403 -Toi qui connais … t’aimer !

Visuels et textuels  >> 

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Poème

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Aimer pour tout partager,

Lutter contre pour l’intégrité,

Qui peut, un jour, être menacée,

En séparant  un couple, consolidé.

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Dépendre de quelqu’un, déstabilise,

En attendant  qu’un nouvel équilibre

S’établisse  puis se rompe, à nouveau,

Et ainsi de suite, lors crises du couple.

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Respecter l’autre et ne pas l’humilier,

Faire en sorte tout peut être réparé,

Voire pardonné, en torts partagés,

Se quereller n’est pas se colèrer.

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Apprends-moi  … à t’aimer,

Toi qui connais l’amour,

Toi qui domine le jour,

Apprends-moi à lutter.

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Aimer d’un côté et lutter

De l’autre : contradiction,

Ou action à mener de front,

Pour un compromis à trouver

En respectant l’autre à égalité,

Trouvant limites de nos libertés

Impliquant vraie confraternité

Sinon deviendrons étrangers.

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Refuser l’autre main tendue,

Refuser    d’essayer  malvenu

Refuser d’avoir d’explication,

Porte fermée communication.

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Apprends-moi à t’aimer

Toi qui connais ce sentiment,

Qui moi, m’échappe pleinement,

À ne pas savoir sur quel pied danser.

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Je me sens comme dépossédé devant toi,

De tout mon contrôle, de toute ma rationalité

Ai peur de te parler comme de jeter en un froid,

Que tu peux, comme une maladresse, interpréter.

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D’avoir à dépendre de toi me rend déstabilisé

Je sens comme ayant  et soudain  bras liés

Ou que  je me jette en confiance  aveuglé

En précipice d’amour pour  tomber.

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Je  me  hais, de n’accepter

Ta main, vers  moi tendue

Afin de nous réconcilier

Après nous être  battus.

Et je me hais de n’avoir

Pas bien su me défendre,

Et bien de trop, autant d’avoir,

De toi, et bien de trop, à dépendre.

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Calligramme

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Aimer pour tout partager,

Lutter contre pour l’intégrité,

Qui peut, un jour, être menacée,

En séparant  un couple, consolidé.

Dépendre de quelqu’un, déstabilise,

En attendant  qu’un nouvel équilibre

S’établisse  puis se rompe, à nouveau,

Et, ainsi de suite, lors crises du couple.

Respecter l’autre et ne pas l’humilier,

Faire en sorte tout peut être réparé,

Voire pardonné, en torts partagés,

Se quereller n’est pas se colèrer.

 .

*********************************

.

Apprends-moi  …     *      à t’aimer,

Toi qui connais      T     l’amour,

Toi qui domine    O    le jour,

Apprends-moi     I à lutter.

Aimer d’un côté   *  et lutter

De l’autre contra   Q    diction,

Ou action à mener      de front,

Pour un compromis    I       à trouver

En respectant l’autre     *         à égalité,

Trouvant les limites à     C       nos libertés

Impliquent vraie con     O         fraternité

Sinon deviendrons ét   N          rangers.

Refuser autre main    N         tendue,

Refuser    d’essayer    A      malvenu

Refuser d’avoir l’exp  I       lication,

Porte fermée commu S      nication.

.

Apprends-  A              T  moi à t’aimer

Toi qui    P       connais  ce     ‘    sentiment,

Qui moi,   P      m’échappe       A     pleinement,

À ne pas  R     savoir sur quel        I   pied danser.

Je me     E   sens comme dépossédé    M   devant toi,

De tout  N   mon contrôle, de toute ma   E   rationalité

Ai peur   S   de te parler comme de jeter   R  en un froid

Que tu   –   peux comme une maladresse   *  interpréter.

D’avoir   M   à dépendre de toi me rend    V  déstabilisé

Je sens    O   comme ayant  et soudain   R     bras liés

Ou que   I   je me jette en confiance   A   aveuglé

En pré  *  cipice d’amour pour     I  tomber.

.

Je  me  hais, de n’accepter

Ta main, vers  moi tendue

Afin de nous      réconcilier

Après  nous         être  battus.

Et je me        hais       de  n’avoir

Pas  bien        su me          défendre,

Et bien       de trop, autant          d’avoir,

De toi,         et bien de trop, à       dépendre.

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Forme

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Évocation

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Colonne sculptée d’une rambarde

Femme  avec panier  sur la tête :

Éclairage par lampe et amour.

Pour apprendre : faut un cœur.

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403 4

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De nombreuses lampes produisent

De la lumière, sous un verre 

Et comme pour l’amour, elle possède

 Un variateur savoir/plaisir.

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La forme se rapproche quelque peu du fond,

Par la lampe ayant comme cœurs superposés :

On apprend autant par le corps que par l’esprit !

 . 

Symbolique

 .

La lampe représente aussi

Une  lumière intérieure, une énergie,

Des capacités, des talents que nous maîtrisons,

Avec un certain pouvoir de les allumer

Et de les éteindre.

La lumière est le symbole

De la connaissance on apprend,

De jour en jour, avec elle, à mieux se connaître,

Évoluer par informations pertinentes

Y compris sur l’amour.

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Descriptif

 .

403 – Toi qui connais : apprends-moi à t’aimer

Alignement central / Titre dédoublé / Thème  savoir

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de à forme

Symbole forme : lampe / Symbole fond : apprendre

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Fond

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Évocation 

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Deux pages d’un beau récit, sur l’amour

Qui forment comme un cœur

Voilà qui nous apprendra que les mots

Qu’il contient seront les bons.

 .

Symbolique 

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Savoir écouter son corps

Celui de son ou sa partenaire,

Mais tout autant se laisser aller,

S’abandonner  pour aller vers une

Rencontre, c’est ce qui est important.

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Car faire l’amour, ce sera avant tout

Partager un moment intime fondé

Sur confiance, respect, émotion.

Un plaisir qui se découvrira

Évoluera avec le temps.

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D’ailleurs,  rien n’est

Jamais … acquis : tout

S’apprend et se réapprend

Sans cesse,   les relations sexuelles

Autres, variant en fonction de l’autre, de soi

Du temps que l’on met à se connaître intimement.

femina.fr/article/peut-on-apprendre-a-bien-faire-l-amour

 .

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Fond/forme 

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La lampe éclaire ses sentiments envers l’autre

Autant que sa manière de respecter sa liberté,

Et non de l’entraver et pour son unique profit

Rien ne sert d’allumer sa lampe,  si c’est pour

Étouffer sinon voire éteindre celle de l’autre.

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Apprends-moi à aimer et à t’aimer, ne sont

Pas deux requêtes  totalement équivalentes :

Aimer est une compétence, générale, sociale,

T’aimer sera une performance visant un but.

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L’on apprend par lecture de livres et romans,

Sans compter  poésies, lettres de mots doux :

Il y a tant et tant d’occasion pour l’apprendre

Qu’il suffirait d’y croire pour qu’il se réalise ?

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Visuel 

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Au début, je ne savais pas, j’étais timide,

et même interrogatif sur bonnes chances,

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je méditais, très souvent, sur le pourquoi

de ma solitude en cherchant : comment,

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et puis, un beau jour, je me suis lancé,

et à ma grande surprise, ça a marché !

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Aimer, c’est d’abord et avant tout vivre,

que l’on soit croyant, spirituel  ou athée

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Textuel  

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Aimer pour tout partager, lutter contre pour

l’intégrité qui peut, un jour, être menacée en

séparant un couple consolidé. Dépendre de

quelqu’un, déstabilise, en attendant qu’un

nouvel équilibre s’établisse puis se rompe à

nouveau et ainsi de suite lors de crise de

couple. Respecter l’autre, ne pas  l’humilier,

faire en sorte que tout peut être réparé,

pardonné, torts partagés. Se quereller n’est

pas se colèrer ! Refuser, de l’autre, la main

tendue, tenter de mieux faire, avoir une

explication et non fermée la porte à la

communication.  Apprends-moi à t’aimer, toi

qui connais l’amour ; toi qui domine le jour,

apprends-moi à lutter. Aimer d’un côté, lutter

de l’autre : contradiction ou action à mener de

front pour compromis à trouver ! Respecter

l’autre à égalité, trouver les limites à nos

libertés, impliquent une vraie confraternité,

sinon nous devenons étrangers. Apprends-moi

à t’aimer, toi qui connais, toi qui maitrise, toi

qui pratique ce sentiment humain qui, moi,

m’échappe pleinement, à ne pas savoir sur

quel pied danser, à en être une victime

dépendante par ma timidité. Je me sens

dépossédé quand je me trouve en face de toi,

de tout contrôle et toute rationalité. J’ai peur

de te parler, de jeter un froid que tu pourrais,

en maladresse intentionnelle, faussement

interpréter, jusqu’à m’éviter. D’avoir à

dépendre de toi, me rend déstabilisé, c’est

comme si j’avais soudain les bras liés ou ne

pouvais plus avancer ou encore que je me

jette, aveuglé par trop de confiance en  moi, en

précipice d’amour jusqu’à y tomber. Je me

hais de n’accepter ta main, vers moi tendue

alors que tu cherches à nous réconcilier après

nous être parfois battus pour des broutilles ou

fallacieuses raisons. Je me hais de n’avoir pas

su me défendre lors tu faisais l’évocation des

défauts, manquements. Je me hais d’avoir,

trop, de toi, à dépendre, à tous moments.

  .

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Extension

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Apprends-moi à t’aimer

Et sans jamais chercher

À t’approprier,  posséder,

Pour moi et pour moi seul,

T’enfermer   dans  un carcan

Qui n’a rien d’un nid d’amants.

Je voudrais t’aimer …… rien que

Pour toi-même, pour ce que tu es,

Et non pour ce que je projette en toi

Ou qui répond à tous mes fantasmes,

Mes calculs, mes envies,  mes attentes.

Voilà que je me rends compte à présent

Que l’amour tiendrait du miracle et que,

Seules, ma foi, et mon espérance,  en lui,

Me procureront cette passion de t’aimer.

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Apprendre à aimer en faisant quoi :

Les gestes qu’il faut !

Apprendre à aimer, en disant quoi :

Les vrais bons mots !

Non car tout cela n’est qu’extérieur,

Qu’un pur apparat !

Si corps, esprit ne sont pas en cœur :

Amour n’existe pas !

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Qu’est-ce que l’on aime chez l’autre :

S’il y a une part de réalité, connivence

Demeure l’inconnu, l’imprévu, mystère,

Sans parler  des  nouvelles opportunités !

Si l’amour conjugal était comme certitude,

Il aurait moins de charme, moins de liberté :

Tous les serments et même tous les sacrements

Ne pourront conjurer séparation, voire divorce.

Stendhal est, parmi les romanciers, l’un de ceux

Qui a le mieux décrit ce processus cristallisation,

Qui nous fera tout autant devenir, aveugle, sourd,

Comme sur nuage, aux avis, pressions  entourage.

Alors, apprend-t-on à aimer, ou non : tout dépend

Du commencement et de ce que l’on en fera après,

Si on le tient pour acquis, pas longtemps il ne suit,

De fait, apprendre à aimer demande toute une vie !

Les philosophes vous parlent d’aimer «sujet» choisi

Librement  et psychanalystes, «objet» attachement,

Poètes ne s’entremettent  dans cette guère de mots,

Demeurent au cœur du sujet objet de leurs propos.

Amour pour les uns n’est pas le même pour autres,

Il s’apprend, se comprend, se pratique tout autant

En convergence, qu’en différence voire divergence,

À en confondre, parfois, appétit, envie, appétence.

Prétendre à s’aimer entre inconnus et dans le noir

Ressemble au déni de sa réalité et de sa virtualité

On est au bord du fantasme d’interchangeabilité

L’amour réel n’existe que visible et bien incarné.

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Épilogue

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Un concept précis ou un fourre-tout

Il se décline en tous cas en bien des choses

À commencer par l’amour maternel, familial

Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal

Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose !

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L’amour-propre formerait quelque variante éthique

Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique

Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,

En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !

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Affectivité, volonté nous fait reconnaitre objet inspirant

Comme bon, comme beau, aimable, et voire, désirable.

L’amour peut alors se porter sur l’art, sur l’esthétique,

On peut admirer un tableau, apprécier une musique.

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 « Elle fut dans ses bras, sur ses genoux, avec une voix profonde. Ce fut leur premier baiser, qui dura le reste de la nuit. Ils ne parlaient pas, ils s’approchaient. Elle se révélait à lui dans toute sa splendeur. Vers l’aurore, ils s’atteignirent. Elle avait une expression de jubilation et de curiosité incroyables. Le contact parfait, le sourire … tout enracinait Jim. Les autres femmes n’existaient plus pour lui. » Henri-Pierre Roché. Jules et Jim. Gallimard

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La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, pour tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes. L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale.

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Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent se retrouvent l’un dans l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel. L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation.

En amour, les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité pour déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre… sont pour certains de véritables épreuves.

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Amour quand tu nous tiens … nous lâche !

Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,

De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert

Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.

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L’amour est un concept universel mais multiple

Certains en feront la première valeur de leur vie

Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent

L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux.

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Comment être certain vivre le véritable amour

Celui qui nous nourrit, nous ravit chaque jour

Il est comme le bonheur, tellement subjectif

Qu’on ne saurait le définir sauf subjonctif.

 

 

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Visuels et textuels  >> 


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