièces de joaillerie

De  haut  de  gamme sont réalisées

En titane, en céramique, ou en acier.

lyn-et-or-bijoux.com/content/22-la-symbolique-des-bijoux-

.

Descriptif

 .

302 – Arras et ses places baroques   

Alignement central  / Titre courbe  / Thème  ville

Forme en ovale / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : pendentif / Symbole de fond : médaillon

.

.

Fond

.

Évocation 

.

302 6

.

Un pendentif comme un bijou

Faisant comme médaillon gravé.

Deux tons, beaucoup plus de

Couleur jaune que de couleur bleue.

.

Symbolique 

.

Il arrive d’utiliser le terme

De “médaillon” pour désigner

Ce qui est en réalité une médaille.

Cette dernière est un simple bijou

Rond ou ovale sur lequel on grave

Des symboles  ou  des lettres et

Que l’on offre pour certaines

Occasions spéciales comme

Un baptême ou mariage.

.

Le médaillon est un bijou

Légèrement différent. Il s’agit souvent

D’un pendentif épais composé de deux parties

Qui s’ouvrent et se ferment à l’aide d’un système

Conçu pour être solide, mais facile à ouvrir.

medaille.top/autres-bijoux/porter-un-medaillon

 .

.

Corrélations

Fond/forme

.

Un médaillon va bien avec un pendentif,

Tout comme beffroi  va bien avec Arras,

Et il n’y a, en cela, rien de bien subjectif

Juste rappel de l’histoire des Pays-Bas,

Possession Espagnole : sud et le nord !

.

Lors autrefois il y avait  des remparts,

Pouvant évoquer comme un médaillon,

Aujourd’hui elle est comme ville ouverte

À laquelle on aurait ajouté un pendentif !

 .

.

Plan d’Arras d’autrefois ! 

.

Scénario  

.

La place centrale d’Arras avec ses célèbres arcades.

Une autre vue  d’une place d’Arras, avec son beffroi.

Une ambiance chaleureuse, invitant à toute détente.

.

.Visuels et textuels >>

301 – Lille, capitale du Nord

Visuels et textuels  >>

.

À Lille, capitale du Nord

Florissante,

S’emboîtent, identiques

Demeures

Autour splendides cours

Intérieures,

Où flâneurs croisent

Bouquinistes

Et joueurs d’échecs,

Des touristes.

Beffroi en tour de guet,

Sonnant alarme

Rassembler villes du Nord,

Hommes d’armes,

Se retrouvant dans la citadelle

Construite par Vauban,

Ancienne cité avant de Flandres,

Parlant bien le Roman.

Colonne de la Déesse avec sa fontaine,

Qui occupe   le   centre,

Autour, bâtiment journal La Voix du Nord,

Et sa façade en pente,

Blasons de Région, surmontant  Trois Grâces,

En formes de statues,

Sans compter le Furet du Nord, celui du café Leffe,

L’hôtel de Belle Vue. 

 .

Vieille rue piétonne regorgeant de magasins, restaurants

Café en terrasse où les bières du Nord sont à flots, coulants

Ont vu naître, grandir  Charles de Gaulle,  en maison natale,

Située dans Le Vieux Lille et transformée en musée national.

.

Son renouveau par sa construction Centre Euralille exprimé

Pour devenir  la capitale  européenne  des affaires, culturée,

Contraste fort, avec la Cathédrale de la Treille, l’Université,

Catholique aux bâtiments en brique rouge  ou terre brulée.

.

Je me suis, souvent, promené,  à partir de sa Gare Centrale,

Aux temps des rigueurs de l’hiver, chaleurs étouffantes d’été :

C’est en de brèves incursions que l’on découvre son programme

Et allant à sa rencontre, qu’on se laisse séduire par son charme.

.

Lille  comment  ne pas s’y  attarder, s’y attacher, s’y promener,

Comme lieu magique,  convergence de ses premiers quartiers

Ancienne place  du Marché, d’époque médiévale, renommée,

Sa Grand Place  d’histoire  de sa Vieille Bourse, si chargées.

.

De Lille et de sa région, qu’en dire  et qu’en redire, encore,

Ce n’est  pas l’inverse du Sud même s’il fait froid dehors,

Il fait si chaud dedans qu’on s’y sent accueilli bien fort

Et  la quittant, on verse une larme, de croquemort.

.

N’en croyez rien … Lille, Roubaix, et Tourcoing,

Si, un jour,  ont filé de forts mauvais cotons,

Ils s’en sont relevés … et pour de bon !

.

.

Extensions

.

Véritable capitale

De la région du Nord,

Lille rayonne de sa culture

Et autant de son architecture

Ville où et il y fait bon vivre.

Lille demeure un point

De passage entre

L’Angleterre,

Belgique.

.

Lille, Lille la grande et non pas l’Ile-Grande,

Une différence de taille, une différence d’aura

 Un carrefour  entre les pays du Sud et du Nord,

Rayonnante par son architecture, et, sa culture.

À force  d’errer, dans  ses ruelles, tout  en flânant

Et déguster bière fraîche, en ses nombreux cafés,

On finit par devenir comme pur esprit, planant,

On la croit froide alors qu’elle est chaude l’été.

Je confirme pour y avoir, plusieurs fois, été.

.

Lille rime avec une  belle ville

Et elle ne reniera pas sa rime.

Une ville, certes, où l’on trime,

Où l’on se distrait : tranquille.

.

À chaque fois que j’y suis allé,

J’ai  toujours été  très  étonné,

Par les places et par les ruelles

De son centre qui m’interpelle.

.

La bière y coule comme fleuve,

Gastronomie n’est pas en reste,

Qu’il fasse du vent, qu’il pleuve,

Soleil est en le cœur, manifeste.

.

Centre  commercial, et  culturel,

Plaque tournante Nord, Flandres,

On peut toujours compter sur elle,

Elle a autant à prendre qu’à rendre.

.

.

301 – Calligramme  

 .

À Lille, capitale du Nord

Florissante,

S’emboîtent, identiques

Demeures

Autour splendides cours

Intérieures,

Où flâneurs croisent

Bouquinistes

Et joueurs d’échecs,

Des touristes.

Beffroi en tour de guet,

Sonnant alarme

Rassembler villes du Nord,

Hommes d’armes,

Se retrouvant dans la citadelle

Construite par Vauban,

Ancienne cité avant de Flandres,

Parlant bien le Roman.

Colonne de la Déesse avec sa fontaine,

Qui occupe   le   centre,

Autour, bâtiment journal La Voix du Nord,

Et sa façade en pente,

Blasons de Région, surmontant  Trois Grâces,

En formes de statues,

Sans compter le Furet du Nord, celui du café Leffe,

L’hôtel de Belle Vue. 

Vieille rue piétonne regorgeant de magasins, restaurants

Café en terrasse où les bières du Nord sont à flots, coulants

Ont vu naître, grandir Charles de Gaulle en maison natale  L

Située dans Le Vieux Lille, et transformée en musée natio I nal.

Son renouveau, par sa construction, Centre Euralille ex  L primé,

Pour devenir la capitale européenne des affaires,       L     culturée,

Contraste fort, avec la Cathédrale de la Treille      E        l’Université,

Catholique aux bâtiments en brique rouge       *         ou terre brulée.

Je me suis souvent promené à partir          C          de sa Gare Centrale,

Aux temps des rigueurs de l’hiver         A      chaleurs étouffantes d’été :

C’est en de brèves incursions que     P       l’on découvre son programme

Et allant à sa rencontre, qu’on     I       se laisse séduire par son charme.

Lille comment ne pas s’y         T       attarder, s’y attacher, s’y promener,

Comme lieu magique,       A       convergence de ses premiers quartiers

Ancienne place du      L      Marché, d’époque médiévale, renommée,

Sa Grand Place    E        d’histoire de sa Vieille Bourse, si chargées.

De Lille et      *   de sa région, qu’en dire et qu’en redire encore,

Ce n’est    D   pas l’inverse du Sud même s’il fait froid dehors,

Il fait  U  si chaud dedans qu’on s’y sent accueilli bien fort

Et  *  la quittant, on verse une larme, de croquemort.

N’en croyez rien … Lille, Roubaix, et Tourcoing,

Si, un jour,  ont filé de forts mauvais cotons,

R Ils s’en sont relevés … et pour de bon !

N   O    R    D

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

301 4

.

Un vase, une bouteille,

Une  montre  à  gousset,

Ou encore beau bijou

du genre pendentif

.

Lille est un bijou du Nord de la France

Qui rayonne partout :

Bleu convient, au cœur de ses remparts

Encerclé comme pendentif

 .

Symbolique 

 .

La joaillerie

Est l’art de fabriquer

Joyaux,  plus largement

Des objets de parure comme

Des pendentifs mettant en valeur

Principalement les pierres précieuses,

Les pierres fines, les pierres ornementales

Les perles, en utilisant pour montures

Les métaux précieux suivants :

.

L’or, l’argent, le platine.

Depuis quelques années,

Certaines des pièces de joaillerie

De  haut  de  gamme sont réalisées

En titane, en céramique, ou en acier.

lyn-et-or-bijoux.com/content/22-la-symbolique-des-bijoux-

.

Descriptif

 .

301 – Lille, une capitale du Nord  

Alignement central  / Titre oblique  / Thème  ville

Forme ronde / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : pendentif / Symbole de fond : bijoux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

301 6

.

Lille est un bijou du Nord de la France

Qui rayonne partout :

Bleu convient, au cœur de ses remparts

Encerclé comme pendentif

.

Symbolique

.

Tous les bijoux,

Ont une dimension

Affective et spirituelle,

Marquant très souvent

Histoire personnelle.

.

Aussi, les pierres

Les métaux à partir

Desquels ils sont conçus

Sont porteurs de symboles.

.

Ainsi serait couronne des rois,

Ainsi sera alliance des mariés,

Ou fonction religieuse sociale

Ou encore sentimentale

Rappelant quelqu’un.

Quelque-chose,

Source : 1001 symbole+ bijoux

demoiselle.com/symbolique-bijoux

.

.

Corrélations

Fond/forme 

Une grande ville, du  Nord

Au  rayonnement  industriel,

Sans compter,  sportif, culturel

Des plus grands et  des plus forts !

.

Une grande ville, chargée d’histoire

Dont témoignent, monuments, ruelles

Sans compter  sa grand  place  centrale.

.

Une grande ville encore à taille humaine :

232 000 habitants comme Bordeaux, Rennes

Et où il fait bon vivre,  quel que soit la saison,

Dont on apprécie et la bière et les moules frites.

 .

.

Plan de Lille autrefois

.

Scénario

.

La place centrale de Lille, vue de la gare.

 La place centrale avec sa colonne et son opéra.

Un ilot, au cœur de Lille, et, des plus accueillants.

 .

Visuels et textuels  >>

 

222 – Mer, ville, montagne et marins

Visuels et textuels  >> 

.

En naviguant en bateau,

Vers très lointain horizon,

Imaginez-la en équivalence

En poursuite d’une évasion

De quelque ville, ou prison

Où  vous tourniez en rond,

Jusqu’à en perdre votre âme,

Et ce, sans compter  la raison.

Une vision factice, direz-vous,

Simple erreur, de point de vue.

Ils attrapent  le «mal de mer»,

Vous diront, passionnés alpins,

S’ils respirent l’air des marins,

Alors que nombre de terriens,

En fiers citadins affirmeront

Que la mer bouge sans fin.

Programme itinérant,

Associant les trois

Est le meilleur

Qui soit

Soit

.

En bateau, la côte, vue de la mer

Ne ressemble en rien, vue de terre :

En mer vous êtes sur immensité plate,

À terre un promontoire est croche-patte.

.

En bateau, la ville est un port comme abri

Où marin descend, et traine, dans ses rues :

Il s’y sent, comme étranger, de liberté, épris,

Ça grouille de trop de partout, trop ça remue.

.

En bateau, la montagne, devient inaccessible

Est, comme une barrière,  pour leurs horizons

Marins s’habituent à le voir plus loin, profond

Affrontant des montagnes d’eau submersible.

.

Que ce soit la mer, la ville, ou la montagne :

En vos pensées partout vous accompagnent

Votre nature serait portée, divertissement

Entre mer et terre : plage vous attend.

.

Quand  une ville  vous assomme,

Ou qu’elle se met à faire peur

Vous avez envie de la fuir,

Prenez  de  la  hauteur,

En grimpant sur un

Des sites majeurs

 Admirez toits,

Montagne

Port.

.

.

Extension

.

On pourrait y ajouter la campagne qui peut,

À certains endroits, comme en Beauce ou Brie,

S’étendre aussi à perte de vue ou d’une diversité

Infinie en bocages normands, collines bretonnes.

.

Il existe bien des marinas en plein cœur de ville,

Comme à la périphérie ou en bordure de côte,

Dans la campagne ou voire dans la forêt,

En bref, en n’importe quel  plan d’eau,

Au bord d’un lac ou d’un cours d’eau.

.

Y a des gens que montagne angoissera,

Et d’autres qui ne supportent pas les villes,

À chacun ses goûts, plaisirs, peurs, résistances.

Des terriens du centre Bretagne ou d’ailleurs,

Paysans d’origine bien campé terre ferme

Deviennent de bons et fiers marins.

.

Il est vrai que contraire est plus rare :

On est en droit de se demander pourquoi !

À certains, c’est plus que vital, d’aller en mer,

Chercher solitude, exotisme, dépaysement,

La pèche, détente et que sais-je encore…

.

Difficile choix entre la mer, la montagne et la ville,

On peut associer les trois, en vivant dans une île,

Montagneuse, avec un port, et une grande ville,

Histoire de tout avoir tout en étant tranquille.

Il y a de nombreux endroits sur notre planète

Où ce rêve est possible, où il restera en tête !

Où, tous les jours, on sera comme à la fête,

En montagne : chalet, ville, appartement,

Résidence marine, pour liberté sur mer.

.

J’aime la mer, déclare un résident côtier

Moi la montagne, un habitant des Alpes,,

Moi la campagne, amoureux des champs,

Moi la ville et sans elle, je me sens perdu. !

.

Toutefois on pourra aimer la mer et la terre

Un marin n’est pas cantonné à sa seule mer,

Même si de loin, celle qu’il pratique, préfère,

Tous les espaces sont pourvus d’imaginaires !

.

Pour sûr, on ne grimpera pas  une  montagne,

Avec un bateau, moins encore  avec un voilier,

On ne va pas, non plus, sur la mer, en voiture.

À chacun son transport adapté à son milieu !

.

.

222 – Calligramme

.

En naviguant  M  en bateau,

Vers très loin  E  tain horizon

Imaginez-la    R    équivalence

En poursuite    *  d’une évasion

De quelque ville    V     ou prison

Où  vous tourniez      I     en rond,

Jusqu’à en perdre vo   L    tre âme,

Et ce, sans  compter  la  L     raison.

Une vision factice, direz  E        vous,

Simple erreur, de point    *     de vue.

Ils attrapent  le «mal    M    de mer»,

Vous diront, passion   O   nés alpins,

S’ils respirent  l’air    N  des marins,

Alors que nombre    T   de terriens,

En fiers citadins   A   affirmeront

Que la mer bou  G  ge sans fin.

Programme   N   itinérant,

Associant E   les trois

Est le meilleur

Qui soit

Soit

.

En bateau, la côte, vue de la mer

Ne ressemble en rien, vue de terre :

En mer vous êtes sur immensité plate,

À terre un promontoire est croche-patte.

.

En bateau, la ville est un port comme abri

Où marin descend, et traine, dans ses rues :

Il s’y sent, comme étranger, de liberté, épris,

Ça grouille de trop de partout, trop ça remue.

.

En bateau, la montagne, devient inaccessible

Est, comme une barrière,  pour leurs horizons

Marins s’habituent à le voir plus loin, profond

Affrontant des montagnes d’eau submersible.

.

Que ce soit la mer, la ville ou la montagne :

En vos pensées partout vous accompagnent

Votre nature serait portée, divertissement

Entre mer et terre : plage vous attend.

.

Quand une ville M vous assomme,

Ou qu’elle se met  A  à faire peur

Vous avez envie   R  de la fuir,

Prenez  de la      I   hauteur

En grimpant  N   sur un

Des sites    S majeurs

 Admirez       toits,

Montagne

Port.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

222 4

.

Évocation

.

Petite coque de bateau en haut,

Petite coque de bateau, en haut,

Une plus grande coque, en bas, 

Ou deux paysages différents

Qui se suivent ou se côtoient.

 .

Pour ce qui est de la coque, deux coques

on est bien en son concordance avec mer

idem pour paysages de mer et montagne,

si fait que forme évoque assez bien le fond.

.

La coque d’un bien petit bateau,

Avec voiles bien étarquées,

Avec, cependant, ligne bien effilée,

Proue fendant bien l’eau.

 . 

Symbolique 

 .

La coque a pour

Caractéristique d’être

Plus légère que la masse d’eau

Correspondant à son volume, jauge,

Et cela afin que la poussée d’Archimède

Lui permette de flotter : elle peut prendre

Plusieurs formes, de simples rondins de bois

Assemblés, ensemble, pour faire  un radeau,

Aux coques composite, voiliers compétition.

Il peut y avoir une coque (monocoque),

Deux (catamaran), trois (trimaran)

Wikipédia  Conception d’un bateau

.

Descriptif

 .

222 – Mer, ville, montagne et marins 

Alignement  central  / Titre  serpente  / Thème  vie

Forme conique / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : coque   / Symbole de fond : paysage

.

.

Fond

.

Évocation 

.

222 6

.

Deux, paysages, activités, rencontres 

Et tous, très différents :

 Faudra en choisir un, à défaut de pouvoir

Les embrasser tous deux.

 .

 Symbolique

 .

Un paysage est

Une vue d’une portion

De l’espace terrestre, perçue

Par les sens humains, arts visuels

Représentée, observée, majorité cas

À l’horizontale, photographiquement

Par un observateur ; il implique donc

Un point de vue. Et lors, son caractère

Résulte de l’action  et  de l’interaction

De facteurs naturels et/ou humains.

Notion de paysage a sa dimension

Esthétique forte, et picturale,

Voire  littéraire  en  tant

Que représentation.

Source : Wikipédia

 . 

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un paysage représentera un espace physique,

Qu’on ne peut percevoir que par points de vue :

Tout est affaire de représentation/interprétation

Mais on saurait toujours  s’il s’agit que de la mer,

D’une partie seulement avec montagne, campagne

Voire des trois à la fois sur n’importe quelle  photo,

Et l’on peut rajouter, mixer, une petite ville, nichée

Dans un creux et se fondant bien dans un tableau.

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Mer, ville, montagne : le rêve

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Scénario

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La montagne se détache de l’horizon, de l’eau, et la domine de haut.

La mer est plate mais en tempête, elle soulève des montagnes d’eau.

La ville et le port sont : abri, refuge, confort, service, pour le bateau.

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