454 – Une femme, deux, dix, centaine, quelle différence !

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Visuels scénario

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J’ai choisi une femme à laquelle

je me sentais très attaché

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or me voilà entouré de six jolies

femmes dans mon travail :

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c’est bien mais c’est beaucoup trop,

 alors dix ou centaine…

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Textuel calligramme 

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  • La question du combien est-elle importante ? On voit une femme en l’homme aimant, un homme en femme, quand maternant. Il faudrait plusieurs pour en faire le tour  avant de trouver celle qui mieux nous convienne !  Le nombre ne garantira pas la qualité : il n’apportera que semblant de nouveauté ! L’on ne ferait jamais le tour des femmes lors il faudrait faire déjà le tour de la sienne !  Combien d’hommes se disent prêts à changer d’air, pour retrouver la même ou le contraire. L’homme serait plus simple à connaitre, un seul suffirait pour se faire une idée : différence de besoins, certainement, mais en cas d’homme et de femme : attachement qui se reflète l’un  en l’autre. Une femme, deux, dix, centaine, quelle importance, différence, que de vivre avec une seule ou eux à la suite ou simultanément. Pour connaître l’autre, il faut vivre avec lui, parait-il, un certain temps ; pour être sûr d’aimer l’autre, il faut déjà survivre à la naissance des enfants ; pour s’attacher à lui, il faut être d’accord sur son projet à long terme, maison ! Certains prétendent qu’il faut avoir connu plusieurs épouses, pour faire tour de la femme ;  d’autres affirment qu’il leur suffit de la leur, pour s’y perdre corps et âme, à jamais, sans en avoir fait le tour. Combien d’hommes changent d’air pour trouver le contraire comme si par cet artifice ou magie, tout allait les satisfaire ; les instables disent qu’aucune ne les aime, que la femme est juste un être à problème qui ne résout rien des leurs, ne font qu’en rajouter et qui plus est, les font passer en premier. L’homme serait-il plus simple, plus facile à décoder, plus immédiat à comprendre ; l’on prétend que oui et pourtant pas si docile que cela, non plus, à l’entendre car il est autant victime et prisonnier de ses propres contradictions  quand ce n’est pas de ses paradoxes. Humainement, il n’existe entre hommes et femmes que des différences minimes, bien sûr hors positions intimes et hors procréations ultimes : différences de sexe, très certainement, de cerveau, plus rarement.

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Textuel extension

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  • Le plus souvent, sur le plan du raisonnement et de l’entendement, ils sont en pure égalité. Ce n’est pas tant la quantité qui compte que la qualité, mais la qualité, comment la connaitre sans la quantité. Jusqu’où les femmes peuvent-elles être différentes au point que l’on croit qu’il s’agit d’une toute autre ou d’une toute nouvelle ? Qui peut, et qui veut bien, répondre à une telle question, délicate. Les femmes peuvent-elles  en dire autant au sujet  des  hommes ? Dans les deux cas, s’agit-il de personnes, modèles… stéréotypes ? Certains en auraient connu six ou sept mais … toujours la même. Si on s’en tient à la Loi normale, il y a les moyennes et extrêmes. Le plus simple, courant est de voir toute les femmes en la sienne tout en se disant qu’on a choisi la meilleure, du moins pour soi.  Chacun sait bien qu’en matière de femmes, ce n’est pas la quantité qui compte : la qualité. Elles sont différentes, parfois, interchangeables, or une seule peut, pour vous, les cumuler toutes. Non pas physiquement : c’est ridicule, impossible ; non pas psychiquement, d’intelligence, caractère : simplement d’harmonie, en plus de compromis. «Sois belle et tais-toi» n’aura plus aucun avenir. Il n’est pas interdit, d’essayer, de se tromper, l’expérience mérite  d’être, exquise, acquise, mais on ne peut y passer le restant de sa vie, arrive un moment où l’on se noie d’espérer. Où l’on ne sait qui choisir, se faire choisir, et la misogynie guette, si ce n’est la haine, l’on se retrouve perdu, en cinquantaine, pas sûr de fêter ses noces en famille.

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Textuels symboliques 

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Tire-bouchon

  • Symbolique de forme : Au XVIIe siècle, apparait le tire-bouchon contemporain de l’invention de la bouteille dite « moderne ». Déboucher une bouteille a vite nécessité l’invention d’un outil  plus spécifique : Le tire-bouchon est né ! Devenu objet précieux et voire… aristocratique, à l’origine, le tire-bouchon est vite devenu un symbole de bien-vivre et de partage, en Angleterre puis en France, d’abord, pour se démocratiser progressivement et devenir universel, devenant, du même coup, un magnifique objet de collection pour hélixophile ! club-francais-du-tire-bouchon

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Femme

  • Symbolique de fond : Prolongeant un rêve de pureté,  les premiers romantiques,, symbolistes, donnent à la femme une allure pure, virginale. Henri Le Sidaner peint un groupe de jeunes filles vêtues de blanc. La femme a une symbolique très riche qui a évolué au fil du temps. Toutefois, elle aura toujours évoqué la fécondité, pureté et aussi le vice. Nombre de mythologies  antiques attribuaient généralement une valeur sexuelle aux déesses, qui incarnaient souvent le désir et le plaisir charnel. Modifié : poetes.com et  1001 symboles

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Corrélations > faut-il  connaitre plusieurs, combien pour idéale 

  • Liens fond/forme : Pour bien connaitre la femme,  faut-il en avoir connu plusieurs : combien ! C’est là le dilemme car en essayant tout, on ne sait plus ce qui est bon  pour soi ! Par élimination, cela prend du temps et parfois c’est un comble, il s’agira de plusieurs fois la même forme, à une différence de fond près qu’on prend pour l’idéale.

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