1129 – Vingt mille mots en cerveau, dont certains !

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Visuels suggestion de scénario

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Certains sont utilisés de manière

routinière lors d’autres, créative

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Un exemple de réseau sémantique

 simple pour concept «mammifère».

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Mots attachés au cerveau, comme

branches et brindilles en un arbre.

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Textuels calligramme / extensions

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  • £ Vingt mille mots ça peut paraitre à certains, peu, autres beaucoup. On en utilise cinq mille, courants, les autres, spécifiques ou savants. Dictionnaire en fournit soixante mille, vingt mille cela ne fait donc que le tiers et, cinq, fait moins de dix pour cent, et il s’en crée tous les jours, les ans. Certains vieillissent, disparaissent, ils ont donné leur temps, leur sang, certains resurgissent avec un autre sens : c’est vivant une langue ou bien morte. Vingt mille mots en mon cerveau et pas un de plus mais pas un de trop ! Si certains, je ne sais que les entendre, d’autres, en nombre plus restreints, je sais bien les parler, et plus rares encore le sont ceux qui me servent à écrire. Il ne me suffira pas de les apprendre, il me faudra aussi les stocker afin de les réutiliser. Le premier qui me vient est souvent le plus familier, puis je change ou j’essaye de trouver celui qui convient le mieux, à fixer, à préciser ! En vers, c’est moins facile à conter. En rimes, c’est moins simple à diversifier. En texte, on croit relaxer toutes les contraintes mais d’autres s’imposent à vous, à votre insu. Parfois, ce sont les sens, la logique, qui l’emportent,  déroulant fil rouge de la phrase, argumentant la chose dont il est question et qui s’impose au cerveau, comme évidence ; d’autres sont en balance pour frapper l’esprit, par chance. Parfois, ce sont les sons,  sonorités, qui coulent comme de l’eau, très limpides d’une source inspirée, jaillissante, fluide, sans qu’un sens s’impose à l’esprit, il en est ainsi de poésie. Il est question de rythmes, de couleurs, de touchers, de parfums, de saveurs, de plaisirs de l’oreille enchantée, ce n’est plus le fond qui importe que la forme qui l’emporte. Vingt mille mots en mon cerveau : pas un de plus mais pas un de trop. Si on ne dispose que de trois mille, comment fait-on pour être subtil ! Impossible d’être en nuances. Sans parler qu’erreur de syntaxe entraine compréhension du contraire de ce qui est dit : syntaxe, priez pour nous, pauvres pêcheurs  alors que les chiffres parlent d’eux-mêmes ! La faute de grammaire ajoute encore son désordre, faute d’orthographe bouscule concorde, de prononciation conclut à l’incompréhension ! Quand je bute sur  des mots, phrases, je laisse tomber et je révise ma copie, aucun langage script ne me convient : trop mal codé pour toute communauté.

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  • & Chaque mot est relié à, au moins, deux autres dans une phrase : celui d’avant lui, s’il y en a un, et celui d’après lui, s’il y en a un. De manière simple et claire : précédant et suivant mais pas que… tant les mots auront différents sens, selon différents contextes, seront reliés à votre interprétation, subjective, personnelle. Beaucoup signifiera une telle quantité chez une personne mais une autre quantité, pour une autre personne ! Ça fait comme une différence pour un seul mot ! Pour finir, je ne dirai qu’un mot : réseaux.

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  • # Un mot : le premier mot d’un bébé, curieusement «papa» et non «maman» or que les mères, pour autant, ne s’en étonnent, s’il dit souvent « papa » en premier, c’est pour une  raison simple : le  «p» est plus facile à prononcer. « Selon la revue Cerveau Psycho : vocabulaire de 300 mots environ vers l’âge de deux ans. Selon Alain Bentolila : « À la fin du CE1, enfants au vocabulaire pauvre : 3000 mots ; moyen, 6000, supérieur 8 000. On estime pour un adulte cultivé : 20 000 utilisés, pour autour de 40 000 compris ?

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Textuels symboliques et corrélations

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Langage

  • Symbolique de forme : Le langage, écrit ou parlé, est imprégné de valeurs symboliques : images, idées, émotions, sonorités, graphismes, dans ce qu’il exprime, mais aussi dans une certaine mesure, dans ce qu’il n’exprime pas. Le passage du mot  la réalité, c’est l’ouverture à la manière d’un bourgeon. Moyen de communication entre les hommes mais aussi d’invocation de la Divinité. Symbole du Verbe, Logos, Intelligence,  Activité, Volonté divines de la Création.

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Mot

  • Symbolique de fond : Le mot est un symbole que l’on utilisera afin d’exprimer sa pensée, afin d’exprimer l’intention, afin de décrire ce que l’on ressent. Cependant, n’oublions pas qu’il n’est pas la chose elle-même. Beaucoup se laissent avoir par la force du mot, toute la charge émotionnelle qu’il pourrait contenir. En effet, en grandissant, le mot pourra prendre un poids énorme en nos vies. Je vois ce qui m’entoure à travers sens précis que j’ai donné au mot. leducationspirituelle.over-blog.com/2016/02/le-mot-est-un-symbole

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Cerveau >

  • Liens fond/forme : Le mot peut n’avoir qu’une seule syllabe, voir un seul caractère ou syllabe muette, et il peut en contenir jusqu’à vingt-quatre :  anticonstitutionnellement serait… détrôné comme mot le plus long de langue française.  Avec ses 27 lettres, bien comptées,  mot «Intergouvernementalisations»! Hippopotomonstrosesquippedaliophobie,  s’utilise, par plaisanterie,  pour désigner peur de mots trop longs, trop de syllabes. Exercez-vous  à le prononcer  et sortez-le dans une conversation de salon, : effet bœuf garanti !

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