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Poème
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Aimer pour tout partager,
Lutter contre pour l’intégrité,
Qui peut, un jour, être menacée,
En séparant un couple, consolidé.
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Dépendre de quelqu’un, déstabilise,
En attendant qu’un nouvel équilibre
S’établisse puis se rompe, à nouveau,
Et ainsi de suite, lors crises du couple.
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Respecter l’autre et ne pas l’humilier,
Faire en sorte tout peut être réparé,
Voire pardonné, en torts partagés,
Se quereller n’est pas se colèrer.
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Apprends-moi … à t’aimer,
Toi qui connais l’amour,
Toi qui domine le jour,
Apprends-moi à lutter.
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Aimer d’un côté et lutter
De l’autre : contradiction,
Ou action à mener de front,
Pour un compromis à trouver
En respectant l’autre à égalité,
Trouvant limites de nos libertés
Impliquant vraie confraternité
Sinon deviendrons étrangers.
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Refuser l’autre main tendue,
Refuser d’essayer malvenu
Refuser d’avoir d’explication,
Porte fermée communication.
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Apprends-moi à t’aimer
Toi qui connais ce sentiment,
Qui moi, m’échappe pleinement,
À ne pas savoir sur quel pied danser.
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Je me sens comme dépossédé devant toi,
De tout mon contrôle, de toute ma rationalité
Ai peur de te parler comme de jeter en un froid,
Que tu peux, comme une maladresse, interpréter.
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D’avoir à dépendre de toi me rend déstabilisé
Je sens comme ayant et soudain bras liés
Ou que je me jette en confiance aveuglé
En précipice d’amour pour tomber.
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Je me hais, de n’accepter
Ta main, vers moi tendue
Afin de nous réconcilier
Après nous être battus.
Et je me hais de n’avoir
Pas bien su me défendre,
Et bien de trop, autant d’avoir,
De toi, et bien de trop, à dépendre.
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Calligramme
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Aimer pour tout partager,
Lutter contre pour l’intégrité,
Qui peut, un jour, être menacée,
En séparant un couple, consolidé.
Dépendre de quelqu’un, déstabilise,
En attendant qu’un nouvel équilibre
S’établisse puis se rompe, à nouveau,
Et, ainsi de suite, lors crises du couple.
Respecter l’autre et ne pas l’humilier,
Faire en sorte tout peut être réparé,
Voire pardonné, en torts partagés,
Se quereller n’est pas se colèrer.
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Apprends-moi … * à t’aimer,
Toi qui connais T l’amour,
Toi qui domine O le jour,
Apprends-moi I à lutter.
Aimer d’un côté * et lutter
De l’autre contra Q diction,
Ou action à mener U de front,
Pour un compromis I à trouver
En respectant l’autre * à égalité,
Trouvant les limites à C nos libertés
Impliquent vraie con O fraternité
Sinon deviendrons ét N rangers.
Refuser autre main N tendue,
Refuser d’essayer A malvenu
Refuser d’avoir l’exp I lication,
Porte fermée commu S nication.
.
Apprends- A T moi à t’aimer
Toi qui P connais ce ‘ sentiment,
Qui moi, P m’échappe A pleinement,
À ne pas R savoir sur quel I pied danser.
Je me E sens comme dépossédé M devant toi,
De tout N mon contrôle, de toute ma E rationalité
Ai peur S de te parler comme de jeter R en un froid
Que tu – peux comme une maladresse * interpréter.
D’avoir M à dépendre de toi me rend V déstabilisé
Je sens O comme ayant et soudain R bras liés
Ou que I je me jette en confiance A aveuglé
En pré * cipice d’amour pour I tomber.
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Je me hais, de n’accepter
Ta main, vers moi tendue
Afin de nous réconcilier
Après nous être battus.
Et je me hais de n’avoir
Pas bien su me défendre,
Et bien de trop, autant d’avoir,
De toi, et bien de trop, à dépendre.
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Forme
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Évocation
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Colonne sculptée d’une rambarde
Femme avec panier sur la tête :
Éclairage par lampe et amour.
Pour apprendre : faut un cœur.
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De nombreuses lampes produisent
De la lumière, sous un verre
Et comme pour l’amour, elle possède
Un variateur savoir/plaisir.
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La forme se rapproche quelque peu du fond,
Par la lampe ayant comme cœurs superposés :
On apprend autant par le corps que par l’esprit !
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Symbolique
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La lampe représente aussi
Une lumière intérieure, une énergie,
Des capacités, des talents que nous maîtrisons,
Avec un certain pouvoir de les allumer
Et de les éteindre.
La lumière est le symbole
De la connaissance on apprend,
De jour en jour, avec elle, à mieux se connaître,
Évoluer par informations pertinentes
Y compris sur l’amour.
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Descriptif
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403 – Toi qui connais : apprends-moi à t’aimer
Alignement central / Titre dédoublé / Thème savoir
Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de à forme
Symbole forme : lampe / Symbole fond : apprendre
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Fond
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Évocation
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Deux pages d’un beau récit, sur l’amour
Qui forment comme un cœur
Voilà qui nous apprendra que les mots
Qu’il contient seront les bons.
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Symbolique
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Savoir écouter son corps
Celui de son ou sa partenaire,
Mais tout autant se laisser aller,
S’abandonner pour aller vers une
Rencontre, c’est ce qui est important.
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Car faire l’amour, ce sera avant tout
Partager un moment intime fondé
Sur confiance, respect, émotion.
Un plaisir qui se découvrira
Évoluera avec le temps.
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D’ailleurs, rien n’est
Jamais … acquis : tout
S’apprend et se réapprend
Sans cesse, les relations sexuelles
Autres, variant en fonction de l’autre, de soi
Du temps que l’on met à se connaître intimement.
femina.fr/article/peut-on-apprendre-a-bien-faire-l-amour
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Fond/forme
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La lampe éclaire ses sentiments envers l’autre
Autant que sa manière de respecter sa liberté,
Et non de l’entraver et pour son unique profit
Rien ne sert d’allumer sa lampe, si c’est pour
Étouffer sinon voire éteindre celle de l’autre.
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Apprends-moi à aimer et à t’aimer, ne sont
Pas deux requêtes totalement équivalentes :
Aimer est une compétence, générale, sociale,
T’aimer sera une performance visant un but.
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L’on apprend par lecture de livres et romans,
Sans compter poésies, lettres de mots doux :
Il y a tant et tant d’occasion pour l’apprendre
Qu’il suffirait d’y croire pour qu’il se réalise ?
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Visuel
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Au début, je ne savais pas, j’étais timide,
et même interrogatif sur bonnes chances,
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je méditais, très souvent, sur le pourquoi
de ma solitude en cherchant : comment,
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et puis, un beau jour, je me suis lancé,
et à ma grande surprise, ça a marché !
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Aimer, c’est d’abord et avant tout vivre,
que l’on soit croyant, spirituel ou athée
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Textuel
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Aimer pour tout partager, lutter contre pour
l’intégrité qui peut, un jour, être menacée en
séparant un couple consolidé. Dépendre de
quelqu’un, déstabilise, en attendant qu’un
nouvel équilibre s’établisse puis se rompe à
nouveau et ainsi de suite lors de crise de
couple. Respecter l’autre, ne pas l’humilier,
faire en sorte que tout peut être réparé,
pardonné, torts partagés. Se quereller n’est
pas se colèrer ! Refuser, de l’autre, la main
tendue, tenter de mieux faire, avoir une
explication et non fermée la porte à la
communication. Apprends-moi à t’aimer, toi
qui connais l’amour ; toi qui domine le jour,
apprends-moi à lutter. Aimer d’un côté, lutter
de l’autre : contradiction ou action à mener de
front pour compromis à trouver ! Respecter
l’autre à égalité, trouver les limites à nos
libertés, impliquent une vraie confraternité,
sinon nous devenons étrangers. Apprends-moi
à t’aimer, toi qui connais, toi qui maitrise, toi
qui pratique ce sentiment humain qui, moi,
m’échappe pleinement, à ne pas savoir sur
quel pied danser, à en être une victime
dépendante par ma timidité. Je me sens
dépossédé quand je me trouve en face de toi,
de tout contrôle et toute rationalité. J’ai peur
de te parler, de jeter un froid que tu pourrais,
en maladresse intentionnelle, faussement
interpréter, jusqu’à m’éviter. D’avoir à
dépendre de toi, me rend déstabilisé, c’est
comme si j’avais soudain les bras liés ou ne
pouvais plus avancer ou encore que je me
jette, aveuglé par trop de confiance en moi, en
précipice d’amour jusqu’à y tomber. Je me
hais de n’accepter ta main, vers moi tendue
alors que tu cherches à nous réconcilier après
nous être parfois battus pour des broutilles ou
fallacieuses raisons. Je me hais de n’avoir pas
su me défendre lors tu faisais l’évocation des
défauts, manquements. Je me hais d’avoir,
trop, de toi, à dépendre, à tous moments.
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Extension
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Apprends-moi à t’aimer
Et sans jamais chercher
À t’approprier, posséder,
Pour moi et pour moi seul,
T’enfermer dans un carcan
Qui n’a rien d’un nid d’amants.
Je voudrais t’aimer …… rien que
Pour toi-même, pour ce que tu es,
Et non pour ce que je projette en toi
Ou qui répond à tous mes fantasmes,
Mes calculs, mes envies, mes attentes.
Voilà que je me rends compte à présent
Que l’amour tiendrait du miracle et que,
Seules, ma foi, et mon espérance, en lui,
Me procureront cette passion de t’aimer.
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Apprendre à aimer en faisant quoi :
Les gestes qu’il faut !
Apprendre à aimer, en disant quoi :
Les vrais bons mots !
Non car tout cela n’est qu’extérieur,
Qu’un pur apparat !
Si corps, esprit ne sont pas en cœur :
Amour n’existe pas !
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Qu’est-ce que l’on aime chez l’autre :
S’il y a une part de réalité, connivence
Demeure l’inconnu, l’imprévu, mystère,
Sans parler des nouvelles opportunités !
Si l’amour conjugal était comme certitude,
Il aurait moins de charme, moins de liberté :
Tous les serments et même tous les sacrements
Ne pourront conjurer séparation, voire divorce.
Stendhal est, parmi les romanciers, l’un de ceux
Qui a le mieux décrit ce processus cristallisation,
Qui nous fera tout autant devenir, aveugle, sourd,
Comme sur nuage, aux avis, pressions entourage.
Alors, apprend-t-on à aimer, ou non : tout dépend
Du commencement et de ce que l’on en fera après,
Si on le tient pour acquis, pas longtemps il ne suit,
De fait, apprendre à aimer demande toute une vie !
Les philosophes vous parlent d’aimer «sujet» choisi
Librement et psychanalystes, «objet» attachement,
Poètes ne s’entremettent dans cette guère de mots,
Demeurent au cœur du sujet objet de leurs propos.
Amour pour les uns n’est pas le même pour autres,
Il s’apprend, se comprend, se pratique tout autant
En convergence, qu’en différence voire divergence,
À en confondre, parfois, appétit, envie, appétence.
Prétendre à s’aimer entre inconnus et dans le noir
Ressemble au déni de sa réalité et de sa virtualité
On est au bord du fantasme d’interchangeabilité
L’amour réel n’existe que visible et bien incarné.
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Épilogue
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Un concept précis ou un fourre-tout
Il se décline en tous cas en bien des choses
À commencer par l’amour maternel, familial
Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal
Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose !
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L’amour-propre formerait quelque variante éthique
Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique
Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,
En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !
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Affectivité, volonté nous fait reconnaitre objet inspirant
Comme bon, comme beau, aimable, et voire, désirable.
L’amour peut alors se porter sur l’art, sur l’esthétique,
On peut admirer un tableau, apprécier une musique.
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« Elle fut dans ses bras, sur ses genoux, avec une voix profonde. Ce fut leur premier baiser, qui dura le reste de la nuit. Ils ne parlaient pas, ils s’approchaient. Elle se révélait à lui dans toute sa splendeur. Vers l’aurore, ils s’atteignirent. Elle avait une expression de jubilation et de curiosité incroyables. Le contact parfait, le sourire … tout enracinait Jim. Les autres femmes n’existaient plus pour lui. » Henri-Pierre Roché. Jules et Jim. Gallimard
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La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, pour tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes. L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale.
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Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent se retrouvent l’un dans l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel. L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation.
En amour, les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité pour déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre… sont pour certains de véritables épreuves.
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Amour quand tu nous tiens … nous lâche !
Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,
De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert
Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.
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L’amour est un concept universel mais multiple
Certains en feront la première valeur de leur vie
Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent
L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux.
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Comment être certain vivre le véritable amour
Celui qui nous nourrit, nous ravit chaque jour
Il est comme le bonheur, tellement subjectif
Qu’on ne saurait le définir sauf subjonctif.
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