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Visuels suggestion de scénario
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Se sentir inférieur, voire humilié,
voire insignifiant, voire soumis.
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Il y a toujours en toute chose,
être, un côté positif et négatif.
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Sans espoir, il n’y aurait plus
rien que du dérisoire à voir !
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Textuels calligramme / extensions
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- £ Dérisoire serait un mot noir, tandis qu’espoir, un mot rose ; le mot paradoxe est trou blanc ; le mot bonheur est apothéose. Mais si le ridicule ne nous tue pas, le dérisoire ne nous sauvera pas, car, si tout l’est, ou le devient, notre désir même ne vaut plus rien. Chacun sait qu’être sans désir est se rapprocher de sa mort. En changer vaut mieux alors, que d’en perdre son loisir. Tout n’est pas dérisoire dans la vie, mais si l’on ne satisfait qu’envies, ça ne compensera pas le manque existentiel du désir, en banque. Un paradoxe est que la mort est avant tout celle du désir lors un grand bonheur, très fort, est un but à atteindre en sa vie. Le bonheur n’est perte du désir que pour celui, pour l’assouvir, qui doit ravir ce que l’autre a pour continuer à exister, grandir. Un minimum requis, atteint pour vivre, pour consolider, s’assurer pour survivre, l’on devrait dériver son désir vers de nouvelles valeurs à servir. Lesquelles seront identitaires de ce qu’on sait bien faire si l’on souhaite parfaire son passage sur la Terre en réduisant l’inégalité du manque à combler en vie porteuse d’espoir, encore faut-il bien choisir ce qui fait devenir humain.
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- + Tout mettre sur le même pied et tout considérer comme dérisoire sont deux outrances à la réalité et au désir. On ne peut avoir la même intensité de désir pour acheter une bricole et pour une rencontre qui peut déterminer la suite de sa vie. Dans le premier cas, on satisfait une envie, par compensation d’une frustration, dans le second, on accepte de prendre un risque de refus ou on renonce à connaitre quelqu’un d’irremplaçable. Le désir de mort et la mort du désir sont très proches : sans désir, comme sans rêve, la vie n’a plus d’attrait ; sans haut et sans bas, la vie devient monotone. Le dérisoire, tout comme le ridicule, ne tue pas et, ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort, ajoute certains qui surfent ainsi sur une inversion ou une aversion de sens. Quand on est au seuil de la tombe, en regardant en arrière on peut se dire : « tout cela pour en arriver là ». D’accord, mais comme tout le monde y va, fallait-il pour autant ne rien faire, ne rien tenter d’extraordinaire. Certes pas et là le dérisoire, comme le superflu, devient essentiel dans la vie, comme supplément d’âme. Comme quoi, ce qui est dérisoire est vu comme utile ou inutile, fonction de son point de vue.
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- & Dérisoire, la vie, certes mais encore ; c’est la seule qu’on est : autant ne pas la rater en un malheur capté par une passoire. Les moments de bonheurs, même s’ils ne sont pas nombreux, ont le mérite d’exister et de pouvoir être vécus avec intensité, à condition d’être résilient, à condition autant d’être patient.
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- # Dérisoire comme faible, moqueur, ridicule, tout dépend du gap entre l’attente et sa réalité, car si l’on a placé la barre beaucoup trop haut, on dira que «la montagne a accouché d’une souris». Un bonheur simple, et qui ne coute rien, est ainsi moins dérisoire qu’un autre qui sera hors de prix, et lors, multipliant les petits plaisirs et petites joies, l’on sera, bientôt, plus heureux qu’on ne le croit.
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Textuels symboliques et corrélations
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Coupe
- Symbolique de forme : Le symbolisme étendu de la coupe se présente sous plusieurs aspects : vase d’abondance de toutes sortes de liquides, vase contenant le breuvage d’immortalité. En premier cas, elle est souvent comparée au sein maternel qui lui, produit du lait : l’inscription gallo-romaine vouée à Flore évoquerait la coupe de grâce de la mamelle. En second cas, la coupe du Graal, étant étymologiquement à la fois un vase et un livre, à la fois révélation et vie. Une tradition veut qu’il ait été taillé dans une émeraude tombé du front de Lucifer.
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Fruit
- Symbolique de fond : Le fruit est associé à l’abondance et à la fertilité. La corne d’abondance est représentée comme une corne contenant des fruits à profusion. Ici, le fruit symbolise autant la richesse que la prospérité. Le fruit désigne tout produit de la Terre pouvant servir de nourriture. Le végétal comestible, bien sucré, qui peut se consommer comme en dessert. En ce sens, il devient le symbole des résultats avantageux ou d’un effet bon ou mauvais. crystallia.unblog.fr/symbolique-des-fruits-et-légumes
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Dérisoire > désirs, moyens, caché, voyant, comblé
- Liens fond/forme : Ma coupe n’est pas grande mais je bois dans ma coupe, lors parfois j’y mets les fruits que je préfère, en petit nombre. Chacun à ses désirs selon moyens : il y en a bien cachés dans la coupe, et il y en a de plus voyant au-dessus. S’ils sont trop nombreux, ils débordent, ils ne servent qu’à augmenter déception, si fait que j’assouvirais un désir à la fois, je serai comblé jusqu’au désir prochain !
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