La bourse aux valeurs, tout le monde connait ; aux idéaux, y en pas, sinon, ça se saurait ! Les idéaux ne rapportent rien au commerce : il s’agit de l’humain, et qui le supporte ! Nos idéaux nous tirent vers le plus haut, mais attention de tomber bas. A force de grimper une échelle, il n’y a plus aucun barreau, pas même d’idéaux !
La bourse au faux pour s’appuyer au vrai ; la bourse au bien pour se préserver du mal ; la course au dieu pour vie posthume, idéale ; la bourse au beau pour se démarquer du laid ; la bourse au corps pour garder santé arbitraire ; la bourse au droit pour plus de justice égalitaire. Toutes ces bourses, à perdre haleine, et sans répit, ne garantissent pas une vie saine de corps ni d’esprit. Elles nous tirent plus haut pour redescendre plus bas : laisse aller c’est une valse, et surtout ne te fatigue pas ! Ce serait un suicide que de vouloir être meilleur en tout, et puis, de toute façon, le monde tel qu’il existe s’en fout ! Qu’on s’améliore, qu’on s’humanise, qu’on s’assagisse, bon, qui veut passer pour, vivre comme, mourir comme un con ! Personne à part celui qui l’est déjà, ne risque pas de changer, qu’est-ce qu’une belle personne qui n’a d’amour à donner ! La bourse aux valeurs et aux idéaux est un projet pour demain l’on ne parvient qu’à la moitié et être un saint n’a rien d’humain. A quoi sert de suivre un idéal si le mieux devient l’ennemi du bien, si rien n’a de valeur que ce qu’il représente comme plus qu’humain. Je ne suis pas philosophe et ne prétend pas l’être, néant m’entourant n’apporte aucune réponse à mon vide intérieur et porteur de non-sens. Philosophe pour moi n’est ni apprendre à mourir ni apprendre à vivre, elle aide à comprendre le monde, pour y être mieux présent, survivre. Survivre à soi, aux siens, à son destin qui n’est pas entièrement écrit : homme, livré à lui-même, orphelin, doit tracer seul sa voie en sa vie. C’est cela qui fait sa force et sa faiblesse, sa petitesse et sa grandeur, sa responsabilité, sa respectabilité, non devant Dieu et son prochain. La philosophie est, comme la science, la psychologie et la poésie : qui sait ce qu’elle embrasse, retient, rejette, où elle commence, finit !
+ Les idéologies qui ont menées le Monde et les nations pendant des siècles ont en passe aujourd’hui, non seulement d’être morcelées, mais d’être dépassées, par le pragmatisme !
& Valeurs, idéaux, principes moraux et environnementaux, tout cela est bon mais forment-ils, pour autant l’éthique, sachant qu’elle se reporte à la norme, plus qu’à la valeur, que la religion impose elle-même ses codes et ses règles, comment se retrouver entre les cultures et humanismes. Avec les «fake news», d’aujourd’hui : y a de quoi douter de la véracité et de la probité de nos dirigeants d’Etats.
Il n’y a pas que sur les mairies qu’on le remarque !
Les idéaux seront bientôt remplacés par les capitaux
La preuve, voilà ce vous trouverez à la place du cœur.
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Valeurs, idéaux, principes moraux et environnementaux
Tout cela est bon mais forment-ils, pour autant l’éthique
Sachant qu’elle se reporte à la norme plus qu’à la valeur
Que la religion impose elle-même ses codes et ses règles
Comment s’y retrouver entre les cultures et humanismes
Avec les «fake news», d’aujourd’hui : y a de quoi douter
De la véracité et de la probité de nos dirigeants d’Etats !