1108 – La quête du Graal est éternelle et vaine !

Visuels et textuels  >>

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De légendes en légendes,

Depuis mort du Christ,

Celle-ci est parvenue

À rester d’actualité.

.

Sang, dans le vase

Qu’il  contiendrait,

Est prétendu divin :

Humain n’appartient !

.

Alors, à  quoi  s’obstiner,

Mais, son mystère fascine,

Tant qu’on ne peut qu’espérer

Sinon, le trouver …  l’imaginer !

.

Je cherche, cherche encore et toujours

Le sens  de  ma  vie mes folles amours,

En l’heure qui passe   jours qui s’écoulent,

En ce moment où toute vie s’écroule.

.

Que je me perde, religion art, nature, autrui, extrême,

Quelques soient les modes d’actions et mes… opinions,

Je serais condamné à ne me déterminer que par moi-même,

En vrai, une quête du Graal qui peut dire où elle nous mène.

.

Elle  nous  mène, tambour  battant, à faire des expériences,

Qui  nous  apportent connaissances parfois des sciences

Sur quoi est fait l’homme, sur sa différence, son essence,

Mettant à part ceux qui  mettent leur âme en vacances.

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Si la vôtre ne l’est pas  et, si vous croyez qu’il existe

En le destin particulier chaque homme qui existe,

Interrogez-le pourquoi et comment  vous êtes là,

Cherchez en vous quel  Graal vous conviendra.

.

Sage, celui qui trouve réponse à cette question,

Elle n’est point folie pas plus que de raison,

Est juste  parcours parfois même poursuite

Pour autant n’est pas  celle de lâche en fuite.

.

Il n’est rien de plus vain, que de se connaître,

Ni de plus  courageux,  que de vouloir renaitre,

Attendant  d’autres vies : la sienne, bien lucide,

Quand le diable  nous offre  son contrat perfide

.

Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,

Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité

J’aime mieux encore mendier voire vagabonder

Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté

.

L’homme  veut se dépasser, se surpasser,  défier

Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :

Sa chute n’en est pas  moins cruelle, et, mortelle,

Étant seul à savoir  en quoi son âme, immortelle.

.

Immortel n’est contraire, complément  de mortel

Nous le sommes, tous, et, bien avant, que  naitre,

Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître

Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà  du réel.

Le réel n’a rien à voir  avec quête du Graal, éternel,

Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.

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Extensions

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Une quête éternelle, cela a-t-il du sens :

S’agit-il de résurrection, ou prolongation,

De la vie corporelle ou de la  vie spirituelle,

De l’éternité d’un homme ou de l’Humanité :

Par définition si cette quête est bien éternelle

C’est qu’elle est, par avance,  des plus vaines.

Homme serait-il à ce point croyant stupide

Pour rechercher cette chose, inaccessible

Pour lui ou qu’il a inventé lui-même.

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À chacun son Graal,

Quête de vérité et justice,

Pour  les  chevaliers  arthuriens

Pour chacun, de sa réussite suprême !

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Graal corne d’abondance, nourriture qu’on désire ;

Pierre tombée du front de Lucifer  et creusée en vase ;

Récipient utilisé ; par Jésus, à son dernier repas, la Cène.

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Lors, pour cette dernière raison, certaines légendes  racontent

Que quiconque boirait dans un tel vase atteindrait l’immortalité !

À la recherche du Graal, le chevalier chrétien doit avoir le cœur pur.

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1108 – Calligramme

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De légendes en légendes,

Depuis mort du Christ,

Celle-ci est parvenue

À rester actualité.

Sang dans le vase

Qu’il  contiendrait,

Est prétendu divin :

Humain n’appartient !

Alors, à  quoi  s’obstiner,

Mais, son mystère fascine,

Tant qu’on ne peut qu’espérer

Sinon, le trouver …  l’imaginer !

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Je cherche, cherche ¤¤¤ L ¤¤¤¤¤¤¤ encore et toujours

Le sens  de  ma  vie ¤¤¤¤ A ¤¤¤¤¤¤¤  mes folles amours,

En l’heure qui passe  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ jours qui s’écoulent,

 En ce moment fatidique  ¤ Q ¤¤¤¤¤¤¤ où toute vie s’écroule.

Que je me perde, religion ¤ U ¤¤ art, nature, autrui, extrême,

 Quelques soient les modes   Ê   ¤¤ d’actions et mes… opinions,

Je serais condamné à ne me  T   déterminer que par moi-même,

En vrai, une quête du Graal   E   qui peut dire où elle nous mène.

Elle  nous  mène, tambour      *    battant, à faire des expériences,

Qui  nous  apportent con       D    naissances parfois des sciences

Sur quoi est fait l’homme,     ‘      sur sa différence, son essence,

Mettant à part ceux qui      U   mettent leur âme en vacances.

Si la vôtre ne l’est pas         N     et, si vous croyez qu’il existe

En le destin particulier      *         chaque homme qui existe,

Interrogez-le pourquoi    G        et comment  vous êtes là,

Cherchez en vous quel    R          Graal vous conviendra.

Sage, celui qui trouve   A     réponse à cette question,

Elle n’est point folie     A       pas plus que de raison,

Est juste  parcours      L     parfois même poursuite

Pour autant n’est pas !     celle d’un lâche en fuite.

ÉTERNELLE

Il n’est rien de plus vain,  *   que de se connaître,

Ni de plus  courageux,  que de vouloir renaitre,

Attendant  d’autres vies : la sienne, bien lucide,

Quand le diable  nous offre  son contrat perfide

Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,

Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité

J’aime mieux encore mendier voire vagabonder

Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté.

ET VAINE !   

L’homme  veut se dépasser, se surpasser,  défier

Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :

Sa chute n’en est pas  moins cruelle, et, mortelle,

Étant seul à savoir  en quoi son âme, immortelle.

Immortel n’est contraire, complément  de mortel

Nous le sommes, tous, et, bien avant, que  naitre,

Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître

Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà  du réel.

Le réel n’a rien à voir  avec quête du Graal, éternel,

Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.

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Forme

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Réduction

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Évocation

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1108 4

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Un vase,

Ou  bien  calice

La coupe du Graal ?

pour une vie éternelle !

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(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

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Le Graal est multiforme, est généralement

Une coupe ou vase :

Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit

 D’atteindre vie éternelle.

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Symbolique

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Le Graal est une coupe,

Objet mythique de la légende

Arthurienne, et objet de la quête

Des  chevaliers  de la  Table ronde.

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À partir du XIII e siècle, il est assimilé

Au Saint Calice (utilisée par Jésus-Christ

Et ses douze disciples au cours de la Cène,

Et qui aurait recueilli le sang du Christ)

Et prend alors le nom de Saint Graal.

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La nature du Graal et le thème

De la quête qui lui est

Associé ont donné lieu

À des interprétations

Type symboliques

Voire ésotériques

Ainsi qu’à multiples

Illustrations artistiques.

Source, modifiée, de Wikipédia

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Fond

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Évocation 

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1108 6

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Le Graal est multiforme, est généralement

Une coupe ou vase :

Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit

 D’atteindre vie éternelle.

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Symbolique 

 .

« Je crois à la vie éternelle »

Est  un article  du  Credo  selon  la

Formule originelle du Symbole des apôtres,

Prolongeant l’article « je crois à la résurrection de la chair »,

Où le terme « chair » désigne l’homme   dans  sa   condition

Faiblesse, mortalité rachetée par le «Verbe fait chair».

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Le credo selon le symbole de Nicée-Constantinople

Professe, lui,  la   « résurrection des morts ».

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Signifiant que  l’état définitif  de l’homme

Ne sera pas seulement l’âme spirituelle

Séparée du corps mais que les corps

Mortels, appelés à reprendre vie,

Au dernier jour, incorruptibles.

fr.wikipedia.org/wiki/Vie-eternelle

 .

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 Corrélations

Fond/forme 

 .

La coupe du graal a subi de nombreux avatars

Dont le plus connu serait celui de la Table ronde

D’objet mythique et introuvable, il serait devenu

Le symbole de l’élévation suprême dans le sport,

Et toute autre discipline, et  toute autre religion

Atteindre le Graal serait touché le doigt de dieu

Boire dans la coupe, avoir accès vie éternelle !

 .

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Caché, perdu, enfermé en église

.

Scénario

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Un secret jalousement gardé en un coffre inaccessible

ou le secret, perdu, des Chevaliers de La Table Ronde

ou le ciboire où l’on met les hosties, corps du Christ.

 .

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