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Originaux : poème, extensions, fragments
Poème
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La
Question du
Combien est- elle importante ?
On voit une femme en homme aimant,
Un homme, en femme, lors maternant.
Il faut plusieurs, avant d’en faire le tour,
Afin de trouver celle qui nous convienne.
Mais, le nombre ne garantira pas qualité,
Il n’apporterait que semblant nouveauté !
L’on ne ferait, jamais, le tour des femmes
Il faudrait déjà faire le tour de la sienne !
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Combien d’hommes
Prêts à changer d’air,
Et, pour retrouver la
Même ou contraire !
Et l’homme serait-il
Si simple à connaitre
Qu’un seul suffirait
Pour se faire une idée.
Une, deux, dix, centaine :
Importance et différence,
Vivre avec une seule, deux,
À la suite ou simultanément.
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Pour connaître l’autre, faut vivre
Avec lui, un certain temps,
Pour aimer l’autre, il faut survivre
À la naissance des enfants.
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Certains disent qu’il faut plusieurs,
Pour faire le tour de la femme,
Et d’autres qu’il leur suffit de la leur,
Pour s’y perdre…corps et âme.
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Combien d’hommes changeront d’air
Pour retrouver le contraire,
Les instables disent aucune ne les aime,
Femme est être à problème.
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L’homme serait-il plus simple, plus facile
À décoder, à comprendre,
On prétend que oui, et pourtant peu docile
Pas plus à l’entendre !
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Humainement, les différences sont minimes
Hors leurs positions intimes,
S’il y a une différence de sexe, certainement,
De cerveau, non, ou rarement.
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Extensions
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Le plus souvent, plan
Du raisonnement et de l’entendement,
Ils seront en pure égalité.
Ce n’est pas tant la quantité qui compte
Que la qualité, mais la qualité,
Comment la connaitre sans la quantité.
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Jusqu’où les femmes peuvent-elles être différentes au point que
L’on croit qu’il s’agit d’une toute autre, ou d’une toute nouvelle ?
Qui peut et qui veut bien répondre à une telle question, délicate !
Les femmes peuvent-elles en dire autant au sujet des hommes ?
Dans les deux cas, s’agit-il de personnes, modèles … stéréotypes ?
Certains en auraient connu six ou sept mais … toujours la même.
Si on s’en tient à la Loi normale, il y a les moyennes et extrêmes.
Le plus simple, courant est de voir toute les femmes en la sienne
Tout en se disant qu’on a choisi la meilleure, du moins pour soi.
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Chacun sait bien qu’en matière de femmes,
Ce n’est pas la quantité qui compte : la qualité
Elles sont différentes, parfois, interchangeables,
Mais l’une seule peut, pour vous, cumuler toutes.
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Non pas physiquement : c’est ridicule, impossible,
Non pas psychiquement, d’intelligence, caractère
Simplement d’harmonie, en plus de compromis.
«Sois belle et tais-toi» n’aura plus aucun avenir !
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Il n’est pas interdit, d’essayer, de se tromper,
L’expérience mérite d’être, exquise, acquise,
Mais on ne peut y passer le restant de sa vie,
Arrive un moment où l’on se noie d’espérer.
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Où l’on ne sait qui choisir, se faire choisir,
Et la misogynie guette si ce n’est la haine,
L’on se retrouve perdu, en cinquantaine,
Pas certain de fêter des noces en famille.
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Fragments
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L’amour dure trois ans, selon des statistiques
Qui ne seraient basées que sur des déclaratifs
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Est-ce raison pour laquelle, certains changent,
En s’appuyant sur ces données comme fatalité.
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Entretient-on confusion entre amour et passion,
Il y aurait souvent un meilleur accorde en idéal !
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Chacun sait qu’idéal n’existe pas, en cas contraire,
Au bout d’un temps, on finirait bien par s’en lasser.
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De toute façon, il faut être riche à divorcer sept fois
Surtout avec enfants de chacune, faut un sexe en or.
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J’imagine qu’il faut faire une différence entre tous cas
Des célibataires s’ignorent et soudain se redécouvrent.
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La peur, que dis-je l’angoisse, l’impuissance à s’engager
Sur le long terme, créent toujours déceptions et drames
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Je ne dis pas qu’il faille choisir à seize ou à dix-huit ans
Rester fidèles quel que soit cours événement, sentiment
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Aujourd’hui où sa liberté de choix sera devenu la règle,
Personne ne pourrait plus se plaindre d’avoir été forcé,
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Et, malgré cela, les divorces vont bon train, de moitié,
Sans qu’on sache si c’est un mal pour un bien ou folie.
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S’essayer à la séduction et à l’amour est bien humain,
passer sans cesse d’un conjoint à l’autre est enfantin !
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Graphiques : calligramme, forme et fond
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Calligramme
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La
Question du
Com D bien est- elle impor D tante ?
On voit I une femme en homme I aimant,
Un hom X me en femme, lors ma F ternant.
Il faut * plusieurs, avant d’en faire F le tour,
Afin de F trouver celle qui nous con É vienne.
Mais le E nombre ne garantira pas R qualité.
Il n’ap M porte que semblant nouve E auté !
L’on M ne ferait jamais le tour des N femmes
Il fau E drait déjà faire le tour de la C sienne !
S E …
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Combien…….. d’hommes
Prêts à changer d’air,
Et, pour …….retrouver la
Même ou contraire !
Et l’hom….….me serait-il
Si simple à connaitre
Qu’un seul…….…suffirait
Pour se faire une idée.
Une, deux, dix, centaine :
Importance et différence,
Vivre avec une seule, deux,
À la suite ou simultanément.
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Pour connaître l’autre, faut vivre
Avec lui, un certain temps,
Pour aimer l’autre, il faut survivre
À la naissance des enfants.
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Certains disent qu’il faut plusieurs,
Pour faire le tour de la femme,
Et d’autres qu’il leur suffit de la leur,
Pour s’y perdre…corps et âme.
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Combien d’hommes changeront… d’air
Pour retrouver le contraire,
Les instables disent aucune ne les aime,
Femme est être à problème.
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L’homme serait-il plus simple, plus facile
À décoder, à comprendre,
On prétend que oui, et pourtant peu docile
Pas plus … à l’entendre !
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Humainement, les différences sont minimes
Hors leurs positions intimes,
S’il y a une différence de sexe, certainement,
De cerveau, non, ou rarement.
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Forme
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Évocation
Un château d’eau pour ville,
Un moulin à poivre ou à sel,
Ou encore un tire-bouchon.
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On ne va pas vous tirer les vers du nez, pour savoir :
Combien de femmes vous avez connu, avant et après !
Une femme ne sera pas une bouteille d’alcool, d’élixir,
Ni l’homme un tire-bouchon pour l’ouvrir à l’envie.
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.Symbolique
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Au XVIIe siècle,
Apparait le tire-bouchon.
Contemporain de l’invention
De la bouteille dite « moderne ».
Déboucher un une bouteille
A vite nécessité l’invention
D’un outil plus spécifique :
Le tire-bouchon est né !
Devenu objet précieux,
Et voire… aristocratique
À l’origine, le tire-bouchon
Est vite devenu un symbole
De bien-vivre et de partage,
En Angleterre puis en France.
Tout d’abord, pour se démocratiser
Progressivement et devenir universel,
Devenant du même coup, magnifique
Objet de collection pour hélixophile !
club-francais-
du-tire-
bouchon
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Fond
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Évocation
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Rapport entre femme et tire-bouchon
Serait, un peu « tirer par les cheveux »
Mais celui de la bouteille et du vin, oui.
Alors on fait comment pour le bouchon.
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Symbolique
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En prolongeant
Leur rêve de pureté
Les tous premiers
Ro-man-tiques,
Symbolistes
Donnent
À la femme
Une allure pure, virginale.
Henri Le Sidaner peint ce groupe
De jeunes filles étant vêtues de blanc.
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La femme a une symbolique très riche
et qui aura évolué tout au fil du temps.
Toutefois, elle aura toujours évoqué la
Fécondité, pureté, mais aussi le vice.
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Bon nombre de mythologies antiques
Attribuaient généralement une valeur
Sexuelle aux déesses, qui incarnaient
Souvent le désir et plaisir charnel.
Modifié : poetes.com et 1001 symboles
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Fond/forme
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Pour bien connaitre la femme, il faut
En avoir pratiqué plusieurs : combien !
C’est là le dilemme car en essayant tout
On ne sait plus ce qui est bon pour soi,
Par élimination, cela prend du temps
Et parfois c’est un comble, il s’agira
De plusieurs fois la même forme,
A une différence de fond près
Qu’on prend pour l’idéal.
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